Professional Documents
Culture Documents
de l’orthographe »
« 40 règles orthographiques permettent d’écrire sans faute 80 à 85 % de
n’importe quel texte journalistique ou littéraire courant ».
Voilà une affirmation qui promet, c’est le moins que l’on puisse dire !
Elle n’est pas de moi.
Elle est de Léonard Massaranti, enseignant suisse qui l’énonce en 2003,
après 45 ans d’enseignement.
Et, dans un document au titre tout aussi prometteur, « Parcours sans faute
», il a effectivement publié ses 40 règles.
Cette recherche d’efficacité m’a séduit. Aussi, j’ai décidé de remettre le tout
« au goût du jour ». J’ai regroupé certaines règles, et j’en ai introduit
d’autres. Et j’ai réécrit l’ensemble en m’efforçant de m’éloigner d’un style «
grammairien » pour aller vers quelque chose de plus léger, de plus souriant.
Gros travail ! C’est ce travail que je vous offre, aujourd’hui.
C’est une première approche que je crois très utile.
Elle permet de découvrir ces 40 règles, et d’en comprendre leurs applications
au travers de très nombreux exemples.
Mais il est possible, j’en suis certain, d’aller au-delà…
J’ai créé le « Blog Orthographique », et, entre autres choses, on y trouve 75
fables et 25 chansons, 100 petites histoires en rimes et en rythmes qui
mettent en scène l’orthographe, et permettent de s’en souvenir avec un
sourire.
Après les 40 règles de base, vous trouverez donc la liste complète de mes
fables et chansons, avec, pour chacune, un lien vers sa page de présentation
dans le blog. Et ces pages vous proposent, pour chacune, une vidéo
d’extraits.
Et vous découvrirez que, sans doute, travailler sans même s’en rendre
compte, avec sourires et bonne humeur, c’est très efficace !
Amusez-vous bien !
JV Voyer
Les 40 règles...
Quelque, quelques…
Là nous passons à un adjectif, désigné comme étant « indéfini », c’est-à-dire
pas précis du tout !
Il n’a pas exactement le même sens selon qu’il est au singulier ou au pluriel.
S’il signifie très exactement, très précisément, « un quelconque parmi
d’autres non définis », alors, il est au singulier !
Les bateaux ont toujours le risque de couler suite à quelque
tempête.
Il s’agit d’une tempête quelconque, dont on ne connaît ni le lieu ni le
moment ni la force.
Il mange quelque gâteau.
Il s’agit d’un gâteau quelconque, pris au hasard, et à propos duquel on ne
sait rien.
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de cet
ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Fable « Quelle jolie robe ! »
L’accord des adjectifs
Attention, début sérieux !
L'accord des adjectifs : il se fait toujours avec le nom. Il le qualifie, il le
détermine.Tous les savants grammairiens sont d'accord sur ce point
fondamental !
Il le qualifie, c'est-à-dire qu'il met en avant, qu'il montre, une qualité, ou
un défaut.
Par exemple. Un garçon bon, de bonnes filles, une personne mauvaise, des
chemises propres, des pantalons sales.
Il le détermine, c'est-à-dire qu'il met en avant, qu'il montre, un aspect qui
caractérise le nom. Un gros livre, une haute montagne, une grande route,
etc. on ne peut pas dire que gros, haute, grande, sont des qualités des
défauts. Ce sont des adjectifs qui précisent une particularité du nom, une
qualification de ce nom.
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de cet
ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Fable : "Sur la plage"
Fable : "Hé, ho, grenouille" !
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de cet
ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Chanson : « Les épices »
Fable : « Avec un toit »
Les accents invisibles
On entend "é", on entend "è", et pourtant, on écrit "e" !
Quel accent choisir ? Un accent invisible ? Et oui… Il existe bel et bien des
accents que l'on entend, mais que l'on ne voit pas. Comme quoi, pour
améliorer son orthographe, il faut avoir de l'oreille, quelquefois !
Comme le dit très justement la fable orthographique :
« On entend bel et bien les beaux accents qui sonnent,,
et voici « è » et « é » sans accent, quelle histoire ! »
Quel accent choisir ? Essayons d'y comprendre quelque chose… et, sans
peur, allons affronter les « quand… », les « si », les « avant », bref, entrons
dans les règles bizarres et les exceptions tortillées… tout ce que j'aime !
Avant… avant un « x »…
Encore une petite chose : s'il est avant un « x », il ne porte aucun accent,
même si on l'entend ! À l'examen il n'a donné que des réponses exactes !
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de cet
ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Fable : « Quelle histoire ! ».
Sans auxiliaire…
D’abord, comme ils disent, le participe passé employé sans auxiliaire
s’accorde comme un adjectif. En clair, s’il n’est accompagné d’aucun de ses
deux copains, être et avoir, il se comporte comme un adjectif : il
s’accorde ! :
Des cultures bien irriguées.
Les bi-pronominaux…
Comme leur nom l’indique (oui, oui !) les verbes bi-pronominaux ont deux
pronoms, pouvant être précédés de me, te, se. Pour ce qui est de l’accord
du participe passé, ils ont des règles… bizarres !
1- Leur participe passé s’accorde avec le sujet... mais seulement s'il n'y
a pas d'objet direct.
Ils se sont livrés à la police.
Exception agaçante N°1 : : le participe passé est et reste invariable avec
le verbe « se rendre compte de » Elles se sont rendu compte de leur
erreur.
Exception agaçante N°2 : Est invariable le participe passé des verbes bi-
pronominaux, dont le deuxième pronom de conjugaison correspond à un
complément introduit par ‘à’. C'est comme ça ! (plaire à, succéder à, sourire
à…). Ils se sont succédé à la direction de la ville.
2- Le participe passé des verbes bi-pronominaux s’accorde avec l’objet
direct mais... mais...si celui-ci est placé avant. Il est invariable s'il
est placé après !
Les mains qu’ils se sont lavées.
Ils se sont lavé les mains.
Ci-joint…
Ah, « ci-joint », avec ses compères « ci-inclus », et « ci-annexé »... Pour
faire simple, on va dire que, pour ces participes, il y a accord, ou pas, selon
leur place dans la phrase par rapport au nom.
« Ci-joint ma note d'honoraires ». « Ma note d'honoraires ci-jointe
».
Vous avez remarqué ? Dans le premier cas, il est avant ce qui est joint, et
dans le second, il est après. Même chose pour « ci-inclus », par exemple :
« ci-inclus la note de frais », « la note de frais ci-incluses.
Cette place par rapport au nom joue également avec certains participes
passés comme, entre autres, attendu, excepté, supposé, entendu, compris...
Excepté les élèves qui n'ont pas fini leurs devoirs, vous pouvez
sortir.
