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La Guerison Interieure
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La Guerison Interieure

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About this ebook

Comment guérir des maladies qui sont au-delà de la dimension physique ?
Voici une question à laquelle répond l’auteur Z.T. Fomum à travers ce livre. Il présente le Seigneur Jésus comme la solution à tout besoin de guérison et de santé intérieure.

Plusieurs personnes sont liées par
- la peur,
- les déceptions,
- l’amertume, et/ou
- la culpabilité
qui déforment leur existence ; ils sont loin de ce que Dieu voulait qu’ils soient. L’auteur affirme que pour garder et demeurer dans cette liberté, il est nécessaire de traiter radicalement et permanemment avec le ‘‘moi’’ qui est, en réalité, le moteur de toutes les blessures intérieures. En effet, quand une personne dit qu’elle est blessée, c’est son ‘‘moi’ ’qui est touché.

Ce livre est une véritable panacée de la part de Dieu pour t’emmener à confronter le degré de ta maladie spirituelle et recevoir la solution de Dieu pour guérir.

Lis ce livre! Et tu entreras surement dans une guérison divine qui fera de toi une personne épanouie et équilibrée.

LanguageFrançais
Release dateJul 12, 2014
ISBN9781311290472
La Guerison Interieure
Author

Zacharias Tanee Fomum

For FREE books from Zacharias Tanee Fomum: https://books.bookfunnel.com/ztf-free-ebooks. Professor Zacharias Tanee FOMUM was a man of uncommon spirituality, a leading voice for revival, a workaholic, a prophet-teacher, and a world-shaping spiritual genius. He was a bestselling Christian author (with over 350 books, over 10 million copies in circulation in over 100 languages) and a professor of Organic Chemistry (with over 160 published scientific works of high distinction (earning him the award of a Doctor of Science degree from the University of Durham, Great Britain). His books and the millions of people he influenced in more than 40 years of Christian ministry continue to impact the world with the Gospel today. He founded Christian Missionary Fellowship International (CMFI), a missionary movement that has planted churches in more than 120 nations on all continents. He believed in a life of simplicity and with the support and dedication of his wife and their seven children, his all—time, money, heart, and soul— was dedicated to spreading the Gospel. He carried out exploits for God through the making of disciples for Christ, planting of churches, building spiritual leaders according to the model of the Bible, and serving the body of Christ, especially as a teacher on prayer. Learn more and read exclusive excerpts at: https://ztfomum.org

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    La Guerison Interieure - Zacharias Tanee Fomum

    LA GUERISON INTERIEURE

    Par

    Zacharias Tanee Fomum

    © 1986, Z.T. Fomum

    Edité par

    l’unité de l’édition électronique du ministère du livre de la CMCI

    http://www.cmfionline.org

    ztfbooks@cmfionline.org

    Titre Anglais: Inner Healing

    © 1986, Z.T. Fomum

    Tous droits réservés.

    Je dedie ce livre avec amour a

    ROGER HEIM

    Un homme selon le coeur de dieu, mon ami,

    Mon sage et admirable conseiller.

    TABLE DES MATIERES

    Preface

    Les Temoignages

    Les Deceptions

    Les Reponses De Dieu Aux Deceptions - 1

    Les Reponses De Dieu Aux Deceptions - 2

    La Culpabilite Et La Guerison Interieure

    Les Peches Des Parents Et La Guerison Interieure

    Pardonner Aux Autres: Cle De La Guerison Interieure

    L’impact De L’enfance Sur La Vie Adulte

    La Solution De Dieu Aux Problemes De L’enfance

    Le Rejet Dans La Vie D’adulte Et Sa Guerison

    La Comparaison Et Ses Onsequences

    La Sante Interieure A Perpetuite

    Très Important !

    Au Sujet De L'auteur

    Autres Livres Du Meme Auteur

    PREFACE

    Il y a plusieurs personnes qui sont physiquement malades, certaines ont des maladies qui sont extérieurement visibles, d’autres sont atteintes de maladies cachées au-dedans de leur corps. Tous ceux-ci ont besoin de guérison. Jésus est la réponse à leur besoin.

    Il y en a dont les maladies sont a

    u-

    delà de la dimension physique. Ils sont handicapés par la peur, l’amertume, la jalousie et des choses semblables. Les psychologues essaient d’apporter des solutions à ces gens. Ils font de leur mieux.

    Nous croyons cependant que Jésus est la véritable réponse pour ces gens. Il est la réponse de Dieu à tout besoin de guérison et de santé de l’homme. Dans Sa mort, Sa résurrection et Son intronisation, Il a pourvu à tout ce dont l’homme a besoin pour la guérison totale, et à tous les niveaux.

