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GOMMER OU AJOUTER ?

“ La gomme et l’encrier ”
Pourquoi éviter de dire "perdre du poids" ?
Notamment parce que déjà le conflit psychobiologique à la base est la plupart du temps
une dévalorisation t donc une perte, un manque ; si on s'acharne donc à "perdre du poids"
on réactive sans le savoir le conflit : on souffre en effet d'une situation de manque etc. et
donc il va falloir alors encore perdre quelque chose !

La Médecine Nouvelle a bien mis en lumière les quatre touches de la transposition biologique du mal-a-dit : faire de la masse,
creuser, bloquer ou débloquer. La prise de poids (gonfler) comme la perte de poids (creuser) expriment de tels transposés. Dans
le texte qui suit, Christian Flèche qui combine à la fois des qualités de remarquable psychothérapeute à celles d’un praticien
aguerri à la médecine nouvelle et qui participe aux bases de la psychobiologie moderne,
a magnifiquement montré qu’on pouvait comprendre les problèmes de poids par rapport à l’action de gommer (supprimer donc
creuser comme la seconde touche comme on le fait en utilisant une gomme) et, souvent en alternative, celle d'ajouter (comme
on le fait en remplissant l’encrier) et qui correspond à la première touche. Alternance d'anorexie (gommer) et de boulimie
(ajouter) constituant aussi un tandem souffrant.

Cela s'exprime remarquablement pour tout ce qui touche les problèmes de trop ou de trop peu de poids. Cela n'a alors plus rien
à voir avec la quantité de nourriture ingérée (bol alimentaire) même si réduire la quantité avalée pourra avoir un incidence sur
la réduction de poids mais tout à fait temporaire ou par le truchement de quoi que ce soit d'autre de nature purement physique
ou matérialiste, comme des massages voir des traitement de type thermogéniques qui seront imprimés à l'organisme (imposés autoritairement devrait-on
dire) et en pure perte !
Lire à ce sujet comment peut augmenter le poids au travers d'un conflit de silhouette à résoudre.

Quelle désinformation donc au travers el seul recours à des approches matérialistes Ce n'est pas avec des approches matérialistes (compléments
alimentaires ou médicaments) ou du comportementalisme (exercices...) comme ce que vous proposez au travers de la thermogenèse ; vous avez alors
beau jeu de dénoncer les autres approches pourtant de nature identiquement matérialiste que la vôtre ! Quelles qu'ils soient de telle approches, elles ne
pourront à elles seules conduire à guérir en PROFONDEUR les vraies causes de la malbouffe qui conduit (notamment) à l'obésité : en effet, les
personnes souffrants d'un problème de poids n'expriment donc par là qu'une souffrance dont l'origine est conflictuelle et qui se traduit ainsi (comme
toute maladie) dans un programme de survie qui se somatise en poids (trop ou trop peu) ( mal-a-dit ). en faire l'impasse est parfaitement incongru
Tous les patients qui viennent pour des problématiques de poids ont souvent fait un parcours du combattant, en pure perte et en ayant consacré
d'important moyens notamment financiers ; ils sont découragés en plus de s'être laissés abuser par des approches matérialistes et comportementalistes.
Certains me rétorqueront que, grâce à de telles méthodes, des personnes ont pu retrouver et durablement le poids désiré ; je rétorquerais, qu'à l'analyse,
on observera alors toujours qu'entre-temps le ou les conflits psychiques qui les avaient produits (= programmes de survie) ont tout simplement disparus
et se sont résolus par le fait d'événements extérieurs ... sans qu'ils en aient d'ailleurs fait la liaison ou pris conscience (car cela n'est pas nécessaire).

© Baudouin Labrique

Voir à ce sujet les ateliers pour résoudre les problèmes de poids, qui sont régulièrement organisés.

- Qu'avez-vous fait, chère amie


pour maigrir à ce point ?
- J'ai tout simplement pris
des pilules Galton.
(tellement efficaces qu'on ne les trouvent plus dans le commerce !...)
« Ma réflexion personnelle, et l'exercice de ma pratique thérapeutique, m'ont conduit à définir un élément important, une grille de lecture des
symptômes et par conséquent des processus de changement, qui est basée sur ce que j'appellerais “ LE PLUS ET LE MOINS : GOMMER OU
AJOUTER ”

Cette lecture nous permet de comprendre de façon nouvelle et simple toutes sortes de symptômes, des maladies physiques aux troubles du
comportement.