Vous pouvez sortir, les élèves qui n'ont pas fini leurs devoirs
exceptés.
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de cet
ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Chanson :« Prenons la route »
Fable : "Photo, diplômes et bananes".
Fable : « Pépés diaboliques »
Même, mêmes...
Invariable ou pas ?
S'il veut dire "semblable" ou "en personne", c'est un adjectif, et, comme
tous les adjectifs, il s'accorde !
Vous vendez toujours les mêmes gâteaux... des gâteaux
semblables... que ta femme et toi faites vous-mêmes... vous deux, en
personne.
En dehors de cela, c'est un adverbe; et il est invariable.
Dans une heure, nous partirons, même si les nuages sont
menaçants. Vous chantez, même la nuit.
LIENS : Les 25 chansons Les 75 fables Les 100 dictées Les articles
Comment utiliser tout, tous, toute, toutes devant un
nom, un verbe, et un adjectif ?
Comment utiliser tout, tous, toute, toutes devant un nom?
« Tout » devant un nom s'accorde avec celui-ci en genre et en nombre.
Tout tricheur sera puni. Tous les tricheurs seront punis. Toute
tricheuse sera punie, toutes les tricheuses aussi.
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de cet
ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Chanson : « Tout, tout, tout, et puis c'est tout »
Et millier, et million ?
C'est comme « mille »… mais à l'envers ! C'est-à-dire qu'il s'accorde tout
simplement. S'il y en a un, il n'y a pas de "s", mais s'il y en a plusieurs, il y a
un "s". Du grand classique !
Un million, deux millions… un millier, deux milliers…
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de cet
ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Chanson : « Le Rap des chiffres » !
Fable : "Les jolis Messieurs"
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de cet
ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Chanson : « Hahéonson ».
Ai ou ais ? Futur ou conditionnel ?
Futur / conditionnel : le piège à fautes...
Futur / conditionnel ? Oh, les jolis mélanges entre « j'irai », c'est sûr, c'est
certain, c'est décidé, ma décision est irrévocable, c'est mon futur… hop,
j'irai...et « j'irais », si je me sentais en forme, s'il y avait un beau soleil, et
puis bien sûr si j'en avais envie, bref si toutes les conditions étaient
remplies...j'irais...!
Une subtile distinction entre le futur et le conditionnel qui constitue
un véritable piège à fautes
Les "trucs"...
D'abord, un premier truc bien connu, mettre au pluriel. « Demain, je
mangerai ». Au pluriel, cela donne « demain, nous mangerons ». Bingo !
C'est le futur, et la terminaison est «ai»..
Ensuite, examinons « je mangerais bien si je n'étais pas si malade ».
Au futur : « nous mangerions bien si nous n'étions pas si malades ». Allez
hop ! C'est le conditionnel et la terminaison est "ais" !
Maintenant, cela reste un peu compliqué, et je propose plus simple... le
conditionnel, c'est "si", si le temps le permet, si je veux, si, si, si...
Et "si" ça commence par "si"... ça finit par "s" !
Normal, donc, de mettre un "s" en terminaison... j'irais, "s", je voudrais,
"s", je mangerais, "s", et si j'ai faim, bien sûr !
C'est tout bête, comme "truc", mais ça marche bien !
Allons plus loin…
Futur ou conditionnel ?
Le futur, à y regarder de plus près, est un peu conditionnel...
Quant au conditionnel, c'est bien connu, il se situe dans le futur !
Hum... il faut s'accrocher à une règle de conjugaison solide, pour un futur
sans fautes, et qui ne soit pas hypothétique !
Tout va bien ? Vous suivez ?
Le futur est-il conditionnel ?
Le futur, c'est bien connu, c'est quelque chose qui va se produire, mais qui ne
s'est pas encore produit. C'est comme ça dans toute leçon de conjugaison.
C'est clair !
Mais, est-ce que c'est aussi clair que cela en a l'air ?
Car quand on dit, comme je viens de le faire, « le futur, c'est bien connu… »,
il y a peut-être un petit problème : est-ce que c'est aussi bien connu que
cela ?
Par définition, le futur ne s'étant pas encore produit, de très nombreux
éléments peuvent intervenir et transformer ce futur que l'on croyait certain,
en quelque chose d'autre…
Je ne voudrais pas introduire la confusion dans votre esprit, mais, quand même…
notre futur serait-il, finalement, conditionnel ?
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de cet
ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Chanson : "L'alouette" !
Et c’est ? Et s’est ?
C’est, c’est simple… le « c » veut dire ceci. C’est simple, ceci est simple.
Autrement dit, à chaque fois que l’on peut dire « ceci » c’est un « c » dans «
c’est » !
S’est ? Il s’est posé la question mais il s’est vite répondu qu’il devait
y avoir un truc simple ! Et voilà ! Il a posé la question à lui, il a répondu à
lui, et quand on peut dire à lui, ou à elle, c’est un « s » dans « s’est » !
Même chose quand on peut dire « lui-même » ou « elles-mêmes »… Il s’est
coupé, il a coupé lui-même… elle s’est blessée, elle a blessé elle-
même…
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de cet
ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Fable : « la baleine et le cachalot »
Fable : « la mouche tsé-tsé ».
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de cet
ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Fable : « La, là, l’a, l’as ! »
Leur ou leurs ?
Quelques exemples concrets...
Comment leur dire cela ? Il faut vraiment qu'ils changent leurs chaussettes,
car le fait qu'elles soient tachées et déchirées nuit gravement à leur image
d'enfants sages qui entretiennent avec soin leurs affaires, leurs vêtements,
comme on ne cesse de leur demander de le faire, ceci faisant partie de leur
éducation.
Mais il faut avouer qu'ils n'en font qu'à leur tête, ne suivant que leurs
caprices et leurs envies, même s'il leur a été répété qu'il n'est pas bon
qu'ils cèdent simplement à leurs penchants, quitte à mettre en péril leur
avenir, ceci leur ayant été souligné très souvent.
Alors... si ce texte était une dictée, honnêtement, vous auriez fait
combien de fautes ?
Oh ? Tant que cela ?
Malheur...
Bien… les constats sont clairs, et le problème est bien posé.
Voici quelques vers de circonstance :
Quel grand malheur,
quel grand malheur,
que de confondre
"leur" et "leurs"
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de cet
ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Fable : « à la bonne heure » (extrait ci-dessus !)
Ce ou se ?
Ce piège-là, il se rencontre souvent !
Se…
il y a « se », et son petit frère « s’ » ». On le rencontre avec un verbe. Il
remplace « lui », « elle », « eux ». Et, si je peux conjuguer ((je me / je m’,
tu te / tu t’, il se / il s’), pas de doute : c’est lui !
