You are on page 1of 9

L'association

Née sur Internet au début de l'année 2005, l'activité de l'association Boxson France se focalisait
initialement sur la gestion de son site internet à portée nationale, www.boxson.net, dont l'objet est
l'hébergement et la diffusion gratuite, sous licences libres, des morceaux de groupes de musique
indépendamment du style ou du niveau. Bien qu'elle refuse systématiquement les oeuvres appartenant au
répertoire de la Sacem dont elle ne possède pas les droits, l'équipe modératrice ne porte aucun regard sur la
création artistique des groupes accueillis, laissant ce rôle au public.
Conçu dans une optique de discussion entre groupes, public et organisateurs de concerts, les membres ont
logiquement été amené à dialoguer, donc réfléchir, sur des questions très diverses avec ces différents profils
d'utilisateurs. Après 3 ans de cette activité, nous avons capitalisé une connaissance certaine des
motivations de ces groupes, de leurs attentes artistiques mais aussi de leurs illusions, non systématiques
mais relativement fréquentes, quant à la réalité de l'économie de la filière musicale.
En parallèle, la diversité des passés des membres de l'association en tant que musiciens ou organisateurs
et l'affluence de nombreux groupes grenoblois sur le site ont conduit en mars 2006 à la création de
l'association Boxson Grenoble, s'efforçant de créer une dynamique locale autour des groupes qu'elle côtoie
à travers des concerts réguliers, une compilation et des partenariats pour mettre à disposition des locaux de
répétition ou autre.
Fort de cette expérience, Boxson dresse aujourd'hui un constat irréfutable; on assiste désormais à
l'explosion du nombre de groupes visibles par le public, à la fois virtuellement et physiquement. Du point de
vue virtuel, deux raisons majeures selon nous expliquent ce fait: tout d'abord la facilité de diffusion via
internet, grâce à des sites comme le notre ou dogmazic.net, jamendo.com et l'incontournable Myspace. Mais
aussi une vérité dont on entend peu parler est la baisse considérable des coûts d'enregistrement. En effet,
un ordinateur équipé d'une carte son et d'un microphone constitue un home-studio accessible à tous pour
des prix avoisinant le millier d'euros. Couplé à des logiciels de MAO (musique assistée par ordinateur)
toujours plus performants qu'ils soient libres, achetés ou piratés, et moyennant quelques heures de travail
qu'un passionné est prêt à fournir, nous voilà avec des morceaux d'une qualité sonore très respectable, au
moins égale à celle de la musique diffusée sur les médias sujets aux parasites sonores. Le CD autoproduit
inonde également les disquaires locaux puisque le même ordinateur permet l'élaboration du graphisme à
coût nul et que les frais de pressage et impression diminuent sans cesse.

