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Éditorial
Un signe de votre part me ferait plaisir.
André Hauterive a survolé en avion la pampa de Nazca. Depuis le ciel, il a observé des
lignes, des figures géométriques et des formes animales à profusion. Mais lorsque l’on revient
sur le plancher des vaches, on ne distingue rien. Dans quel but a-t-on ainsi illustré un livre à
ciel ouvert ?
Mon vieil ami Émile Sentier ne se sent certes pas proche du catharisme ou de sa
résurgence actuelle. C’est bien trop imprégné de gnosticisme pour être sa tasse de thé. Par
contre, le sort cruel que connurent les Cathares l’émeut beaucoup. Ce n’est pas étonnant
lorsque l’on sait que son cœur vibre à l’unisson avec celui de tous les damnés de la Terre.
Mais Émile n’en oublie pas pour autant d’être pragmatique. De quoi vous entretient-il ? Du
fameux (et peut-être fumeux ?) trésor des Cathares, pardi !
L’Adepte, que l’on sait philosophe, s’attaque pour sa part à un problème vieux comme le
monde : le problème du mal.
Spécialiste des phénomènes fortéens, Gérald de Longley Vaast a mis ses pas dans ceux
du Diable.
Notre homme à tout faire, Jean-Pierre Richard, vous vante d’abord les vertus de la
mauve. Puis, il passe aux fourneaux et vous propose de cuisiner… des abattis. Ne faites pas
le (la) dégoûté(e). J’ai testé ses deux recettes et je puis vous assurer qu’il en résulte des plats
succulents.
Des grabados, autrement dit des géoglyphes, parsèment également la plaine désolée de la
Nazca*. En bordure de la panaméricaine, une araignée géante à huit pattes, de 46 mètres
d’envergure, remarquablement stylisée, semble sortie tout droit d’un film d’horreur. Plus à
l’ouest, cela ressemble à un zoo pétrifié en deux dimensions sur le sol ; c’est un singe d’une
centaine de mètres de long que l’on peut contempler et ensuite, c’est au tour d’un majestueux
condor au long bec de 180 mètres de long de s’offrir à mes yeux. Perroquet, chat, chien (à
cinq pattes !!!), volatiles (à quatre pattes !!!), colibri, sauriens, poissons, poussin, fleur,
serpents multicéphales, baleine de plusieurs dizaines de mètres, personnages, lézard (de 180
mètres), quelques spirales, objets indescriptibles leur succèdent.
Le professeur Henri Stierlin, pour sa part, fut l’auteur en 1984 d’une théorie pour le moins
originale ! Chez les Nazcas, fait-il remarquer à juste titre, potiers et tisserands abondaient.
Selon Stierlin, les lignes servaient à préparer les fils de trame et de chaîne des tissus
mortuaires retrouvés dans les tombes des Nazcas. Ces tissus ont en effet la particularité d'être
tissés de fils d'un seul tenant. Or pour préparer de manière artisanale de tels fils, il faut une
ligne droite du double de la longueur pour permettre le tordage puis le repliage du fil sur lui-
même. Admettons. Mais que vient faire là-dedans le bestiaire ?
Certains – dont Antony F. Aveni - ont prétendu que le manque d’eau chronique caractérisant
cette région ayant conduit les Nazcas à développer un système d’irrigation parcimonieux et
complexe, les lignes conduiraient à des puits souterrains profonds reliés par des aqueducs.
D’accord pour les lignes, quoiqu’elles soient peu visibles au sol, comme je l’ai déjà noté.
Mais quid des formes géométriques et des représentations zoomorphes ?
Georg A. von Breunig fait de la plaine de Nazca un vaste complexe sportif. Les pistes sont
tout simplement des pistes de course à pied, les figures géométriques des stades. Et les figures
animales ? Il n’en dit rien. Pourtant, ce sont elles les plus impressionnantes.
Johan Reinhard pense que tout cela est cultuel. Selon lui, les lignes mènent à des sanctuaires
religieux, à des sources d’eau ou à des montagnes que les Nazcas tenaient en adoration, car
comme l’Olympe, elles auraient été peuplées par des dieux - le Zeus local se nommant
Virocacha - qui prennent parfois la forme d’animaux ailés, ce qui expliquerait que les
messages qui leur sont délivrés doivent impérativement être visibles du ciel. De toutes les
hypothèses « scientifiques » ou culturelles, celle-ci a ma préférence. Je ne trouve rien à y
redire.
Examinons maintenant succinctement les autres thèses qui ont malheureusement contre elles
de n’apporter aucune preuve puisqu’elles reposent sur l’existence supposées d’êtres
supérieurs extraterrestres.
Erich von Däniken a avancé en 1968 que Nazca était un cosmodrome, les pistas servant de
pistes d’atterrissage ou de décollage aux OVNIS, les figures géométriques étant des aires de
stationnement et les représentations animales des moyens de communication extraterrestre
( ???).
