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nous est un mystére, eb do fait notre esprit fait un effort
pour nivelor les discontinuités de le neture en une perception
gontinus.{1) Hous plions einsi ia nature pour les besotre de
notre représentation. Yotre imagination se heurte contre
jes choses. ie continu tel quo nous nous le représontons est
eon quelque fagon un ohstacle, iton a fait romarquer a
nudington qutil rendeit lo continu subjoctif, et gut est
Svident quo cols ost faut, ob que toyte entité physique
doit avoir we contain étendus, gui ntest que, en Fin
fin de compte, un "plus petit” do co que nous nous représentons
toaginetivement, on dit ne/comprentre 1a difficulté 4!
is Sadington oct, oxcoptionnellement, un
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pore/seit plus que ce qu'il comprend, et plus que co qutil
& oxpelmer, S4 l'on exige que l'on ne perle quo des choses
que
ue osvons formuler, que tout le mondo ferme se bouche,
car nous ne savens le tout de rien, Les choses que nous
no savone pas oxprimer cont les plus intéressantes.
aten oste4] done de le aéfinition métephysique, st
clodve, s1 dvidente 7 Elle ost trop cleire pour étre
feusre, Usts 41 n'est pas cleirs xomment elle stepplique
eu continu physique, et 11 nlect pas atjelatra quelle
f& wn sene représentatif. Il ntest pés olsir quo les
Clevents fondanonteux de le neture sont ¢tendus comme lex
sont les cbjete de notre perception grossitre et per trop
elsire,
ngddngton eentit bien is aifficulté, dutest ce que cele
signitie que tout 616ment physigue est divisible de droit,
outun quantum d'sction est divisible de droit? Comment est=11
continu? Ctest & cela qu'on devrait répondre.DEUXIENE PARTIE
fe ‘LU AUSDELA DES NOUBNESeNEsURES