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PRINCIPES ET ELEMENTS
DE LA
LANGUE SACREE
SELON
VVASTRO-KABBALE D’AL CHAMI
PAR
S. U, ZANNE
LES EDITIONS COSMOSOPHIQUESJ
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AVERTISSEMENT DES EDITEURS
La langue maternelle du Professeur S.-U. Zane (Aug-H. van de Kerckhove)
était le flamand. Il confere & cet idiome une autorité originelle, Nl adit ; «La langue
parlée unigue et préhistorigue, c'est celle des Frisons, gui, apris initiation
par les Kaldes (Scaldes) Kelies (dits) Celtes, aux iddographigues valeurs des
Rhunes, devinrent et se dirent « Eburons », De cette langue frisonne transmude en
dduronne,,.. sont issus directement le «bas patois flamand» et le «haut plat-
deutsch alsacien », que Max Muller nomme Mouranien. «... Et de ce Mouranien...
sont issus le Haut-flamand ou Hollandais, te Haut-allemand, les trois Scandi-
naves et Anglais; et, voire, aussiet également, —sous camouflage de Langue d'Oc,
superposée sur Langue d'Ahoul (Gaule), dite d’Oil, — le Francais...»
Le Professeur S-U. Zane se propose donc de déraciner le francais de sa
terre d'emprunt gréco-latine pour le replanter dans le sol éburon-celtigue origin-l.
Nt procide a cette opération sans garder le moindre ménagement pour les classi-
ques étymologies. De notre propre avis, — mais notre réserve ne touche en rien
auz principes, — il edt peut-ttre mieux valu, dans certaines applications, se
montrer soucieux de quelques égards; la doctrine n'y eit rien perdu de sa force
originelle, et Vaccts en eit paru, quelquefois, moins déconcertant au premier coup
dail. Il n’était pas dans le tempérament du Maitre $. U. Zanne, — ni dans la
nature de sa culture, — de prendre tant de précautions de transition.
Mais les lecteurs de sens mir et de bonne ‘foi iront & la source féconde, au
vrai « Puits de Langue vive» gu'est cet ousrage, sans s‘effaroucher si parfois on
semble se plaire @ les éelabousser en jetant un caillou dans teau.
Pour le reste, nous renvoyons @ nos « Avertissements» d’Education cosmoso.
phique et d’Occultisme occidental et Esotérisme oriental, ainsi gu’é la brochure de
Suzanne Ancel, Un Féministe.
\ Cours d'Initiation & -Astra-Kabbale...
msfet atAmi Lecteur,
Tl vous serait bien difficile, — si pas impossible, — de
nous suivre jusqu'au fond des Origines des Races, des Langises, des
Religions et des actuelles-existantes Organigues sociales, que conformément
aux Doctrines de la Cosmosophie, nous allons essayer d’établir et de
développer, — de mettre & la portée de tout le monde, — maintenant
et aujourd'hui, .... si, préliminairement, nous n’avions soin de vous
donner et faire comprendre quelques notions, — toutes discrétes et super-
ficielles, évidemment, — de
la « Langue Sacrée ».
Et, également, il vous serait bien difficile, si pas impossible, de péné-
trer bien avant dans la connaissance de la fonctionnelle Organique de
la «Langue Sacrées, .... si, d'abord, introductoirement-préparatoirement,
nous n’avions soin de vous faire comprendre, succinctement, — mais,
nettement et clairement, — «ce que c'est qu'une Langue», par consé.
quent, de vous faire un exposé, et de son Anatomie, c'est-t-dire de son
Organique constitutionnelle, et, de sa physiologie, donc, du fonctionne-
ment, — pour phénoménation en formes d'expression multiples, diverses
et variées, — de ses Organes constitués, et des éléments formatife, des
ingrédients basiques, de
son instrumentale-fonctionnelle
Organique.Be eee ESBS Eee Sere eee Sete eee eee
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— 10 —
Ainsi, et pour commencer: —Toute langue moderne, organisée pour
dtre écrite et parlée, est faite de deux éléments constitutifs, d'un élément
de fond et d'un élément de forme; ou, ce qui dit mieux, un élément de for-
mation, De méme que, anatomiquement, tout Corps-instrumental-
fonctionnel de plante, d'homme ou d’animal, se’ compose et d’eun
squelette de maintien, de soutien et d’entretien », — son Ossature de
Structure, — et de «la pulpe d'emplissage et d’assouplissement », — la
chair, les fibres, les tissus, les fluides et humeurs organiques-fonctionnels.
De la maniére dont nous entamons cet Exposé de I'« Art de la
Linguistique », vous voyez immédiatement que nous considérons ela
Langue», — toute quelconque langue, — comme un ¢utile-outil», un
«Véhiculaire Vernaculaire» d’auto-expression, de commerce de rela-
tion, ... comme un «Corps organique constitué », ayant ‘ses propres et
individuelles aptitudes et capacités de « jonctionnelle Instrumentalités.
«*e
En Cosmosophie, nous désignons ces deux éléments constitutifs
d'une Langue, le premier sous Je nom de
son Idiomatique,
qui vous est connu comme, d’une part, les «Consonnes »,
et, dautre part, les « Voyelles ».
Et, en second,
. sa Phonétique.
Ce sont ses divers rythmes, modes, manidres de tonalité, de sonorité,
d’inflexion et déflexion d’accents; sa prononciation. Et, également, par
scolaire viciation, pour la majeure partie, sa Iexicologie de fantaisie, ses
absurdités de grammaire et ses turpitudes de syntaxe.
ete
De la «phonétigue linguistigue» nous n’avons rien A vous dire, ici
et maintenant. Si ce n’est, deux mots, pour déterminer et vous faire
connaitre sa véritable nature; & savoir:—u—
L'Idiomatique d’une Langue est d’Ordre déterminatif cos-
mogonique-fatal, et, en son principe de devenir, nécessaire et immuable.
«L’Idiomatique d’une Langue » c'est 'Ame, le Génie originel-originant,
TAuto-extériorisation spontanée, de "Humanité, du Peuple, voire, de
!'Homme, qui la parle
La Phonétique, au contraire, est d’Ordre délibératif, arbitraire
quoique raisonné, et, donc, sujette d variations, & multiples et diverses
modulations, selon le temps, le lieu, ete.,
de Homme qui la parle ...
Toutefois, il est A remarquer, ici, que, I'Idiomatique étant et consti-
tuant Je Fond génial, originel de la Langue, et, la Phonétique en étant,
— multiple, diverse et variée, — «la Forme de batiment et de véte-
ment », tout homme, soi-disant érudit et savant, qui porte la main du
profane sur cette «Arche sainte du Génie humain», commet un crime
de lise-nature envers le domaine public-populaire, .... s'il le fait autre-
ment qu’en bonne logique de «mathématique Linguistique Mécanique »,
en introduisant, dans la « phonétique Forme» de la Langue, des fantaisies
nées de ses lubies, et qui ne sont pas
@ son Idiomatique Fond conformes ..
ae
. *
Toute Langue est faite de « Mots ».
Un « mot» est un « idéogramme ». C’est-&-dire, un composé naturel,
une synthése, d’éléments ingrédientiels-constitutifs, — lettres alphabé-
tiques, — ayant sa signification propre et adéquate individuelle, et...
unique-immuable. C'est toujours une faiblesse, un fait d'indigence, un
«vice de conformation », dans une Jangue, lorsqu’il s'y trouve un ov
plusieurs mots & double entente, et sujets a deux ou plusieurs «sens
aidée ».
Le «mot» étant partie d'un tout organiquement constitué, est, par
conséquent, un Organe particulier, spécial, de la Langue, qui, elle, est
un «Ensemble corporéfié » de Linguistique Organique.Na
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Le «Mot» est formé, fait, d’un ow plusieurs « Idiomatiques-linguis-
tiques éléments»; ingrédients de constitutive composition, que l'on
appelle les « Lettres», — chiffres, figures, —de l’Alphabeth d'une Langue.
Chaque langue en posséde une certaine quantité, plus ou moins. Le
frangais en a vingt-quatre, que chacun connait. Les «lettres» a, ¢, i,
0, u, y sont appélées « voyelles », Les autres sont dites « consonnes »1,
Chaque langue est divisée en un certain nombre de mots, — Organes
autonomes, — qui, selon leur spéciale Fonction, ont leur désignation
spéciale. On les nomme parties de Ia grammaire. La langue frangaise
en a dix. Nous, pour notre étude préliminaire, ici, n’avons & en connaitre
que quatre:
Le Nom, VAdjectif, le Verbe et V'Adverbe.
Les «Noms » et Jes « Verbes » sont les Organes toniques, les élé-
ments constitutifs-basiques, de toute linguistique Organique
4 Ce mot « Consonnes » est et constitue le crime capital et premier de Vinvasion de
a Langue d'Oc dans notre Langue d'Oil, — viciation du mot « Ahul », Gaule, — dans
notre originel-antique Vernaculaire éburon, notre Celsibere Gaulois.
Et, en effet, le mol + consonne » implique un diminutif,— est iadicatif de classement
en sous-ordre dassujettissement, — des lettres qui sont et constituent la substance
organique, létoffe de fond de la Langue. Elles sonnent avec les voyelles, évidemment,
et jusque-la cela va suffisamment pour tout esprit superGciel et formaliste, qui ne volt
dans la Langue, qui ne connatt de la Langue, que fa phonétigue, Vextérieure, arbitraire
et variable-fantaisiste forme de Ia Sonorité. Mais en somme, et au fond, la Voyelle n'a
pas d'existence, de vie propre. C'est elle qui ne peut gue consonner avec la consonne,
avec I'élément modulateur, fondamental, primordial-constitutif de le Langue, Et, nous
y appelons dés & présent ici déji, toute votre soigoeuse attention ; car dans les Origines,
ous aurons a yous dire tout au long, comment et jusqu'a quel point !'Hellénisme
byzantia, le Gréco-latinisme de Rome, a fait de In Langue un engia d'abrutissemeat et
de détraque-mentalité, pour s'asservir VHumanité, Et cele, c'est bien autrement grave
qu'au premier abord on ne s’en douterait,— 43 —
Les « Adjectfe», pour les «Noms» quills qualifient ou déterminent, Tes
e Adverbes », pour les «Verbes » qu’ils modifient, en sont les Organes
econdaires-complémentaires. Quant aux « Pronoms », — leur nom le dit,
voce sont des mots qui remplacent les «Noms», ce sont des organes
Ge Lieutenance et de substitution. Tout ce que nous dirons des « Noms »,
donc, les concerne, et n'a pas besoin d’étre spécialement redit pour eux.
Ainsi, nous passons outr
.
. .
Le «Nom» et le « Verbe» sont cun et indissolublement unis ».
Tis représentent et sont, Linguistiquement, ce que en Cosmosophie,
cosmogoniquement, nous disons de «Force et Matiére ».
‘Vous allez facilement le comprendre:
Le « Nom », — le mot le dit, — est Ja x désignation » sous laquelle
on appelle, — on nomme, — une Chose, un Etre, une Personnalité; ou,
Tune ou Tautre, (multiples, diverses et varies) de ses Facultatives,
jntellectuelles-morales-spirituelles, potentialités; ou, Yune ou Vautre,
(multiples, diverses et variées) de ses physiques-organiques-fonction-
nelles aptitudes et capacités. Et, ainsi, aussi, en résultante conséquence,
ou, I’un ou autre, (multiples, divers, et variés) les «faits de phéno-
ménes », qui suivent et résultent de Vexercice, — en Auto-Verbation »,
de son organique fonctionnement; en Auto-affirmative Auto-expression,
“ue de ses morales-mentales Facultés .... ou, de ses physiques, adaptives-
réalisantes conceptives Capacités,
ou effectives-efficaces Aptitudes.
