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Mon neveu et moi.

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Traduction directe de l'espagnol au francais
par:Lorena Lazo L.
Un
Un nouveau intégrant.
Ma soeur Margarita,dans les jours précedents á la
naissance de mon neveu(1995),était grosse. Et
heureuse. Quinze longues années l'ont séparé de la
derniére fois qu'elle doivait se soigner de faire
nourriture de bébés,changer langes,laver avec savon
spécial habillages d'enfants et autres menesteres de
cette nature. Avec le ventre gros et trés lourde de
poids corporel,ne pouvait pas s'incliner á prendre
aucune chose. Ce que se passait par ces jours-lá,fut
qu'á mon frére l'ont fait chirurgie de génou. Blessure
sportive. A moi des dents. J'avait caries. Et ainsi. La
maison était remplie de convalescents. Mais,le plus
joli de ces événements,par étre prété par Dieu,était
mon neveu,Sergito. A qui appellait,moi au
moins,Chechito.
Deux
Arrive un bébé.
Sergio Andrés,comment s'appelait mon neveu,naquit
le méme jour de l'anniversair de sa maman. (27-9-
1995) Ma soeur,comme est l'habitude,n'arrivé pas
avec l'enfant tout de suite,parce qu'il y avait lui faire
un tas d'examens médicaux encore. Quel de
piqúres,quel de prends de temperatures,quelles de
rondes de pediatres,quels de tabliers blancs.,etc. Lors
de ceci,l'arrivée. Le petit bébé était grandi pour son
áge. Et trés intelligent. N'avait pas ce regard
distrait,propre d'autres bébés. Ses yeux étaient
pendus,par ainsi lui dire,de quelques choses,de
couleurs brillants,qu'ont prennaient l'attention. Les
lunettes de ma soeur Pamela,comment elle travaille
avec ordinateur,lui prétaient l'attention,parce que
diffusaient une couleur violette-,qu'était la protection
antirreflexe-,laquelle á lui l'enchantait. Lui prendait
les lunettes a ma soeur et sur la bouche avec eux.
Facon meilleure de connaitre le monde aucune était
elle. La maman l'émmenait aux meilleurs magasins
de Santiago,a l'acheter habits. Mais,comme on sait,ce
n'est pas garantie de bonheur. La bonheur est-elle
faite avec les soins de la mére et l'exemple du pére.
Lors de la naissance,lui entourons de toute classe
d'attentions et cajolis. Aux derniers temps,je me
restait toute seule avec l'enfant. Je lui soignait
beaucoup. Lui donnait la nourriture,lui posait l'eau
pour l'aerophagie. Et lors,lui faisait dormir. Á
l'unique enfant qui j'avait dans mes bras fut á cet
enfant. Á aucun plus. Parce que,quelque fois,l'enfant
pleurait et comme la maman allait loin de la chambre
á coucher,j'allait a le calmer et lui demandait quoi
avait de soin. Malgré son manque de réponse,parce
que lui ne savait pas parler,l'enfant me regardait avec
une sourise et se restait en paix. Et ne pleurait plus.
Ce que lui plus plaisait était un mot:"-Bébé." On
risait,avec ses yeux chátaignes,regardant avec fixesse.
Quelque fois,de tellement de rire,lui sortaient de vrais
éclats de rire. Lui était un enfant trés intelligent.
Trois
Projectes trop tót...
Avec cet enfant,a passé cela,précissement. Le pére du
petit,car lui était conducteur de camion,révait avec
l'émmener au Sud quand lui était plus grand. La
maman,avec l'enfant lui irait a brisser les caraffons de
vin a sa grande-mére. Et moi,avec l'enseigner
l'allemand. Le bonheur s'a brissé le huit mars de cette
année.(1996) Étaient les onze et demie heures de la
matin. L'infirmiére-chef du travail de ma soeur
l'appellait á part ce jour-lá et lui posait une question:
-Le nom de famille de son enfant,Margarita?-,et
ma soeur lui répondit:
-Olguín Lazo.-,et ajoutait-:Par quoi lui voulait?
-Me semble qu'il y a quelque chose á la salle
berceau.-,répondit l'infirmiére.
Quand l'infirmiére-chef l'a posé les questions sur
le mon de famille de mon neveu,ma soeur presque
jetté á bas le cinquiéme étage du bátiment. Aux cris et
larmes. Pressentait ce qui passait. En prémier lieu,le
petit fit un arrét cardiaque. Ce fut la version
officielle,au style du Warren Report. Lors,fermée la
bouche. Aprés,lui émmenont,mort,vers la
centrale,pour que lá lui feraient les prémiers soins.
Aprés,connaisaions que,par exemple,le petit avait
nourriture á la trachée. C'est-á-dire,ont fait la plus
grande et épouvantable négligeance. Et stupide,de
plus. Pour le standard de profesionalité que doivent
d'avoir les auxilliaires de salle-berceau. Allaient avec
le bébé mort,et enveloppé avec un manteau,lui
conduiseront á la centrale. Lui envoyeront vers á
l'hópital d'enfants "Manuel Arriarán." Que lequel fut
l'hópital auquel,au année 1974,j'ai appris á marcher.
Lá,seulement ont pu constater que l'enfant était mort.
Seulement arrivé a cet endroit pour l'émettre le
certificat de mort. Ne pouvait pas se faire autre chose
pour lui. La tragédie avait lieu á une heure,seulement.
Quatre
L'enfant a passé comme une bénédiction pour
tous...
Ces mots sont-elles de ma soeur Iris,trés
certaines,á propos. Quand arriveront avec le petit
cercueil,brun,j'était á la salle á manger. Ma
soeur,pour sortir de l'habitude des cercueils pour
enfants,blancs,puisqu'elle ne voulait pas de cette
couleur. Arrivé un cortége de personnes,nous donnant
les condoléances. Ce jour-lá,je ne voulait pas
regarder le corps de mon neveu. Pas pour la peur ni
nerfs,sinon pour une belle habitude,laquelle est la
suivante:Je conserve le souvenir des personnes en
vie. Avec ses gestes,son visage,son rire.,etc.
Spécialement de cet enfant. Parce que,á qui sert de
pleurer larmes d'eau salée sur ou au cóté du cercueil?
Á personne. Parce que tous marchons a la mort. J'ai
quelque choses de souvenir de lui. Petits bottines de
laine et souliers d'enfant. C'est l'unique chose qu'a
resté de mon neveu pour moi. Et voilá le récit de
l'expérience de mon neveu et moi.
FIN
Paine,8 de avril de 1996.*
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* :Date original du conte. Traduit au francais le 12-
01-2019.

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