Jean se sert une part de gâteau.
Je me sers, tu te sers, il se sert… Il sert à lui.
Jean s’attribue une part de gâteau.
Je m’attribue, tu t’attribues, il s’attribue… Il attribue à lui.
Les enfants se régalent avec le gâteau.
Je me régale, tu te régales… Ils régalent eux.
Ce…
là aussi, il y a « ce » et son petit frère « c’ ». Bien sûr, si on ne peut pas
conjuguer, c’est certain, c’est lui. Pour être encore plus sûr, on vérifie si on
peut mettre «-là », ou « ceci », ou « cela ». Oui ? Plus de doute !
Sa fonction est de désigner, les choses, les gens, les lieux, etc.
ce chien… ce chien là
c’est mon chien… ceci est mon chien
C’est tout ?
Oui, c’est tout, ce n’était pas bien difficile, et ce n’était pas la peine de se
prendre la tête ni de se faire peur. Et pourtant, on se trompe souvent avec
ce petit piège qui ne se voit pas beaucoup !
Oui, c’est tout (ceci est), ce n’était (ceci n’était) pas bien difficile, et ce
n’était (cela n’était) pas la peine de se prendre la tête (de me prendre, de
te prendre) ni de se faire (de me faire, de te faire) peur. Et pourtant, on se
trompe (je me trompe, tu te trompes) souvent avec ce petit piège (ce
petit piège là) qui ne se voit (je me vois, tu te vois) pas beaucoup !
LIENS : Les 25 chansons Les 75 fables Les 100 dictées Les articles
...et qu'en ?
Lui, on le repère facilement : il est toujours suivi d'un verbe. Et le « en »
signifie « de cela ».
Qu'en penses-tu ? Que penses-tu de cela ?
Qu'en fait-on ? Que fait-on de cela ?
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de cet
ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Fable : « Cancan »
Quelle scie !
En dehors de l'outil qui sert à scier (une scie avec laquelle je scie, tu
scies, il scie…!), on utilise aussi le mot scie dans un sens figuré : par
analogie, peut-être, avec le bruit régulier et répété des allers-retours de la
lame, on utilise aussi ce mot pour désigner une chanson plus ou moins
agaçante qui revient régulièrement sur les radios. « La dernière chanson
de… quelle scie ! ».
Je fais allusion à cette utilisation figurée de ce mot, car elle me semble
également très bien convenir pour le sujet qui nous occupe. En effet, cette
superbe série d'homophones entraîne, elle aussi, des fautes agaçantes qui
reviennent régulièrement !
Scie...
Je ne reviens pas dessus : il s'agit de l'outil, et il s'agit du verbe qui désigne
l'action effectuée avec l'outil. Il scie avec sa scie neuve.
s'y
On l'emploie uniquement quand on peut conjuguer. Il remplace « là » (il s'y
rend, il se rend là), ou « cela » (il s'y emploie, il s'emploie à cela).
-ci
Mis avant un mot, avec un tiret, il le désigne (cet arbre-ci, cet arbre
parmi les autres arbres). On peut considérer qu'il est à peu près
équivalent à -là (cet arbre-là).
si
Il indique une condition (je m'y rends si je veux, à condition que je
veuille). Il peut aussi signifier tellement (elle est si belle, tellement
belle. Il fait si froid, tellement froid).
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de cet
ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Fable : « Do, ré, mi, fa, sol, la, siiiiiiiiiiii ! »
"ueil", évidemment !
C'est ce qu'il me dit en guise d'accueil, et avec orgueil ! Froid comme un
cercueil, dangereux comme un écueil, il est à lui seul le recueil des
attitudes peu sympathiques !
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de cet
ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Fable : "A l’œil"
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de cet
ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Chanson : « la Java plurielle"
Le pluriel des noms présente tant de règles qu’il fallait bien deux
articles ! : Voir aussi article N°25
Les bons bonbons
S'il est une règle qui fait partie des fameuses « règles d'orthographe de base
», c'est bien celle-ci !
En effet, chacun sait, grosso modo, que, dans un mot, et devant les lettres «
B », « P », ou « M », on ne met pas un « M », mais un « N ».
Voilà une règle simple, lisse, sucré comme un bonbon… Un bonbon ? Avec
un « N » devant le « B » ? Y aurait-il des exceptions à cette règle qui semble
si simple ?
Bonbons, et autres…
Évidemment, si « bonbon » fait exceptions, il va attirer avec lui le mot «
bonbonnière ». Néanmoins, ce n'est pas une raison pour s'empiffrer de
bonbons, jusqu'à se retrouver avec un embonpoint qui prend des allures de
bonbonne…
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de cet
ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Chansons : « La chanson des bonbons »
Les noms en oir et oire
Dormir comme un loir
Cette petite expression, très courante, signifie dormir profondément,
tranquille, sans aucune crainte.
Et c'est certainement ce que vous ferez, loin de l'inquiétude des fautes
d'orthographe, après avoir lu cet article !
Oui, mais...
Ah ! Voilà le fameux « oui, mais » !
Autrement dit, il y a des exceptions, comme toujours ! Alors, une liste à
apprendre, accompagnée d'un mal de tête ? On va essayer de faire mieux…
il s'agit de mots masculins, mais qui, contrairement aux autres, se terminent
par « oire ». Essayons d'en faire une phrase, pour voir :
"Dans son laboratoire, véritable observatoire pour un auditoire attentif,
il dresse le répertoire des actions à mener sur ce territoire lointain afin
d'occasionner de nombreux déboires aux trafiquants d'ivoire, et sans se
perdre dans des explications accessoires. Ceci fait, il invite chacun à se
diriger vers le réfectoire afin d'aller déjeuner !"
Et bien voilà, c'est plus facile comme ça !
D'ailleurs, vous le savez bien, c'est toujours plus facile avec un sourire !
LIENS : Les 25 chansons Les 75 fables Les 100 dictées Les articles
La maie de mémé
Une maie, on n'en fait plus ! Il s'agit d'un meuble utilitaire ancien,
ressemblant à une moitié de gros tonneau fermée par un couvercle
rabattant. Pour faire le pain, on y pétrissait la pâte.
Et puis, de brocanteurs en antiquaires, elle est devenue un joli meuble
décoratif rustique, dans laquelle, quelquefois, on met (allez, encore un son
mais !) des nappes ou des draps.
Bon appétit !
Mémé, qui a une si jolie maie, vous invite parfois à déjeuner, et elle met un
point d'honneur à nous servir des mets surprenants, et toujours délicieux !
Et oui, il existe aussi le mot « met » qui désigne à la fois des éléments
comestibles (pour les connaisseurs, le foie est un met exceptionnel), et des
plats (à sa table, il était toujours servi des mets exceptionnels).
