Catalogne - façon de conflit

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Autres titres disponibles de cet auteur

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Radical Islam and Compliance in Financial Institutions

Hezbollah – Cuckoo in the Nest

Arab Oil Money – Toxic Cocktail

Tesla

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couverture - drapeau espagnol dans le village castillan.

A propos de l'auteur

Eric Thomsen a publié en droit, en sciences et en économie. Il détient plusieurs diplômes de droit, un diplôme en économie et a été certifié ACAMS en 2016.

Introduction

Le 27 octobre 2017, le Sénat espagnol a voté le limogeage du gouvernement de la région de Catalogne dans le nord de l'Espagne et la convocation de nouvelles élections à l'assemblée régionale le 21 décembre 2017.

Ce ne sera pas la fin du problème en Catalogne.

Quand vous lisez la presse internationale sur le problème en Catalogne, vous avez cependant une vision plutôt unilatérale de ce qui se passe et pourquoi. Ils semblent incroyablement biaisés.

Il existe également une division entre les dirigeants politiques sur le problème en Catalogne. Le Premier ministre écossais Nicola Sturgeon a pleuré «  Que le peuple vote « .

http://www.bbc.com/news/uk-scotland-scotland-politics-41453955

Le premier ministre de l'état belge défunt a exigé la médiation internationale.

Vous vous demandez si la plupart des journalistes sont en fait des communistes implicites qui ont fui la guerre civile espagnole et soutiennent l'analyse de Lénine selon laquelle les troubles civils et l'agitation permettent au prolétariat, signifiant Lénine, de prendre le pouvoir et de gouverner au nom du prolétariat.

Beaucoup de nouvelles internationales que vous lisez reposent subtilement sur cette tendance communiste implicite.

Il pourrait donc être opportun avec une analyse plus indépendante, basée plus sur les faits et moins sur l'idéologie implicite. La télévision d'Etat espagnole est une source ouverte et ne peut raisonnablement être accusée de se ranger du côté du président espagnol Mariano Rajoy. C'est une telle source.

Avec ce petit volume, l'auteur espère contribuer à cet objectif d'une analyse moins idéologique.

Malaga novembre 2017

27 octobre 2017

Le 27 octobre 2017, le Sénat espagnol a voté la destitution du gouvernement de la région autonome de Catalogne, dirigée par Carles Puigdemont et la nomination de la vice-première ministre Soraya Saenz de Santa Maria à la tête de l'administration locale. peut être formé après les élections le Premier ministre espagnol Mariano Rajoy a appelé pour le 21 Décembre 2017.

C'est une décision clé, un tournant dans le conflit.

La Cour constitutionnelle espagnole - Tribunal constitutionnel - à Madrid. Au coin de la rue se trouve l'Université CEU San Pablo qui a une Faculté de Droit avec a.o. un programme en droit de l'UE.

Le président déchu Carles Puigdemont a déclaré plus tard, à Bruxelles, qu'il s'était attendu à ce que le gouvernement espagnol négocie. Il a clairement commis une erreur dans ses calculs.

La décision de disposer du gouvernement local a suivi plus d'une année de conflit - le conflit semble être une stratégie suivie par les pro-indépendantistes.

La commande du gouvernement espagnol 27 octobre 2017:

Artículo 1. Objeto y naturaleza.

1. El presente Real Decreto tiene por objeto dar cumplimiento a la habilitación al Gobierno de la Nación realizada mediante Acuerdo del Pleno del Senado, de 27 de octubre de 2017, por el que se aprueban las medidas requeridas por el Gobierno, al amparo del artículo 155 de la Constitución, realizando la designación de los órganos habilitados para la efectiva aplicación de las medidas autorizadas por él, con relación al obierno, a la Administración de la Generalitat de Cataluña, sus organismos, entes, entidades y sector público empresarial dependientes, así como con respecto al Parlamento de Cataluña.

2. Se designan como órganos habilitados para la efectiva aplicación referida en el apartado preferente:

a. El Presidente del Gobierno.

b. La Vicepresidenta del Gobiern.

c. El Consejo de Ministros.

d. Los Ministros como titulares de sus Departamentos.

http://www.boe.es/diario_boe/txt.php?id=BOE-A-2017-12329

Traduction -

La commande du gouvernement espagnol 27 octobre 2017 –

"Article 1. Objet et nature.

1. L'objet de ce décret royal est de se conformer à l'autorisation accordée au gouvernement de la Nation par un accord de l'assemblée plénière du Sénat du 27 octobre 2017, approuvant les mesures requises par le gouvernement, en vertu de l'article 155 de la Constitution, en désignant les organismes autorisés à appliquer les mesures autorisées par lui, en ce qui concerne le Gouvernement, l'Administration de la Generalitat de Catalogne, ses agences, organes, entités et secteur public dépendant, ainsi que comme en ce qui concerne le Parlement de Catalogne.

