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Phi DE L'ABONNEMENT
1?it11 des I1iSEBT19N14.
6* 30 centimes la ligne d'Annonce.
Un aa. e nota. S tiia
Toulouse (vKle):. 44 fr. 43 G.; I2 tr. 30 centimes la ligne de Réclame,
France . Les Arwonees et Avis se paient d ava»ce.
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. et Aigrie.
Etranger, suivant les conventions postales, POLI [Q LIE ET LITTÉRAIRE. Les dnnonces et Avis sont reçus 5 Paris, aux bureaex d
publicité de 1I11. RA' AS, rue J.-Liioasseau, S,
ï,AFFYIE-ISULLIER et C., rue de la Banque, 20,
Itnp. BoreN.AL 8t Gla uc, rue St Rome, 46. et I. FONTAINE, rue de Trévise, 22, seuls chargés da
les recevoir pour le Joui oui »e Toutous,.
ceournaI t tous les jours.
Liquidation du 45 décembre. _____.
Edition du matin. Chemin du Midi,............ 760-758 75
dont 1A r....... 767 50
La commission théâtrale a été fort occupée ces pendant six mois. Mais le fait le plus odieux de ce
jours-ci. Elle a dû prononcer sur quatre affaires procès est la conduite de Cabet et de Ferrand, qui
ont sciemment profité des vols commis par l'enfant
Chemin Grand-Central.:........ 617 50 de son ressort.
ltep ehe télégraphique eleetrigee et qui ont concouru aux manceuvres de leurs filles
dent lof..... 635 .a Mms Hébert-Massy, dont la rentrée a été saluée
dans la perpétration des actes coupables dont le
Chemins autrichiens............ 825 »s par de si vifs applaudissements, a dû passer sous
(PARTICUL1ERE).
les fourches caudines de la commission. Le public ministère public. demande la répression.
dont 10r...... 835 »» En présence de ces faits, le Tribunal, avec une
apprendra
Paris, 4 décembre.
Vienne, 3 décembre. -
Chemin da Midi (nouveau).......
-- dont 10r.
770 s»
776 25
surprise que, sur douze
membres présents, neuf se sont prononcés pour
l'admission et trois contre.
juste sévérité, faisant application aux prévenus
des dispositions de l'art. 380 du Code pénal, les a
condamnés chacun à 1 an de prison et 1q francs
La Correspondance autrichienne dit que l'empe- M. Caubet, qui a fait mercredi soir son dernier
début dans Lucie, a été reçu par neuf voix contre d'amende.
reur a marqué l'anniversaire de son avènement au
t`rb'nè par des actes de haute clémence. 70 con- BOURSE DE PARIS deux.
DU 4 DÉCEIIBRE:1856:
La commission a admis MBe chan- OBSERVATIONS METÈOROLOGIQUES
damnés politiques italiens ont été amnistiés. Le teuse légère double.
Au comptant : de M. Bianchi. - 4 décembre.
aégifest're suks les biens de tous les réfugiés 'a été La décision qui rejette M. Crouzat, 3e basse de
Baisse,
Thermomètre centigrade minimum +08,0.
Valeurs diverses, Der»ter coins. Eansse. grand opéra, 28 d'opéra comique, a été maintenue.
levé.
3 p. 100.......... 69 45 n »» s 30
Mile maximum 1t ,2.
4 1/4 p.100........ 92 »Û s 60 s »» Clotilde Toscan va reparaître sur un Baromètre. - Etat du ciel. - Vents.
M. de Turgot, ambassadeur de France, est arrivé Banque de France... 4100 s» » »v » »» théâtre où elle fit ses premiers essais dans la car-
à Madrid. rière du drame. Ses débuts auront lieu très pro- 9 h. du m., Om,753 8 - uageux. - NNO faib.
.
--
Grand-Central...... 630 s» s »» 15 o» la nuit du 2 au 3 décembre, le nommé Grammont ment de leurs manteaux et de leurs cache-nez.