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de cet
ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Fable : « Mémé vient déjeuner ».
Le « truc » !
Oui, comme bien souvent, il y a un truc !
Je vous montre… prenons un adjectif facile, comme « blanc ». Il se termine
par un « C ». D'accord. Mais, si je ne le sais pas ? Après tout, pourquoi pas
un « T » ? Ou rien du tout, peut-être ? Il y a bien « plan »… alors, pourquoi
pas « blan » ?
Alors, vite, le « truc » !
Il est très simple : il suffit de mettre le participe passé ou l'adjectif
au féminin, et on entend la terminaison !
« Transport inclus », avec un « S » à la fin… évidemment, puisque l'on dit
« livraison incluse »
« Il est pris », oui, puisque « elle est prise » !
« Il est grand », avec un « D », évidemment, puisque « elle est grande
».
Mais…
Bon… les terminaisons des adjectifs et participes passés, c'est vu ! Mais…
Mais, évidemment, comme toujours, il y a des exceptions, pour la
terminaison des participes passés comme pour celle des adjectifs !
Et, une fois de plus, on se heurte la difficulté d'apprendre par cœur une liste
de mots !
Alors, petit clin d'œil, petit sourire, je vous ai mijoté une petite phrase qui ne
veut pas dire grand-chose, mais qui est plus facile à retenir :
« Certains le disaient grec, et d’autres pensaient qu’il était turc. Quoi qu’il
en soit, il était farouchement laïc dans tous ses discours publics et ne
considérait pas le sujet comme bénin. Malin, il avait aussi remarqué que
cette position faisait de lui un favori, du moins tant que son groupe n’a pas
été dissous. »
Et au féminin, cela donne :
« Certains la disaient grecque, et d'autres pensaient qu'elle était turque.
Quoiqu'il en soit, elle était farouchement laïque dans toutes ses
interventions publiques, et ne considérait pas la question comme bénigne.
Maline, elle avait aussi remarqué que cette position faisait d'elle une
favorite, du moins tant que son organisation n'a pas été dissoute ».
C'est clair, ces mots-là ne suivent vraiment pas le « truc » !
LIENS : Les 25 chansons Les 75 fables Les 100 dictées Les articles
L'orthographe de peu
Peu, d’abord... Peu, c'est pas beaucoup ! Et on précise de quoi, avec "de" !
Peu de... Peu de soleil, peu d'argent... Peu peut être suivi d'un mot au
pluriel : elle fait peu de sourires à la foule de ses admirateurs : bien
qu'il y en ait peu, sourires est quand même au pluriel !
Peu est quelquefois précédé d'un déterminant : "un" peu de vin, "le" peu
de vin que j'ai bu... Mais bon, c'est toujours peu !
Enfin, il peut aussi être employé seul, sans "de" après, dans "un" ou "le"
avant, et, dans ce cas, il modifie souvent un verbe : je mange peu !
Vous vous rendez-compte de tout ce qu'il y a à dire sur bien peu de choses !
P-E-U, trois lettres ! Apprendre l'orthographe, comprendre et retenir
les règles d'orthographe, ce serait très peu simple, si l'on n'y mettait
pas un peu de sourires !
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de cet
ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Fable : "Juste un peu"
Sent sens sans sang cent sens c'en s’en ! Sans s'en faire !
Il le sent, et tu le sens aussi...
Là, c'est trop simple ! Cela se sent tout de suite… c'est le verbe sentir !
« Le vrai poète ne doit peindre que selon qu'il voir et qu'il sent »
(Charles Baudelaire)
… sans mentir…
Sans signifie « pas de ». Une mandarine sans pépins : elle n'a pas de
pépins. Sans mentir signifie donc et qu'il n'y a pas de mensonge.
« Nulle pierre ne peut être polie sans friction, nul homme ne peut
parfaire son expérience sans épreuve » (Confucius)
… se faire du mauvais sang…
Le sang, bien sûr, est le nom du liquide vital qui coule dans nos veines ! Ce
nom est employé au sens figuré dans l'expression se faire du mauvais sang,
qui signifie s'inquiéter, se tourmenter…
« Je n'ai rien à offrir que du sang, du labeur, des larmes et de la
sueur » (Winston Churchill)
… cent fois…
10 × 10, bien sûr ! Attention à l'accord… deux cents… cent deux… deux cent
trois...!
« La fête de la musique est une grande réussite, puisqu'elle garantit
trois cent soixante-quatre jours de silence par an (Philippe Bouvard)
...nos sens...
Il paraît que nous en avons cinq !
« Parmi les cinq sens, la vue, L’ouïe, et l'odorat, connaissent moins
d'interdits que le toucher et le goût » (Léonard de Vinci)
...sens...
Peut aussi signifier la direction.
« Celui qui rame dans le sens du courant fait rire les crocodiles »
(proverbe africain)
...c'en...s'en...
Doubles pronoms.
C'est du bois ? Oui, c'en est (ceci est...).
C'est de l'encre ? Oui, il s'en est mis sur les doigts (il en a mis sur
ses...)
LIENS : Les 25 chansons Les 75 fables Les 100 dictées Les articles
Les noms au pluriel : pas si simple ! (suite)
Cet article est la suite des règles rassemblées sous le N°18
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de cet
ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Chanson : "La Java Plurielle" !
Sonore !
é ou è ? Dans un premier temps, penchons-nous sur le « é ».
On l'entend bien, il claque, on peut dire qu'il est sonore, dans son genre !
Et bien, justement, il aime les syllabes sonores, c'est-à-dire celles que l'on
entend. Si je dis « périlleux », la syllabe « ri », on l'entend bien, elle sonne,
et donc, avant elle, un « é », qui sonne aussi ! Si je dis « impérial », même
chose : la syllabe « rial » est sonore, et donc précédée du « é » sonore.
« Ce médecin habite au cinquième étage, mais ce n'est pas l'effort
qui le maintient mince, mais plutôt le manque d'appétit » : on entend
« de », « ta », « tit »... et les trois sont précédés du « é ». Conclusion :
devant une syllabe sonore, choisir l'accent aigu, choisir « é ».
Petite observation au passage : dans notre phrase il y a le mot effort, et il
n'y a ni accent grave, ni accent aigu… hum... hum... Il n'a l'air de rien, ce
petit accent qui monte ou qui descend, mais le nombre de fautes
d'orthographe qu'il entraîne est impressionnant. Et, en plus, parfois, tout
simplement… il n'est plus là !
Voyons cela de plus près, mais toujours avec le sourire, bien sûr !
Muette !
é ou è ? Maintenant, penchons-nous sur le « è », avec son bel accent grave.