Or, le « Verbe », c'est le «mot» qui implique, — et explique, —
«VActe», plus ou moins compliqué, par lequel I'Etre, le Personne, ou
Ja Chose, — sous son Nom spécial-idéographique, individuel, et des
autres « noms » différencié, — en et par ses morales-mentales facultatives
potentialités, en et par ses physiques-organiques, adaptives-réalisantes,
elfectives Aptitudes, ou conceptives-parturiantes Cepacités,
en s’auto-exprimant,u
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— 4
jait « Acte de Vie», est « Vibrateur de Mouvement »,
en «s’Auto-affirmant »*.
Maintenant. — I est de toute évidence, que, pour avoir un « Nom »,
_— spécial-individualisé et de tous autres «noms » distinct et différencié,
—il faut qu’une « Chose », une « Personne », un « Etre», ou, une « quali-
fiée-numéralisée », potentielle Faculté ou capacielle Aptitude, ... soit, ...
existe, wu. et se puisse, autorexpressivement-auto-affirmativement, Auto-
manifester, — c'est & dire, « Verber ». — Autrement, ...
comment et pourquoi ?
: verberait-elle 22? .-.
Et, ... si elle ne «verbe» point, ....
comment et pourquoi; que ou quoi,
serait-elle ?
ete
Or, ceci est de toute premiére importance. Si vous voulez bien nous
suivre et bien comprendre, veuillez y préter toute votre attention: —
Tl est de toute évidence, que, dans POrdre de précédence, — de « primo:
géniture », allions-nous dire, —le Nom vient avant le Verbe. Car, sil est
impossible de concevoir rationnellement un « Verbe », — lexpresse défi-
nition d'un Acte, — alors qu'il n'y a point, ni impliqué ni sous-entendu,
tun Agent actif qui procéde & «Verbation»; on peut, parfaitement,
Nous prions le lecteur de lire attentivement, d'esprit pondéré, el méme de relire
plusieurs reprises, fout cet exposé de Lingoistique. La Langue, est tout Homme. My
Piejone absoloment pécessaire de se bien rendre compte des différents aspects physio~
Togiques et psychologiques de Homme, afin de bien pénéirer le Génie, Ame mime, de
Ja Langue dont il se sert, princtpalement sinon exclusivement,
pour Eire
et pour Devenir.
Atosi qu'on le comprend bien : — Le Nom imptique un Ftat, wo Falt dEue ov de
Devenis, Le Verbe tmplique un Acte ée Vie, ex Etre ou en Devenir, — Le Nom est un
Ongane de Vib ‘dale. Le Verbe expose une des multiple, diverses et varites Fonctions te
Viebate un Nom. Bt le « phénombne de Vie idéate », — résoltante conséquence de
POrgane ex Fonction de Vie, du Mot en Acte de Verbatfon, — c'est 1dée exprizate par
1'Unlon-fuslon du Nom et du Yerbe,— 45 —
en bonne logique de rationnelle mathématique, imaginer, ou un Etre, ou
une Chose, ou une Personne, qui a sa spéciale-individuelle désignation
sous un «Nom», ... et, cependant ne «verbe », — n’agit, — point. Et,
n’allez pas eroire que nous nous plaisons & vous entortiller l'entende-
ment par de scolastiques subtilités de casuistique. Non, Ce n'est pas
dans nos cordes .... Et, au contraire. Nous nous évertuons simplement
& vous faire pénétrer V'intimité saine et vigoureuse, rationnelle,
du Génie de la Linguistique.
Done, rationnellement et logiquement, le « Verbe » n'est et ne peut étre, —
ne devrait jemais étre, — que, «le Dérivé d’un Nom ».
Il est absolument nécessaire que bien vous le conceviez, que, bien
yous en soyez parfaitement convaincu et pénétré, si vous voulez bien
comprendre, bien vous assimiler,
Vintime Génie de la « Langue sacrée ».
Attendu que: — La Langue sacrée est et constitue
un Concept d’Ordre cosmogonique.
Et, afin que bien vous le conceviez, il est nécessaire qu'ici, en quel-
ques mots, nous vous fassions le cosmosophique Exposé de l'Ordre des
Choses évoluant dans I'Espace et du Cours des Choses involuant par le
Temps. En nos «Vingt-quatre Cours introductoires-préparatoires aux
Principes et Eléments de Cosmosophie », nous avons exposé élaborative-
ment la Synthése et la Symbologie de ['Astaroth +, Nous ne pouvons que
vous y renvoyer.
4 Le gréco-latinisme, — de méme que des aymbologiques-Idéographiques, Astro-
Kabbalistigues, Sothises de « Baptometh », de « Belzébuths, Mtedelet=" gute leu
«Démon »,ee
Re &§&o tb WU
— 16 —
Tei, pour nos besoins d’étude linguistique, nous l'exposons:
Vie, — Organe, — Fonction, — Phénoméne.
Ay, — Ay — Arn — Oh
Scientifiquement, tout « phénoméne », — tout Fait, — linguistique
ou autre, — est la «résultante Conséquence» d’un .... Organe-en Fonction-
de Vie, — d'un Nom en Acte de Verbation. Le phénoméne, ainsi,
étant considéré sous aspect d’« Effet ». Or, dés que l'on se met & considérer
un quelconque «Effet» sous son subséquent aspect de «Cause», la
«résultante Conséquence », & son tour, devient «Acteur-en Acte-d’Acti-
vité», clest-A-dire, Organe-en Fonction-de Vie phénoménante.
Le quaternaire, As, At, Ar, Oth, — Vie, Organe, Fonction, Phéno-
méne, —se constitue, donc, linguistiquement, par Génie dela Langue, Nom,
Verbe, Idée exprimée, qui équivaut & Auteur, Acteur, en Acte d’ Activité.
Car, linguistiquement, toute forme d’Idée formulée, toute expression
compléte en « phrase », est le phénoméne, — la résultante Conséquence,
d'un «Nom-organe » en linguistique Fonction, — er Acte, — de Vie-
Verbante ».
ote
Le « Verbe» est le Mot qui exprime, en son spécial rendement de
forme organique-linguistique, P«Acte d'un Nom», — Etant, ainsi,
Vexpression de la « Fonction de Vie » d'un Orgone, il est de toute évidence
qu'il est de toute matérielle et logique impossibilité qu'un « Verbe » soit
« passif ». Car, s'il n'est pas ¢ actif », il ne « verbe » point. Et, s'il ne verbe
pas, il n'est pas
Sans doute, sans doute!... Il y a des Verbes dont «l’Action est
directe », comme il en est d'autres, dont «l'Action est indirecte >,
202 ne pourra jamais assez y insister, assez véhémentement le
terrible A voir jusqu’a quel point le Langue, telle qu'elle « été cuisinge par le Gréc:
latinisme, est un outil pe yen hypocrite et clandestin d'abrutissement,
de détraquement moral-meatal, Cele n'a V'air de rien. Et, cependant, comme une goutte
t_ | e—tobi ey ty cs
17
Mais. Notre intention n'est pas de vous dire et de vous démontrer
ici et maintenant, pourquoi et comment, afin de mieux abrutir et détra-
quer Vesprit humain des peuples qu'il voulait s’asservir pour, & fond,
les exploiter ... le Gréco-latinisme a maculé et maquillé, estropié et
ovariotomé, la naturelle-mathématique, la cosmogonique Mécanique,
le superbe-sublime Génie, la Logique .
de toutes les Langues.
Done, passons ....
d'eau tombant continuellement, Gait par percer la pierre Ia plus dure, ces absurdités
Vinguistiques agissant sur Venprit bumain, dés son eofaace et jusqu’s Ia mort, Gviasent
Par obsubiler, — par estropier et mutiler, — en lai tout son fnné sens de
rationaelle Logique, aon foné seas de morale~ mentale-mécanique-cosmogonique-
Mathématique.
Lecteur!... Asseyez-vous done un moment et rominez-aous un peu cela... C
simplement épouvantable! Le pon-sens, — ainsi iasidieusement inculqué, — par perma
bente babitude devient une allure machinsle,uofoatinct, one seconde,et monstrense
lature!ee
eee a ees
Ko o£!
sous us
Lo
SECC a ee rere atta
J
* nobis !.
LA LANGUE SACREE
Ainsi que nous aurons I'oceasion de vous le dire plus loin, en temps
et lieu, la « Langue Sacrée » fut inventée, créée, élaborée et Hinguistique-
ment organisée, — en Véhiculaire-Vernaculaire, — par I’e Aréopage » des
‘Anciens, — les treize Mages, — d’Atlantis, vers Ja fi du «Cycle du
Cancer», — il y a neuf mille ans environ, — alors que, prévoyant la
prochaine destruction de leur terre d’habitat, et aussi la fin de leur
«Race noire», — ils résolurent de transmettre aux Tbares, — Ahubari,
les Hébreux, — d’alors, en dépét, les sublimes-grandioses Mystéres du
Savoir acquis, du Pouvoir conquis, moral-mental-physique, par leur
arrivée & Papogée de I'évolution de leur Race... Ouf!!!.. Miserere
‘A moins d’y mettre ving’ pages de bonne littérature, en forme
simple, ..“claire, nette et précise, ... selon les dogmes des doctes pontifes
de la Sainte Médiocratie, .... nous n’aurions pu autrement vous écrire et
vous dire tout cela, d'une fois et en tas.
Or, ... ce n'en est pas ici lendroit....
La «Langue Sacrée », donc, c'est «I’Arche d’Alliance », — déposi-
toire-repositoire de transmission, — Vernaculaire Véhiculaire, — &
Taquelle sont configes en garde, les « Tables de la Loi», .. I'e Ancien
Testament» d’Atlantis, 'occulte Secret des Lois de la Nature, qui
+ Leur « Contivent »,
« Moaranien » par les éru
Aet Lant, en ancien « frison >, qui fut I’ « Eburon », dit le
s,... V'actuel « patois famand »,
a—20—
régissent I'Homme, et des Lois de 'Homme, dont la destinée est, —
selon ce Testament, —~ de s'évertuer pour arriver ...
& connaitre, régir, dompter en Lui, ....
Tes Lois de la Nature?.
ote
La «Langue Sacrée» est une « Idiomatique sans phonétique », une
Langue algébrique-idéographique, donc: faite pour étre vue, ... lue,
ou mieux déchiffrée, ... et,
non pour étre paride,
est la «Langue des initiales »,
— des Origines, des Commencements; —
done, la Langue @' Initiation,
Ja Langue Génétique.
Et, A ce propos, pour en artiver aux Origines, dénudons ce «mot »
— cet Idéogramme: Algébre,
Algtbre, c'est Al Ahubari, ... «Elle, la grande puissante, haute
Exaltée, luvre hébreue ».
Ilse peut qu'un queleonque érudit en Larousse ou en Lachitre vous
dise que Valgebre fut inventée par les Arabes. Mais, d’Arabe & Maure,
il n'y a pas loin; et, de Maure & Hébreu, il n'y a pas de distinctive distance
Bah !., Arabe-ibére, Ibére-arabe !.
Et puis, les Erudits, ... ls en disent tant !...
