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NORMA (avec notes): Libretto ebook (FRANÇAIS - Italien)
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Ebook135 pages45 minutes

NORMA (avec notes): Libretto ebook (FRANÇAIS - Italien)

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NORMA - Opéra en deux actes par Vincenzo BELLINI.
Livret de Felice Romani (Texte intégral FRANÇAIS - Italien).
Argument, Histoire, Œuvre, Liens à YouTube
Vincenzo Bellini (Biographie), eBook et PDF pour Smartphone, 120 pages,
LanguageFrançais
Release dateSep 24, 2017
ISBN9788826490229
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    NORMA (avec notes) - Vincenzo BELLINI

    Smart

    NORMA - Bellini (Livret complet)

    ebook Libretto (FRANÇAIS-Italien)

    N O R M A

    Opéra en deux actes

    Tragedia lirica in due atti

    de / di Felice Romani

    d’après la tragédie Norma, ou l'Infanticide de Alexandre Soumet

    Musique de / Musica di

    Vincenzo Bellini

    Création / Prima rappresentazione:

    Milan / Milano, Teatro alla Scala

    26 Décembre / Dicembre 1831

    Couverture / Copertina:

    http://www.iteatridellest.com/wp-content/uploads/2016/02/AttoI_scena_IV-light-e1455527828964.jpg

    NORMA: scene di Ezio Frigerio, costumi di Franca Squarciapino, regia di Lorenzo Amato, luci di Vincenzo Raponi. Dir. Nello Santi. Coro e Orchestra Teatro San Carlo di Napoli (21/02/2016).

    Argument - Histoire - Œuvre

    Argument

    Acte 1

    La Gaule est occupée par les forces romaines que commande Pollione. Au pied de la pierre sacrée, Oroveso, le chef des druides, ordonne aux prêtres d’Irminsul d’attendre la levée de la lune nouvelle. Sa fille, la grande prêtresse Norma, viendra conduire le rite de la cueillette du gui. Il se peut qu’elle fasse sonner alors le bronze fatal qui indique l’heure de frapper l’occupant romain (« Ite sul colle » - « Si, parlerà terribile »). Nul ne craint davantage ces rites païens que Pollione lui-même : lié autrefois à Norma par un amour sacrilège, il l’a aban­don­née, et craint désormais sa vengeance. D’autant qu’une passion nouvelle remplit son cœur, passion dont l’objet est la jeune prêtresse Adalgisa (« Meco all’altar di Venere »). Dès que retentit la marche des druides, Pollione, et son adjudant Flavio, se retirent précipitamment. La cérémonie commence; Norma surgit entourée de ses prêtresses, le front ceint d’une couronne de verveine, une faucille d’or à la main. Elle rejette les voix qui appellent à la guerre («Sediziose voci»); dans une extase prophétique, elle voit Rome tomber d’elle-même, sous le poids de ses turpitudes. Levant les yeux vers la lune, elle adresse sa prière à cette lointaine déesse dont la lumière argentée et virginale resplendit sur les humains, en lui demandant de calmer les ardeurs guerrières («Casta Diva»). Mais le cœur de Norma n’est ni pur, ni calme : il se consume d’un amour impie («Ah ! bello a me ritorna»). La forêt sacrée se vide. Toute tremblante, y apparaît Adalgisa, que la puissance de l’amour a guidé vers l’endroit où, pour la première fois, elle avait vu l’objet interdit de ses désirs : Pollione « Sgombra è la sacra selva »). Il la rejoint aussitôt, l’implorant d’abandonner ses rites et de le suivre à Rome (duo: « Va’, crudele » - « Vieni in Roma »). La jeune prêtresse résiste de toutes ses forces à cet appel, jusqu’à ce que, apprenant que Pollione quitte la garnison romaine le lendemain, elle ne s’y sou­mette enfin, et n’accorde à son séducteur le rendez-vous fatal. Plus tard cependant, incertaine de son choix, elle vient solliciter les conseils de Norma, à qui elle avoue sa faute (duo : « Sola, furtiva, al tempio » - «Ah! Si, fa core»). Cette confession candide éveille chez la grande prêtresse des souvenirs si bouleversants, qu’elle ne peut que pardonner. Son indul­gence se mue toutefois en fureur lorsqu’elle apprend le nom de l’amant qui, de surcroît, surgit tout à coup entre les deux femmes (trio : « Ah, non tremare » - « Vanne, si »). Comprenant le crime de Pollione, Adalgisa reste sourde à ses appels, tandis que les bronzes du temple convoquent les deux prêtresses aux rites sacrés.

    Acte 2

    Une lampe dans une main et un poignard dans l’autre, Norma contemple ses deux fils endormis, les fils de Pollione (« Dormono en­­­­tram­bi»). L’a­mour maternel prend le dessus sur la haine du père, lui faisant rejeter l’arme fatale. Sa résolution n’en est pas moins inébranlable : il lui faut expier sa faute, mais pas au prix des deux vies innocentes. Elle décide de confier ses enfants à Adalgisa (duo: «Deh, con te li prendi»), qui refuse de se substituer à leur mère. Ayant abandonné ses rêves d’amour, la jeune prêtresse jure d’infléchir le cœur de Pollione, pour qu’il retrouve Norma et ses fils («Mira, o Norma»). Les deux femmes se jurent amitié et fidélité éter­nelles («Si, fino all’ore»). Les guer­riers gaulois, prêts à attaquer le campement romain, n’attendent plus que le signal de Norma. En vain : Oroveso n’est pas parvenu à obtenir de sa fille la réponse décisive («Ah! Del Tebro al giogo indegno»). C’est seulement lorsqu’elle apprend que l’am­bas­sade d’Adalgisa a échoué, et que Pollione a juré d’en­lever la jeune fille coûte que coûte, qu’elle fait sonner le bronze guerrier («Squilla il bronzo» - «Guerra, guerra»). Au même instant, Pollione est arrêté devant l’autel où il s’apprêtait à commettre son sacrilège. On l’amène devant Norma qui, impuissante à tuer le profanateur, éloigne tous les présents sous prétexte de l’interroger (duo: «In mia man alfin tu sei»). Mais Pollione refuse de renoncer à Adalgisa, préférant mourir. C’est seule­ment lorsque Norma menace de révéler le crime de la jeune prêtresse, qu’il implore sa grâce («Già mi pasco dei tuoi sguardi»). C’est au tour de Norma de rester sourde à ses paroles; elle appelle les Gaulois pour leur annoncer la profanation du temple. La prêtresse qui s’en est rendue coupable, mourra sur le bûcher. Pourtant, à l’instant d’accuser Adalgisa, son cœur tremble, et c’est son propre nom qu’elle prononce, se condamnant à une mort atroce. Les

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