Il est beaucoup moins sonore que son copain, il est même assez doux, assez
discret, et on le voit bien avec des syllabes muettes.. Et bien, c'est le cas !
Ce n'est pas sorcier ! Et ce n'est pas sorcière non plus... sorcière ? On ne
prononce pas sorcièreu ! La dernière syllabe est muette, d'où le « è » qui le
précède !
En sachant cela, vous n'êtes pas loin de devenir… célèbre ! Ce dernier mot,
vous ne l'avez pas prononcé célèbreu ! La dernière syllabe est donc une ce
syllabe muette, et « è » avant elle.
Pièges !
Attention, ce n'est pas parce que l'adjectif célèbre s'écrit avec un « è » que
le nom qui va avec en fait obligatoirement autant ! La célébrité.
Et oui, « é », puisqu'il est devant une consonne sonore : « bri ». On retrouve
de temps en temps ce cas de figure, auquel il convient d'être vigilant !
Attention aussi à la place de la lettre !
Par exemple, on mettra un accent grave si le « e » est l'avant-dernière lettre
d'un mot qui se termine par un « s », même si ce « s » n'est pas la marque
du pluriel.
Ainsi, on va écrire « près », mais « des prés » : « il y a des prés près de
la ferme ». Jolies subtilités de la langue française !
LIENS : Les 25 chansons Les 75 fables Les 100 dictées Les articles
Les noms en -eur : on s'inquiète pour rien !
Les noms en -eur ? A en juger par l'examen des requêtes tapées sur Google,
par exemple, il y a une certaine inquiétude les concernant.
Comment se terminent-ils ? Avec un "e" ? Avec un "t" ? Avec un "s" ?
Aucune inquiétude : c'est très simple !
Des exceptions ?
Il peut y avoir, quand même, une première série d'exceptions, formée par
des mots masculins en -eur, qui ont un féminins en -eure : un mineure,
une mineure ou un majeur, une majeure.
En dehors de cela, on trouve peu d'exceptions. Au point qu'il est possible de
les rassembler en une phrase, un peu bizarre, pour s'en souvenir facilement
:
Il y a une heure, un heurt s'est fait entendre dans la demeure, car la
cuisinière a jeté au sol le pot de babeurre, qu'un lui avait vendu comme
étant du beurre, ce qui était à la fois un leurre et une gageure !
( Juste pour information, le babeurre est le "petit lait" que l'on recueille
quand on tourne le lait (dans une baratte !) pour obtenir du beurre.
Apprécié, entre autres, en Normandie. Prendre un peu de babeurre glacé
légèrement acide, en même temps qu'un peu de pomme de terre écrasée,
brûlante, légèrement sucrée, et vous obtenez un vrai délice !)
LIENS : Les 25 chansons Les 75 fables Les 100 dictées Les articles
Les exceptions.
Si nous entrons dans le langage savant, scientifique, ou spécialisé, on
trouvera de nombreuses exceptions à la règle énoncée ci-dessus.
Mais il n'est peut-être quand même pas capital de savoir écrire « apicodental
» ou « aphonisate », par exemple !
Nous allons donc sélectionner simplement les mots courants, beaucoup plus
utiles !
Une petite phrase un peu bizarre, pour se souvenir de ces mots ? Allons-y...
LIENS : Les 25 chansons Les 75 fables Les 100 dictées Les articles
Le « Y » qui devient « I »
Ce sont les fameux verbes qui se terminent en « yer ». À toutes les
personnes du singulier, et à la troisième personne du pluriel, il y a un « e »
muet devant lequel le « y » se transforme magiquement en « i »
Ainsi le verbe envoyer : j'envoie, tu envoies, il envoie, nous envoyons,
vous envoyez, ils envoient.
Alors, en plus, il y a une bizarrerie dans la bizarrerie : les verbes en « ayer »
peuvent, au choix, suivre la règle ci-dessus, ou tout simplement garder leur
« y » ! Par exemple, le verbe payer, qui permet d'écrire, au choix, je paye
ou je paie !
Oui, au choix ! Les deux sont valables !
Voici donc une terminaison du présent à double choix !
Le « é » qui devient « è »
Si le verbe a un « é » à son avant-dernière syllabe (céder, par exemple), il
ne le garde qu'à la première et à la seconde personne du pluriel. Pour tout le
reste, le « é » devient « è ». : Je cède, tu cèdes, il cède, nous cédons,
vous cédez, ils cèdent.
Le « e » qui devient « è ».
Un peu suivant le même principe, un verbe qui a un « e » à son avant-
dernière syllabe (mener, par exemple) ne le garde qu'à la première et à la
seconde personne du pluriel. Pour tout le reste, le « e » devient « è » : je
mène, tu mènes, il mène, nous menons, vous menez, ils mènent.
Terminaison du présent et prestidigitation !
Moudre le café ?
Bien sûr, il faut prendre un aiguille et du fil pour coudre cette jupe,
avant de moudre le café, et de peindre le plafond !
Absurde ? Pas certain, si cela fait retenir que moudre, coudre et prendre, et
les verbes en "indre", sont irréguliers !
Prendre : je prends, tu prends, il prend, nous prenons, vous prenez,
ils prennent
Peindre : je peins, tu peins, il peint, nous peignons, vous peignez, ils
peignent
LIENS : Les 25 chansons Les 75 fables Les 100 dictées Les articles
Sons s et z : 1 ou 2 consonnes ?
Son fermé et sérieux, ou nasillard zozotant ?
Le problème...
En fait, il s'agit du son -s, comme dans saucisson, et du son -z, comme dans
maison. Fat-il les écrire avec une lettre, ou deux ? Et laquelle ou lesquelles ?
Le son -s
Clair, il faut toujours deux consonnes. Il peut y avoir deux "s", comme dans
assassin ou hérisson. Il peut y avoir aussi un "s", avec une autre consonne :
un pinson triste pense que l'hiver a assez duré !
Le son -z
C'est tout aussi clair : il ne faut qu'une consonne ! J'ose dire sans
hésitation, et sans nasiller, qu'il ne faut pas causer en faisant la
cuisine !
Bien entendu, il y a quelques exceptions, comme toujours ! A l'horizon, on
devine un gaz bizarre qui s'étale sur le gazon, en une dizaine ou une
douzaine d’endroits.
LIENS : Les 25 chansons Les 75 fables Les 100 dictées Les articles
Les mots
qui prennent toujours un –s à la fin
Ils prennent un « S », même au singulier !
De tout un peu...
