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LES ORIGINES
DE L'ALCHIMIE
M. BERTHELOT
MEMDUE DE L INSTITUT
Unilé de la matière.
PARIS
rEORGES STEINHEIL, ÉDITEUR
t, RUE CASIMIR DELAVIGNE, 2
l885
LES ORIGINES
DE L'ALCHIMIE
TYPOGRAPHIE
LE MANS (Sarthe)
Digitized by the Internet Archive
.in 2010 with funding from
Research Library, The Getty Research Institute
http://www.archive.org/details/lesoriginesdelaOObert
c'.rd Sis del 8c se j,A,Clfm»ni-Pcv
M. BEFiTflhJLOT
LES ORIGINES
DE L'ALCHIMIE
M. BERTHELOT
MEMBRE DE L INSTITUT
Uiiilé Je h matière,
PARIS
GEORGES STEINHEIL, ÉDITEUR
2, RUE CASIMIR DELAVIGNE, 2
'iS85
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IMBCrm'ccîrnp.
PRÉFACE
M
force de
la conception
éclairer
donner de
et tout
rationnelle
comprendre;
prétend
s'ef-
dernier.
nécessairement.
moignages.
Mais ce n'était là qu'une entrée en matière. Depuis
dité.
obscur.
clusion.
teinture en pourpre;
saint Marc.
veur!
M. BERTHELOT.
TABLE DES DIVISIONS
Pages.
Prékace V
Introduction i
LIVRE PREMIER
LES SOURCES
LIVRE SECOND
LES PERSONNES
LIVRE TROISIEME
LES FAITS
Pages.
LIVRE QUATRIÈME
LES THÉORIES
modernes 279
Appendices 323
Planches 363
Tarle analytique 369
Index alphabétique des noms 389
Index alphabétique des mots 419
LES ORIGINES
DE L'ALCHIMIE
INTRODUCTION
universel.
L'histoire de l'alchimie est fort obscure. C'est une
science sans racine apparente, qui se manifeste tout
à coup au moment de la chute de l'empire romain
et qui se développe pendant tout le moyen âge, au
milieu des mystères et des symboles, sans sortir de
l'état de doctrine occulte et persécutée^ : les savants
et les philosophes s'y mêlent et s'y confondent avec
les hallucinés, les charlatans et parfois même avec
les scélérats. Cette histoire mériterait d'être abordée
dans toute son étendue par les méthodes de la cri-
espèce.
iii^ siècles de notre ère et les faits cités par les histo-
tution de la matière.
LIVRE PREMIER
LES SOURCES
CHAPITRE PREMIER
DIVISION DU LIVRE
6^.<?
CHAPITRE II
de Migne, t. I, p. 395-514.
Dans ce livre, ce sont également les anges pécheurs
qui révèlent aux mortelles les arts et les sciences
RUM, X.
(3) Siquidem et mctallorum operta nudaverunt et herbarum mgcnia
traduxerunt et incantationum vires provul gaver unt et omitcm curio-
sitatem usquc ad stellarum intcrvrctationcm dcsignaverunt... De cultu
lEMlNARUM, I, II, B.
LES ORIGINES MYSTIQUES l3
(2) Ms. 2.249, ^°'* 9'^' ™-^- ^^ saint Marc, fol. i88, \".
che XIV.
(5) Ms. de la Bibliothèque Nationale, 2,327, fol. 80; ms. 2,249,
fol. 100; ms. de saint Marc, fol. io3.
l6 LES ORIGINES DE i/aLCHIMIE
(3) Voir par exemple fol. 22, v% fol. 68, v ; fol. 78, V; fol. 106, V;
fol. 107; fol. iKj; fol. i3i, yo; fol. 177, v», etc.
LES ORIGINES MYSTIQUES I7
'science des sucs des plantes est aussi bien celle des
poisons qui tuent et des philtres qui troublent l'esprit,
être brûles sous les yeux des évèques, disait déjà le code
Théodosien (i). Les auteurs étaient pareillement
brijlés. Pendant tout le moyen âge, les accusations de
magie et d'alchimie sont associées et dirigées à la fois
§ 1. — Sources Égyptiennes.
(2) OXOV TO T/j; AÎyÛtTTO'J fixOlXstOV. W yuvat, KTTO TCOV OUO T0UTO)V
même collection.
(fol. 274). Dans les recettes positives qui nous ont été
tion jaune.
(3) Ms. 2.327, f"^'- -30' — Axt'ixovs:, c'est-à-dire les dieux inférieurs,
de même que dans le langage de Jamblique et de ses contemporains;
ce seront plus tard les génies des Arabes.
(3) Id.,p, 6q. m. Maspero partage cette opinion, ainsi que le savant
professeur Hoffmann, de Kiel.
(4) Thésaurus de Henri Estienne, édit. Didot; articles chymia et
Zosime (i).
(i) KaTaêacpïj Xt6o)v xat GixapayStov xai Xu/^vitwv xat uaxtvôojv h. toû
sçaotjTOu Twv Ufcov ixooOî'vTO; BiêXi'ou. Ms. 2.32 5, fol. lôo, V; ms. 2.327,
fol. 147.
ysypaTtiat. Ms. 2.325, fol. i5o, v"; ms. 2.327;, fol. H^- Le ms. de saint
chesteb, le mafek.
(3) Ms. 2.327, fol. 210; ms. de saint Marc, fol. 174, v".
(7) Ms. 2.327, fol. 2o5 ; ms. de saint Marc, fol. 190, vo.
SOURCES ÉGYPTIENNES 33
(4) Elle est répétée sur une bande marginale. Ms. 2.327, toi. 297, v*".
2>4 LES ORIGINES DE l'aLCIIIMIE
doctrines elles-mêmes.
Le nombre quatre joue un rôle fondamental chez les
(3) Ms. 2.325, fol. i5o, \° ms. de saint Marc, fol. io6.
SOURCES ÉGYPTIENNES Sg
Chaldée.
C'est probablement aux Bab3'loniens qu'il convient
de remonter pour la parenté mystique si célèbre entre
les métaux et les planètes. Je ne sais si l'on en trou-
verait une indication plus ancienne que celle de Pin-
dare exprimant la relation de l'or avec le soleil (i).
Ttov àXXoiv, àno Tcov oùpavi'wv Iv yv) cpusxai Oswv, xai tyîç IjcsiOôv aTtop-
§ 3, — Sources Juives.
de notre ère.
Écritures Saintes.
L'art sacré des Égyptiens et la puissance de For
qui en résulte, écrit encore Zosime, n'ont été révélés
qu'aux Juifs (3), par fraude, et ceux-ci l'ont fait
(2) Ms. 2.24g, fo'- 98 ; Ms. de saint Marc, fol. 190, v».
(3) Mo'vo'.î 8ï louSat'oiç l^éSwffav XaOpa xauTCt izoïzh xal yçi'^tv/, xy\
(4) Ms. de saint Marc, fol. 178; Ms. 2,327, fo'- 214, v».
SOURCES GNOSTIQUES Sj
faire, dès que leur religion fut devenue celle des em-
pereurs.
§ 4. — Sources Gnostiques.
cité reparaît deux fois : une fois seul (i), une autre
fois (2) suivi des mots : « Livre mystique de Zosime
leThébain. » On reconnaît l'analogue de l'Evangile de
la Vérité et de la Pistis Sophia de Valcntin, ainsi que la
sont caractéristiques.
Quant au nom de Sophé l'Egyptien, c'est une
forme équivalente à celui de Souphis, c'est-à-dire
du Chéops des Grecs. Le livre qui lui est ici attri-
(2) Fol. 25 1.
(3) Ms. 2.327, fol. 195 (trois cercles : rouge, jaune et vert) et fol.
(4) Ex ipsa quœ magi tradunt contra incendia, qnoniam ignés sola
animalium extinguat, si vera ferunt : Pline, 1. XXIX, ch. iv, section 23.
(6) Aristote, Hist. des animaux, 1. V, ch. xix. — Autt) yàp wç ^y\rs\,
[xèvTivb; U7T0 Trupo; ouSî'v kÔlg/ei. Cependant il dit qu'à la fin elle est
brûlée. —
Galien, sur les Mélanges, livre 111; éd. de Kuhn, 1,814, 1821.
(7) Quatrième livraison de la publication de M. Leemans, planche XII.
ho LKS ORIGINES DE L ALCHIMIE
(i) Ms. 2.327, fol. ig6 ; Ms. de saint Marc, fol. 94.
(2) Ms. 2.327, fo'- 86, v°.
(3) Ms. de saint Marc, fol. i37 ; ms. 2.327, f"-"'- "o, v^'
SOURCES GNOSTIOUES 6l
mistes.
Le serpent qui se mord la queue était adoré à
Hiérapolis en Phr3^gie, par les Naasséniens, secte
gnostique à peine chrétienne. Les Ophites, branche-
importante du gnosticisme, comprenaient plusieurs
sectes qui se rencontraient en un point, ladora-
soleil.
(i) Sur les Ophites, par Pu. Berger, p. 28, 2g, 96; iSyS.
(2) Ms. 2.327, fol. 204.
(3) Zosime, dans le ms. de saint Marc, fol. iqo, v".
64 LES ORIGINES DE i/aLCHIMIE
(7) L'auteur ne savait pas qu'on licbrcu ce nom n'a que trois
lettres.