Genève....... .... 760 »» ..» 25 s» (Bertrand), âgé de 26 ans, domestique, a été Heureusement les travaux des champs sont pres-
La Compagnie anglaise du chemin de fer de Autrichiens........ 830 »» s a» 15 s» asphyxié par la vapeur d'une bassine de charbon que terminés; les semailles touchent à leur fin,
Smyrne à Aldin, a commencé ses souscriptions. Saint-Rambert..... 665 s» » »» 20 s» qu'il avait portée dans sa chambre, afin d'en chas- grâce au beau temps que nous avons eu et qui nous
Ardennes.......... 580 »» s s» s »» ser l'humidité. a quitté.
Sardes............ 627 50 » »» 12 50 A l'abri de notre température quelque peu russe,
JJ1PECHE DU MATIN. Maritimes ......... 450 s» » »p 15 s» Les débats qui se déroulent devant le Tribunal je prends la plume. Je me félicite de n'avoir pas à
Midi(nouveau)..... 780 s» n n» 7 50 correctionnel offrent parfois de tristes exemples vous annoncer d'accidents ou de méfaits, sauf la
Paris, vendredi 5 décembre. d'une dégradation profonde, dégradation qui est chute d'un homme qui, rentrant chez lui, à Pa-
Londres, 4 décembre. même souvent d'une affligeante précocité. miers, a pris un bain hors de saison dans un ca-
BOURSE DE PARIS DU 3 DÉCEMBRE.
Deux pères de famille, dont les cheveux com- nal, d'où il a été retiré sans autre mal que le besoin
La Banque a abaissé son escompte à 6 1/2 pour Fonds Espagnols. mencent à blanchir, les nommés Ferrand et du feu et de la flamme réparatrice. Quantà la dis-
100 pour tous les billets. Dette active, 00 0/0 Petites coup. , 00 0/0 Cabet, viennent s'asseoir sur le banc des prévenus. cussion du 23, dont je vous ai parlé dans ma pré-
t). ext. J. juilt., 42 1/4 N. 38 e J. juilt., 00 0,0 A leurs côtés, deux jeunes filles à peine âgées de 16 cédente lettre, l'émotion s'est vite calmée; ou n'en
Les Débats publient une lettre de Naples, du P» D. int. J. juilt., 39 0/0 .Dette passive, 0 0/0 ans, viennent prendre place, et les débats nous ap- parle plus; mais des témoins ont été entendus par
prennent que Ferrand est le père de l'une, Cabet le juge d'instruction.
décembre, qui considère l'insurrection dés envi- le père de l'autre, et qu'une prévention de vol Les avocats du barreau de Foix se sont réunis
rons de Palerme comme n'étant pas terminée. D'après une récente circulaire de M. le ministre pèse sur la tête de ces quatre personnes. pour élire leur conseil de discipline. Me Pic a été
de la justice, il est fait défense aux huissiers de Les penchants vicieux n'ont pasattendu le nom- réélu bâtonnier; Me Vidai, secrétaire; MM»$ Du-
faire des encaissements pour le compte des ban- bre des années pour se développer dans la conduite frène père, Bretou, Séramond, membres.
Toulouse, décembre. quiers ou autres commerçants. des filles Cabet et Ferrand. Les huissiers ont, ainsi qu'il suit, composé leur
Pour satisfaire leur goûts dépravés, elles exci- chambre pour l'année judiciaire 1856.57: M. Mon-
taient une jeuneenfant de 11 ans, la fille Haudouin, tagné, syndic; M Lafont, trésorier; M. Pélissier,
A la liste des jeunes avocats qui ont prêté ser- à voler à ses parens des sommes assez considérables rapporteur; MM. Eychenne et Lesaygues, membres.
BOURSE DE TOULOUSE ment, mercredi, nous devons ajouter les noms de qu'elles se faisaient remettre et dépensaient folle-
DU 4 DÉCEMBRE 1856. M'' Capdepie et Passerieux. ment. M. de Latheulade, de Foix, chef d'escadron de
A la séance de lundi, MM. Henri Dallas, Jérôme La fille Haudouin, dont l'assurance devant les spahis, jeune officier d'un bel avenir, a été nommé
Au comptant :
de Micas, Jean-Marie Annouilh, Antoine Gleize et juges marque une regrettable précocité, a cédé à commandant du cercle de Saïda, en Algérie.