Pour le mélomane et la musique en général, on peut se réjouir de ces constats puisque la diversité
artistique est d'autant plus assurée que la multitude des groupes s'accroit et la gratuité offre l'abandonce
de musique pour tous. Une conséquence découle néanmoins de ces constats: la part des musiciens pouvant
espérer vivre de leur musique diminue proportionnellement puisque le marché de la musique ne croît pas à la
même allure et au contraire l'industrie du disque connaît une période difficile. Se pose-t-alors la question de
la place de la musique amateur par rapport à la musique professionnelle. Indéniablement la rémunération
des artistes et intermédiaires nécessaires à la création doit être assurée pour éviter un nivellement par le
bas de la production artistique. Mais dans un contexte de changement des modes de revenus de la filière
musicale et de l'évolution de la législation autour du numérique, l'amateur doit cohabiter avec le
professionnel, la frontière entre ces deux milieux étant difficile à définir comme le prouvent depuis 2004
les travaux réguliers du département des études, de la prospective et de la statistique du Ministère de la
Culture et de la Communication.
Ainsi face à l'accroissement de la visibilité de la production amateur, créer une expertise de ce champ de la
création musicale nous paraît de plus en plus nécessaire. Il s'agit d'un enjeu de taille auquel l'institution, à
travers ces différents organes nationaux, régionaux et locaux, doit faire face rapidement; ces mêmes
syndromes commencent d'ailleurs à toucher les filières du journalisme et de la vidéo où la production
amateur envahit internet, remettant en question la place des professionnels, d'où l'importance d'un savoir-
faire dans le domaine précurseur de la musique en ces temps de bouleversements technologiques.
A l'heure actuelle les structures d'accompagnement à la professionnalisation de groupes sont nombreuses
et compétentes à tous les niveaux de la filière, qu'il s'agisse de résidence d'artistes, de portage salarial, de
booking... Parallèlement de nombreux fonds sont alloués par les sociétés d'auteurs et autres organismes de
la culture pour aider les projets selon certains critères de maturité. Elles répondent ainsi aux attentes d'une
portion ciblée de la population musicienne, celle pour qui la musique est une source de rémunération, les
professionnels ou « en voie de ». Il n'est pas de notre pouvoir de quantifier la part restante des groupes mais
l'observation du terrain et le bon sens nous conduisent à penser qu'il existe certainement plus de groupes
amateurs sans ambition professionnelle fonctionnant de manière indépendante, souvent sans manager et
pour le plaisir, que des « autres ». Cette tranche mérite pour les raisons détaillées plus tôt qu'on lui accorde
désormais une attention nouvelle. Cela passe par de l'information sur le fonctionnement réel de la filière et
une réflexion sur l'accès aux publics et aux prix. Parmi les enjeux qui en découlent et de manière non
exclusive, nous identifions deux problèmes publiquement reconnus par la société: la revalorisation du
respect des droits moraux et patrimoniaux des auteurs, et la garantie de diversification de l'offre culturelle
face au danger des cultures de masse et de la sphère du « star system ».
Sans prétendre apporter toutes les solutions, Boxson se propose de contribuer à remplir ces besoins
nouveaux en accomplissant le travail suivant: l'élaboration de guides pratiques dont le but est de répondre
aux questions que peuvent se poser les musiciens dans leurs pratiques quotidiennes avec des soucis
d'exhaustivité en restant synthétique, de simplicité sans sombrer dans le simplisme. La réflexion intégrera
les outils numériques d'enregistrement et de diffusion qui révolutionnent le milieu.Ces documents seront
diffusés auprès de plusieurs réseaux d'information et de structuration de la filière musicale. Parallèlement
Boxson entreprend des rencontres avec plusieurs acteurs de l'économie musicale sur Grenoble et en
Rhônes-Alpes afin de partager leurs constats et garantir à ses études l'adéquation la meilleure avec
l'environnement du musicien.
Enfin nous ne vous le cacherons pas; Boxson promeut historiquement les licences libres et de fait, les
membres de notre association ont un regard critique envers les SPRD, les dérives aux fondements du droit
d'auteur devenu principalement marchand en effaçant le droit moral, et la politique des conglomérats entre
majors et nouveaux médias envers ceux qu'ils appellent les pirates. Toutefois, nous mettons de côté toute
idéologie dans ce travail car il ne s'agit pas de faire l'apologie d'un mode de fonctionnement potentiel de la
filière mais bien de fournir des outils pour mieux comprendre l'articulation entre les pratiques et les
législations en vigueur, à l'heure de la révolution internet.

Les membres de l'association: des profils divers et complémentaires

Le concept de Boxson est né en décembre 2004. En quelques jours un noyau dur de quelques membres
s'est formé pour mettre en place le projet. Aujourd'hui ils sont encore là pour en assurer le fonctionnement
et ont intégré à l'équipe plusieurs nouveaux membres. Le succès de l'initiative s'est élevé bien au-delà des
espérances initiales, ce qui nous a poussé à lui donner une dimension supérieure aux attentes d'origine. Le
site a subi de nombreuses évolutions et suit les possibilités technologiques du web 2.0 en offrant aux
utilisateurs un service intuitif et de qualité. En parallèle, l'équipe s'est formée à la législation relative aux
droits d'auteur en étudiant le code de la propriété intellectuelle, le fonctionnement des sociétés de gestion
de droits d'auteurs et enfin les licences libres. Un travail de réflexion conséquent a découlé de l'ampleur
prise par le projet et nous a doté d'une connaissance pratique affinée. Enfin un suivi quotidien de gestion
des groupes et de réponses aux personnes nous contactant est effectué, garantissant des feedbacks
permanents sur le milieu musical.

L'équipe informatique

Hugues, webmaster
Né le 14/04/83, ingénieur en informatique et génie des télécommunications.

Alessandro, administrateur de serveur


Né le 28/03/83, ingénieur en administration des systèmes et réseaux

Mathieu, musicien, développeur


Né le 03/10/83, ingénieur-développeur en animation.

Pascal. musicien, graphiste


Né le 13/07/82, étudiant en alternance en graphisme et multimédia.

