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L'Appel
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L'Appel

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About this ebook

Il a été prédit que le futur roi et Une fois que retournerait en temps de grand besoin. Si cela avait le temps enfin venu?

LanguageFrançais
PublisherSophia Rice
Release dateFeb 24, 2019
ISBN9780463472293
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    Très mauvaise traduction.
    Dommage sa semblait intéressant ! Je vais continuer ma recherche

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L'Appel - Rupert Harkins

Un

J'avais somnolé sur la banquette arrière avec mon visage appuyé contre la vitre froide quand je sentais le changement de vitesse de la voiture, comme mon père a ralenti notre Chevrolet Trailblazer. Se réveiller, j'ai vu ce que mon père réagissait à, de façon inattendue un brouillard avait formé autour de notre voiture. Il était clair, mais blanc et il était trop épais pour voir en faisant clairement la conduite de nuit encore plus difficile.

Avec une légère secousse sur les pauses, il a changé la vitesse de notre voiture. Ma mère, mon père, et moi étions sur le chemin de notre maison à Stonington de Portland où nous avions terminé l'été avant la rentrée scolaire avec une friandise d'un dîner et film. De la banquette arrière, qui était caché dans l'ombre, j'ai remarqué le visage de ma mère. Son expression était chiffonné avec plus que préoccupation à ce sujet; elle avait peur. Je pouvais voir sa peur expression, ce qui m'a fait sentir mal à l'aise. Les muscles de l'avant-bras de mon père exorbités, comme il resserra son emprise sur le volant. Ce fut alors que je savais que quelque chose était vraiment mal et il était plus que juste une brume blanche se dégageant de l'eau de Penobscot Bay.

« Ma, » je l'ai dit entendre ma propre voix croassement comme je l'ai fait, « ce qui se passe avec la voiture? »

« Ne vous inquiétez pas, Sean. Votre père prendra soin de tout, de sorte que vous venez de rester calme », dit-elle d'une voix qui a à peine tenu sur le calme, ce qui était inhabituel pour elle. Elle était toujours calme et positif, comme mon père a toujours été patient et forte.

« Mais, Ma ... »

« Sean, soyez forts et calme en ce moment. Vous pouvez faire les deux. Il est en vous », dit-elle alors elle tourna la tête pour regarder dans les yeux.

J'ai vu dans les yeux de ma mère qu'elle avait peur, pas pour elle-même, mais pour moi. Il y avait quelque chose au sujet de cette brume qui lui faisait peur pour ma vie. Ce fut un regard que je l'avais vu à chaque fois que je me suis blessé dans un accident, à partir du moment je suis tombé d'un arbre dans la cour et a atterri sur mon dos et elle avait peur que j'avais cassé quelque chose d'important à l'époque je me suis cassé mon collier os jouer au football sans attaquer l'équipement avec les garçons qui étaient beaucoup plus âgés que moi. Toutes ses craintes étaient pour moi.

Je détournais la tête de ma mère et regardé par la fenêtre. On ne pouvait plus je vois les arbres de Deer Isle, Maine, seulement un brouillard épais qui sinistre maintenant complètement encerclé notre SUV. Cette brume étrange semblait venir de nulle part, mais il était partout autour de nous. Soudain, quelque chose cogné le côté droit de notre SUV avec assez de force pour laisser une brèche de bonne taille dans le côté. Ma mère tourna la tête à nouveau et me regarda: « Sean, scoot sur et assis derrière le siège de votre père et boucle serré. »

« Ma », lui répondis-je d'une voix faible qui cachait à peine les larmes de peur qui commençaient à brûler mes yeux.

« Sean, soyez forts. Il est en vous d'être forte et nous avons besoin que vous soyez maintenant, » elle m'a dit de nouveau.

Je ne dis pas un mot, mais je glissai sur derrière le siège de mon père conducteur et bien bouclé. Le SUV a été cogné dur à nouveau. Cette fois, les roues arrière violemment grinça, comme mon père a essayé de garder la voiture droite sur la chaussée sombre. Il y avait plus de brouillard devant nous. Le SUV a fait un écart difficile à éviter presque caréner hors de contrôle, mais mon père a pu redresser la voiture.

« Ma, » je me suis dit tout bas parce que j'avais peur.

« Je t'aime, Sean, » répondit-elle d'une voix douce, mais elle ne tourna pas la tête autour de ce temps pour me regarder.