2. Ils sont désignés comme organismes agréés pour l'application effective visée dans la section préférentielle:

à. Le président du gouvernement.

b. Le vice-président du gouvernement.

c. Le Conseil des Ministres.

d. Les ministres en tant que titulaires de leurs départements. "

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Le limogeage du gouvernement régional a pris effet à compter de sa publication au Journal officiel (BOE) le samedi 28 octobre 2017.

Ceci a fini pour le moment le défi le plus sérieux encore à l'intégrité de l'Espagne.

Il a également mis fin à une période profitable pour Puigdemont et ses associés, qui recevraient 40 000 euros par jour en salaires, en diète et en dépenses - beaucoup plus que la plupart des Espagnols reçoivent du travail dur en une année complète.

Puigdemont a renoncé à une pension de 9.000 euros par mois.

http://www.larazon.es/espana/puigdemont-renuncia-a-su-pension-como-expresidente-de-112-000-euros-porque-no-se-considera-cesado-GH17010789

La politique locale semble avoir été très lucrative pour lui et ses partisans.

Un journal espagnol, ABC, rapporte d'autre part que Carles Puigdemont et son prédécesseur Artur Mas ont chargé la Catalogne d'une dette publique supplémentaire de 40 milliards d'euros.

"Sucesivos gobiernos catalanes de los independentistas Artur Mas y Carles Puigdemont han acumulado una deuda pública de 40.000 millones de euros.... »

« Cuando Artur Mas tomó las riendas del Gobierno catalán, en enero de 2011, la Generalitat ya sobresalía por sus números rojos acumulados. La recibió con una deuda de 35.616 millones de euros. Cuando salió del Ejecutivo catalán, en enero de 2016, dejó a la Generalitat con una deuda pública que rozaba los 73.000 millones de euros.

A Mas le sucedió Carles Puigdemont, que ha seguido endeudando al Gobierno catalán a una media -en su caso- de más de seis millones de euros cada día, unos 186 millones de euros cada mes. Desde que tomó posesión como presidente de la Generalitat, el 27 de diciembre de 2010, hasta el 31 de marzo del presente año -últimas cifras de deuda certificadas por el Banco de España-, la Generalitat se endeudó en otros 2.800 millones de euros en números redondos. Y el agujero suma y sigue día a día, soportado a costa de los ventajosos préstamos que le inyecta periódicamente el Estado..."

http://www.abc.es/espana/abci-mas-y-puigdemont-endeudado-catalanes-40000-millones-euros-201709160344_noticia.html

Traduction :

"Les gouvernements catalans successifs des indépendantistes Artur Mas et Carles Puigdemont ont accumulé une dette publique de 40 milliards d'euros ..."

"Quand Artur Mas a pris les rênes du gouvernement catalan, en janvier 2011, la Generalitat s'est déjà distinguée par ses chiffres rouges accumulés. Il l'a reçu avec une dette de 35.616 millions d'euros. À son départ de l'exécutif catalan, en janvier 2016, il a quitté la Generalitat avec une dette publique de près de 73 000 millions d'euros.

Mas a été succédé par Carles Puigdemont, qui a continué à endetter le gouvernement catalan à une moyenne - dans son cas - de plus de six millions d'euros chaque jour, soit environ 186 millions d'euros chaque mois. Depuis qu'il a pris ses fonctions de président de la Generalitat, le 27 décembre 2010, jusqu'au 31 mars dernier - les derniers chiffres de la dette certifiée par la Banque d'Espagne -, la Generalitat a emprunté 2 800 millions d'euros supplémentaires. Et le trou se développe et continue jour après jour, soutenu au prix des prêts avantageux périodiquement injectés par l'Etat ... "

C'est une histoire complètement différente de celle que racontent certains médias internationaux - nous verrons certains des reportages ci-dessous de bbc.

Ces médias internationaux promeuvent une image d'un miracle économique catalan conduit par sa population laborieuse et laborieuse - sans dire que le reste de l'espagnol par implication ne sont pas si laborieux et pas si industrieux - et que beaucoup de mécontentement parmi les Catalans est entraîné par imposition excessive par Madrid.

Cependant, cette image est tempérée par les dépenses importantes d'argent emprunté.

"La Generalitat ha sido especialmente eficaz en generar endeudamiento durante décadas. Sus abultadas estructuras políticas y burocráticas, su extensa lista de entes y el gasto público generado por los sucesivos gobiernos de corte nacionalista -tripartito incluido- han hecho que Cataluña concentre el 27% de la deuda de todo el sistema autonómico, pese a que supone en torno al 20% del PIB nacional y el 16% de la población española.