Robert Charroux l’avait précédé sur ce terrain d’explication, mais lui s’était montré bien
plus précis : les extraterrestres seraient vénus de la planète Vénus.
Jacques Bergier et l’écrivain péruvien Manuel Scorza sont également
« extraterrestrophiles ».
Après tout, pourquoi pas ?
Comme vous l’avez constaté, les hypothèses abondent, mais le mystère demeure entier.
Une seule chose est certaine : lineas, pistas et grabados sont destinés à être vus du ciel.
A partir de là, place à l’imagination.
* De tels tracés à même le sol destinés à être vus du ciel se trouvent également en d’autres
endroits du globe terrestre. En Angleterre, dans la vallée de Glastonbury, c’est un zodiaque ;
dans le Dorset (Angleterre), des chevaux blancs ; dans le désert du Mohave, en Californie, des
hommes géants ; etc. Mais la plaine de Nazca surpasse tous ces lieux en nombre et en densité
de figures et l’intrigant labyrinthe qu’elle tisse est unique au monde.
« Du temps profond Montségur / se rend maître et le vol des corbeaux / à l'horizon s'illumine
/ de sa lumière déchue. / Il se dérobe aux espoirs défaillants / il les voue à l'étoile / dans
l'équilibre des nues/ entre le ciel et l'enfer. »
René Nelli.
atériel, spirituel, où les deux ?
M Ou bien encore…
Cathares selon leurs ennemis qui les qualifiaient d’hérétiques, Bons Hommes,
Bonnes Dames ou Bons Chrétiens, ainsi qu’ils se dénommaient eux-mêmes, les Cathares
avaient essaimé dans toute l’Occitanie. Militairement agressés dès mars 1208 lors de la
croisade contre les Albigeois, les Cathares sont déclarés hérétiques au concile de Latran
(1215), puis s’en suit la répression judiciaire de l’inquisition (créée en 1231).
Les Cathares voulaient ressusciter l'Église primitive, telle qu'elle est décrite dans le Nouveau
Testament, les épîtres de Saint-Paul et les Actes des apôtres. Selon eux, Dieu s’est retiré du
monde et ne peut être approché de quelque manière que ce soit. La création ne saurait lui être
attribuée puisqu’elle est imparfaite et corruptible. Elle est l’émanation du Principe du Mal qui,
de toute éternité, a cohabité avec Dieu et on ne saurait en tenir ce dernier pour responsable.
C’est le message qu’aurait délivré le Christ, envoyé et non pas fils de Dieu, qui ne saurait être
né de Marie puisque le Christ est un ange.
Les Cathares ne se retranchaient pas du siècle, ils travaillaient comme tout un chacun,
prêchaient et instruisaient via des traductions en langue vernaculaire de textes saints. Au
contraire des dignitaires de l’Église romaine, cette imprégnation constante dans la société les
rendit proches du peuple, ce qui explique en partie l’audience très large dont ils jouissaient.
Nombre de personnes, influentes ou non, qui ne partageaient portant pas leur foi les tenaient
en estime et même, à l’occasion, leur portèrent assistance durant les jours sombres de la
croisade.
Se tenant pour les seuls vrais disciples des apôtres, les Cathares rejetaient pour les raisons
évoquées plus haut les dogmes, les sacrements et l’autorité de l’Église. Anticléricaux notoires,
ils reprochaient à l’Église romaine ses fastes et ses ors ainsi que ses abus de pouvoir.
Les derniers résistants cathares se retirèrent au château de Montségur élevé à plus de 1200
mètres d’altitude sur un piton rocheux. Il y avait là une centaine d’hommes en armes (des
faidits), leurs amis, le seigneur du lieu - tout acquis à leur cause – et ses gens.
Montségur, réputé imprenable – de précédents sièges ayant tous échoué incitaient à le penser
– jouissait de ce fait d’une certaine impunité ainsi que la communauté de réfugiés qui s’était
installée hors les murailles.
Mais en mai 1242, onze inquisiteurs ayant à leur tête Guillaume Arnaud firent halte dans la
plaine, dans un village proche de Montségur, Avignonet. Le 29 mai, ils furent tous mis à mort
par des hommes appartenant à la garnison de Montségur.
C’est plus que n’en pouvait supporter Blanche de Castille qui qualifia alors Montségur de
« synagogue de Satan ».
Quelques milliers d’hommes conduits par Hugues des Arcis assiégèrent alors la citadelle. Le
siège s’éternisa, mais durant l’hiver, une audacieuse escalade aboutit à ce qu’une machine de
jet – un trébuchet - puisse être construite à proximité du château. Dès lors, celui-ci fut
bombardé jour et nuit.
Finalement, le seigneur négocia et l’assaillant fit une proposition généreuse : liberté pour les
défenseurs catholiques, vie sauve pour les « hérétiques » qui se convertiront et un délai de
réflexion.