Mon père a pris sa main droite sur le volant et dans sa poche droite pantalon. Prendre son téléphone cellulaire, sans regarder, il appuie sur un bouton de numérotation rapide et mettre le téléphone à son oreille: « Ils sont ici dans le Maine. Ils attaquent. Le temps est enfin venu. Maintenant, vous devez protéger mon fils! »

Ce fut tout ce qu'il dit. Il a raccroché le téléphone cellulaire puis il laissa tomber sur le plancher de la voiture ne se souciant pas ce qui est arrivé et il a mis sa main droite en arrière sur la tenue de roue bien.

« Sean, » voix claire, forte, calme de mon père prit la parole. « Peu importe ce qui vous arrive serez bien ce soir. Vous devez savoir que, fils. Vous serez bien. Est-ce que vous me comprenez, Sean? »

« Oui, papa, je vous comprends, » répondis-je avec hésitation, bien que je ne croyais pas vraiment ce que mon père a dit.

« Fils, tu as un destin importante. Rappelez-vous que, et je sais que je crois en votre destinée et en vous, » dit-il avec fierté tout à coup notre lourd SUV a été cogné plus dur que jamais et jeté hors de la vieille route de campagne vers les bois épais du côté de la route.

Je fermai les yeux, comme mon estomac et remuée nouées par la peur. Le destin, oui, je pensais, j'ai une destinée à faire partie d'un arbre. En regardant par la fenêtre, je voyais que le brouillard avait en quelque sorte formé une main géante qui avait attrapé notre SUV, il ramassé hors du sol, et maintenant jeté en l'air droit à un bosquet d'arbres. Le Trailblazer a dégringolé sans ressource dans l'air. Un moment j'étais assis debout dans mon siège, et la suivante j'étais tenu en place par la boucle de ma place, car le toit est devenu le sol, puis à nouveau. Le tumbling est finalement arrêté avec le grand bruit hurlant de crissement métallique et flambage des chocs, comme notre SUV a heurté un arbre de l'épinette, qu'il a ricoché puis hors de continuer jusqu'à ce qu'il craqué dans un arbre sapin Fraser.

À ma grande surprise la boucle de ma ceinture de sécurité se disloquer la boucle en métal éclatement ouvert, comme si quelqu'un avait déchiré ouvert, et le tissu épais, ce qui m'a maintenu en place a été déchiré. Il était presque comme si quelqu'un avait pris la ceinture de sécurité à part, puis la porte à côté de moi inopinément ouverte et je force propulsé au moins dix pieds de la voiture toujours en mouvement, qui a été soudainement jeté frapper à nouveau un sapin et le casser en deux avant être propulsé vers un autre arbre. Atterrissage maladroitement dans des buissons épais et avec suffisamment de force pour prendre tout l'air notre moi, je roulais dans le sens opposé de notre Trailblazer et mes parents pendant cinq pieds jusqu'à ce que je fus arrêté brusquement par le tronc large et épais d'un sapin . Allongé sur le sol rugueux, je ne savais pas si j'été blessé ou non,

En levant la tête sur le sol, je regardais le Trailblazer. J'ai vu le SUV déchiqueté et écrasé dans la distance enroulé autour d'un tronc d'arbre touffu, où il était enfin venu à un arrêt. Placer mes mains sur le terrain que j'ai essayé de me lever avec toutes mes forces, mais je ne réussi à obtenir mon torse partiellement levé sur le sol avant que je suis retombé sur lui. Mon corps me faisait mal et mal et je savais que je devais probablement des os brisés. Ne voulant pas être arrêté, bien que, j'ai essayé encore une fois de se lever pour se rendre à ma mère et mon père, mais je me suis arrêté comme je l'ai remarqué que le brouillard a cessé de bouger alors il a voyagé gracieusement à travers les bois vers le SUV. Je me suis arrêté et regardé comme le brouillard déplacé vers le SUV. Il était vivant, je pensais, le brouillard était vivant.