Obligations du Midi............ 291 25 Jules Olive, avaient été admis à prêter serment ces suggestions coupables, et a commis au préju-
Chemin de l'Est (ancien)........ 850 » s Mgr de Cossigny est arrivé samedi à Foix, pour
et ont été inscrits sur le tableau des stagiaires. dice de sa famille une série de larcins qui a duré prêcher la station de l'Avent à l'église Saint-Vo-
FEUILLETON DU JOURNAL DE TOULOUSE là lorsqu'il avait perdu son père ; douze ans plus loignait de quelques pas, de peur qu'elle ne vînt où il sentait faiblir son courage. L'image attristée
BU 5 DECEMBBE 1856. tard, il avait été recueilli par eux, à la mort de sa
à lui parler. Quelles anxiétés pendant ces heures
mère la Siffreine, lui et sa seeur Espérite, celle de la Damiane se présentait alors à ses yeux, et la
silencieuses qu'il passa. ainsi auprès d'elle! Et certitude entrait en lui, vive, directe et poignante,
qu'on appelait dans le pays la grande Espérite. Elle,
dans les jours qui suivirent, quels retours de joie,
aussi était morte, à six mois de là, cette grande quelles craintes toujours nouvelles, jusqu ' à ce t qu'il ne pouvait faillir sans qu'aussitôt tous ses
LE MARQUIS DES SAFFRAS Espérite; elle était enterrée à Seyanne, et sur ce qu'elle fût entrée en pleine convalescence! actes n'eussent un douloureux retentissement dans
SCENES DE LA VIE COMTADINE. rosier blanc, dont les branches couvraient la le cceur de cette pieuse femme, si cruelleoaent frap-
Cette convalescence de la Damiane fut très lon- pée, et qui ne cessait de s'offrir en sacrifice. Puis,
muraille des Sendric, les jeunes filles avaient gue. Espérit ne quittait plus les Sendric; le jour,
cueilli la couronne virginale qui parait son cer- il aidait aux travaux du four et du jardin, et vers comme si de ses propres mains il eût craint d'é-
TROISIÈME PARTIE. cueil. largir les blessures de cette âme déchirée, il s'ar-
le milieu de la nuit, il relayait l'ami Marcel au rôtait saisi de terreur, et le mal était vaincu.
LA DAMIAi1E ET SARU%E. La voix de la Damiane faisait revivre en lui tous chevet de la Damiane. A peine dormait-il quelques
ces souvenirs déchirants; à mesure qu'elle parlait, A son retour à Seyanne, lorsque Marcel fit ses
heures, mais ces fatigues lui étaient légères : au- confidences a sa mère, il la trouva informée de ce
N° 15. il se sentait remué profondément. A la douceur, à près de sa marraine, il vivait d'une vie nouvelle, qui s'était passé. Au moment même où Marcel
8si1e. - Voir la nnméro da 4 décembre). la gravité de ces paroles, à l'accent jeune et péné- il lui suffisait d'être à ses côtés, de la voir, de était en péril, elle en avait toujours eu la divi-
trant de cette voix émue par la plus tendre amitié, l'entendre , pour se sentir ranimé. Sans longs nation : il lui était donné un avertissement cer-
Espérit croyait reconnaître, il retrouvait vraiment discours, en quelques mots, souvent même sans pa- tain, elle se mettait en prières, l'âme sérrée d'an-
Dans l'après-midi, !a Damiane fit appeler Espé- la voix de sa mère et toute son âme, comme au roles, elle le remplissait d'un grand courage; elle goisses et son fils recevait un; grand secours. Eu
tit, qui se tenait à l'entrée de la porte, et tout jour où la Siffreine se relevait sur son lit d'agonie , répandait autour d'elle la chaleur et la lumière tout temps elle veillait sur lui, et son amour l'en-
d'abord elle voulut reprendré avec lui les con- pâle et tremblante, les mains raidies, les yeux par sa seule présence, par le rayonnement de son veloppait comme une armure de diamant ; les
fidences interrompues. Espérit, honteux qu'on s'oc- éclairés des sourires de la mort, mais l'esprit vi- âme. glaives de Satan s'y seraient brisés. Si Marcel était
cupât de lui dans un pareil moment, répondit à vant encore et libre, et toutes ses forces se concen- La nuit, en veillant la Sendrique, revenu au milieu des siens avec toute sa jeunesse,
la Sendrique trant dans ces adieux suprêmes. Dans ses der- souvent à ces grandes inquiétudesEspérit dont
pensait
dans toute la grâce de son innocence , il le devait à
- Ne parlons que de vous, notre Damiane, ou nières heures, IaSiffreine n'avait eu qu'une solli- souffert dans la société de Lucien. Que d'annéesavait il
vé- sa mère; il lui devait aussi cette simplicité d'esprit
plutôt taisons-nous ; obéissons auxdocteurs. citude : mourante, elle enseignait encore à son fils cues dans cesquelques moisqui venaient des'écou- qu'il avait gardée dans sa fleur.
