2.1.

1 Enoncé du principe
Dans la poutre isostatique Piso :
- les moments sur appuis sont nuls : Mk = 0 ;
- au droit de chaque appui Ak, les rotations à gauche et à droite sont différentes (cassure angulaire) :
'
1
''
k k moments sur appuis ne ssdjdjdj sqokisiosz kqzklz kllqlql qllld kkksjsdj skkekekj sdkzkkzjkse
jdkekkek kejkeje j ont pas nuls : Mk 0 ;
- les rotations à gauche et à droite des appuis sont égales (pas de cassure angulaire) :
kgkd (w ) (w )
Si nous voulons que les travées w w
Dans la poutre hyper
moments sur appuis ne ssdjdjdj sqokisiosz kqzklz kllqlql qllld kkksjsdj skkekekj sdkzkkzjkse jdkekkek
kejkeje j ont pas nuls : Mk 0 ;
- les rotations à gauche et à droite des appuis sont égales (pas de cassure angulaire) :
kgkd (w ) (w )
Si nous voulons que les travées

statique P, au contraire :
- les moments sur appuis ne ssdjdjdj sqokisiosz kqzklz kllqlql qllld kkksjsdj skkekekj sdkzkkzjkse
jdkekkek kejkeje j ont pas nuls : Mk 0 ;
- les rotations à gauche et à droite des appuis sont égales (pas de cassure angulaire) :
kgkd (w ) (w )
Si nous voulons que les travées isostatiques indépenda
moments sur appuis ne ssdjdjdj sqokisiosz kqzklz kllqlql qllld kkksjsdj skkekekj sdkzkkzjkse jdkekkek
kejkeje j ont pas nuls : Mk 0 ;
- les rotations à gauche et à droite des appuis sont égales (pas de cassure angulaire) :
kgkd (w ) (w )
Si nous voulons que les travées

ntes soient dans les mêmes conditions de travail et de

déformations que les travées correspondantes la poutre continue P, nous devons faire en sorte que
les
moments fléchissants en A1, A2,…,Ak,…,An dans ces travées isostatiques soient égaux respectivement
à M1,
M2,…, Mk,…, Mn : alors les rotations angulaires à droite et à gauche des appuis A 1, A2,…,Ak,…,An
seront
égales.
Autrement dit, pour passer de Piso à P, il faut appliquer les moments Mk aux appuis Ak de la poutre Piso.
2.1.2 Rappel sur le calcul des rotations
Soient k’ et k’’ les rotations aux appuis k-1 et k dues à l’application des moments de continuité Mk-1
et Mk
dans la travée k rendue isostatique. Nous avons établi que :
k’ = - ak.Mk-1 – bk.Mk
k’’ = bk.Mk-1 + ck.Mk
avec :
ak = dx
L
x
EI k
Lk
2 Rotations dues au chargement
Sk sur la travée k iso
ESTP – TPlslslslslslsllslsls 1 - Cours de Résistance des Matériaux rotations
TP1 C09 intro aux poutres continues Page 11 sur 12
cours disponible sur http://lycos.membres.fr/rdmestp
2.1 Principe de résolution
2.1.1 Enoncé du principe
Dans la poutre isostatique Piso :
- les moments sur appuis sont nuls : Mk = 0 ;
- au droit de chaque appui Ak, les rotations à gauche et à droite sont différentes (cassure angulaire) :
'
1
''
kkww
Dans la poutre hyperstatique P, au contraire :
- les moments sur appuis ne sont pas nuls : Mk 0;
- les rotations à gauche et à droite des appuis sont égales (pas de cassure angulaire) :
k g k d (w ) (w )
Si nous voulons que les travées isostatiques indépendantes soient dans les mêmes conditions de travail et de
déformations que les travées correspondantes la poutre continue P, nous devons faire en sorte que les
moments fléchissants en A1, A2,…,Ak,…,An dans ces travées isostatiques soient égaux respectivement à M1,
M2,…, Mk,…, Mn : alors les rotations angulaires à droite et à gauche des appuis A1, A2,…,Ak,…,An seront
égales.
Autrement dit, pour passer de Piso à P, il faut appliquer les moments Mk aux appuis Ak de la poutre Piso.
2.1.2 Rappel sur le calcul des rotations
Soient k’ et k’’ les rotations aux appuis k-1 et k dues à l’application des moments de continuité Mk-1 et Mk
dans la travée k rendue isostatique. Nous avons établi que :
k’ = - ak.Mk-1 – bk.Mk
k’’ = bk.Mk-1 + ck.Mk
avec :
ak = dx
L
x
EI k
Lk
2
0
(1 )
1∫ ; bk = dx
L
x
L
x
EI k k
Lk
(1 )
1
0
∫ ; ck = dx
L
x
EI k
Lk
2
0
()
1∫
ces coefficients sont appelés coefficients de souplesse.
De même, les rotations dans les travées isostatiques sous l’effet du chargement Sk, sont données par :
k’ = - dx
L
x
EI
x
k
Lk
(1 )
()
0
∫
et
k’’ = dx
L
x
EI
x
k
Lk
()
()
0
∫
Toutes ces expressions peuvent facilement obtenues à l’aide du théorème de BdF.
2.1.3 Théorème des 3 mw’k w’’k
Chargement Sk sur travée k iso
Rotations dues au chargement
Sk sur la travée k iso
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2.1 Principe de résolution
2.1.1 Enoncé du principe
Dans la poutre isostatique Piso :
- les moments sur appuis sont nuls : Mk = 0 ;
- au droit de chaque appui Ak, les rotations à gauche et à droite sont différentes (cassure angulaire) :
'
1
''
kkww
Dans la poutre hyperstatique P, au contraire :
- les moments sur appuis ne sont pas nuls : Mk 0;
- les rotations à gauche et à droite des appuis sont égales (pas de cassure angulaire) :
k g k d (w ) (w )
Si nous voulons que les travées isostatiques indépendantes soient dans les mêmes conditions de travail et de
déformations que les travées correspondantes la poutre continue P, nous devons faire en sorte que les
moments fléchissants en A1, A2,…,Ak,…,An dans ces travées isostatiques soient égaux respectivement à M1,
M2,…, Mk,…, Mn : alors les rotations angulaires à droite et à gauche des appuis A1, A2,…,Ak,…,An seront
égales.
Autrement dit, pour passer de Piso à P, il faut appliquer les moments Mk aux appuis Ak de la poutre Piso.
2.1.2 Rappel sur le calcul des rotations
Soient k’ et k’’ les rotations aux appuis k-1 et k dues à l’application des moments de continuité Mk-1 et Mk
dans la travée k rendue isostatique. Nous avons établi que :
k’ = - ak.Mk-1 – bk.Mk
k’’ = bk.Mk-1 + ck.Mk
avec :
0lslsllskszkzkiziiz
(1 )
1 ; bk = dx
L
x
Llmszzookizuhyzh
x
EI k k
Lk
(1 )
1
0