Le brouillard déplacé rapidement, comme si elle avait un but prédéterminé et l'intelligence. Il filait autour et à travers les arbres jusqu'à ce qu'il soit près du Trailblazer alors ses mouvements ont cessé, comme il a plané pendant un moment comme il examinait la scène de l'accident. Tout à coup, il enveloppa alors le SUV, il a soutenu chemin. J'ai regardé tout cela avec un mélange d'une grande incrédulité et la peur complète et totale. J'ai essayé de me convaincre que la brume était pas une chose vivante; il était un phénomène météorologique comme je l'avais appris à l'école et rien de plus que cela. Il avait pas d'intelligence réelle; au moins, il ne devrait pas avoir. Cela ne pouvait pas se produire.

Sans avertissement, le brouillard se retourna et commença à bouger, comme si elle venait de me repéré sur le terrain. Il venait vers moi: un nuage blanc, fantomatique venir me avec une grande rapidité et détermination. Ma vision a commencé à brouiller, comme l'obscurité a commencé à me dépasser. Je noircissant de blessures que j'avais peu importe, alors que ce brouillard était maintenant à venir directement à moi. Bien que je ne voulais pas le faire, je me couchais sur le terrain et a attendu cette brume étrange de venir me prendre. Tant pour avoir un destin, je pensais à moi-même.

Tout comme l'obscurité de l'inconscience allait me dépasser, une grande silhouette dans une longue robe à capuchon est apparu de nulle part entre moi et la brume. La robe à capuche noire était pas, plus sombre que la nuit même, et semblait permettre à quiconque qu'il portait à se fondre dans la nuit sans être vu. Ce chiffre a levé la main droite et la brume qui avait attaqué ma mère et mon père a cessé de bouger. Je ne savais pas comment cela est arrivé ou ce qui se passait vraiment, mais il semblait que le brouillard avait peur de ce chiffre à capuchon. J'ai essayé de se lever à nouveau, mais finalement je suis tombé dans les ténèbres de l'inconscience, qui avait été en attente pour moi.

Deux

Le cimetière de Stonington, Maine était comme tout autre cimetière, décoré avec des pierres tombales, des cryptes, la statuaire et des représentations et des symboles de plusieurs religions, y compris chrétiens, juifs, et même Wicca. L'herbe a été coupé propre et soigné et avait la rosée du matin et les arbres où changent lentement la couleur, les feuilles ont été préparent à prendre les nuances de l'automne. À bien des égards, il était un joli parc avec quelques pierres tombales, sauf que vous deviez porter les vêtements de deuil au lieu de vêtements de jeu.

Je me suis solennellement dans un nouveau costume noir avec un croustillant, nouvelle chemise blanche, que ma tante repassé pour moi, et portant une cravate noire. Je me tenais à regarder les jumeaux tombes vides, où les écrins de mes parents pesaient sur l'attente d'être abaissé et inhumé. Nous attendions pour commencer la cérémonie.

J'étais là-bas avec la sœur de ma mère, ma seule tante, et sa famille, qui comprenait son mari et ses quatre enfants. Depuis la nuit de l'accident, ils avaient pris soin de moi avec ma tante prendre toutes les dispositions importantes. Comme ma famille la plus proche de la vie, ils ont essayé de me fournir un réconfort, mais je ne suis pas encore prêt pour la consolation. Je voulais être triste et de pleurer. Debout entre les deux tombes vêtus de ses habits sacerdotaux avec chasuble, alb et rouge étole et la tenue d'une bible était notre curé de la paroisse. Aussi réunis pour les funérailles étaient près de deux douzaines d'autres personnes, des amis de mes parents, qui sont venus montrer leur respect pour le défunt. La seule personne qui était pas encore là était le frère de mon père, mon oncle Kieran McCoul, qui selon mes parents, de lire récemment la volonté était maintenant mon tuteur légal.

Il me semblait étrange que j'étais placé pour vivre avec un homme que je ne l'avais jamais rencontré. Mon père parlait rarement de sa maison et la famille dans les montagnes du Tennessee, pour dire qu'ils étaient des gens remarquables qui ont vécu une vie comme aucun autre. J'ai toujours pensé que mon père est resté loin d'eux parce qu'il n'a rien en commun avec eux, à l'exception d'un nom et un peu d'ADN. Pourtant, mon oncle a été fait mon tuteur et non ma tante. Je ne comprenais pas pourquoi et personne n'avait une assez bonne explication pour moi.

« Requiem aeternam dona ei, Domine, » le prêtre entonne en latin, comme il leva la main dans une bénédiction. « Et lux perpétua ei. Requiesscat en rythme. Amen."

