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Dens. ce Livre ost traité le probléme du Devenir et celui dumouvement (des monvements). Quelques citations sunt falies emvue de fa+ eiliter ‘Bon étide et compréhension. 41 répond aux questions auiventes : Est-ce que i‘uni-. vero a une origine oi fut eréé, ‘ou s'est-11 aéveloppé 7 Eat-ce qu'il « une intention ou finalité 7? Par exemple que les winéreux sernient faite pour les plentes, les vé- 3 géteux pour les animeux et ceux~c4 pour i'Homme, ou n'y a-t-il pas d'intontion du tout ? Liétermité exiete-t-elle 7 Ges questions et autant d'autres seront poséen et investiguées sens @tre énoncées dans le développement mé~ me du texte. Le probléme du Devenir est un des principaux probld- mes de 1'Intégration — et aussi ae 1'évolution — car ai 1a durée, le mouvement éroeif de le durée — le temps natu- rel — attaque les étres, pourquoi caux-ei persistent-ils dene leur existence 7, c'est-A-dire, pourquoi cette force atétre, ot leur cepacité d'Intégration interne peraletent~ 420 elles ? as ts amaximencre répond : "e'est par votre faute que yous persioten dens cette existence." Clestek~dive par le tis- Sage cultural et adeial qui ae déplace & vontre-courant Ge 1a durée ( ie temps et le tissege culturel, en somme ) e% du flux naturel et de sa fotelité (déterminisme), Bt ctest un tianage détermininte et déterminant — 16 evlture — qui d'une certaine fagon oblige. les étres — lui étant 1'Btre des Btres — & persister duns le! fuute coamigue én allant dans son existence contre le courant a6 16 destruc- tion de la nature. Car ce qui serait naturel, serait de suivre les lente changements imposés par le devenir de ia nature. Mais dens cos étres, la faite ext double : 1) L'ume contre la nature,proche et solidaire de 1"8tre to plus général. 2) Liautre contre 1'Stre culture) dans le rebelliod con~ ‘tre son empreinte ou déterminieme, eteat-a-aire contre lols et ses normes, Ceci arrive généralement quand 1’étre eulturel vicillit ou ctegne et entre/dans le champ de 1'é- rosion — pour ne pas aasimiler les qualit4s surgissentes de leurs éehanges avec la nature; quelités qui tout en Stent confuses ont de puissintes Guergiee —, de le durée naturelle, ou quand lea individne auivent atune facon ox- cessive leurs puisiong naturelles et commencent & étre dé- traits per cuxmfmes. Anaximandre dive : "comme les mers qui sé deastchent et in terre qni se fane, comme le monde qui est maintenant aétruit. par le feu et qui deviendre vapeur et fumée. On pergoit 464 1a moléaiction demibre de 1!8tre indi- viduel qui ne peut pas échapper au destin de la Liberté seciele qui ne peut pay échupper & la nécessité du pouvoir, Le devenir ent L'exereise de od 1iverts et 11 est condamné per lamature et le loi & l'exercer. Pourqunt ie liber= +6 %, cer pour @tre, dans le torrent Gea rormations ot des- tructions de le neture, i1 doit otintégrer en tant gu'étre, lutter contre les dispersions et ies aéchiremants construc tife et destructifs de ja aurée en s'efrorcant d'étre (ef- 42r fort que, & 1'intérieur de 1'@tre culturel, nous appelons effort et travail, spéciclisant ainsi un concept beaucoup plus veste, Bffort ou tension qui donne une certaine con- tinulté sux instants entrecoupés des efforts réalisés par les Stres naturcle poussés par lee instinots intermittente). Dans cet effort se trouve le faute et la condamnation que L'ordre neturel ~ ou le chaos ~ imposera & 1'étre stent donné que du premier instant ot il se réclise, la difté- Tence entre étre et nature, les masqes d'agressions, se concentreront dans cette nouvelle rome 4'orgenisation quiest 1a oulture (ou étre) qui, dene ce combat, devra a'effirmer davantage elle-méme. Setfirmer & lui-méme (1'étre), en cumulant, phagocy- tant les énexgicn coamiques, en aesurant, fixant le temps ~ clest-&-dire en ae attnant par rapport & se propre eue— cession en + passé, présent et avenir, & travers lea tradi- tione, mythes, etc —, s'autogénérent dene sa liberté contre lea déterminismen naturels, ctest-k-dive dans son intégra- tion” on guto-affirmation, Ceci en se servant des propres *HOTE : L'intdgration est le devenir puisquiclic eet cette capseité de DEVERIA — gono la tension des conflite —,de se modifier, edapter en dépassant, évulueul el se transfor nent en apbitude face & 1'obstacle. De cette fegom, 11 ne taut pas confondre l‘intégration avec la force gravique de 1'ETKK ~ etest-a-dire avec la force d'attraction (que nous considérona comme le Désir transformé en amour), lequel se détend quend i1 eat vaineu par lem forces du "nihil", de Js tendanee & ln destruction ou le Néant, Tondexce qui de- viendre aversion trensforméc oulturellement en keine. Alore, quend 1'Btre s'évenoult, segn slaves hes 68 ct couches ies plus profoudes — et connectées & 1'nominité, uon seulement & le culture ou & 1'étre mais a l'espéce Hominale — les puisions de l'intégration qui résoivent ou epprofondiasent et accélérent les contreadictians. A ce propos Héraclite est a)1é plus loin gu!Aneximen— dre car dans lea antagonismes do 1'Ztre et du Non-Btre 1o Devenir est lthermonie supréme et dans lee conflits et la guerre ; la justice oupréme. Le mouvement et le transformation sont i@ tot, des qualivés; 11 n'y @ que la discorde et le combat pere Ge tout; rien n'est permanent. La métamorphose et le deve- nir sont s@ propre loi, son propre mouvement comma it de- vient et quand i] esi Seul sa ini qni Je fixe. La pluratite sort 43 11UN et deae 1'UN we résout lo pluwalité. (suite de la note page azivante) déterminismes et @léments quelitatifs de la nature mais qui seront culturisés,trensmutés dens cette Intdégration, Apparaftra slors un nouveau trait ou élément interne avec des lois et normes.* nécessaires & la physionomie et phy~ Biologie de 1’étre, au déterminisme de sun auto-régulation Amterne avec la notion de contréle et de ccercition et aa transgression qui impliquera la Faute ou Délit et ie Puni- tion. Geed por rapport aux Strea individuele qui écheppent au torrent de la durée et des déterminiemes naturels et qui seront prisonmiers au courant relatif du temps et du tis= sage des normés culturelles ct socielea, outrement dit, do a durabilité ae Ta culture. De cette tagon, les secondee, les minutes, ies heu~ res, les jours, les amnées, les seisons, leo époques, ote, NOTE (suite de la page précédente) : Pour Héraciite, 1*in- Yégration est & peine énoncée sauf que sa tendance & 1nité empéchera son passage dela dialectique, 1'union des contraires & la Trielectique, of les contraires se synthéticent et en méme temps se nient dans une synthise terneire et érolutive qui aurgit de l'eseence deo eontre— dictions. De ces coutredictions se forment un troisitme inelus, une autre essence et entre en contradiction avec ges contraires en forme de devenir,évolution ou involution en somme, Se définissant dans ses contradictions et intersetions la trajeetoire d'une force qui ae meut par @lleaméme et qui, & son tour, comme totalisant relatif, comme et rétention vibrente, entre en contradiction avec le m lieu gal Denture, Contrediotion plus cosmique, Sisons notion de feute incorporée A la culture. L'Homme seit que pour epprivoiser la nature i1 commet une faute irréperable envers elle, c'est l'existence de i'Btre qulturel. Ceci par 1'altération de l'ordre cosmi+ ave et 1s rupture de son harmonic. Le ventre de la nature se dilate pour engendrer 1'Etre. _ _Cgtte notion et congeience de foute sont dyitées ou réprimées & l‘intérieur de le culture — evec le Mel et sa pratigue — ol 1*on réprime et/ou chftie la répétition & itintérieur de 1'Stre oulturel de ce que étre signitie & ltintérieur de la nature. C'est-a-dire, avancer contre le — La feute peut étre sociale mais non pas indivi- ual Te. Ainsi, so combet et se réprime ia faute & la Faute originaire, conseients de notre iniquité nous évitone sa reproduction en nows~m@nes, - & sexont 1*expréssion quantitative dee limites interposdes i. au torrent continu de le durée naturelle (avec une certaine parriére). Les concepts, les valeurs et les institutions seront des phases de contention et do etabilités ovlturelles , fece an flux naturel. F La valeur de notre propre existence en tant qu'étre surgit avent tout d'une éveluation de notre position, de now possidilités, aptitndes et puissances, et cette évalu~ ation devient valéur quend elle se stabilise cane le con~ cept. Duns ce fluide devenir ces facultés se mettent en tension, #0 développent ot verient en provaquant dea chan- gements - plus ou moins selon la puissance articulatrice et efficiente de 1'@lre ou de 1s culture dont nous feisons partic - minimee dans le flux et les ondes au milieu natu rel ch nous sommes immergés, changeent nous-mémes bien que atune Tegon plus lente. Cette tension exige effort, discipline, concentration, attention, exige dé plier & soi-méme. vibrations, désirs, angoisses, mélancolies, etc. Tout en reconnaissent, méme profondément ces lémentotions funérairce, coemiques qui résonent dens Jes aphires qui nous imposent 1a souffrance et la douleur, méme insi donc, 11 y # eréetion puisqu!4l . y & transformation. Car, comme dit Anexegore i “bien que ee monde partira en fumée et en vapeur", ce monde d!ina- tebilité se reconstruira & nouveeu. Kt si per moment "le wort nows Livére et nous expiuns pour elle" (détruit) ce n'est que le régioment ou grerifice néceassire en vue de le RENAISSANCE DES BIRES. Ceci signifie que la Révolution et le chengement — révolution survenue par la déeintégra- tion oulturelie, corruption, vieillissement des anciennes valeurs et normes ~ qui désarticule et déchire le tissu culturel et ses veleurs est ausei — i] 1's été avent — une ré-évaluation, revalorisation ot transformation de le culture, autrement dit, une autre BIHIQUE — et evant une autre philosopnie — qui réunit les parties dispersées de 1'Etre dans un autre Etre (il y @ dono deveniz), dons Ta eontinni#é, diseontinuité intermittente gu t. 424 une autre phase évolutive. Alora le déterminiame est ac~ cepté dans le DEVOIK et dépaseé dens 1¢ POUVOIR qui est la LIBERTE : du groupe d'ebord et ensuite par 1'sccumila- tion historique st Ltévolution eulturelie et sociale qui peut se diffuser aux Gtres, méme ei ceux-c1 apparaissent apres que le groupe se solt affinué, Dien que ce soit poo wible que ce soit les étres pertant de 1'Homme on des indi~ vidus hominaux qui forment des noeuds et cheines philoso~ phiquee Qui ont formé 1'étre, et celul-cl s*agrendiseant Luisii@me en qualités et posoibilités a absorbé lee Stres neturels, léa ontologiaant, lea faisant., pay la culture, @evenir des étres qui ajouteront leur ¢nergie & la chefne culturelle collective, Cer toute nouvelle éthique se recher- go aes énergies galactiques, stalimente de 1"énergie des é~ toiles, méme si ce n'est qu'a travers les hommes qui 1'in- troduigent, étant des forces de le notre. Dans oes moments de ruptures st de déchirements 1'In- tégration perait se détendre et se disperser evec les par~ ties exocentrées de 1'Bire ~ cu de le culture -, Maio ce nfest pas ainsi, c'eot précisément 16 contraire qui ee produit. 