Parmi les mots qui prennent toujours un -s à la fin, il y a des noms, mais il y
a aussi des adjectifs... Voici un joyeux mélange sous forme de petites
phrases plus ou moins bizarres, plus ou moins biscornues, ceci pour vous
permettre de vous raccrocher à quelque chose... pour mieux se souvenir,
avec le sourire ! Allons-y... :
Il n'y a aucun rapport entre une brebis et un anchois, et ni l'un ni l'autre
ne peuvent prendre un autobus anglais même dans le cas où leurs corps
leur indiquent qu'ils sont proches du décès.
Son discours confus, et ses excès inclus, ont créé du gâchis et de
l'embarras, et ce héros a été considéré comme un intrus.
Les lilas fleurissent non loin du marais, au mois de mars, et il ne faut pas
les regarder avec mépris car ils vont orner le palais et en faire un paradis.
Le poids du printemps accélère le pouls des gens depuis plusieurs jours
et active le processus des progrès qui semblent jaillir du puits.
À sa demande de rabais, j'ai opposé un refus, mais j'ai maintenant un
remords sans recours.
La souris qui vit dans un taudis sans tapis, sous le talus, crie au secours,
car elle craint de finir comme repas pour le rhinocéros.
Par ce temps frais, il faut se méfier du verglas, qui dépose un vernis sur la
route qui semblait recouverte, hier encore, d'un velours confortable.
Au secours, crie la souris, je cours tout le temps, je parcours le pays, et
tout l'univers, de l'hiver au printemps, mais, néanmoins, je ne trouve
rien à manger, pas un petit pois, pas un radis, et je perds toujours du
poids !
L’excès de jeûne va entraîner mon décès, et le fait qu'un albatros qui sent
l'anchois vienne prononcer un discours devant mon corps ne changera
rien à mon cas
LIENS : Les 25 chansons Les 75 fables Les 100 dictées Les articles
Vingt et cent.
Accords de vingt, cent, et mille ... Dans cet ensemble, vingt et cent
marchent ensembles !
Vingt, c'est vingt… cent, c'est cent… jusque-là, tout va bien !
Oui, mais ce petit paquet de cent, si on en prend deux, évidemment, il
devient pluriel, et, c'est logique, il prend un -s : deux cents.
Même chose et même chanson pour vingt : quatre-vingts !
Oui, mais, attention : cela ne fonctionne que si l'on prend des petits paquets
égaux, des petits paquets de vingt, ou des petits paquets de cent. Dès que
l'on ajoute quelque chose, cela ne fonctionne plus, puisque ce n'est plus
vraiment un pluriel, mais un pluriel... plus quelque chose !
Deux cent un, deux cent deux, deux cent trois...…
quatre-vingt-un, quatre-vingt-deux, quatre-vingt-trois !
Mille
Accords de vingt, cent, et mille ... Passons à mille maintenant... on va
passer très vite, car c'est on ne peut plus simple : mille, c'est mille, et c'est
toujours mille, qu'il y ait une fois mille, ou deux fois mille… deux mille… ou
trois fois mille… trois mille… et ainsi de suite.
Bref, comme vous venez de le voir, mille est invariable, en toutes
circonstances !
Milliers et millions
Maintenant, on peut quand même vouloir absolument mettre un -s à mille,
pour donner un sentiment d'importance, de grand nombre… une foule de
deux mille personnes, sans même un petit -s, ce n'est pas très
impressionnant ! Alors, on va se rabattre sur « millier ».
Mille, c'est un chiffre précis. C'est 999 + 1 ! Millier, c'est un peu plus flou.
C'est environ mille, à-peu-près ! Alors là, on va se permettre de le mettre au
pluriel, et l'on va parler d'une foule de plusieurs milliers de personnes,
avec un beau -s à milliers.
C'est un peu plus flou que notre foule de deux mille personnes de tout à
l'heure, mais c'est quand même plus impressionnant !
En bref, millier s'accorde !
Et million… c'est la même chose ! Trois millions, quatre millions.
En bref, millier et million s'accordent !
Le piège !
Quatre-vingts, deux cents, on vient de le voir, dans ce cas, vingt et cent
s'accordent.
Dans ce cas ? Il y a un autre cas ? Oui !
Dans quatre-vingts, on parle d'un ensemble d'éléments différents : il y a
quatre-vingts bonbons, on peut les manger l'un après l'autre
Pour deux cent, même raisonnement : il y a deux cents fleurs, on peut les
cueillir une à une..
Oui mais Il peut arriver que ces nombres ne représentent pas un ensemble
d'éléments différents, mais un seul élément !
Oui, il s'agit d'un lieu, d'une place, ou d'une page, par exemple : ma
voiture est garée place quatre-vingt, ou bien j'ai lu ce livre jusqu'à la
page deux cent !
Il est beau, non, ce piège ?
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de cet
ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Chanson :"Le rap des chiffres"
Fable "Les cerises".
Doublez-les !
Ça, c'est la règle de base. Le féminin des adjectifs en -et et en -ot se fait en
-ette, et en -otte ! Doublez le -t, purement et simplement, et vous aurez
raison.
Enfin… vous aurez généralement raison car, bien entendu il y a toujours la
fameuse règle selon laquelle il n'y a pas de règle sans exceptions ! (Encore
qu'il y ait quelques exceptions à cette règle !)
À rester ainsi muette devant cette règle, tu pourrais paraître sotte.
C'est pourtant une règle claire et nette, que j'ai déjà appris à ta sœur
cadette !
Il est vrai que c'est une règle assez vieillotte, mais il n'y a pas de
quoi devenir toute pâlotte !
Mais…
Mais, nous l'avons dit, il y a quelques exceptions. En voici quelques-unes
dans une phrase un peu biscornue :
Il est vrai que la règle ne serait pas complète sans ses exceptions
qui, sans être ni secrètes, ni idiotes, maintiennent les étudiantes
inquiètes, même les plus concrètes ou les plus discrètes !
Pour résumer...
Pour résumer, le féminin des adjectifs en -et et -ot ne mérite pas que l'on
s'angoisse pour lui !
L'inquiétude très souvent ressentie n'est pas justifiée !
On respire, on se détend !
LIENS : Les 25 chansons Les 75 fables Les 100 dictées Les articles
Quand il en faut...
Cédille obligatoire... Elle est obligatoire quand le -c est devant un -a (il
lança, il enfonça, une façade), devant un -o (garçon, malfaçon, maçon,
hameçon) ou devant un -u (déçu, aperçu, reçu)
Ce beau garçon est maçon, et il a reçu une commande de réfection
d'une façade pour un client qui ne supporte pas d'être déçu en
voyant une malfaçon.
En résumé...
Devant -y, -i, et -e, pas de cédille !
Devant -a, -o, et -u, cédille obligatoire !
Une petite histoire sans queue ni tête, pour finir ?
