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Rapport

de
recherche

Réalisé par :
Mostafa ELLOUGANI
Management des projets

Table des matières :

1-quelques principes sur le management de projet


a-Qu’est-ce qu’un projet?

b-Existe-t-il différentes catégories de projets?

c-Y a-t-il une différence entre projet et opération?

d-Toutes les opérations peuvent-elles être des projets?

2-modélisation des projets par la méthode GANTT ET PERT.


3-l’externalisation au niveau des entreprises.
4- l’analyse de déterminants de l’insertion des diplômés universitaires au marche de
travail.
5- le capital humain comme levier de développement économique d’un pays : cas de
Maroc.
6 –thèse.

Master SIADM ; FSJES ; Université Hassan II ; Casablanca


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Management des projets

1- Quelques principes sur le management des projets


a- Qu’est-ce qu’un projet?
Le mot projet dérive du latin proiectus et a plusieurs sens. Un projet peut se définir comme une
démarche spécifique qui permet de structure méthodologiquement et progressivement une réalité
avenir, et aussi peut être comme étant l’ensemble des activités coordonnées et mises en rapport
visant accomplir un objectif précis, lequel est généralement atteint pendant une période de temps
définie au préalable tout en respectant un budget. Dans le langage quotidien, le mot projet peut
également être employé en tant que synonyme de plan, programme et idée.

D’autre part, on entend par gestion de projets l’application des connaissances, des moyens et des
techniques aux activités dont elle est composée.

Dans un projet, on peut distinguer plusieurs étapes. Au départ, survient une idée, qui établit le
besoin ou l’opportunité à partir de laquelle le projet est conçu. Ensuite, au cours de l’étape de la
conception proprement dite, il y a lieu de faire une estimation des options, des stratégies et des
démarches à suivre, ayant un but à accomplir pour s’orienter. Enfin, c’est le tour de la mise en
œuvre et, une fois terminée, il y a lieu de faire l’évaluation (lorsque le projet est revu et que ses
résultats font l’objet d’une mise en rapport avec les objectifs visés).

En ce qui concerne les différents classements d’un projet, on retiendra deux grandes catégories, à
savoir les projets productifs, soit ceux qui se proposent d’entrainer des avantages économiques, et
les projets publics ou sociaux, qui visent à améliorer la qualité de vie de la population. Les
premiers ont tendance à être associés aux sociétés et aux commerces tandis que les deuxièmes
appartiennent plutôt au cadre des ONG et des bureaux gouvernementaux. De toute façon, il existe
des sociétés qui mettent en place des projets publics au moyen de leurs programmes de
responsabilité sociale.

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Management des projets

b-Existe-t-il différentes catégories de projets?

Les projets peuvent être classés par finalité et par activité

1) Classification des projets par finalité

Dans ces types des projets il y a le lancement d'un produit nouveau, l'amélioration de la productivité,
investissement de capacité, les projets collectifs et les projets de développement.

· Projet de création de produits nouveaux

Leur originalité tient d'abord au fait que nous cherchons à mesurer la rentabilité d'un produit qui n'existe
pas encore. Par ailleurs, il est possible dans le cas d'un développement dans une entreprise déjà créée que
l'activité nouvelle absorbe une part de charges déjà existantes.

· Projet d'amélioration de la productivité

L'entreprise cherche à mesurer l'opportunité du changement de l'équipement, et non la rentabilité de


l'équipement. De ce fait, la rentabilité du produit peut rester bonne et le changement d'équipement s'avérer
mauvais et vice versa.

· Le projet d'investissement de capacité

La finalité de ce type de projet est le changement de taille de la production à partir de la modification de


la demande. Il s'agit donc de déterminer une nouvelle capacité optimale de l'investissement.

· Projet de développement

Dans ces types de projets, il est prévu d'atteindre en quelques années un niveau de production maximal a
partir d'in put classiques (avec malheureusement souvent un taux de réussite faible.

2) Classification des projets selon l'activité.

· Le cas du secteur agricole et industriel

Les particularités du secteur agricole tiennent souvent à la spécificité de la production qui obéit à des
règles différentes.

· Le cas de la production d'un bien ou de la réalisation d'un service.

Les caractéristiques majeures des services sont l'intégrité (non matérialité), la simultanéité (absence de
stock) et l'interactivité (présence souvent active du client).

· Le cas de la saisonnalité des ventes Il correspond a une variation significative des ventes eu/ou de
production a l'intérieur de l'année que l'on rencontre dans les projet agricoles ou des projet industriels.

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c-Y a-t-il une différence entre projet et opération?