1! TNFRGRAPION est cette puissance efficiente qui stimule d*ume fagon imperceptipie les aptitudes et les yuissances génératrices de 1'Btre (1a oulture) qui repo~ wont secréterent dens les valeurs et concepts primordieux de la culturé— a trevers le connaissance ~. Tis se met~ tent en tengion avec une sereine tension — par le comnais— ponce aveo dtautent plus de vigneur que }a structure générale de la culture (1'Btre) e'effonare avec plus de rapidité, Quand sette orige ou étepe critique a shonti, lea Hommes intégrés, gréce A 1'Intégration, ré~évaluent et reformulent le tissage interne des valeurs existentes (et le fagon dont ilo ve conncstent seordtament eux individue) et 4isloquent leur hiérarchie, en les redisposant selon et & partir d’un nouveau symbole dens lequel se projetic, dtume faygonu diffuse mais décieive, le devenir, @teat pourquoi dens i'Intégration ae combinent ¢oH- n, Justice, Loi, Hér nie, Liberté, etc. 425 fusément 1a Purelité-et 1'Unité, lo cohérence et la flexi- bilité, "union ou trielectidue, affirmation et négetion dons le synthtee évoluti Triglectique dans laquelle, én méme temps que le-synthice oo fome, elle se désintégre, Dans l'Intégration ae résument diatinctement 1a com préhenaion et la tranpfommetion qui deviendront par la gui- te théorie ot pratique + ociime meus ‘avons vu plus haut ~ sans étre compldtement ni itine ni itantre, L'wome Inté= greteur s'intégre & soi-méme dane ia subversion et ltalié= ration incossantss qui de produisent dens sa psyent, son tre, ses coutumes, etd, dana I'netion et 1!appréhonoion Sur et dans lu matitre et énergie naturelle et culturella Cette réunion entre Ia compréhension et 1'xction ~ la théorie et le pratique du langage ecmmin — de 1'in- tégration contient, dens ‘ga simultanéité, des moments de priorité de l'une pluo que de l'autre, mais 1‘effort doit Stre - selon le nature mame de catte réelité philosophique — ie plus eimultand: possible méme s*il n'est pas proportion~ nel. En dfeutren termes; el1¢ peut per exemple s‘appuyer plus sur le.théorie que sur le pretique, tout on agiasant sur le terrain avec un minimim d'action et vice-versa. LIntégerevion eet plurielle ei unitaire, rluide et cohérente en méime temps ot eed cnt 44 au foit que dene son champ d‘incertitude relative - ol l'on fes¢ en fedsent et en’ se fuisant ~, dans le conneitre, apparaft-la diversité ot surgit oomme unc cascade d'éve~ nements qui dens un tourbillon, introduisent 1e chaos ou tentent de le fefre dans ‘organisation, mais qui devien- dront - dtume fagon sélective — deo élémente potentiele Ge croissance par les forces qu'ils emmnent du eonmos neturel. Dens ve sens L'Intégretion est la capacité 1’ aptitu- de A 1 "adaptation et & 1'évolution; test pourquoi elle nest pas uniteire — un seul printipe -, ni avaliste — deux principes ~ nails ternsire et organique, Ke2s cette orgeni- sation ternaine mta pas find de se former que déji la lutte et le conflit l'agitent et la détrmisent 426 A ce aujet voyons ce que nous ait HERACLIQE 1 "Ou régne 1"injustice apparaissent 1'arbitreire, le désurdre, le dérégiement, 1a contradiction, mais of le 1o1 et le Diké fille de Zeus rbgnent soules, comme dans oo monde. comment serait-ce le domaine de le faute, de 1'ex~ piation, de 1a condemnation, et un lieu ae supplice pour tous les vivants 2" “Héraclite a tiré de cette intuition deux négations solidéires itue de l'autre, que 1s compareigon avec les précoptes de son prédecesocur met en pleine lumiére. Il & dtabord nié la dualité des deux mandes totelement diffe rents qu'sneximandre "était vu obligé d'admettre; i1 ne @istingue plus un monde physique et un monde métaphysique, un domaine des qualitéa détinies et un domaine de 1!in- ddtermination indérinisseple. Apres ce premier pas, il n'a pu oo retenir d'une hardiesse plus grande encore dans la négation, 11 2 nid 1'Rtre Ini=m@me." (que nous consi= aérons comme le culture ou organisation culturelle), "Gar le monde unique qu‘il a conservé, ce monde aé~ fendu par Jes Iois éternelles et non éerites, animé du lux et reflux @'un rythme d'eirain, ne montre rien de permenent, rien d‘indestructible, aucune digue dans som flot.™ Heraclite 1'a.dit plus haut qu'énaximandre 1 "Je ne vois rien que le devenir, Ne vous laissez point abuser : C'est votre courte vue et non 1'oasence des choses qui cot cance que vous croyez apercevoir quelque terre ferme dans 1a mer du deventr et du périssable, Yous donnes des noms aux cno- es, comme si elles avaient unc durée, mais le fleuve nié- me ok vous descendez pour la seconde fois n'est plus le m@ne qu*auparevant, "* Plus loin Héraclite dira 1 “foute chose réqume en soi tous les contraires." Nous ansalyserons cette affirmation plus tard, voyons meintenant le femps et 1'espace. "Le don royal d'Héraclite, o'ost en faoulté oubli- me dé représentation intuitive. ** Je la philowophie greeque . F.RTETZSOHE . * 8 ss} “Muis le représentation intuitive renferme deux principes aitzérente + le premier de ces principes eat le monde pré~ sent, coloré et changeant, qui vient & la rencontre de nos expériences, je veux dire le temps & l'espace. Car ei le tompe et 1’espece existent sens contenu dérini, ils peuvent 8tre pergus én dehore de toute expérience, de fugon purement intuitive, Sa conception du temps est aussi celle de Schopenhauer, pour qui chacun des instants du temps ntexidtée qué dans 1a memire of {1 « Aétruit 1!ins- tant précéaent...pour lui le passé e+ l'avenir sont eussi veing quiun xéye, le présent n*étant que la limite, sens étendue ni-consiatenes, qui les sépare." Pour 1uiy L’espace est la méme chose "et cet ean pace eb toutes les eutres choses gul existent & le fois en Ini et dana le temps ntont qu'une oxistenee relative, niexistent que pour un étre qui leur soit semblable, done qui nteit pas pla# de permanence gu'eux," Nous; nous affimione que : Hono oommes dene une zone — espace=temps — similaire mais 1'observateur est plus en Teireit par rapport au phénoméne. Voyons 9a conclusion : "C'est la une vérité d'une é- Vddence: tovt & fait inmédiate ef accessible & tous ‘et, Pour cette raison, @ifficile & atteindre par la yoie des coneepts et de la raison," Voici maintenant notre point de vue & ce sujet, Notre philosophic est quele mouvement sans fin et en tout sens permet. un) minimum do stabslité ou permanence, en mutation, ce qui faitique le temps et iteapace et le texture généra- le de la matitre sont possibles et existants, produits per des moments de rétention plus ou moins eatensife & 1 ori gine de 1'énergia ‘et de la matibro, Ge calme ou la stebilité du tourbillon face & ce “2luer" du mouvement en tout sens crée dew cones de rete- nue qui accument per instente — durée par rapport & eco formations —, en eréant des pré-vibretions et peut-@tre né- FEL proloneéa. 426 ne dee proto-structures. Le flux et le mouvement détruisent cee wones de retenue ou de calme et détruisent en partie l'aceumulation organique ou organisctive, maio dens des cou- ches spirosphériques superposées se sont formés certaina ecquie, d"une certeine consistance et indestructivilité, néenmoins modifisbles superfisiclloment par dco mutations, Voici lee centres d'Intégration et d'organisation de l'énergie et de 1s metibre ensuite, Créateurs ae structures ils se combinent d'une fagon incertaine ct hasardeuse ¢- tant donné que celles~ci sont acquises et leurs combinai- sous fail du hasard, méme chimérique, ae le superposition @e phases évolutives différentes ct parfoia distinotes ot sontraires dans l'évolution. des combinaisons issues de moueuls cetastrophiques, explosions gelectigues ou pré- gAlactiques, pré-matériell La constitution et fonction de ces centres organiaa- teurs, daus le mature, ont comme paralléle les centres d'intégratiow dans le culture, Coux-oi ré-uniszont, 26- Parent, @ifférencient et poussent & la hiérarchie et & i ‘organisation, Disons eneore que ltexiatenoe éphémbre et fluide éu temps et de l'eapace eat suffisante pour former 1a matibre. Quant & sa genéwe nous en avons déja parlé & propos du con- sept-symbele de xétention palpitante of le flucr on tour dillon, lé mouvement, entre en contradiction avec soi-méme par lx formution de gones de treinage, ces zones ae°frei- nage ou eutromont ait de rétontion ee contredinent — mime ies tourbilions du mouvement se contredisent plus ou moins entre eux —~ avec le mouvement incessant, origine de deux forees contreires internes, l'une au tourbillon, 1’eutre Gu mouvement fluide plus stable ou semi-organisé. *HOPR + Par rapport 2 ses centres que je Aéfinie comme une Superposition de couches organicatives' on forme de opiro- sphére, je parle de apiroaphive pour souligner que mene ai ie mouvement apparatt retenu, frein€é en eux, en réalisé 12 con tinue mais transmté, treneformé, avec une plus grande puis- sence pour se diriger @ n‘imporie quel cote et transformer fon milieu, Diautre pert se crgent des tissages ou chemps simi- leires et extensifs, dénivelés dens la succession tempo-— » relle, qui se connectent entre eux - & l'extérieur ~, Néemuving le flux persiste et lq déserticuletion de ces ombryons de metidre — énergie, espace et tomps — enssi_ + Voilé pourquei nous ies appelons des rétentions pal pileltes, car ie se reticanent mais Continuent & vitver simltendment (en avengant méme en retreit par rapport & 1a continuation du flux). Ces chemps ou zones, i] suf- fit qu'i2s alent existé un seul insteat et dispareissent immédietement dens le flux sang fin, pour quiiis sient dens cet instant 6leboré un ecquis ou eccumulation d'un autre type, en essence — synthtse du mouvement et iner= tie et le mouvement continuel 4mené de soi-méme. Ges acquis sont les germes de 1'Intégretion. Cee centres proto-orgenisationuels gui vout relentir le finir et le mouvement général par zones (voila lteepace), d'une certeine durée (voila le temps), reterant la vibration (voila 1'énergie) et l*ecquis orgenisatif « l'orgenisetion, eect aver lee tourbillona et aaa contradictions, répeteront ie formation de champs et zones d'énergie, d'espace et temps, seulement evec pluo de etabilité cette fois, et aveo des posaihilités atinfluence entre cea cones qui sont. toujours } en conflit et lutte; par le diffusion de ce méme phénoms~ ne & travers le fluir et les tourbillons méwe en sun sein ou & travers le mouvement lui-méme ee diffusercnt