    Le croyant est appelé à entrer en possession de tout ce que le Seigneur Jésus a pourvu pour sa guérison totale. Il faut qu’il coopère avec le Seigneur Jésus, afin d’entrer en possession de tout ce que le Seigneur a pourvu pour lui. Quelquefois, cette coopération exige que lui aussi, comme son Seigneur, se charge de sa croix, Le suive et y meure; qu’il meure à l’amour du moi sous toutes ses formes. De cette mort résultera non seulement une parfaite guérison intérieure, mais aussi une parfaite santé intérieure, à perpétuité.

    Ce livre est une modeste approche pour permettre au croyant de recevoir la guérison intérieure et de jouir de la santé intérieure. Je considère cela comme un grand privilège d’avoir été utilisé par le Seigneur pour rendre ministère à Ses enfants à travers ce livre. Ma prière est qu’il puisse aider certains qui sont liés par la peur, la jalousie, l’amertume, le manque d’amour et les choses de ce genre, à entrer dans la glorieuse liberté des fils de Dieu.

    Yaoundé, le 13 septembre 1986

    Chapitre 1

    LES TEMOIGNAGES

    PREMIER TEMOIGNAGE

    Ma mère était fiancée, et devait se marier à un jeune homme de son choix. Peu après qu’ils se furent fiancés, le père de ce jeune homme, qui était ami à mon grand père, vint le voir pour lui dire qu’il voulait lui aussi épouser ma mère, avançant la raison selon laquelle les femmes vieillissent plus vite que les hommes, et que si elle se mariait avec son fils, elle paraîtrait bientôt plus vieille que lui. Sans consulter ma mère, mon grand père s’accorda avec son ami, et la date fut fixée où ma mère lui fut amenée comme neuvième épouse. Lorsque ma mère fut informée de cette décision, elle pleura, supplia et fit tout ce qui était à son pouvoir, mais mon grand père était le genre de personne dont les paroles étaient loi. Aucune de ses femmes ne pouvait influencer ou changer l’une quelconque de ses décisions. Elles avaient toutes peur de lui. Ma grand mère avait peur de s’opposer à cette idée ; et, ce faisant, elle supplia ma mère d’accepter pour leur éviter le pire à toutes les deux. Finalement, pour satisfaire ses parents (bien que n’ayant aucun choix) ma mère consentit à épouser cet homme ; et au jour fixé, elle fut emmenée chez son Père-mari" qui avait à peu près l’âge de mon grand-père ou même plus. Il avait des enfants qui étaient plus âgés que ma mère, et ses huit premières femmes étaient de loin plus âgées qu’elle, et certaines même plus âgées que ma grand-mère.

    Environ deux ans après le mariage, ma mère se rendit compte qu’elle ne pouvait plus supporter la vie qu’elle menait dans ce foyer; elle s’enfuit alors pour retourner chez ses parents. Toutes les tentatives faites pour la ramener chez son mari échouèrent, et elle demeura avec ses parents. C’est à cette époque qu’elle rencontra mon père. Cela ne faisait pas longtemps qu’ils commencèrent à sortir ensemble quand elle devint enceinte. Lorsqu’elle informa mon père de la grossesse, ce dernier prit la chose très mal et avec beaucoup de colère. Si je me rappelle bien, il avait même suggéré que ma mère se défasse de l’enfant (c’est à dire de moi). Lorsque ma mère refusa, il la renvoya sans façon et lui demanda de ne plus jamais revenir chez lui. Cela mit fin à leur relation éphémère. Quelques mois plus tard, lorsque ma mère avait déjà cette grossesse avancée, la nouvelle petite amie de mon père, conjointement avec ses amies, se saisirent de ma mère et lui donnèrent une bonne bastonnade. A une autre occasion ma mère s’était rendu dans une boutique pour acheter les derniers articles de la layette, car la grossesse était déjà à terme. En entrant dans la boutique, elle y trouva mon père. Quand il la vit, il sortit de la boutique sans lui adresser une seule parole. Ce fut la dernière fois qu’ils se rencontrèrent, jusqu’à quinze ans plus tard.

    Après que mon père eut mis fin à toute relation avec ma mère, il y avait un autre homme qui s’était toujours intéressé à elle, mais que ma grand mère n’avait jamais voulu voir. Lorsque cet homme apprit tout ce par quoi ma mère passait, il revint à nouveau sur la scène et décida de s’occuper d’elle. Il vint de ce fait plusieurs fois pour la voir, lui apportant des cadeaux presque à chaque visite. Les membres de sa famille connaissaient bien ma mère, et croyaient que l’enfant était le leur. Lorsque je naquis, il vint cette fois non seulement avec des cadeaux, mais aussi avec un nom à m’attribuer. Ce nom signifiait Réconfort pour sa mère. Je portai ce nom pendant deux semaines.