PLANCHE I
•^^ ^
CHRYSOPEE DE CLEOPATRE
SOURCES GNOSTIQUES 65
sens.
CHAPITRE IV
Quidquid in usus.
a colorantur. »
Sont-ce là des inventions authentiques du vieux
philosophe? ou n'avons-nous pas affaire à des pseu-
donymes Egyptiens, peut-être même à ceux dont nous
possédons les traités? Je reviendrai sur ce problème.
Pline parle pareillement des ouvrages où l'on ensei-
gnait l'art de teindre les émeraudes artificielles et
(3) Atox)i7)Ttavo; Tot TTcpl \i\[xvÂ^ àç.y'^^o'j y.'A /puorou xoU ~a)iatoT; otO-
euxoTTOTaxa /p-/]aaTt(70u.£Vouç . .
(2) 4^ Praxis, ms. 2327, fol. 5o. — Pliysici et mcdici praxi minores
de Idclcr, t. II, p. 21 5.
TiiEOPUANE, p. 128, D.
LES TÉMOIGNAGES HISTORIQUES
77
sciences occultes, les charlatans et les escrocs, il a
toujours existé une étroite parenté.
L'alchimie, envisagée comme formant un corps de
doctrines scientifiques, n'est pas citée dans les his-
toriens anciens parvenus jusqu'à nous, du moins avant
Jean d'Antioche, qui paraît avoir vécu au vii^ siècle.
gage.
A la même époque nous pouvons invoquer une
autorité d'un ordre tout différent, celle des Arabes.
Dans le Khitab-al-Filirist, encyclopédie écrite vers
l'an 235 de l'Hégire, c'est-à-dire vers l'an 85o de
notre ère, on trouve plusieurs pages consacrées à la liste
p. 3, 7, 18, 34 (1839).
6
52 LHS ORIGINES DE L ALCHIMIE
dente.
LES PAPYRUS DE LEIDE 83
ffeXrjVoyovov . . .
n» 37g, I.
LES PAPYRUS DE LEIDE 87
(2) Ka6ap<7tç.
traite (2).
(3) 2{/.r,?t;.
(7) Aeuxoxît;.
(i) MaXa^iç.
(2) Xptfftç.
(3) Xpojffiç.
(5) Ilotïlfftç aayjfxou. Voir le ms. 2.327, fol- H^- '> ^^ "i^- '^^ saint
(4) KaTaêacpr).
(i) Voir ms. 2.327, f°'' -S'i '^° <^^ fol* -84-
(2) Xpuffoypacpta.
(3) Par exemple ms. 2.327, fol- -83 v° et fol. 287 w".
(5) IIXeovaffjjLO;
rique.
^^J€P:î<
CHAPITRE VI
§ 1 .
— Enumération des manuscrits.
mie.
LES MANUSCRITS GRECS DES BIBLIOTHEQUES 97
autres.
d'Alexandrie.
xi^ siècle.
reste de l'Occident.
jour.
(2) Voir entre autres Hoelcr t. 1, p. 2G2, 2Ô3, 264, 270, -^-So, 285.
LES MANUSCRITS GRECS DES BIBLIOTHEQUES I ob
ment en abrégé.
La bibliothèque de saint Marc contient le plus
ancien manuscrit alchimique qui existe. Ce manus-
crit, que j'ai entre les mains, renferme les plus impor-
tants de nos traités et sa composition générale ne
diffère pas sensiblement de celle des précédents. Il
(1) T. I, p. 172.
à la nomenclature ;
§ 5. — Indications générales.
(i) Ms. 2.327, foL i5 et 16; ms. de saint Marc, fol. io8, verso.
planète Mercure.
Les listes dont je parle sont faciles à distinguer.
(i) Ms. de saint Marc, fol. ij, colonne de droite. Voir aussi ms.
2.25o, fol. 243; ms. de la Laurentiennc, vers la tin.
xi^ siècle.
(1745).
Le lexique a été précédé par des nomenclatures beau-
téristiques ont été grattés (3). Tels sont encore les listes
(2) Ms. 2.327, fol. 23 et 24. Voir aussi fol. 22g vo : nomenclature
de l'œuf, c'est le mystère de l'œuvre, etc.
§ 6. — Traités théoriques.
(i) Ms. 2.249, f*^'' 7^' ^'°j "^s- tic saint Marc, fol. G6.
(3) Ms. 2.327, fo'- 140 et fol. 243 à 249; ms. de saint Marc, foi. 79.
Euaytx signifie Sainteté. Le mot originel du lieu appelé TuO'.a paraît
avoir été changé par les copistes en l'adJLClif Os'.a (divine), plus facile à
comprendre.
(4) Ms. 2.327, fo'- --- ^ --7 ; """S. de saint Marc, fol. G2 v°.
mystiques ,
qui composent le Corpus des Alchi-
mistes grecs.
§ 7. —Poèmes alchimiques.
§ 8. — Traités technologiques.
de Dioscoride.
Un autre traité du manuscrit 2.327 pourrait être
LES PERSONNES
CHAPITRE PREMIER
(i) Ms. 2.827, fol- i^?j "^s. de saint Marc, fol. 79.
128 LES ORIGINES DE l'aLCHIMIE
(2) Ms. 2.327, fol- '9^ ^'°'> reproduite fol. 294; la mcmc liste,
9
l3o LES ORIGINES DE l'aLCHIMIE
la magie, etc.
§1. Hermès.
(2) Ms. 2.25o, fol. 81. Olympiodore reproduit le même texte avec
plus de développements; il est cite dans le ms. 2.327, fol. 2111 v".
§ 2. — Agathodémon.
(4) Misccll. Bcrol. 1, 19. Voir FAniucius, Dibl. grœca, t. XII, p. 696,
1724.
LES ALCHIMISTES MYTHIQUES ï3j
pent Ouroboros. »
§ 3, — Isis.
§ 1. — Leur énumération.
historiques.
(i) Sauf un mot dans Olympiodore, ms. de saint Marc, 167 v".
page 129; aucun écrit n'existe sous son nom dans les
Ostanès le Mède.
§ 3. — Démocrite.
chimie.
Avant de parler de cet ordre d'ouvrages et de
tâcher de retrouver les noms véritables de quelques-uns
LES ALCHIMISTES PSEUDONYMES I47
Mj'stica.
(i) Ms. 2.327, fol. 201 ; ms. de saint Marc, fol. iGG V.
LES ALCHIMISTES PSEUDONYMES I !) I
(2) Voir la Philosophie des Grecs, par Zeli.er, t. II, p. 35i, 353.
Trad. Boutroux, 188-2.
de Sénèque.
S3mésius dit encore que Démocrite avait dressé
(i) Pline, 1. XXIV, ch. cii. — Vitruve, 1, IX, ch. ii. — Saumaise
{Plinianœ Exercitationcs, 775 a, C à G), a traduit ce mot par « mar-
que de son anneau » ; s'en rapportant à une tradition citée par W-
truve, d'après laquelle Démocrite marquait de son anneau les expé-
riencesqu'il avait vérifiées lui-même.Maisun tel sens est bien détourné
et sans analogies.
(2) Pline, 1. XXIV, ch . xvii. — Democriti certè chirocmeta (ou chiro-
cineta) esse constat. In his ille, post Pythagoram magorum studiosis-
simus, quanto portentosiora tradit ?
On lit encore dans Vitruve (1. IX, ch. m) : multas res attendens, ad-
miror etiam Democriti de rerum naturà volumina et ejus commenta-
tradition de Démocrite.
humain.
En fait, je le répète, c'est à cette tradition que se
rattachent les alchimistes, aussi bien que les papyrus
deLcide. Il est possible que les œuvres magiques dont
parle Pline continsent déjà des récits et des recettes
fiques.
par les auteurs des 11'' et in^ siècles, tant païens que
chrétiens. Origène parle du mage Ostanès; Tertul-
lien le cite (3) ; de même saint Cyprien (4), Arnobe (5),
sciences occultes.
Synésius ajoute que Démocrite écrivit à cette
Chaldée et de Babylone.
Zosime cite Ostanès comme un très ancien au-
teur (i), et parle de son exposition sur l'aigle (2). Re-
produisons-en quelques phrases, afin de donner une
idée du langage énigmatique de ces vieux écrivains.
(2) XV, l.
(i) Ev yàp tÔ Tcàv. xai ôt'auTOÛ xo 7:àv Yc'yove. Ev to zàv xa'i il urj
révélèrent.
(1) AffwaaTtofftç.
dition.
(1) Ms. 2.237, f°'' 74 '^ 79- — U"^ partie de cet opuscule a été
ajoutée par erreur à la fin de la 9» praxis de Sléphanus dans Ideler.
Physici, etc., t. II, p. 248 à 253.
(2) Chwolson. Sur les débris de la vieille littcrature Xabathéeuiie,
p. 120. Note.
CHAPITRE IV
§ 2. — Zosime.
(p. 34.
Quelques-unes des allégories de Zosime peuvent
être comprises plus clairement. Tel est le passage
suivant : « La lune est pure et divine, lorsque vous
vo3'ez le soleil briller à sa surface. » Ce qui semble
vouloir dire que la purification de l'argent par la cou-
suivante :
J'ai dit ailleurs (p. 58), que Sophé était une forme
spéciale du nom du roi Chéops, auquel on attribuait
en Egypte, au m^ siècle, les ouvrages nouveaux pour
en augmenter l'autorité.