El sobreendeudamiento en el que viene incurriendo sistemáticamente la Generalitat es consecuencia del elevado déficit que arroja su extenso sector público. En el quinquenio 2012-2016, por ejemplo, sus cuentas de ingresos y gastos arrojaron unos números rojos totales de casi 22.000 millones de euros. Es decir, un agujero que durante estos cinco últimos años se ha ido agrandando a razón de medio millón de euros más cada día."

http://www.abc.es/espana/abci-mas-y-puigdemont-endeudado-catalanes-40000-millones-euros-201709160344_noticia.html

Traduction :

"La Generalitat a été particulièrement efficace pour générer de l'endettement pendant des décennies. Ses structures politiques et bureaucratiques volumineuses, sa longue liste d'entités et les dépenses publiques générées par les gouvernements nationalistes successifs, y compris le tripartite, ont fait que la Catalogne concentre 27% de la dette de l'ensemble du système autonome, malgré le fait qu'elle implique % du PIB national et 16% de la population espagnole.

Le surendettement de la Generalitat est une conséquence du déficit élevé de son grand secteur public. Au cours de la période de cinq ans 2012-2016, par exemple, ses comptes de revenus et de dépenses ont affiché un total de près de 22 000 millions d'euros. C'est-à-dire, un trou qui, au cours de ces cinq dernières années, a augmenté d'un demi-million d'euros de plus chaque jour ... "

"La Catalogne est l'une des régions les plus riches d'Espagne, mais un flot d'entreprises a annoncé son intention de transférer ses sièges sociaux hors de la Catalogne en réponse à la crise".

http://www.bbc.com/news/world-europe-41576870

" Madrid nos roba est un slogan sécessionniste populaire - Madrid nous vole. La sagesse reçue est que la Catalogne relativement riche paie plus qu'elle ne sort de l'État espagnol ... "

Certains ont fait valoir que même si la Catalogne avait bénéficié d'un coup de pouce de l'indépendance, cela pourrait être englouti par la nécessité de créer de nouvelles institutions publiques et de les gérer sans les mêmes économies d'échelle ...

http://www.bbc.com/news/world-europe-41474674

Déclaration d'indépendance

En guise de remerciement à ses nombreux partisans, Puigdemont a remis au parlement local la proposition de voter unilatéralement pour l'indépendance jeudi 26 octobre 2017 et l'assemblée dégèle sa déclaration unilatérale sur l'indépendance avec 70 voix pour et 10 contre et le reste étant absent pour protester .

http://www.rtve.es/noticias/20171027/parlament-declara-independencia-cataluna/1630750.shtml

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La Rambla où elle se termine par le port de Barcelone. Le monde entier vient ici. Devraient-ils tous avoir le droit de vote?

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Le vote a été secret et avec une urne scellée en vue ouverte devant la présidente de l'Assemblée, Carme Forcadell.

En un total de 17 puntos, que se han votado vía resolución, se plantea, entre otras cuestiones, promulgar los decretos necesarios para la expedición a la ciudadanía catalana de documentación acreditativa de la nacionalidad catalana, impulsar un tratado de doble nacionalidad con el Gobierno de España, promover, ante todos los estados e instituciones, el reconocimiento de la República Catalana, promover actuaciones legislativas para la creación del Banco de Cataluña con las funciones de banco central y elaborar una propuesta de reparto de activos y pasivos entre el reino de España y la república de Cataluña abriendo un periodo de negociación".  

http://www.rtve.es/noticias/20171027/parlament-declara-independencia-cataluna/1630750.shtml

Traduction :

En un total de 17 puntos, que se han votado vía resolución, se plantea, entre otras cuestiones, promulgar los decretos necesarios para la expedición a la ciudadanía catalana de documentación acreditativa de la nacionalidad catalana, impulsar un tratado de doble nacionalidad con el Gobierno de España, promover, ante todos los estados e instituciones, el reconocimiento de la República Catalana, promover actuaciones legislativas para la creación del Banco de Cataluña con las funciones de banco central y elaborar una propuesta de reparto de activos y pasivos entre el reino de España y la república de Cataluña abriendo un periodo de negociación"

L'assemblée régionale Le Parlament expose donc dès le début de la République de Catalogne que c'est beaucoup d'argent, beaucoup de contrôle des biens - par les politiciens pro-indépendantistes catalans, qui savent probablement beaucoup mieux comment gérer ces affaires que le gouvernement espagnol.

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La Catalogne est - ou était - une région riche signant 25,6% des exportations espagnoles, 20,7% des investissements étrangers, 19% du PIB espagnol mais seulement 16% de la population espagnole, selon le ministère de l'Économie, de l'Industrie et de la Compétitivité, Eurostat, L'Espagne

La République de Catalogne a été déclarée en vigueur un jour avant que la décision de l'assemblée locale soit contestée devant la Cour constitutionnelle espagnole - Cour constitutionnelle - Le Parlement a également contesté le procureur général espagnol, qui avait promis de porter plainte pour la sédition de Puigdemont et son gouvernement - la Generalitat - a déclaré l'indépendance unilatérale de l'Espagne et la présidence de l'Assemblée si ils ont laissé lui être voté.

