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Activité(s) Romancier

Dramaturge
Journaliste
Imprimeur
Critique littéraire
Naissance 20 mai 1799
Tours

Décès 18 août 1850 (à 51 ans)


Paris

Langue
Français
d'écriture
Mouvement(s) réaliste
philosophique
fantastique
romantique

Distinctions Chevalier de la Légion d'honneur


fondateur et président de laSociété des
gens de lettres
« La main de cette femme panse les
Œuvres principales plaies secrètes de toutes les familles.
Eugénie marche au ciel accompagnée
 La Comédie humaine (cycle romanesque), d'un cortège de bienfaits. La grandeur
(1831-1850) de son âme amoindrit les petitesses de
 Les Chouans, 1829 son éducation et les coutumes de sa
 La Peau de chagrin, 1831 vie première. Telle est l'histoire de
 Eugénie Grandet, 1833 cette femme qui n'est pas
 Le Père Goriot, 1835 dumonde au milieu du monde, qui
 Le Colonel Chabert, 1835 faite pour être magnifiquement épouse
 Le Lys dans la vallée, 1836 et mère, n'a ni mari, ni enfants, ni
 Illusions perdues ( 1837 - 1843) famille. Depuis quelques jours, il est
question d'un nouveau mariage pour
 Splendeurs et misères des elle. Lesgens de Saumur s'occupent
courtisanes,1838-1846 d'elle et de monsieur le marquis de
Compléments Froidfond dont la famille commence à
cerner la riche veuve comme jadis
la Comédie humaine a été publiée en 20 volumes
avaient fait les Cruchot. Nanon et
illustrés de (1842 à 1852) par Charles Furne en
Cornoiller sont, dit-on, dans
association avec Houssiaux , Hetzel, Dubochet et Paulin
les intérêts du marquis, mais rien n'est
plus faux. Ni la grande Nanon, ni Cornoiller n'ont assez d'esprit pour comprendre les corruptions
du monde. »
EUGENIE GRANDET
Nom de
Charles Pierre Baudelaire
naissance
Activité(s) Poète, critique
d'art, essayiste,traducteur
Naissance 9 avril 1821
Paris, Royaume de France

Décès 31 août 1867 (à 46 ans)


Paris, Empire français
Langue
français, latin
d'écriture
Genre(s) Poésie, poème en
prose, essai,critique d'art
Œuvres principales
 Salon de 1845 (1845)
 Salon de 1846 (1846), illustré
par Raymond Pelez
 La Fanfarlo (1847), nouvelle
 Du vin et du haschisch (1851)
 Fusées (1851), journal intime
 L'Art romantique (1852)
 Morale du joujou (1853, réécrit
en 1869)
 Exposition universelle (1855)
 Les Fleurs du mal (1857)
 Salon de 1859 (1859) La sottise, l'erreur, le péché, la lésine,
 Les Paradis artificiels (1860) Occupent nos esprits et travaillent nos corps,
 La Chevelure (1861) Et nous alimentons nos aimables remords,
 Réflexions sur quelques-uns de mes Comme les mendiants nourrissent leur vermine.
contemporains (1861)
 Petits poèmes en prose ou Le Spleen Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ;
de Paris (1869), poème en prose Nous nous faisons payer grassement nos aveux,
(posthume) Et nous rentrons gaiement dans le chemin
 Le Peintre de la vie moderne (1863) bourbeux,
 L'œuvre et la vie d'Eugène Croyant par de vils pleurs laver toutes nos
Delacroix (1863) taches.

 Mon cœur mis à nu (1864), journal Sur l'oreiller du mal c'est Satan Trismégiste
intime Qui berce longuement notre esprit enchanté,
Et le riche métal de notre volonté
Est tout vaporisé par ce savant chimiste.