La «Langue Sacrée» est composée de, et compléte en, vingt-deux
«Eléments-ingrédients organiques-constitutifs », vulgairement connus
sous le nom de elettres de 'Alphabet hébreu »*,
1 Chacun salt que es Juifs, héritiers-dépositalres de Ia Lol, — les Atlantides
« Traditions », — dans leurs synagogues, ont un « Tabernacle » — dit Arche Alliance
(entre le passé et Vavenir de I’Humanité,) — dans lequel est déposé un exemplaire
hebrew de la Genése, non massoré, non vicié et dénaturé par des « polats diacritiques ».
1 Mest généralement avéré que la « Langue Sacrée » n’avalt pas de « Voyelles ». En
effet, étant une Langue symbolique-ld¢ographique, elle était constituée pour tre vue et—a—
J] Fonetionnellement, ces vingt-deux éléments sont divisées en deux,
voire, trois espéces ou catégories différentes; la premiére d’ordre nominal
] constitutif; la deuxidme, d'ordre qualificatif constitutif, et Ia troisiéme,
le «Lameth», — notre L, — dordre collectif-constitutif.
Le Lameth, sous certaines conditionnalités, est quelquefois reproduit
J en exposé idéogrammatique par le « Nin», la «nonne», — notre N; —
mais, ceci reléve du Grand (Euvre alcharniaque, et ill ne nous appartient
] point de «dévoiler Isis
Chacun des vingt-deux « Eléments ingrédients organiques-constitu-
tife» de la Langue sacrée est et constitue un «Glyphe » idéographique,
Crest-a-dire qu'il a valeur d’inconnue et, done, de facteur-qualité numéral,
de «concept abstrait-idéal »...
Vulgairement, on pourrait dire qu'il représente et exprime une idée.
Ce serait & la portée de tout docte rhéteur en Médiocratie; car, ainsi, ce
serait «clai
net et précis »......
Mais, justement & cause de cela, ce ne serait pas vrai. Ce serait
J inexact, parce que « borné». Et, étant bornée, limitée, circonserite en
une imparfaite-incompléte donnée, la réelle-intrinséque « Idéographique
Valeur algébrique » du «Glyphe» en perdrait toute sa portée.
_ Elle serait ainsi dénaturée, ovariotomée, devenue bréhaigne, dénuée
de sa fécondité,
Car, il faut bien comprendre et pleinement concevoir que cette
donnée: Concept absirait-idéal embrasse, en son indéfinie illimitée portée,
toutes les analogies. Et, chose remarquable, c'est justement cette «pan-
] théonie » de possibilités d'interprétative expression, que, lorsque Unité
en Matriarchique Communauté sociale-économique et religio-philoso-
ee i
Jue, déchiffrée, et non pour etre parlée. Elle
] fddomatique, — et de toute phonétique dépourrue.
Toutefols, ses vingt-deux Eléments-Ingrédients organiques-constitutifs étant figurés
en glyphes, ayant nom de désignation distincte et individuelle, ces « Noms de Valeur
algebrique », pour étre détignés et connus, nécessairement devaient étre verbalement
J exprimés; donc: phonétiquement déterminés. (Voir plus loin.)
, done, paremest « idiomatique », ——2—
phique fut détruite par la patriarcale Multiplicité en variété et diversité,
— cTest justement, disons-nous, cette infinie diversité de possibilites
que le Phonétique, le « Pfin linguistique, fit jaillir de Pan, le Tout
originel.
La Valeur algébrique-idéographique de chacun des vingt-deux
Glyphes, — éléments-ingrédients organiques constitutifs, — de la Langue
Sacrée, est faite de plusieurs couches de pénétration, — stratifications,
— en profondeur, La couche de pénétration superficielle, — stratification
d'affleurement, — est dite la « Démotigue ». C’est & profondeur de celle-la
que Fabre d'Olivet a élaboré le texte hébreu pour établir son interpré=
tation de la « Genése ».
Dessous, et la deuxiéme en pénétration de profondeur, se trouve la
couche idéographique, dite « Hiératigue», Elle couvre tout le terrain de
PEvolution et de PInvolution hiérarchique, les Lois de I’« Organique des
Organismes », des Fécondations et des Engrossements: —— done, de la
constitutive Corporéfaction de tous les « Corps physiques et méta-
physiques »; des Atomes et des Aromes, de I'«Odore-sonore» et du
« Calori-colore ». C’est celle-Ia que, en ces Principes et Eléments primaires-
préparatoires de la Langue Sacrée, nous nous proposons de vous faire
voir et pénétrer.
La troisiéme couche, ou stratification en. pénétration de profondeur,
de la Valeur idéographique-algébrique des Glyphes de la Lengue Sacrée,
est la « Hiroglyphique », Et, la quatriéme et derniére est dite Ie Alcha-
miaque ». Les deux sont et constituent !Exposé complet des Mystéres et
des Martyres, —- les Agonies, — du «Grand Cuvre alchimique des
Ténébres ».
* Le Sacrifice de la Femme, PHolocauste de la Taure, — la Légende bibtique de la
Tour de Babel (un Obélisque, un Phallus) et de la Confusion des Langues.- tos .
—B—
Nous n’en avons donc rien & vous dire, maintenant ici. Aprés nous,
@’autres .... viendront, qui plus loin que nous iront,
qui, .... mieux que nous feront.
Nous venons de le dire: La Langue Sacrée est Ia Langue d'Initiation,
En Cosmosophie, — pour cosmogonique (Euvre, — nous présentons
ces quatre couches ou stratifications de la Valeur signifiée des Glyphes
algébriques-idéographiques de la Langue d’ Initiation, sous l’aspect
de '« Entrée au Temple»,
Nous désignons la Valeur « Démotique» des Glyphes de la Langue
Sacrée sous le Nom de «Langue d'Initiation au Parvis. Elle est tout
simplement, mais complétement, d’Ordre acientifique-expyérimental,
aempirique «Savoir de Vie vécue ».
La Valeur « Higratique » est connue comme «la Langue d' Initiation
au Vestibule». Au Vestibule est le « Vestiaire », ot Y'on se dépouille des
langes et oripeaux du « vieil homme », pour se vatir de la robe sacerdotale
du Néophyte. A vrai dire, «la Langue du Vestibule » est et constitue
Vinitiale Initiation au premier grade et degré du Mystére des Ténébres.
En Atlantide, — et, méme aprés ’effondrement du « Continent », en
Ahabari, en pays de Race et de hiérarchique Metrierchat hébreu, — ici
en nos Gaules d’antan, par exemple, — bien avant l'invasion de 'Hellé-
nisme byzantin et du Gréco-latinisme, qui a usurpé le nom de Christia~
nisme, .... qui s'affuble des écorces mortes de Parbre de Vie, que fut notre
antique-traditionnel Katholicisme; ..... en Atlantide, disons-nous, le
Néophyte ne fut admis & ce premier grade et degré, qu’a son arrivée au
correspondant Stage d’Age;
& «T'Etiage de la Virilité »:
Ubar-a!-Uthi.
Nous y viendrons plus loin, en temps et lieu de notre développement
évolutionnel des « Origines »
i |e4
Depuis cette invasion de la Louve de Rome en nos mors et notre
vie de Celte-ibére, les portes et les Ouvertures d’Entrée et de Sortie du
Temple furent hermétiquement emurées », de bonne « Magonnerie »;
et, demeurérent fermées, .... malgré, méme, et aprés la mort et Ie destruc-
tion des Templiers. Et si, maintenant et ici, nous procédons & vous
introduire au Vestibule, c'est que notre européenne et anglo-saxo-améri-
caine Humanité a atteint le requis « Stage d'Age > pour s'ouvrit & su.
la «Semence du Semeur».
La Valeur « Higroglyphique» est connue comme le «Langue du
Pourtour », de I'e intérieure Colonnade », du ... Cloftre. C'est Is Initiation
& la Coulée du Corridor », — Kolidor!, — & la Féminité, (bi-polarité
d'entrée et de sortie), de Ia pansée et de la pensée; —
a la «Ponte de Fonte ».
La Valeur « Alchamiaque est connue comme la « Langue d'Initiation
au Saint-des-Saints », qui est 'autel, — utile outil, — qui est le «Taber-
nacle », !Eburon Couloir de PEztériorisation marasmée; qui est le Mystére,
— l'Agonie de Martyre, — de «I'Euvre des Téntbres», le «Grand
Cuvre Supréme du Bronze »,
Guvre hébreu de PEtain....
. . .
Comme toutes les autres langues, la Langue Sacrée est faite de
«Mots».
Les «mots» dont la Langue Sacrée est faite, sont des « Equations
algébriques ». On les nomme des « Idogrammes »; c'est & dire, des Syn-
théses, organiquement constituées, d'un Concept idéal, vulgairement dit
eune Idée,
1 Kolidor, — Kalidir, —Odeur de Chaud, Arome du Feu, — passage, Porte d’entrée
el de Sortie, ~ Chérubim, Ventre de Chalr, Avtoportative Porte, — des « Emations »,
In- et Ex-Man-ations, de Vie. — Que le lecteur bienvelllent docile et avide d'epprendre,
ne simpatiente point. Ce ne sera que lorsque nous aurons fal et que lel commencers,
en relisant tout ceci, qu'il pourra essayer de le comprendre,... le péoéirer’ fond, plus
ou moins... selon la force et le degré d'ucuité de sa perspleacité,J
at @
ko
— 23 —
Sous l'influence pernicieuse de notre éducation gréco-latine, on est
généralement enclin & confondre «la pensée» avec «les Idées». C'est
une fondamentale et grossiére erreur, qu’on peut attribuer & Ia fagon
«claire, nette et précise », — puisque toute superficielle, — des méthodes
d'enseignement de notre actuelle
ploutocratique Médiocratie.
Nous allons essayer de nous faire comprendre:
In'y a qu'un seul moyen de bien et pleinement concevoir, de bien
et largement-profondément s'assimiler «une Idée », — de la faire « sienne
et soi», — c'est de la passer au creuset du Cours et de l'Ordre des Choses,
de Ia soumettre & la « pierre-de-touche » de
Ja Loi cosmogonique.
Qui est que: eRien n'est, que ce qui est devenu; ... et que: rien ne
devient, — Chose ou Idée de Chose, — que ce qui est.
Dés lors et ainsi, pour bien se former une « Idée claire et nette
d'une Chose, il faut connattre et comprendre d’oi elle vient,
et comment elle est devenue
ce qu'elle est.
Le «Creuset de l'Ordre et du Cours des Choses », — la « pierre-de-
touche de la Loi cosmogonique », — c'est, nous vous avons dit,
Astaroth Kaldéen.
Nous'vous en avons donné, — page 16, — (pour tout ce qui est de
nos besoins de cette étude de I’'Art de la Linguistique, — qui est, d’ail-
leurs et aussi, la « Linguistique de I'Art,) — la Synthése comme suit:
As, Vi
At, Organe; — Ar, Fonction; — et Oth’, phénoméne.
Done, et ainsi, tout ce qui est, — Chose ou Idée de Chose, — est
devenu; est, par conséquent, « Effet » d'un Asetar; est un Oth, en phino-
mane, .... et, done, la résultante Conséquence d’un
Organe-en Fonction-de Vie.
+ En réalité eMfective-idéographique c'est Ush, (prononcer Out} mats nous Iécrivons
selon le docte et véridique Larousse.—%—
ete
Ici, préliminairement, et justement «& propos de Mots», nous
deyons ouvrir une parenthése: sous V'influence néfaste et délétire de
notre actuelle éducation gréco-latine, sous le régne et le régime de la
dominante-abrutissante ploutocratique Médiocratie, nous en sommes
arrivés au niveau de Ja Mentalité d’un insulaire des archipels polyné.
siens !.... ly a en nous, ily a autour de nous,.... des ... Choooooses
ily a dans un dictionnaire complet et non épiscopalement expurgé, des
«Mots» de ehonte entachés », et,
qui sont tabou.