La Cour constitutionnelle espagnole n'a pas immédiatement suspendu la déclaration unilatérale et a donné au procureur général - Fiscalia - et à l'Assemblée catalane la possibilité de présenter leurs arguments contre la plainte déposée par les socialistes catalans et eux-mêmes trois jours pour examiner la plainte.

http://www.rtve.es/contenidos/documentos/resolucion_recurso_psc.pdf

La Cour constitutionnelle n'a pas supposé que le vote au Parlement avait réellement eu lieu.

Cela aurait également été difficile à contester car il a eu lieu pour les caméras de télévision ouvertes et a été diffusé à quiconque voulait le voir.

Selon la plainte des socialistes de Catalogne, la déclaration unilatérale d'indépendance a violé pratiquement toutes les parties préliminaires de la constitution espagnole, le principe de la démocratie, de l'état de droit, les droits des citoyens et de l'autorité publique ainsi que la loi de auto-règle

La propuesta, según señala el PSC en su recurso vulnera prácticamente todo el título preliminar de la Constitución: el principio democrático, el Estado de Derecho y el sometimiento de ciudadanos y poderes públicos a la ley, y es radicalmente incompatible con el Estatut.

http://www.rtve.es/noticias/20171027/tc-admite-tramite-recurso-psc-contra-dui-aunque-momento-no-suspende/1630807.shtml

Traduction:

"La proposition, comme l'a souligné le PSC dans son appel viole pratiquement tout le titre préliminaire de la Constitution: le principe démocratique, la primauté du droit et la soumission des citoyens et des autorités publiques à la loi, et est radicalement incompatible avec Constitution."

Notez que ces questions ont un sens dans la loi et en particulier dans le droit constitutionnel et le droit international et que ce sens peut être quelque peu différent de ce que les médias internationaux ou les journalistes locaux y ont mis.

La déclaration d'indépendance fait suite au référendum du 1er octobre 2017 - qui a été déclaré illégal par la Cour constitutionnelle espagnole, qui a également ordonné à la police - les forces nationales Policia Nacional et Guardia Civil et les forces locaux les Mossos de Esquadre d'empêcher le vote.

Traduction:

« Il fait suite à un référendum rejeté comme illégal par le gouvernement espagnol dans lequel 90% soutenaient l'indépendance - mais les opposants l'ont boycotté, le taux de participation n'était que de 43% et il y avait des allégations d'irrégularités ».

http://www.bbc.com/news/world-europe-29478415

Le taux de participation de 43% est également remis en question par des indices documentés de double vote et parce que les tables de vote ne demandaient pas de preuve d'identité de la part du votant.

La présidente du Parlement, Carme Forcadell, a ensuite déclaré devant le juge d'instruction que la déclaration d'indépendance était symbolique et qu'elle pouvait éviter la garde préventive en payant une caution de 150 000 euros –

https://www.thetimes.co.uk/article/catalonia-independence-declaration-was-symbolic-says-carme-forcadell-2c3p7q29k

Après tout, elle est «parlementaire» et n'a pas été déclarée coupable de crimes à ce jour, bien que l'affaire contre elle et ses collègues présidents dans el Parlament, le gouvernement local, certains dirigeants d'ONG et l'ancien chef de la section locale la police continue.

Un juge d'instruction, Carmen Lamela, a proposé de cumuler toutes ces différentes affaires car les suspects travaillent en commun.

http://www.rtve.es/noticias/20171122/audiencia-nacinal-apoya-se-acumulen-sola-causa-supremo-todos-casos-rebelion-desafio-soberanista/1637588.shtml

Le cumul des affaires est une étape pratique dans la procédure judiciaire dans la plupart des juridictions européennes afin d'obtenir des gains d'efficacité pour entendre les mêmes arguments pour et contre les différentes parties et pour essayer d'assurer des décisions harmonieuses.

Un cauchemar juridique est quand le même ensemble de faits, mais avec différentes parties et les juges mènent à des décisions différentes et peut-être opposées.

Pour cette raison, la Cour suprême espagnole a décidé de compiler les cas contre les pro-indépendantistes :

traduction

« Le juge de la Cour suprême Pablo Llarena a décidé d'ouvrir l'enquête ouverte devant la Haute Cour pour le procès d'indépendance contre Carles Puigdemont, les 13 exconsellers du Govern et les dirigeants de l'ANC et de l'formnium pour d'éventuels crimes de rébellion, de sédition et de détournement de fonds. la souveraineté du processus, selon des sources juridiques. ...