L'équipe projets et musique

Paul, coordination et communication


Né le 06/06/83, ingénieur diplômé sen service civil

Jocelyn, musicien, ingénieur du son


Né le 14/04/82, ingénieur diplômé, free-lance en audiovisuel

Aude, législation
Née le 30/06/84, candidate à la magistrature - spécialisée en propriété intellectuelle

Alexandre, organisateur d'évènementiel


Né le 23/02/83, technicien supérieur

Antoine, musicien, ingénieur du son


Né le 09/06/81, ingénieur généraliste

Brice, musicien, modérateur


Né le 15/08/81, docteur

Nicolas, musicien, modérateur


Né le /81, docteur

Rémi, artiste, rédacteur


Né le 30/01/1984, animateur socio-culturel
Les projets

Le site internet

Simple et intuitif à l'utilisation, le site contient plusieurs parties avec des outils appropriés à chaque type
d'utilisateur développés tout au long des trois ans d'existence. A ses débuts il était une plateforme pionnière
dans la diffusion collective de musique utilisant les principes de réseaux sociaux sur Internet pour stimuler
les échanges. Le public mélomane y découvre 1900 groupes classés par style ou par département, Les
nouveautés en première page et un système de recommandations entre groupe guident le flâneur. Sur
chaque page il peut écouter ou télécharger les morceaux et y laisser des commentaires. Il partage aussi
l'univers de l'artiste à travers ses photos, son actualité et bientôt des vidéos.
L'artiste quant à lui accède à un backstage d'où il gère son compte mais aussi bénéficie d'un forum privé
pour dialoguer avec les autres groupes et organisateurs de concerts qu'il a pu rencontrer via le site. Nous
développons actuellement des outils dans ce sens à travers la création de comptes boxsonotes afin que les
acteurs des musiques actuelles accèdent à une base d'informations et de contacts, générés par l'utilisateur.

statistiques
La Fédération porte beaucoup d’attention aux statistiques, et surtout a leur évolution : c’est pour nous un
moyen d’évaluer les réactions du public. Durant deux ans, nous avons constaté une progression croissante,
confirmant nos choix d’évolution, puis courant 2007 les chiffres ont stagné face à l'invasion des sites à
contenus audiovisuels tels que les myspace, dailymotion et autres.
Concrètement, la partie grand public de www.boxson.net a enregistré une progression mensuelle du nombre
de visites variant de 15 à 20% pour atteindre en 2007 des moyennes de 2000 visites quotidiennes. Ceux-ci
restent en moyenne sur le site plus de 7 minutes. Cette valeur est importante car elle confirme l’intérêt que
nous porte le visiteur : il est intéressé par le sujet et n’est pas venu là par hasard. De plus, dans le
référentiel d’Internet ou l’utilisateur change de site fréquemment, une visite de plus de 7 minutes est très
flatteuse.

Au cours des 36 mois de croissance, plus de 1900 groupes sont venus s’inscrire et ont déposé plus de
1800 morceaux. Ceux-ci sont intensivement téléchargés, à raison de 5000 morceaux par jour.
L’origine de nos visiteurs est aussi édifiante : 88,3% d’entre eux viennent directement sur notre site sans
passer par un moteur de recherche (7,4% des cas) ni utiliser un des liens situés sur un site faisant notre
promotion (ils sont plus de 1200). Nous pouvons en déduire que nos visiteurs viennent sur notre site au
cours d’une démarche volontaire, et souvent par l’intermédiaire d’une promotion terrain. C’est là une chose à
laquelle la Fédération tient beaucoup : compléter son soutien virtuel par une réelle présence physique et
locale. Exemple symbolique : lors du Festiv’Arts 2006, festival Grenoblois de 5 jours ouvert à tous, le deux
tiers des groupes participants étaient inscrit sur notre site.

Comme nous le voyons sur la carte issue de l'outil de statistique Google Analytics, la répartition sur le
territoire est assez diffuse. Dans toutes les villes des mélomanes utilisent le site, souvent comme espace de
découverte de musique locale. Pour l'anecdote il est bon de savoir que 1% des visiteurs proviennent des
continents américain et africain.
Enfin 18,8% des visiteurs proviennent d'Ile-de-France et 8,85% d'Isère ce qui en fait le deuxième pôle
d'attraction.