; c = dx
k

L
x
EI k
Lk
2
0
()
1 
ces coefficients sont appelés coefficients de souplesse.
De même, les rotations dans les travées isostatiques sous l’effet du chargement Sk, sont données par
:
k’ = - dx
L
x
EI
x
k
Lk
(1 )
()
0


et
k’’ = dx
L
x
EI
x
k
Lk
()
()
0


Toutes ces expresw’k w’’k
Chargement Sk sur travée k iso
Rotations dues au chargement
Sk sur la travée k iso
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2.1 Principe de résolution
2.1.1 Enoncé du principe
Dans la poutre isostatique Piso :
- les moments sur appuis sont nuls : Mk = 0 ;
- au droit de chaque appui Ak, les rotations à gauche et à droite sont différentes (cassure angulaire) :
'
1
''
 k k w w
Dans la poutre hyperstatique P, au contraire :
- les moments sur appuis ne sont pas nuls : Mk 0 ;
- les rotations à gauche et à droite des appuis sont égales (pas de cassure angulaire) :
kgkd (w ) (w )
Si nous voulons que les travées isostatiques indépendantes soient dans les mêmes conditions de
travail et de
déformations que les travées correspondantes la poutre continue P, nous devons faire en sorte que
les
moments fléchissants en A1, A2,…,Ak,…,An dans ces travées isostatiques soient égaux respectivement
à M1,
M2,…, Mk,…, Mn : alors les rotations angulaires à droite et à gauche des appuis A 1, A2,…,Ak,…,An
seront
égales.
Autrement dit, pour passer de Piso à P, il faut appliquer les moments Mk aux appuis Ak de la poutre Piso.
2.1.2 Rappel sur le calcul des rotations
Soient k’ et k’’ les rotations aux appuis k-1 et k dues à l’application des moments de continuité Mk-1
et Mk
dans la travée k rendue isostatique. Nous avons établi que :
k’ = - ak.Mk-1 – bk.Mk
k’’ = bk.Mk-1 + ck.Mk
avec :
ak = dx
L
x
EI k
Lk
2
0
(1 )
1 ; bk = dx
L
x
L
x
EI k k
Lk
(1 )
1
0

; c = dx
k

L
x
EI k
Lk
2
0
()
1 
ces coefficients sont appelés coefficients de souplesse.
De même, les rotations dans les travées isostatiques sous l’effet du chargement Sk, sont données par
:
k’ = - dx
L
x
EI
x
k
Lk
(1 )
()
0


et
k’’ = dx
L
x
EI
x
k
Lk
()
()
0


Toutes ces expressions peuvent facilement obtenues à l’aide du théorème de BdF.
2.1.3 Théorème des 3 moments
Ecrivons la continuité de la rotation à gauche et à droite de l’appui k :
(wk)d = (wk)g
(k)
Ak-1 Ak
Sk
Mk-1 Mk
Ak Ak+1
Sk+1
Mk Mk+1
(k+1)
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TP1 C09 intro aux poutres continuessions peuvent facilement obtenues à l’aide du théorème de BdF.
2.1.3 Théorème des 3 moments
Ecrivons la continuité de la rotation à gauche et à droite de l’appui k :
(wk)d = (wk)g
(k)
Ak-1 Ak
Sk
Mk-1 Mk
Ak Ak+1
Sk+1
Mk Mk+1
(k+1)
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TP1 C09 intro aux poutres continuesoments
Ecrivons la continuité de la rotation à gauche et à droite de l’appui k :
(wk)d = (wk)g
(k)
Ak-1 Ak
Sk
Mk-1 Mk
Ak Ak+1
Sk+1
Mk Mk+1
(k+1)
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