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Je suis grandi au petit village entourer de la forêt et les rivières, au détour du fouillis végétal, des

formations exubérantes d’épiphytes et de lianes dans lesquels le soleil ne pénètre que difficilement
apparaissent les champs. Tout le matin, j’ai passé quatre heures en ramant de sampan – le canoë-
aller retour sur la rivière Katingan pour aller à l’école. L’après midi, j’ai passe en jouant et nageant
dans la rivières. Je suis grandi dans la liberté de la nature. Quand je finissait l’école secondaire à
l’age 16 ans, j’ai décidé de ramer le sampan de ma vie plus loin de comme d’habitude, à quitter
mon village, les rivières et les forets, quitter l’île de Bornéo, traverser la mer de Java et chercher
« la chance » au grand ville en l’île de Java. En arrivant à Jakarta, la chance m’a attrapa de rentrer
au service militer, et me mets dans la vie de soldat. C’était l’année 1960.
Seulement un an que je m’adaptais dans le nouveau monde, le militer m’envoi au Palais de
Président Soekarno, être l’un de ses gardian l’intérieur. À l’année 1962. C’était le vendredi, j’en
train de faire en garde et le Président Soekarno en train faire son prier « sholat jum’at-le prier
habituel de tout le vendredi ». Je lui ai regardé de la terrasse de la mosquée traverser le centaines de
gens derrière lui qui fait la même prier, le même mouvement, ils s’assoient, et puis ils se lèvent, en
suit ils plient leur genoux, fait la révérence au Dieu. Le silence me capté en suivant leur
mouvement, le même façon en plusieurs fois, ils s’assoient, ils se lèvent, ils plient leur genoux et au
bout du moment j’ai vu quelque chose qui se lance vers le Président, le chose qui arraché mes yeux,
craqué la silence, une balle se tirer et destiner au Président. Le choc me frappé en quelque secondes,
l’air me vibre, un coup de feu à mon derrière. Le gens bascule en avant, s’enfouit aux n’importe
quelles directions. C’était ma première d’expérience de voir une attaque. La vraie attaque au
Président ! Je relève la tête et jette un regard éperdu autour de moi ensuit je bouge rapidement et je
suis entré dans le reflet d’un soldat. Je réalise automatiquement que je ne suis qu’un soldat avec le
numéro comme l’identité, je ne suis plus moi.
Des jours et des nuits, je ne connais que mon monde, habitais dans la construction militer, attendais
le sifflet de comandant de poste pour commencer le jour, attendais le crie du chef pour courir autour
de bâtiment, attendais de l’ordre pour l’entraînement de jour, attendais l’ordre à table pour toucher
le cuiller, attendais le cloche qui sonne, disant que la journée est finie.
Un an après, au 1963, le militer m’envoie au Waimena qui se trouve à Irian Jaya, une grand île qui
se trouve au bout de l’est de l’Indonésie, prêt de Nouvelle Guinée. Il y avait la guerre civile entre
des ethnies. Les ordres pour nous sont strictement et seulement à observer et garder la paix du pays.
Nous n’avons pas le droit de se battre contre n’importe d’ethnie, pour arrêter les combats des
ethnies, nous tirons le coup de feu à l’air, c’est tout. Nous n’avons même pas le droit de les pousser,
l’ordre est clair, il n’existe pas de contact physique. Un jour, je suis sorti pour faire le control en
village. On n’était pas nombreux, juste un petit groupe de 4 personnes. Le village me semble toute
tranquille, les gens partent pour la foret ou les champs. On entend la chanson de l’oiseau, des cris de
toutes sortes. Chacun s’active, les humains, les oiseaux, tout me semble une belle matinée,
d’ailleurs je me trompe. J’ai entendu les bruits d’hurlement de ma cote gauche et en même temps
mes yeux captent les groupes de gens natives qui ont l’air furieux à cote droit. Je me rends compte
juste après, que nous étions parfaitement au milieu des combat des ethnies, que nous étions juste le
point exact de but de deux ethnies qui entraînent s’attaquer l’un des autres, que je n’avais pas le
temps de m’enfouiller, quand j’ai reçu un claque d’un bâton sur ma tête et les coups poing des
plusieurs direction, des plusieurs mains. Je me rappel que je porte un arme à feu, mais j’étais trop
proche aux gens pour le tirer. L’ordre de militer qui interdit de blesser le peuple me barrer les yeux.
Je ne peux pas de me défendre. Je me laisse d’être le point de furieuses deux ethnies qui n’ont
même pas l’intention de nous attaquer. Je suis frustré et désespéré car je me trouve dans la mauvaise
position et le moment impropre, je suis dans la galère. Je ferme mes yeux et lorsque je les ouvre, je
suis déjà à l’hôpital, enrouler de bandes blanches, respirer l’odeur de mon sang.