    Lorsque l’ex-mari à ma mère apprit qu’elle avait accouché d’un enfant, il se précipita lui aussi avec un nom, prétextant que d’après la tradition, tous les enfants de ma mère lui appartenaient, puisque c’est lui qui avait payé la dot de ma mère, à moins que son argent ne lui soit remboursé, et évidemment, il refusa tout remboursement parce qu’il planifiait de tuer ma mère, mon grand frère (son fils) et moi par la sorcellerie. Ainsi il refusa de reprendre son argent, car cela lui aurait fait perdre toute réclamation qu’il aurait pu avoir sur nous. Alors il vint avec ses noms à lui. Mon grand père céda immédiatement, et mon nom fut changé. Désormais on m’appelait .... Je portai ce nom jusqu’à l’âge scolaire. Ma grand mère n’avait jamais accepté le fait que cet homme m’ait donné des noms ; ainsi elle s’arrangea avec le directeur de l’école qui était un de ses parents pour que de nouveaux noms me soient donnés. J’avais maintenant un nouveau nom pour la troisième fois. On me connaissait maintenant sous l’appellation ....

    Lorsque je passai au CE1, ma mère, qui était maintenant mariée à son second mari, déménagea pour se rendre dans une autre région du pays avec son mari. Elle ne pouvait pas me prendre avec elle parce que c’était en milieu d’année scolaire ; et de plus, elle n’était pas certaine que je trouverai une autre école dans la nouvelle localité. Elle me laissa donc avec sa soeur pour que je termine cette année scolaire-là. Il fallait donc me transférer de mon école pour que je rejoigne celle que mes cousins fréquentaient. Ma cousine (qui avait mon âge) et moi décidâmes de changer mon nom pour que je puisse porter le nom de son père car, à notre avis, nous étions devenus des soeurs. Heureusement, ma tante intervint à temps et arrêta cette folle aventure.

    Quand finalement je retrouvai ma mère, je fus inscrite à l’école sous un nouveau nom. Je portai maintenant le nom de mon père adoptif (le mari de ma mère). Une fois de plus, mes noms furent changés en ...... Je portai ce nom jusqu’en classe de 3ème. C’est alors que mes oncles maternels insistèrent pour que mes noms furent changés, cela afin que le nom de ce père adoptif n’apparaisse pas sur le diplôme du B.E.P.C. Un acte de naissance fut établi par mes oncles et le nom de mon grand-père me fut donné comme étant le nom de mon père. Dès lors, je portais le nom de mon grand-père. Je me nommais maintenant .... Jusqu’à mon mariage, période où je changeai de nom pour la dernière fois.

    Maintenant, il s’avéra qu’au Lycée où j’étais, se trouvait quelqu’un proche-parent de mon père. Très souvent, cette jeune fille me faisait la remarque que je ressemblais beaucoup à son parent qui était mon père. De temps en temps, elle s’amusait disant : j’ai peur qu’il y ait une erreur quelque part, ce genre de ressemblance ne peut pas être une simple coïncidence. Pour moi cela ne signifiait rien. Après tout, plusieurs personnes pensaient également que j’étais exactement comme ma grand-mère maternelle. De toute façon, quand je revins à la maison pour les vacances, je parlais à ma mère au sujet de cette fille, comment elle me répétait sans cesse que je ressemblais à son parent. Je lui disais sans y attacher une quelconque importance. C’était juste une conversation, mais je remarquai que ma mère, après s’être enquise de la tribu et de la famille de cette fille, fut très vexée et dit: Il faut qu’elle arrête cela, il ne faut pas qu’ils te mangent dans leur sorcellerie. Pour ma part, je n’attachais aucune importance à la vexation de ma mère. La vie continua et tout fut oublié, jusqu’à la fin des vacances, et je retournai à l’école.

    Une fois de retour de l’école, cette fille et moi devînmes des amies. Un jour, nous étions sorties, et fortuitement nous rencontrâmes ce parent. Elle l’arrêta, et lorsque nous nous approchâmes de lui, elle le salua et dit : Voici la fille dont je t’ai toujours parlé. Ne penses-tu pas qu’elle te ressemble ? Son ami qui était avec lui acquiesça très fermement et exprima sa surprise devant une telle coïncidence. Cet homme de son côté trembla physiquement. Il me posa beaucoup de questions du genre qui était ma mère, où est-ce qu’elle se trouvait alors, que faisait-elle, quand est-ce que j’étais née, etc... Eh bien, je répondis à toutes ces questions sans aucune réserve. Il n’y avait aucune crainte ni suspicion dans mon cœur.

    Pendant les vacances, je parlai une fois de plus à ma mère de cette étrange rencontre avec cet homme. Ma mère fut encore très fâchée, mais cela ne me dit pas grand-chose. Un jour, pendant ces mêmes vacances, juste après que ma mère fut partie au travail et que j’étais en train de faire le nettoyage dans la cour, cet homme arriva. A cette époque j’avais beaucoup de prétendants et aucune question de mariage ne m’intéressait. En fait, cela m’énervait. Ainsi donc, quand je vis cet homme, j’eus peur qu’il était aussi venu déposer sa candidature. A cette pensée, je m’immobilisai et devins très nerveuse. Mais de toute façon, il

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