e6e—
M.Maritain, gui. souble avoir synthétisé toutes les
critiques d'Eddington, Git que colui-cl "pratt inolinor
vers une sorte d'idsalisme ou vorsun’ pur symbolisme quand
41 réfléchit sur le physique parce que pour iui, a ce qutil
raratt, le perception sensoricllo est elle-néme dé ja
syrboligue, et clest 1A toute une métephyaique,.."(1)
Cotte interprétation ost facile, ot ne marque pas de
suverficialité, OX a-t-42 trouvé cole.? le sensible
imnéddatenent pergu est bien un réel, et le seul rée] qui
nous soit immédtetement accessible, et dont nous pertons
pour toute construction métaphysique ou physique. Kate
L'ovjet physique auguel #6 sensible se référe par vote
inférentielle n'est pas inmédistement senti. Ma conscience
ne touche pas le solefl qui ost 1a. Gue ce soit le soletl,
ou un objet que je touche, co ntest pas le distance cut
aigtérencte le cas, es Glectrons te se touchent pas.
Glest rourtant lamas d'électrons qui constitue un objet
que fe eans, ot ce qui donne le caractére solide(st cele
a un ken def) A 1objet ne mm touchent/nes xaxx orgenca.
he cherchons pas des liaisons conorsts dans ce domaine,
clesteaadire, n@ parlons vas de choses que nous re connatssons
pes. Diautre part, les symboles physiques se muent sur un
fond cbsour qui est 1ordre des essences non-intuitionnées,
mais bien réelles: plus réelles méme que l'aspect métrique
que "nous" connaissona, et clest bien cet arriére-fond
qui donne un sons auxsynboles. Ce ne sont pas de pura
syxboles. Go ne sont pas des grandeurs mathématiques
abstraites, “ais précisément, \,lieritein , ayant luieméme(1) G.Dawes Hicks, Pro!
Nature, Proceedings of t
yoksi9, Pe 295.
Possor
dington's Philos
ne Aristotelian Sootety,
1926-95416 1a physigue tellevent & le methSnatique, mutt®
42 veut uelntenant mettre see symboles devenus per trop
abetraits cur le Gos dn!zédington, Les syuboles atnaaington
ne sont pas des coupures nathénatiquenent effectutes, mais
phyoleverent, Tle sont L!isoleuent dtun aspect réel atune
péalité plus lerge. Ils sont itaspect métrique de la réalité.
Mets cele ne veut pes dire gutile nous explieitent cotte
péolité dens ses coupures ontologiques, Gans £68 essercese
comme Levait éerifcdeputs bien longtemps le Prof,Renoirte,, -
ngnsteuent ne conneft pas le substence". Nats Haritein
veut que le nhystosen nous donne le moyen de découper
te monde en substances, et 12 se donnere de 1e peine pour
chercner ci oui ou non un atone ost une substance, Stost
cols g'Bddington ne lui pernettrs ras, St lton stétonns
de volr Merttein faire cot effort, apres avoir chsssé
la physique dane des nuaged mathéuatiques, ob ayant donné
ou physicien une réalité toute @ Jui bien distincte de la
péalité du philosopne, 12 veut maintenant so servir des
ontités physiques pour on faire des substances.
Un at
critique, ausei éminent philosophe, ne eouprond
pas pourquoi Eddington veut nous eacher le nature Intrinséque
do liatome, ot do fait, 11 trouve Eddington en contradiction
avec luiemtues “Apréa avoir pritendy que "la Sodence nte
pion 4 dire dur 1a nature intrinsdque de l'atone! le Prof.
Eddington Serit: tous disposons de deux moyens principaux
pour opprondre co qui se passe a ltintépieur de ltatomes
nous pouvons observer des électrons entrant ou sortant
et nous poavons observer 1a lunfére qui entre et sort?,"(1)