…………………………………………………

« Au lecteur » - LES FLEURS DU MAL


Nom de
Albert Camus
naissance
Activité(s) Romancier, dramaturge, essayiste,philosophe
Naissance 7 novembre 1913
Mondovi, Algérie française
Décès 4 janvier 1960 (à 46 ans)
Villeblevin, France
Genre(s) Roman, théâtre, essai, nouvelle
Distinctions Prix Nobel de littérature 1957
Œuvres principales
 L'Étranger
 La Peste
 Le Mythe de Sisyphe
 La Chute

 L'Homme révolté
Compléments "Aujourd'hui, maman est morte. Ou
 Morvan Lebesque, Albert Camus par lui-même, 1963 peut-être hier, je ne sais pas. J'ai
 Jean Sarocchi, Camus, PUF, 1968 reçu un télégramme de l'asile :
 Alain Costes, Albert Camus ou la parole manquante, "Mère décédée. Enterrement demain.
1973 Sentiments distingués". Cela ne veut
 Jacques Chabot, Albert Camus, la pensée de midi, rien dire. C'était peut-être hier."
2002
"Et c'est comme quatre coups que je
frappai à la porte du malheur."
 Jean Daniel, Avec Camus : Comment résister à l'air
du temps, 2006 "J'accuse cet homme d'avoir enterré
sa mère avec un coeur de criminel."
"Devant cette nuit chargée de signes et d'étoiles, je m'ouvrais pour la première fois à la tendre
indifférence du monde. (...) j'ai senti que j'avais été heureux, et que je l'étais encore. Pour que tout
soit consommé, pour que je me sente moins seul, il me restait à souhaiter qu'il y ait beaucoup de
spectateurs le jour de mon exécution, et qu'ils m'accueillent avec des cris de haine. "
citations du roman « L’ÉTRANGER »
Activité(s) romancier
Naissance 12 décembre 1821
Rouen
Décès 8 mai 1880 (à 58 ans)
Canteleu
Langue d'écriture Français
Œuvres principales
 Rêve d'enfer, 1837
 Mémoires d'un fou, 1838
 Madame Bovary, 1857 et 1930 (éd.
suivie des actes du procès)
 Salammbô, 1862 et 1874 (éd.
définitive)
 L'Éducation sentimentale, 1869
 Le Candidat (vaudeville), 1874
 La Tentation de saint Antoine, 1874 et
1903 (éd. définitive)
 Trois Contes :Un cœur simple, La
Légende de saint Julien "Quant à Emma, elle ne s'interrogea point pour
l'Hospitalier, Hérodias, 1877 savoir si elle l'aimait. L'amour, croyait-elle, devait
 Le Château des cœurs (théâtre), 1880
 Bouvard et Pécuchet (inachevé) arriver tout à coup, avec de grands éclats et des
 Mémoires d'un fou, 1901 fulgurations, -- ouragan des cieux qui tombe sur la
 À bord de la Cange, 190
 Dictionnaire des idées reçues, 1913 vie, la bouleverse, arrache les volontés comme des
feuilles et emporte à l'abîme le cœur entier. Elle ne
Lettres
savait pas que, sur la terrasse des maisons, la pluie
 Lettres à la municipalité de Rouen, fait des lacs quand les gouttières sont bouchées, et
1872
elle fût ainsi demeurée en sa sécurité, lorsqu'elle
 Lettres à George Sand, 1884