PROJET OPERATION
Activité temporaire, non répétitive Activité permanente, répétitive
Forte irréversibilité des décisions Réversibilité et fluctuations
Forte dépendance de l’extérieur, influence de Indépendance et influence de variables
variables exogènes endogènes
Ressources limitées Ressources abondantes
Equipes temporaires Organisation permanente
Degré d’incertitude fort Degré d’incertitude faible
Culture nouvelle Culture ritualisée

Source : A partir de Declerck, Debourse et Navarre (1993) et de Navarre (1993)

 L’opération se caractérise par des activité permanentes et répétitives, sujette à l’influence de


nombreux facteurs. Les facteurs influents sont essentiellement internes. Les facteurs d’environnement
n’expliquent qu’une partie des variations des extrants ou outputs ; cette variation est mesurable, elle peut
être rendue stable et peut être prédite avec un fort degré de certitude. Les opérations sont réversibles
car la présence des causes perturbatrices peut être facilement décelée, la nature de la cause peut être
également identifiée et éliminés.

Le projet se caractérise par des activités temporaires et non répétitives, avec une équipe
temporaire, fondées sur des décisions irréversibles ; les projets sont sujets à des fortes influences, qui
sont généralement issues de l’environnement et qui sont extrêmement variables. Il est difficile de
mesurer les effets de ces influences ; le projet n’est pas stable, le degré d’incertitude est fort et une
mauvaise décision ou l’introduction d’un événement incontrôlable peut avoir des conséquences graves.

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d-Toutes les opérations peuvent-elles être des projets?


Même si toutes opération réalisée dans le cadre d’application et du déroulement d’un processus à
les caractéristiques d’un projet (la complicité, unicité, évènements de début et de fin…), ce n’est
pas raison pour tout appeler projet parce que le terme projet est une démarche spécifique qui
permet de structure méthodologiquement et progressivement une réalité avenir et doit être réserve
à une opération spécifique que l’on veut piloter de manière particulière.

Les projets exigent le management de projet tandis que les opérations exigent le management de
processus métiers ou d’opérations. Cependant, les projets et des opérations se rencontrent à aux
divers points pendant le cycle de vie d’un produit ou d’un service.

Par exemple :

Réingénierie des processus

Développement ou changement de produit et services

Amélioration des Opérations ou du Développement de Produits

Le but du management de processus est d’améliorer continuellement les processus.


L’amélioration des processus opérationnels peut accroître l’efficacité, réduire les coûts et
procurer un avantage compétitif.

Les projets sont de la conduite du changement dans l’organisation. Par exemple, utiliser la
réingénierie de processus métier pour aligner le besoin business sur l’attente des clients.

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2-modélisation des projets par la méthode GANTT ET PERT


Plusieurs représentations existent, à la base de toute construction de planning :

 La technique GANTT : planning à barres


 La technique PERT : méthode des potentielles étapes et planning des tâches

La technique GANTT

Le diagramme de GANTT est la technique et représentation graphique permettant de renseigner et situer


dans le temps les phases, activités, tâches et ressources du projet.

En ligne, on liste les tâches et en colonne les jours, semaines ou mois. Les tâches sont représentées par
des barres dont la longueur est proportionnelle à la durée estimée.

Les tâches peuvent se succéder ou se réaliser en parallèle entièrement ou partiellement.

Exemple d’un diagramme de GANTT:

La technique PERT

La technique PERT est une technique américaine de modélisation de projet qui vient de l’américain
Program Evaluation and Review Technique, ou technique d’évaluation et de révision de Programme. Elle
consiste à mettre en ordre sous forme de réseau plusieurs tâches qui grâce à leurs dépendances et à leur
chronologie permettent d’avoir un produit fini. Les Caractéristiques de PERT sont les suivantes :

 Les tâches sont représentées par des flèches


 Le réseau visualise des dépendances entre tâches
 Limites de la technique PERT : pas de représentation de notion de durée et de date
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3-l’externalisation au niveau des entreprises.


L’externalisation (appelée également l’outsourcing) correspond au transfert d’activités d’une
entreprise vers un prestataire externe spécialisé. Cette forme de sous-traitance permet à l’entreprise de
se focaliser sur son activité première.

Pour pouvoir déléguer certaines de ses activités en toute confiance, l’entreprise qui externalise a besoin de
cultiver un lien fort avec le prestataire choisi pour la qualité de ses services. L’entreprise garde en effet un
œil sur le pilotage des missions, qui sont le plus souvent inscrites sur le long terme.

Les activités concernées par l’externalisation sont aussi diverses que l’informatique (externalisation du
service), les ressources humaines (paie), la finance (comptabilité, facturation) ou le marketing et la
communication (externalisation commerciale).

De la même manière, l’externalisation dépend également de la zone géographique concernée. On peut


donc distinguer l’externalisation onshore (au sein du même pays) et l’externalisation offshore
(destinée à un autre pays).

Le choix du recours à une société de services spécialisés concerne généralement des activités considérées
comme non stratégiques et qui sont traitées à moindre coût chez les sous-traitants et surtout avec une
meilleure flexibilité. L’entreprise peut de la sorte se centrer sur ses compétences de base et son
propre corps de métier.