---Dans cinq minutes, dit-elle avec enjouement; les vérités du salut, et sur ses lèvres glacées, les ler ! Délivré maintenant
allons, assieds-toi là et parle moi de franchise. A- dernières paroles, les dernières prières murmu- redressé, ravivé, il reconnaissaitde ces agitations stériles, Et pourtant qui fut plus exposé que lui ? Quelles
t-on rien de caché pour sa marraine ? quelle forte assis- tentations subtiles autour de cette âme ardente et
raient le nom d'Espérit. Comme cette mère qu'il tance lui était venue dela Damiane à l'heure même
- Ah ! marraine ! dit-il. avait perdue, la marraine Damiane, cette seconde où tout semblait perdu, et combien, depuis ce mo- pure, enthousiaste , ouverte à toutes les sympa-
Ce doux nom de marraine, plus doux encore en mère que lui donnait l'église, au plus fort de ses ment, cette amitié lui était secourable! Il se rappe- thies ? Que de fois, dans ses premières années de
provençal, méirine, bien souvent il l'avait entendu souffrances, ne s'occupait que de lui; agonisante, laitalors ce que Marcel lui avait raconté souvent de jeunesse, Marcel était revenu chez sa mère, incer-
et répété sans }' trop réfléchir, mais en ce moment, elle veillait encore sur Espérit, elle lui prêtait as- sa mère: quelle avait été l'affection constante de la tain et troublé, l'esprit ébloui et comme fasciné
auprès de la Damiane, la tendresse de cette appel- sistance. Sendrique sur son fils, et cette protection toujours par les chimères ! Dans ce village de Seyanne, au-
lation le charmait extrêmement, le sens affectueux La nuit fut très douloureuse et très agitée pour efficace qu'elle étendait sur lui pendant les lon- près de la Sendrique, dans la staiété de cette pay-
de ce mot le frappait avec une force, une nouveauté la Damiane. Au matin, vers trois heures, une crise gues séparations. saune, il retrouvai tout à coup le ton juste, le ton
extraordinaire, et lui revenait comme un souvenir heureuse se déclara contre toute attente, et ses de son âme. Quelle douceur alors, quel rafraîchis-
lointain de la première enfance. Il s'attachaitàcette De loin comme de près, la Damiane venait en sement d'esprit inexprimable! Par sa mère, il
amis reprirent courage. Espérit évitait de l'appro- aide à 11larcel et le soutenait d'une main ferme. rentrait dans l'unité, dans l'harmonie, dans la na-
parenté spirituelle avec des entrailles de fils. Ces cher. Il ne venait au chevet du lit que lorsqu'elle
Sendric, c'était toute sa famille. On l'avait mené Perdant les années passées loin de Seyanne, le ture première; il touchait à l'intimité des choses
sommeillait i dès qu'elle rouvrait les yeux, il s'é. jeunehomme avaiteu souvent desheures d'épreuve réelles, à la vie même, à la vraie vie. La Damiane
vembre
Lesemis de pommes de terre de Bretagne, im- (Correspondance particulière.) visiteurs ne lui manquent point. On a fait un dé- Bien que certains journaux allemands aient dit
porté l'année dernière dans notre département par nombrement de ces visiteurs, la semaine dernière, le contraire, il est hors de doute que le cabinet de
M. le préfet, a parfaitement réussi. Paris, 3 décembre 1856. à l'occasion du droit d'entrée : le résultat a été que St-Pétersbourga fait déclarer par ses ambassadeurs
IL nous a été présenté hier une pomme de terre M. Cabet est mort à Nauvoo (Illinois), à l'âge de I 1 mille personnes entraient chaque jour dans ce à Vienne et à Berlin, aussi bien qu'à Copenhague,
pesant I kil. 200 grammes. Ce tubercule provient 69 ans. Ceux qui liront cette note, si courte, et temple des richesses. qu'il considèrerait des démarches de la Diète ger-
de la propriété du Ilaou, commune de Condom. que reproduiront tous les journaux du monde, ne Un journal a annoncé que des spéculateurs al- manique, concernant l'affaire des duchés, comme
Nous savons qu'en général la pomme de terre de se douteront pas, tous, de l'influence qu'eut cet laient faire voir, moyennant dix centimes d'entrée une immixtion dans la politique intérieure du Da-