 Correspondance, 4 vol., 1887-1893 découvrit subitement une lézarde dans le mur. "
 Lettres à sa nièce Caroline, 1906
deuxième partie, Chapitre 4,
 Lettres d'Orient, 1990
“MADAME BOVARY”
Activité(s) Poète,
moraliste,
dramaturge,
librettiste
romancier
Naissance 8 juillet 1621
Château-Thierry,
Royaume de France
Décès 13 avril 1695
Paris, Royaume de France
Langue
français
d'écriture
Genre(s) fable, conte
Œuvres  L’Eunuque (1654)
 Adonis (1658, publié en 1669)
 Les Rieurs du Beau-Richard (1659)
 Élégie aux nymphes de Vaux (1660)
 Ode au roi (1663) Certain Renard gascon, d'autres disent
 Contes (1665, 1666, 1671, 1674) normand,
 Fables (1668, 1678, 1693) Mourant presque de faim, vit au haut
 Les Amours de Psyché et de d'une treille
Cupidon (1669) Des raisins mûrs apparemment,,
 Recueil de poésies chrétiennes et Et couverts d'une peau vermeille.
diverses (1671) Le Galand en eut fait volontiers un repas ;
 Poème de la captivité de saint Mais comme il n'y pouvait point
Malc (1673) atteindre :
 Daphné (1674) Ils sont trop verts, dit-il, et bons pour des
 Poème du Quinquina (1682) goujats.
 Ouvrages de prose et de poésie Fit-il pas mieux que de se plaindre?
(1685)
 Astrée (1691) “LE RENARD ET LES RAISINS”
Nom de
Georges André Malraux
naissance
Autres noms Maurice Sainte-Rose, Colonel
Berger
Activité(s) écrivain, homme politique et
homme d'action
Naissance 3 novembre 1901
à Paris, France
Décès 23 novembre 1976
Créteil, France
Langue
Français
d'écriture
Genre(s) Romans, essais sur l'art
Distinctions Prix Goncourt (1933)
Officier de la Légion
d'honneur
Compagnon de la
21 mars 1927. Minuit et demi. Tchen tenterait-il de
Libération, Médaille de la
lever la moustiquaire ? Frapperait-il au travers ?
Résistance
L'angoisse lui tordait l'estomac ; il connaissait sa
Médaille militaire, Croix de
propre fermeté, mais n'était capable en cet instant
guerre 1939-1945
que d'y songer avec hébétude, fasciné par ce tas de
enterré au Panthéon de Paris
mousseline blanche qui tombait du plafond sur un
Œuvres principales corps moins visible qu'une ombre, et d'où sortait
seulement ce pied à demi incliné par le sommeil,
 La Voie royale (Roman, 1930) vivant quand même - de la chair d'homme. La seule
 La Condition humaine (Roman, 1933) lumière venait du building voisin : un grand
 L'Espoir (Roman, 1937) rectangle d'électricité pâle, coupé par les barreaux
de la fenêtre dont l'un rayait le lit juste au-dessous
 Les Voix du silence (Essai, 1951) du pied comme pour en accentuer le volume et la
Compléments vie. Quatre ou cinq klaxons grincèrent à la fois.
 Engagement dans la Guerre Découvert ? Combattre, combattre des ennemis qui
d'Espagne et la Résistance se défendent, des ennemis éveillés ! »