les réten— tions (se dilatant, se feisent avec cele l'espace et le temps). Les germes de i'espace eb du temps, eux~mtmes plus ou moins diffusds ot etebles, et on transformation continue (per lé pression du mouvement) ,peuvent ralentir le mouve= ment, non pas 1*arréter dans ses zoues ow centres de tension. Ainai, le fluir (mouvement) indistinct et on tout sons dans ses propres remous, tourbillons, provoque les zones de Felentissement qui deviennent espece-temps, énergie; influ> ence, limite, orgentaation, réguiarité, ‘répétitian approxine enonce relative qué nous eppelong énergic-ratiere en eet pe! quijavec(dene sce complexités),devient vie) @f eal atten conflit sueneraif svec 18 mouvement qui continue et change toute le neture, en somme. i 430 Le contradiction entre mouvement et énergie va géné~ rer le mutitre, énergie yoi est une rétention ou relentie— soment paralldle h une intégration majeure du mouvement, qui se précise.s'auto-accélérant en se dirigeant mieux par les volew formes par i€nergie et ensuite le matibre, - mime l'espece oot un systime de relations, fone de mou~ vement organisé d'une certaine Zagon —, Le movement’ continue & 1'iniérieur de ue processus plus ou méine retenu ot orgenisé, et & l'extémieur en antivité Gatis fous les seus et sana fin, eltéré quand méme per, ces centies a'fntégration = plutét sones plus ou mvine vagues Glineortitude —_ Mouvement, énergie et matiére qui dens leur interee- tion ont généré Ia vie. Lo ‘motivetion? on tout sens en se choquant avee aes propres trajectoires diverses se contredit, en créant Blnsi des toustilious ou soues de tourbillens, Cee sones relentissont le mouvement général en evéant des champs vibretoites ¢a ef 1a de fecon hasardeuse. Le mouvement et le fluxoriginaise continuent néan~ moins ot vont éroder cos contres ou points de mouvement, retenu qui per leur retenue et demi-stabilisation tendent & devenir énergie, e+ temps, en se sucuédant. Finelement liagression du grend flux-mouvement’ par- vient A°déttuire ces centres de rétention. Meis subsiste un résidu tutégrateur Les germes du temps (succeasion) ot espace (zones) sont en plece. Alnsi, ya et 1k ves champs vout se recomstituer, in- certains d’intégration, on synthéses évolutives entre le mouvement ‘ef Ie retention qui gréce & l'acquis antérieur serot Plus slebles cay iis suront 1*expérlence de le proto-crgenisetion antérioure. Leo chemps de ces centres seront lergement relatifs el incerlélms, de flexivlew limites pour le turbulence des mouvements originaires qui continuent dtung fegon in~ définie & éroder leurs preduelles échelles de contra- 431 dictions — ol chaque marche ext une phase de le succession ou de 1a durée? une @re ~ contribuant muses sux conflite qui vewtoent le passé catastropnique yers le présent gé- nératour, #inai se eréent les germes de i'énergie, 1a structure ella matitre, le neture gorme aans ses prototypes. Pare- doxe"a motivenent, de mowvomento, dens leure contredic~ tions, ils eréent peu & peu leur cantreire, Ja statioité. Ces noués avec leurs acquis se Téitérent instantanément apriz lour destruction; elles aiffusent ensuite peu & peu leurs Acquis suivent les mémes ondes du mouvement, atabili- sail progressivment 1'organisation; 1'univere eurgit alors lentement du mouvanent, : Wéme si cect ressemble & une généralisetion de le parulysle du mouvement, é€tent donné que lee retenues se généraliverit, vela n'est pas ainsi s+ pour deux culsons : I) Le mouvement organisé provnque dv monvemont & 1tin- térclvur a@me des rétentions. 2) Bn stintégrant — le mouvement — dans une sone, d"intégration, les motivementa parasites sont élimings ot vette centralisation provoque encore plus de mouvement 2 meig avee unt orientation et uns capaciié de s'autodiri- * keri La preuve est telle que plus tard, le Pensée obi est mouvement pur burgire meies evec des structures heutement Intéeréee @t avée une certaine capacité de sen 1 leo oym~ voles, mouvements capadles de s'orienter et de se diriger oux-méneo s Voici le grande différence entre le mouvement oigi- uuire et I"Iutelligence : le premier va dens tous les sena, sens wn eeno précis, le dewxitme posstde la capscité de Stautodiriger, intégré dtnne facon ineertsins per lea oym— voles’, Le phase of le mouvement se xrelieut, se divise, n'est plus mouvement nlais tension entre le fluer ot la rétention + des tourbiiions. Tension 1 Latégration ov aynthtee ¢volulive. Porces con~ “lei apparaigssent les possibiiités - ommes du de~ venix, uralres qui nous empéchent de penser ltunité du mouvement, Geet ost un défaut de ia Yogique qui dans sa formalisstion atructurelle parelyse la pensée de la méme fegon que le langage paralyse 1d trésomission ov le communication en veulent trep le préciaor, Le pena¢e qui est mouvement — Inteliigence plus eym- vole ~ sbructurée d'une feygon incertaine par les symbcles ue peut aéfinir la pensée que per des approximations ~ des chempa c"incertitude plug ou moins orientés Définir le wowvenent — lew mouvements — par le biais de 1"imité ov Potelité, ctost le paralyser, capter une vhotomrarnie fossile de ses ondes et vibrations, Rous Jevoue le comprendre ct 1’appréheadex, pour pow voir le canelicox, avec précaution car sea vibrations pé~ nvtrent au plus profend de nos fibres sensibles, aimiques st Inteilectives. NOUS sommes du mouvement mais surtout de le mobilits, Nous ne devons pes ignorer que cheque @tre ou fait crSé est a¢j% composé d'une gentse ; le prévipitaiion dens Liupure au temps. Parler de genése ot origine est une posture intellec- tuelle, mets 41 n'y # pas d'origine, chaque origine engen- une sutve omigine, Le mouvement va ot vient & travers origines infinies. > Les mioro-perticules et lew atomes en tunt que briques ybilea de 1'édifice de la nature sont le réeultet de co: rétoutions et de le stabilisation du mouvement. Ces micro- particules peuvent avoutir ou @tre consiaérées comme les nonades de Pythagere qui, additionnées et groupées, don~ nent lieu & 1'étre Unique de Parménide. Ce qui pourrait nous conduire vers 1'unité ou monade du mouvement, c‘est-a-dire, &@ penser que cleat 1a cewle force originaire. Ceci eat pro~ fondément erroné car J'unité est une formelisation, un en cedrement — soit naturel ou culturel ~ ey Le mouvement eane erigine nla peo de geno ni ae forme, i] est informe lisable car il n'est pas quelque chose, ni gon mouvement mique, Youte expression d'énergie, de tempa ou de matiare 2 une forme et ceci peut porter & cnoisir entre une tendence unitaire ou plurielle, Entre deux rétentione — +t nous i, trouvons ici les prote-formes ou structures — i] n'y a pas G'unité meis des intégrations qui se font, refont dens le fluer sane fin, eang continuité ni différence, rien n'est encore formié. i Par rapport & le formation de 1a culture 11 existe unc sceumalation de l'expérience — répétitive et réflexive — gui permet et détermine en outre la culture dont le nérea- sité est le temps ~ référentie! d'un avant, uprés et mein- tenant -, fruit d'une certeine articulation structurelle qui se forme et se détend avec le mouvement. Mors, dens le uouvement conjoint, disproportionné au percepteur et au per- gu — sujet-cbjet — on dfalocetion minimale, espace-texpe- Yel (o'est-a-dire avec un certain degré de retard per rappo> au percepteur et en rapport A ce qui est pergu), le temps et l'espres pergue et du percepteur, allent de pair, fluent ensemble dans le grand flux de l‘existence : devenir chesun & son rythme. Vodl& pourquoi j'ai formulé la théoric deo influc: ou un evpace et un temps - en tent que des agrégations p calres, momentanées et done relatives — dies au mouvement qud pousse et érosionne d'une fagon sous-jacente (aéphasege), mais zones d'une certaine organisatien pouvant se mainte~ mir en so1 en devenent einai énergie, matiere, espace, tempo dtun eutre type (superposed & ses prédécesseurs qui se dis— loquent) et subsiater dans cea espaces-tempa qui ae défont. Ainsi, l'eccumulation est possiple et un grein organique | - Intégration — qui ce forme dene son sein, étant donné @utune grande partie de cette accumulation part en poussi®- re du fait de le persistance du mouvement et de 1'érosion; acoumulation et expéricnoe par rapport & octte érooion, il , suffit d'observer le flux tempore] qui imprime et efface dans 1a mémoire ce qui n'est qu'une intuition ~ et plus ‘tard reisonnée — par une influence de ce gui a Stf ct coi 434 persiste (méme vaguement, parfois) a travers ce qui est devenir, = Ainsi, oi le temps ontériour est aétrait par 1'instent qui arrive (cone l'effirment Schopenhouer et avant lui Héreclite) cette deatruation est partielle; c'est uné es pece de phagocytation qui perpétue pertiellement, au moing en partie, 1'instant préseat dane ton acquis intégrateur, un aequia culture), éthique. Ctest pour cela que tout en étant coupares et ruptures 41 y @ tissage plus ou moins hasardenxset pas toujours cohérent,et unc certaine con- tinuité, Comtinnité qui deviant tissage culture] - ces noyaux, leo valeurs, par exemple ~, Cette eccumulation se véelise par couches de grandéur e+ importance veriables ainsi, une pierre eat moins dtendue — c'ést-k-dire un es- pece "pierreum” — que L’espace qui le contient ( que ce soit etmosphérique ou coemigque). ESPACE BP MOUVEMENT Tl nous paratt difficile de penser l'espace en mouve= ment, meis c'est eingi, L'espace en tant que masse de sep~ portd qui se ailete ou st contrscte selon les foress et mouvements qui agissent sur lui, par exemple le grevité, la répuision, etc. Bnergie, temps et espace appareisseht presque simultanément du méme mouvement en tout sens aint en tonrbillonnant se trensforme et se divise en forces contraires, 1'ume de Irein et l'sulre d*avence — per 1'in~ version ou apparition dom sone ou orientations +, les deur engendrent Ia troigitme : énergie, metitre d*abord et vie ensuite qui continuent en forme de processus plus ou moins partialings & 1‘intérieur du grand flux et mouvement qui continue de perturher, érosionner, plus ou moins, tout ce qui est forms. Dens ces proceesus oc foment les systtmes do contre~ Aictions d'équilibres que nous appelons matiére et énergie et ensuite, 1a vie, le neture en some, Howe pouvone observer o¢ mouvement sans fin plus ou moina stabilisé dans les diverses micro-particules, ondes, vibrations, quarks, électrons, cellules, eto. L'eapece, comme 1a condensstion ou la parelysie preaque totale du mouvement, le temps en tent que 1e succession du mouvenent intercepté per 18 lenteur antérieurs devena einsi espace, structurc—temporalité, retiennent sens errfter le mouvement dont lea synthéses successives donneront lieu @ la matiére et ensuite & le vie. Beeucoup plus tard dene les contradictions de ces block ‘Du syetéme des relations. 