(i) Ms. 2.327, foL 112 à i36. reproduit en partie fol. 220 à 222.
(2) Ms. 2.327, fol. 168 v°, à 177.
(3) Ms. 2.327, fo'- 25 1.
|ô) Ms. 2.249, '^^^'* ^9 *^' 9°' "^^' ^^^ saint Marc, fol. 170 a iSi.
(7) De inysteriis, scct. \'IU, ch. m.
LES ALCHIMISTES GRECS PROPREMENT DUS l85
de ne pas révéler. »
thèques.
§ 3. — Africanus.
§ 4. — Synésius.
§ 5. — Olympiodore.
par Photius.
(2) Codex LXXX.
(3) Ms. 2.327, toi- IQ7-
(4) Voir Pline, 1. XI, ch. xxxi, 1. XXXII, ch. iv, sect. 21. — Solin,
ch. XXX, etc.
|5) Ms. 2.25o, fol. 123.
i3
104 I^I""^ ORIGINFS DF i.'Ai.r.iiiMin:
(i) Ms. 2.327, ^o\. IQT ; ms. i.ie saint Marc, fol. 1(0.
(2) Les mots de soufre et d'arsenic ne doivent pas être pris dans
leur sens littéral moderne.
(3) Ms. 2.327, fo'- '^oCi.
de Théophile.
Ainsi disparurent l'Ecole d'Alexandrie et sa bi-
bliothèque, anéanties par le fanatisme chrétien. L'his-
torien P. Orose nous dit, quelque temps après,
LES ALCHIMISTES GRECS PP0PREMEN1" DITS I97
et de la philosophie antiques.
Le Sérapéum de Memphis et le temple de Ptah, où
se trouvaient probablement les laboratoires médicaux
et techniques des alchimistes, périrent vers la même
époque que les sanctuaires d'Alexandrie.
Des scènes épouvantables signalèrent dans toute
rEg}'pte la fin delà civilisation hellénique et le
§ 7. — Stéphanus.
phanus d'Alexandrie.
Nous possédons de ce dernier neuf leçons {praxeis)
ciennes.
(i) Fadricius. Bibl. grceca, 1. VI. ch. vi:; t. XH, p. 691. de la r'«édit.
rt
O métal de la magnésie, par toi s'exécute l'œuvre
mystérieuse. O nature vraiment supérieure à la nature,
tu triomphes des natures; tu es la nature une, qui com-
prend le tout... O fleur charmante des philosophes
praticiens; ô splendeur contemplée par les hommes
vertueux O lune empruntant ta lumière à celle du
soleil ! O nature une, qui demeure la même et qui
ne change pas. Objet de jouissance et jouissant toi-
(i) Ms. 2.327, foL 38 v°. — Ideler, Physici et medici grœci minores,
i. II, p. 200.
(2) Ms. 2.327, fol. 178 à 193.
202 I.i;S ORKilN'ES DE L ALCHIMIE
§ 9. — Les Commentateurs.
imprégné de gnosticisme.
C'est ainsi qu'il parle de la source intarissable
(i) Ms. 2.327, ^"ol- 9- et suivants; ms. 2.249, f^l. 6; ms. de saint
Marc, fol. loi, 1 10, etc.
(4) Ms. 2.327, fol i'^- et suiv. ; ms. de saint Marc, fol. 78.
(3) Ms. 2.327, foI< 1Ô8.
LES ALCHIMISTES GRECS PROPREMENT DITS 205
rique de ralchimie.
LIVRE TROISIÈME
LES FAITS
CHAPITRE PREMIER
i^ 1. — Introduction.
L'or, ou nub ;
L'argent, ou hat ;
^ "i. — L'or.
§ 3. — L'argent.
§ 4. — L'électrum ou asem.
I
il Ms. z.'ii'], ïo\. I 7.
12I Géorgiques,lU, bi2.
\'i\ Ad Niibes, 768.
2l8 Li:S ORIGINES DE l'aLCHIMIE
§ 5. — Le saphir ou chesbet.
§ 6. — L'émeraude où mafek.
Ramsès III,
(i) Ms. 2.327, fo'- 0" v". Le mot vcnctiim apparaît ticjà dans L.vm-
PRiDK avec le sens de couleur verte, au iii« siècle : Ut hodie prasi-
num culorem, alia die venetum deinceps exhiberct. (Salmasu Plinianœ
exerAtationes, p. 170, a, A.) Les Byzantins l'ont souvent employé
dans ce sens.
LES METAUX CHEZ LES EGYPTIENS 22D
.§ 7. — L'airain et le cuivre.
i5
2 26 LES ORIGINES DF i/aLCHIMIE
§ 8. — Le fer.
§ 9. — Le plomb.
§ 10. - L'Étain.
§ 11. — Le Mercure.
CHAPITRE II
leurs monuments.
Cette assimilation entre les métaux et les pierres
précieuses reposait à la fois sur les pratiques indus-
trielles et sur les propriétés mêmes des corps. Elle
paraît tirer son origine de l'éclat de la couleur, de
l'inaltérabilité, communes à ces diverses substances.
Les noms mêmes de certains métaux en grec et en
latin, tels que l'électros, c'est-à-dire le brillant; l'ar-
(1860).
242 LES ORIGINES DE I.'aI.CHIMIE
dit Pelage, n'a-t-il pas été inventé pour faire une tein-
ture qui est le but de tout l'art (i)? »
'
l; MS. 2.327, f°'' ---''•
sur la matière.
LIVRE QUATRIÈME
LES THÉORIES
CHAPITRE PREMIER
THEORIES GRECQUES
§i- Introduction.
le rubis, l'émeraudc ;
quel procédé naturel amollit
toutes les pierres comment la perle se dissout et s'en
:
des alchimistes.
« Le feu est le premier agent (r), celui de l'art tout
toi. 196 et fol. 279. C'est là une vieille tradition. Voir p. 5q à 63.
soufre. De même l'eau divine veut dire aussi l'eau dérivée du soufre.
l3) L'oeuf philosophique, emblème du monde et de l'alchimie.
THÉORIES GRECQUES 267
sances.
'< Parménide prend aussi pour principe le divin,
17
2 58 LES ORIGINES DE l'aLCHIMIE
nelle.
(i) Amo?.
(2) Kain/oç,
méprisant la matière.
(( De même Gh3^mès suit Parménide, et dit « un est
de volatilisation.
(4I Aristote, Métaphysique, 1. I.
THÉORIES GRECQUES 26 I
(i) IlavTa yap ix ijLOvaooi; TrpospyeTat, xal eîç fiovaoa xaTaXY,Y£tv, t'/jv
Tou ?Y]ptou(iy)ijLavaç.
202 LES ORIGINES DE L ALCHIMIE
crit saint Marc, fol. 167 v" mais il y a doute, car dans le ms. 2.327,
;
fol. 202, au lieu de Ta aTO[Jia, on lit to aaa, qui fait peut-être mieux
IV* siècles, ainsi que je l'ai établi plus haut. C'est donc
aux idées que les philosophes se faisaient de la ma-
tière à cette époque, idées dérivées de celles de Platon,
qu'il convient de nous reporter.
Les opinions des alchimistes grecs ont une affi-
(i) Loco citato, p. 91. Voir aussi Aristote, De Cœlo, 1. III, ch. vu.
266 LES ORIGINES DE î.'ai.CHIMIE
chimie moderne.
Au xix^ siècle même, c'est-à-dire de nos jours, le
précédente.
Ces notions peuvent paraître subtiles ; mais si Ton
ne s'y reporte, on ne peut comprendre ni Platon, ni
les anciens alchimistes.
Pénétrons plus avant dans les doctrines du Timée
sur la composition des corps. Il s'agit ici, comme
Platon a soin de l'expliquer, de conceptions qui lui
raison plus dure que l'or, mais qui est plus légère à
sont pas.
Quant aux espèces de terre, Platon les distingue de
même, suivant la proportion d'eau qu'elles renferment
et selon l'égalité et l'uniformité de leurs parties, en
matiques. »
(i) Carbonate de soude: traduite tort par nitre par les auteurs
étrangers à la chimie.
272 LES ORIGINES DE L ALCHIMIE
(i) OuTw; oOv xai y) uSpapyiipo; cptXoT£j(Vou(jLsvY) &:p'f,}jLtov , zàv zïoo; olÙt^
xai àoKoxTo; Uc'vEt. 'Ati touto xat lir.i^jT,/ loç 7:oXÀy;v ày^fzhik-^ s/eiv
(i) Voir aussi ses Théories sur la Nutrition, ms. .i.3i-j, fol. 61. —
Ideler, t. II, p. 22q.
(4) Ms. 2.527, f*^'' 4''i -^o "-'t '".»• — ^'<^"' aussi Ideler, t. Il, p. 210,
2i5 et p. 241
THÉORIES GRECQUES 277
(4) Ms. 2.327, fol. i5. — Ideler, t. II, p. 217. Ce dernier texte sub-
stitue à tort l'argent (lune) au mercure dans la fixation par le cuivre,
contrairement à ce qu'on lit dans le manuscrit de saint Mara,
fol. 19 v°.
(5) Ideler, t. II, p. 23q.