 Carrière politique « LA CONDITION HUMAINE »


(parti gaulliste) : Ministre de la Culture de
1959 à 1969
Nom de
Jean-Baptiste Poquelin
naissance
Autres noms Molière
Activité(s) Dramaturge, Comédien
Naissance Indéterminée, baptisé
le15 janvier 1622
Rue Saint-Honoré, Paris,
Royaume de France1
Décès 17 février 1673
Paris, Royaume de
France

« Harpagon.Il crie au voleur dès le jardin, et vient sans


Œuvres principales chapeau : Au voleur ! au voleur ! à l'assassin ! au
meurtrier ! Justice, juste Ciel ! je suis perdu, je suis
 Le Médecin volant 1645 assassiné, on m'a coupé la gorge, on m'a dérobé mon
 La Jalousie du barbouillé 1650 argent. Qui peut-ce être ? Qu'est-il devenu ? Où est-
 L'Étourdi ou les Contretemps 1655 il ? Où se cache-t-il ? Que ferai-je pour le trouver? Où
 Le Dépit amoureux 16 décembre1656 courir? Où ne pas courir? N'est-il point là ? N'est-il
 Le Docteur amoureux 24 octobre1658 point ici ? Qui est-ce ? Arrête. Rends-moi mon argent,
coquin. (Il se prend lui-même le bras.) Ah ! c'est moi.
 Les Précieuses ridicules 18 Mon esprit est troublé, etj'ignore où je suis, qui je suis,
novembre1659 et ce que je fais. Hélas ! mon pauvre argent, mon
 Le Médecin malgré lui 6 août 1666 pauvre argent, mon cher ami ! on m'a privé de toi ; et
 L'Avare ou l'École du mensonge 9 puisque tu m'es enlevé,j'ai perdu mon support, ma
septembre1668 consolation, ma joie ; tout est fini pour moi, et je n'ai
plus que faire au monde : sans toi, il m'est impossible
 Les Amants magnifiques 4 février 1670 de vivre. C'en est fait, je n'en puis plus; je me meurs,
 Le Bourgeois gentilhomme 14 je suis mort, je suis enterré. N'y a-t-il personne qui
octobre1670 veuille me ressusciter, en me rendant mon cher
argent, ou en m'apprenant qui l'a pris ? Euh ? que
 Le Malade imaginaire 10 février 1673 dites-vous ? Ce n'est personne. Il faut, qui que ce soit
qui ait fait le coup, qu'avec beaucoup de soin on ait
épié l'heure ; et l'on a choisi justement le temps que je parlais à mon traître de fils. Sortons. Je veux aller
quérir la justice, et faire donner la question à toute la maison : à servantes, à valets, à fils, à fille, et à moi
aussi. Que de gens assemblés ! Je ne jette mes regards sur personne qui ne me donne des soupçons, et
tout me semble mon voleur. Eh ! de quoi est-ce qu'on parle là ? De celui qui m'a dérobé ? Quel bruit fait-on
là-haut ? Est-ce mon voleur qui y est ? De grâce, si l'on sait des nouvelles de mon voleur, je supplie que l'on
m'en dise. N'est-il point caché là parmi vous ? Ils me regardent tous, et se mettent à rire. Vous verrez qu'ils
ont part sans doute au vol que l'on m'a fait. Allons vite, des commissaires, des archers, des prévôts, des
juges, des gênes, des potences et des bourreaux. Je veux faire pendre tout le monde ; et si je ne retrouve
mon argent, je me pendrai moi-même après. »
- chapitre : Acte IV; “L’AVARE”
Activité(s) écrivain
poète
dramaturge
personnalité politique
dessinateur
Naissance 26 février 1802
Besançon, France
Décès 22 mai 1885 (à 83 ans)
Paris, France
Langue d'écriture français
Mouvement(s) romantisme
Genre(s) théâtre
poésie
roman

Œuvres principales « Gavroche n'était tombé que pour se


redresser; il resta assis sur son séant, un
 THÉÂTRE
long filet de sang rayait son visage, il éleva
 1827 : Cromwell
ses deux bras en l'air, regarda de côté d'où
 1828 : Amy Robsart
était venu le coup et se mit à chanter
 1830 : Hernani
Je suis tombé par terre,
 1831 : Marion de Lorme
C'est la faute à Voltaire,
 1832 : Le roi s'amuse
Le nez dans le ruisseau,
 1833 : Lucrèce Borgia
C'est la faute à …
 ROMANS
Il n'acheva point. Une seconde balle du
 1818 : Bug-Jargal
même tireur l'arrêta court. Cette fois il
 1823 : Han d'Islande
s'abattit la face contre le pavé et ne remua
 1829 : Le Dernier Jour d'un condamné
plus. Cette petite grande âme venait de
 1831 : Notre-Dame de Paris
s'envoler.”
 1834 : Claude Gueux
Cinquième Partie, 1,
 1862 : Les Misérables
15
 1866 : Les Travailleurs de la mer
 1869 : L'Homme qui rit “LES MISERABLES”
 1874 : Quatrevingt-treize
 POÉSIES
 1826 : Odes et Ballades
 1829 : Les Orientales