Mais «...
Foin de toute «sainte Hypocrisie»!
Foin de toute furibonde-puritaine,
pudibonde tartufferie !!
Nous n’écrivons pas: «le mot en eing lettres ».
Nous appelons un chat «un chat », Et que ceux dont, par ces mots,
les Ames sont blessées, ceux & qui un mot fait venir de coupables « pen-
sées , n’aillent pas plus loin. Ils ne sont pas faits pour la Cosmosophie,
. et,
la Langue Sacrée,... Sacrée langue f.
n'est pas faite pour eux !..
.
* *
Nous l'avons deja dit: La Langue Sacrée est faite et compléte de
vingt-deux Glyphes idéographiques, — figures, chiffres, symboles, —
& quatre couches de stratification en profondeur d’Initiation, — qui sont
arrivés jusqu’a nous sous la désignation de «'Alphabeth » — Al pfitbuth,
— hebrew}.
3 Un peu plus loin, vous sere & méme de déchiffrer vous-mémes la valeur signi-
ls synthése idéographique, —Ia constituée Corporéité, ~ de ce mot: Al P/abith
+ Lui, Ie lit Ia Couche de souche du Souffle, animant tous let Nombres et Normes de la
Forme. — « Alpha... « Alpha et Betha de toutes Choses. C'est l'éteraelle-perpétuante,
Tuntverselle-maternante Féminité de la Nature.fee ae
www
eee Ew
—27
Et, nous répétons que: «Fonctionnellement, ces vingt-deux Ele-
ments Idiomatiques sont divisés en deux, voire, trois espéces ou caté-
gories différentes». Procédons & eur analyse:
Premiére catégorie. — Glyphes d'ordre nominal constitut
sont des lettres que, faussement, pernicieusement, on a qual
nom de «Consonnes ». — Ils sont quinze. Mais, il y en a deux qui n'ont
pas, & vrai dire, en Initiation hiératique, d’idéographique-algébrique
valeur utilisable, le Tau —le T, — et le Tsade, —le Tz. — Ils n’entrent
‘en fonctionnelle utilisation que sous Initiation & la Langue du Pourtour.
Voici tout ce que nous pouvons en dire:
Le glyphe, symbole, ou Signe de la Croix, +, (par Vintersection
de la masculine verticale, |, dans la féminine horizontale?, —), a pour
jdéographique valeur, le simple, physique-organique et naturel, Acte du
Coit. C'est d’ordre commun-courant et de déterminative cosmogonique
Nécessité, L’Acte du Grand CEuvre des Ténébres, la Science noire, Buvre
Scientifique @Ordre Idéal, n'a donc rien & y voir, rien & en faire.
Maintenant, Ja Langue Sacrée étant le dépositaire des Lois occultes
de la Nature en I'Homme, et I'Initiatrice aux Mystéres directeurs de
THomme en la Nature, il est facile de comprendre que ses originateurs,
les Kaldéens, procédant d’analogies entre Je terre--terre visible et le
transcendantal occulté, ne pouvaient se servir en leurs initiations que
de termes, locutions et expressions connues, pour élucider, mettre au
jour, le formidable Inconnu. Procédant ainsi, pour faire exposé d'une
opération éthéréenne-astrale, une sorte d'union-fusion télépathique,
représéntée par le Tau, le T, et différenciée de 'Euvre du Si
Croix, ils ont attribué & ce glyphe signification, valeur idéographique,
: @Acte de Colt. par contact.
Et, de méme, au Tzade, pour Acte d’union-fusion en parallélisme
inverse-réversée, celle
@'Acte de Cott par Fulgurence.
1 Hest & remarquer, —voir plus loin, — qu’en {nterprétation de Langue Sacrée, le
qualificatif « fémiain » ne s'attribue pofot exclusivement a la différenclation physique-
organique sexuelle, mais h tout ce qui est d'ordre passif, patient, négatif, — tout ee qnt
ext submissible.to wi
Ree Pee Ca ee
Deuxiéme catégorie. — Glyphes d’Ordre qualificatif-constitutif. —
Ce sont les Lettres dont, dans la Langue vulgaire écrite pour étre lue et
parlée, on se sert pour moduler en Sonorité la phonétique de celles dont
on dit qu’elles sont «Consonnes »; — celles done qu’on désigne sous le
nom de « Voyelles », Ces Glyphes sont six. Seulement, la Langue sacrée
n’a pas d’i grec. L’Ypsilon, comme son nom T'indique, est invention
hellénique. Mais, elle a le Ah, — le H, — auquel pour féminiser un Nom,
on a insidieusement substitué fe A. — Maria, pour Marieh, Anna pour
Annah, ete. etc. — Notons, ici, en passant, que la Langue sacrée, se sert
de trois glyphes idéographiques différents pour spécifier trois états de
«féminité » différents. Le Hé, — E, — implique « féminité vierge, non
déflorée, mais déflorable, apte & subir {écondation ». Le Ah, — Chet pour
les vulgaires hébraisants, — H, — implique «féminité déflorée, mais
non encore fécondée », — bréhaigne pour ceci, apte A materner & cela,
—et, le Ghimel, —G, — qui implique «féminité déflorée et maternante».
L’Hellénisme en sa Mythologie, — Synthése de la Personnification des
Principes, — représente le Hé par la déesse Diane, le Ah par Aphrodité,
déesse de la Luxure, et le Ghimel par Vénus, comme la Mére de l'Amour}
ce qui, du reste, ne fut que la viciation du concept égyptien d’Isis, mére
de Horus.
Tl est & remarquer que les deux premiers états de féminité, — le
Hé et le Ak, — sont exprimés idéographiquement par les Glyphes d’Ordre
quelifcatif-constitutif, — valeurs adverbiales, multiplicandes-multipli-
eateurs, — alors que le troisitme, — le Ghimel, — est classé parmi les
Glyphes d’ordre Nominatif-constitutif. C’est que les deux premiers
résultent arbitrairement, — délibérativement, — d’Actes de Fait, alors
que le troisitme est immuablement, — déterminativement, — Loi de
Fait en Acte.ee ie ie we
es bs ts ts to ta Le Ld
Py ey ke bk kt et a et ies
— 29 —
Entre Parenthases.
Ml cerait, sinon impossible, tout au moins, extrémement difficile pour
notre contemporaine mentalité, de pénétrer bien avant le Génie de la
Langue Sacrée, si, ici et maintenant, avant de procéder plus Join, nous
ne faisions un Exposé sommaire du Concept Cosmosophique, — acienti-
fique-artistique et religio-philosophique, — de nos vénérables Maftres
et Initiateurs,
les Atlantides.
Tis proclamaient en tout et avant tout comme principe de fait et
on d'étre de toutes origines d’Etre et tous moyens de Devenir, —comm®
T’Alpha et I'Oméga de tout ce qui est connu et de tout ce qui est inconnu,
mais connaissable, —
TEternelle-perpétuante,
PUniversellement maternante,
Féminité de la Nature.
Et, en Analyse synthétique de ce primordial et unique principe
a'Etre et de Devenir, — idéo-graphiquement, — en Exposé symboliquer
ils ont congu et dressé ce qui est exprimé par « Jéovah », — ITE U H, —
Je — Hé — Ou — Ah, —ce qui est archéologiquement connu en Science
Astro-Kabbalistique comme le «Sceau d’Ezéchiel », # — As-Ahi-al, —
Utz-Ach-il, — ce que les Egyptiens représentaient par le « Sphinx »,
PAs-AtAr-Uth,
vulgo, l'Astaroth.
aR—aT
1+]
oTH—aS
texte hébreu vulgalre établit « Exéchiel » par Jah-Az-gual, Bvidemment
Jn signiGeation Idéographique en eat beaucoup plus profonde que ce que nous en
ablissons ici. Nous avons réduit sa simple expression asatarale de : As le Feu (Ia
Ani le Péminin (VOrgane) et Us, ta Coulée, le couloir (1a Fonction). Nous s'avons
Aen sortir plus que cela, fof et maintenant. Le phénoméne, VeHet, UtA, est 1a
ésultante Consequence, directe et déterminée, de ce Triun causal.
a |e ie i ie]
yey tyes cs tis vi vs i
L
— 30—
En premiére analyse, V'Astaroth se décompose, se dédouble, en
deux parties, en At-Ar, léther cosmogonique, c'est & dire tout ce qui
est d’ordre ou d’essence supra-terrestre, métaphysique, et en As—Oth,
tout ce qui est terrestre, physique-organique, d’ordre ou d’émanation
corporels. La Langue Sacrée a pour objet et mission d’en établirla Science
et la Loi des Analogies. C’est ainsi qu’en Astrologie Kabbalistique, on a
pu dire que «ce qui est en bas est comme ce qui est en haut», «ce qui
est en-dedans », intérieur, «est comme ce qui est en-dehors », extérieur.
Ainsi, T'on définit YAxiome cosmosophique du Fait cosmogonique, qui
est que: Une seule Loi éternelle et universelle préside & POrigine et a la
Destine de tous les Etres et toutes les choses, et, seules, les Condition
nalités dans lesquelles «la Vie» s'effectue, déterminent la Multiplicité,
en Variété et Diversité, des phénoménes de la Nature. Done: — Les
Modalités de tout Etre et de tout Devenir déterminent logiquement, en
Cosmogonique mathématique Mécanique, toutes les Normes de Forme
en Faits de Loi conformes.
Ce qui équivaut & dire: La Nature, Elle, Al Ahim, — «Eloim», disent
les vulgaires Hébraisants | Elle, la Féminité, est éternellement
Vierge, perpétuellement et universellement Maternante, éternelle-
ment et universellement Une et Duelle. Toute la Variété et la Diversité,
toute linfinie Multiplicité de Etre et du Devenir de tous Etres-et toutes
Choses, est Résultante conséquence des Normes de Forme, auxquelles,
en maternant, — délibérativement, ou déterminativement-fatalement-
instinctivement, — les Etres ou les Choses se conforment. Or, [Etre
PHomme, n'est et ne fait que par ce que, selon, et pour cutant qu'il sait. Sa
« Verité » détermine et délimite son effective « Virilité ».
L'Ubar-il-ithi — est la coulée d'Ubar-wthi.
En seconde analyse, — résultante conséquence, en rationnelle
Logique, en Mathématique Cosmogonique Mécanique, de ce qui précéde,
—T'Astaroth se décompose, se dédouble, en As et At-ar-oth, soit, scienti-
fiquement formulé, en Force et Matiére, ou, mieux, — pour tout ce que
nous en savons, et éternellement en saurons, de ces scientifiques défini-um
we wu
we wee we we we wa
ww
erage
tions indéfinissables, vagues et ambigués, — en Vie et Organe-en
Fonction-de phénoménation, Car, nous ne connaissons «la Force » que
sous «la Forme Vie »,... multiforme Vie, multiforme Variété et Diversité
de Vitelité, individuelle et différenciée, pour chaque Etre et chaque Chose,
pour tous les Etres et toutes les Choses. Car, la Science empirique et
expérimentale de notre matérialiste Médiocratie, en
Spécialismes, se trouve forcément et, nous croyons
prisonniére et paralysée, en son cercle d’enfer de la Nomenclature.
Et, donc et par conséquent, chaque nouvelle modalité de Vie,
chaque nouvelle automanifestation d’un Etre ou d'une Chose, est classée
et cataloguée, par nos Savants, comme une nouvelle et spéciale « Force
de la Nature».