278 I.i:S ORIGINES DE l'aLCHIMIE
(i) 3'' Praxis, Ms. 2.3-27. fo'- 47- — Ideler, t. 11, p. 212.
g*!^^^e^*^f!«*SS
CHAPITRE II
§ 1 .
— Le Mercure des philosophes.
de notre temps.
Tous les corps de la nature, d'après les adeptes
grecs, sont formés par une même matière fondamen-
tale. Pour obtenir un corps déterminé, l'or par
exemple, le plus parfait des métaux, le plus précieux
des biens, il faut prendre des corps analogues, qui en
de notions philosophiques.
En effet, la matière et ses qualités sont conçues
comme distinctes, et celles-ci sont envisagées comme
des êtres particuliers, que l'on peut ajouter ou faire
disparaître. Dans les exposés des adeptes, il règne une
triple confusion entre la matière substantielle, telle
sophes hermétiques.
Non seulement les matériaux employés par ceux-ci
dans la transmutation : le soufre, l'argent, la tutie,
rations chimiques.
(i) Voir mon traite : Sur la force des matières explosives, t. II,
p. 35o (i883).
THÉORIES ALCHIMIQUES ET THEORIES MODERNES 287
19
2r)0 LF.S ORIGINES DF, L ALCHIMIK
lui-même.
Encore cela ne suffit-il pas pour représenter rigou-
reusement les expériences. En effet, M. Stas, par des
chir.
iq.\ I l> UKIC.INKS Dl'! I. AI.CIIIMII
rent dans les deux cas, suivant qu'il s'agit des corps
simples et des corps composés, et il établit une diver-
sité essentielle entre les vrais éléments chimiques, tels
génératrice commune.
Avant d'aller plus loin, je dois dire que je développe
ces rapprochements numériques et cette notion de la
génération des éléments, en prenant soin de leur con-
server toute leur force et sans les affaiblir en rien. Cepen-
dant, ce serait tromper le lecteur que de ne pas l'avertir
traires de l'imagination.
nombre i5.
sion.
touche à la fantaisie.
sion, comme il a été dit plus haut, n'est pas une consé-
quence de la théorie des séries périodiques; elle ré-
sulte purement et simplement des lois et des analo-
gies anciennement connues, lesquelles sont indépen-
dantes du nouveau système.
Quoi qu'il en soit, le tableau hypothétique que je
4
THÉORIES ALCHIMIQUES ET THÉORIES MODERNES 3ll
(2) Voir mes Mémoires sur les états du carbone : Annales de Chi-
mie et de Physique, 4" série, t. XIX, p. 897 et 398, 41 3, 427.
THÉORIES ALCHIMIQUES ET THÉORIES MODERNES 3l5
APPENDICE A
Page Titres
A-Xk-f] xaîctTspou.
Ka(7fftT£pou xa6ap(7tç.
AffTiixou StTîXwcrrç.
Pages. Titres.
AffTiULOu 7roir,atç.
Acr,aou oiTcXtoat;.
A(Tr,[xou TTonqatç.
Aar,aou TTOiriOrtî.
noir,ai; xpaceo); .^
Xpudtou y^piodt;.
Xpuaou SoXo;.
AffVKxou 7:oir,aiç.
AXXr).
AXXr,.
AXXy).
KaffffiTspou (jxXYipojatî.
Kaxa/^piai; /puffou.
5 ApY^poi» xaOapatî.
Apyupou ypwfftç.
XaXxou -/puffo^avou; iroiiridif;.
A(jyi|xou -rtoiriatç.
G, XpuffO/potcpia
AXXv).
AffTijxou TTOiriai;.
7 AXXr,
XaXxou xP""î-
Xpuaou ôoxiixaffta.
Apvupoy ooxtixaata.
APPENDICE A 325
Pages. Titres.
XpuffOYpacpia.
X«XxtO[JLaTWV (JjJLYlÇtÇ.
XaXxo; /puaocpav^ç.
Xpuffoypacpta.
8 ApYupou -/pucoait;
Xpuuoypa'f loc.
Xpuatou uypou cxeuadeta (I. axeuajta).
Xpuatou /ptoai;.
XpUljtOU TTOiriClÇ.
AXXt].
Xpuffoypa^Eta.
AXXr,.
AffTJIJLOU
YP*'f^-
XpuffOYpacpeta.
A(7r,}/.ou Soxt[xaffia.
A<TYiut.ou xaTaBa'.p-/i.
XaXxou aaXa;tç.
Xouffou xaTapacpY).
XpucoYpacf/ta.
Xpucoypacfca.
AXXr,.
Xpufftofftc
AXXri.
AXXy).
AarjuLOu xocTapacoY).
11 Kadatxepou axXyjpaffia.
AffVljXOU TtOtTidi;.
326 LI£S ORIGINES 1)1-: l'aLCHIMIIC
Pages, 'l'ilres.
AXXr).
AXXy).
12 AXXt).
AXXr).
^apixaxa aTuirrixa.
Hop ('fupa;) Tîotyjffiç.
ri axxt).
AXXo.
AXXo.
14 AXXo.
AvTtYXauxei(ji.o,- (1. AvxtYXauxKTfAO;).
Apffevixov aptaxov.
Miffu.
1 5 XpuuoxoXXa.
McXtoç 2'jvot:ix-/) (l. iîtvwrixri).
2TU7lTV)pia
16 Ntrpwv.
Ktvva^apet
YSpapYpupoç-
APPENDICE B
KaffffiTepou (jxXrjpaata.
AaT)[Jiou irotYiciç.
'
a^cpaXTOu ; V) etç )iUTpav xevviv TreptirsÀcoo-
AàXt) .
AXXy).
Xpuaco'j StTrXcjjatç.
AXXr).
TtaXtv xptjîe paXwv e/etç iStov xai eaaov (av. y' xat
AXXo.
TTopçupav (xevoucav.
AXXo.
APPENDICE B^'^
£v t'^ oùpa TYÎç TTapôc'vou. — Manuscrit de saint Marc, fol. 1C8 v°)
'Apyupou SîirXojffi;.
àvoff U.OV
.«f.
APPENDICE D
autres.
ms. 2.275.
(3) Manque dans 2.325. | Saint Marc.
(4) Ms. 2.325, fol. 8 V à 20. I
Alt. |
Leide | Laur., IV. | Saint Marc.
Vienne, IV. | Ambr. |
(4)Ms, 2.249, jusqu'au fol. i5, | Laur., XVI et XVII (14 cliap,). |
(10) Voir les art, X, XIX (barré), XX, XXV, XXXVI, XXXIX.
340 LES ORIGINES DE l'aLCHIMIE
— sur le cinabre.
Fabrication du mercure. Fol. 14G
XVII. Coloration 'par fusion) des pierre.^, émcraudes.
lychnites, hyacinthes, d'après le livre du Sanc-
(i) Ms. 2.240, fol. 18 à 28, écourté. Il y manque à cette place les
articles qui suivent le fol, i3i du ms. 2.327. I
'^s. 2 32ii, fol. 118
à i52. I
Laur., XVIII (ig chapitresl.
(2) Ms. 2.249, ^°^- '"'^ ^^ suite.
(4) Ms. 2.249, fo'- 20 à 32. I Ms. 2.32.S, fol. i52 à ibq. j Laur.,XLIV
(17 chap ). I
Ms. 2.27.S.
(i) Ms. 2.2.\i} jusqu'au fol. 38. 1 Ms. 2.325, fol. 160 v" à 173.
I
Ms. 2.275.
(2) Ms. 2.249, fo^' 39 à 41 .
I
Ms. 2.325, fol. 173 và 178. I Saint Marc.
I
Ms. 2.275, 1
Vienne, XVII. |
Trempe du fer, dans saint Marc, avec
des titres différents. [Ambr.
(3) Ms. 2.249, fol. 41 y à 52. I
Laur., XLVI (9 chap.). | Ms. 2.325,
fol. 181. En addition, d'une autre écriture à demi-effacée. | Laurcn-
tienne, XLV.
(4) Ms. 2.25o, fol. 169 à i83 et à 216. |
Ms. 2.249, f'^'- 4'^- ' -^'t. |
Leide. I
Saint Marc. 1 Ambr. |Vienne, XVIII. (
Laur., XXII et XXIII. |
XXII. Listes des noms des faiseurs d'or (2). Fol. igS V
XXIII. Le serpent qui se mord la queue (ouroboros) — avec
ligure coloriée (trois anneaux concentriques,
quatre pieds, trois oreilles). Fol. 196
fol. — Sur
Si). sacré divin de confection
l'art et la
(1) Ms. 2.320, ms. 2.24.9. (L'<^n-t<^te manque) : fol. 64 à 72, avec des
variantes. Hiérothée nommé en plus; mais sa pièce existe au fol. 186
du ms. 2.?27. I
Laur., article ajoute à la tin. | Ms. 2.23o, fol. 241-248.
Une partie seulement. | Alt. | Leide. |
Vienne, XXIX à XXXII. I
Laur., XX |
XXXVII. Isis la prophétesse à son fils Hvriis (2). Fol. 256 à 258
dorer animaux,
les — Sur soudure d'or. —
etc. la
— Ingrédients de
briller les perles. de fusion l'art la
P E
T M
M
c'est-à-dire Pax tibi, Marce, Evangelista meus.