Le 16 mars, plus de 200 Cathares, hommes, femmes et enfants, refusant de renier leur foi, se
jetèrent d’eux-mêmes dans les flammes du bûcher qui avait été dressé au « prats del crémats »
(champ des brûlés).
Deux « évasions »
Le soir de Noël 1243, deux frères, Matheus et Pierre bonnet, quittèrent Montségur après avoir
réquisitionné tous les chevaux valides. Les assaillants ne s’en rendirent pas compte, trop
occupés qu’ils étaient à célébrer la nativité. On dit que les deux hommes empruntèrent à Foix
le sentier cathare qui les mena jusqu’à Port-la-Nouvelle. Là, un bateau les attendait et ils
voguèrent vers Gènes (Italie). Puis ils prirent, de nouveau à cheval, la direction de Crémone.
La veille de l’expiration de l’ultimatum lancé par Hugues des Arcis, soit dans la nuit du 15 au
16 mars, quatre hommes portant chacun un chargement descendirent sans encombre au moyen
de cordes les murailles, puis la pente rocheuse. Arrivés à pied sur la montagne de Bidorta, ils
allumèrent un feu pour informer du succès de leur entreprise. Ils auraient ensuite rejoint le
Sabarthès, une vallée de l’Ariège où se trouve un réseau de plus de 50 grottes. Après, on perd
leurs traces, quoique des hypothèses hardies aient été avancées (nous verrons cela tout à
l’heure).
Diverses hypothèses
Pourquoi ces deux expéditions ? L’imagination débordante des romanciers s’est emparée de
ce morceau d’histoire et les légendes les plus folles ont couru et continuent de ce faire.
Matériel ou spirituel ? Ou bien les deux ?
Les Cathares, on l’a vu, étaient bien insérés dans la société, ils travaillaient et gagnaient de
l’argent, mais vivaient chichement. Il est probable que leurs épargnes allaient à un fond géré
par des dignitaires et celui-ci aurait pu devenir conséquent. Ce serait ce magot en espèces
sonnantes et trébuchantes qui aurait été mis en lieu sûr en Italie.
Par contre, les quatre hommes qui ont descendu les murailles à la veille que s’allument les
bûchers, se déplaçant ensuite à pied, ne pouvaient être lourdement chargés. On a donc avancé
qu’ils transportaient des documents et peut-être aussi, le Graal.
Cette référence au Graal provient sans doute de la ressemblance entre Montségur et
Montsalvat, ce dernier étant le château du Graal. Cette thèse a été popularisée par l’écrivain
pro nazi Otto Rahn dans son livre « Croisade contre le Graal ».
On a aussi prétendu que l’exubérante fortune de Béranger Saunière – le curé aux milliards de
Rennes le Château – s’expliquerait par le fait qu’il aurait trouvé et fait main basse sur l’or des
cathares.
Mais qu’importe !
Ainsi que le chante Claude Marti (en occitan, mais je vous le délivre en français) :
« Laissez-moi raconter l'histoire / d'un sang qu'a bu ma terre. / Laissez-moi raconter
l'histoire / d'une volonté de fer / d'une jeunesse morte / d'une liberté voulue / d'un vieux rêve
réveillé / d'une liberté perdue/...
Voici l'heure de la défaite. / L'idée brûle sur le bûcher. / Voici l'heure de la victoire. / C'est
nous qui menons le combat. / Minorités contre l'Empire. Indiens de toutes les couleurs / nous
décoloniserons la terre. / Montségur, tu te dresses partout ! »
Moi qui me sens proche de l’esprit des jacqueries, moi qui vibre d’indignation à l’évocation
des victimes de l’inquisition, je pense que le véritable trésor que les Cathares nous ont légué,
c’est le souvenir de leur héroïsme qui alimente la flamme des justes rébellions.
Émile Sentier est l’auteur de « Osez le Pouvoir Sorcier » (A paraître), « Toute la Magie
d’Amour » (A paraître), « La véritable Magie de Salomon » (A paraître) et « Le guide
pratique des Most de Pouvoir » (pour en savoir plus sur ce livre).
Il a signé la préface de « Merkabah, la Porte du Cosmos » ( pour en savoir plus sur ce
livre).
Lors de sa prochaine communication, il vous embarquera pour un long périple à travers
la France des mégalithes.
Phénomènes fortéens
Charles Hoy Fort, journaliste américain, consacra une grande partie de son existence à traquer
des phénomènes avérés, mais atypiques et inexplicables. Il écrivit à ce propos divers ouvrages
dont le plus célèbre est « Le Livre des Damnés ». C’est en référence à ce grand écrivain du
bizarre que fut créé l’adjectif « fortéen ».
Aussi, lorsqu’au matin, ils sortent de leurs maisons de style hollandais, les habitants de
Topsham ne sont guère étonnés de découvrir qu’un blanc manteau de neige recouvre le sol.
Mais ce qui les stupéfait, c’est ce qu’ils découvrent sur ce tapis poudreux qui eut dû être
immaculé.