Done, As, c'est «la Vie», la Vitalité, d'um Organe- en Fonction-de
Phénoménation, d'un At-ar-oth. Ataroth, c'est Tarot, Et, les soixante-
dix-huit lames du Livre, — tant et si bien maquillé, masturbé, ovariotomé
et estropié par les éclésiastiques « Cartiers » du moyen ge, sont et cons-
tituent, — pour gui en a «les grilles » et peut les classer, sait les déchiffrer,
— sont et constituent, disons-nous, les feuilles d’initiation aux Mystéres
et aux Martyres, aux Agonies et Gémonies de l'Organe, qui, en Fonction
de Vie, phénoménise.
‘Nous n’avons pas & écrire, ici et maintenant, une CEuvre d’ Initiation,
et, jusqué Ia, cela suflit pour ce que nous avons en vue d’établir,
En troisitme Analyse, — en paralléle du deuxiéme dédoublement, —
Ia Synthése asatarothale se décompose en Asatar et Oth. Asatar fait
Astre, — Astre, c'est Atre, — Astre, c'est Estre, — Etre, — qui est et
fait «Esse-auteur», Auteur, c'est Uthir, d’od «Uterus» ou Matrice.
DAsatar vient Asatarologie, vulgo « Astrologie », la Science de "Etre et
du Devenir de 'Etre et de la Chose; qui est «la Science de Esprit », de
VEntité indivise-duelle et des autres entités « différenciée ».
Or, de méme que nous ne pouvons connaftre la Force quien et par
les phénoménations de la Forme, de la Matigre, de méme que nous ne
a(t bk ts bt Lt Le—32—
pouvons connattre la Vie qu’en et par les fonctionnelles automanifesta-
tions de la Forme organique, de méme, ainsi, nous ne pouvons connattre,
pénétrer et analyser 'Esprit, qu’en et par sa Forme de revétement,
@habillement, d’utile Outilité, en et par son Corps. Dans le domaine
&théréen-astral, le Corps métaphysique de I'Esprit s'appelle Ame, Et,
dans le Domaine azothal-terrestre, I'Organisme fonctionnel de l'Ame
sappelle le Corps terrestre-physique. Ce qui est en bas est comme ce
qui est en haut. Une seule et méme Loi préside & toute fonction de Vie,
régit evolution de la Norme de Forme organique. La Cosmosophie
enseigne que tout Oth, tout Corps, est la résultante conséquence d’un
Asatar. Par Analogie, ainsi, on procéde de la connaissance du Corps
physique & celle de son Asatar ou Corps métaphysique, et, ensuite,
inductivement de I'Ame & V'Esprit animant, & Esprit, ou Soufile, de
Vie; de TEffet on va & sa Cause.
Or, la Cosmosophie enseigne également, que de Cause & Effet, toute
Norme de Forme étant & son Fond, — son Soufile, — sa Force de Causa-
tion conforme, tout Oth, transmuant de l’aspect d’Effet A V'aspect de
Cause, son tour devient Asatar; et, en méme Norme de Forme, procéde
a dédoublement, & auto-reproduction, de Soi, isse son Effet, sa Résultante
conséquence, son Oth. Et, ainsi, en transmission ou communication de
Force causale, Souffle de Vie, s*établit la Sériation, l'enchatnement pro-
gressif-évolutionnel de Etre, du Devenir. En chainons, pour auto-
conservation de T'espéce, par l'auto-reproduction, individuelle, et en
variété et diversité multiplicative, différenciée.
Les organes physiques d’suto-reproduction auto-représentative du
Corps terrestre-afothal, s’appellent organes sexuels. Ils sont, pour ce qui
est de l'atavisme physique-organique, transmetteurs d’aptitudes quali-
tatives d’astralités vitales, de la part du Corps auto-reproducteur. Ces
aptitudes de transmission, en Vitalité, de qualitatives Facultés,
en leur totalité, s'appellent la «Sexualité », Or, Sexualité n'est qu'une
linguistique modification du terme Sixualité, état d’étre six en numé-
ration.
C'est ainsi qu’en Astrologie Kabbalistique, on connait six as-
tralités, ou plendiaires qualités. Et, cela explique comme quoi, etew fe be ee
a
—B—
pourquoi, en Langue Sacrée, il y a six glyphes d’Ordre qualificatif
constitutif.
As —| At —
Ar
At — Ar | Oth...
En quatritme Analyse, Astaroth se décompose, se dédouble, en
As, en At, en Ar et en Oth. C'est le démontage de l'ensemble synthétisé
en ses originaux-basiques Eléments constitutifs, en ses idiomatiques
ingrédients de composition corporéfiée.
Chaque «mot » est un Idfogramme, est une synthése idéographique
de deux ou plusieurs glyphes, lettres, ou Valeurs chiffrées;... une équation
linguistique,... une formule chimique. Pour pouvoir le déchiffrer — le
lire, — en pleine connaissance d'initiale Langue sacrée, il faut connaftre
Ja réelle-viritable Valeur, P'idéographique Signification des Eléments,
constitutifs Ingrédients, dont il est organiquenient composé.
Nous procéderons maintenant & vous en exposer les significatives
Données, — naturellement, ainsi que nous vous I'avons dit déja, rien
qu’a leur deuxiéme couche de stratification, & profondeur de la Langue
du Vestibule, pour hiératique Initiation. — Et, selon notre eosmoso-
phique Méthode d'atlantide Didactique, nous irons de droite & gauche,
c'est & dire, nous commencerons par Ja fin.
.
. .
‘Troisitme Catégorie. — Glyphe d'Ordre collectif-constructif. — Le
«Lameth », notre lettre L.
«Lameth », c'est al Umaith, et, vulgo, Umith, c'est «Mot », Ainsi
que vous serez B méme de le déchiffrer vous-méme, plus tard, Um-Uth,
c'est-b-dire, 'Uth du Mum, a pour valeur idéographique «f Uthérateur »,
PExtériorisateur, du Corps physique-organique », le « Couloir de la Coulée
SS Ly.
1, Lameth. — En Langue Sacrée, comme préfixe de de
*Quistessence évoluée ou artifiellement provoguée et jusgu
nm, elle a vateur de
feree puit-— 3% —
J de vier. — Or, le «Mot» étant donné qu'il a valeur idéographique,
signification occulte-algébrique, — un Inconnu, — A mettre au jour, est,
en réalité, au point de vue de la Langue Sacrée, le Metteur au monde.
= YUthérateur, — d’od Panglais «to utter », — I'Extériorisateur (du sens
inné) de Ia Corporéité organique-physique-linguistique, que Etre ou la
] Chose qu'il représente est et constitue, Veuillez creuser & fond cette
« Idée ».
Fonctionnellement, le Lameth, — la lettre « Elle »— notre L, — a
an deux significations, deux idéographiques Valeurs, spéciales et différentes.
: 5 Devant, en place initiale, au commencement du mot, il fait, si l'on
: J peut se faire comprendre ainsi, fonction introductoire d'article défini,
7 défnissant les autres constitutifs ingrédients, dont le Mot, fonctionnelle
j Instrumentalité, est composé. Et, comme tel, il a généré, originalement
pro-créé, nos articles «le », «las, eles ». Et, ensuite, les pronoms 1, Elle,
7 et Lui.
= Aprés le mot, en affixe terminal, ou dans le corps du mot, qualifiant
le ou les glyphes qui le précédent, il a valeur extériorisante, uthérante;
1 signification de Coulée, Couloir, Colidor, tube conduit, et ce qui y pass.
| Et comme tel, il est Elle, Kar-ub-iim, le ¢ Chérubin », 'Auto-portative
J Porte d’Entrée et de Sortie. De méme que Uth.
En initiale, devant ou au commencement du mot, il a signification
4 de Elle, — ou Lui, — supréme, ... ezalté au troisidme degré de potentialits,
/ 4 intensité, d'énergique faculté, eapacité et aptitude spiritualisee.
4 aance exaltée» — Oth-bl-ithérée. Et prend Va; d’od af en al Umeiid-ileiK, «A-
lambie », qui est syaonyme de Ombi
Dans Te corps ou 4 Ja Gin d'un Idéogramme, — Syllabe ov mot, —« Elle», qui pread I's
7] alors, a valeur de « Couloirde passage pour Coulée qui passe», et, donc aussi, implique
«Bi-polarité par entrée et sortie ». Directe et sans intervalle. Au contraire de Tech, —
4 de POth — Auto-portative Porte, qui, entre I'huis d’entrée et le pertuis de sortie, com-
porte un Alambie; un Alambic-ombilical de triturante concoction, pour « éthérienne
“ ‘Sublilisation » et eazothique Sublimation mercurielle » des Eléments du Corps par les
Principes de Ame; — de la «Crypte» par le Nombre de la Force; de la «Force »
7 par la Forme de la Crypte. (Cours d'Initiation & FAstro-Kabbale, pour mon ami et
disciple E. G. — Nous désigaerons par les initfales C.1.A.K. les emprunts que nous
ferons, en note, Ace traité.)seg fee
Lameth, done et ainsi, signifie Lui-le-Mot, — Elle, POrganique
Corporéifige Uthératrice linguistique exc-ellente, en Longue sacrée & supréme
degré d'Altitude exaltée. — Ex-Elle-tée —.
L'c Elle » devant le mot, ainsi, est indicatrice d’exaltation nerveuse-
physique ou astrale intellectuante, de I'Etre ou de la Chose, dont ?Umuth
est le symbolique représentant.
L’Umuth, — Elle, — la Féminité, — de l’Etre ou de la Chose repré-
sentée, synthétisée, par le Mot, ainsi, a généré le Muth de Vallemand, le
Moed du flamand, le Mood de l'anglais, le Mode, la Modalité du frangais,
qui signifient, en partie ou en totelité, le «Courage», !"Energie vitale-
animale, !'« humeur », I’ Individuelle Idiosyncrasie, la caractéristique per-
sonnalité — le Moral — de la Chose, physique-organique Corps de l’Ame,
ou de l'Etre,.... astrale-éthéréenne fonctionnelle Instrumentalité, Ame,
de TEsprit.
Enfin et Surtout, Lameth, en sa qualité d’unique-synthétique Glyphe
Ordre collectif-constitutif, signifie et représente VEnsemble, la synthése,
des six planétaires astralités, de la Sixuelle Sexualité, qu'en ses Glyphes
Ordre qualifcatif-constitutif, nous allons idéographiquement analyser
et déchifirer, maintenant:
.
7
Deuxiéme Catégorie. — Glyphes @Ordre qualificatif-constitutif. —
Nous vous J'avons dit: ils sont six.
L’Aleph, ~ A, — le Vau, — U, — le Hé, — E, — le Ah, — vulgaire-
ment Chet, — H, — le Jot, — I, — et le Gnain, — O.
Ce sont les Adjectifs et les Adverbes de la Langue Sacrée. Comme
qualificatifs-constitutifs, ils spécialisent les Noms, les Glyphes de la
premiére Catégorie. Et, c'est ainsi, mais & tort, que, pour les langues
vulgaires, on les a fait transmuer en « Voyelles ». Car, ils consonnent avec
les «Consonnes », qui, en acte de phonétique Fait, sont aussi voyelles
qu'elles, D’autant plus, qu’elles représentent les «Astrales sexualités
odores-sonores et calori-colores ». Mais, c’est la scientifique Manie; il faut
bien nomenclaturer et cataloguer, en aveugles qui ont la rage de docto-
ralement pérorer et scholastiquer des « Couleurs »,Lie we ae
Lae
ws ve
Py cy bd LY Le Ls Le La LG
ee ee
Lorsque, passant d'Etat & Acte linguistique, les Glyphes nominatifs-
constitutifs, — les Noms, — transmuent & Verbation, leurs qualificatifs
fonctionnent adverbialement. C'est la méme chose; mais si l'on ne spé-
cislisait pas nomenclaturément,.... Dieux des Savants érudits! qu'ad-
viendrait-il bien des Spécialismes |... Et, sans empirique Spécialisation,
of en serait et of inait...?
le scientifique Matérialisme.