3 gene limite-tnergic, mextitre, vie, epparaitra un étre qui vo ticsera un systime de aéterminiames similaire et pareal~ Lele & le nature : 1a culture, pour pouvoir étre et gend= rer wiiisl 1°HOMMB. Pour que ceci soit, ca led aupeme sere elle de 1Intégration, avec ses pivots et attribute. ” @) La transformation — l'etiort sur sol ev le wilicu soviel — et itinter-échange de leure fruits. ») Le valorisation = évolution éthique, esthétique — dens lequelle Ila nature est trensmutée en culture ¢t con- auites e} Liorgsniadtion de 1a domination en pouvoir et devoir (la politique), la stabilisation et 1a cohésion du groupe duns des suciétés plus ou moins comploxes (sociclogie), (commandoment et ohéinmance)- &) Le savoir et @ ume autre échelle 1e connulsnunce (avec le compréhension, le communication, 1'apprentissage + imitation, exemple, ete; Im technique; le sevoir-faire: la seiences; eto). ¢) Bratuation de la néceosité pour évaluer le puigsen~ ce ou réponse & cellent — nécessité — ou freiner ou orge- niser celle-lé (1a puissance) én Sorme de mythe métephysi~ que, xeligion, eymbolisme, philosophic, en exigeant des - trea naturats — las individus neturels — l'adhésion on as~ sentiment au groupe, exigeant de celui-ci de générer 1'éner~ gie (& travers deo éthiqued of des valoure ot des mythos) efficiente et euffizente pour mainteniz le corps culturel social en activité et vivant. Ce mythe, eénéralement, polarised quelques fapuités ou sentiments hominaur en se remplissant d'une multitude de perfections, ou représente une attitude odservée deus une espice animale ; astuce, suse, force, rapidité, sgilité, ete. Ainai, ce mythe posstde Ta puissance d'émouvoir et de lipérer les assentiments, vocations et efforts, le libre jeu qui forme dans sa vague diffuse 1e société, 1a cul- ture. ‘ 2 11 y @ trois grandes classes de mythes : I) nebureliste; 2) pelythéiste ou plureliete; 3) moniste ou monothéiste. 497 1) Naturaliste:a)"cnosisme” : vénération des vertud megi~ ques, de certaines choses ov phénomanaa + pierre, mnonte- gos, tonnerre. b) Totémiame : constructions ge figures qui Peprésentent des forces de le aature et des ancétres pulssents adorse ot craints per le groupe. co) Animisme : toutes les choses possédent une ame ou un esprit qui les anime (tout ceci est tres simplifié). 2) Plureliste ou polythéiste + plusieurs forces ov divi- nités luttent dans 1'Olympe, dens les Océens, l'enfer ou L"Hedés. ve conflit gémtre parfois une relative hermonie. 3) Monothéieme ou mondeme + une divinité ou Btre unique bh lequelle on attribue beaucoup de perfections + ommipuis~ pence, éternité et inmulebilité — reste & savoir at cook est une perfection —, bonté, ete. Tans cette mythologie ou religion 11 n'est pas pos ble de donner plus d'attributs ou symbole unique, chaque chengement implique la nsissence d'une nouvelle religion. Exemple + le christienisme avec le judeisme, et le protes~ tentiome per repport eu cutholicisme, etc. Cette Intégretion, comme nous l'avons déj& vu aupers~ vent, est une synth2ee évolutive, car dans ie neture 1¢ mouvement continue et s'exprime sous d'eutrea formes on taut que durée éropive, formative — deng son intérieur elle continue dans ses formations e¢ déformations ; Dans Ja culture cect implique un passé vécu e+ formatif eoounu— 1é, néworisé dans les cowtumes, nommes, ote, um futur ou projet dteristence (qui peut étre un mythe ~ ou ore ~ pour se perpétuer), un cedre ¢ilique et moral et un pré— sent mobile et fugitif qui est 1'Btre culturel devenant’ dane sa trajectoire plus ou moins changeant. Cette succession du temps est quantifiée dena un-mo- ment et qualifiée dene sa substance drosive, constructive. ta durée eens direction - vague dene le passé, le pré= sent et le vague Tutur — nous insinue le mouvement prété- 438 a rit, sous-Jacent et sane fin, L'HOMME Intéere einai, en s‘intégrant lui-méne, C'est~A-dire i] mute is nature on culture, e¢ dens te tis- cage trenemute le culturel en Hominal en. traversent parfois par oe qui est le plus neturel de la culture, Ceci quand 1'état générel dea valeurs dominentes se corrompt ou ee Aédagrége uu quand i1 transmute culture et nature en Homme en ae faissnt on tant qu'esptce. Tl Zeut nover gue le premier étet de lentification du mouvement sera 1'énergic qui conserve encore en ‘grande Pertie les caractéres du mouvement, Activité, dyneniane, et euged une certeine stabilité dens l'énergie potentielle (rétention, contention), ce Qui est pur exemple le carac- tere propre de le matiare, INVERSION PROGRESSIVE ENTRE LA RETENTION BUSPERSIVE DA MOUVEMENT TP SA PIUS GRANDE CONCENTRATION DE - POTENTISL DENEXGIE DO A L)SWEEGRATION, Nous devons observer que le monvement, dens son flux. se stabilise, se transforme en espace, en énergie et temps, Enawite cette sétention Iéiese un réoidu d'acoumuletion, rénidu qui; sous “l'effet de 1'érosion, devient un reste ~ adlectionns per som eptitude & résister aux onoes et & s’associer avec ses semblables - et oc ‘constituera en un ow pliatenra centres d'Intégration qui réorganiseront™? l'espace-temps (les divers espace-temps ainsi superposés dens les hasards invreisemblables). Ces procersna, dans les uones de matérialisation, en se généralisent progreseivement, apparaitront comme un frein de plus en plus grend face & 1a progression du mou- vement dans son flux sana forme ni organisation. Ceci s'exprimera dans la tendence dite ce Tetroidisse-" ment et de aésordxe de 1'énergie qui eet le premitre phase dane lequel le mouvement se cantredit avec Tul-mime et com— z mence & se remettre et a générer ainsi 1'organisation. (Notons bien L’eptitude plastique de 1'énereie & ltorge- niastion, we infinité dfondes, de vibrations, de etruetue 0 res, de forces, etc). Melis, par une espéce d'inversion, cette énergie qui se refroddit développe précisément cette aptitude ou capacité a'intégration, ee qui implique pour nous une inversion de la chaleur sensible vere 1"intelli- gible (le ralentissement plus ou moins globel de sa neture implique mouvement culture); transformation de cette acm tivité ca@lorique - qui n'est pas le seule de cette énergie — Gepuio l'extérieur vers l’intérieur de ces processus eapri- mén on eroisnance ongenisative. +tyoTe ; Le premier étet de rétention au mouvement st t uergle qul comerve edcore une grande partie des cam ractbres du mouvement primordial + activité, aynemisne et eussi une certeine stebilité dens 1'énergie potentielle (rétention, etc) var exemple. qui ex! un carectére pro- 4 pre b Ta matibre. 7 “Invégretion. 440 4 a Notons par exemple comment ies enzymes peuvent provoquer de complexes precespue physico-chiniques pour lesquels sera nécessaire dea milliers de degrés et de tréa hantes pressions atmosphériques. Comment le travail — i‘effort organisé par 1'Intelligence - change l'ordre du coamos @ travers la technique. ete x Ceci s*explique spécialement par une intérierigation dans lee centres d'Intégration d'un nombre indéfini de qualités potentielles, proto-existantes dang le mouvex ‘| ment d'une forme vague dispersée at sens puissance,* en ‘ devenant énergie on tent que gormes ou putsoances pré-ox~ geniques de le matitre. Dens le degré de condensation ou de stabilité ‘plus matériel ils apparsitront comme paralyaée e+ perdant @ergie et vigueur, maie réunis néanmoins par 11Tatégra~ tion, 1e mucération et mutetion des imfanies phases de pré-Gnergiv, Snergie, pré-matibre, ete, vont eoquériz ou devenir 1'Intégration qui est cette capanité d'adopter, sudifivs, tronsformer et méme concentrer dans wm point la plus grande connexion de centres @organisetion et de rela- tions possibles, centres de vie, mouvement et mo@ulations exucentiés. Ainsi, par exemple, dene l'entropie de 1‘énergie, se perte d'ordre cache d'une facon reterdée, ocnuite at rétro~ active, le production simultanée a'une centropie, me éner- gie de besucoup plus de qualités petenticlles, de 1a iméme fegon que dens le metiére avec le ohénom’ne de 1a vie.*? Ainei, jusqu'd 1'apparitien et fommation’ae cette Snergie de acuvement pur et oimple, avec peu de temps et d'espace (mais qui ne peut pas e'exprimer sansa aur) quieat ie Peusée, mouvement orienté mais sans put, sens finalité ; “NOME : Etent donné que le mouvement par le frein des réten- ‘tions ye germer dans ces vibrations, ondes ot pré—qualités, clest-A-dire qutil y « rétroaetion de le rétention du mou- vement. **RORE : Notons bien 1a quantité de qualités contenues dens un orgmisme et le potentiel de mouvement ie © implique par rapport & une masse minérale ou matérie perfois énorme. énergie-force Intégrée par excellence.’ Ceed eoncentré dans un espece et un temps qui ne requiert paw de grandes extensions ni les magnitudes des galaxies. Tout en e¢ con nectant avec elles (de larges connexiona), ce qui tui sert comme moyen d'action et de développemeiit. Je citerai comno oxemple la Ponsde de "Homme eur le terre et son organisation: la volonté, Ce phénomine gui existerait deny dteutres geluxies et pluubtes mts ob ces phases 90 produivatont avec des cemactimes poonrer, physi~ ques, biologiques ef poychologiaues. | La matérialisavion de le Peus tion est plus lindiée dens lfospece ot le tompy. ‘kinet, poarente et progversive paralysic dumonvontht, eu fond, vst qu'une matetion & L'éehelle whivertelle Gu méwe; des raplis sur sei dong ges zones pat ses contretictions, gs nérateure, per phases progressives! ie 1'énergie et de Lor- garisation de le matitve ef de la vie. Des pleses alevigues ou dg recu? dfes & la comtinuatien du mowvoment ov flux primordial en concentrant leurs puissences. en s'Intégrent, eu sume. Il Glimine wlusl, par des zones vibretoires, son parceitigme en se tranammtant en Intégration, organivation est le votunté; Tae et -aaos ensemble. Mais & le limite de ces centres et dans leur propre sein — car ils palpitent — a'Intégration, le mouvement et le flux: continuent,einei que leur umure.et c'est einsi que suivent les tres;toub se transforme. Les Hommes on g!intégrant oux-néwes concentront on oux Liénergie des étoites. Mais ceci est le résuitat d'une lon- ‘Le durée sens direction (vague dans le pessé, 1e présent et le vague futur) nous insinue 1¢ mouvement prétéri: Sous-fecent ¢t ean fin, a gue initietion, @'um long conflit et d'une lutte avec coi-mémo ot avoo low forces qui précisément lea connec tent avec le monde.extérieur — le monde ou les mondes — et qui, exocentrées ou décentrées, servent de canalise~ tiom pour le vider de lui-méme vers l'extériour : ce sont Lee semences de 1a Discorde. Le premier degré de rétention, de melérielivation, de Logegisetion — "Goewinité" — eat l'énergie, ctost-a- dire ia capacité de la faire devenir potentielle ou ao- tive. Immédiatement (je dirai méme simultunément mois d'une fagon @isproportionnée) apparaitra le succession + avant, od@intenent et aprds, ou le Temps — ou mienx dit 1a durée — et le lieu de celle energie ou l'espece dens Son processus de formation, Culmine alors le processus de la désagrégution sous-jecente — dile & la continuité du mouvement —, qui vient & prédominer et tend & défeire ce qui e 6té frit, 443 ‘DEUX GRANDS PROBLEMES I°/ Mutation dena les rétentione = rétention palpitente, 2°/ Le somme des eoquis des rétentions successives gonbre les @lres. 1°/ Mittetion dans les stevilisatious et rétentionc du mpuvement. Schéme A) BR) Quand ce processus est,ses centres évolutife stagnent et le déclin commence, Deux eituetiona apparaissent alors + a) Le rel&ehement des centres de contréle, ce qui permet l'expression de forces réprimées ou contenucsy b) 1a powasbilité pour 1e maturité extréne et une certaine culmination des éléments plus intimes au processus de chen~ gements qualitetife pour l'owverture & 1'influence d!gutres presesouo externes avec dtavtrea qualités. Ceci peut provo~ quer 1 mutation. 