Partons d'un cas concret.


Deux élèves sont humiliés, insultés en classe par leur professeur. Ils ne supportent pas d'entendre cette insulte, et tous les deux font un conflit du
type : Je n'en crois pas mes oreilles, c'est insupportable.
Or, le premier devient sourd, son ouïe diminue ; l'autre fait des acouphènes.
Le premier a une baisse de l'audition.
Le deuxième crée des acouphènes, du son.
Encore une fois, pour les deux, le choc est le même, avec un ressenti identique, et pourtant leurs symptômes n'ont rien à voir. Quelle est donc la
différence qui fait la différence ?

Ce que j'ai découvert, et vérifié à de nombreuses reprises, est la chose suivante : la première personne, en devenant sourde, gomme, efface. La
deuxième au contraire, ajoute quelque chose (ici, du son).

Alors, qu'est-ce qui fait qu'il y en a une qui gomme, et l'autre qui ajoute ?

Pour répondre à cette question fondamentale, il nous faut en quelque sorte aller fouiller dans les profondeurs de la personnalité. Souvent dans
l'enfance des patients, nous trouvons des éléments importants qui font que l'individu se structure psychologiquement de façon particulière. Face au
monde, face aux problèmes qu'il rencontre ou aux conflits auxquels il doit faire face, chacun met en place ce que Freud appelait des mécanismes de
défense, ce que les thérapeutes cognitivistes appellent des schémas, ce que j'appellerais une structure de survie.
La personne qui gomme est quelqu'un qui est structuré sur du trop.
Par exemple elle a pu se structurer sur quelque chose de violent. On l'a peut-être agressée, on a pu la violer, lui donner des coups etc. Cette personne
est structurée sur du trop négatif, sur du "plein de souffrance". Donc sa stratégie, sa solution pour survivre quand il y a un problème, c'est de
gommer, d'ôter, d'effacer. Car quand il y a quelque chose, c'est dangereux, et elle se sent mal. Pour être bien, elle a besoin de retirer.

La deuxième au contraire, est structurée sur du manque, du vide, de la séparation, de la perte. Cette personne est structurée sur un manque de
positif. Je n'ai pas été touché par ma maman, je n'ai pas été regardé par mon papa. Quand il y a un problème, la personne structurée sur un
manque ne va pas gommer, retirer les choses, puisqu'elle est déjà en manque, et que quand elle manque, elle souffre. Sa solution donc, c'est de
remplir, de fabriquer, de créer, d'ajouter. Donc là, dans l'exemple cité, cette personne fait des acouphènes, elle crée du son. De la même façon, on va
créer de l'obésité, des hallucinations, des inventions, des calculs biliaires… On crée des entreprises, on fabrique des maisons, on fait des collections
(d'objets divers, de partenaires sexuels…) ou on parle beaucoup. On remplit, on remplit, on remplit.

Par exemple, au niveau spirituel : est-ce que j'ai un manque, ou un trop ? Si je suis né dans une famille hyper bouddhiste, hyper catholique, hyper
protestante… et que l'on m'oblige sans cesse à aller au culte, à faire ceci, pratiquer cela… c'est trop. Et du coup, par réaction, Dieu n'existe pas. Je
gomme parce que l'on m'a "gavé". Il n'y en a plus à l'intérieur parce qu'à l'extérieur il y en a eu trop.
Si on a du trop à l'extérieur on gomme, on supprime à l'intérieur. Si au contraire à l'extérieur il n'y a pas de culture, pas de spirituel, je serai dans
un vide. Il y aura un manque de sens. Et je ferai tous les stages, tous les pèlerinages, toutes les sessions…