Les jours passaient, je me guérir assez rapide, et je continue ma journée à Waimena comme
d’habitude, comme il faut d’un soldat. Je n’ai pas la haine avec le peuple native. Ce n’était pas leur
faute que j’étais blessé. Mais quand j’ai vu le combat, je peux sentir encore les douleurs sur mon
corps. Le soir quand j’étais encore à l’hôpital, j’entendais encore les hurlements de furieux dans
mes oreilles qui gonflent et cassent ma tête, je subi de douleur de tête pour quelque temps. Mais le
cauchemar dans la nuit passe, remplacé par la vue réelle des cadavres qui flottes sur les rivières, les
victimes de combats entre deux ethnies. Je vivais dans le réel cauchemar jusqu’au moment que je
me trouve que je devenais insensibilisé avec les cadavres, avec des morts, je ne vois que des morts
dans certains temps. Et encore je me trompais, je ne suis pas du tout brave avec le mort, j’ai très
effroi de mort. Ce jour la j’étais sur la plage Beji de l’océan Indien. Les vaques sont très haute et j’ai
vu de loin qu’il y a deux personnes entraînent nager. D’abord je pensais qu’ils sont complètement
foules, ensuite j’ai immédiatement pris un pneu et couru vers eux, dans l’océan Indien. En nageant
j’ai vu deux femmes se couler dans le vaque. J’étais réussi de les approcher et les donnait le pneu.
J’ai essaie de les amener à la plage, mais plus j’avançais, j’ai vu la terre s’éloigne et les vagues se
montaient. Je nage le plus fort que je peux en tirant le pneu qui contient deux femmes, je luttais
contre les vaques mais je réalisé que nous sommes effectivement plus en plus loin de la terre
emporter par les vaque au ventre de l’océan Indien. La peur m’envahi comme les vaques qui
essaient de me couler, devant mes yeux se créer les images des cadavres flotter sur la rivière
remplacer par mon image avec deux femmes flottent sur l’océan Indien. Je n’ai vu que de l’eau, je
n’ai senti que de l’odeur de sel, je n’ai touche que de liquide, j’ai un trac. Je me vois entrain mourir,
l’air de mort remplir mon poumon. Et puis j’ai prie, j’ai prie aux mes ancêtres, j’ai prie au créateur,
j’appel le secours de la haut de la. Sans fais exprès, j’ai laissé le pneu qui tient deux femmes et j’ai
essaie de nager en suivrant le courant qui tire vers au milieu et puis vers au bord de l’océan. Je
nages en fermant mes yeux et je ne sais pas combien long temps jusqu’au mes pieds me disent que
je touchais le sable. Je vois les gens s’approchent et le pneu plus les deux femmes sont juste derrière
moi. Nous sommes sauvé, et je sentais la fatigue épouvante, la tension forte qui extorquer ma force,
je me sentis dessécher, vider. Apres ce jour la, j’ai le problème de voir de l’eau sans surface. Je me
trouve perdu surtout quand les bruits de vaques truffés mes oreilles comme les cymbales de mort.
L’année 1964 je suis retourné à Jakarta, je continuais mes études militer et je suis entrer dans
l’agence d’intelligence. Cette année la c’était un période sombre en Indonésie. Politiquement et
socialement bousculer. Il y a souvent des attentats à la cause de politique, c’était la guerre entre les
communistes et les démocrates. Personne ne croit personne, en pensant qu’ils étaient tous
communistes. Mon travail est le chercher et trouver les « écrivains » de manifeste. Je me jeté dans
le jeu dangereux. Le fruit de mon travail se grandis. Notre équipe a capturé l’un de chef de
communistes. On lui a porté au tribunal de militer. Quelque mois après j’ai entendu un grand
« abattement » de sept générales ensuite les meurtre beaucoup de gens. Même le personne qui
passe tout sa vie de s’occuper seulement les champs, qui ne connaît que les grains du riz, qui a
jamais entendu le mots « politique », se trouve mort, avec le tampons d’un communistes, se
marquer su le visage de sa famille. La mort se pose partout jusqu’aux les petits coins en Indonésie.
J’étais choqué de voir ces choses soudainement. Le chaos couvre l’air de l’Indonésie. Comme
j’étais dans « le jeu », j’ai découvert l’amer de politique. Ses acidités me brûler mon ventre. Le
« haut » niveau a fait de faute décision en « sacrifier » les innocents. Ma vie commençait se
tremble. Je ne vois pas l’idéalisme dans ce jeu. Il n y a pas de vraie ennemie car toute ça dépend de
l’intérêt. Et je suis la au milieu, le pion de jeu, sans avoir de chois, en regardant les victimes
tombent devant mes yeux. D’ailleurs je préférais au milieu deux ethnies d’Irian Jaya qui s’attaquer
l’un de l’autre sans avoir l’intention de me sacrifier, que être un pion de politiciens qui sûrement
prêt de me sacrifier depuis au début. Mais encore je me dis que je n’ai pas trop de chois. J’ai une
famille qui a besoin de nourritures et la militer c’était mon seule métier. Je continuais être un soldat.
L’année 1973, je faisais la surveillant de contrebandier. On était a deux, les attendre pendant trois
jour devant une garage. Un moment, mon collègue est partie pour chercher quelque chose à manger.