11 faut noter que dems les procesous culturels ot #o~ cisux intervient on plue un noyen de oréeteurs qui incer- nent une autre éthique ou symbole diiférent et méme antu~ gonique de celui ou ceux qui s'¢puisent, Ceux-ed forgent orgenicitéa qui measifient cette succeseivement diver Sthique. 51 ces conditions de breneuutetion n'interviennent pas c'est 1inexoreble aécadence et destruction ou steabi~ ination végétative. foasile au processus, expece ou Stree desqueis 11 s'agit, Ti fowt remerquex que toute mutation implique une rup- ture et libération @!énergies qui est sentie dens 1'étre culturel et social comme une violence (potentielle ou ec- tive) ot une révolution, Déserticulation de certains cen~ tres de relations et rupture de leurs cliveges structurels, HOWE: y ‘HATURE OULTURE (ou, prédominence naturelie) TURE A cunmRR " * QULTURALISMB ou y etdontnanes culturelle dana eee ee Tee a Svolutive ou la prédominence est alternée perce que len confiits le font elternte, 5 Schéma ¢ Phase antérioure ~ rétention, Fhase intermédiaire = accumulation, mais comme Thisure et le mouvement continuent, il reste Ltacquia qui forme 1 Intégration, Phace powtémioure = Intégration qui génére 1'organicité ou L'organisation. Le mouvement, dans s@ dirrérenciation primordieie, ge scinde eusI/ fyrces contreizres + wnité, a@iversité, po- eitif, négetif, attraction, répulsion, ete: 2/ Forces dittérenciées.1 coneretes (densen) et éthérées. Mouvement-sluticité (ce qui eot 1a otabilité). Ces foresa, m&me si slles sont relativement combinées, se définissent comme des trajectoires airrérentes et indifféventes entre elles. 3/ Porces 4'Intégration : haimonie reletive, syntheses évo- lutives, ot apres s'étre seindéa lew cunbreires se mettent en tension, passant méme par des phases d'antagoniamea se ré- solvent en synthases qui & leur tour se divisent et se con- tredisent. Mais dang leurs synthtses se forment deo étate el degrés évulutigs ou involutife, dea mondes on des univers. Le différenctation dans les énetaies, la matibre et 1s vie ne elétebliesent pas avec des biérarchice comme le pen- sent quelques philosophes et 1a théologic! Lo metidre et les énergies se différenciant créent chacune des formes d'orgenisation et espece-tempe qui leur sont propres, Les relations entre coe véalités énergético- matérielles, spatic-temporelies, peuvent se reletionuer ou rester indifférentess quand elles se contéctent elles en- trent générelement en conflit et contradiction. Si leura re- lations se muitiplient (augmentent) et se resserrent, ensui~ te elles peuvent former aes réslitée plus complexes, ét mé- me sv hiérerchiser, Oe qui n'implique pas que In complexité de leurs relations signifie de fegon déterminante niérar- chies! Energie supérieure au mouvement vu matitre eupéri- eure & 1’énergie, ow vie oupérioure & le metibre (minéral, végétel, enimal) par exemple. Il n'y a pas une telle niére- de 1'énergie et de la vie atoxpligque paree que toutes cee j corporisations sont transitoires et eoumises au devenir du mouvement, leurs relations et stabilités se foment, se aéfainent,,, Chaque chose, suivant un tempe qui Ini est propre, stellonge ow se raccoureit par les chocs et les rencontres de coe réalités entre elles, Ainei les montagnes apparom- ment plus fixes sont sougiises & un mouvement propre dont le vibration et durée ce aéfiniesent aens un processus ror matif; et dans oe contexte (exception faite dea Svénemente cetastrophiaues qui accélérent leur destruction) se définit leur durée et texture,” De cette muniere, dire énergic, matidre, vie, o'eet 6ta- blir des générelientions entre phénoménes simileires dont 1: tissus se recoupent et s‘entrem@lenl, se relutionnent, mais eeei nom suivant une hiérarchie,qui peut cependant aussi se donner contingentement et locelement, Bn plue de cee relalious biéverchisées locales existent des relations de conflit, temporelles, de structure ou ei- milerité, d'orgenicité, d'Intégration. de densité. homogé- néité, ete. RETEN®ION PALPTTANTE =) INTEGRATION =)SYNTHESES de mouvement As et stabilité, *En plus des forces érogives aes éléments : climat, eau,... ORIGINES PSYCHOLOGIQUES DANS LA CULGURE. La lension érotive - du désir— et téroce de 1a vie va activer l'astuce, feeulté sans charge ou neutre, duo- tile et impondéreable qui, pour se maintenir, tissera te Pecte cultusel et social qui, devenu Bthigue, norme de vie — coutumea et référencen — formers la culture. Bile méme, l’astuce. se transformera Hominalement en Tntelli- gence. mouvement Energie Matiére Vie Culture (espace et temps) Chaque phase se contredit fondamentalement avec 1’an- téxieure pour créer ta pustérieure, Mais dans les phases innombrables qui la préeédent elles agissent atune manitre secondaire et méme parfois fondamentele mais en tant qu'a~ taviemes, rétrogradatious, rétro-actions Minsi, la vie sungit de la contradiction entre matitre et €nergie mais le mouvement gana fin continue A agir mb~ ne en tant qu’érosiom temporelle pour contracter ou dila~ ter Vteapace et 1¢ tempp de la matidre en feieant surgir ie Lieu, la zone, etc. Voil& pourquoi 1x cinguiime phase* de le metitve est le mouvement sane rin. mouvement qui ext le trait commun & toutes lee phoses formatives de te nature, Lévolution s¢ Comme de le continuation du mouvement et des diverse phases originéer qui préacntent une réeia- tance rétentive — c'est vourguoi méme aujourd'hui les &tres persistent dens leur @tre en retenant pius ot moins organi~ quement, et de cect aépend con aptitude & la survie et & Atexisterice — étent en contradiction aven 1e monvement originaise, ef dems les phases postérieures qui se contre- disent ep cutre avec celles a&)a formées. A pestis de cee antagonismes se foxment des syntheses Avolntives qui one *Sang farme ni dimension. 408 .ois condensées deviennent des étate evolutifs et invo~ luvifs si les éléments eteviques persistent. Le devonir opt le résultet de 1a continuation, mé- ne entrecoupée, de cés contradictione, Autant lea agressions s'approchent des centres uévrelgiques des “spiro-centres" alIntSeration, dleutent plus ceux-ci hériesent leur cohd~ renee. Nous devons comprendre cetie cohérence comme étent le capeoité de stadapter. Autroment dit ces centres 4!Intégra— tion, face eux agressions de i'extérieur ~ soliicitudes, sti~ muli externes profondément intérioriués —, possédent le ca~ paoité de réaister on se transformant, parfois lentement,ce qui leur permet d'évoluer et de contenir un devenir qui se précise et se fait deus le confrontation. Clest pan cette capacité de se muter on méme temps que de retenir l’agression extérieure et méme de 1'intérioriser dens le corps ou @tre que ce centre d'Intégretion — endo et exceentré — organise. Cepacité qui se développe par phases selon que l'on approfondit plus ou moins gradueilement les forces extérieures, egressives ok sollicitantes, et le ceu= tra entre dens une mutation on soi — plus ou moing — ee qui implique de se réebsorber et de résoudre les contradictions - plus lentes et’ putssentes’ qui se développent duns son cen see qui génbrera le dépassoment (supération) par rapport & se forme antérieure par mutation ou destruction. Ces cen- tres a'Intégretion se dégredent quand ils se cristelisent au feit de leur perte de flexible oapacité ¢'abeorber les contredictions,ce qui leur impose parfois, d*une facon ca= testrophique, violente, une trensformation extérieure. Ceci dens le culture cignifie une erfee de connaia— sence. c'est~A-dire que cet Etre, dvquel ce ou ces centres Intégrents s‘accroiesent démesurément en orgenicité, exten- sion et fonctions que nous pouvons eppelor ddministratives — ou structurents, quantitetives ~, absorbent trop d'éner~ gie et d’effort,,ce qui entraine un manque @*attention ees A liintérieur méme de oep eon trea d'intéeration qui continuent & muter vera L’extérieur Sleborations cognoscent: et a résister 4 l'intérieur, mais qui perdent leur eapacsté de studupter, de se muter + on conmaisaant. Ctest--dire qu'ila pendent leur capecité flexible, vivente,@'étre en tension avec le monde, les mondes, ex Intégrent et |!In— tégrunt par des synthbses suocossives et plus ou moins é- volutives, les conflita et entagonismes. 