Comme le prêtre a commencé à finir, je remarquai un grand homme avec les cheveux colorés en cuivre assez longue, un peu comme mes propres cheveux, ainsi que mon père, en marchant vers la tombe. Sa barbe était la même couleur que ses cheveux et il était vêtu d'un costume noir chiffonné, comme il avait été le porte pendant la conduite d'une longue distance supplémentaire. Comme il marchait plus vers moi, je savais que c'était mon oncle, un homme que je ne l'avais jamais rencontré auparavant, mais un homme qui je vais maintenant vivre avec. Même si je savais que c'était mon souhait des parents, il semblait cruellement injuste pour moi. Je suis né et a grandi dans le Maine et je voulais rester ici.

« Anima ejus, et animae omnium fidelium, par misericordiam Dei Requiescant en rythme. Amen « , le prêtre a terminé.

Le prêtre a ensuite remis son livre de prières à l'autel de garçon debout à côté de lui et se dirigea vers moi. Mes yeux brûlaient de larmes. Au lieu de me offrir des mots de condoléances que j'avais entendu trop souvent ces derniers temps et résonnaient sourdement dans ma tête et le cœur, le père Morse m'a simplement donné une forte étreinte puis il tapota doucement l'épaule. Je préfère cela à tous les mots plus que je ne voulais pas entendre. Le prêtre marchait lentement avec le garçon de l'autel docilement le suivre. Avec ce que tout le monde a commencé à diffuser loin de la tombe, semblant comme si elles étaient à un concert en plein air, qui avait maintenant pris fin et ils pourraient tous rentrer à la maison. Je pouvais entendre les conversations marmonnées et commentaires étouffés comme ils filtrés loin. Ma tante m'a donné un baiser sur ma joue.

« Je vois ton oncle a finalement fait ici, » dit-elle avec plus d'un peu d'amertume dans sa voix. « Eh bien, il aurait pu venir à temps, mais je suppose que, mieux vaut tard que jamais. Les petites bénédictions, je suppose « .

Même si elle a eu quatre enfants, le plus ancien étant mon âge, et son mari a été aux prises avec le secteur de la pêche au homard, elle était déçue quand quelqu'un d'autre a fait un tuteur légal pour moi. Elle était sûre qu'elle allait être fait mon tuteur. Je suis déçu qu'elle n'était pas. Ma tante Molly ne pouvait pas remplacer ma mère, mais elle me faisait penser à elle. Molly Carpenter et Moira McCoul ressemblaient sœurs. Tous deux avaient les cheveux colorés de miel, les yeux bleus de cristal, et les sourires qui vous a fait sentir aimés et en sécurité. La seule différence dans l'apparence entre les deux était que Molly ressemblait à un portrait de ma mère Moira, comme cela se fait par un peintre avec talent seulement adéquat. Moira, ma mère, avait plus propre, plus doux et plus agréable que les caractéristiques de sa sœur.

« Nous allons à la voiture maintenant. Je dois retourner à la maison pour vous assurer que les clients ont beaucoup à manger, des assiettes pour mettre la nourriture sur, et quelque chose à boire, donc je vais vous donner et Kieran temps avec l'autre, » elle embrassa à nouveau ma joue. « Montrez-lui le chemin de la maison, du miel. Tu es vraiment un garçon merveilleux, Sean « .

« D'accord, je vais, » Je lui ai répondu mal à l'aise avec son commentaire.

Je ne me sentais pas comme un garçon merveilleux, bien que je ne me sentais comme une chance, malheureusement. Je ne l'avais pas mentionné l'homme dans la robe à capuchon à tout le monde, en particulier la police, parce que je ne pensais pas qu'ils me croire, mais je savais en quelque sorte que l'homme était la raison pour laquelle j'étais encore en vie. Cet homme arrêté la brume étrange, que la police a insisté était rien de plus que certains couche marine épaisse et qui est tout. Je suis sûr de cela.

Molly Carpenter avec elle brassé la famille pour préparer le rassemblement après des funérailles chez elle. À proximité deux hommes costauds avec des expressions passives masquant leur visage attendaient d'abaisser les Casquets avec une donzelle électronique dans les tombes vides puis recouvertes de terre. Ils attendraient jusqu'à ce que je l'avais laissé avant de faire leur travail, à moins que je ou quelqu'un d'autre leur a donné la permission de commencer alors et là. Levant les yeux vers eux, je hoché la tête: « Vous pouvez commencer dès maintenant, si vous voulez. Vous ne devez pas attendre « .