S'il n'y a pas eu de contact physique, je vais gonfler comme un ballon. Je cherche désespérément le contact. Il y a à l'extérieur un manque
d'autorité, je gonfle et je vais me retrouver en prison. Parce qu'en fait je cherche l'autorité, la loi. Imaginons un couple. Le mari a souffert d'une
violence physique, d'une trop grande présence de son père et de sa mère. Du coup, il a besoin de s'effacer, de se gommer : il va être maigre, petit,
timide, et parler peu. Il s'efface. Souvent il est distrait. Dès qu'il y a un problème, il n'est plus là. S'il y a un incendie à gauche, il ne verra que le bel
arbre qui est à droite. Il n'y a pas de problème, tout va bien.
Cet homme va épouser une femme, qui a été abandonnée par ses parents, sa famille. Elle est un peu grosse, elle parle beaucoup, elle est un peu
exubérante et fait beaucoup d'activités.
Devant le même incendie, elle se dit qu'il pourrait y en avoir un autre, et que les pompiers auraient pu ne pas venir, et que ça n'a pas pris feu à côté,
mais ça aurait tout aussi bien pu prendre feu, et que…
Elle invente ; elle voit ce qui n'est pas.
Cela me fait un peu penser aux dessins de l'humoriste Dubout, qui représente des femmes très volumineuses, avec des maris chétifs. Les deux
ensemble, cela peut donner une belle pathologie de couple.
Dessin de l'humoriste Dubout

Récemment, une patiente en consultation m'annonce son prochain mariage, une quinzaine de jours plus tard. Elle vit avec cet homme depuis 10 ans,
mais à l'idée de se marier, elle se dit que ça ne sera plus pareil, qu'il va la tromper, il va se lasser, regarder davantage les autres femmes, etc. Elle
crée, elle hallucine, elle ajoute.
Considérant qu'elle s'est structurée sur un manque, ou une séparation, je lui demande alors : quel est le deuil que vous n'avez pas fait, quelle est la
séparation non faite, non résolue ? Cela n'a rien à voir avec ce qu'elle était en train de me dire ! Elle me révèle qu'elle n'avait jamais pu faire le
deuil de son grand-père. Elle n'avait jamais pu éliminer cette émotion, ni changer le sens de cette expérience. Nous avons travaillé sur ce deuil,
pendant une demi-heure. Après quoi je lui pose la question : et maintenant, et votre mariage ?
- C'est bien ; il n'y a pas de problème. Je suis contente.
- Et votre mari, il va vous tromper ?
- Non, il n'y a pas de raison.
D'une certaine façon, ce n'était plus possible pour elle. Mais nous n'avons pas parlé, à aucun moment, de ce problème. Il fallait en voir l'origine,
dans cette perte.

Ceux qui ajoutent


Ce sont donc des personnes qui inventent, qui hallucinent.
Les gens qui ajoutent, vont toujours être en référence avec le manque. Dans leurs phrases, vous entendrez souvent des ne pas : ce n'est pas mal ; je
ne me sens pas malheureuse ; c'est moins loin que ce que je croyais.
Il sont en référence, dans leur langage, à ce qui n'est pas. Si vous leur demandez : comment vous vous sentez ?, elles vous répondent : non, non, ça
va bien ! Mais à qui est-ce qu'elles disent non ? De quoi parlent-elles ? Elles répondent à une autre question, elles parlent de leur manque. Elles sont
en référence avec l'absent ; elles sont construites autour d'un manque. Une femme me dit un jour : dans ma vie, il y a trop de manque. C'est une
phrase très forte.
La sous-ventrière cachera malheureusement ce qui est sous le ventre :
le stock des émotions rentrées, qui ont tellement de choses à dire
et qui ne demandent qu'à se libérer en même temps que l'excès de poids !

Ceux qui gomment


Pour ceux qui gomment, il y a un danger ; il y a du trop qui est là. Alors, la première réaction va être de ne plus exprimer ses émotions. Il y a eu trop
de violences, trop de chocs, donc il faut gommer l'émotion, s'effacer, devenir transparent.
La deuxième étape sera de ne plus ressentir ses émotions. On gomme même le ressenti.
En troisième lieu, on gomme les pensées, les opinions qui sont à l'origine de ce ressenti.
Quatrième étape enfin : on gomme l'être qui pense, qui peut penser des pensées qui peuvent induire un ressenti, lequel peut induire de l'expression
qui peut induire de la violence… On n'existe plus.
Le gommage, on le constate, va de plus en plus loin.
N'existant plus soi-même, ces personnes vont parfois se réassocier à l'autre, devenir le bourreau, l'auteur de cette violence extérieure. En
permanence on veut lui faire plaisir, on devine l'autre, on devient l'autre. On est en fusion, en réidentification à l'autre.