11s résistent en se cristelisant car 119 sont trés cohérente mois uno foie perdue leur flexibilité et mutedilité ila se fossilisent. Aprou, lours acquis historiques — pour ainsi dire ~ traver~ sent les #res dens le plus profomd secret pour Stre onsui- te réuctivés et libérée, leur potentiel d'anquia tissant slora de nouveaux mondes. En eux ge produit, dune certuine fagon, l'acte ae le rétention et du mouvement + le rétention pelpitente. NOTE : A propos du mouvement origineire. Dens lu vie, par exemple, nous pouvons observer clatrement ce 181% du mouvement qui s*inttgre et qui ce mute, et qui s'organige dang les phases ¢volutives wi il peut se pere~ lyser. Par exemple, quand un @tre meurt, ce qui part eat scr mouvement vitel vivent. se et ce gui reste ce sunt seo erganes et son corps qui BseTot! détruits rapidement per 1 pure de le durée qui ne passede plus le principe organisa: tear ; LA VIB, En général ne reatent que des vies partiél- » plus ow moins éphémires. Ce corps était Teche dudogeo, espace-temporel qui con~ teneit et propulgait le mouvement oxgeniquo ~ organisé se- lon l'état évolutiz de l'espéce en question en le fixant entre de multiples structures et orgenes (cellules, tisea- ges, etc) ~. Quand ces tiasages se freinent entre-eux, ov sent par l'usure et le temps, le mouvement organique, fa vie, fait, va vere un état de développement impondéra— ble du mourement vital et i] ne reste que le foasile en dé~ Composition, Ge mouvement organique va donner puissance & qeutres centres viteux en formation. Ello, on tant que vie, & grandi un peu en orgenivation et intégration, @ évolué gréce & le formation de cea organes et de cea corps qui fu- Fant — sont et seront - son organicité ou matérialisetion, momentanée. La vie est matiere oar dang sa mémoire "Inié- grative" ot organique existent les phases de le matitre et Bouvenir do structures. ‘Quand lo vie xeprond son organisation, elle fait appel aux ébats corpusculeizes et Sénergétiques — de Ja matiére e+ de 1'énergie — qui Yt nécessaires & oce constructions et qui font partie de ses prototypes dens se propre orgeniss— tion en les déforment, in-formant, intervenwit dans seo nt tures en changeant leur étet, en devenent ferment, mouy d'un certein type ou rythme pour le rointéare> ment on tant que corps vivant, mouvement Te LSAULOT se repliant sur sei pour initier we "HAT a Tussi 450 Dana les d1ftérenctations apparatasent, lee contradio— tions qui peuvent aller Jjusqu'é l'antegoniame dans leo processus. Bnergie, temps, eapece. (sens oui surgissent du TOUT SEIS, SB mouvement), arigine aans origine, mouvement sans fin, CONSTRUIT ET. Nose} FORMB. ~~ \ an ~— p WO’ 7 TF I - Formation de tuusbilloms ZONE DB qu! se coztredisent entre eux €t contredisent aussi **?ENTION Stoo leur Détention le PALPITANTS. mouvement qu: ue de Dartérieur. ee THPORDERAELE Be Mouvement en tout sens MOUVEMENT EN \ ENERGIE t -; Apparition de deux for- MASTERS () ces contraires ou ten- / dances contraires qui vont devenir des proto= Me quelités dans la phase DENSE do 1'énorgic. Bnergie dans lequelie nous pouvone distinguer : T) une potenticlle; 2) une eutzre active. Mels duns ce processus - en forme de relations, de rétention = et & ltextérieur Qe celui-c1 le mouvement continue. Ceci implique aussi See contradictions entre le processus de formetion @'éner- aie et son extérieur — et feng une moindre meaure & 1'in— térieur de Iui-méme —, la continuation du mouvement én tout eens, sano fin, Ceci explique que nous trouvons le hasard méme dans les ondes ou vibrations, kouvement Format, on de le durée rier iol . t de 1" rable “teatvet 384 i + ” Ga ee sical Matibre dense ‘La cantwadsetion autimpligue la Retention géntre 1a suc- eeksion gti est la dursc ou la tompoxelite & to nature ef Poraation. MOUVEMENT oi Zone de rétention minimale de stabilité, laquelle dens sa répétitirvité leiase un résidu accumulé de proto- organisation et iutégrabiun. FORMATION DE : hetitre impondérable ENERGIE, ESPACE BT TEMPO. . DENSE v (denee et imponaérebie sans présence dans un haut et bas). s Le contvediction entre mouvement ct énergie, plus lente dana cette demniara, va former le metiére parallé- lement & une plus grande intégretion du mouvement qui se pricise, e!autossoélérant ou freinant, oe dirigesnt micux par ies cancux formés en tant qu'énérgie et ensuite matiére. Bt le mouvement sens fin contime & 1'intérieur de ce pro- cessus, plus ou moins tetenu et organiods & Llextériour 42 se poursuit en activité en tout sens et sans fin + mou- vement, énergie, matiere génereront le vie. MOUVEMENT FLUE SANS FIN ENERGIE = WMATTERE VIE HOMME CULTURE 452 ’ FERMANENGE SB TRANSFORMATION Selon Schopenheuer, et avant Lui Héraclite, cheque instant temporel qui arrive détruit le préuédent et est. @étruit par le suivant. Donc, chaque inatent soul exiate, dane la mesure vi son préddécesseur disparaft aelon ces philosophes. Bh ceet, le pazeé et le devenir sunt m veins qu'un réve; le présent est 1a jimite sens consis tenee qui les sépare., Alnsi le Temps, avec son existence relative, ne permet pas sux choses de ae former, eb elles ne posstaent einai qu'une existence éphémare, ou pas ay tout dtexistence selon Pinion ( dens ie critique erronée faite par Piston & Héraclite), Mais 81 n'existent ni le passé ni i tavenir, comment i'évolution est-elle poswible, de méme que l'epparition de la Volonté ae Schopenhauer demandone-nuus 7 i Ce probleme etexpligue en pensant qu'il y e des Rétentiona Palpitentes dans 12 mouvement et le flux sens fin, Bt dans aes rétontions 41 y a des Résidue Accumulae ‘its i; le Temps, l'orgenisation, ies gines; des sequis qui, en a'orgenisant avec et dang le riux et ges tour- billons qui continuent, gont lvolution et les choses qui . se forment et se ddiruisent. Cee Résidus ou Acquis qué pt “endo-spine- centrent", farment et constituent lea mo- ments de l'existence des choses, Ce sont les processus b jJocelisés, écluboussés par intermittence depuis les quarke, Slectrons, ote, juequiaux xoleila et étoiles. Des corps metériels et leura micro et macro associations. Pour mesurer de fagun approximative ces phénoménes ot corps dans la Nature, 1'Howme » invent4 des mesures spe~ isles : longitude, latitude, kilométres, nectomtres, nétres, centimitres, etc, et ennées lumitzes pour leo gran- dos distances. Bes mesures temporelies : secondes, minutes. ures, jours, semaines, années, etc, Vang les énergies : les degrés, les lomgueurs d'onde, eto. La temporalité de le Culture se mesure on valeurs, coutumes, concepts, sym ‘boles et Be mesure par des époques ot ares, done ae tagon sasex tnverteines. Par repport & l'évolution méme, nova peuvena dire que dans ie flux du Mouvement de la Nature — déj& formée ~ eaistent des Rélentious vu des muuvenents spirocentriques - (towrtdiions comme dens un torrent dans lequel se forment des tourbillona ou gones de stabilité vibrente, ou comme 6 duns les centres des turnades). Dens eos zones alintégration — on tension évalutive — se forment les corps et processus dont les inter-connexions élublies dane le méme flux et turrent conforment 1'Energic, la Metiére, l'Univers, les espaces-temps qui s'aceumilent et qui, par ce flux du mouvement qui continue s'érodent, font eb aéfont. Cee wétentions pelpitentes on centres d!Tntégration™ permettent certaines accumulations qui sont naturellement matitve, l'¢uexgie deus le succession tempurelle (qui le “NOTE ; Ce sont ces concentrations momentanées d'énergie et de mouvement plue ou moins stable (de longue durée? qni eonatituent jes mfern=partiauies : les atomes et leurs constituents interes avec lesquels la mature se tisse en ume matitze dense ou vivente. seu) sub les choses, Quand elle se disperse par les ng@reesions du devenir, olle laisse un résidu ou acquis sous-jacent, occulte, orgenisationnel, qui est 1'état de aéveleppement auguel 11 aboutira, Ces acquis’ sont les pos- sibilitées - . de formes dtorganisation plus vastes — qui peuvent étre d'évolution ou d' involution, d'avan= cement ou de recul -, (Ginew pris pour exemple). Nous econsidérong itévolution dane Le sens génériquet, On explique ainsi ]'appardtion de le vie — forme supré- me d'orgeniseiion ~ gul surgit au chaos progressivenent, on storganissnt et intersgissent avee le chess, source origineire, et de méme 1'étre ou culture qui agit avec 1a neture. A cheque Gist pestérieur, i'état onganigue anté- ‘cleur lua sppeveft comme Je ghaos. Coot s'explique parce que, doté d'un ensemble d'équiiibres et de déterminismes i] constitue une inerlie générale qui résiete eu cnenge- ment que les nouveaux centres alintégration sorportoent en tent que forces mtatives, Grace & 1'évulutvion et uux maniéres spéeifiques de acquis nn eu metériel énexgétique, les formes et vibra- ‘ions de 1'énergie forment des centres a'Intégration pro- pres et appropriés & leurs caracttres et préponadrance générales (totelité du mouvement, eapace ct temps). Crest pourquoi ces centres d'Intégretion, tout en Stent spécifiques el udéguats A leurs dirrérentes pareel= Jes de 1'espsee-tomporel, eont génériquea én tant que cen- tres d'integration. Centres de conflite, antagoniames ot hermonies, ef clesl pour cela qu'iis apparaissent comme dea champa dtime grande incertitude, brexemple des etomes dans le matidre et encore nioux eclui des concepts dnus le culture car une rois que sur- “nove + Svolution qui implique }e,gontimigtion du mouve~ ment mais aussi la foraation d'étata de Aéveloppemont et leurs interactions ol quand tes plus avanoés fisehiesent, ce sont les plua inférieurs qui dominent,ct c'eat ce que liom appelle 1tinvolution. Par exemple le fait de charger le cullure de tellement de choses de le neture le Geenteeiat @insl elle tend & dnvoluer git lfahatvaction, ivincertitude s'élergit ou slétend — Bont suriisement démonstratife de ce que nous venons d'af~ firmer. Dana Ja culture, 1*inertie, 1a mécanieité et la tixi- té naturelle sont aevenues habitude, coutwme, Mais néan- moing, nous savone que le flux-mouvement continue lente- ment, atténué dans la aulture, ainsi Ithabitude qui se mue et change uniquement trés lentoment, Machiavel dira : Le peuphe eet le gerdien des coutuues.” Ce changement eat encore plus lent du fait de 1¥ia~ fluence des centres conservateurs — 48a formés et qui persistent dans leur @tre — qui renforvent les facteurs ataviques de ia coutume, les élémente lea plus répstitite qui vendent & faire de la spirosphére de 1'Intégration une ophére inmobiie en elle-a@me.* Sphtze ontologique duns ce cas, qui veut persiater dang sen 6tre, otagner et oveser a'étre Intégration qui est lux et rétention simultanément et non seulement rétention.** ‘ ‘LB FASSE DANS LA NATURE ET AVEC LA CULTURE . Outre le passé propre & le culture ov & ve quelle Steit avant et qui pereiste, plus ov moins périphérique nointenent, existe le passé naturel introduit dans le culture, Notion tris abstraite néanmoine male profondé- ment réelle, Voyons cecd de plus prés, Tes formes @torgenigntion qui existent dena 1'indivi- cu: par example, nous trouvons les forcea ancestreles de ltorgenisation de 1s mutitce et de 1/énergie qui rurent prédominantes et mime essentiolles, ou certains deerés de Tommetion et de développement de cet individu. Ou encore dee strictures uryenigues qui sont au plus profona de ces vacines physiques, biclogiques et/ou poychiquen. Ces + Lire Parméuide ct tes Bléates, *tintégration ; non pas état, mals processus. evructures-forees puiiulent, suapensives dane les complexes aSterminiomes de cet individu, meta unt une certetne Incer- titude quant A leur situation. Clestaandire guleltes peuvent mettre en question, par certains évinements haserdenx ~ ronoontres extraordinaires, eto ~, les hiére:viiies mobi- les de l'organisation de cet &tre, principelement dane ses propres relations éthico-culturelles, Cette incortitude et présence cmmiprésenté du lseard — limité. aéanmoins - font que 1¢ prasé est toujours pré- sent aujourd'hui. Par exemple : dang le puissance des éner- gies Smotiques, de l’angoiswe, de 1a crainte, ete. Cette actualisetion potentielle — poreible ou impoz- sible ~ de ce gui a été ot perdure, superposée (ou inter- posée) on totalits, ox concaténée avec a*auties — ac tua- lipations — ou plusieurs existantes, méme'si ello cache son Influence, est toujours active ou passive. Ceci expli- que te réalité et 1fegfioucité de l'etaviaue, comme en biologie: quand il est plus ou moins eontrd1é i1 sblige su changement et méme & 1'€évolution, par exemple dena les eroisements et la réapparition de ceractires géndtiquer euspendue ou latents pendant des générationy at qui réep- percisuent ensuite. Quand cet atevieme est tree grand ¢t ineontrs1é par le mécanione organique — veci étant att & une faiblease générale ou & un évanement catastrophique — il provoque une organisation vicieuse ow morbide. Un exem- ple, le cancer dene l'orgenication somatique (voxpovelie). Dens le metitre, cea etaviames apparsisgent comme un sroisement dénivel4 de dimensions ou centres d'orgenisa- tion, ou encore parfoic comme le croisement d'untvers + entimatiére, "meson-mu", communiaation photonique ou éleo- tronique, etc, Deng la culture, ce atuvienes apparaisseat entre les usages ou valeurs paléolithiques et les usages ov habi tudes contemporaines. Ainsi, A ltentropic ou dépense d*énergie dans Ja na ture, s'oppose I'ethnotrapie ov Thtégration dens le oul- ture, vb se concentrent, dans ses "animicons", mitent a?