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Anomalies de classe I squelettique

Anomalies de classe I Squelettique

D.D.M. Anomalies du sens transversal Anomalies du sens vertical


Sch. et Strgies thérapeutiques des D.D.M.
par macrodontie relative.

• Sémiologie:
• Signes faciaux:
– Pas de préjudice
particulier au repos.
– Chevauchement
dentaire inesthétique
au sourire.
– Signes faciaux de
l’anomalie basale.
• Signes dentaires:
– En Denture
temporaire:
• Absence des diastèmes
de Bogue et des espaces
simiens.
• Voir des
chevauchements.
• En denture mixte:
– Perturbation de
l’éruption dentaire.
– Expulsion précoce des
dents temporaires.
– Encombrement
dentaire ± imporatant.
– Perturbation de
l’occlusion.
• En denture adulte:
– Encombrement ±
severe.
– Inclusions et retentions
dentaires.
– Pb. parodontaux.
– Pb. Occlusaux.
– Pb.Articulaires(Inconst
ants)
• Signes radiologiques:
►Radigraphie panoramique.
– En denture mixte et
adolescente:
• Signes présomptifs de
D.D.M.
• En Denture adulte:
– Rétention/ Inclusion.
– Chevauchement des
images des dents.
– Résorptions
radiculaires parfois.
– Perte osseuses et
poches parodontales.
Signes téléradiographiques:

• SNA: 87
• SNB: 85
• ANB: 2
• Ao-Bo: -7mm
• GoGn/SN: 33
• I/NA:
3mm/ 27
• i/NB: 8mm/
27
• I/i: 123
• Pog/NB : 0mm
ANALYSE DE STEINER
+ -
SNA 72°
SNB 72.5° Encombt
ANB - 0.5 Position i
SND 70° Spee
I/NA 12 mm / 43° E space
i/NB 6 mm / 24.5°
Position 6
I/i 113°
TIM
Pog/NB 2 mm
Occ/Sn 23.5° Sous total
GoGn/Sn 53° Extractions
SL 27 mm Total
SE 18 mm
Encombrement: ED - EN
Courbe de Spee: D+G/2 + 1.
Calcul du chevron solution
ANB(mx)

I/NA(mx)
Chevron ANB(s)
ANB(p)
hypoth.Max
I/NA(s)
I/NA(p) i/NB(mx)
Chevron solution
Chevron Pb Pog/NB(mx)
ANB(md) i/NB(s)
i/NB(p)
I/NA(md) Pog/NB(s)
Pog/NB(p)
Chevron
Hypoth.Mand
i/NB(md)