Le juge Lamela, qui a enquêté sur l'affaire contre Puigdemont, l'ex-président Oriol Junqueras et le reste des exconsellers, d'une part sont emprisonnés et d'autres accompagnent l'ex-président à Bruxelles, at-il assuré, dans le rapport envoyé à la Cour suprême d'unifier les causes, que ceci "est la seule façon de comprendre l'ensemble du complot.

http://www.rtve.es/noticias/20171124/supremo-asume-causa-contra-govern-lideres-anc-omnium/1638309.shtml

Commission de Venise

La Commission de Venise - dont le nom complet est Commission européenne pour la démocratie par le droit - est une commission du Conseil de l'Europe à Strasbourg - à ne pas confondre avec l'Union européenne à Bruxelles.

Descendre de la Rambla à la Plaza de la Boqueria - le drapeau d'Aragon partout.

Le journal britannique l'Express prétend plus bas que ce sont les élites de l'Europe - responsables à Bruxelles et à Madrid - qui sont furieuses contre les Catalans pro-indépendantistes de vouloir quitter l'Espagne - et implicitement de la formulation utilisée pas d'autres Catalans ou autres Espagnols.

Traduction:

« Référendum sur la Catalogne GLISSE en ingérant le Conseil de l'Europe - 'ce n'est pas permis'

Le référendum sur l'indépendance de la CATALONIA a été prévu en ingérant les europhiles juste deux jours avant que les électeurs ne se rendent aux urnes.

Par Joey Millar

Publié: 16:09, jeu., 28 sept., 2017 | MISE À JOUR: 16:15, jeu. 28 sept. 2017

Le vote pour savoir si la Catalogne devrait quitter l'Espagne et devenir une nation indépendante a exaspéré les responsables à Madrid et à Strasbourg.

L'Espagne refuse de reconnaître la légitimité du vote, qui a lieu dimanche et l'Union européenne (UE) rejette également le référendum et se tient derrière l'Espagne.

Et dans une nouvelle tentative des europhiles pour freiner l'enthousiasme pour le vote, le Conseil de l'Europe (CdE) a maintenant émis son propre avertissement.

L'organisation fait la promotion des droits de l'homme, de la culture et du droit européens et de la démocratie à travers le continent et constitue un organe séparé de l'UE.

Mais il a reflété les sentiments exprimés par Bruxelles, qui a averti à plusieurs reprises que la Catalogne ne deviendrait pas un membre automatique du bloc dans une tentative à peine voilée de transformer le vote en un référendum sur l'adhésion à l'UE et l'indépendance.

Maintenant, le Conseil de l'Europe a émis une autre menace, avertissant les

La Commission de Venise a déclaré que le vote ne répond pas aux normes de la commission pour un référendum équitable, car il n'est pas reconnu par le gouvernement espagnol ou sa constitution.

Le secrétaire général de la Commission, Thomas Markert, a tenu à faire référence au référendum écossais de 2014, en le présentant comme un exemple d'un vote équitable, légalement approuvé, ayant obtenu le soutien du gouvernement britannique.

Les responsables catalans ont auparavant tourné la page sur les institutions européennes et ont appelé l'UE à les aider à convaincre l'Espagne de reconnaître le vote.

Le chef des affaires étrangères de la Catalogne, Raul Remova, a déclaré que les droits civiques étaient violés par la tentative de Madrid d'annuler le vote.

M. Remova a déclaré: "Nous appelons les institutions de l'UE à défendre leurs valeurs et leurs principes.

Les droits civils sont violés et la qualité de la démocratie en Espagne s'érode.

En n'appelant pas au dialogue sur la question, la Commission européenne a été perçue comme approuvant l'action répressive de Madrid, a-t-il ajouté, affirmant que les fonctionnaires du gouvernement, les maires et les journalistes étaient victimes de harcèlement.

La tension monte à mesure que le jour du vote approche avec des dizaines de milliers de personnes qui manifestent aujourd'hui dans les rues de Barcelone.

Et cette semaine, Madrid a déplacé des centaines de policiers et de fourgons de police dans la ville catalane en prévision de la violence ou des manifestations du jour du référendum. »

http://www.express.co.uk/news/world/859967/catalonia-referendum-independence-spain-eu-council-of-europe

La pièce ci-dessus est critique à l'égard des institutions européennes et de la Commission de Venise dans le cadre du Conseil de l'Europe. En conséquence, les institutions européennes ne devraient pas soutenir ce que l'Espagne a soutenu - la loi et l'ordre et la constitution espagnole - mais laisser les pro-indépendantistes faire leur chemin, quoi qu'il en soit.

Les lignes directrices sur un référendum approprié peuvent être trouvées sur le lien ci-dessous (traduction):

"Commission européenne pour la démocratie et le droit (Commission de Venise)

Code de bonne pratique pour les référendums " 19 mars 2007

http://www.venice.coe.int/webforms/documents/default.aspx?pdffile=cdl-ad(2007)008-f

La Commission de Venise a publiquement expliqué sa position.