é- 497 nergies semi-polarisées que dens un trou noir dans 1'co- Pooe, mais 12 faut savoir ies organiser. L'Intésration est cette voie. Ceod pour éviter que les sollicitudes (qui sont des formes de dispersion centrifuges) ne dic persent pus leur propre étre. Le symbole de 1'Homme est le rétérent, le oatalyseur ct le catapulle des espéren~ ves de notre temps. UNITE RY PLURALIZE DANS L‘INPECRATION, Comme nous l'evons signalé auparavant, ce champ d'in- certitude interme qui constitue le centre d'Intégration possede une radiation influentielle et organicative, Dens ces chumps incertaing ¢% diffus ~ Intégrateure ~ uous trouvons, dtume part ; 1'Unité qui est le tendance @ le steticité et & la quiétude absolue oe qui fait qu'elle eet formelisente et quantitative; et le Pluralité qui eat dtune part l'existense dtautrey centres d'Iui¢gretion ex= NOTE GEIERALE « us le repport nature-culture, ctest précieément ce fucteur évolutif, e'est-a-dire le résidu quanti-qualiteti¢ orgemique que nous trouvons dans les Tntégrations ot qui permet de penser 1'Intégration qui mous conduit & ponder & l'epparition at formation de la oulture, Qulture qui eal aéik — per le phénomine de 1'Intelligence et du symvoie — ure Tntégration atun autre type que celle qui est naturel- ie, ctest-a-dire comme un ou plusieurs syatémes de déter- miniomes avec leurs libertés pardlisies 4 l'ordre neturel, evec une certaine organioité propre, précisément par ran~ port & 1'Intégretion, tout en opérait sur dea éléments naturels. - ane ces systimes de déterminiemes eulturcia leo ny> thes et valeurs eontionnent dtune certaine fagon le de~ venir ou antrement dit le futur — en forme d'espolr, de souhaif’—. Co futur devient d'une certsine tacon pré= sont (comme le suppose Bradley) dans la mesure o¥ il stin« garne mythiquement, que les hommes qui croient en lui jut douuent un corps en soi, devenent logos. conduite. Gelle-c1 doit étre le différence le plus importante entre if nature et le culture car apparaft tei 1'individualits gui avec se croyance et ax conduite eonséquente (guidées per leg symboles et leure orgenicités) teit devenir 1 iu dur présent en partent d'un passé dont 1*individualité, par Son accumulation, contient les ¢idments ies pius ef- ficients ot les plus organiques. "De cepactté a'edeptation ge se modifier. 358 berues, eb d'eutre part le multitude de corpuscuies en mouvement qui so diffusent dene le fluir ct qui harcélent le centre Intégrateur (les centres), pénétrent dans son vhemp d'influence en i'érosionmant avec leura muitipli foress centrifuges Des Gorpuscules avec ou satis asse, phagocytés et dncorporés séleutivement par des essociations plus lerges, ee qui provoque progressivenent d'autres formca d'Intégra— tion, Mais ile peuvent eussi, par contre, érosionner ces centres @'Iuiégretion en désarticulant leurs axes et noyaux et/on un fluir Mmodulent ",modulateur, Dens l'intégration expression de le vie,se réaument les aynthises évolutives des contradictions et des contrai- res (miitiples) cn se formant et se défuisaut. Centres Intégratoires (qui ne sont pas proprement des centres neis des champs d'incertituae qui: paipitent proje~ téa vers 1tévolution on Le modelant dana sa projection) Qui unissent et disjoignent dens une synthtse ternaire en permanente évolution. Rvolutions qui se stabilisent dans dos Stats momenta- nés de vie et de corps d'une durée plus ou mcing longue, avec une complexité dans leur organisetion aéeroissante dana ces centres ou qui e'expriment dans des State d'in- Volution ou des dégradations evec de morbides formetionsa. Tl y @ eussi d‘sutres formes d'organisation etagnées on imposées, off une trajéctoire de aéveloppement aboutit uniquement & lea stebilité absolue et i] n'y @ plus de com dineiéune possibles. Alors 11 peut persister en tant gue forsile flottant. Des exemples : la phase de 1'Hélium; les champignons dens les végétaux; les plantes carnivores (méme 9i celles~ ei ont trouvé dos succédands originaux) + Ces concepts dUnité et de Pluralité sont inedéquats — tout suse bien que le concept de trinateire — pour ma- nifenter cette synthe évolutive, donc, nous les utili- Sons par manque d'autres concepts pour nour frire compron- dre, concepts qu'il {ual concevoir en MOUVEMENT. 7 Les reptiles, dans les animenc, gut oat pmélioré leurs sys- tomes de enasse et de défense. mais n'ont pas évolué. | 458 MOUVEMENT, STRUCTURE , ESSENCE, Le mouvement est retenu per ie mouvement eer dane lea ehoes ge font low contraires; de caci naft le PORMB. Le mouvement-tension génére l'essence, laquelle eppute et felt obstacle au mouvement; 1'éyolution (ov 1'inyolution) surgit ainsi. Etets pu pheaes évolutives avec des étres plus ou moine complexes dane leur sein, LB TRMPS evt le cycle de durée (ou dérowlenent aac- cession ; evant-maintenant-apras) du processus de réten~ tion du mouvement, Processus gui, comme noug 1‘evone vu, ext locelisé ~ en relation & soi — , o4 le mouvement en tout sens se contredit et erde oes zones de turbulences et tourbillons, LUENERGIB e9% le potentiel a'ectivité cocumulée dene lew rétentions; elle prend formes suivant les divers types vibratoires : longueur d'ondes, ete. L'BOSPACE est le lieu ou zone qui oe fomme quand le mouve— ment #6 retiont ~ en relation A soi —. ; Energie, temps, espace, limite et inlfuence se super~ ponent et s’entrelacent et interagivsent dane les diverses phusoe récentives. Ainsi, par exemple, 1‘eapece~tempe de le proto-metiére et matiere mi¢ro-cosmique ~ meson, quark, nucléon, etu- sont différents des eopeces -tempe atomiqui et caux-oi le sont des moléeules. Cea espaces~tempe, in- fluences, moléculeires sont différents des especes-vemps, influences et limitee de le VIB, Leura phases xétontive! se superposent et interagiarent, donnée une h leur nix veau dane lés processus formatifs et deatructife de 1'uni~ vers, les univers, oxéant des duréeo qui vont depuis le spontané ot fugace, 1!inatant, juaqu'au dureble. Le temps surgit de ce que le mouvement se retient (dens sun chuc), et cette rétention a une durée ot une suc~ cession : avant-maintenant- apres. Bt comme 1'érosion du fluir-mouvement continue et que la rétention réwinle, vecd 460 4 a des cycles de durée, succession et rytnme, Ce cycle ~ ou ces cycles’ on durée 6% le tompa de ce processus, racooured ot allongé par un ov plusieurs événements ex- térieurs, catestrophiques ou non, L'énergie est le potentiel dc mouvement enfermé, con- tony dens 1a rétention. Energie transformable en toutes les énergies connues ou non. Liespace est l'exteneion ou lieu formé dens ot per eo procesaus, Le gone d'intégration tormée epparsft le dedene et le Gehors, 1a limite, 1'influence et le ahoe entre les réten- tions, et entre eelles~ci et le fluir-mouvement. Aines quequ'A 1a formation des Stree ev de 1'Btre (culturel et sociul), en pheses superposder ot interagiasant organique- mont, s!internodifiant suivant leurs proximités ou @loigne- ments temporels, Par exemple, le phase géologiyue ne nous tres pesadéen, altize plvs come cele fut le cas dans 1 pion que cot peut changer. Blle ne le fait comme ie font les phénomenes et intluences qui sont plus proches de no- tre organisation, TEMPS - DURES Le temps est Te mouvement retenu pur sen tourbillons forméa, oe qui engendre ou génére un cycle de DUHBH (se former, culmimer, se Gégreder, ve détrulre ou a'enkyloser, be fossdilisent), Oe procesous a une succension, 1] re-arrive. Cotte eueepasion eat ca durée.i] donne aussi un rythme, Les structures, onder et matitres gestent dens eon sein, puussées pax le mouvement qui oontinus, ot plient, atinulent, affirment, geatent, sent et se détruisent. Cette (ces) pnase(s) est(sont) le temps (les tempo). O'eat cusei tompd paroe que dene sa formation i] con- forme enaemblé 1'énergie, l'espece (les especes), 1'influ- ence (les influences), 1a limite (lea limites), leo centres d'Intégeation dont les palpitetiona mitiples et différenciées, interned et oxtornea, indiquont 1a continuation du mouve~ ment €n gon séin, et de son fluir & l'extérieur. Ces centres Q'Intégration ee font et ae dvfonty ont un syent, un maintenant et un aprés dane leur succession. L'énergie est le puissance accumulée du mouvement — uctive ou passive —. Active quand elle se re-comnecte aveo ltoxtérieur de co champ ou tone d'intégration. Pea~ sive ou potentielle quand elle est suspensive, interne, Mouvement = Rétention = Intégretion. ENERGIE L'énecgle est puissence accwmulée perce que ce mouve~ ment primor diel se contredigant se suspend ov se cireu- larise, ou mieux dit spiro-sphérise ses vibrations et on~ Ges (poswlvlew pulsque lui est proto~énergie dent ce otade, encore), Ondes qui restent pullulant, vibrant, retenues dans le chemp d'Intégration qui la contient ainsi, Buergies qui sont potentiellement négatives, positives, neutres, attractives, répulsives, indifférenten, raptdes, lentes. ete. Gelles-ci vont les manidres poseibles quta l'énergie ae slorgenicer, ensembles de puisances dténergie indiffé- renciés qui, devenant actives, peuvent devenir cealoriques, fruides, iikden, cudes geme, ultre-violettes, megnétiques, anti-magnétiques, sonores, lumineuses, paychiques, motri- ces (comme prana, karma, etc), mentales et/ou voiitives. Orgenisation ou muduletion de ‘énergie qui dépendent Ae 1'étet général ae itévolution de la matiare, de la vie et de l'action des centres organiques qui se détachert de vet étet évolutiz. Action censale ou mécanique ati] est dane la continui-~ +8 naturelle, et plus spontand, éperpi11é et aléstoire, mouvemeut, 61 interviennent les énergies-forces culwinantes de L'évolution que sont 1'Intelligence et la Volonté, détées du pouvoir de diriger,orienter relativement le mouvement, Crest seulement 1"Intelligence clle-méme qui emt ces, le direction et L'appui focalisent et catalysant, plus ou moins incertain, deo cymbeles, noyeux, SCHEMA 1 (voir page auivante) TEMPS qui est le SUCCESSION’ de ce processus (lequel _posséde une certuine simultanéité) e+ la DUREB + gériération, développomont, zénith, déclin et dea- truction. BSPAGE qui est le lieu ou plece formé par le proces- sus ou champ d!Intégration. L‘ ACCUMULATION, SA LIMITE BY L'ACQUIa. aon déplacement vera d'autres champs d!intégration quand celui-ci se cristallise. La suspension qui engendry 1'xccumuletion de mouvement done le centre alIntégration qui implique 1!