Il y eut beaucoup trop de témoins de cet extraordinaire phénomène pour que ce soit des
sornettes. D’ailleurs, nombre de journaux de l’époque en rendirent compte, dont l’Illustrated
London News du 3 mars 1855.
Alors, qui donc ou quoi donc s’est « promené », par cette glaciale nuit d’hiver, à Topsham et
dans ses environs ?
Le mystère demeure entier.
Platon disait que si la société est défaillante, c’est qu’elle n’est pas conforme aux lois qui
régissent le Monde des Idées. Mais la conception que Platon a de ce dernier est profondément
manichéenne.
Pour Kant, est mauvaise toute action ou tout comportement qui ne peut être généralisé à tout
le monde sans déclencher le chaos. Mais quel ordre est opposé à ce chaos ? Qui en est le
concepteur, qui en est le garant ? Et puis, sans une part de chaos, sans quelques grains de
douce folie, la société ne peut que stagner, puis régresser.
Leibniz professe que le monde a été créé par un Dieu parfait et que donc, il ne saurait qu’être
lui aussi parfait, le lieu où règne l’harmonie universelle. Mais le mal, alors ? C’est, répond
Leibniz, un pur fantasme, car le mal n’est qu’apparent, ce n’est rien d’autre qu’un non être
puisqu’il contribue au Bien dans lequel il s’insère.
Le déiste Voltaire n’en est pas du tout d’accord ! Certes, il concède qu’il existe un Être
Suprême à l’origine de la Création, mais il poursuit que l’on ne doit lui rendre aucun culte.
Quant au mal, si, selon lui, il existe du fait de la nature humaine et si on doit tout faire pour
combattre ses effets pervers, ce n’est pas, un problème prépondérant. L’hôte de Fermez n’est
pas un pessimiste.
Selon l’occultiste Rudolf Steiner, il existe deux entités spirituelles - Lucifer et Ahriman - qui
incitent l'homme au mal. Ces entités se sont sacrifiées selon le plan primordial pour être
retardées dans leur évolution et induire l'homme en erreur. La tâche pour ce dernier est
d'équilibrer ces deux tendances en lui pour trouver la véritable liberté et donc le Christ. Le
mal ? Un bien qui n'est pas à sa place. En ce sens, Steiner est proche de Leibniz.
Marx a fustigé le capitalisme cupide et thésaurisateur, à l’origine de l’exploitation de
l’homme par l’homme, et sa complice, la religion « opium du peuple ». Il invita donc les
prolétaires de tous pays à s’unir pour créer un communisme mondial qui signerait la fin de
l’Histoire. Mais que fait-on de celles et ceux qui ne sont pas des ouvriers ? On pend le dernier
capitaliste avec les tripes du dernier curé éviscéré ? Et puis, quand on voit ce qu’il est résulté
du communisme dans certains pays – et ce qu’il en est encore de nos jours – franchement, ça
ne donne pas envie de l’étendre à toute la planète.
Le religieux dira que si mal il y a, c’est que la Cité de Dieu n’est pas la cité de l’Homme et
que le mal règnera tant que nous n’aurons pas racheté nos fautes, tant que nous n’aurons pas
accepté de vivre selon Ses Lois. Mais au fait, de quel(s) Dieu(x) s’agit-il ? Car il y en a
pléthore et pas tous d’accord entre eux, du moins, c’est ce qu’il apparaît. Même les
monothéistes sont divisées en chapelles. Ne me dites pas que vous croyez naïvement aux
vertus de l’œcuménisme, tout cela, c’est poudre aux yeux et compagnie. Chacun croit que son
Dieu est le seul vrai. Alors, les dogmes sont là pour aider à la « propagation » (quel vilain
mot) de la « seule vraie foi ». Il arrive même qu’ils se figent tellement que, dans leur repli sur
eux-mêmes, ils virent à l’intégrisme, ils basculent dans la folie meurtrière. Nous avons connu
en d’autre temps la « sainte » Inquisition, de nos jours, c’est le Djihad. La croyance en un
Dieu bon génère souvent des fleuves de sang.
Pour l’athée, le mal est une sensation née de la complexité ou une subversion des lois
sociales, mais on n’y peut rien, il ne fera même qu’augmenter, car il s’inscrit dans le courant
entropique de l’Histoire. Donc, c’est l’Être même qui est essentiellement « mauvais ». Une
telle vision conduit bien souvent à s’auto absoudre sur le mode : « je ne saurais être tenu pour
responsable de mes actes pernicieux, faire le mal est la pente qu’emprunte le cosmos tout
entier ».
Enfin, rousseauistes et panthéistes rejettent toute la faute sur l’être humain, la nature,
personnifiée et quasi divinisée, étant tenue pour parfaite. Certains tenants de ce courant de
pensée vont même jusqu’à souhaiter la disparition de l’homme coupable de souiller
l’admirable « mère Gaïa ». Mais si notre genre était éradiqué, qui donc la jugerait ainsi, qui
lui rendrait un culte ?
