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Jouer: Jouer, #1
Jouer: Jouer, #1
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Ebook136 pages1 hour

Jouer: Jouer, #1

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About this ebook

Je suis un homme qui a deux côtés. Le premier côté est sarcastique, sournois, et l'assuré. Ce côté ne peut pas être ébranlé. Mais alors il y a mon côté sombre, le côté qui tue. La police sont désespérés de trouver 'Le Boucher' silencieux qui est de tuer des gens, à travers Hollywood. Le Boucher silencieux est le nom qu'ils ont donné à mon côté sombre, le côté qui tue pour le confort. Pourtant, ici, je suis moi-même de jouer sur une scène pour le monde entier. Ils n'ont jamais l'impression que l'homme jouant le tueur est en réalité le tueur qu'ils sont la chasse. L'ironie à son meilleur - Desmond.

LanguageFrançais
PublisherCandace Dowds
Release dateJan 17, 2019
ISBN9781386270522
Jouer: Jouer, #1
Author

Candace Dowds

Candace began writing after the passing of her son in 2009. It has been an emotional release for her. She is supported by her family and friends. Other than the time she is writing, she sits back for hours reading books by her favorite authors, Tijan Meyer, Rachel Vincent, Richelle Mead, Colleen Hoover, Claudia Gray and so many more. That or she will go for a calming drive while listening to Eminem, Slim Shady, Marshal Mathers or The Rap God, whichever you would like to call him. Her kids are just like her, sarcastic, but fun loving. The rules she lives by 1 Don't take life too seriously 2 Don't live up to others ridiculous expectations 3 Surround yourself with people who love you for you 4 If life becomes too much, have a stiff drink and start again tomorrow.

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    Jouer - Candace Dowds

    Dédicace

    Pour mes enfants qui sont des experts à me rend fou, je vous aime.

    À mes lecteurs, si ce n'était pas pour vous, je serais coincé derrière un bureau ou dans une cuisine travaillant au salaire minimum. Je vous remercie de m'aider à continuer à faire ce que j'aime. 

    Prologue 

    Jusqu'à ce que j'étais juste huit ans, j'ai vécu à Leeds, Angleterre. J'ai toujours été un bon enfant, mais je savais qu'être à l'écran a été ma passion.

    Jour après jour, je n'ai fait pratiquer mon métier du bâtiment alors que je me tenais devant le miroir. Finalement, mes parents ont pris la décision de nous déplacer à l'Amérique, à une ville appelée Altadena, Los Angeles. Ils ne pouvaient pas se permettre d'Hollywood, mais ils ont réussi à nous trouver un appartement de deux chambres dans ce lieu qui n'était pas trop à l'étroit. 

    Ils ont su que j'étais fixée pour la célébrité et que je ne voudrais pas arrêter jusqu'à ce que j'ai réalisé mon rêve. Mon père a trouvé un emploi à proximité, tandis que ma mère a passé ses journées à me conduisant soit à mes tuteurs ou à des auditions. Cependant, un soir, après que j'avais été le tournage d'une pub TV pour une nouvelle céréale, j'ai attendu avec mon chien pendant des heures, mais ils n'a jamais montré.

    Il s'est avéré qu'ils ont été tués par un chauffeur ivre en se dépêchant de le studio pour venir me chercher. 

    Parce que je n'avait pas de membres de la famille vivant en Amérique, et ceux qui ont vécu en Angleterre n'étaient pas disposés à prendre sur moi, j'ai été placé en famille d'accueil. 

    Le seul problème, c'est le fait que les deux mis en charge de mon bien-être étaient ceux qui m'ont mis en péril. 

    Jour après jour, ces deux putain de cul physiquement et émotionnellement abusé de moi au point où j'ai voulu les tuer. Finalement, le travailleur social et m'a donné une autre maison, mais il n'y a jamais eu un sursis. Il est devenu évident que la plupart des gens qui sont entrés dans le système de placement en tant que soignants seulement pour l'argent. Il n'a jamais été l'amour ou la compassion, et l'abus continu m'a laissé mort à l'intérieur. 

    Quand j'avais seize ans, j'ai haut et gauche de la cinquième famille d'accueil que j'avais été placé. J'ai vécu dans la rue et a réussi à obtenir quelques petits travaux, ici et là. Dès que j'avais réuni assez d' argent j'achète une voiture de merde, et c'est là que j'ai vécu tout en travaillant dans un supermarché et d'aller à des auditions. 

    Finalement, j'ai obtenu un rôle récurrent sur une TV sitcom et l'argent de qui était plus que suffisant pour moi de vivre. Je suis ensuite allé sur de faire des taches et des publicités, jusqu'à ce que je puisse se permettre de vivre à Beverly Hills. Qui avait toujours fait partie du rêve. 

    Même si je commençais à vivre la vie dans la voie rapide, j'avais toujours un côté sombre, l'un j'avais réussi à garder enfoui au plus profond de mon ventre. J'ai désespérément essayé de ne pas laisser que l'enculeur ramper jusqu'à la surface. J'avais tant de colère refoulée, mais je ne suis jamais revenu pour tuer ces fils de putes qui m'a torturé pendant toutes ces années parce que je savais que les autorités auraient mis deux et deux ensemble et ils étaient arrivés après moi. Je n'ai pas l'intention de passer ma vie dans un quatre par cinq pieds de cellule, derrière une série de barres qui pourraient m'empêcher de vivre mon rêve.

    Cependant, l'obscurité montaient à la surface un soir, quand j'étais au supermarché à la recherche d'une bouteille de Jim Beam. Bourbon est l'une chose qui avait gardé moi de tuer ceux qui avaient brûlé moi. Mais la minute que j'ai vu mère gifle son enfant dans l'allée d'alcool, l'arrêt moi-même n'était pas quelque chose que je ne pourrais me résoudre à faire plus.

