You are on page 1of 46
~124- nous est un mystére, eb do fait notre esprit fait un effort pour nivelor les discontinuités de le neture en une perception gontinus.{1) Hous plions einsi ia nature pour les besotre de notre représentation. Yotre imagination se heurte contre jes choses. ie continu tel quo nous nous le représontons est eon quelque fagon un ohstacle, iton a fait romarquer a nudington qutil rendeit lo continu subjoctif, et gut est Svident quo cols ost faut, ob que toyte entité physique doit avoir we contain étendus, gui ntest que, en Fin fin de compte, un "plus petit” do co que nous nous représentons toaginetivement, on dit ne/comprentre 1a difficulté 4! is Sadington oct, oxcoptionnellement, un 9 pore/seit plus que ce qu'il comprend, et plus que co qutil & oxpelmer, S4 l'on exige que l'on ne perle quo des choses que ue osvons formuler, que tout le mondo ferme se bouche, car nous ne savens le tout de rien, Les choses que nous no savone pas oxprimer cont les plus intéressantes. aten oste4] done de le aéfinition métephysique, st clodve, s1 dvidente 7 Elle ost trop cleire pour étre feusre, Usts 41 n'est pas cleirs xomment elle stepplique eu continu physique, et 11 nlect pas atjelatra quelle f& wn sene représentatif. Il ntest pés olsir quo les Clevents fondanonteux de le neture sont ¢tendus comme lex sont les cbjete de notre perception grossitre et per trop elsire, ngddngton eentit bien is aifficulté, dutest ce que cele signitie que tout 616ment physigue est divisible de droit, outun quantum d'sction est divisible de droit? Comment est=11 continu? Ctest & cela qu'on devrait répondre. DEUXIENE PARTIE fe ‘LU AUSDELA DES NOUBNESeNEsURES

You might also like