Dans ma prochaine communication traitant toujours des problèmes que pose l’existence du
mal, j’élèverai le débat au niveau ontologique.
(à suivre).
Par ailleurs, « L’Adepte » est l’auteur d’un enseignement intitulé « Les Cahiers de l’Adepte ».
La parution de ce dernier a été qualifiée « d’événement initiatique de la seconde moitié du
XXème siècle ». C’est une somme colossale puisque l’ensemble représente près de mille pages
21 X 29,7. « L’Adepte » y a retranscrit in extenso l’enseignement qu’il reçut de la part d’un
connaissant, l’ingénieur D. Ce dernier avait exigé que « L’Adepte » enregistre tous leurs
entretiens sur un magnétophone. Ce sont ces entretiens, et les réflexions hors enregistrement
de « L’Adepte », qui constituent la matière des « Cahiers ». La forme en est donc originale et
vivante.
La maison d’édition ayant publié « Les Cahiers de l’Adepte » n’existe plus. Les droits sont
donc libres et « L’Adepte » ne s’opposerait pas à ce que je procède à une réédition conforme à
l’originale (mais sans doute dans un autre format).
Cependant, quoique j’en ai très envie, j’évite un peu à me lancer dans ce grand œuvre, car
c’est de longue haleine et peu conforme à ma politique éditoriale. Aussi, je sollicite votre avis.
Une telle réédition vous agréerait-elle ?
Par avance, merci de me répondre. Pour me faire par de votre sentiment ou témoigner sur
« Les Cahiers de l’Adepte », si vous les avez lus, info@editions-labussiere.fr.
La parution du mois !
« Les Voix de l’Éternité » : ils sont vivants et ils le disent !
Preuves à l’appui, le livre de Sarah Estep – « Les Voix de l’Éternité » - confirme la Bonne
Nouvelle qu’avait annoncée Jésus.
Oui, ce fantastique ouvrage prouve enfin que la mort du corps physique n’est pas la fin de
toutes choses. Vous y découvrirez en effet que les « âmes » des disparus continuent
d’exister après ce qui ne saurait être qualifié de « rendez-vous ultime », mais que de plus
elles communiquent – d’une façon totalement inattendue – avec le monde des vivants.
• fera souffler sur votre existence un vent de vérité porteur d’un formidable espoir ;
• vous permettra de bénéficier d’aides précieuses pour mieux vivre votre présent ; il
s’en suivra une transformation positive à tous niveaux : émotionnel et affectif,
mais également professionnel, sentimental et familial ;
• vous ouvrira d’extraordinaires perspectives sur la destinée humaine : la vôtre et
celle de tous ceux qui vous sont – ou vous furent – chers ;
• étanchera votre soif de connaissances de ce monde mystérieux qu’est l’au-delà du
matériel ;
• apportera des réponses troublantes, mais claires et surtout concrètes, à toutes vos
questions ;
• calmera votre cœur si ce dernier éprouve des angoisses douloureuses (peur de
vieillir, peur de mourir, peur de disparaître) ;
• vous aidera à surmonter certaines barrières mentales, notamment celle qui oppose
(à tort, en ce domaine, comme ce livre vous le démontrera) la foi et la vérité
scientifique ;
• vous permettra enfin, si vous le souhaitez, de reprendre contact avec celles et ceux
que vous aimez sans avoir recours à la médiumnité ou à des pratiques spirites
(« Les Voix de l’Éternité » contient une partie pratique claire et précise qui vous
décrit par le détail comment vous devrez procéder). Vous jouirez ainsi de l’unique et
merveilleux privilège d’avoir accès à des vibrations de l’âme et des parfums
d’éternité inconnus.
Prendre connaissance du livre « Les Voix de l’Éternité » vous permet de plus d’accéder à
deux bonus gratuits d’exception.
1. Bonus gratuit n°1 : il s’agit d’un entretien inédit entre « celui qui signe l’Adepte » et
son mentor, l’ingénieur D. Intitulé « L’ultime victoire », ce baume à toutes les
angoisses qu’éprouve un mourant, ce souffle puissant qui permet de surmonter la
crainte des derniers instants évoque notamment les cinq obstacles qui s’opposent
au salut de l’âme et comment les surmonter.
2. Bonus gratuit n°2 : un étonnant CD audio. Il contient quelques enregistrements de
« voix de l’éternité » réalisés par Sarah Estep elle-même. L’un deux est stupéfiant et
voici pourquoi. Quoiqu’elle n’ait jamais demandé à une quelconque célébrité de se
manifester depuis l’au-delà, Sarah Estep eut un jour la surprise de recevoir le message
suivant : « Voici le célèbre Beethoven ». Puis, ce fut comme si elle était au concert !!!
Découvrez entre autres merveilles sur ce CD audio l’interprétation depuis l’au-delà
d’un court extrait de la célèbre « Sonate au Clair de Lune ».