Je suis reste seul et comme par hasard, j’ai vu quelqu’un approcher le garage. Toute suite, je lui ai
pris et lui a donné l’ordre de conduire la voiture, amener à la base militer sans attendre mon
collègue. Sur le chemin d’y aller, il m’a commencé de parler, essayer de « se discuter » sur le plan
de « jeter » les prouves. Je lui ai dit de se taire et continuer de rouler mais au lieu de se taire il m’a
demandé de voir la chaise derrière. Sur la chaise, j’ai vu sept sacs noirs. Il m’a dit de l’ouvrir un de
ces sacs. La curiosité m’attrapait, lentement je l’ai ouvré et du coup je devenais immuable. Les
empiles de grand billet bien arranger. Je n’arrivais pas de me respirer, je visais mes yeux sur lui. Ses
lèvres se forment le sourire. Je n’oublierai jamais quand il m’a dit de prendre les cinq millions
rupiah. La somme qui égal avec les 3 voitures Mercedes 200 toute neuves à cette époque ! Avec ces
sommes, je peux quitter le militer et faire autre travail. Je peux nourrir ma famille, acheter les
nouveaux vêtements pour ma femme et mes enfants. Mais j’hésitais, mon cerveau se pivotait
maximale. Je trouvais le « truc » qui ne va pas. C’était comme dans une scène bien planifier que
mon collègue est partie et lui est arrivé. Ca fait trois jours nous étions ensemble de faire surveillant,
il n y avait pas un seul moment qu’on se quitter, juste ce jour la, il m’a demande pour sortir tout seul
sans moi. Sûrement il y aurait une fuite dans notre équipe et je me sentais qu’il m’a fait plonger
dans leur jeu. Je fermais le sac, je fermais mes rêves, je ne voulais pas risquer ma tête, et je lui ai dit
de se taire définitivement. Apres ce moment la, je suis soulagé car j’ai sauvé ma vie « en sacrifiant »
mon chef et mon collègue. J’avais raison, il y avait « une fuite ».
Ma carrière au militer arrivait dans le point assez haute, l’année 1985 elle touchait le grade colonel.
Je voyageais souvent et mes enfants se nourrissent assez. Ma femme avait sa propre affaire et elle
gagnait bien. Nous faisait économise pour que la future soit tranquille et sécur. Mais l’histoire de la
vie parlait autrement, l’année 1986 nous sommes tombé dans le mauvais période. Le partenaire
travail de ma femme l’a triché et du coup on a perdu les 90 millions rupiah, égaux 45 mille dollars
américaines. J’étais vraiment enragé, je lui ai cherché et interroger, demander sa responsabilité de
rendre notre l’argents, cependant il y avait de group de polices qui viennent me chercher. Quelqu’un
porté pleine contre moi avec la raison que je faisais l’enlèvement. Je me trouvais devant la table de
procès-verbal, autant qu’un pêcheur. J’était et encore un interrogateur et j’ai interrogé beaucoup de
criminelle, maintenant eux, le gens que je connais bien, mon corps de militer, ils m’on interrogé
comme j’étais un criminelle. Je ne supportais pas du tout cet trahissent. Je me sentais que j’allais
m’évanouir, depuis l’age 16 ans je mettais mes pieds dans « la maison » de militer, depuis ce jour
la, je dédié ma vie au militer, et maintenant je me trouvait comme de malade. Le militer ne sont pas
la quand j’ai besoin de lui, il est « dehors » avec mon ennemie. Ils m’ont interrogé pendant 24
heures après ils m’ont laissé partir, aussi notre l’argent ne retourne jamais. Depuis ce jour la, je me
décidais de quitter militer pour toujours.
J’ai pris le retrait en avance. Je me souviens quand j’avais de mauvais période, je me « consolé »
aux amies de militer. Pour moi ils étaient mes amies, mes frères et mes parents. Je ne parlais jamais
mes cauchemars et mes peurs avec ma famille car je n’arrivais pas de partager avec le gens dehors
du mon monde. Maintenant j’ai quitté militer, mon monde. Souvent je cherchais encore quelque
meilleur amies de militer pour parler ou bien se partager le problème de la vie, mais ce n’est plus de
même, car je ne peux plus de me faire confiance comme avant. Maintenant je me trouvais solitaire
et je me sentais mal. Quand le cauchemar de bruit passe dans la nuit, je me réveillé et je n’arrive
plus de me rendormir, donc j’écoutais la musique religieuse et je me sentais mieux. Aujourd’hui je
me réveille encore dans la nuit mais moins qu’avant. L’infidélité de militer me faire sentir être
abandonné. Je déteste la situation politique et puis je suis tombé sur ma chaise car je sais, je ne sais
plus quoi faire. Je ne me sens jamais assez de pratiquer les théories que je connais depuis l’age 16
ans, je ne me sens jamais assez d’avoir la force de dédier ma vie pour ce pays. Je me sens inutile…

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