Les Glyphes d’Ordre qualificatif-constitutifs s'accouplent deux par
deux, 'Aleph — A, — avec le Vau — U; — le Hé — E, — avec le Ah —
H; — et le Jot — I, — avec le Gnain-— 0. — Car, notez-le bien, la
Cosmosophie enseigne T’éternelle-permanente, T'universelle perpétuante
Indivise-Dualité, — indissoluble Bipolarité, — des Etres et des Choses.
Sous cosmogonique aspect, tout Etre, toute Chose, est un « Aimant »
— Magnet, Mah-anah-ith!, — une Entité d'Amour, une Indi
Dualité aimante. Et vous connaissez suffisamment la physique-mécanique
pour savoir que: la polarité féminine, dite « négative », origine et développe
Ja polarité masculine, dite « positive »; comme de aon cbté et également, la
polarité masculine origine et développe la polarité féminine, Les deux
polarit
4tés co-existent l'une par I’autre inséparablement. Et, en
activant l'une Pon intensifie l'autre, et, si l'on obnubile, éteint, l'une,
Yon épuise et dissout l'autre. Ce sont la élémentaires notions de cosmo-
gonique physique Mécanique, qu'il ne faut jamais perdre de vue, et dont,
en Science ou en pratique occulte, il faut partout et toujours tenir compte.
Pour bien pénétrer le Génie de la Langue Sacrée, pour bien pénétrer
le sens occulte des Glyphes d’Ordre qualificatif-constitutif, il faut conce-
voir clairement et complétement le tétragramme, dit «divin»,
nan
3 Uthérateur de supréme puissance. :
® Test bien eatendu qu’en vous préseotant le préseat Exposé de l'antique-atlantide
Langue Sacrée, nous n'avons ni intention nf la préteation de vous easeigner «Hebrew».
Crest pourquoi nous évitons autant que possible & notre imprimeur I'einploi de types,
ou caractéres, hébreux. Il est évident, qu'ua texte ainsi entrelardé de types exotiques et
rastaquouéres, cela fait bien dans le livresque-universitaire paysage. Mats Ix valeur de *
nolre ceuvre, soumise a autre plerre-de-touche, doit éire appréciativement jugée d'aprés
davtres lois.ees is es as es
asi tie ee ke he be is bt iL
afi
—37—
—EUH, — dit «Jehovah », — qui est le hiératique aspect de l'Asta-
roth, comme le « Sphinx » en est le démotique aspect, le vulgaire populoire
symbole.
IEUH, c'est « Force-Matidre en union-fusion doffinitésielle con-
jonction, — en Colt, — pour s'auto-reproduire et s'auto-conserver éternelle-
ment-universellement en PEspace par le Temps, C'est analogiquement,
Yévolution expressive de notre premitre dénudation en Vie-Organe-en
Fonction-de phénoménation. Le Jot étant le Feu, le Hé étant YEau, le
Vou étant I'Air, et le AA étant la Terre, les quatre Eléments astro-
Kabbalistiques de tout Etre, tout Devenir.2
ete
Au commencement, avant tout Etre et toute Chose, — dit la Torah,
la Genése des Ah-ubari, en Langue Sactée, — existe I’ Ineflable Chaotique,
IEUH, Jéoush,
la Masse massive amorphe,
al Ahim,
Lui, — Elle, — UEternel-permanent, PUniversel, PUn-tbar-Esse-tl-
perpétuant; le Féminin. C'est le Chaos, c'est la masse-massive amorphe,
informe.
C'est I'Ineffable.
Pour Etre, pour Devenir, pour entrer dans la Forme, Elle se dédouble,
Elie entre en Maternation, Elle proctde & séparante parturition, et, —
en Délivrance, — se donne le jour, se met au monde, et devient
J — Evah
3 La Science expérimentale-e:
inst exposé par I's
frique commence b se rendre compte du Fait, —
ntide Tradition, — par I'Astrologie Kabbalistique, — qui est
que «un jour de PEau, dans PEau, te Feu naguit. Dans celte Union-fusion, par at pour
elle, Tair, — le Gos, Pither atomique, — se produisit. Et, de cette axatarate Trinnitl,
foutes tes « Terres du Ciel» toutes tes matérieltes-substantitiles «Choses de Terre » sont
les résultantes Consequences, tes Auto-reproductions.4
oes ss i i i a
— 38 —
Elle est
PArdente - vibrante-Taure, As-Torah.
Et, ainsi, en se dédoublant en l'Absolu, pour entrer dans le Relatif
de la Forme, la Taure, en se séparant de I'As, du Feu amorphe et incon-
naissable, ... Evak, en se séparant du Jot, du principe Masculin absolu,
pour, en féminisant, pouvoir Etre et pouvoir Devenir. ... la Taure, Evah,
devient Aimant, est Bipolaire, devient Indivise-Dualité et est un Moi
autonome, de tous les autres Moi-Entité distinct et différencié.
.
. .
En Langue du Vestibule, les occultes Significations Secrées, — les
algébriques Idéographiques Valeurs, — des Glyphes de la Deuxiéme
Catégorie sont, pour:
Aleph.? — Notre A. — Principes et Eléments.—Commencements —
Subjectivité d’Aspect. — C'est Saturne, — 3 —.
Yau. ?— Notre U. — Affnitésielle Conjonction en Union-Fusion, ~
Trait d'union. — Vibration. — Rythme et harmonie de la Norme de Forme,
—— Attractions sympathiques et Répulsions antipathiques. — Cest Luna,
—«¢, .
Hé. + — Notre E, — Féminité vierge non déflorte, mais déflorable.
Nibelungen: Nobles-nubiles Aspirations, juvéniles Effervescenses et prime-
28 Aleph — ... Principes de Force et Eléments substantiels de Matiére, congus en
Absolu inconnaissable, avant entrée dans le relatif; — avant originelle — primordiale
Portée de Donnée. Raison d Etre des Choses. (C.1.A.K.)
4). Vou — Vibration de Vie animante, Coojonctuelles affinités sexuelles, amenent,
Jes Unions-Fusions de tout ordre ou genre, entre Nombres de Force ov Forces deNombre,
Formes d’Etre oa de Devenir; entre Priocipes et entre Eléaents; entre Etres et entre
Choses corporifiges. — Sexvalitis. Astralités, Azothalisations. (C.LA.K.)
* hy. Hé —Feminhté en virginal- adotescent épanouissement ..u.. Lucarités (C.1.A.K.)ov oe
z
a. a
a
toe
on
—39—
sautidres, vagues-brumeuses Imaginations, iWusionnaires et dévergondées
Ebullitions, Evolutions d'Adolescence. Chasses auz papillons. — Crest
Venus, — 9 —.
Ah.* — Notre H. — Féminité déflorée et non fécondée, — Instincts et
tendances de femelle animalité, — Voluptés, débordements de plénitude. —
Jouissances, joies, fulgurances’et ivresses de la Vie. — Courses aux Chi-
méres. — C'est Mars, — of —.
Jot. * — Notre I. — Le phallus, le physique Organe sezuel masculin.—
Nrest pas usité en Initiation hiératique. — C'est Jupiter, — 4 —.
Gnain, *— Notre 0. — Le Ctels,le physique Organe sexuel féminin.—
Nrest pas usité en Initiation hiératique. — C’est Mercure. — § —.
7 ;
ete
Troisiéme Catégorie. — Glyphes @Ordre nominatif-constituti]. —
Ainsi que nous l'avons déja dit, ils sont quinze, dont il en faut défalquer
deux, — le Tzade, Tz, et le Tau, T, — qui sont de Langue d’Initiation
au Pourtour, & la Colonnade, au Cloitre, du Temple.
Nous vous avons dit qu'ils sont les « Noms » en Langue Sacrée. Nous
pouvons, ici et maintenant, revenir sur cette premiére préparatoire-
introductoire Donnée. Nous voulons qu'on nous lise et que l'on s'évertue
& nous comprendre. A cet effet, nous devons arriver & pénétrer vos
modernes Mentalités. C’est didactiquement, tout un travail d’assiégeant
que nous entreprenons; quvre de mine et de sape travaux d’approche,
de circonvallation, d’ambages et de circonlocutions. Nous devons nous
plier aux illogismes, aux absurdités, de votre Grammatique, pour arriver
& vous pénétrer, — & vous battre en bréche pour vous illuminer, — du
Génie de la Langue Sacrée.
1 Fy, AA — Féminité en virilante jeunesse de miturité ... Chat-en-Chasse (C.LA.K.)
#9, Jot — En vulgaire démotique, le promoteur d'énergie, fe thon d'allumage wan.
tapbet J-pfith, ... Opf-ith de Jot. — Birovaine, vor avsar, (C.LA.K,)
a — N's pas été excrypte; ne le sera pas encore. (C.LA.K.)— 40 —
Done, & vrai dire, chacune des Lettres de Alphabet hébreu, chacun
des vingt-deux Glyphes idéographiques de la Langue d’lnitiation aux
Mystéres du Temple, & I'Euvre des Ténébres, est et constitue «un Nom 4
une « signification d’ Etre ou de Chose », une Désignation spéciale-indicative.
eplicative. Et, chacun de ces Noms d'Etat entre, pour Etre et Devenir, en
Acte de Verbation. D'autre part, chacun de ces Noms d’Etat, qualifiant
Tune ou Vautre des variétés ou diversités d’Etat d'un autre Nom, par
adjonction, fonctionne adjectivement; de méme que chacun de ces Noms
d'Etat, modifiant I'Acte de Verbation d’un autre Nom, diversifie,
«varifie », cette Verbation, et, ainsi, fonctionne adverbialement, L’Art de
la Linguistique est Linguistique d'Art.
Veuillez bien nous suivre et nous comprendre: — La Langue Sacrée,
congue et propagée pour les besoins et selon le génie de MAtlantide
Matronat, était une Langue sociale-Sconomique d'Etre et de Devenir, en
conformité avec la Logique, la mathématique Mécanique des éternelles-
universelles Lois cosmogoniques; Lois de 'Espace dans et parle Temps.
Elle était Langue de Science artistique, Langue religio-philosophique, et
nullement, comme les Langues actuellement existantes ou connues,
Langue phallique, Langue de Police, de Politique et de Polémique, Langue
de Lucre, de Luxe et de Luxure; Langue de Médiocratie arriviste, Langue
ploutocratique.
C’était une Langue fondamentalement subjective; Langue du
Connais-toi toi-méme, Langue d’autonome individualité, Langue du Moi
n'ayant d'autre Lot que la Foi en Sol.