1. Vous avez perdu un être cher et vous souhaitez ardemment communiquer avec
lui
2. Vous voudriez connaître les preuves indéniables que la mort ne fauche pas les
coquelicots de l’existence et donc accueillir le moment venu cet événement
naturel avec sérénité.
3. Autour de vous, des gens souffrent de la perte d’un des leurs. Vous aimeriez leur
apporter un véritable réconfort qui ne soit pas seulement fondé sur de belles
paroles.
Haute de 20 à 70 centimètres en général (mais pouvant tout de même atteindre 1,5 mètre), sa
tige dressée rayonne à partir du pied central. Ses feuilles, longuement pétiolés, sont dentées à
poils rudes. De mai à août, elle se pare de grandes fleurs mauves (d’où son nom vulgaire).
Dans l’antiquité, on mangeait les pousses jeunes et tendres de la Mauve comme on le ferait
d’un légume.
On utilisait les racines, les feuilles et les fleurs de la Mauve réputée être émolliente, calmante
et légèrement laxative. C’est pourquoi les romains buvaient après chaque orgie une potion à
base de suc de mauve.
Pythagore la recommandait pour calmer les passions, Hippocrate à ceux qui digèrent mal,
souffrent d’une bouche amère et salée ou rendent une urine brûlante, Cicéron préconisait de la
mélanger à des bettes pour se purger, Martial conseillait à un de ses amis constipé un mélange
de laitue et de Mauve et Pline prétendait qu’une cuillérée quotidienne de Mauve renforce les
défenses immunitaires (mais il disait par ailleurs qu’elle nuisait à la chasteté).
En phytothérapie, elle est employée pour lutter en usage interne contre la toux sèche, la
bronchite, l’asthme, les maux d’estomac, la constipation et l’inflammation des voies urinaires.
Pour un litre d’eau, il faut faire infuser 15 à 20 grammes de fleurs et de feuilles de Mauve
préalablement trempées dans de l’eau froide durant 10 minutes. On chauffe jusqu’à la limite
de l’ébullition. On laisse ensuite infuser 10 à 15 minutes ;
En usage externe, cette infusion de Mauve imbibera des compresses à appliquer sur la peau et
les yeux irrités.
On s’en gargarisera pour lutter contre les maux de dents, l’inflammation de la bouche ou de la
gorge et les aphtes.
La viande était principalement de porc ou alors, des lapins ou des volailles. Les gens modestes
ne se rendaient à la boucherie qu’à de rares exceptions festives ou pour y acheter des abats
vendus quelques sous.
Les principaux abats sont la cervelle, le cœur, la fraise, la fressure, la langue, les poumons, le
museau, la rate, le ris, les rognons, les pieds, les tétines et les tripes. On doit veiller à ce qu’ils
soient très frais avant de les consommer.
Quant aux abattis, ce sont les pattes, la tête, le cou, les ailerons, le foie et le gésier d’une
volaille.
Oui, vous avez bien lu ! Les pattes et la tête également. Dame, c’est qu’en ces temps-là, tout
faisait ventre ! Ne prenez donc pas cet air dégoûté. Bien préparé, c’est délicieux, je vous
assure (la volaille doit être achetée entière, si possible chez un producteur bio ; à tout le
moins, assurez-vous qu’elle a été élevée au grain, sans OGM, et qu’elle pouvait s’ébattre
librement ; les produits des élevages en batterie, bien cuisinés ou non, sont de toute manière
infects en ce qui concerne le goût et mauvais pour la santé).
Préparation
Nettoyez les abattis en enlevant soigneusement, à l’aide d’un couteau effilé, les plumes et le
duvet qui adhèrent encore à la chair (pour que ce soit plus facile à faire, plongez quelques
instants le cou et les ailerons dans de l’eau bouillante, séchez, puis faites flamber avec la
flamme d’un feu de bois ou d’un brûleur à gaz).
Enlevez précautionneusement, sans la percer, la poche de fiel adhérent au foie.
Ouvrez en deux le gésier et ôtez-en la poche intérieure.
Le ragoût d’abatis.
Faites revenir des petits morceaux de lard maigre dans un peu de matière grasse. Réservez-les.
Faites revenir dans la même matière grasse les abatis, excepté le gésier. Recouvrez de petits
oignons. Quand tout cela est bien doré, saupoudrez de farine. Laisser roussir légèrement tout
en remuant et mouillez avec du bouillon (ou de l’eau chaude, mais avec du bouillon, c’est
bien meilleur). Remettez les lardons et ajoutez le gésier ainsi qu’un bouquet garni. Salez,
poivrez. Ajoutez à volonté des pommes de terre et des carottes.
Variante pour les abattis de canard ou d’oie : procédez comme ci-dessus, mais ajoutez
dans le ragoût des navets préalablement dorés à la poêle. Saupoudrez légèrement de sucre en
poudre qui, caramélisé, confèrera de l’arome à la sauce.
La fricassée d’abattis.
