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CATALOGUE GENERAL
DES
ANTIQUITÉS ÉGYPTIENNES
DU MUSÉE DU CAIRE
PAPYRUS GRECS
D'ÉPOQUE BYZANTINE
/
JEAN MASPEliO
(20 Décembre 1885 - 17 Février 1915)
SERVICE DES ANTIQUITÉS DE L'EGYPTE
CATALOGUE GÉNÉRAL
DES
\ NT QU TÈS
I ]^. G YPT ENNE S
I
DU MUSÉE DU CAIRE
N°^ 67279-67359
PAPYRUS GRECS
D'ÉPOOUE BYZANTINE
FAR M. JEAN MASPERO
TOME TROISIEME
LE CAIRE
1916
fA3p
t3
INTUODUCTION.
fjrccs qui devaient former le troisième et dernier volume de cel ouvraije étaient
copiés conqilètement. Une partie d'entre eux, ceux qui étaient destinés à entrer
imprimé en avait été collalionné une dernière fois sur l'original, selon l'habi-
tude constante de Jean Maspero, mais la matière des deux feuilles du début
avait été seule mise en pages et le bon à tirer en avait été donné. Naturellement
10 travail fut suspendu aussitôt, et les choses demeurèrent en l'état jusqu'au mois
le décembre suivant où Jean Maspero, prolilantdes huit jours de congé qu'il avait
bataille, je me mis en état d'acquitter pour lui, (jui ne le pouvait plus, la dette
qu'il avait contractée à cet égard auprès du Gouvernement égyptien, et, pour
67860, mais dont le texte était prêt pour l'imprimeur. Les hulico^ faisaient
défaut, car Jean Maspero ne les rédigeait qu'en dernier lieu, lorscpie le reste
de l'ouvrage était en bonnes feuilles : j'en compilai trois, les n"" 1, H, IX, et
M. Bernard llaussouUier, qui avait été le maître aimé de mon lils, rédigea le
les tierces après moi, et de corriger les fautes qui m'avaient échappé : je ne
eût dépassé de beaucoup le chiffre de huit qu'il compte et que je trouvai prêtes
VIII
remplacé celui-ci. Les photographies d'après lesquelles l'ensemble avait été exé-
cuté sont la dernière œuvre de notre collaborateur François Daumas, qui,
relégué dans des bureaux d'administration pendant les premières semaines
d'août, refusa de s'y enfermer à l'abri du danger quand tant d'autres s'expo-
saient, et fut tué dès septembre 191^», li'ois jours après son arrivée sur le
enrichie grandement par des fouilles, par des saisies chez l'indigène, par des
67803, 67306, 67805, 67808, 6781 1,67815, 67816, avaient été cédés au
Service par M. Beaugé, ingénieur en chef des chemins de fer égyptiens à Assiout,
et que les n°' 6728/1,67285, 67386, 67297, 67801, 67807, avaient été vendus
par deux indigènes qui n'avaient pas pu, ou n'avaient pas voulu, dire comment
ils en étaient devenus possesseurs. En outre, plusieurs caisses provenant des
fouilles anciennes de M. Lefebvi-e, et ne contenant, d'après leur inscription,
que des papyrus coptes, lui avaient rendu, après examen, une certaine quantité
de pièces écrites en grec. Il n'avait pas inséré ces nouveaux venus dans les deux
premiers volumes, dont le plan était déjà établi, car il estimait qu'ils étaient en
un enfant délicat, et que sa mère no conduisit pas sans difficulté à travers les
naire, et s'embarrassant dans sa lan{;ue sitôt qu'il se mettait en colère, ce qui lui
arrivait souvent, inventant vinjft sortes de jeux dans une seule après-midi, et
chappait à son attention. Il s'imprégnait ainsi sans elTort de bien des connais-
sances premières, et ce fut dans la famille un étonnement général, lorsque, sa
mère s'étant avisée un jour de lui montrer les lettres, elle s'aperçut (ju'il savait
déjà pres([ue lire. Tandis qu'elle faisait la leçon au frère aîné, le cadet écoutait
et il avait appris seul l'alphabet puis le syllabaire. Parfois seulement il intervertis-
sait les caractères et il déchiffrait et où il y avait le; on n'eut qu'à redresser deux
ou trois mauvaises habitudes pour le transformer en bon écolier, capable de
suivre des classes avec profit, et cl- lut l'affaire de quelques semaines. Aussi le
voit-on dans la photographie suivante, assis au premier rang d'un groupe d'élèves
du lycée Montaigne qui ont obtenu la Saint-Charlemagne. 11 est si petit encore
que ses pieds ne touchent pas à terre; ses lacets de bottines pendent négligem-
ment de droite et de gauche, mais il ne songe pas à les renouer, car il suit atten-
tivement les moindres gestes de 1 artiste, non ([u'il se méfie cette fois, il désire
voir comment on va opérer sur ses camarades et sur lui. Tout l'intéresse en
ce monde, la grammaire comme l'histoire, les livres de Jules Verne qu'il
dévore entre deux devoirs comme les fables de Florian ou de La Fontaine qu'il
débite avec feu, d'une voix bien nuancée pour son âge, la musique et une pro-
menade au Val-Fleury : au Luxembourg, tandis que les mères causent adossées
à la statue de Laure de Noves, aucun de ses camarades n'apporte plus d'ardeur
que lui à bien mener une partie de barres ou de chat perché. Parmi les livres
le dôme, les bras agrippés à la balustrade de granit, le menton sur les bras,
qu'il ne sait quoi en sorte? Devinera-t-on jamais les idées ou les rêves qui sur-
gissent, sous le poids d'une grande émotion, dans le cerveau d'un enfant
de huit ans? Les années passent, si lentement et si vite à la fois : il est en qua-
trième, il est en troisième, il est en seconde, il a des prix à Louis-le-Grand et au
concours-général encore llorissant malgré les réformateurs. Costume marin,
jambes nues, pantalon court, vareuse blanche, grand col rabattu, c'est ainsi
allait chercher une couronne sur l'estrade, le public vibrant de ces fêtes, le
voyant si petit de taille et si jeune encore au milieu des autres lauréats de deux
ou trois ans plus âgés, éclatait en applaudissements, le président. Wallon, com-
me les professeurs et les parents. Bientôt le baccalauréat es lettres le [)rit, puis,
déjà une œuvre d'érudition originale qu'on aurait pu vraiment publier à profit
pour la science : le résumé très bref s'en trouve à sa place chronologique dans
la liste des positions de thèses de la Faculté des Lettres de Paris.