C'est un très bel exemplaire, écrit probablement pour quelque
prince et qui parait avoir appartenu à Bessarion, dont la bi-
(i) Les mots suivants, autant que j'ai pu les lire, sont écrits chacun
au-dessus d'un signe correspondant.
^Tiat (?) — To Tiav — yaXxou toç — ixoXuêoyaXxov y.sjcotuuevov —
apyupoxaXxov XExa'jaEvov (c'est le scorpion) — xat TTeTrrjvy-Evov —
euLcpiTo;. — oayaa — — to xtTotvo/aXxov to 7:av OTTpaxov — to irav
oxav Tr,v xi/yr^'i xaurriv Tr,v Ttepixa),?) êouXe^ôi, etc. (saint Marc,
fol. 40, 1. 4 en remontant) c'est-à-dire ô'ts Trjv t£/_vy)v TauTr,v
à 62 v". )
et suiv.)
— Fol. 104. Trempe du fer. (Ms. 2.327, '^^^- ^^7-) ^-^ texte
— Fol. ii3 yo. Fabrication des verres. (Ms. 2.327, fol. 13.)
APPENDICE D 35 I
— Fol. 119. Le texte fait ici suite au folio io3. (Ms. 2.327,
fol. lOI V".)
— Objection que l'eau divine est une par l'espèce, et sa solution.
(Ms. 2.327, fol- loi \°.)
ToXouç, etc.).
— Fol. i3o. Le plomb et la feuille d"or. (Ms. 2.327, fol- 1^7 v".)
— Fol. i3i à i36. Lexique. (Ms. 2.327, fol. ig.)
fol. i33v».)
— Fol. iGi v". TIspi àcpop[i.ojv (îuvôecsw;. Sur la composition des
agcns actifs.
Figures.
— Fol. iq5. Autres fourneaux. Figures.
ms. 2.327.
Les références entre ce manuscrit et le ms. 2.327 ont été
données dans les notes relatives à ce dernier, dont il ne forme
d'ailleurs qu'une fraction.
Après le texte proprement dit viennent des pages presque
effacées, d'une autre écriture, postérieure et très mauvaise :
J'ai donné dans les notes du ms. 2.327 les résultats de sa col-
Alt. I
Leide. \
Vienne, III. 1 Saint Marc. |
Ambr. |
(3) I
Alt. 1 Vienne, XXV. |
Saint Marc. Le serment de Pappus. |
Ambr. |
(7) j
Leide. I
Vienne, XIV. |
Saint Marc. |
23
3f)4 LES ORIGINES DR l'aIXHI.MII
tirée d'Agatharchide.
APPENDICE E
APPENDICE F
Mss. de Palis.
Cp, ETTiOeç luluiipaç oWtô XapîTv ppanaaTa, elia Xapwv àuoxou irupoç
ôWt£ cpOaaat TGV ^C))[i.ov â'toç tou TTUÔfxÉvoç, xal £aaov vu/_0-/-'a£pa Suo
10 Eita Xapwv [j(.£Tot TaÛTa ^r'pavov Iv oxta, xov Si !^o)(jtov ex/sov, sxal
Xal3(ov xov aùxov^coaov xai paXwv Xixpaç ûuo, paX£ Iv xw ^waw uSojp
i5 euîtxa Xapwv Xaxyav a xa\ Xa^wv XauaOo'j Xixpa;; S', exCetov [j.£xà
l'jy-/) é'wç •Ka/uvO/j, xal StuXiaaç TtaXtv xov Xax'/av, jîaXe x-Jjv Ipsav, £Îxa
ttXuvov oupw, [^exà xauxa uSaxt, £TT£txa ^-/ipava^ ôjjloi'o); Iv ffxia Ou.ui'a
Xtov, xal xo'xxov, xal avOo; OaXactrtov, ày/outrav Xaûixtvr,v, xp'/i[/.voç, Ipu-
Kal Etal cpEuxxà où xtij,ia, £(jxt 5È oxy)? l'aXaxi'a; itxojXtiç, xal xo x^;
— AL w;. —
6. —
7. A/, i'wç. oiuXr,(jaç. — 10. M. \j.^, Ixyhq,
— D. ex^ee. — 11. AI. êaXwv e'i; xov aùxbv $w[xov épuojv Xi'xpa;
360 LES ORIGINES DE l'aLCHIMIE
(Tapaî. — 3/. eTra ixErà xauTa. — 16. Z). waT£. — ^A/. éaXe tov
Xocxyàv. — 17. 5C. .\/. l\iti. — 18. M. ti-Z'X TldlXlV &Ô«Tl, xott
(1) Orseille.
(2) L.\ccHA. — Le mot orcancte est indiqué comme traduction
commune pour les deux mots laccha et anchusa, par les dictionnaires.
( Voir S.\tMAisE. I
APPENDICE F 36 1
'
Apyupoç* tieXoî" 7xiu.yi* ^ivi'yia* /avSpa- yt, Xeuxr,* x . x. ouota
PLANCHE I
Kv To Tiav xat ot'auTOu to Tvav xat et; ajTO to Tuav xat et [jly) £/ot to
<( Le serpent est un, celui qui a le venin avec les deux ém-
et blêmes. »
Ev TO Trav
« Un le tout. »
« matras ».
Xpuaoç Or.
Xpuffou ptvriu.a Limaille d'or.
Xpuffou TTSTaXa Feuilles d'or (avec 2*-' signe à droite,
d'une écriture plus récente).
Xpuffo; xexauaevo; Or calciné (fondu).
Apyupoç Argent.
Apyopoi) yr, Terre d'argent (minerai).
Apyupou pivrjtxa Limaille d'argent.
Apyupou TieraXa Feuilles d'argent.
Apyupoj^puffoxoXXa . ..... Soudure d'or et d'argent (avec 2'' signe
récent).
TSpapyupo; Mercure.
NE'fsXr, Brouillard (vapeur condense'e).
Aeuxr,v Traystuav Concrétion (coagulum) blanche.
EavO/jV Trayetaav Concre'tion jaune.
AtOapyupoç Litharge.
0£iov aTTupov ; . Soufre apyre, n'ayant pas subi l'action
du feu.
Acppo(7£Xr,vov Sélénite.
^m^
TABLE ANALYTIQUE
Pages.
'^'
Préface
Table des divisions. . .
xix
Chapitre premier. —
Division du livre. Toute science doit—
être placée dans son cadre historique. Croyances reli- —
gieuses et mvstiques de l'Orient dans les premiers siècles de
notre ère
24
'ijO LES ORIGINES DE I, AI.CHIMII
Pages.
Tcmoignages historiques relatifs à ralchimic. — Documents
des alchimistes, papyrus et manuscrits 8
Chapitre II. — Les Origines mystiques. — Les anges ayant eu
commerce avec les femmes, d'après les Ecritures, leur révèlent
les arts. — Le livre Cliema, d'après Zosime 9
La science des poisons et les secrets des métaux. — Le livre
Isis 10
Genèse lo
astrologues i
."^
falsification 17
La s:ience est sacrilège parce qu'elle détruit la notion du
m i rac e 1 18
TABLE ANALYTIQUE Syi
Pages.
Pages,
Liste des mois égyptiens comparés aux mois romains chez les
alchimistes -^-'
la science du sacerdoce 39
I^ s:ience était impersonnelle. — Résumes encyclopédiques faits
à l'époque Alexandrinc 40
Les 42 livres d'Hermès, portés en procession. — Description
de Clément d'Alexandrie 40
Les temples égyptiens.— Temple de Sérapis à Alexandrie, siège
du Muséum et de la Bibliothèque.— Association de la science
et de la religion en Orient. — Mosquée d'El-Azhar, univer-
du Caire
sité 42
Sérapéum de Mcmphis. — Découvertes de Mariette. — Statues
grecques de l'hémicycle.— Caractère médical de ce sanctuaire,
— lieux où les restes des appareils alchimiques peuvent
être recherchés 43
Clément d'Alexandrie ne mentionne pas d'ouvrages alchi-
miques. —
Livres occultes 44
Livres philosophiques et mystiques prétendus dUermès, par-
TABLE ANALYTIQUE SyS
Pages,
thèque nationale , . 02
Adoration du serpent qui se mord la queue, à Hiérapolis, par
les Ophites. — Serpent, emblème d'une puissance supé-
rieure, etc., rapproché de l'œuf philosophique. — Le serpent
égyptien Apophis. — L'Ophiouchos 63
La terre vierge et sanglante. — La magie associée aux pra-
tiques religieuses. — L'étoile à huit rayons. — L'ogdoade
mystique et les huit dieux élémentaires 63
Les éléments mâle et femelle ; l'élément hermaphrodite ; les
Pages.
Pages.
Marc loô
Pages.
Pages.
g 4.
— Les rois et les empereurs. — Pourquoi ces désigna-
tions 1 3(|
tions 1 41 1
Pages.
g 4.