Il est recommandé de n’utiliser que des abattis de dindon ou de poulet. Cuisez-les dans de
l’eau froide, juste ce qu’il faut pour qu’elle les recouvre. Salez, poivrez, ajoutez un bouquet
garni, quelques oignons, une carotte coupée en rondelles et un clou de girofle. Couvrez.
Laissez bouillir une heure. Égouttez ensuite les viandes. Passez finement le jus de la cuisson.
Faites un roux blanc avec beurre et farine. Mouillez-le avec le jus de cuisson. Remettez dans
cette sauce les abattis et ajoutez des champignons lavés et épluchés. Au moment de servir,
préparez une liaison avec un jaune d’œuf, du beurre frais et du jus de citron. Joignez-le à la
sauce.
Les abattis fins (crêtes, rognons, foie) peuvent être utilisés pour garnir un vol-au-vent et des
bouchées à la reine.
Radionique
Faites-le surtout vous-même :
votre capteur émetteur d’abondance personnalisé.
Alexandre Poliokine.
ecevoir, faire fructifier, redistribuer : voici les trois mots qui caractérisent au
R mieux les six lois qui régissent l’Abondance. Ce montage émetteur récepteur
que je vous propose de réaliser vous-même met en œuvre ces six lois dans votre
vie quotidienne.
L’Abondance est une notion souvent rattachée à l’argent. Mais en fait, elle s’applique à
presque tous les domaines de la vie (amour, dons naturels, etc.).
Jouir de quelque chose en Abondance, c’est en posséder une quantité supérieure à la
satisfaction de ses propres besoins. De là l’idée que l’Abondance permet d’accumuler du
superflu et que de ce fait, elle engendre thésaurisation ou gaspillage.
C’est mal connaître les lois qui régissent l’Abondance que de le prétendre. Car ce superflu,
comme nous allons le voir tout à l’heure, doit être redistribué si l’on veut que l’Abondance
persiste.
Il existe dans le « Monde des Idées » des lois qui régissent l’Abondance. Elles sont au nombre
de six et se répartissent en trois groupes.
1er groupe. Capter l’Abondance
1ère loi : faire de la place à l’Abondance. L’Abondance, c’est comme le principe divin.
L’une comme l’autre n’aspirent qu’à vous combler, mais souvent, ils ne le peuvent pas, car ils
se trouvent refoulés par tout ce qui vous encombre intérieurement (peurs, idées négatives,
etc.). Bref, lorsqu’ils ouvrent la porte de votre « demeure », que découvrent-ils le plus
souvent ? Un capharnaüm, un placard mal rangé qui déborde de partout. Non seulement ça ne
donne pas envie d’entrer dans un tel « lieu », mais de plus, il est impossible de ce faire
puisque de toutes manières, il n’y a pas la place. Continuant d’avoirs recours à la métaphore
domestique, je dirai tout d’abord qu’il convient de « faire le ménage » et de ranger
correctement ce qui subsiste au bout du compte.
2ème loi : élever la fréquence vibratoire. Tout vibre dans l’univers, aussi bien la matière que
les Idées archétypales. Cependant, les Idées archétypales vibrent à des fréquences plus élevées
que la matière. Vous savez que lorsqu’un dialogue fructueux s’établit entre deux personnes,
on dit : « ils sont sur la même longueur d’onde ». C’est exactement ce qu’il convient de faire :
vous élever à la fréquence vibratoire de l’Abondance.
Benoît Laffilée, dans son livre « Le fascinant pouvoir des carrés magiques », (A paraître)
indique comment tout un chacun peut réaliser son carré magique personnel.
Croyez-moi, cela fonctionne vraiment bien.
Je le cite donc après l’avoir remercié de son aimable autorisation.
Vous êtes doté(e) d’un carré magique personnel et de ses « cinq codes secrets ».
Je dois donc vous apprendre à le faire pas à pas et vous verrez, c’est très simple !
Votre carré magique personnel va être établi à partir de vos quatre nombres personnels qu’il
vous faut calculer vous-même.
Vous additionnez le quantième de votre jour de naissance, de votre mois de naissance et de
l’année dans le siècle considéré de votre naissance.
Par exemple, une personne née le 27 juillet 1984 aura pour premier nombre personnel 27 + 7
+ 84 = 118.
Le troisième nombre personnel demande d’abord que l’on se réfère au signe astrologique de
naissance suivant les correspondances numériques suivantes :
Bélier : 1. Taureau : 2. Gémeaux : 3. Cancer : 4. Lion : 5. Vierge : 6. Balance : 7. Scorpion : 8.
Sagittaire : 9. Capricorne : 10. Verseau : 11. Poissons : 12.
Née un 27 juillet, Marie Améline Barbier est Lion, soit 5. On ajoute ce quantième du signe au
premier nombre personnel pour déterminer le troisième nombre personnel, soit dans notre
exemple 118 + 5 = 123.