    L'enfant était si petit, il ne devait pas avoir plus de quatre ans, et la salope n'a jamais cessé de crier après lui. Le gamin ne pouvait même pas regarder les étagères sans elle, le giflant ou réprimander et j'ai cassé. Cette chienne allait être mort par mes mains, ce soir, mais pas devant le garçon. Non, j'allais la suivre et s'assurer que l'enfant était en sécurité en premier. 

    Lorsqu'elle lui a fait dans sa voiture et a chassé du terrain de stationnement, je les ai suivis pour les dix minutes de trajet. Je me suis assis en silence à l'extérieur de la maison à deux étages, attente et d'ennui. 

    Les humains me fascinent ; ils semblent ne jamais remarquer ce qui se passe autour d'eux. Est-ce parce qu'ils veulent rester insensibles aux dangers qui guettent dans l'ombre, ou sont-ils juste ce stupide ? Je demande seulement parce que la femme que j'avais suivie sortit de sa porte portant un sac poubelle noir, et même comme elle est allée à déplacer le long de la côté sombre de sa maison, elle ne prit même pas la peine de regarder autour d'eux, pas même pour un instant, pour voir si elle pouvait reconnaître un prédateur. Je suppose que j'ai été reconnaissant parce qu'il a rendu mon travail encore plus facile. 

    Bien que je n'avais jamais prévu le passage à l'acte mes fantasmes, J'ai toujours gardé un poignard, gants, et un scalpel dans ma voiture, juste au cas où.

    Avec ces éléments et enveloppée dans la poche de mon pantalon cargo, je glisse hors de ma voiture, attention à ne pas faire du bruit lors de la fermeture de la porte. Puis, avec la furtivité, je course sur la route. Je cours sur la pelouse et le côté de la maison, où j'avais vu la femme à pied il y a un instant. 

    J'ai rattraper son tout comme elle met le sac dans le casier, glisser ma main gantée sur sa bouche. Je termine mon autre bras autour de son torse, gardant ses bras coincé pendant qu'elle essaie de me battre, mais je travaille à tous les jours et j'ai aussi au moins cinq pouces de hauteur sur elle. 

    En regardant autour, je trouve un recoin sous le porche arrière où nous ne pourrons pas être vu, mais d'abord j'ai besoin de fermer la bitch up. 

    Rapidement, j'ai la main dans ma poche et prenez la dague. Le tirant de sa couverture, je puis les faire glisser vers le haut et sous sa cage thoracique jusqu'à ce que la lame pénètre son coeur. 

    En quelques instants, elle a cessé de se battre et moi je prends sur son poids alors qu'elle s'affaisse dans mes bras. En faisant glisser son corps dans le nook, J'ai mis dehors en face de moi, de prendre un moment pour admirer mon travail pratique. Assez bientôt, mon cerveau clics et je me rends compte que plus je reste ici, plus il est probable que je vas te faire prendre.

    En tenant le scalpel de ma poche, je m'agenouille à côté du corps. Je retire le bouchon et commencer à couper de main de ses lèvres. Si elle n'avait pas de lèvres, elle ne pouvait pas parler ou crier. Oui, je savais qu'elle était presque mort, mais qui n'avait pas d'importance. Tout ce qui importait était qu'elle n'aurait jamais être en mesure de le faire à nouveau.

    Lorsque les compressions ont été faites, je brandis la sanglante des lèvres et sourire, un sentiment de satisfaction et d'endorphines se précipiter à travers mon corps. Puis je sortit de lui, tira le poignard de sa poitrine, et il hightailed hors de là.

    Pendant des semaines, j'ai attendu pour la police de se présenter à ma porte, prêt à m'arrêter, compte tenu du fait que je n'avait pas été bien préparé. Lorsqu'ils ne sont pas venus, la volonté de tuer a grandi.

    Désireux d'être mieux préparé, j'ai remonté un kill kit. Un sac qui se composait d'un noir, chemise de coton à manches longues, une paire de jeans noir, une paire de semelles en caoutchouc noir avec des formateurs que j'avais fondu il n'y avait pas moyen de retrouver la bande de roulement si je devais laisser une empreinte derrière à une scène. Il y avait aussi un poignard, un scalpel, noir colliers de serrage, et des gants en latex noir. Le parfait kit de tuer et j'ai gardé dans mon 2013 Silverado, la voiture que j'ai utilisé pour suivre mes proies. 

    Je n'ai jamais utiliser ma voiture de rêve, la voiture que j'avais acheté quand j'ai reçu mon premier chèque de paie d'un million de dollars pour un emploi. Mon 1967 Shelby Mustang, celui-là même utilisé dans Gone in SIXTY Seconds. Non, parce que tant de personnes ont les mêmes camions Chevrolet autour de Los Angeles il semblait se fondre dans, il était le parfait déguisement. 

    Après ma cinquième tuer, la police me marque le boucher silencieux parce que je coupe les lèvres de toutes mes victimes. Personnellement, je pensais que c'était un peu ringard, mais ce n' était pas comme si je pouvais les appeler et demander une nouvelle poignée, pourrais-je ? 

    Cependant, le kicker est arrivé il y a quelques mois, juste après mon trente-deuxième anniversaire. Un après-midi, mon agent, Leo Denaldi a montré à ma chambre, me disant qu'il avait le rôle d'une vie créé pour moi, l'un il savait que je ne serais pas en mesure de refuser. 

    Le prenant de la piscine, à l'ombre et loin des rayons du soleil, je lui ai remis un verre de bourbon et de coke. Le maigre, calvitie, petit homme, qui frappe fort quand il le faut, me dit, "Vous n'allez pas croire

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