Spécificité Iséroise
Boxson s'est créé à Grenoble et y effectue un travail de terrain régulier dont des évènements coorganisés
avec des partenaires qui expliquent une forte proportion de visiteurs isérois sur le site. Quant aux groupes,
150 sont répertoriés comme Isèrois, soit près de 8% des 1900 groupes inscrits.
De plus, l'association utilise un bureau parmi ceux de la pépinière d'association La Bifurk et participe à
l'animation du lieu, offrant ainsi plus de dynamisme dans ce quartier de l'agglomération de Grenoble.
Un membre de Boxson en service civil travaille quant à lui à l'élaboration d'un réseau de groupes isérois pour
leur ouvrir les portes de partenaires diffuseurs ou producteursde l'agglomération grenobloise, visant ainsi à
dynamiser l'échange local entre public et musiciens.

La compilation Boxson
Une séléction de 18 artistes en licence libre est présente sur cette compilation
éditée en 2007 à ???? exemplaires et disponible, entre autre, chez le disquaire
Magic Bus à Grenoble. Boxson souhaite remettre le couvert pour 2008 avec une
compilation qui sera distribuée gratuitement durant les concerts dans le but d'offrir
la façon la plus naturelle de promouvoir les groupes: en les écoutant. L'objectif est
d'éditer une nouvelle compilation chaque année.
Les fiches pratiques

Pendant le premier semestre 2008, Boxson mène une observation de


l'évolution des modes de rémunération des musiciens en période de la
mutation du numérique et de l'industrie du disque. Droits d'auteur,
spectacles vivants, produits dérivés sont autant de pistes que nous ré
explorons en prenant en compte l'arrivée d'internet et les nouveaux modes
de découverte et de consommation de la musique. Ce travail s'adresse à un
public composé de musiciens en voie de professionnalisation, de structures
d'accompagnement et de développement; ceux-ci n'ont pas forcément le
temps de mûrir ces réflexions, à l'heure où les majors dictant le
fonctionnement de la filière lorgnent vers de nouveaux modèles intégrant
une diversification d'activités, dont le spectacle vivant comme annoncé
durant le MIDEM 2008, ce qui met en péril la survie de nombreux
indépendants. Un membre de l'association en service civil volontaire
consacre six mois à cette observation.
Une première étude porte sur le revenu en droits d'auteurs: elle consiste à
expliquer ses sources de perceptions (copie privée, rémunération équitable, reproduction mécanique) et les
mécanismes de répartition entre auteurs, producteurs et interprètes. A partir des faits exposés, des
conclusions peuvent être dressées quant aux évolutions, dérives à éviter ou perspectives à envisager.

Une deuxième étude est dédiée aux multiples modèles de diffusion de musique sur Internet, gratuite ou
payante. Des labels de diffusion ou production y voient le jour explorant des modes nouveaux de
développement et de rémunération. Quelle place le public va-t-il y trouver et pour quel style de musique?
Quelle quantité de musiciens peuvent espérer tirer leur épingle du jeu? L'artiste y est-il récompensé à
hauteur de son travail ou garde-t-il le rôle de parent pauvre ?
Nous dresserons un panorama des possibles orientations vers ces plateformes en fonction qu'on souhaite y
trouver de la diversité, de l'indépendant ou du commercial.

Une troisième portera sur la nouvelle tendance à la gestion individuelle de la carrière de l'artiste et de ses
revenus; c'est la stratégie adoptée par des artistes internationaux qui voyant émerger de nouvelles pratiques
se retirent des majors pour gérer plus librement leur développement. Les éditeurs, producteurs et diffuseurs
virtuels, combinés à des réseaux locaux d'accompagnement ouvrent la porte à une multiplicité de choix dans
le développement. La question se posera spécifiquement quant aux engagement que relèvent des contrats
avec les sociétés d'auteurs ou labels privés.
Trois guides pratiques seront édités en plusieurs exemplaires, suite à chacune des études, afin de les
diffuser largement auprès des réseaux de musiques actuelles. Nous assurerons l'impression et l'envoi pour
lesquels nous demandons un appui financier à plusieurs fonds de soutien à ce genre d'initiatives.
Débats et formations