Leurs visages passifs remplacés par des disparus graves avec un soupçon de grâce à leurs yeux. L'un d'eux se dirigea vers le cercueil avec ma mère et appuyé sur le bouton pour commencer le processus à son plus bas dans sa tombe. Avec un but inexorable le cercueil a lentement commencé à baisser. Les larmes ont commencé à brûler mes yeux une fois de plus. Je les essuyai avec le dos de ma main droite.

Mon oncle est venu en silence à côté de moi. Je tenais cinq pieds trois pouces de hauteur, mais je me sentais petite pour mon âge à cause de mon père, et maintenant mon oncle, grande taille. Kieran McCoul était plus grand que mon père d'au moins deux pouces à six pieds cinq pouces, mais il manquait solide, cadre musculaire et de la présence de mon père. Quand mon père Liam McCoul est entré dans une pièce, la pression d'air a changé presque comme s'il était une force de la nature. Il avait une présence sur lui qui a attiré l'attention. Kieran a fait le signe de la croix, comme le cercueil a touché le fond de la tombe.

« Tu es mon oncle, hein? » Je lui ai dit.

« Je suis, Arthur, » dit-il avec un laconisme qui semblait lui naturel.

« Je n'aime pas être appelé par le nom Arthur. Je préfère aller par Sean, » Je le corrigea.

« Vraiment, je vois. Arthur est un bon nom, mais il est à vous ce que vous voulez appeler, » répondit mon oncle puis il regarda tristement moi. « Eh bien, tu ressembles à ton père. »

« Euh hein, pour que les gens disent parfois, sauf qu'il était un homme vraiment grand, » était ma réponse à l'observation de mon oncle.

« Il était assez petite, aussi, jusqu'à ce qu'il ait une poussée de croissance autour de quatorze ans. Quel âge avez-vous?"

Treize.

« Je pense que vous allez faire la même chose que lui, » il a remarqué avec chaleur, comme il se rappela son frère comme un garçon.

« Je pensais que mon cousin Fintin ... »

« Fintain, » il m'a corrigé.

« Oui, bien sûr, Fintain. Je pensais qu'il allait venir avec vous, » je l'ai dit, ne sachant pas vraiment quoi dire à cet étranger j'en quelque sorte lié à.

« Ton cousin Fintain envoie son mieux pour vous, mais j'ai décidé de le laisser rester à l'école, mais je pense que leur professeur a l'intention de retarder les choses un peu pour vous. Je ne l'ai pas apporter parce que je pensais que nous avions besoin d'un certain temps pour arriver à connaître maintenant que vous allez vivre avec moi. Je sais que cela est difficile pour vous, mais il est pour le mieux, » dit-il avec un accent qui avait plus d'un soupçon de Southerness à elle. « Où est la famille de ta mère disparu? »

« Retour à la maison. Elle m'a dit de vous montrer le chemin pour la nourriture et une telle « .

« Je pensais que vous et je pourrais rester pendant quelques jours à la maison de vos parents ... puis, » il a laissé le reste de sa dérive de la phrase.

Alors quoi? J'ai pensé. Ensuite, nous retournons à votre place et je vis avec vous et je quitte ma maison, mes amis, mes parents, et toute ma vie.

« Je suppose que nous pouvons y aller maintenant, si vous voulez, » je l'ai suggéré.

« Je crois qu'il est temps pour nous de partir. Il n'y a aucune raison de rester ici et les regarder faire leur travail », répondit mon oncle puis il se dirigea vers son frère tombe, accroupi, et saisit une poignée de terre de la tombe avec sa main droite, puis il a mis la terre dans son poche de pantalon.

Je secouais ma tête un peu confus par l'action. Pourquoi prendre la saleté? Je voulais lui demander, mais une combinaison d'opiniâtreté et manque de familiarité avec l'homme m'a arrêté. Mon oncle se leva et me regarda.

J'ai demandé: « Où est votre voiture? ».

« Mon pick-up est stationnée là-bas, » répondit-il, en désignant un noir, 1992 à cabine allongée pick-up Ford.