Avant d’opter pour l’externalisation, l’entreprise doit établir une feuille de route afin de définir les
objectifs, les conditions et les moyens de contrôle de cette démarche. Ainsi il est nécessaire de :

 Stipuler précisément sa part de compétence de celle du prestataire choisi pour déterminer les
responsabilités de chacun. Il est possible de s’inspirer des contrats types des prestataires.
 Bien choisir vos prestataires en instaurant une vraie relation de confiance pérenne. Outre le coût,
le prestataire sélectionné doit présenter d’autres avantages tels qu’une proximité géographique et
un haut niveau technique.
 Piloter conjointement les missions en mettant en place des comités de représentants de l’entreprise
et du prestataire, car il est important de ne pas renoncer au contrôle sur la qualité.
 Ne jamais omettre de mettre en place un tableau de bord reposant sur des indicateurs efficaces et
rigoureux, pour mener à bien vos missions, même externalisées. La démarche qualité doit de
préférence y figurer.

L’externalisation repose de plus en plus sur les nouvelles technologies qui facilitent tellement la gestion
au quotidien. Intranet, centre de relation client multi canal et plateforme d’archivage sont autant
d’initiateurs d’une démarche d’externalisation.

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4- l’analyse de déterminants de l'insertion des diplômés


universitaires au marche de travail.

Le chômage des jeunes et plus particulièrement celui des diplômés constitue l’un des problèmes majeurs
auxquels sont confrontés actuellement l’économie.

Beaucoup d’étude ont été faite ayant pour objectif de contribue a une meilleur connaissance des
déterminants de l’insertion des diplômés au marché du travail et les résultats qui ressort sont que :

- Les femmes ont moins de chance d’accéder à l’emploi que les hommes, sa veut dire que les femmes
diplômées au Maroc ont plus de probabilité d’être au chômage que les hommes, toute chose égale par
ailleurs. Une explication possible dériverait, peut-être, de la discrimination contre les femmes au niveau
de l’embauche. Cette discrimination pourrait être pure due au fait que les employeurs nourriraient des
préjugés à l’égard des femmes pour des motifs irrationnels.

-Et aussi que l’âge du diplômé est négativement associé avec l’accès à l’emploi. Donc, plus un diplômé
est âgé, moins grandes seront ses chances d’y accéder. Les plus jeunes diplômés ont plus de probabilité
d’accéder à l’emploi que les moins jeunes. Peut-être que les emplois que ces plus jeunes diplômés
obtiennent sont ceux à très basses qualifications dont le salaire est aussi peu élevé.

-L’accès à l’emploi est associé avec la profession du père du diplômé. Les enfants dont le père est cadre
supérieur ou artisan ont une probabilité d’accéder à l’emploi sensiblement supérieure à celle des autres
diplômés. Une explication possible serait que les pères qui sont « Cadres supérieurs » ou « Artisans » sont
plus confortables financièrement que les autres parents de diplômés. Donc, les enfants ont 98 plus de
chance de grandir dans un environnement instructive. Peut-être aussi que ces diplômés ont été élevés dans
un environnement où l’obtention d’une éducation et d’un bon métier étaient considérée comme étant une
chose importante. De plus, si le père est « Cadre supérieur », les chances que ce dernier ait des « contacts
» pour aider ses enfants à se trouver un emploi sont plus grandes. En effet, une grande partie des
chercheurs d’emploi utilisent leur réseau social (famille ou amis) afin de se trouver un emploi au Maroc.

-Les diplômés de niveau « Technicien spécialisé » ou « Technicien » ont plus de chance d’accéder à
l’emploi que les diplômés des autres niveaux, notamment ceux du niveau « Qualification ». Selon notre
revue de littérature, nous avons constaté que les employeurs marocains cherchent plus des employés avec
des qualifications qui se développent avec l’âge et l’expérience de travail comme la convivialité, la
discipline et la confiance que des employés diplômés. Mais les employeurs qui cherchent à combler des
postes à hautes qualifications, préfèrent-ils peut-être embaucher des diplômés très qualifiés.

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5-le capital humain comme levier de développement économique d’un pays :


cas de Maroc.
Le capital humain est l'ensemble des aptitudes, talents, qualifications, expériences accumulées par un
individu et qui déterminent en partie sa capacité à travailler ou à produire pour lui-même ou pour les
autres

Le capital humain est l’une des composantes du capital immatériel. Ce dernier recouvre touts les actifs
intangibles dont jouit un pays. On peut diviser le capital immatériel en trois grandes catégories :

-le capital image, inclut la stabilité politique, la réputation du pays (Mishina et alii, 2012), etc. ;

-le capital relationnel, inclut le poids du pays sur la scène internationale, le nombre des alliés, l’étendue
de ses relations externes, etc. ;

-le capital humain, inclut les compétences du pays, (compétences détenues par les individus, savoir-faire
industriel ou artisanal…), la culture locale, le caractère de la population, etc.