Traduction:

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"La Commission de Venise approuverait un vote sur l'indépendance avec le consentement de Madrid

Le président catalan lui-même l'a dit clairement sur Instagram, quand il a écrit: Une belle réponse de la part de la Commission de Venise. Il endosse notre position et implique que nous devrions parvenir à un accord sur la tenue d'un référendum

Mireia Esteve Mis à jour le 06/06/2017 07:29

Il a fallu moins d'une semaine à la Commission de Venise pour répondre à la lettre du président catalan qui demandait sa «collaboration» pour organiser un référendum sur l'indépendance auquel Madrid pourrait consentir, à la suite de plusieurs blâmes des autorités espagnoles. Vendredi, l'organisme européen a répondu à la lettre de Puigdemont et à le rapport souligne que les autorités catalanes devraient parvenir à un accord avec Madrid conformément à la Constitution et à toute autre législation applicable afin d'organiser un tel vote. Le gouvernement catalan a pris l'idée en main et, encore une fois, c'est à Madrid de faire le prochain pas.

Le président catalan lui-même l'a dit clairement sur Instagram, quand il a écrit: Une belle réponse de la part de la Commission de Venise. Il approuve notre position et implique que nous devrions parvenir à un accord sur la tenue d'un référendum . En effet, la lettre de la Commission indique que la «coopération» demandée par le gouvernement catalan de cette institution européenne devrait également être «sanctionnée par les autorités espagnoles». Pour cette raison, le président de la Commission de Venise, Gianni Buquicchio, a également envoyé une copie du document au représentant permanent de l'Espagne auprès du Conseil de l'Europe, Luis Javier Gil Catalina.

C'est précisément le geste que le gouvernement catalan considère comme un signal pour que Madrid fasse des concessions et accepte d'organiser un référendum. Des sources gouvernementales ont déclaré à ce journal qu'une réponse aussi rapide suggérait qu'il y avait un vif intérêt pour le processus d'indépendance de la Catalogne et qu'un message direct avait été envoyé au gouvernement de Rajoy dans l'espoir que Madrid ferait un mouvement et accepterait vote.

Le PDECat de Catalogne voit la même chose et préconise une action unilatérale si Madrid refuse d'autoriser un référendum, comme l'a déclaré hier le coordinateur de l'organisation du parti, David Bonvehí. Cependant, une voie unilatérale ne serait pas approuvée par la Commission de Venise, comme l'a mis en garde Josep Maria Castellà - l'un de ses juristes - dans une interview accordée à Europa Press. On ne peut pas revendiquer une légitimité démocratique par rapport à la primauté du droit, a-t-il noté.

L'Espagne offre au parlement de Madrid, une fois de plus

L'interprétation de la lettre par le gouvernement espagnol était exactement l'inverse de celle de la Catalogne. Le ministre espagnol de la Santé, Dolors Montserrat, a fait remarquer que c'était la preuve de la fin du processus d'indépendance et, une fois de plus, a exhorté Carles Puigdemont à s'adresser au parlement espagnol au sujet du référendum. En fait, Fernando Martínez-Maillo, le coordinateur général du PP, a déclaré que Puigdemont serait «accueilli à bras ouverts», mais la position du gouvernement espagnol ne changerait pas.

Quelques jours avant que le gouvernement catalan annonce la date et la question du référendum, la Commission de Venise a déclaré que la seule condition pour qu'un vote d'indépendance soit valide est qu'il soit négocié avec Madrid. Néanmoins, le gouvernement espagnol continue de refuser de discuter du vote.

https://www.ara.cat/en/The-Venice-Commission-independence-Madrids_0_1809419121.html

La situation juridique en ce qui concerne le point de vue des institutions européennes sur le référendum en Catalogne 1 Octobre 2017 basé sur le droit international est donc qu'il était invalide parce que le gouvernement espagnol avait refusé d'accepter.

Les petits caractères sont bien sûr que le gouvernement espagnol fonde sa position sur la Constitution espagnole 1978.

Il peut y avoir des limites à ce qu'un gouvernement peut faire seul. L'un de ces problèmes serait la délimitation du territoire. Normalement, la délimitation du territoire doit être approuvée par le parlement et les électeurs.

Sinon, les politiciens corrompus ou généreux pourraient simplement donner des terres à des amis.

Dans la plupart des constitutions, il existe des procédures pour la délimitation du territoire. Que dit la constitution espagnole?