Je soupiré, comme je l'ai rendu compte qu'un gouffre géant de différences sépare mon oncle et moi, je me dirigeais non seulement dans un nouvel état, mais je me dirigeais vers un pays étranger. En silence, nous sommes allés à la camionnette.

Nous avons passé trois jours dans la maison, en parlant à peine à l'autre, comme nous avons emballé la maison et treize ans la valeur de moi-même et les choses de mes parents. Kieran nécessaire pour préparer la maison à vendre car il n'a pas l'intention de déménager dans le Maine. Il était triste devoir décider que les choses à jeter, qui à donner, et qui à apporter avec moi. Pour moi, le silence était nouveau. Dans l'ensemble ma personnalité était habituellement bavard, comme je jase loin wth amis et mes parents tout ce qui était dans mon esprit du sport à ce que les jeux vidéo, je suis actuellement obsédé par. De longues périodes de silence étaient une chose naturelle pour mon oncle, mais, alors il ne savait pas que mon silence de mauvaise humeur était pas normal, mais un nouveau développement. Mon père, Liam, était un beau parleur, un homme qui aimait la conversation et la bonne compagnie, mais cela ne veut pas dire que son fils, je devais prendre après lui.

J'ai entendu une conversation entre Molly et Kieran où il a dit à ma tante qu'il vivait près un endroit appelé Watauga Lake, près de Elizabethton sur Roan Mountain, qui faisait partie des montagnes des Appalaches du Sud, ou quelque chose comme ça. J'ai aussi mentionné l'ai entendu les Smoky Mountains et la chaîne de montagnes Blue Ridge, ainsi que du Nord-Est du Tennessee et de la Caroline du Nord. Tout cela semblait si complètement étranger à moi, si étrange, si loin, que mon cerveau ne voulait pas accepter que ma vie allait changer irrévocablement et radicalement sans autorisation. Maine était ma maison. Il avait toujours été ma maison. De la beauté de Stonington, qui était un vieux port maritime sur la baie Penobscot, à Portland, qui a offert un avant-goût d'une vraie ville avec la chance de voir les Red Sox équipe double AA, les Portland Seadogs, et les voyages occasionnels vers le bas à Boston pour un vrai jeu Red Sox; J'aimais où je vivais. Je ne voulais pas vivre nulle part ailleurs, mais où je vivais.

Une fois que la maison a été redressé, nous avons rempli le lit du pick-up avec mes affaires que je voulais emmener avec moi. Mon PlayStation 3, jeux vidéo, 28 pouces TV à écran plat et un ordinateur portable sont essentiels, ainsi que des vêtements et des livres, mais je voulais aussi apporter ma collection de Sideshow Collectibles 12 pouces chiffres de Super-héros, qui comprenait Hellboy, Spiderman, Venom, Ironman son costume Mack II, Ironman dans son costume Mack III et The Punisher. Ils étaient tous des cadeaux spéciaux que mon père m'a acheté pour mes anniversaires. Mon père m'a dit que les superhéros imaginaires étaient des symboles, mais il y avait ceux qui étaient de vrais héros qui devaient rester dans l'ombre, comme ils protégeaient les gens. J'aimais croire que mon père ne me raconte une histoire. Peut-être l'homme de la robe était un super-héros, sortir de l'ombre?

Une fois que le truckbed était plein, mon oncle attaché une toile noire au hayon il tendu sur les choses et attaché l'autre extrémité vers le bas près de la cabine. Ma vie a été emballé à l'arrière d'une camionnette. Il m'a fait sentir comme si une partie de ma vie était finie.

« Heureusement que je suis un camion long lit pour tous vos trucs, » dit-il quand il a été fait.

Après nous avons dit nos adieux pleins de larmes, je me suis assis à côté de lui comme notre voyage à Tennessee a commencé. Je l'avais chargé mon blanc Darth Vader PSP et a apporté plusieurs jeux avec moi dans la cabine du camion. Mon sac à dos était avec moi, comme je l'ai gardé une offre de jeux un des romans de fantasy couple en elle. Alors que mon oncle a conduit, je jouais sans réfléchir Patapon. Il allait être un lecteur vingt-et-un heures de son domicile actuel à son un avenir selon mon oncle, et il m'a dit que nous allions arrêter que pour le carburant, les pauses de salle de bains, et la nourriture. Je n'ai pas discuté avec lui. Assis dans un pick-up ou assis dans une chambre de motel avec lui, tout semblait la même chose pour moi.