Cependant, certains chercheurs associent systématiquement le concept du capital immatériel au capital


humain (Bessieux-Ollier et Walliser, 2010), cela peut se comprendre vu que toutes les composantes du
capital immatériel sont le résultat de l’effort humain, ce sont ces derniers qui construisent le capital image
et le capital relationnel.

Depuis dix ans, le Maroc s’est engagé dans des programmes de développement multisectoriel : Plan
émergence, Plan Maroc vert, Plan Azur, Programme Halieutis, etc. L’aboutissement de ces programmes
et la réalisation de leurs objectifs nécessitent la valorisation du capital humain du pays, le seul actif
capable de contenir les secrets de l’avantage concurrentiel durable du Maroc, de capitaliser et développer
ses métiers mondiaux. Selon les nouvelles théories du commerce International, les pays ne sont pas -
naturellement- dotés des avantages comparatifs, ces derniers sont plutôt le résultat d’une volonté affirmée
dans la durée et d’une construction idiosyncratique. Les efforts en termes d’éducation, d’infrastructure et
de R&D ont un rôle plus grand dans la construction des avantages comparatifs des nations.

Comme il est prévu dans ces programmes (notamment le Plan émergence), l’Etat a mis en place des
mesures pour faire appel à l’assistance des firmes multinationales (FMN), en les invitant à investir au
Maroc ; certainement, le flux des investissements directs étrangers (IDE) entrant est une opportunité, mais
les IDE sont très contingents et dépendent largement des aléas politiques et économiques dans le monde.
Une stratégie doit donc être mise en place pour internaliser le savoir-faire apporté par les FMN et le
pratiquer indépendamment de l’assistance étrangère. Cette attitude est désignée par l’expression "capacité
d’absorption" (Tijani, 2011), elle permettra au Maroc de réaliser une indépendance technologique vis-à-
vis des FMN .Le cap est donc mis sur la formation des ressources humaines locales.

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6- thèse.

Modèles d’information et méthodes pour aider `a la


prise de décision en management de projets
La tendance dans les projets est à l’augmentation des contraintes et de la complexité. Les impératifs en
termes de coûts, de délais et de qualité sont sans cesse revus à la hausse. L’augmentation du nombre
d’intervenants, que ce soient des partenaires, des fournisseurs, des sous-traitants, des clients, les autres
services de l’entreprise, la direction, les actionnaires, rend le projet toujours plus complexe et toujours
moins facile à lire et à anticiper. Cette augmentation de la pression dans un contexte où manque de la
visibilité rend difficile la prise de décision en projet. À partir d’une information incomplète, floue et peu
sûre, et sous la pression continuelle, la décision est à la fois difficile à prendre et peu fiable en termes de
résultat.

Les conséquences d’une mauvaise décision pouvant être désastreuses sur chacun des paramètres clés
énoncés plus haut (coût, délai, qualité), il a été envisagé de tenter d’apporter des éléments de réponse.

La thèse traite de 3 problématiques, et tente d’y apporter 3 solutions

L’aide à la décision qui est le cœur de la recherche se décline suivant 3 axes :

•Elle se trouve à 2 types d’endroits dans un projet : à l’intérieur du projet, par la description de ses
Caractéristiques, et à l’extérieur du projet, par la description de son environnement direct,

•Elle se trouve à 2 moments du projet : pendant l’élaboration du projet, quand il faut construire le projet et
planifier le travail, et pendant le suivi du projet, quand il faut valider le travail effectué et contrôler son
avancement.

•Elle existe sous 2 formes distinctes: la mise à disposition d’informations, qui permet une meilleure
compréhension et donc une prise de décision plus facile et plus sûre, et la mise à disposition de
méthodologie, qui permet une meilleure maîtrise et une rationalisation des décisions prises.

La solution développée s’intéresse à :

•7 types d’objets servant à décrire un projet, ses constituants et ses environnants,

•7 types d’interactions entre ces objets décrivant l’environnement dans lequel chaque objet évolue,

•7 types de caractéristiques internes servant à décrire précisément un projet, ses constituants et ses
environnants,

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Management des projets

L e but de cette thèse est donc :

• D’aider à la prise de certaines décisions en projet :

• En diminuant la confusion dans certains termes et concepts employés,

• En mettant à disposition d’avantage d’informations sur chaque objet manipulé,

• En fournissant une aide méthodologique directe pour certaines décisions ciblées.

• D’améliorer la productivité et l’efficacité de la prise de certaines décisions :

• Passer moins de temps et avoir moins de difficultés à prendre une décision,

• Faire en sorte que cette décision soit plus sûre et plus fiable

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