Le quatrième nombre personnel réclame d’abord que l’on se réfère au quantième du décan du
signe du jour de naissance. Née un 27 juillet, Marie Améline Barbier est du premier décan,
soit 1.
On ajoute ce quantième du décan au second nombre personnel pour déterminer le quatrième
nombre personnel, soit en ce qui concerne notre exemple fictif 484 + 1 = 485.
Vous pouvez constater que, comme je vous l’avais promis, ce n’était absolument pas
compliqué.
Il en ira de même pour la suite.
Vos quatre nombres personnels, lorsque vous les aurez identifiés, seront reportés de droite à
gauche dans la première ligne d’un carré de 4x4 dont chacune est repérée par la lettre de sa
colonne et le nombre de sa ligne.
Dans notre exemple, cela donne ceci :
D C B A
1 485 123 484 118
2
3
4
Cela nous donne donc 118 en A1, 484 en B1, 123 en C1, 485 en D1.
Vous remplissez ensuite les autres cases en effectuant les opérations suivantes :
D C B A
1 485 123 484 118
2 (B1)-2 (A1)+2 (D1)-2 (C1)+2
3 (A1)+1 (B1)+1 (C1)-1 (D1)-1
4 (C1)+1 (D1)-3 (A1)+3 (B1)-1
Ce qui, pour notre exemple, nous donne le carré magique personnel suivant.
485 123 484 118
482 120 483 125
119 485 122 484
124 482 121 483
Tout carré magique s’accompagne de cinq codes secrets. Ils sont également à déterminer.
Le premier « code secret» de tout carré magique est simple à déterminer : c’est son
ordre, c’est-à-dire le nombre de lignes (ou de colonnes) qu’il comporte. Tous les carrés
magiques personnels sont d’ordre 4.
Le second « code secret » de tout carré magique, c’est sa somme constante, c’est-à-dire la
somme identique (à défaut, ce ne serait pas un carré magique) que l’on retrouve dans chaque
ligne et dans chaque colonne. Le résultat trouvé subit toutefois une variante scripturale.
Revenons à notre exemple et additionnons par exemple les nombres qui figurent dans la
première ligne, soit 485+123+484+118. Le résultat trouvé est 1210. Mais on écrit ce nombre
trouvé de droite à gauche, soit 0121.
Pourquoi en est-il ainsi ? A cause de nos « deux cerveaux ». Le cerveau droit régit la partie
gauche du corps (c’est cliniquement prouvé), mais il est également le siège de l’intuition, de
l’inspiration, etc. (ce fut mis en évidence par des expériences scientifiques). Le cerveau
gauche régit la partie droite du corps (c’est également cliniquement prouvé). Il est le siège de
la logique, de la pensée rationnelle, du langage « construit », etc.
Quand on écrit des mots ou des nombres pour simplement communiquer, on le fait de gauche
à droite parce que ce qui importe effectivement, c’est de transmettre du sens ou de
l’information. A contrario, écrire de droite à gauche, c’est indiquer que l’on laisse d’abord
parler l’inspiration et l’intuition.
Le troisième « code secret » de tout carré magique est révélé par la somme totale du
carré qui lui est rattaché. Pour le calculer, il suffit de multiplier le premier code secret par le
second, soit, en ce qui concerne l’exemple donné, 1210x4 = 4840. En écrivant ce résultat de
droite à gauche, nous obtenons 0484.
Le quatrième « code secret » de tout carré magique consiste à écrire les nombres
figurant dans la diagonale haut/droite – bas/gauche du carré en écrivant le premier
nombre (écrit de droite à gauche) à droite, en le faisant suivre du deuxième nombre
(écrit de droite à gauche) et ainsi de suite. En ce qui concerne notre exemple, cela fait
421584384811.
Le cinquième « code secret » de tout carré magique est révélé par la diagonale
haut/gauche – bas/droite. On procède comme précédemment. Dans notre exemple, le code
est donc le suivant : 384221021584.
Faites soigneusement vos calculs au brouillon. Contrôlez-les plusieurs fois. Quand vous êtes
certain(e) qu’ils sont justes, sur votre feuille, en haut à droite, reproduisez votre carré
magique personnel et, en dessous, les cinq codes.
Soit, en ce qui concerne l’exemple précité :
4
0121
0484
421584384811
384221021584
4 14 15 1
9 7 6 12
5 11 10 8
16 2 3 13
4
43
631
611161
310174
Vous le reproduirez en haut de votre feuille, à gauche.
4 9 2
3 5 7
8 1 6
3
51
54
852
654
6
111
666
6392225181
13621261116
Votre capteur émetteur d’Abondance est terminé. Il n’est nul besoin de le personnaliser
puisque votre carré magique personnel et ses cinq codes secrets remplissent cette fonction.
Par contre, vous pouvez le destiner à une fin particulière. Par exemple, si vous souhaitez être
l’abondance financière, vous écrirez simplement le mot « argent » au verso de votre graphique
et au centre de la feuille.
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