Une fois le long trajet en voiture a commencé à Kieran a mis une cassette, pas un DVD, mais une cassette, dans son lecteur intégré de cassette et a commencé à jouer de la musique. Je reconnus les instruments, tels que la mandoline, guitare acoustique, violon, banjo et basse, mais la musique Bluegrass, comme il l'appelait, était loin d'être un style de musique que j'avais jamais écouté. Une mince voix masculine acidulée a commencé à chanter.

J'ai demandé « Qu'est-ce? ».

« Del McCourt, » Kieran a répondu avec un soupçon de surprise dans son ton que je ne savais pas qui était Del McCourt.

« Jamais entendu parler de lui. »

« Vous ne l'écoutez pas Bluegrass? »

« Non, je ne l'écoute pas vraiment de la musique country, » Je monosyllabiclly répondu étonné que j'ai même dû écouter cette musique.

« Votre père n'a pas écouté du tout? » Il m'a demandé.

« Peut-être que quand il était seul, peut-être, mais quand il était avec Ma et moi, il nous permet de choisir la musique que nous écoutions, » je lui ai dit.

« Cette musique est basée un peu sur vos racines, Sean, » mon oncle a commencé à expliquer. « Irlandais, écossais, gallois, et même un peu de musique folk anglais mélangé avec le jazz et le blues et est devenu Bluegrass. Vous voyez, il y avait assez peu d'immigrants écossais-irlandais et gallois dans la Région des Appalaches dans les vieux jours. Les Écossais Irlandais sont arrivés tôt et les Gallois a suivi plus tard, lorsque l'exploitation des montagnes a commencé « .

« Je ne savais pas que, » était tout ce que je devais dire à ce sujet, ce qui ne me intéressait pas.

« Il y a plus que ceux qui ont du sang celtique, bien sûr. Vous avez ceux d'origine allemande, suisse, amérindienne, africaine, et un vrai mélange intéressant d'Afrique, d'Europe, et amérindien appelé Melungeons aussi. Certains d'entre eux semblent presque comme s'ils sont turcs. Ils sont un peuple fascinant, véritable spirituel, aussi. Les gens ne se rendent pas compte à quel point varié et intéressant notre partie du monde est, que toutes choses considérées, est une bonne chose je suppose. Je pense que vous aimerez où nous allons, si vous donnez une chance. Nous avons nos secrets, comme vous le découvrirez. secrets anciens ne visent pas à partager avec ceux qui ne font pas partie de notre clan. Mais vous êtes l'un d'entre nous, n'êtes-vous pas? »

J'ai eu le sentiment que ce fut le plus mon oncle avait parlé dans un temps très long. Je ne comprenais pas vraiment ce dont il parlait, ni ne je me soucie vraiment de comprendre. anciens secrets? Ouais, je parie qu'ils avaient des secrets anciens. L'un des secrets doit être comment faire Moonshine, ou attraper un poisson-chat, je pensais. J'ai décidé de ne rien dire et laisser mon silence à interpréter par mon oncle quand il voulait l'interpréter.

« Pas aussi beaucoup d'Américains autochtones autour de maintenant, mais il y a une tribu, et pas vraiment une tribu comme ils sont reconnus comme leur propre tribu qui est très intéressant: le Yuchi. Un grand nombre de Yuchi restants sont considérés comme des citoyens de Shawnee et Sauk et Fox. Mais ne soyez pas dupes, ils sont leur propre peuple et un peuple spirituel importants aussi. Ils sont un peuple avec quelques mythes intéressants, comme pourquoi l'arbre de cèdre rouge. Ce fut parce qu'ils ont tué un sorcier maléfique, qui attaque la tribu, en coupant la tête, mais sa tête ne meurt pas. L'inconnu, qui est un être mystérieux qui est descendu sur terre pour les aider à vaincre cet assistant, leur a dit d'attacher la tête à un arbre de cèdre. Ils l'ont fait et la tête est finalement mort et le sang de la tête tournée le rouge de cèdre. L'inconnu. Drôle si vous pensez, bien sûr,

Le mari de Molly était un homme tranquille, donc j'eu une certaine expérience avec les hommes tranquilles qui ont commencé à parler beaucoup. Tout ce que vous aviez à faire était Jim parler de la pêche de baseball ou du homard et il partions sur de longues tangentes, comme ma mère les appelait. Comme beaucoup d'hommes qui étaient calme par nature, quand Kieran a démarré parler de quelque chose, ses phrases sont devenues des labyrinthes de pensées et de l'information, que vous deviez suivre. Je l'ai laissé vagabonder et me faire semblant d'écouter.