Constitution espagnole 1978:

Traduction :

"Section 2

La Constitution est fondée sur l'unité indissoluble de la nation espagnole, patrie commune et indivisible de tous les Espagnols; il reconnaît et garantit le droit à l'autonomie des nationalités et des régions qui le composent et la solidarité entre tous. "

http://www.congreso.es/portal/page/portal/Congreso/Congreso/Hist_Normas/Norm/const_espa_texto_ingles_0.pdf

Les médias internationaux sont d'accord avec cela - voir le Guardian 4 octobre 2017

Traduction :

"Que dit la constitution espagnole?

C'est assez clair: La constitution est basée sur l'unité indissoluble de la nation espagnole, la patrie commune et indivisible de tous les Espagnols; il reconnaît et garantit le droit à l'autonomie des nationalités et des régions qui le composent et la solidarité entre tous ».

https://www.theguardian.com/world/2017/oct/04/can-catalonia-declare-independence-from-spain

Les médias internationaux, cependant, ne discutent pas ce qui arriverait à un gouvernement espagnol qui a violé la constitution et accordé l'indépendance à la Catalogne - sans autres actions.

Traduction :

«  Alors, que se passe-t-il ensuite?

De même que Madrid ne reconnaîtra pas les résultats d'un référendum, tant les tribunaux que les tribunaux ont déclaré illégaux, de sorte qu'il ne reconnaîtra pas une déclaration d'indépendance. Le Premier ministre espagnol, Mariano Rajoy, a toujours la possibilité de relever le défi de l'indépendance en invoquant l'article 155 de la Constitution espagnole. L'article, qui n'a jamais été utilisé, permet au gouvernement espagnol d'intervenir et de prendre le contrôle d'une région autonome s'il «ne remplit pas les obligations qui lui sont imposées par la constitution ou d'autres lois, ou agit d'une manière sérieusement préjudiciable». à l'intérêt général de l'Espagne ". « 

https://www.theguardian.com/world/2017/oct/04/can-catalonia-declare-independence-from-spain

Certains médias internationaux - du moins le Guardian britannique - s'attendaient à ce que le gouvernement espagnol active l'article 155 de la constitution, exactement comme cela s'est produit.

Traduction :

«  Puigdemont a averti que le déclenchement de l'article 155 serait un autre dans ce qu'il a appelé une longue liste d'erreurs par le gouvernement espagnol. »

https://www.theguardian.com/world/2017/oct/04/can-catalonia-declare-independence-from-spain

La veille, il y avait eu des manifestations dans les rues, en particulier à Barcelone, contre la violence de la police espagnole espagnole et de la Guardia Civil, qui tentaient d'arrêter le référendum conformément à l'ordonnance de la Cour constitutionnelle.

Traduction :

«  Le procureur général de l'Espagne a insisté sur le fait que l'action de la police pour empêcher le référendum de dimanche n'affectait pas la vie normale des citoyens et critiquait le gouvernement catalan pour irresponsable convoquer des gens dans des rassemblements tumultueux ».

https://www.theguardian.com/world/2017/oct/03/catalonia-tensions-rise-as-strikes-held-over-police-violence-during-referendum

Le procureur général espagnol José Manuel Maza est décédé subitement de septis le 18 novembre 2017 lors d'une réunion à Buenos Aires en Argentine.

http://www.rtve.es/noticias/20171119/carlos-lesmes-maza-toco-vivir-situacion-especial-dificultad/1636720.shtml

Sa mort a été acclamée sur les réseaux sociaux par des pro-indépendantistes et ces tweets sont actuellement en cours d'investigation par un juge d'instruction.

Une personne a été signalée le 24 novembre 2017 sous enquête pour des twits qui ont également menacé les autorités.

http://www.rtve.es/noticias/20171124/detenido-barcelona-mofarse-muerte-maza-amenazar-delegado-del-gobierno-cataluna/1638264.shtml

L'Union européenne a soutenu le gouvernement espagnol de manière décisive.

Traduction :

"La violence ne peut jamais être un instrument politique, a déclaré lundi la Commission européenne dans un communiqué. Nous faisons confiance à la direction du Premier ministre Mariano Rajoy pour gérer ce processus difficile dans le plein respect de la constitution espagnole et des droits fondamentaux des citoyens qui y sont consacrés."

https://www.theguardian.com/world/2017/oct/04/can-catalonia-declare-independence-from-spain

Mais en même temps, la Commission européenne a exhorté le gouvernement espagnol à respecter les droits fondamentaux des citoyens.

Le sens le plus profond de ceci serait probablement que le gouvernement espagnol devrait faire tout son possible pour ne pas donner aux ^ pro-indépendantistes ^ aucune cause ou raison de se plaindre.

La Commission dit entre les lignes que le gouvernement espagnol devrait éviter de donner aux pro-indépendantistes tout ce qu'ils peuvent utiliser avec les médias, ce qui pourrait inciter les lecteurs à travers l'Europe.

