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Introduction :
L’analyse numérique est une discipline des mathématiques. Elle s’intéresse tant aux fondements
théoriques qu’à la mise en pratique des méthodes permettant de résoudre, par des calculs purement
numériques, des problèmes d’analyse mathématique.
Plus formellement, l’analyse numérique est l’étude des algorithmes permettant de résoudre les
problèmes de mathématiques continues (distinguées des mathématiques discrètes). Cela signifie
qu’elle s’occupe principalement de répondre numériquement à des questions à variable réelle ou
complexe comme l’algèbre linéaire numérique sur les champs réels ou complexes, la recherche de
solution numérique d’équations différentielles et d’autres problèmes liés survenant dans les sciences
physiques et l’ingénierie.
Dans le domaine de l'analyse numérique, on peut être amené à rechercher la solution d'une équation
aux dérivées partielles. Parmi les méthodes de résolutions couramment pratiquées, la méthode des
différences finies est la plus facile d'accès, puisqu'elle repose sur deux notions : la discrétisation des
opérateurs de dérivation/différentiation (assez intuitive) d'une part, et la convergence du schéma
numérique ainsi obtenu d'autre part.
En mathématiques et en physique théorique, l'équation de la chaleur est une équation aux dérivées
partielles parabolique, introduite initialement en 1811 par Fourier pour décrire le phénomène
physique de conduction thermique.
D’un domaine
D’une équation aux dérivées partielles
De conditions aux limites
De conditions initiales
Objectifs
Soulution
1- Maillage
U=T
K=10-5m2/s
Nx=5 ;dx=1/5=0.2
Ny=4 ;dy=0.8/4=0.2
2- Equation
𝑑𝑡𝑘 𝑑𝑡𝑘
T(i,j)(k+1)+T(i,j)(k)=𝑑𝑥²[T(i+1,j)(k)-2T(i,j)+T(i-1,j)]+ 𝑑𝑦²[T(i,j+1)(k)-2T(i,j)+T(i,j-1)]
𝑑𝑡𝑘 𝑑𝑡𝑘 𝑑𝑡𝑘 𝑑𝑡𝑘
T(i,j)(k+1)=(1-2 𝑑𝑥²-2𝑑𝑦²) ∗T(i,j)+ 𝑑𝑥²[T(i+1,j)(k)+T(i-1,j)(k)]+ 𝑑𝑦²[T(i,j+1)(k)+T(i,j-1)(k)]
3- Programme
clc
clear
nx=5;
ny=4;
dx=1/5;
dy=0.8/4;
K=1e-5;
%temp
tf=10;
dt=0.5;
nt=tf/0.5;
%constante
kp=1-2*((dt*K)/dx^2)-2*((dt*K)/dy^2);
kx=(dt*K)/dx^2;
ky=(dt*K)/dy^2;
%initialisation
T(nx+1,ny+1,nt)=0;
T_old(nx+1,ny+1,nt)=0;
err=1;
%condution aux limites
T(1,:,:)=150;
T(nx+1,:,:)=30;
T(:,1,:)=30;
T(:,ny+1,:)=0;
%calcule
iter=0;
for k=1:nt
err=1;
while err >1e-2
for i=2:nx
for j=2:ny
T(i,j,k+1)=kp*T(i,j,k)+kx*(T(i+1,j,k)+T(i-1,j,k))+ky*(T(i,j+1,k)+T(i,j-1,k));
end
end
err=abs(norm(T(:,:,k))-norm(T_old(:,:,k)))/norm(T(:,:,k));
T_old=T;
iter=iter+1;
end
end
vec(1:nt+1)=T(2,2,:)
plot(vec)
0.45
0.4
0.35
0.3
0.25
0.2
0.15
0.1
0.05
0
0 5 10 15 20 25
Tf=10s
Pour l’établissement du régime permanent tf =12000.
Les courbes
o T(x,y,0) :
o T(x,y,tf/2)
o T(x,y,tf)
6_1) T(x,y,tf) :
6_2) T(x,y,tf/2) :
6_3) T(x,y,0) :
Z=T( : , : ,0)
Conclusion :
Ce object de TP illustre bien l’importance des méthodes numériques pour la résolution des
problèmes mathématique, leur variétés, et permet de constater le peu de différences
concernant les solutions proposées par chaque méthode, d’où leur efficacité.
D’autre part, il nous a été très utile de travailler sur ce projet, sachant que d’une part on a pu mieux
concevoir l’idée de devoir résoudre un tel problème mathématique, et d’un autre côté se familiariser
davantage avec un outil important pour un élève ingénieur qu’est le Matlab, et ainsi reconnaitre son
utilité