Max Van Berchem
Le spécialiste de la civilisation musulmane et de l’archéologie arabe Max van Berchem fait plusieurs séjours à Jérusalem entre 1888 et 1914. Dès son premier court séjour, à la fin mars 1888, il recueille un certain nombre d’inscriptions et les photographie à l’aide de clichés de verre.
En 1892, 1893, 1894 et 1914, il revient à Jérusalem, et surtout au Haram, pour prendre tout un ensemble de photographies et d’estampages, et prendre aussi des notes en vue de la rédaction de son futur ouvrage: Matériaux pour un Corpus Inscriptionum Arabicarum . Sur un feuillet placé en en-tête du volume de planches, il présente l’ensemble de son travail: “Les planches de ‘Jérusalem’ ont dû être livrées au public avant les deux volumes de texte, ‘Ville’ et ‘Haram’. Ces volumes, qui paraîtront sous peu (en avril 1920 pour les planches, et en 1922 et 1927 pour le texte, ndlr), renfermeront l’édition complète des 300 inscriptions de Jérusalem, avec d’amples commentaires touchant la topographie, l’histoire et l’archéologie de la Ville Sainte à l’époque musulmane... La plupart des sujets, monuments et inscriptions sont reproduits dans l’état de 1914, date de la dernière campagne de l’auteur.”
Max van Berchem ne voit pas la publication des deux volumes de texte. Il repart en Orient avant l’hiver 1920, mais des problèmes de santé l’obligent à revenir en Suisse quelques semaines plus tard. A son grand désespoir, il doit abandonner ses travaux. Il meurt le 7 mars 1921. Sa famille confie la publication des deux volumes de texte à son ami Gaston Wiet qui, dans l’avant-propos du premier volume, présente ce recueil comme le “résultat de deux explorations de la Ville Sainte et de vingt années de recherches patientes à travers les oeuvres arabes et les relations des pèlerins et des voyageurs occidentaux.”
Les photographies de Max van Berchem sont maintenant la propriété de la Fondation Max van Berchem, à Genève. Une sélection de photos est publiée par Marguerite Gautier-van Berchem en 1978 . A la page 14, on voit Max van Berchem juché sur une échelle en train de retirer l’estampage d’une inscription sise entre deux arcades. On ne peut avoir qu’admiration pour le travail absolument colossal qu’il a effectué sur le terrain.
Max Van Berchem
Le spécialiste de la civilisation musulmane et de l’archéologie arabe Max van Berchem fait plusieurs séjours à Jérusalem entre 1888 et 1914. Dès son premier court séjour, à la fin mars 1888, il recueille un certain nombre d’inscriptions et les photographie à l’aide de clichés de verre.
En 1892, 1893, 1894 et 1914, il revient à Jérusalem, et surtout au Haram, pour prendre tout un ensemble de photographies et d’estampages, et prendre aussi des notes en vue de la rédaction de son futur ouvrage: Matériaux pour un Corpus Inscriptionum Arabicarum . Sur un feuillet placé en en-tête du volume de planches, il présente l’ensemble de son travail: “Les planches de ‘Jérusalem’ ont dû être livrées au public avant les deux volumes de texte, ‘Ville’ et ‘Haram’. Ces volumes, qui paraîtront sous peu (en avril 1920 pour les planches, et en 1922 et 1927 pour le texte, ndlr), renfermeront l’édition complète des 300 inscriptions de Jérusalem, avec d’amples commentaires touchant la topographie, l’histoire et l’archéologie de la Ville Sainte à l’époque musulmane... La plupart des sujets, monuments et inscriptions sont reproduits dans l’état de 1914, date de la dernière campagne de l’auteur.”
Max van Berchem ne voit pas la publication des deux volumes de texte. Il repart en Orient avant l’hiver 1920, mais des problèmes de santé l’obligent à revenir en Suisse quelques semaines plus tard. A son grand désespoir, il doit abandonner ses travaux. Il meurt le 7 mars 1921. Sa famille confie la publication des deux volumes de texte à son ami Gaston Wiet qui, dans l’avant-propos du premier volume, présente ce recueil comme le “résultat de deux explorations de la Ville Sainte et de vingt années de recherches patientes à travers les oeuvres arabes et les relations des pèlerins et des voyageurs occidentaux.”
Les photographies de Max van Berchem sont maintenant la propriété de la Fondation Max van Berchem, à Genève. Une sélection de photos est publiée par Marguerite Gautier-van Berchem en 1978 . A la page 14, on voit Max van Berchem juché sur une échelle en train de retirer l’estampage d’une inscription sise entre deux arcades. On ne peut avoir qu’admiration pour le travail absolument colossal qu’il a effectué sur le terrain.
Max Van Berchem
Le spécialiste de la civilisation musulmane et de l’archéologie arabe Max van Berchem fait plusieurs séjours à Jérusalem entre 1888 et 1914. Dès son premier court séjour, à la fin mars 1888, il recueille un certain nombre d’inscriptions et les photographie à l’aide de clichés de verre.
En 1892, 1893, 1894 et 1914, il revient à Jérusalem, et surtout au Haram, pour prendre tout un ensemble de photographies et d’estampages, et prendre aussi des notes en vue de la rédaction de son futur ouvrage: Matériaux pour un Corpus Inscriptionum Arabicarum . Sur un feuillet placé en en-tête du volume de planches, il présente l’ensemble de son travail: “Les planches de ‘Jérusalem’ ont dû être livrées au public avant les deux volumes de texte, ‘Ville’ et ‘Haram’. Ces volumes, qui paraîtront sous peu (en avril 1920 pour les planches, et en 1922 et 1927 pour le texte, ndlr), renfermeront l’édition complète des 300 inscriptions de Jérusalem, avec d’amples commentaires touchant la topographie, l’histoire et l’archéologie de la Ville Sainte à l’époque musulmane... La plupart des sujets, monuments et inscriptions sont reproduits dans l’état de 1914, date de la dernière campagne de l’auteur.”
Max van Berchem ne voit pas la publication des deux volumes de texte. Il repart en Orient avant l’hiver 1920, mais des problèmes de santé l’obligent à revenir en Suisse quelques semaines plus tard. A son grand désespoir, il doit abandonner ses travaux. Il meurt le 7 mars 1921. Sa famille confie la publication des deux volumes de texte à son ami Gaston Wiet qui, dans l’avant-propos du premier volume, présente ce recueil comme le “résultat de deux explorations de la Ville Sainte et de vingt années de recherches patientes à travers les oeuvres arabes et les relations des pèlerins et des voyageurs occidentaux.”
Les photographies de Max van Berchem sont maintenant la propriété de la Fondation Max van Berchem, à Genève. Une sélection de photos est publiée par Marguerite Gautier-van Berchem en 1978 . A la page 14, on voit Max van Berchem juché sur une échelle en train de retirer l’estampage d’une inscription sise entre deux arcades. On ne peut avoir qu’admiration pour le travail absolument colossal qu’il a effectué sur le terrain.