 1831 : Les Feuilles d'automne


Nom de Valentin Louis Georges Eugène
naissance Marcel Proust
Activité(s) écrivain
Naissance 10 juillet 1871
Auteuil, France
Décès 18 novembre 1922 (à 51 ans)
Paris, France
Genre(s) roman

Distinctions Lauréat du prix Goncourt 1919

Œuvres principales

 À la recherche du temps perdu (1913 - 1927)


 Les Plaisirs et les Jours, Calmann-Lévy,
1896
 La Bible d'Amiens, préface, traduction et « Enfin éclata mon premier sentiment
notes de l'ouvrage de John Ruskin The Bible d’admiration : il fut provoqué par les
of Amiens, Mercure de France, 1904 applaudissements frénétiques des
 « La mort des cathédrales », Le Figaro, 16 spectateurs. J’y mêlai les miens en tâchant de
août 1904 les prolonger, afin que, par reconnaissance,
 Sésame et les lys, traduction de l'ouvrage la Berma se surpassant, je fusse certain de
de John Ruskin Sesame and Lilies, Mercure l’avoir entendue dans un de sesmeilleurs
de France, 1906 jours. Ce qui est du reste curieux, c’est que le
 Pastiches et mélanges, NRF, 1919 moment où se déchaîna cet enthousiasme du
 Chroniques, 1927 public, fut, je l’ai su depuis, celui où la
 Jean Santeuil, 1952 Berma a une de ses plus belles trouvailles. Il
 Contre Sainte-Beuve, 1954 semble que certaines réalités transcendantes
 Chardin et Rembrandt, Le Bruit du temps, émettent autour d’elles des rayons auxquels
2009 la foule est sensible. »
 À la recherche du temps perdu,
III ,À l’ombre des jeunes filles en fleurs
(Première partie)
Autres noms Saint-Ex
Activité(s) écrivain, aviateur
Naissance 29 juin 1900
Lyon, France
Décès 31 juillet 1944 (à 44 ans)
Marseille
Genre(s) roman, récit, conte, essai
Distinctions prix Femina, Grand prix du
roman de l'Académie
française, National Book
Award
Œuvres principales
 Courrier sud (1929)
 Vol de nuit (1931) Il me fallut longtemps pour comprendre d’où il
 Terre des hommes (1939) venait. Le petit prince, qui me posait beaucoup de
 Pilote de guerre (1942) questions, ne semblait jamais entendre les miennes.
 Le Petit Prince (1943) Ce sont des mots prononcés par hasard qui, peu à
 « La Paix ou la guerre » peu, m’ont tout révélé. Ainsi, quand il aperçut pour
(1938 pour Paris-Soir) la première fois mon avion (je ne dessinerai pas
 « Moscou » (1935 pour Paris-Soir) mon avion, c’est un dessin beaucoup trop
 « L'Espagne ensanglantée » compliqué pour moi) il me demanda :
(août 1936 pour L'Intransigeant)
« Qu’est ce que c’est que cette chose-là ?
 « Le Vol brisé. Prison de sable »
(janvier-février 1936 pour L'Intransige — Ce n’est pas une chose. Ça vole. C’est un
ant) avion. C’est mon avion. »
 « Madrid » (juillet 1937 pour Paris- Et j’étais fier de lui apprendre que je volais.
Soir) Alors il s’écria :
 Lettre à un otage 1944 • Citadelle 1948 « Comment ! tu es tombé du ciel !
• Lettres de jeunesse 1953 •Carnets 1953 — Oui, fis-je modestement.
• Lettres à sa mère 1953 • Écrits de
guerre 1982 •Manon, danseuse 2007 — Ah ! ça c’est drôle… »
Et le petit prince eut un très joli éclat de rire
qui m’irrita beaucoup. Je désire que l’on prenne mes malheurs au sérieux.”
“LE PETIT PRINCE”

Réalisées par prof. PUPAZA MIHAELA JANINA

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