Une femme vient en consultation et me dit : je n'ai pas vu le panneau sur l'autoroute, je n'ai pas vu la sortie, puis je n'ai pas vu votre bureau, c'est
pour cela que je suis en retard. Elle gomme… Je suppose donc un trop-plein de violence, d'agressivité reçue. Lorsque je lui demande quelle a été la
plus grande agressivité qu'elle ait eu à subir, elle se met à me parler de sa mère, une femme très dure, méchante, qui l'a déshéritée mais qui lui
demande en permanence des services. Elle ne m'en aurait pas parler si je n'avais pas repérer le fait qu'elle gomme, qu'elle amnésie en permanence.

Une réalité à plusieurs niveaux

Ceci dit, nous avons une réalité à plusieurs niveaux : physique, émotionnel, sexuel, intellectuel, culturel, spirituel…
On peut par exemple avoir un père violent, et du coup d'effacer physiquement (plus on est absent physiquement, plus on va pouvoir survivre). Mais
dans un autre domaine, par exemple intellectuel, ou culturel, c'est peut-être le manque qui prédomine, et dans ce domaine on va créer, inventer, être
curieux, on a besoin de remplir.

Imaginons quelqu'un qui subit une agression. Il a du trop négatif, il va donc gommer. Il perd ses clefs, son portefeuille, ses papiers, il ne voit pas les
panneaux. Comme il gomme excessivement, ça le met dans un conflit de manque, et c'est insupportable, il a les deux conflits. Il gomme parce qu'il a
été agressé. Il est obligé de perdre ses papiers, symboliquement son identité : qui suis-je ? Il a intérêt à ne pas exister, parce que s'il existe, ça lui fait
peur. Donc du coup il perd tout, il oublie. Mais du coup, à force de trop gommer, il risque de faire le conflit inverse : le manque. Donc il doit se
mettre à remplir, rajouter, créer, halluciner. Mais quand il crée, ça lui rappelle son trop de négatif ! C'est un cercle infernal, une boucle qui s'auto-
alimente.

En thérapie, c'est quelque chose de tout à fait caractéristique. La personne saute d'un côté à l'autre, dans une espèce de chassé-croisé.
En thérapie donc, on va tenter de séparer, de distinguer ces parties de la personne, par exemple en plaçant symboliquement ou imaginairement
l'une sur une chaise et l'autre sur une autre. Ou bien, en en mettant une dans la salle d'attente, symboliquement bien sûr, on peut travailler avec
l'autre partie pendant ce temps.
On a intérêt à séparer ces deux aspects, sinon ils vont toujours se neutraliser, l'un faisant souffrir l'autre, et l'un étant la réparation de l'autre.
Abel-Caïn, premier schizophrène de l'humanité

Les commentateurs anciens, les pères de l'Église, ont vu dans les deux figures de Caïn et Abel une seule personne, un seul individu en conflit avec
lui-même. C'est la première schizophrénie de l'humanité.
Il refuse une partie de lui-même.
Caïn est cultivateur, Abel est éleveur. Caïn offre à Dieu et Dieu n'agrée pas son offrande. Il y a un vide, un manque, il n'est pas reconnu. À partir de
ce moment-là, il va être dans l'hallucination, dans l'invention. Il y a un œil qui le poursuit ; il en veut à son frère et le tue.
Abel, lui, est dans le trop : trop de violence. Donc il va être gommé. Il est dans cette mort symbolique, dans une absence. Ab - sens. Sans père (Ab) et
sans sens. Je n'ai pas de père, je n'ai pas de sens.
Donc dans cet individu il y a cette double réalité : celle qui monte, qui s'élève (Abel, en hébreu, signifie vapeur, fumée), et qui est refusée par l'autre.
Cette double réalité de Caïn est mise en relief dans le texte biblique par l'emploi du pluriel : "Caïn et son offrande, Il (Dieu) ne les considère pas.
Cela brûle beaucoup Caïn, ses faces tombent".