— Les alchimistes égyptiens. — Chymes ; ses axiomes. —
Pébéchius. — Pétésis 167
Pétosiris l'Astrologue. — Pammenès. — Pauséris ibg
g 6. — Les alchimistes juifs. — Moïse; sa diplosis. — Marie la
traités 1
84
Ouvrages de Comarius. —Pelage l'Ancien. — Dioscorus. — Jean
l'Archiprêtre 180
Pages.
de Théodose 196
Fin de la Bibliothèque et de l'école d'Alexandrie. — Ecole
d'Athènes supprimée à son tour. — Ruine des temples de
Memphis et des laboratoires 197
Scènes de massacre et de pillage qui marquèrent la lin de la
Pages.
monuments 212
g 2. — L'or. — Ses figures. — Or pur et or de roche 21
artificiel ,
218
Verres bleus à base de cobalt, de cuivre. — Bleu d'Alexandrie.
— Assimilation aux métaux 220
Masse incolore teinte par une petite quantité décolorant 221
Pages.
Pages,
de Parménide 256
L'eau, l'air, le feu, principes; non la terre 257
Les vapeurs humides et les fumées d'Anaximandre 258
Zosime s'attache à l'unité. —
Opinions de Chymes, d'Agalho-
démon, d'Hermès, La vapeur sublimée— 259
Les éléments changés les uns dans les autres 261
Les pythagoriciens dérivent tout de l'unité et de la géométrie,
— Les solides réguliers et les éléments 2Ô1
Les hommes veulent une base fixe à leurs conceptions 262
Les atomes 263
Les alchimistes grecs ne parlent pas de la théorie
atomique 263
g 2, — Les platoniciens ; le Tiince. — Les opinions des alchi-
mistes s'y rapportent 264
La matière première de Platon elle constitue ; les quatre élé-
ments, dont la forme est géométrique 265
Ceux-ci s'engendrent périodiquement; ils sont répandus dans
384 LES ORIGINTS DE l'aI.CHIMIE
liages,
métallique 2~3
Théories de Stéphanus. — L'unité engendre les nombres. —
Les éléments et leur union par l'interposition d'un intermé-
diaire 27.4
Pages.
Réserves. —
Peut être loi naturelle masquée par des pertur-
^^"^
bations
g 7.
— Les séries périodiques. — Progressions arithmé-
tiques -'o^
ments ^*H
Différences à peu près constantes entre les corps d'une même
famille — Chloroïdes, sulfuroides, azotoïdes ;
Métaux
alcalins - ^^4
Corps monovalents, bivalents, trivalents, quadrivaleats 3ob
25
386 LES ORIGINES DE LALCHIMIE
Pages.
ces systèmes 3 12
APPENDICES
Appendice A. — Analyse du papyrus alchimique de Leide... . "^zi
TABLE ANALYTIQUE SSy
Pages.
Air, 182, 23o, 265, 266, 270, 274, Alchimiques (poètes), (106), (121),
(323), (327).
INDEX ALPHABETIQUE DES NOMS 391
229, 237, 340, 342. Asem, 30,90, 212, 214 (2i5), 217.
— feuille, limaille, terre (minerai), Asémè, 90.
364, Asemon, 3o, 87, 88, (89), i25, 214.
— homme, 60, 180, 181, 21 5. 327, 33i. — (V. Elcctrum.)
— liquide, 178, 23i. — (V. Mer- — affinage, 90. 91.
Athyr, novembre, 33 .
Berlin, xii, xvi, 106, 149, 33i,
B Boulanger, 358.
Boulaq, 214.
Babylone, 5i, 52, 59, 148, ibq, Boutroux, i52, 25 1.
Cuivre colorant, iiq, -i-^o, 2> i, 243. Démocrite, XV, 24, 4'), <J5, 70, 71-
Cuivre (combat avec le mercure). 74, 77, 83, 85, 86, 93, 99, 100.
Dorure, 3o, 82, 89, 92, 124, Egypte, IX, X, XII, xiii, 3, 5, 10, 14,
— composition, 180. 26, 3o, 33, 34, 41, 46, 47, 48,
— condensée, 266, 270, 271. 49, 5o, 5i, 52, 53, 54, 55, 56,
Eau (dérivés), 254. 58, 63, 64, 68, 70, 71, 72, 77,
Eau à deux couleurs, 242. 80, 83, 84, 90, loi, 114, 126,
Eau divine, 52, 121, i65, 178, 179, 129, i36, i37, i38, i3q, 142,
181, 186, 204, 2o5, 207, 253, 143, i56, 162, i65, 167, 168,
256, 338, 339, 340, 341, 342, 170, 172, 175, 181, i83, 184,
343, 346, 349, 35o, 35i. 189, 192, 195, 199, 204, 212,
Eau divisée, 266. 214, 2i5, 218, 225, 227, 228,
Eau élément, 75, 253, 254. 229, 234, 238, 239, 241, 245,
— ses espèces, 269, 270, 273. 246, 255, 277, 341.
Eau-forte, 208. — dieux, 64.
Eau icosaèdre, 262, 265. — leurs élémens, 34.
Eau jaillissante, 217. — industrie, 37, 43.
Eau, matière première, 25 1. — métaux, x, 49, 60.
— mêlée de feu, 270. -- leurs minéraux, 212.
Eau principe, 257, 261. Egyptiens (mois), 33, 1 1 1, 345, 346.
Eau, sens divers de ce mot, 268. — monuments, i5, 81.
260, 261, 281, 287, 288, 290, Elixir de longue vie, 52.
— caractérisés par leurs mouve- 238, 240, 243, 245, 277, 278.
— feuille, limaille, terre (minerai), Fer, 39, 55, Sg, go, 106, i23, i55,
Feu, 149, iGi, 182, 194, iq5, 220. Galien, 2g, 39, 47, 3g, m, 173,
275, 277, 283, 284, 286, 320, Gaza (Énéede). — (\^ Knée.)
Georgiques, 217.
Feu, premier agent, 234.
Gérasa (Nicomaque de), 1G4.
Feu principe, 238, 2^1
Gessncr, 5g.
Feu (résiste au), 220.
(}ibbon, 19G.
Feu (ne résiste pas au\ 244.
— tétraèdre, 262. Gildemeister, 27, 2o5.
Florence, 9(), 107, 334. 36, 44, 45, 56, (57), 38, 60, 62,
Fluor, 304, 307. 63, 64, 63, 68, 83, 83, g7, gg,
114, 119, 120, i33, i36, i37,
Fonte, 237.
Formène, 3i5. i38, 144, i3G, i58, 168, 173,
Hégire, 78, i3o. — table, 35, 37, 45, i35, i34, 346.
26
402 i.KS oRiGixns i)i: i. alchimie
Homère, 43, 23o, 333. 248, (25o), 259, 261, 264, 281,
Huile aromatique, 35 1. Isis, 10, 23, 25, 3o, 32, 38, 44, qS,
Huile de vitriol, 208. 118, 119, i33, 134, (i3.S), 1G8,
Hydrogène 267, 2S9, 292, 293, 295, Isomères, 291 et suivantes, 314.
29G, 298, 3ao, 3o5, 3oG, 3 10, Israël, 54.
I
Italien (gouvernement), xiii, 4,
96.
ïambes, 122, 202. Italiote (École), 142.
latrica' {hylcs\ 357. Ivoire, i4<).
I.cidc, XII, XV, etc. — (V. Papyrus.) Mafek, pierre verte, 3o, 2i3, 218,
I.cipsick, Cq, i58. 219, (221) à 224, 225, 232.
Lcngict du Fiesnoy, 106. — vrai et artificiel, 222.
Lepsius, X, 3, 3o, 90, 212, 21 3, 221, Mafçisterii, 20C.
225, 227, 220, 234. Magnés, 86.
Letronne, 33 1. — (V. Reuvens Magnétique (fluide), 32o.
Lucrèce, 18, ig, i52, 228, 23(), 261, Manuscrits (composition), 124.
262, 263. Manuscrits divers, 353, 358.
Lumineux (tluide), 32o. Manuscrits (étude passionnée), io3.
Lunaire (influence), 171J.
Manuscrits grecs, x, xi, xii, xiii, xv,
Lune et argent, 49, 364. — (V. Ar- 107, i32, i52, i53, i63, 208,
Métaux (teinture) i35, (238), 160, Montfaucon, 92, 108, 124, 345,
242, 244, 277. 354.
Métaux vrais, 28, 240. Morelli, 108.
Météorique (fer), 228. Morhofius, io5, 353.
Météorologiques, 4g. Mosquée d'El Azhar, 43.
Metternicli (stèle), 20, 38. Moyen âge, xiv, 2, 6, 12, i5, 16, 20,
Mexicains, 228. 48, 52, 54, 56, 60, 64, 76, 97,
Michel (Saint), 333. loi, 119, i35, 148, i5i, i53,
Microcosme, 5i, u)3. 166, 181, 2o5, 207, 209, 211,
Midi, 25, 217, 223, 23i, 282.
Miel, 233, 270, 34''). Muilach, 148, 141), i52, 154, 33i.
Migne (dictionnaire des Apocry- Miinditiis jdci, 173.
phes), 1 1. Munich, 107.
— recueil ecclésiastique. 19. Murex, 93, 36 1
Minerais, 36, 70, 87, 93, 194, 225, Muséum antique, 42,196.
23o, 285. Mysteriis (de), 72, 184.
Minerai d'argent, ()0, 214. Musulmans, 36, 236.
Minerai d'argent, de cuivre, de Musulmane (conquête), 42.
plomb, d'étain, 364, 3(0. — université, 43.
Minerais fondus, 239.
Minerais métalliques, 22. N
Minéral bleu, 212.