C'est un défi - pensez à vous quand vous êtes sérieusement maltraité et que vous voulez devenir vraiment fou - comment pourriez-vous garder votre calme, penser intelligemment et déjouer les personnes qui pourraient être entraînées provocatrices et victimes professionnelles et avoir beaucoup de formation en médias - et un Beaucoup de contacts midia attendent les trucs juteux.

Façon de conflit

Le monde a été témoin du conflit politique dramatique dans la région du nord de l'Espagne, la Catalogne à la frontière vers la France se développent de manière significative ici en 2017.

Mais le conflit se prépare depuis longtemps - et avec la Constitution espagnole de 1978, les régions ont reçu des pouvoirs qui étaient garantis pour créer de futurs conflits sur le territoire.

L'appropriation culturelle d'une forteresse Vila Vella avec le drapeau choisi du Royaume d'Aragon. Tossa de Mar, construite par l'évêque Ramon Dezcatlar en 1387. C'était le royaume d'Aragon - pas la Catalogne.

L'article 2 de la Constitution espagnole de 1978, que nous répétons, dit ...

"La Constitution est fondée sur l'unité indissoluble de la nation espagnole, patrie commune et indivisible de tous les Espagnols; il reconnaît et garantit le droit à l'autonomie des nationalités et des régions qui le composent et la solidarité entre tous. "

http://www.congreso.es/portal/page/portal/Congreso/Congreso/Hist_Normas/Norm/const_espa_texto_ingles_0.pdf

Il ressort du texte que les pères fondateurs étaient déjà conscients des conflits potentiels et ont pris grand soin d'affirmer que l'État était une unité indissoluble, mais en même temps, cet article accorde le droit à l'autonomie gouvernementale des nationalités. Par quel mot les pères fondateurs s'accordent à dire qu'il y a plus pour un Espagnol que juste l'Espagne.

Si vous regardez un autre pays européen - le Danemark - il a le Groenland et les îles Féroé - mais ceux-ci sont reconnus dans la constitution danoise comme faisant partie d'un domaine commun et non comme des parties d'une unité indissoluble.

Evidemment, les pères fondateurs de la nouvelle Espagne démocratique ont ressenti le besoin impérieux d'assurer la défense du territoire contre les saisies de terres potentielles. Ils doivent donc avoir été très conscients du conflit politique potentiel.

Les pères fondateurs en 1978 ont créé un moyen de conflit pour ainsi dire.

Le conflit politique a culminé avec un référendum le 1er octobre avec la question de savoir si la Catalogne devait déclarer l'indépendance en tant qu'État souverain.

Le référendum a d'abord été suspendu et ensuite déclaré illégal par la Cour constitutionnelle espagnole, qui a également ordonné la Policia Nacional, la Guardia Civil - deux polices nationales espagnoles - et Mossos de Esquadre - la police locale de la région de Catalogne et dirigée par les autorités locales. gouvernement - pour empêcher le référendum illégal de se produire du tout.

Traduction :

«  7 SEPTEMBRE 2017 Michael Stothard La Cour constitutionnelle espagnole a suspendu jeudi soir une loi promulguée à peine 24 heures plus tôt par le parlement catalan qui avait ouvert la voie à un référendum sur la scission de la région avec l'Espagne. Les tribunaux ont décidé que la loi référendaire serait suspendue pendant que les juges considèrent que le vote porte atteinte à la constitution du pays. Les tribunaux ont déjà statué qu'un référendum était illégal. Les tribunaux sont susceptibles de statuer que la loi est inconstitutionnelle, laissant le gouvernement catalan - et tous ceux qui soutiennent le référendum - en défiance ouverte de la magistrature. « 

https://www.ft.com/content/a5d3143e-7230-356b-a347-bb8dec47ae75

Traduction :

«  Le tribunal de grande instance de l'Espagne a officiellement décidé mardi que le référendum controversé sur l'indépendance de la Catalogne était illégal parce qu'une loi régionale qui le soutenait était contre la constitution de l'Espagne.

La décision de la Cour constitutionnelle vient juste deux jours avant que le président catalan Carles Puigdemont déclare officiellement si la région va se séparer ou non ».

http://www.dailymail.co.uk/news/article-4988936/Spain-s-court-declares-Catalan-referendum-illegal.html

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La Cour constitutionnelle espagnole a ordonné à la police locale Mossos de Esquadre d'assister les deux forces policières nationales Policia Nacional et Guardia Civil pour empêcher le référendum, mais le président du gouvernement local Puigdemont a convoqué une réunion dans l'ordre public du conseil coopératif et a déclaré Mossos déciderait pour eux-mêmes quoi faire.

Puigdemont voulait clairement priver la Cour constitutionnelle espagnole de l'assistance de ses Mossos et contester l'ordre de la Cour constitutionnelle aux Mossos de participer à l'arrêt du référendum déclaré illégal en vertu de la constitution.

Le porte-parole du gouvernement local, Jordi Turell,