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1h (calculatrice autorise)
DS N02
TS1
Exercice n1
1.1/ Le phnomne dcrit est leffet Doppler.
1.2/ Pour que leffet Doppler existe, il faut quil y ait un mouvement relatif de la source des ondes par rapport au
rcepteur et pour quil soit perceptible, il faut que cette vitesse de dplacement relatif soit non ngligeable devant
la vitesse de londe considre.
1.3/ Relation entre E et R :
2.2/ La
ne sera
2.3/ La
bleue diffuse
plus.
Ces
rsultats taient prvisibles
puisque la vitesse de dplacement (0,75 m.s-1) est
trs
infrieure aux vitesses des ondes
considrs ici (340
m.s-1 pour le
8
-1
son, 3,00.10 m.s pour la lumire) : leffet Doppler existe donc mais il nest pas
perceptible
par les sens humains.
3.1/ R est plus grande que E donc il y a dcalage Fizeau-Doppler vers le rouge, ltoile sloigne.
La relation
peut tre crite sous la forme :
Elle implique une proportionnalit entre langle et
linverse de la largeur de la tche centrale (1/a). Le coefficient de proportionnalit est alors la longueur donde de
la lumire utilise. La courbe propose tant une droite passant par lorigine, elle confirme cette proportionnalit
entre la valeur en ordonne et la valeur en abscisse (1/a).
Le coefficient directeur de la droite est la longueur donde . Pour le calculer, on divise L par 1/a pour nimporte
quel point de la droite :
soit 560 nm (laser de couleur verte)
2.2 Influence de la longueur donde de la lumire utilise sur la largeur de la tche centrale
La formule
Elle indique une proportionnalit entre la largeur de la tche centrale L et la longueur donde de la lumire
utilise. Le coefficient directeur de la droite passant par lorigine reprsentative de la fonction L = f() devra alors
correspondre 2D/a.
Longueur donde
de la lumire (m)
630.10-9
Largeur de la tche
centrale (m)
4,9.10-2
560.10-9
4,4.10-2
520.10-9
3,9.10-2
455.10-9
3,5.10-2
Le graphe L = f() est effectivement une droite passant par lorigine donc la proportionnalit est confirme. Le
coefficient directeur de la droite vaut exprimentalement k = 3,5.10 -2 / 455.10-9 = 7,7.104
Thoriquement :
Le modle est donc vrifi avec une trs bonne prcision :
2.3 Diffraction en lumire blanche
La largeur de la tche centrale dpend, comme nous venons de la voir, de la longueur donde de la lumire
considre. Or la lumire blanche rsulte de la superposition dune infinit de lumires de longueurs dondes
diffrentes. Chaque lumire donne ainsi une figure de diffraction propre, avec une largeur de tche centrale et un
interfrange particulier. Quand on superpose toutes ces figures de diffraction les unes sur les autres, on obtient une
tche blanche en son centre puis une irisation de la figure sur les cts.