Minérales (familles), 3o6. Naasséniens. 62.
Minéraux, 3o, 85, 86, 124, 14(1. Nabathéens, 174.
— vert, 21 2 Naphte, 233.
Minéraux (huit), 21 2. Natron, 75,93, 220, 271.
Minium de Sinope, f)3. Nazaréen, i3i,
Minutius Félix, 164. Necepso ou Nechepso, 27, 169.
Milhriaque, 182. Nécessités (les trois), 25.
4o8 LES ORIGINES DE L ALCHIMIE
Néerlandais (musée), 323. 61, 63, ii5, 125, 257, 337, 348,
Newlands, 3o'.i. 22, 25, 29, 33, 34, 38, 40, 47,
Nicandri scholia, i58. 5i, 58, 63, 64, 74, 78, 98, 99,
Nicée, 73, 204. 4 100, 117, 128, 129, i34, i36,
Nicéphore, 16, loi, 348. i37, 143, 149, 164, 168, 176,
Nickel, 293, 294, 29.^. i83, 188, (191) à igg, 2o3, 204,
Nil, 33, 37, 41, i63, 197, 230, 333, 336, 342, 346, 35 1, 353,
332. 355.
i83, 184, 2o3, 204, 336, 337, — signe 4g, 61, 112, 83, 86.
340, 342, 343, 348. — (V. Ghry- — et soleil, 48, 4g, 364.
Or (lieux), 129, i3o. Ostanès, 46, 52, 70, 77, 78, 83,
Pastel, 36 1.
Patriarche d'Alexandrie, 98.
Pachon, mai, 33. Patriarche, iio, 189, 196,248.
Padoue, io5, 154. Paul jurisconsulte, 14.
14, i3, 1'"), 21, 28, 3o, 34, 35 Persane (trempe), i85.
3'), 37, 39, 5o, 54, 57, 5(), 62 Perse, 47, 129, 148, i63, i'34, i65,
()4, 67, ô8, 69, 70, 73, 74, (80) 227.
81 394, 99, 100, 112, 114, 119 Péruviens, 228,
124, 125, i35, i33, 159, l'i: Petasius, 128, 129, i3i, i3o, 168,
i'')4, 170, 171, 187, 2(j8, 21: 192, 342.
227, 229, 23 1. -240. 242, 24: Pétésis, 142, 1 58, 168, 169, 174,
323, 327, 33 I. 20 5.
INDEX ALPHABETIQUE DES NOMS 41 I
Pétosiris, 27, 35, 70, i35, 175, 142, Pierres (coloration), 340. — (V. Co-
i54, (169), 352. loration.)
Pétra, 76. — de cuivre, 24.
Pétrone, 149, ibo, 357. Pierre d'Egypte^, 24.
Phamcnoth, mars, 33. Pierre (un seul genre).
Phaophi, octobre, 33. Pierres gravées, 60, 62, 85, 114,
Pharmouthi, avril, 33, 34. 168, 178, 332.
Phéaciens, 346. Pierre magnétique, 86.
Phédon, 3o, Pierre métallique, 343.
Phéniciens, 48, 219. Pierre philosophale, 3o, 36, 56,
Philarète, 117, 128, i55, 340. 116, i36, etc. — (V. Philoso-
Philèhe, 39. phale).
Philippe, io3, 126, 341, 35i. Pierres précieuses, u, 12, 43,45,
Phi ht, X, 38, 192. 47,71,72, loi, 166, 176, 211,
Phiiolaus, 262, 265. 2i3, 217, 218 et suiv.
Philosophale (pierre), 3o, 36, 56, Pierres précieuses assimilées aux
116, i36, i65, 171, 172, 181, métaux, 220.
242, 243, 245, 281, 336, 340, — — fabrication, 29, 3o.
76, 106, 117, 122, 18S, 200, 23o, 233, 276, 345, 348, 364.
—
201 , 202, 242. (V. Métaux.)
Psellus, loi, 102, 110, 176, i85, Romains, 36, 47, 72, i37, 21
Ptah, 184, 197, 235. Rome, i3, 14, 46, i39, 264.
Ptah-mer, 28. Rose d'Italie, 36 1.
Ptolémaïs, i56, 1S8. Rossignol, 226.
Ptolémaïques, 195, 353. Rouge (mer), 23.
Ptolémée, 12g, 169, 21 3. Rouille, 269.
Pylônes, 192. Rubis, 232, 249.
Pyramide, 206, 207, 228, 25o. Ruelle, 347.
Pyrites, 233, 344, 345.
Pythagore, 41, 143, 147.
Pythagoriciens, 6, i3i, i58, 200,
206, 248, 2Ô1, 262, 264, 274, Saba (reine), 283.
"
3o4, iob, 309, 3 14, 3i5, 344, Suidas, 17, 26, 72, 78, 79, 100,
345. loi, 120, i58, 166, 177, 187,
Soufre, apyre, 365. 217.
— natif, 365. Sulfate de cuivre, 219, 220.
— quintessencié, 208. Sulfure d'arsenic, 244.
Souphis, 28, 58. Sulfuré (hydrogène), 295.
Sourcil du soleil et de \a lune, 86. Sulfures, 69, 222, 281, 282, 295.
Spagyrique, 37. Sulfureuses (matières), 194.
Sphère, 169, 24g. Sulfuroïdes, 29g, 3o4, 3o5, 314.
Sphère d'Hermès, 16, Sutnma pcrfectionis, (206).
— astrologique, 16, 35. Supérieur (lac), 225.
— de Democrite, 35, 154. Syncelle (Georges le), 9, 11, 26,
Sphère de Mercure, 2o5. 47> 77> 78, 100, 148, 14g, i55,
Sphinx, 43. 164, 170, 177, 187.
Spirites vi, i52, 246. Synésius, 24, 47, 58, 65, 77, 78,
Sprengel, 69. 86, 90^99? looj (io-'')> "'7, 128,
Stahl, 254, 267, 285. 12g, 148, 149, i54, i55, i56,
Stas, 293. 164, 168, 176, (186) à 191, 193,
Stèles, 22, 29, 38, 39, 99, 184, 35o. 194, 199, 248, 264, 271, 272,
— de Metternich, 29, 38. 273, 274, 282, 332, 333, 336,
Stephanus, xiii, 32, 5o, 76, 78, 100, 337, 349, 355.
(io5), 117, 118, 128, 129, i3i, Syriaque, 2o5.
134, i36, i54, 168, 174, 176, Syrie, 46, i38, 210.
179, 198, (19g) à 201, 2o3, 204, Syrie (couleur de), 36i.
208, 242, 248, 262, 263, 264, Syriens, 48, 187, 2o5.
265, 272, (273), 274, 275, 276,
277, 278, 280, 282, 332, 336,
337, 33g, 347, 34g, 355.
Stephanus de Byzance, i58. Tabernacle, 55, i23.
Stibiuin, 161. Tabularia, 187.
Stilbon, 364. Tacite, i3, 14,46, 70, 170.
Stobée, 34. Taht, 21 3, 228.
Stoïciens, 142, 264. Talismans, vu, 62, 84, 188.
Strabon, 148, 24g. Tan (pierre de), 53.
Stromates, 11, 23,42. Tao (secte), 53.
Teinture du mercure, 280. 33, 39, 42, 71, 83, i63, 173,
Teinture des métaux, 160, 194, Hj5.
309, 3 10, 314. Thèbes, x, 14, 21, 27, 3o, 67, 83,
Térébenthine (essence), 294. 84, 87, i38, i53, 170, 191, 221,
Terre, i34, i5o, 182, 194, 25 1, 23 I.
2G5, 266, 270, 274, 275, 280, Théodore, 100, 176, 348, 35 1, 352.
320, Théodore (chapitres à), 184.
Terres, 263. Théodose, 22, 33, 122, 188, iqi,
Terre d'argent, de cuivre, de 196, 202, 264, 342, 355.
plomb, d'étain, Théodose II, 192.
3G4, 365.
Terre blanche, 234. Théodosien (code), 20.
— est le cube, 262, 265. Theologumenon Arithmetices, 164.
— dérivés, 254. Theomantion, 84.
Terre élément, 75, 252, 253, 254, Théophane, 76.
261. Théophile, 98, 128, i3i, 189, 196.
— ses espèces, 270. Théophraste, 122, 129, 176, 202,
Terre formée par l'eau, 266. 342.
INDEX ALPHABÉTIQUE DES NOMS 417
Tuile, 270.
'
Transmutation, ix, xiv, xvi, 38, 5o, Vatican, 96, 97, 355.
53, 54, 69, 72, 73, 75, 76^ Vauquelin, 226.
85, 88, 90, 91, 92, i34, i35, Venetum, 126, 224.
137, i38, 144, i54, (161), 162, Venise, xi, xvi, 4, 20, 79.
181, 208, 209, 2i5, 217, 227, Venise (armes de), 347.
Trismégiste, 21, — (V. Hermès), Verres, 29, 48, 68, 71, 75, 76, 77,
27
4rS I.KS ORKilNES DE L ALCHIMIE
341, 35o.
Vettius Vaicns, 169.