La thérapie

On peut ainsi définir deux lignes thérapeutiques :

* D'une part, contacter la partie qui est frustrée, qui est dans le manque, dans l'absence, et pour la faire grandir, lui permettre d'accepter la
frustration. Grandir, ce n'est pas être comblé, c'est accepter les manques, faire les deuils. Cette frustration est nécessaire à l'évolution : l'enfant
quitte le ventre maternel, puis il quittera le sein, puis il ira à l'école et il quittera maman, puis il grandira et se mariera et quittera ses parents pour
devenir lui-même parent etc. Il faut chercher à accepter les manques plutôt que les remplir.

"Le but principal de la thérapie psychologique n'est pas de transporter le patient dans un état impossible de bonheur, mais de l'aider à acquérir la
fermeté et la patience en face de la souffrance. La vie s'accomplit dans un équilibre entre la joie et la peine" (C.G. Jung).

* Pour l'autre partie, face à du trop de négatif, l'objectif de la thérapie sera de lui apprendre à exister face à l'autre. Continuer d'être, de penser, de
ressentir, et de s'exprimer face à la violence, face à l'agressivité, face à l'autre. Face à l'inconnu, au danger, continuer à exister, à être là, au lieu de se
gommer.
Une personne qui est plein de vides est vite vide de plein ; ce quelqu’un plein de plaintes et vide de vie, sera encourager à vivre avide son secret sacré
qui secrète le plein.

A mes patients :
il paraît qu’il y a plus de vide que de plein entre les atomes
entre les molécules
entre les hommes
entre les planètes
entre les univers
entre les paroles
mais moi je sais
en vous voyant, en vous écoutant,
que ce vide n’est pas vide
il est plein d’amour de divin et de vie »

Christian Flèche

Extrait du Cahier Biologique N° 7 (le « Surpoids »)


qui à été téléchargé sur son site www.biodecodage.com. Depuis peu, seuls les cahiers de 1 à 6 sont téléchargeables.

Que peut bien apporter thérapeutiquement de tels enseignements ?


La mise à jour des origines conflictuelles de ce qui engendre l'excès ou la privation de nourriture et les maladies qui y sont associées comme celles
que l'on croit (faussement) provoquées cet excès ou sa privation, est la première étape qui permet à tout fumeur de pouvoir vraiment se libérer
de ce rapport souffrant avec la nourriture. On court tout droit à l''échec en recourant seulement à de telles approches comme l'hypnose ou à
d'autres techniques comportementales si on se prive d'en analyser les vraie causes, qui sont toujours psychobiologiques. Comme le tabac,
l'alcool, la prise ou la privation de nourriture en excès est une sorte de drogue (= "médicament", en grec) qui a son utilité comme l'aurait la prise
d'un médicament pour combattre le stress etc. sans toutefois résoudre les causes de son apparition. En considérant simplement le type de
nourriture qui est l'objet de cette assuétude ou de sa privation on pourra y déceler autant de "solutions" apportées par rapport à un stress
déterminé et qui le provoque. Comme toute maladie qui est une solution temporaire pour solutionner un conflit, le rapport souffrant à la
nourriture est également une tentative de solutionner dans l'instant un conflit alors occulté. Voici une fiche-mémo qui vous permettra de voir
qu'elles sont les étapes suggérées pour arriver à sortir enfin de cette problématique. Voir la foire aux questions.

sante et medecine

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En savoir plus sur la symbolique des Régimes alimentaires

Lire aussi : "Bien manger Ras-le-bol des régimes !" (Archives / Mars 2003 du magazine Bien dans sa vie)

Un site sur les Troubles du Comportement Alimentaire (TCA) : anorexie et boulimie

Lire aussi "ANOREXIE ET BOULIMIE : JOURNAL INTIME D'UNE RECONSTRUCTION" de Vittoria Pazalle aux Editions Dangles (remis à
jour en 2007)

Comment naît le conflit de silhouette ?

Les "trucs" d'Audrey Hepburn pour être belle.


Pour les ateliers pour résoudre les problèmes de poids

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