Pog/NB(md)
Diagnostic des inclusions
dentaires.
Définitions:
• -une dent retenue est incluse si le sac
péricoronaire est sans communication avec la
cavité buccale ;
• - une dent retenue est enclavée si le sac
péricoronaire est ouvert partiellement ou
totalement dans la cavité buccale.
Epidémiologie
• Le processus d’inclusion peut affecter toutes les dents
déciduales, permanentes ou surnuméraires
• classiquement la répartition par ordre de fréquence
décroissant de la rétention des dents permanentes se
résume ainsi : 3 M mdb, 3 M mxl, C maxl, PM
maxl, PM mdb, I maxl, C mdb, I mdb, 1 M maxl et
mdb et 2 M maxl et mdb.
• les facteurs de fréquence de leur rétention sont:
• la race : 10 fois plus d’inclusion des canines > chez les
caucasiens que les chinois ;
• le sexe : prédominance d’inclusion chez les filles ;
• la localisation :
– l’inclusion s’avérant plus fréquente à droite qu’à gauche à raison de 2/3,
2/1 ou 3/1 suivant les auteurs, mais sensiblement aussi souvent
bilatérale qu’unilatérale ;
– la localisation dans le plan transversal se révèle le plus souvent palatine
(50%), vestibulaire (30%) et intermédiaire (20%) et dans le plan
vertical seulement 10% des cas présentent une position très apicale
Etiopathigénie
• Facteurs généraux :
– hérédité
– Facteur génétique
– Troubles endocriniens :
• L’hypothyroïdisme
• L’hypopituitarisme
• L’hypovitaminose D
• Les carences en vitamine A
• Facteurs locaux :
– Obstacles rencontrés par le secteur antérieur au cours de son
évolution :
• les dents surnuméraires typiques ou atypiques
• l’odontome ou mésiodens
• persistance de la dent temporaire (défaut de rhizalyse)
• formations tumorales et kystes
• chute prématurée de la dent temporaire (thérapeutique ou traumatique)
• frein anormal
• l’insuffisance de volume disponible sur l’arcade brachygnathie ou
macrodontie ou par dérive mésiale spontanée
• Les agénésies des dents proximales
– Les anomalies d’orientation du germe de la dent
permanente.
– Les anomalies morphologiques de la dent
permanente.
• Anomalies primitives :
• Anomalies secondaires à un choc traumatique :
Examen clinique
• Inspection
• Palpation
– L’examen clinique dans le cadre des dents incluses
permet d’émettre une hypothèse de présemptions
d’inclusion plus ou moins fondée ; ce n’est
véritablement que l’examen radiographique qui
affirmera le diagnostic positif d’inclusion.
Examen radiologique
• Objectifs des examens radiologiques :
– -rechercher une ankylose éventuelle
– -rechercher un obstacle à l’évolution
– -étude de la dent incluse : existence d’un kyste
péricoronaire ou l’existence d’une morphologie
pathologique aussi bien au niveau coronaire que
radiculaire.
– -étude des dents collatérales : à la recherche d’une
possible résorption.
– -arrêt d’évolution radiologique : en comparant 2 clichés
radiologiques à des dates différentes suffisamment
éloignées.
Examen radiologique
• Règles radiologiques à respecter :
– Toute structure incluse doit être radiographiée avec un objet ou
une structure anatomique caractéristique. La modification de
l’image de ces références avec les modifications de l’incidence
constitue la base de la technique de localisation.
– -la distance film-objet fournit des informations :
– structure + proche du film sera + nette et – agrandie
– structure + éloignée du film sera + floue et+ agrandie
– -L’objet à localiser devrait, dans la mesure du possible, être
représenté sur au moins 2 incidences. Sinon la première avec
incidence orthoradiale, et la seconde après déplacement vertical ou
horizontal du rayon directeur.
Examens radiologiques classiques en
possession de l’orthodontiste :
• Radiographie panoramique:
Examens radiologiques classiques en
possession de l’orthodontiste :
• La téléradiographie de profil :
Examens radiologiques classiques en
possession de l’orthodontiste :
• les clichés occlusaux :
– la méthode ortho-occlusale
• de Simpson (où le rayon directeur est perpendiculaire
au plan du film, entrant au sommet du front et
traversant le vertex) donnant une image raccourcie des
dents et précisant la position de la sent incluse par
rapport à la ligne d’arcade ;
• ou la méthode de Simpson modifiée (avec un rayon
directeur plus antérieur de 10 à 15 ) donnant de
meilleurs résultats ;
Examens radiologiques classiques en
possession de l’orthodontiste :
• les clichés occlusaux :
– la méthode dysocclusale :
• Incidence de Belot : Rayon principal fait un angle de
45 avec le plan du film. Ne respecte pas la règle
d’isométrie de Cieszinsky et les dents antérieures
paraissent allongées. Si, sur le radiogramme, la dent est
située en dedans de l’arc, alors elle est en position
palatine .
Examens radiologiques classiques en
possession de l’orthodontiste :
• les clichés rétroalvéolaires :
– Un seul cliché ne permet pas de localiser la dent
incluse dans le sens vestibulo-palatin. Deux
méthodes peuvent être utilisées:
• Déplacement horizontal du tube ou méthode
de Pordes, Evan et Clark:
– permet la localisation spatiale palatine ou
vestibulaire de la dent incluse par la prise de trois
clichés rétro- alvéolaires : un centré, un mésio-
excentrique et un disto-excentrique. Si l’image de
l’élément à localiser se déplace dans le même sens
du déplacement de l’appareil, l’élément est en
position palatine.
– Déplacement vertical du tube :
– Deux clichés rétro-alvéolaires dont l’angulation
varie d’environ 20 sont pris successivement. Si la
dent est palatine, elle se déplace dans le même sens
que le déplacement du tube.
Le scanner
• Tomodensitométrie = réalisation de tranches dans
lesquelles sont mesurées des densités. L’image TDM
est donc une image numérique obtenue par
reconstruction matricielle.
• Il permet une localisation très précise et assez facile
du germe de la dent incluse et guide l’abord
chirurgical sans risque d’erreur.
Reconstitution tridimentionnelle :

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