Vienne, 96, 107, 190. Zcllcr, i52, 25 1,
Virgile, 217. 24, 26, 28,. 33, 34, 38, 40, 41,
Vitellius, 14. 43, 45, 47, 49, 55, 56, 58, 60,
Vitreuses (matières), 243. 64, 73, 74, 78, 83, 99, 100, io3,
Vitruve, i57, 220, 244, 357. 166, 171, 176, (177) à 187,
w 204, 206,
260, 261,
207,
264,
248,
269,
25 1, 259,
278,
274,
279, 282, 286, 332, 333, 336,
Wattenbach, 97, 108. 338, 339, 341, 342, 343, 344,
Wiedcmann, 2o5. 348, 35o, 35 1, 352, 353, 355.
^f*>f*)C*)«af*i{li{^œ<?fâ<«){^m<S
tt) <-t^ Cfi C-fi Ct^ Cf^ Gf^ C-fi Cf^ (.fil C-fi C-fi Oti <^ti
Antipathies, i57, i58, 167. Art sacré. 23, 24, 26, 27, 38, 56, 73,
Antiquité, VIII, 80, 147, 148, i53, III, 114, 1 15, 128, i83, 184,
193, 209, 211, 248. un, 198, 199, 33(j, 340, 342,
Antithèses, 182. 343.
A peu près, 3oi, 3o5. Art sacré (signes), 364.
Apocryphes, 11, i3, 28, 44,45,46, Articles de papyrus, 81, 84, 87.
47, 58, 83, 139, i32, 141, 148, Artifices, 2 23, 3o8, 3 10, 3ii, 3i2.
149, i52, i55, 159, i')5, 166, 172, Artificiel, 211, 238, 241.
i35, i52, 168, 169, 178, 200, Bleu (verre), 126, 243, 224.
332, 335, 358. Blocs, 219.
— de Pergamc, 42. Bois, 53, 123, 249, 233, 272, 273.
— des Philosophes chimiques, 43, Botaniste, 68.
206, 243, 283. Bouquet de fleurs, 187.
42 2 LES ORIGINES DE L ALCHIMIE
290, 294, 295, 296, 299, 3o5, Concordance des textes, 04.
Formules, 60, 85, 178, 2J>5, 240, Génératrice, fonction, loi, 216, 285,
342. 3oo, 3 16.
Formule magique, 3^2. Générique, 143, i63.
Formules des papyrus et des ma- Genèse des éléments, 287.
nuscrits, 87. Génies, 25, 34.
Formule sacrée, vi. Genre et espèce, 2o5.
Formule secrète, 279. Genre humain, 5i
Foudre, 249. Genre un, 182.
Fouille, 236. Géographie, 41, 187.
Four, 236. Géométrie, i, 147.
Fourbes, 245. Géométrique, 261, 265, 290, 3i6.
Fourmi, 193. Géométriques (images), 206.
Fourneaux, 43, 172, 179, 236, Germination, 5i, 167.
249, 260, 35 1, 353. Gloses, 176.
Fourneaux (traité), 184, 35i, 353. Grammairien, 148.
Fous, YIII. Grattée (écriture), 1 1 5, 348, 349, 3oo.
Fraude, i58. Grillage, 194.
Frimas, 270. Guérison, 235.
Froid, 182, 23i, 253, 274, 332. Guerre, 212.
F'ruits, 263.
Fumée, 259, 260. H
Funéraire, 236.
Fusibilité, 208, 280. Haches, 226.
Fusibles (corps), 271, 273. Haine contre la science, 12, 19.
Fusible (eau), 269. Hallucinés, 2.
Fusion, 239, 253, 268, 269, 271, Harmonie, 63.
285, 340. Haut (en), i35, 17g.
Fusion accidentelle, 239. Hérésie, i38.
Fusion de l'or, 124, i3o, 34?, Histoire de la Chimie, 29, 180, 192.
28
434 LES ORIGINES DE I. ALCHIMIE
Miracle, vi, 18, i53, 249, 279. Mort (mise à) des magiciens, 14,
Nombres engendrés, 2(3 1. Œuvre (grand), 3i, 32, 37, 39, 59,
254.
Religieux (cultes), i38.
Quatre éléments, régions, saisons,
Religieux (rites), 37.
276.
Religieuses (conceptions, théories),
Quatre éléments (travail des), i25.
VI, 5, 6, 7, 17, 37, 197.
Quatre lettres, 64.
Religieuses (doctrines), 53.
— livres de Démocrite, 254.
Religieuses (formules), 235.
Quatre (nombre), 35, 37, 64, 83, — pratiques, (J3.
182.
Religieuses (préparations), 3o.
— teintures, 35.
Religion, 18, 20, 57, 66, 68, 197.
Queue du serpent, 61. — égyptienne, 37, 41, 44.
Remaniements, i85.
R Remèdes, 17, 42, 187.
Remède igné, 172.
Race, 172. Remèdes (science), 235.
Race d'Abraham, 56. Remède universel, 52.
Racine, 24(1. Répétition des opérations, 208.
INDEX ALPHABETIQUE DES MOTS 441
Représentation, 262, 291 Rubrique antérieure, 233.
Reproduction des métaux, 240. Ruines, X.
Reproduction des verres, etc., 239. Ruine des temples, 196, 197.
Résistance à Tair et à l'eau, 23o.
— aux agents, 283.
Resserrés (termes), 3i i
Résurrection, xi, 74, 75, 76, 166, Sables, 71, 75, 220.
181. Sacerdoce égyptien, 39.
Réunions secrètes, 145. Sacerdotale (discipline, 42.
Réussite des entreprises, 84. Sacerdotaux (livres), 41.
Sciences niystcricuscs, l'iii. Signes, i5, 3i, 5o, 5i, 61, 65,66,
Science mystique, 204. 337, 338, 342, 349.
Science de Tor, 25o. Signes alchimiques (106), 178,
Science (puissance), viii, 274. (364).
Science sacrée, 73, 242. Signes de l'art sacré (111).
Scoliastcs, 176, 198, 248. — astronomiques et alchimiques,
Scolie, 207. 5o,
Scribe, 10. Signes de la chimie, 334.
Scribe sacré, 41. Signe d'Hermès, 119.
Sec, 182, 259, 260, 274, 275, 343. Signes traduits, 348.
Sécheresse, 253. Signes du zodiaque, 193.
Secrets, 145, i58, 171, 181, i85, Similitude, ,3oo.
237, 249, 25o. Solde final, i83.
Secrètes (doctrines), 22, 24, 25, 2G, Solides, i56, 265.
46, 56. V. Occultes. Solide (état), 253.
Secrets (livres), 54, i33. Solidité, XII, 281, 320.
Secrets (ouvrages\ 33(). Solution, 207. — (V. Dissolution.)
Secrètes puissances, 47. Sommaires, 100.
Séduction, 3i 2. Songes, 16, 84, i52, 189, 332,
Séduisant, 3:o. 348.
Seigneur, i35. Songes (divination), 85, 86,
Seigneur des divines paroles, 39. Sorcellerie, 1 1, k).
Seigneur des Hébreux, 55, 58. Soudure des métaux, 3o, 345.
Senatus consultes, 14. Soudure d'or, 92, 93, i55, 222.
Sens changé, 229. Soudure de l'or et de l'argent, 124,
Sens moderne, 194. 364.
Sens des mots, 94. Souflc, 252.
Sens multiple, 239. Sources, xv, 5 (7), 180, 248.
Sens positif, lôi. Source intarissable, 2o5.
Sentences, 143. Source sacrée, 60.
Séparation, 252, 2l')i, 2t)5. Sources (sept), 332.
Séparation des époux, 85. — trois, 134, 332.
Sept, 62, 332. Sourds, i65.
Sept (planètes, couleurs, mé- Sous-multiple, 293.
taux, etc.), 5o, 233, 276. Souterraine, 25o.
Sépulture, 231). Spécialistes, ix.
Séries organiques, 3o2. Spécifiques (caractères), 254.
Séries (quatre), 3o5. Spécifiques (existence des corps),
Sérieux (savants), 175. 17-
Serment, 25, 119, i38, 255, 332, Spécifiques (mouvements), 3 18.
339, 346, 35 1, 352. Spécifique (pesanteur), 241.
Serrures, 226. Spécifiques (propriétés), 23(), 240.
Sexuel, 254. Spectrale (analyse), 314.
INDEX ALPHABETIQUE DES MOTS 443
Spéculations gnostiqucs, 64. Symbolisme, 5o, 25 1
Théurgie, vu, 29, 145. — du fer, 48, io3. 106, 126, i85,
Titre de l'argent, 214. — (V. Asc- 35o.
mon.) Trempe des métaux, 3o, 241.
Tombeaux, 67, 83, 193, 212, 221, Trempe (procédés), 340, 341
222, 227. Trempe en teinture d'or, 92.
Tombeau d'Osiris, 74. Trésor, 223, 227, 25o.
Tombeaux violés, i53. Triangulaire, 258.
Toupies, 319. Tribut. 212, 2i3.
Tourbillon, 3io. Triomphe des chrétiens, 196, 197.
Tours de main, ()2, 241 Trois â trois, 275.
Touristes, 223. Trouvaille, 83.
Toute-puissance, viii. Tuyau, 178.
Trace colorante, 243. Tubes, 179, 338, 35i, 363.
Tradition, i38, 145, i5(), ijj, 23;. Tutélaire (lien), 255.
Univers, vi, 45, 5i, ôi, (Yi, i34, Vert pâle (verre), 224.
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