« Oui, j'ai reçu le maçon. Il m'a expliqué de quelle façon il allait s'y
prendre, sans pour autant chercher à me donner une leçon puis il a perçu
son acompte. Refaire la façade, c'est un gros chantier, mais ce n'est quand
même pas un travail de forçat ! Au départ, il faut passer par des opérations
de ponçage, et de rinçage, qui ne sont pas simples ! Je surveille les
opérations, car je deviendrais vite menaçant en cas de malfaçons. Mais je
dois reconnaître que j'ai demandé des réalisations qui ne sont pas très
simples, comme, par exemple, un faïençage à la française autour des
fenêtres. Finalement, Il est vrai que je me suis fait des idées préconçues
sur cet homme, en le soupçonnant d'appliquer des prix trop élevés,
puisque, à la fin du chantier, il m'a remboursé spontanément ce qu'il
considérait comme un trop-perçu ! »
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de cet
ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Oui, mais...
Mais souvenez-vous quand même que le gazon s'étend jusqu'à l'horizon
!
Oui, car gazon et horizon sont les deux seules exceptions qui fassent partie
du langage courant ! Ce n'est pas trop difficile !
Plus cinq ?
Après ces deux-là, il y en a cinq autres, mais faut-il les citer ?
On y trouve le borazon, cristal artificiel, le bredzon, qui, comme chacun
sait, est une veste traditionnelle de l'armailli, berger des Alpes, le
recrotzon, fête villageoise qui suit le week-end de la bénichon, bien sûr, le
tranhorizon, un radar dont la portée va au-delà de l'horizon, et, enfin, la
dugazon qui désigne un rôle d'amoureuse, dans les opéras-comiques.
Voilà !
Je les cite pour le sourire, mais il faut bien avouer qu'ils ne sont pas simples
à placer dans la conversation !
LIENS : Les 25 chansons Les 75 fables Les 100 dictées Les articles
Tunnel, ruelle, les mots en -el
Le tunnel est au bout de la ruelle...
Essentiel : cette règle est rationnelle
Oui, pour une fois, on a une règle rationnelle !
Elle s'appuie sur deux bonnes nouvelles...
Oui, mais…
Ah ! Voilà le fameux « oui, mais » ! Autrement dit, il y a des exceptions,
comme toujours ! Alors, une liste à apprendre, accompagnée d’un mal de
tête ? On va essayer de faire mieux… Essayons d’en faire une phrase, pour
voir :
Ce polichinelle, un vrai rebelle, a mis un vermicelle dans le
violoncelle !
Apres, pour "chipoter", on peut dire que certains mots en -el ont un accent
grave ( Pour la clientèle, il dessina avec zèle un modèle parallèle !),
et même un accent circonflexe ( Jamais on ne verra la grêle tomber sur
le poêle ! ), mais bon... C'est juste pour "chipoter" !
LIENS : Les 25 chansons Les 75 fables Les 100 dictées Les articles
Pas de « n apostrophe »
On entend le bruit du vent. On ira très bientôt. On ouvre la porte. On
allume la lumière.
Oui, d'accord, on a vraiment l'impression que la liaison entre le sujet « on »
et le verbe (qui commence par une voyelle) se matérialise par un « n
apostrophe ».
Et bien non !
Comment en être certain ?
Il suffit de mettre le verbe à une autre personne et, pouf; l'impression
disparaît.
Nous entendons le bruit du vent. Nous irons très bientôt. Nous
ouvrons la porte. Nous allumons la lumière.
On peut aussi changer le sujet:
Il entend le bruit du vent. Nous irons très bientôt. Vous ouvrez la
porte. Elle alluma la lumière.
Dans les deux cas, aucune négation ! Le «n apostrophe» fantôme qui nous
tourmentait à disparu !
Avec un «n apostrophe »
Mais, attention, ce n'est pas une raison pour l'oublier carrément quand il
devrait être là !
Quand doit-il être là ?
Et bien, tout simplement, quand il fait partie d'un ensemble indiquant une
négation, ou une restriction (ne...pas, ne...peu, ne...jamais, ne...guère,
ne...plus...).
On n'entend pas le bruit du vent. On n'ira jamais. On n'ouvre plus
cette porte. Nous n'allumons guère la lumière.
Petit conseil…
Je vous propose un petit conseil littéraire, qui aura le double mérite
d'améliorer la qualité de vos écrits, tout en supprimant totalement le doute
qui s'installe à propos de la présence, ou non, d'un « n apostrophe » après «
on ».
Ce conseil est simple : supprimez le « on » !
Comme son nom l'indique, « on » est indéfini, autrement dit flou, vague…
Et quand celui qui écrit en abuse, il produit des textes qui, eux aussi,
risquent fort d'être flous, vagues…
Dans la plupart des cas, il est possible de le remplacer par le véritable
sujet…
Le promeneur entend le bruit du vent. Toute la famille ira très
bientôt chez le docteur. Le client ouvre la porte. Le guide allume la
lumière.
Évidemment, dans l'exemple ci-dessus, nous avons pris des sujets au
hasard. À vous d'indiquer celui que vous voulez précisément désigner, pour
le mettre à la place de ce « on » si peu précis !
LIENS : Les 25 chansons Les 75 fables Les 100 dictées Les articles
Mots finissant par le son –o
Oh la la ! Les mots finissant par le son -o peuvent s'écrire « eau » « au », «
aut », « aud », « aux », « o », « op », « ot » ou « os » !
Pas de règle ?
En fait, quand on regarde le nombre de terminaisons possibles pour les mots
finissant par le son -o , on se dit qu'il n'y a pas de règle générale sur ce
point. Et c'est vrai !
À partir de là, on peut se demander pourquoi consacrer un article à ce sujet
dans la série « 40 règles de base de l'orthographe », si l'on indique, dès le
départ, qu'il n'y a pas de règle. C'est vrai aussi !
Mais c'est un sujet qui entraîne tellement de fautes que cela vaut la peine
d'essayer d'y voir un peu clair, ne serait-ce que pour indiquer, quand même,
quelques pistes intéressantes…
Les mots finissant par le son -o constituent un ensemble confus, opaque,
diversifié, mais ce n'est pas une raison pour abandonner !
Armons-nous d'une boussole, d'une lampe torche, et de beaucoup de
patience, et allons-y !
Quelques pistes…
-eau
Déjà, pour commencer, on peut dire qu'un grand nombre de mots finissant
par le son -o se terminent par -eau. C'est le cas pour plus de 280 mots !
Un oiseau, perché sur un rameau chante au-dessus du ruisseau sur
lequel aucun radeau ne peut passer. Un taureau, un petit veau et un
perdreau viennent y boire.