Nous cherchons à diffuser le savoir acquis progressivement auprès d'un maximum d'acteurs des musiques
actuelles en Isère identifiés dans de nombreux domaines: enregistrement, production, diffusion, lieu de
spectacle , organisateurs de concerts ou pôle ressources. Dynamusic, La Bobine, AphaZic, Rocktambule, La
cuivrerie, Entr'arts sur Grenoble, les Abbatoirs de Bourgoin-Jallieu, Em-ma sur Lyon ont déjà manifesté de
l'intérêt pour notre travail et fournissent leur aide puisque nous les rencontrons successivement pour le
présenter et les interroger sur ces questions. L'aboutissement de cette démarche est l'organisation
d'ateliers d'information et de réflexion réunissant des personnes de divers projets. D'ors et déjà, la SMAC les
abbatoirs de Bourgoin jallieu est très intéressée pour que nous organisions un débat « musique et
internet... » en juin 2008 dans le cadre de son festival tremplin « les trans'abbatoirs » afin de toucher des
musiciens qui commencent tout juste dans la filière musicale. Dans ce cadre, nous aurions réellement les
moyens de faire intervenir des personnes diverses et représentative du milieu (Société de perception et de
redistribution des droits d'auteurs, labels, gérants de plates formes de téléchargement, artistes, journalistes
musicaux...).

Nous souhaitons à l'avenir développer les activités de notre association en se spécialisant sur ces
thématiques et toucher dans un rayon plus large des acteurs sur les domaines précités. Les études et les
ateliers-formations-débats contribuent à ce projet. Ils permettent dans un premier temps lors des rencontres
de capitaliser des connaissances en regroupant les expériences des participants et donc d'aborder les sujets
sur une multitude d'aspects. Nous nous assurons ainsi que le discours correspond aux préoccupations de
chaque maillon de la filière. Dans un second temps ils sont l'occasion de tester les méthodes de passation
des informations en groupe face à un public hétérogène, en découvrir les acquis ou les lacunes sur ces
sujets et recueillir leurs avis et suggestions. Nous procédons ainsi pour améliorer le contenu futur et en
garantir la qualité et le sérieux.
Cette mission implique pour notre association des frais logistiques de déplacement, de communication et
d'organisation matérielle des réunions..

Concerts

Boxson souhaite développer la présence scénique des artistes présent sur son site, particulièrement des
groupes locaux (grenoble et agglo).
Ainsi, une deuxième personne en service civil volontaire travail particulièrement sur l'organisation de
concerts. A partir du mois de février 2008, un rendez-vous mensuel à la Bifurk, « c'est le Boxson », proposera
des soirées thématiques afin de découvrir des groupes sous licence libre. Ces soirées seront aussi
l'occasion de découvrir un artiste plasticien puisqu'à chaque « c'est le boxson », un vernissage d'exposition
aura lieux. Enfin, ces soirées permettront au public de s'informer sur les licences libres grâce à un stand que
tiendront des bénévoles de Boxson.
Budget
Détails budget

site internet:
Les frais incluent la location d'un serveur d'hébergement dédié chez un professionnel et le nom de domaine
renouvelable tous les ans. Quant aux nombreux logiciels utilisés pour le webmastering, nous avons recours à
des logiciels libres qui constituent un don en nature compte-tenu l'économie des licences de logiciels
propriétaires.

étude, fiches:
L'étude nécessite l'achat de livres où des experts abordent sous différents thèmes les questions relatives au
sujet de nos recherches, et l'abonnement à des brochures spécialisées sur les évolutions de la musique
numérique. Elle occasionne aussi des frais de déplacements prenant en compte transport et nourriture pour
les visites rendues auprès des structures de la filière.
Les 3 fiches pratiques seront éditées à 200 exemplaires chacune et expédiées par courrier à l'échelle nationale à des 
centres de ressource identifiés. 

frais de fonctionnement:
Boxson a passé une convention auprès du réseau national d'associations Animafac qui met à notre
disposition un agrément délivré par l'agence nationale pour la cohésion sociale et l'égalité des chances,
l'Acsé, nous permettant de bénéficier du statut de service civil volontaire pour 2 personnes. Leur mission
dure 6 mois, l'Acsé prend en charge l'indemnisation à hauteur de 90%.
Parallèlement Boxson s'est doté d'un bureau partagé en location auprès de la pépinière d'association La
Bifurk pour gérer son activité pendant l'année 2008.

Rencontres/débats aux abbatoirs:


La plupart des intervenants viennent de la région Rhône-Alpes (sacem, labels, artiste, directeur de salle...)
mais il est probable que des personnes viennent de Paris. D'ou un certain cout pour les intervenants (train,
hotel, repas).

Concerts:
Étant adhérent à la Bifurk, cette dernière finance une partie des frais engendrée par la réalisation des
concerts.

Compilation:

You might also like