Bretagne produit 16 fois la semence. homme obscur par le talent, obscur par la nais- par personne, un u,illioo en numéraire, qu'un nemark. On a fait comprendre en même temps au
Les transactions opérées le jour de notre foire sance, obscur, aussi, par la position. Que la tombe banquier aussi audacieux que Martin et Carter, cabinet prussien que l'appui que la Russie donuç-
du 25 novembre ont provoqué sur notre cale un lui soit légère ! mais il a fait bien du mal. Fils, mettait sous la garde de deux montreurs : cela a rait à la Prusse dans l'affaire de Neuchâtel dépen-
mouvement inusité, qui a duré toute la semaine. dit-on, d'un vinaigrier du Loiret, l'ambition le jeta fait dire : Quelle différence y a-t-il entre Martin et drait de l'attitude de la Prusse elle-même dans la
Le mouvement de là navigation a été aussi plus dans les spéculations sociales; on avanatit lente- les gardiens du million '1 C'est que les bêtes qu'il question danoise.
animé que de coutume. Dans cette huitaine, il y
a eu sur la Baise 24 bateaux de montée ou de des-
ment dans la magistrature ; alors il perdit pa- gardait auraient pu manger Martin, tandis que - Il est probable qu'une rupture aura lies
tience, et se mit à ressasser les vieilles idées com- les gardiens pourraient bien manger le million entre les gouvernements d'Angleterre et de Chine
cente. Les bateaux de départ pour Bordeaux ont munistes. Que de victimes il a pu faire ! on a dit gardé. Mais il est probable, que, le caséchéant, l'on par suite du fait suivant
été au nombre de 13, chargés de vins, eau-de-vie, que ceux-là, seulement, qui n'avaient rien à per- prendrait les précautions nécessaires. On aurait Les mandarins chinois ont saisi un navire (tor-
et chiffons; ceux d'arrivée étaient au nombre de dre, embrassaient ses doctrines. C'est une erreur; poussé la confiance jusqu'à demander l'autorisation cha) sous pavillon anglais, et coupé la tête aux
11, chargés de blé, avoine, mais, et autres mar- j'ai connu un père de famille, avant gagné honnê- de montrer le million dans une des salles de l'Ex- hommes d'équipage. Le consul anglais a demandé
chandises diverses. tement une fortune de 60,000 qui l'a suivi, position. On assure, d'autre part, que cette exhi- des explications. Les mandarins ont jugé à propos
avec femme et enfants, puis il est revenu, pauvre bition n'aura pas lieu; c'est bien assez d'avoir eu de ne pas pire de réponse. Le commodore Elliott,
était là au foyer domestique, comme la vestale ro- d'un fils. Pour retourner à Lamanosc, il attendit lieu du dîner, parut le sergent Tistet, son papier à
maine sur les marches de l'autel, attentive et fidèle, que la Sendrique eût repris ses travaux de ménage la main. - Mon lieutenant, voici le contre-ordre, elle-même, et bientôt, s'échauffant à ce jeu, il
veillant au feu sacré, et sans cesse d'une main comme par le passé. dit-il en lui présentant unegrandecirculaire, toute donna des portraits amusants de tout ce monde de
pieuse elle ranimait cette pure lumière, la flammé A son arrivée, il trouva Cabantoux et Bélésis chargée de paraphes; serait-il vrai que vous ren- Seyanne; il reproduisit avec gaieté les personna-
de l'esprit. tout à fait installés au château des Saffras, travail- voyez la répétition à un mois d'ici ? Toute ré- ges; dans son adresse à les travestir sans dépasser
C'était une Ame pleine de constance. Gardienne lant aux jardinets, sarclant les plates-bandes, flexion faite, j'en doute encore, sauf le respect que la vraisemblance, il imitait très drôlement leurs
des vieilles mceurs et des traditions de la race. du arrosant les fleurs. Il s'informa du sort de la tra- je vous dois. Si je ne m'abuse, ce n'est pas votre gestes et leurs allures, car il était bon mime; il
écriture; vous peignez beaucoup mieux. était doué d'un certain sens comique très subtil,
génie de la maison, de la foi chrétienne, gloire et gédie.