Dans cette série, on trouve aussi des mots courants comme bandeau,
bateau, berceau, drapeau, écriteau, jumeau, maquereau, marteau,
panneau, réseau, terreau, troupeau…
-yau
Là, ce ne sont plus exactement des mots finissants par le son -o mais par un
son assez proche : « io ». Dans ce cas, pas d'hésitation, on écrit « yau ». Il
s'agit d'une petite catégorie, puisqu'il n'y en n'a que huit !
Ce boyau est gros comme un tuyau. Ce joyau est gros comme un
noyau.
En voici déjà quatre, les plus courants !
-ot
Maintenant, une catégorie beaucoup plus importante, celle des mots avec «
ot » à la fin. Il y en a un peu moins de 300.
Comment les repérer ?
Il n'y a pas de règle absolue, mais une petite astuce (qui ne marche pas à
tous les coups !) consiste, soit à essayer de mettre le mot au féminin (idiot,
idiote… dévot, dévote… vieillot, vieillotte), soit à vérifier s'il n'y a pas
un verbe en « oter » qui irait avec le mot (asticot, asticoter… bachot,
bachoter… clapot, clapoter… complot, comploter… massicot,
massicoter… tricot, tricoter…), l'un justifiant le « ot » de l'autre !
Mais cela n'explique pas tout ! D'où l'intérêt de se construire quelques
petites phrases pour mémoriser au mieux, même si ces phrases sont un peu
bizarres car, en réalité, plus elles sont biscornues et farfelues, et plus on
s'en souvient !
Le haricot, l'escargot, et l'abricot constituaient le plus clair de ses
productions, qu'il livrait par pleins cageots, en chariot, en dépit des
cahots, il n'hésitait pas non plus à prendre un canot pour livrer aux
matelots qui regardaient par les hublots du paquebot !
Quelques autres...
Bien sûr, il y a d'autres terminaisons, qui ne peuvent que demander
attention et mémoire...
Ce badaud au cœur d'artichaut fonce au galop sous le préau car il a
vu un crapaud qui voulait faire un saut sur son dos... maintenant, il
va prendre du repos en faisant cuire son repas sur un réchaud,
protégé par les murs au fort taux de chaux… Oh, oh !
LIENS : Les 25 chansons Les 75 fables Les 100 dictées Les articles
Les verbes : petites règles simples et beaux pièges à
fautes !
Les verbes ? Inutile de dire que l'usage des verbes comprend un nombre de
pièges à fautes incalculable.
Et pourtant, quelques règles simples suffisent à effacer les plus courantes...
Le sujet : rappel !
Nous sommes là à la base de la base ! Mais bon, il n'est pas inutile, parfois,
de rappeler ce que tout le monde sait, mais oublie de temps en temps : le
verbe s'accorde avec son sujet. Toujours. Et, pour le trouver, voici la
fameuse question « qui est-ce qui ? ».
1 + 1 égal 2
Ceci pour dire que deux sujets singuliers entraînent un verbe au pluriel.
C'est vrai aussi pour trois, quatre, ou plus !
Après « je ».
Je vole, je vieillis, je mange, je cours…
Aucune question à se poser : après « je », le verbe se termine par un « E »
ou par un « S ». Rien d'autre ! C'est tout ! C'est comme ça !
(sauf, évidemment, pour les fameux verbes valoir, vouloir, pouvoir : je vaux
cher car si je veux, je peux !)
Après « tu ».
Tu voles, tu vieillis, tu manges, tu cours…
Encore moins de questions à se poser : après « tu », le verbe se termine
toujours par « S » (sauf, évidemment, de nouveau, pour les fameux verbes
valoir, vouloir, pouvoir : tu vaux cher car si tu veux, tu peux !)
Après « il » ou « elle ».
Elle vole, il vieillit, elle mange, il court…
Il y a une lettre qui ne se trouve jamais à la fin d'un verbe à la troisième
personne suivant les sujets « il » ou « elle » (ou n'importe quel sujet
pouvant être remplacé par « il » ou « elle »), c'est « T » (quelle que soit
l'envie que l'on puisse avoir de le mettre, quelquefois… !)
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de cet
ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique ».
Le « Blog Orthographique » propose une dizaine de chansons et de fables
concernant la conjugaison...
Vous en trouverez les présentations en suivant les liens ci-dessous.
Chanson. Les accords du participe passé.« Le tango des accordés »…
Chanson. Confusion entre « é », ou « er ». « La valse hésitation »,
Chanson. Le participe passé. « Prenons la route »…
Fable. Trois exceptions aux accords du participe passé « Les pépés
diaboliques »…
Fable. Participes passés : terminaison déterminée « à l'oreille » « Écoute
un peu »…
Chanson. Confusion entre futur et conditionnel. « Alouette »…
Fable. Modification orthographique selon les temps. «Oyez, oyez »
Fable. Particularités de certains verbes. « J’attends ! »…
Fable. Le verbe pronominal. « Drôle d’animal ! »…
Fable. Choisir entre infinitif, impératif et participe passé. « Bon appétit ! »
Les terminaisons des verbes : vaste domaine !
Parmi les terminaisons des verbes, on va trouver –i et –u, ou -is et -us, ou -
it et -ut, ou -é, -er, et -ez... bref, de nombreuses occasions de se tromper !
Voyons un peu en quelles circonstances on utilise tout cela...
En rimes et en rythmes
Pour apprendre facilement, avec un sourire, vous trouverez, en fin de cet
ebook, la liste complète des 25 chansons et 75 fables du « Blog
Orthographique », dont, en rapport direct avec la règle ci-dessus :
Chanson :"La valse hésitation"
Chanson : "Le tango désaccordé"
Chanson : "Prenons la route"
Les 25 chansons
et les 75 fables orthographiques : listes, sujets,
liens.
Présentation générale
Chaque chanson et chaque fable concerne une règle d’orthographe, soit 100
en tout..
Chaque chanson et chaque fable comprend :
– La chanson ou la fable elle-même, soutenue par une animation sur fond
musical.
– Un « karaoké orthographique ».
– Un résumé de la règle par un schéma synthétique en un écran.
– Une dictée spécifiquement écrite en fonction de la règle.
– Le corrigé de la dictée.
Liste des 75 fables orthographiques.
Vous trouverez ci-dessous la liste complète des 75 fables orthographiques,
traitant, en rimes et sourires, de 75 règles d’orthographe.
Chaque ligne indique en quelques mots le sujet de la fable concernée, et
comprend son titre avec un lien vers sa page de présentation dans le «
Blog Orthographique ».
Cette page décrit la fable et son sujet, et propose une vidéo de
présentation sous forme d’extraits.
(Si votre liseuse ne permet pas la connexion Internet, voir ailleurs
https://www.blog-orthographique.fr , onglet « La boutique
orthographique » section « Les fables »)