Depuis, sous Pinfluence et par linvasion du Byzantinisme hellé-
nique, et, surtout, du Gréco-latinisme de la Louve de Rome, — dont nous
vous ferons historique plus loin en nos « Origines », — "Homme, d’Etre
subjectif, est devenu une Marionnette d'objectivité. Il a perduson centre
de gravitation, l'autonomie de son Indivise-Dualité, sa Loi du Moi, sa
Loi de Foi-en-Soi. Il s'est asservi & la Loi de Foi en Autrui. Au lieu de
vivre pour Etre, pour Savoir, afin de Devenir, il s'est mis & vivre pour
Paraitre, pour avoir, pour posséder, et, ainsi, pouvoir conquérir, envahir,
ravager; dominer pour régner et s'asservir toute Chose, tout Autrui,
Crest ainsi qu'on a dit que le Christ est descendu du ciel pour sauver lewi
tL.
kB be bs Lats
Rook bes be ke LL be
-—u4—
monde. Le fait est que, mort sur Ja croix, entre deux voleurs, il s’est
montré incapable de se sauver lui-méme, Et, c'est, ld et cela, la morale
de cette histoire: Si chacun se sauvait soi-méme, tout le monde serait
sauvé; alors que, comme chacun veut sauver I’autre, tout le monde va
A vau-l’eau,
Vous comprenez parfaitement que, vivant surtout de vie-intime
subjective, auto-contemplative*, vivant pour connaitre et développer
Tindividuel Caractére évolutif de leur Entité différenciée, de leur auto-
nome Moi, les Atlantes ne s'inquiétaient que d'ingrédientielles-constitu-
tives choses d’Etoffement substantiel, Choses de Fond; et ne se préoc-
cupaient guére, et rien que pour la Forme, des évanouissantes contingences
de pure Objectivité, Choses de Forme, Il leur était de peu d'importance
observer et de scientifiquement constater et savoir, que, ... Eux, leur
Moi, — ou celui de 'Autrui, — était «petit » ou «grand», «jeune» ou
«vieux », «beau » ou «laid », «droit » ou «courbes, etc., etc... ete.
C'éteient détails de Forme, et ce n'est pas cela qui les pouvait
«changer en nourrice »;... qui pouvait contribuer & leur progrés évolutif,
& meilleure et continuelle Elaboration développante dédoublante, de
leur Moi, et de son Etat moral-mental. C'est pourquoi — et vous le
comprendrez, — les Langues profanes sont glorieusement et inutile-
ment riches de mille et mille adjectifs et adverbes gui n'évoluent pas de
Noms de Choses, intrinséques et stables; mille et mille qualificatifs et
modificateurs linguistiques de Formes précaires et évanescentes, qui
ne changent en rien l’étoffement substantiel de notre Fond d'Etre et
de Devenir,
Parmi les treize Glyphes d’Ordre nominatif-constitutif, dont nous
vous donnons ici l'algébrique-idéographique Valeur, en hiératique Initia-
tion, huit sont accouplés deux & deux et cing sont solitaires.
1 Les Brahmanes, qui ne savent plus que singer, simulacrer, les antiques traditions
de N'Atlantide, en ont pris V'hebitude de s'abimer ea Néantisme de Nirvana, et, ainal,
Wabrotissent a se contempler le nombril.j
J
J
J
J
J
J
J
J
J
J
J
J
J
J
J
J
J
—4—
Tl y a done, le Beth et le Pé, le Samech et le Zain, le Kaph et le
Coph, le Mem et le Nun; et, it y a le Ghimel, le Daleth, le Resch, le Theth
et le Schin. Voici les occultes significations pour:
Beth}. — Notre B. — Bain, Couche, Berceau, Créche, Sépulere, —
Formes et Nombres de Rhythme vibratoire. — Phénomines et apparences.
— Aspects Pidéat abstrait. — Principes et Matrices Origination,
PE +, — Notre P. — Eléments de constitution en la Matiare des Forces
exprimés par le Beth. — Aspects en rbel coneret, sous la Forme ax Fond
conforme.
En la «Lexicologie de la Langue Sacrée », nous aurons occasion
d'illustrer par des exemples cet accouplement idéographique.
Samech *, — Notre $, — Serpent de la Genése, — Féminine In-
fluence. — Faculté, aptitude et capacité de Séduction, Uenivrement, Penve-
Joppement envahissant, denroulement et Pengoulement, — de persuasive
fascination. — Efflux doux, ondulant, soporifiant. Acte et puissance
de volonté patiente attentive,
2 3, Beth, — Valeur: Formes et NomBres ~ Nombre a'expansion, Force de Crypte,
Sul Haste manifeste, — s'auto-afirme en s'avto-exprimint, —grimeadh
Donnés de Portée, — en et par les Formes perceptibies ae Ir eeahe
inverse-téservé, Formes transmutables de la Subsianes corporéfée, variable Portée de
Donnée expansive, ri-colore, en Crypte formée-constituge de
Ja Force de Vie qu 28. — (CLAK,)
{B: Pé, — Est Véquivalent, — pour Choses @' Ordre éthéréen stral-potentiel, —du
Beth, gal ne comporte que Choses d'Ordee tervesice, azothales-cryptiformes.(C.
ace hett fire dévoilé comme ta rayonnance supérieure de Principe pote:
‘exalté, c'est son Astralite. (Doctrine Secrdtey,
1, Samech — ... Ondulantes-chatoyantes Formati
Prenantes, enroulantes-enveloppantes, Séduisantes-éaives
Kiweutes-caressuntes, ... du Vau, de la Vibration de
Karma du Boudhisme) d'attrayante tn-tesctiee Aulraction,
dante Absorption. — (Aecouplé au Zain) —(CLAK)
ions fémintoes-persoas
ates-¢bloutssantes, douce
Formes de Charme, (Ie
+ Pour nutritive ou fécon~7
L
Lbs
J
J
be bbe
ee gt
Le
ily
esi
Zain‘. — Notre Z. — Aspect violent-brutal, masculin, du
Serpent de la Genése. — Foudroiement. — Intoaication, griserie animale.
— Stupéjaction. — Efflux rude, zigzaguant, subjuguant, fascinant, —
Acte et puissance de volonté anxieuse, désorbitée, soudaine et
impérative.
Kaph *. — Le K. — Acte et puissance, Fait, de Copulation. — Etat
de Fornication, — Tourbillon-maélstrom, cyclone, tirebouchonnant
entonnoir et entonnement, de Vibration, en, par et pendant, Vacte d'accole-
ment en union-fusion de deuz polarités en opposition aimantées. —, poussée,
rythme, de tout va-el-vient.
Coph *. — Notre Q. — Liartificiel, le provogué, le délibéré arbitraire,
de tout ce qui, — en Kaph, — est naturel et non-voulu, est d’Ordre déter-
minalif, cosmogonique-fatal et inévitable. — En vicieuse bestialité, cela
s'exprime par et se réduit & homosexuslité et Ia lesbiennerie.
14, Zain, — Formations masculines-impérieuses, violentes, brutales, eruelles, du
Vou, de le Vibration de Vie; Nombres de Choc, d'Elan, de Jet, ... en atsaut de péné-
tration. Brisures, ruptures par tiraillements en zig-zag. Foudroiements, Arsommades,
Ecrasements, ete.
— (ll peut parattre étrange qu'en Goostique Symbolique le Nombre Sept, — Jais —
corresponde a ce glyphe? Considérez que «La Nature, éternelle-perpétuante, uni
certelle-maternante Féminité », est et constitue une bipolaire Indivise-Dualité, Et, eo
expérimental vécu, songez que «le femelle désorbité, hors de ses gonds d'sssiette jeté,
est autrement cruel, brutal, féroce et violemment impérieux-absolo, que le mile en sa
sérénité »,) — Tout est relatif, — inverse-révereé. (C.LA-K.)
#5, Cagh, — En wolgaire Démotique, « Fornication », « Fornicateur ». En somme,
toute Fonctionnelle-organique Conjonetion pour affinitésielle Union-fusion entre deuz
Eléments ou Corps en Syinpathiqne-sizuelle opposition de Polarité; soit solides, liquides
fou gazeux; soit dordre cristallin, végétal, animal ou hominal. CAimigue physique.
(CLA.K)
* p, Coph. — Est Véquivalent, pour Choses d'Ordre éthéréen-astral-poteotiel, da
Caph, qui ne comporte que Choses d'Ordve terrestre, azothales-orgs 1es-fonction-
nelles, done Cryptiformes — d’ois « Caph-coph », — Ki-Kif, ... de la Table d’Emeraude:
«Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas» — «Ce qui est au dedans est comme
ce qui est au dehors », — Ete. (C-1-A-K.)
afiua os WL
LG Ge ee ee ve Ce Cs Ce LX
Neate eee eee Ara ee
—
Mem. — Notre M. — Nourrice, Sustentatrice. — Corps organique
physique. — Chose terrestre azotique de ! Ame. — Enveloppe. — Etoffe-
ment. — Vétement et Batiment, — voire, méme, extérieur-ornemental
Habillement, — de toute physique-organique Edification de Structure. —
Construction physique-organique. — Le Monument.
Nun *, — Notre N. — La Nonne. — La Vestale, — Corps organiqu
métaphysique de PEsprit. — Souffle-de-Vie. — Corps astral-ithéréen,
érisprit, Ame de la Chose animée.— Mesmérisation, Macération, Marasme,
pour Martyre et Agonies artificielles et voulues. — Etat cloistral. — Le
Document.
.
. *
Avant d’aller plus loin, nous pouvons, ici et maintenant, pour
bonne intelligence de ce qui précéde et ce qui suit, vous introduire & Ja
connaissance du Ternaire humain, en vous dévoilant Vocculte sens
du mot
MAN
est en flamand, — «mouranien », antique Vehiculaire Vernacu-
Iaire Eburon, — en anglais et en allemand, la signification pour le mot
frangais « Homme », — Ahi-man, — d’ot « bumain », c humanité », ete. +
1p, Men, — Emme, qui aime. — Corps physique organique; eriatallin, végétal,
animal ox hominal. — Tout Corps physique organisé et animé est et constitue un
magnétique Aimant; est et constitue un « Radiateur ezpansif-contractif», ua « Vibrateur
rayonnant », Ce nominatif (en Verbation ému) est Agent, volltif ou inconsctent, de son
Emanation en Force de Cosmogonique Loi de Consolidarité en Rapport, qui relie et wait
tout en Sublimante-astrale Amalgamation. (C.A-K.]
+, Nun, —Enne, — Eene, .; Eine, all.; One, angl.; Une, fr. — La None. —
La Vierge cloistrée.
Elle est et constitue le Corps astral, que V'absolu-inconoalssable Spiritus anime, et
gut, stincaraant, sous Acte sexvel dans le Ah, le Corps physique-organique fémini
Je féconde et, Ame, en séparante parturition de Grossesse, y prend Corps physique-
Aerrestre. L'Enne et YEmme, ainsi, en et par le «Principe Spirituel, inconnaitrable
Inconnu de Cosmogonigne Lot », fatale nécessaire détermipative-absolue, V'A, aleph, «+
unies, Ame et Corps sont reodus par l'déogramme MAN. ...(C.LA-K.).
+ Le «Man» de l'Homme s'extérforise, — se Mani-feste, — par la Mata.Lr bes cs tee tits ta etic
bs bs ks be Li Ls
bese es
—45—
Crest Je ternaire principiel-élémental-constitutif, la Synthése, de tout ce
qui est et devient, — existe et évolue, — de tout autonome Moi, de
toute indivise-duelle Entité, qui est de tous autres «Moi», de toutes
autres Entités, distincte et différenciée. — C’est, en somme, le «Moi
de I'Homme >. Le phallisme ploutocratique de Karloman, — Charle-
magne, — en a fait le «Mien» différent du «Tien»
‘Vous pouvez analyser cette Synthese, interpréter, traduire, Tocculte
Signification de ce ternaire, comme suit: :
M, — Le Mem. — c'est le Corps physique-organique, azothique-
terrestre, de I'Homme, et, d’ailleurs, de tout
Etre quelconque, qui vit, agit et évolue, devient:
— Crest la Chose.