énergie, Cette accumulation dépend de la suspension et des interéchenges et conflits internes, externes; oi elle eat seulement accu- mulation, elle est attrection ct rétention, ltinterdchenge « se rompt et elle est seulement gravitatior!,’ ce qui dens la culture siguifie possession. Le tendence & 1'Unicité rempt 1"harmonie (il faudrait dire la polyharmonie) de l"interéchange et des contlits; c'est le tendance mécanique de 1'étre qui @tinetelle ct avec cela ceasve dtétre un champ d'intdgration (interne, externe, ae maintenir le champ) : c'est le tendance mécenaqus qui foe et luetelle, le pruvessus se oriotal! Muerlist fame. 463 MOU~ EMER DT EX Pees SENG aaa : fu se. FONT Ov ————— en 10N rR Chee7R BEN ER RY 104 ie mc OUEST CE Ley 0d ONE PoRME Pan \ PRO LES (PECAN Tay WR + Bohéma exoeeier de processua inianinen gure avec l'acquis jusque 1k (le temps accéibre son cy- cle et Le mouvement son usure ate h ltendureiocoment; le rénovation disperait), L'acquis organique s'enfuit peu & pou de ce processus { voyez comment le philoso- phie échappe A un pouvoir absolll 1 Louis XIV par exem- ple), De eetee manitre ce champ d‘inidgretion aevient centre de Pnssésainn monopoleire, stabiliod, détenu, se transformant en centres de toutes ses actions, sens tenir ecmpte de l'extérieur. Il devre eins? bérisser son pouvois, fruit de son secumilation, pouvoir qui abeorbe— va l'dnergie Ges centres moindres ( l'ueent dans sa propre combustion et vie), le ¢épensant plus ou moins peresitai- Fement ou plue ou moins orgeniquement, ee qui aéfinira la limite; se durée. Dans cotte rouvellé phase ce centre eere de pouvoir, non de pouvent. Dans Ye rythme ot modilation endo-exo- centré est 1'Intégravion. CROTSHANCE RT NRCROTSSuNCE. Le croissance se produit par l'esscciation de divers champs cu sentree (dens ce cae elle est mécanique),ou multi- poleires, et den# ce cea elle est spontenée ot ton? & l'er genique, Le oreiepance mécanique ou molupuleire est limitée par Sa somne de force: son rire dtenduc, aa foree périphérique diminue avec 1'éloignement de son centre névrelgique. Sa dunde est quesiment dnocrite deus oun urigine, Sa struc- ture se développant arrive & Ja limite meximalo et commen ce & décroftre, Le eroiesense organique e6+ spontenée et mullipolatre. Bile se fait de divers centres, nagneintions plus ou moins etables, maiv dont lagontanéité génére des croissances sontinues do grande extension et durée (dene un équilibre évolutif), Ainai elle donne ausai des formes & dor asacoia tions précaires ot éphémbres, Le Dosification intégrée génive 1a croissance orgenique par la renovation perme~ nente (ot elle croft et décsolt), oe qui permet de per~ durer en changeant, continue et discontime h 1a fois. SIMULTANEITE ET SUCGBOOION DANG LE TENTS, Dano la sucoesejon de : avant-maintanant-eprée, i1 y @ simultanéité et entrelecements car avant s‘inverpé- netea avec meintenant, ét celui-ci aves qyrte. Tl y 8 aussi oimultanéité dene les processvs paraliéles. Ce que noua pouvens percevoir c'est une certaine priorité ou dominante d'un instant sur i'eutre, Stent tous simulta~ nés, Cleat cette priorité qu'on alterne ( dens 1a simulta~ néité qualitative de le durée naturelle) en méme tempo que le mécanisne dognatique de llepprentiasage dene le cul- ture (et de la fixation de le perception dang sa mémort~ Bation dana le processus voguescent) - aéterminotion altex- i native, Ge gui nous permet de conceptunliser la succession et entrecouper les monenta, les définissent comme : pessé, © prégent et tutur, Le TEMPS co forme aingi per cette formalisatién logi- que qui devient, pratiquement, quentités de 1 secondes, minutes, neures, jours, etc, Ceul porte & le mécenique, la frdotion, et ou oimultané sans pulsation interna aiftéren- ciente. ‘\ Le propléme de la génération, développement e+ dentruc~ tion reste 146 & la DUREE qui n'est pas perception payehique nn intellectuelle seulement, comme le pense Bergson, meis le Tinir de le nature et ses foxmatioup eb destructions ob chaque 6lément, organieme ot Stre a une DURER, un RYTHME et atructure de son existence en mouvement. Comment le mouvement ge diftérencie-t-il |i nows di~ Benge qu'il est indiftérencié dane son expression pure 2 Question intéressante et qu'il est juste Ge se poser, Nous répondons que + La rétention ot contre dlintégration formés, le mou~ vement-fiuir de 1a périphérie immédiate, et celui qui a été intériorisé wu centre, tendent & prendre formes ot ma- nitres, Ceei,b llextérieur au centre ou zone d'Int (périphérie immédiate); et dans son intérieur en mouvement se trensforme en : Energie, ensuite Tempo (Durée) ot Eaps~ cc ct organisation et mouvementy soit 11 est mécanique (reproduction). soit il est organique {activité vivifiente, viviticatrice). Dene cotte somi-formation et structuration extérieure, le mouvement se distingue en + if mouvement suns fin ; flaiz nene limite ni formes 2/ mouvement mécanique (cmusriité, reproduction, action. réaction): 3/ mouvement organique qui est ineinuatif on implica At, induotif — qui induit -. Ainsi s’explique comment le mouvement dans i'sire ou péripnérie de 1'Intégravion (e+ dans son intérieur eoti- vent) se modifie et se module. Quand dens 1‘Intégration le mouvement mécanique pré- domine, c'est 1s spécialité { tendanoe & dominer 1'ertensif, & co dileter aeons 1a mesure ou limite du temps et 1a croi sance orgenique ) qui. e*ampose dans le centre a'Inté- gretion gui tend & se peralyeor (le teusion sereine et AMemmende entre mouvement et Tétention se rompt), la Ké- tention devient detention et le processus ou tic se eolé- rose car le palpitation #'en va ailloure? tines {1 cesse a'étre Integration et devient centralise. Nous noterons que dans le culture toutes nos mesures du mouvement comue longuevr donde, vibration, intenaité, eto, mesurent en réalité l'espace entre des ondes. Bgele~ ment pour le temps : dire seconces, minutes, vlc, c'est mesures une durée chargée dtextension, de spécialité. ¥. ‘Perd se capacité de se transformer (trans-cender ia Torme), de stadapter aux choses. Hous cherchons h faire 1a m8me chose lorsque nous mesurons les qualités éthigues ou personnelles par le “quien dira-t-on?" ou. les préjugés, ov par le preatize ou la possession d'objets d'une personne, quand ceci est mesurex quelque chose qui est entrain de mourir, qui est chargé de l'usure temporelle, puisque tes quelités, daus le méwe temps que nous mesurons ies Iormes assumées (dane le pawsé imnédiat — méme dium atime —) aont en— trein de se générer d'autres formes et Conduites; et 6°ii oty & pes de quelités, nous sommes entrain d'‘onser- ver un fossile vivant. La premidre loi de la thermodynemique affirme que + L'énergie de T’univers est constante, La seconde éteblit que dens celle-ei il y a deo pro- cessus qui sont irréversibles. Cette énergie tend & 1%i- solement, su dévordre, suns varier sa quantité totale, Le désintégration progressive dea forecs qui conotituent ‘univers est l'entropie (Claussius 1877): entropie = retour eu arritre, Définition de "entropie” extraite au dicticnneire (Petit Robert) : L'entropie, en thermodynamique, est tA fonction que définit un état ae aésorare c'un systeme eroissent, Quend co aysténo éveluo vers un autre stade de deaordre plua grand, l'entropie augmente avec une trensformetion irréversdple (lumitre en chaleur, ‘par exemple), Entropie négative « par exemple néguentropic (augmentation du potentiel Snergétique). Dégradation de l'énergie lide & une cuguentetlon de cette entropie ten~ danciells ev aésordre qui provoque cetto dégradation éner- gétigque. OOMMDNTATRE ; Cacti slexplique puisque cette tondance au chace eat un retour progressif au mouvement pur, lequel, en général, pignifie ue involution des systémes ou formes “rormés", Yendonoe qui nlest pap compldtement attointe car i] reate le rétention qui oontredit, sana le freiner, le mouve- ment, Le mouvement auques noua parlons eat imiter cette capacité primordiaie ae puissance lipre en principe, sans limite, puiequ'd2 n*a pao de fin ni de een, c'est aurgir de ani-néme par aoi-nGne. S141 s'agit de 1‘Hominal, ies limites sont @uto~imposées par soi-méme. Mais le mowvement hominal cst Intelligences coaguléo an Volonté ou cette puissance vibretoire appuyée dans toutes les formes orgeniques données dens i‘évolution de notre espéce. Zoutee celles qui exietent on sont en oxé- ation et qui ne paranitent ‘pas, et permettent ainsi la Pensée et 1a Yolonté cans leur éclosion maximele,méme dens le stgne des sentiments et des sensations, Jette Panrée at cette Volonté partent de ]'individu et aq boutisaent dens le groupe pour retourner @ 1‘indiviau, Zl ne e'egit pas de se ailuer dans le nirvane qui dana le hondhisme est l'extengion du Karma, le désir humain qui comporte le Tin des cycles des neissances et dea morts. Oct état que Boudke coneidtre comme un anéen— tissement, un étet de supréme sérénité, une fusion de L'ame individuelle dans 1'éme collective, de 1'individu dens le groupe, Le seconde loi affirme : les transformations de la lumitre en chaleur (ou d'une énergie en une autre) est arréveroible dano on transformation. Ainei, par exemple, une plaque noire absorbe 1a lumiére et cheuffe. L'énergie dumineuse se transiorme en celorie, mals 1'inverse n’est pas possible ; la chaleur ne peut pas redevenir lumibre. Ceci nous montrereit que réeliement 1'énergie est le premiere forme du comment le mouvement se mute, Ger une folio initiée ea tendance & ia rétention (qui sere aprés temps, espace, matitre, vie) apparait ue tendance A le Qétermination et & 1'irréversibililé, Ce qui ne veut pour~ tent pes diro qu'a travers des catastrophes, co sens ne peut ase

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