Le camion passé à travers le feuillage de la Nouvelle-Angleterre, qui était rempli de feuilles de tailles différentes couleurs changeantes du vert à l'orange flamboyant, brun marbré et jaune vif. Massachusetts est vite devenu le Rhode Island, qui est vite devenu le Connecticut, et les derniers morceaux de la Nouvelle-Angleterre ont été bientôt disparu. Nous étions dans une ligne presque droite du Maine dans le Tennessee. Après le Connecticut est venu État de New York alors nous serons frapper la Pennsylvanie suivie par Virginie et finalement notre destination du Tennessee.

« Alors, autre que Sean, qu'est-ce que vous aimez être appelé? » Kieran me demanda-t-il atteint la frontière de New York.

« Juste Sean. C'est tout."

« Ton père ne t'a pas donné un surnom? Il vous aimait donner des surnoms comme un gamin « .

« Oui, il m'a donné un » répondis-je à contrecœur.

« Qu'y avait-il? » Demanda mon oncle avec un grand intérêt.

Je ne sais pas.

« Bien sûr, vous savez ce qu'il est. Il vous l'a donné. S'il vous plaît dites-moi. Mon frère m'a appelé Kay à la place de Kieran. Tout le monde qui me connaît encore me appelle bien Kay à ce jour à cause de lui. Je pense que vous allez me appeler Kay une fois que vous vous habituez à moi assez bien « .

"Ours. Il m'a appelé Ours, » Je lui ai dit doucement.

« Bien sûr, il l'a fait, » dit-il avec un sourire d'autosatisfaction. « Votre père était un traditionaliste profond, même si il faisait semblant de ne pas être. »

« Que voulez-vous dire par bien sûr qu'il a fait? » Je lui ai demandé.

« Arthur, eh bien, cela signifie ours en gallois. »

« Je ne savais pas que, » répondis-je.

« Vous ne l'avez pas beaucoup appris l'histoire celtique, vous avez? »

« Non, je n'ai pas. »

« Ils seront une chance pour apprendre plus tard, » Kieran a dit avec un sourire, puis est rentré dans son monde silencieux.

Avec rien à faire, mais écouter de la musique que je ne aime pas vraiment, jouer ma PSP, ou regarder l'horizon et le paysage assombrissement prises lentement sur les ombres qui tombent, je me suis penché la tête en arrière et fermé mes yeux. Entre le mouvement du camion et le sentiment rampant de déconnexion je me sentais, le sommeil semblait être une bonne idée pour moi.

Tennessee, au moins la partie de l'état que nous roulions à travers, a été dominé par la couleur verte et, bien sûr, les montagnes. Maine était vert, mais il y avait aussi l'océan, et les Smoky Mountains et le reste d'entre eux presque déshonoré les montagnes que nous avions vu dans le Maine. Ici, dans le Tennessee jusqu'à présent tout ce que je voyais était la nature, longues, longues étendues de nature ininterrompue, avec les points occasionnels de la civilisation dans les formes de maisons ou de petites villes. Mon oncle m'a dit que nous étions non loin d'un endroit appelé Elizabethton, Tennessee, ce qui signifiait qu'il était pas trop longtemps avant notre arrivée à la maison. Accueil, je pensais quand il a dit le mot, ce mot étrange à appliquer à tout lieu ici. Accueil était plus un endroit pour vivre était un endroit où vous appartenez. Je ne savais pas que je serais jamais place ici.

« Je dois arrêter Elizabethton un moment nous allons continuer à la maison », a déclaré Kieran.

« D'accord, » ai-je marmonné ma réponse.

Quand nous sommes entrés Elizabethton, Tennessee avec ses courts, des bâtiments et des maisons pittoresques, je suis sûr que maintenant j'étais venu sur le territoire étranger. Les gens avaient l'air comme des gens ordinaires, mais ils ne se habillaient pas, marcher, parler, ou semblent comme les gens que j'étais habitué à Stonington. Dans le Maine les vêtements étaient principalement de LL Bean, mais ici les

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