richesse des bonnes familles, elle mettait son hon- - Ole! il y a du nouveau, répondit Cabantoux. Ce contre-ordre était écrit en entier de la main âcre, aigu, - l'instinct de la caricature.
neur à conserver ce trésor des croyances qu'elle Qui sait tout ce que les Cazalis ont acheté ce matin de Mute Blandine, et tout au bas, sans le moindre Lucien était en verve, l'hilarité de ses voisins
tenait des aïeux, elle le transmettait à sa descen- au marché? Le sergent Tistet est venu nous con- scrupule , elle avait signé bravement : u Le lieu- l'excitait. Sabine se trouvait ainsi isolée entre ce
dance tel qu'elle l'avaitreçu, intact et vénéré. tenant Jean-de-Dieu Cazalis. , railleur impitoyable et ces bourgeois ridicules qui
voquer tous avec sa lettre, puis il est revenu - Ah ! vous êtes le lieutenant Jean-de-Dieu ? se riaient des choses les plus saintes, -- le travail,
Dans la société de cette femme forte, Espérit furieux. dit Cazalis. Ma sceur, vous voilà prise la main l'indigence et la simplicité. Son embarras était
revenait réellement à lui-même. A la voix de la Il n'en sut dire davantage dans un long dis- dans le sac. extrême : les sarcasmes de Lucien la révoltaient ;
Damiane, sous cette calme influence, tout un monde cours d'une heure. Le muet, avec ses gestes, es-
de choses jeunes et naïves, de sentiments vrais, sayait de rectifier ce qu'il y avait de confus dans - Mais c'est un faux , s'écria le sergent Tistet , elle y aurait mis fin tout au début sans l'émotion
profonds, ingénus, renaissait et grandissait en lui. ce récit du fadad. A tout hasard, Espérit s'habilla et très-sérieusement il proposait d'envoyer la tante extraordinaire dont elle était saisie, car à chaque
en cours d'assjses. parole de Lucien elle se sentait naltre une sympa-
Quelle transparence donnée à l'âme ainsi replacée et se tint prêt à partir pour la Pioline. - J'aurais signé du nom du roi , dit la tante. thie plus vive pour Marcel.
à son aurore, sur ce fonds divin des croyances, Il y avait en effet grand dîner d'apparat chez les
aux premières clartés de la foi dans l'âme! Vives Cazalis. Le maire et son neveu étaient de retour, et Mue Blandine triomphait : on s'amusa beaucoup Ce ne fut d'abord que le mouvement d'une âme
lueurs, aube lointaine, allégresse éthérée, chant il s'agissait de célébrer en méme temps l'arrivée de la déconvenue du lieutenant , et le sergent généreuse , passionnée pour le vrai , et que l'in -
matinal des voix les plus douces ! Et l'homme n'a d'unofficier de gendarmerie, qui venait prendre le Tistet , qui ne comprenait rien à ces légèretés en Justice irrite. Devant elle, on attaquait des absens,
rien à renier de cette piété de l'enfance soumise; commandement de la lieutenance. Pour ajouter à matière d'écriture publique , se retita très-vexé. des malheureux; d'instinct, elle se rangeait de
toute la vérité est reçue à ces heures d'innocence ; l'éclat de la fête, M. Cazalis avait invité ses chers Corbin l'aîné, qui cherchait utine occasion d'être leur parti. C'était la première fois qu'elle fixait
qu'elle soit ressaisie à ces pures origines, et l'âge tragédiens. La journée devait se terminer par une désagréable à Mile Blandine, s'avisa de parler avec ainsi sa pensée sur Marcel , et mille sentiments
viril en sera illuminé. Pour tous les temps, la répétition de la Mort de César aux lumières, avec éloges des tragédiens. La tante riposta; les raille- qu'elle ignorait se levaient et venaient l'assaillir
même loi demeure; pour tous les temps, le même ries s'engagèrent. En sa qualité de savant, Corbin confusément. Quel nom donner à cette amitié en-
amour et la même espérance. décors et costumes. Ces convocations s'étaient faites le jeune essaya de prendre la défense de Marcel. thousiaste? Par le fait de Lucien , ces sentiments
en grand mystère. - Ah ! dit-il, j'ai vu chez lui de belles mécani- vagues se prononcèrent bientôt avec énergie. Brus
En se mettant à table, M. Cazalis dit à sa sceur: ques... quement Sabine fut poussée et comme précipitée
V. - Ma chère Blandine, je vous ménage une sur- - Comme celles de son père, interrompit Lu- dans un monde nouveau, dans l'inconnu : tout
prise charmante; dans ure heure, vous verrez ar- prenait à ses yeux un aspect inattendu.