N. — Le Nun, — c'est le Corps métaphysique-organique, éthéréen-
astral, — I’Ame, — de "Homme, et, d’ailleurs, de
tout autre Etre, qui vit, agit et évolue, devient.
— C'est PEtre, V'Estre, l’Astre, l'Atre.
A. — L'al Uph, — le Soufile, 'Esprit de Vie, qui anime Ame,
laquelle anime le Corps mortel, — la Forme de
passage, le Vétement de travail, — de tout
- Homme; et, d’ailleurs, de tout Etre et de toute
Chose agissante, qui est, vit et devient.
Lorsque vous aurez approfondi ces Données de Ia TLangue Sacrée,
en toutes leurs initiales portées, et vous évertuerez vous-mémes, seuls
et sans notre aide, & dénuder les Mots, & pénétrer jusque dans ses intimes
profondeurs le Sens occulte, Pidéographique Valeur, qui y a été déposée,
‘Vous saurez que la terminale, — I'affixe, — «ment », n'est, de la Synthése
«Man », qu'une orthographique Viciation, une gréco-latine Obnubilation.
aesignificatives Valeurs:
Ghimel. — Notre G. — Le Ghimel', ainsi que nous vous Tavons
Asia dit, ext la troisiéme Forme évoluée de la Féminine Triunité Cosmo-
Bonique, — C'est la Maternité, ou mieux, Ia Maternation Il signifie
Croisement, Croissance, — Engrossissement, Grossesse, — A grandissement,
Augmentation, — Dédoublement, — Développement, Ebultition, Matu.
ration, Evolution. — Séparante parturition»
Toute Maternation est et constitue, en sériclle Procession, un Ter-
naire: La Conception, — la Grossesse, ou mieux, la ‘Séparante parturi
— et la mise au monde, la Délivrance.
1 sera utile, ici, de bien vous faire comprendre Pinné sens clair et
net du Ghimel; done, V'antique-atlantide Cosmogonique Concept de
ny
2 chimth — ++. Toutes les maniéres et facons, Votes de Devenir, que prend
Srracelement-progressivement en Nombres et Formes, Velemeat de Matitre par un
Principe de Forme émue, pour évoluer, Phase Etre dee Chance (CLAK)
* Le Dictionnaire,
avec et comme lui,
Crest superfictel et o i ‘oute Science phallique. L'Guvre
fose-ineMfable de la Maternation n'est i ilest duel. En subissant
le Corps physique-organique de se trouve imprégné d'un « Souflle
idu: une Ame qu'elle a charge et
Bission qhabiller d'un comps physique-organique sen corps défendant, au détriment
Sf foe Stollement charnel i elle. Bt, ily a des fois, mate Farement, « sympathies, —
Tibratoire consonnance de Norme de forme morale-menale évoluée, — entre Ia Réci-
ever de ca nruts atte la Mére et le pépin (poupon) quale a charge et mission de
Da Ge 24 Pulpe. En somme et au fond, il est, Let vy élranger pour Elle ot en Elle.
Diod toutes les « incommodités » de ta grossesse, Iles vowtta en naturelle con:
tendante-continue & expulsion; et,
Datif, & elle, jusqu’au bout de goat
au monde pour la mére est done t
puperficiellement, la Mere le met au jours subjectivement-fondamentalement, c'est
Fenfant gui y vient. Cela peat faite bobo aux paties ohne Dlanches et leurs petits
iegaucheurs; — peu nous en chaut, C'est tout cele que mone exprimons par ¢ parturiante
Sépuration » ou « séparante parturition», selon, seat chirurgie.
rance >, Objectivement-L
hd Li
Jus to ts ba
Li
BJ bl bl bl bs be bi ts
— 47 —
Vuvre sublime-divin de la Maternité, comme Etat, la Maternation,
comme Acte.
Tout le monde connait V’acte, le procés évolutionnel, les trois Etats
sériels de I'Guvre physique-organique de la Maternité.
Mais la Science Cosmogonique des Atlantes, nos Maitres et Initiateurs
eux occultes Mystéres de la Langue Sacrée, ne se départageait point en
Spécialismes, en Empirismes d’Expérimentation, branches scientifiques,
qui demeurent terre-b-terre et s’ignorent, voire, se dédaignent et se
dénigrent un peu, les unes les autres. La Science atlantide, pour étre
cosmogonique, — done, pour avoir didactique Valeur effective d'évolution-
naire utilisé, — nécessairement, devait étre encyclopédique.
Incontestablement, le Fait est le Fait.
Evidemment, tout Fait, en tant que phénoméne, et quelle que soit
d'silleurs, en durée de temps, sa caractéristique nature passagére, tout
Fait a sa scientifique importance, étant dordre réel et ingrédientiel-
constitutif, base fondainentale de tout Savoir. C’est la chose tarotale.
C'est, cosmosophiquement congu, «un Acteur en Acte-d’Action », Mais
les Faits sont multiples, divers et variés; Formes & I'infini, dans !'Im-
mensité sans bornes de I'Espace; Nombres & V'infini, dans la succession
des durées du Temps, qui n'a ni fin ni commencement. De les enregistrer,
de les remémorer, de les classer, de les nomenclaturer, cela est bien, cela
est utile.... Mais, ce n'est pas tout. Ne point procéder plus loin et & autre
chose, c'est tourner dans le cercle du manége, c'est croupir, s’engourdir
et s’auto-annihiler, dans la stagnation. Or, dans I'Infini de l’Espace et
dans T'Eternité du Temps, rien ne stagne, rien ne croupit. Rien n'est,
ne fut, ne sera jamais, 4 l'Etat d'arrét.
La Science Cosmosophique, donc, naturellement et nécessairement,
est encyclopédique. Et, comme «Rien au monde n'est, ne fut jamais,
jamais ne sera & Etat d’arrét », — toujours, en et par Ftat-d’Acte, est,
— elle n'est point, elle ne peut pas tre dogmatique, — en état de fixité
finale définissante. — Elle n'est et ne peut &tre que schématique; c’est-
A-dire Schismatique, — indéterminée, infinie, indéfinissable. Afin que
chacun prenne, A sa facon, ce qu'il en veut, ce qu'il en peut, selon sa= 48 —
trempe morale, selon sa taille mentale; en, et pour son Mot; en, par et
pour sa Foi-en-Soi, son absolue, unique, indivise-duelle Loi.
La Science cosmosophique observe et constate le Fait, aussi exacte:
ment et complétement que possible. Elle Venregistre et le classe métho-
diquement. Elle s'évertue & en faire, de plus en plus et de générations &
générations, ample, diverse et varige, moisson; et, lorsque son appro-
visionnement de mémoire est suffisamment abondant et multiple,
assorti, elle procéde & ceuvre de généralisation. Elle procide par compa.
raison, pour sériation; par étude des Analogies, pour élimination, Et,
du Fait va & la Loi, de ... 'Acteur-en-Acte d’Action procéde & découverte
aAutorité de Loi, & discernement d’auteur, de Causation. Et, ascend,
ainsi, du Monde primordial ou inférieur, au Monde supérieur, de Monde
objectif{ descend en Monde subjectif. Et, ainsi, ici, nous pouvons vous
initier A un autre aspect du mot MAN, & nouveau concept, asataral,
triunitaire, de la Nature dans ’ Homme. Ainsi, M, — l’As, — c'est la
Sexualité; N, — I'At, — c'est la Plexualité, et, A, — l'dr, — c'est la
Réflexualité. Trois mondes en succession de sérielle évolution en méme
temps qu’en continuelle-permanente coopérante collaboration, — la
Sexualité, en représentation du Monde des Faits physiques; la Plexualité,
en représentation du Monde des Actes, Impressions et Expressions,
concoctions pansives, — ventripotentielles, — d’Ordre émotionnel; et, le
Réflexualité, en représentation de la Pensée, de la concoction cérébrale;
cest-a-dire, du Monde des Idées, Euvre intime du Moi, c’est-a-dire,
du Monde subjectif et d’individuelle-autonome Loi.
Et, c'est sous ce triple, — triunitaire, — Aspect, que, maintenant,
Rous pouvons mettre au jour lidéographique Valeur du Glyphe de la
Féminante Féminité, le Ghimel.
Toutefois, avant d'y procéder, encore sera-t-il nécessaire, d’abord,
de vous faire Exposé de quelques élémentaires Notions d’Astrologie
Kabbalistique:
Nous vous avons déja dit, que, la Sexuelle, — Sixuelle, — Plexualité,
Ja Vitalité émotionnelle de T'Homme dans la Nature, ... donc, et par
conséquent, que Ia Nature émotionnelle de l'Homme, ... fut par la
Science Atlantide analysée et considérée sous six aspects sériels d’éyolu-Liti ti ti tit
@j bo. bs tu uci us
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tionnaire Activité. Ce sont les six sexuelles-plexuelles Astralités, les six
Aspects planétaires de l'Astrologie Kabbalistique *.
Les sixuelles-plexuelles Astralités de la Nature en 'Homme, sont,
dans le Temps, représentations d’Aspects successifs, en évolutionnelle
Sériation. Mais, dans Espace, ces six Etats planétaires, ces Astralités
de la Nature dans Homme, sont éléments constitutifs de Vétement,
de Batiment. Caractéristiques Compositions qu’on analyse, et qui, en
leur ensemble synthétisé, sont, nous T'avons dit, idéographiquement
résumés par et dans le Lameth. — Le « Soleil » de 'Astromancie.
Les voici:
A. —Saturne. Couleur noire. — Tous instincts, penchants, tendances,
Désirs, Appétits et Besoins d’Ordre Absolu, de Déterminisme
cosmogonique, d’Ordre fatal, nécessaire, inexorablement inévi-
table, C'est ce qui est exprimé par la Sexualité.
E, — Lune. — Couleur bleue. — Tout ce qui, sous émotionnel discerne-
ment de choix, de préférence, convie et pousse & la Vie, & 'épa-
nouissement florifére d’Etre et de Devenir.
* On confond généralement l'Astrologie et sa dérivée, I'Astromancie, Ce sont deux
choses essentiellement distinetes et différentes. L'une, PAstromancie, est un Art
divinatoire; Vautre VAstrologie, est une Science oraculaire.
L'Astromancien, — qui souvent se dit Astrologue, — fait des horoscopes, dit la
bonne aventure et peut étre effectivement compétent, comme «Truchemao., en
qualité de medium, de sujet sensitif, tout en étant absolument ignorant de toute Astro-
logie Kabbalistique. Alors que, 'Astrologue, lui, est nécessairement «un Initié». Et
comme Initié, il est, il doit etre, nécessairement, « un Inspiré s, un Mluminé. Or, pour
Yatre, pour le devenir, il favt qu'il soit a supréme degré fémintsé, — sensitif-patient-
subissant, — sous haut contréle d'intellectuant, ratioonel, ealme-froid-serein Discer-
Rement; pour examen d'analyse, pour compétence de critique, qui pése, juge,
et éprouve, temise et trie & Tépreuve, ce que, Inspirativement, il voit, en Iluminé
reget.
Or, nous ne voudrions faire «bobo» & personne, mais, « Moitié n'est pas éradit »,
Best pas documenté. Car, tout ce qui est édité, tout ee qui est éerit, — se transmet, ae
Uit, ae dit, — est désoceulté, est ex-erypté. Et, par conséquent, n’est plus A Tétat « Ori
ginel», n'est plus « Téndbre®, n'est plus matiére a Initiation, N'est donc, « Initié » que
Ui, au jour de lumiére nouvelle, apporte de I'Inconau, désocculte «gaoré ».