Espérit se laissait aller avec une joie d'enfant à river tous mes acteurs, et ce soir nous les garde- cien, un des vôtres.
ces impressions de bonheur. Il ne pouvait plus se rons à souper. - La tante riait aux éclats. -- Et là-dessus il se mit à raconter les vieilles his-
séparer de sa marraine, et quoiqu'elle fût tout à Allons, vous prenez bien les choses, dit le lieute- toires qui couraient dans le pays sur le mitamat; J. DE LA MADELÈNE.
fait hors de danger, par moments il s'effrayait en- nant, fort surpris de la voir en Si belle humeur. il mêlait plaisamment l'histoire du père et celle
core des lenteurs de la convalescence, il en suivait L'heure passée, les tragédiens n'arrivaient pas. du fils; il mettait en scène tous les Sendric, Mar- (Revue des Deux-Mondes
les moindres crises avec l'émotion, l'inquiétude M. Cazalis regarda sa soeur avec méfiance. Au mi- cel, les cousines, la tante, le petit frère, la Damiane (La suite à demain).
Brun (Xavier-Vietor), 2t ans, soldat au 8e régi- jourd'hui limitées aux achats du disponible pour termi-
dans lesquelles elle crée des établissements, des privflé Expasttion de iA50: Mé3aiUe i1'f:on'
ment d'artillerie, né à Vals (Ardèche). ges d'exploitation; ner la liquidation du mois dernier ; le prix de 81 fr. est ?s
Cadaux (Gabrielle), 74 ans, née à Rabastens Ro Des conditions de sécurité de placement incon- pratiqué pour toutesces opérations. L u pose rsle, pour l'art de " E
(Ta ru). testables , le capital de la Compagnie étant repré Les transactions pour le courant du mois et pour le li- R i oser les dents artificiel-
venté par des immeubles; vrable aux époques plus éloignées sont presques nulles. les et d'établir des dentiers complets. Il répare toutes les
Cazeaux (Marie), 26 ans, née à Baziège (Haute- 3e Des avantageN exceptionnels, puisque la Com- On cote nominalement pour décembre 80 à 80-5o ; pour pièces dentaires et se charge de tontes les opérations rela-
Garonne). pagnie ne traite avec les communes qu'autant qu'elle re- les 4 pretniCrs mois 80-50 à81 fr. En trois mois de février tives à son art Toulouse , rua St-Rome, °.7.
Berdoulat (Jeanne-Elisabeth-G uillaumette), 15 çoit une subvention qui représente 48 p. 100. ou de mars on trouverait acheteurs à 8t fr. 31 4IALLÀN, de L0NDREs, Chirurgien-a5c>z+aate.
ans, brodeuse sur l'or, née à Toulouse, rue Saint- Pour juger des bénéfices probables de la Compagnie, On fait sur nolreplace des offresen blé d'Amérique dans _itaux de Toulclade, a son domicile a :ael
.
Georges, 16. il suffit de savoir que les prix de 29 à 32 fr les 100 hil. pris au Hàvre; à ce des '.
7, entréeruade la farce he,
Marty (Jean), 49 ans, menuisier , né à Ville-
franche (Aveyron), rue Malbec, 18.
Trois jours de travail plein de
rapporteront a4 p. 100 de bénéfices.
Trois jours de travail plein
chaque
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