La vocation vers l'Egypte s'était éveillée déjà en lui, mais au début, elle ne
se manifesta point de manière exclusive. Tout enfant, il avait témoigné d'un
goût fort vif pour la botanique; puis la passion des médailles s'était développée,
et, vers la quatorzième année, il n'avait pas connu de joie plus grande que
d'aller fureter chez les antiquaires du quartier Latin, à la recherche des bronzes
rares des Césars gaulois ou des potins d'Alexandrie. Il poussa bientôt jusqu'aux
empereurs d'Orient, et l'étrangeté fastueuse de leur costume lui suggéra l'envie
de connaître leurs tragiques histoires plus en détail qu'on ne les enseignait au
collège. Avant de s'abandonner sans réserve à l'égyptologie son père s'était de-
mandé pendant assez longtemps s'il n'irait pas plutôt à l'archéologie byzantine,
et la période des seconds Macédoniens avait surtout captivé son attention : il
lui était resté de ce penchant vite réprimé et des études qu'il avait entraînées
une petite collection de chroniqueurs grecs ou arabes et d'ouvrages modernes
relatifs aux mêmes matières, dans laquelle l'enfant se plongea avec délices. Le
bel ouvraj]e de Gustave Schluinbcr{;er sur Nicépliore Pliocas ayant paru, entre
tant, il ne Jit rien aux siens, ne voulant leur révéler ses projets davenir qu'après
en avoir fini avec son éducation scolaire. H ne la termina pas dans la maison
maternelle, où elle avait commencé au milieu de tant de tendresse : au mois
d'octobre 1899 son père, ayant été obli{jé de retourner en Ej^ypte [)Our y re-
guider. Ce fut, loin de la famille, un temps de labeur assidu dans toutes les
hiverner deux mois en Egypte. Ce séjour au foyer paternel, le premier qu'il lui
ne chantait plus sous ses doigts (|ue des rêveries mélancoliques, les vers qu'il
pensées que le travail acharné. Les trois dernières années lui avaient apporté
une de ces épreuves dont les caractères les plus fermes ne sortent que meurtris,
une affection malheureuse pour une jeune fille, charmante du reste mais insou-
des exercices excessifs et l'esprit par des obligations et des études nouvelles,
réussit bien juste à éclaircir un peu les idées sombres ([ui menaçaient de l'envahir
à jamais. En octobre 1 901'!, âgé de dix-huit ans et demi à peine, il avait demandé
à s'engager comme volontaire, au bénéfice de l'article 28 d'une loi qui expirait
à ce moment môme. Il était petit, grêle, étroit de poitrine, myope, et, bien
qu'iljouît depuis l'enfance d'une santé inaltérable, il n'offrait pas l'aspect vigou-
bienveillance intelligente d'un médecin chef, mais il n'était pas rassuré sur
rissue du second examen qu'il devrait subir en se présentant au réfjiment, et
s'il était refusé, ce serait la nécessité de demeurer trois années sous les dra-
donc à Dreux assez troublé, et, par une matinée sombre de novembre, il attendit
avec des battements de cœur que son tour vînt de se ran^jer sous la toise.
Le
major était invité ce jour-là à une partie de chasse, et si rapidement qu'il pro-
cédât aux opérations, l'heure fuyait sans qu'il arrivât au terme de
sa corvée.
nance entra dans la salle et lui souilla quelques paroles à l'oreille; sans plus
tarder, il ramassa ses papiers et sortit en mauj^réant. Jean, resté dans la salle
ffou non. — Ne voyez-vous pas que vous êtes pris? repartit le sergent. On est
«venu l'avertir tout à l'heure que s'il voulait ne pas manquer le train de chasse
ffil avait juste le temps de courir à la gare, et il vous a reconnu aussitôt bon
l'origine de la liaison qui se noua entre l'élève et le maître, et jamais élève n'eut
pour son maître plus de respect et plus d'affection. La première tentative vers
l'agrégation ne fut pas heureuse : il échoua au mois d'août 190G, faute de
quelques points. La seconde en 1907 lui réussit mieux, malgré quelques menus
leçon, un des membres du jury interrompit brusquement son exorde pour lui
crier : «Surtout pas de phrases k la Michelet!-. IN'est.pas un Michelet qui veut
et il ne se llattait pas d'en être un, mais pareille apostrophe n'était-elle pas
bien faite pour déconcerter un candidat? 11 garda pourtant son sang-froid,
teur hostile à la manière de Michelet, et qu'il fut reçu en bon rang, malgré
sa jeunesse : il n'avait pas vingt-deux ans. A ce moment une question grave
se dressait devant lui : entrerait-il dans l'enseignement secondaire, ainsi que
son titre nouveau lui en conférait le droit, ou solliciterait-il un congé afin
(le prc'paier le doctoral es letlres el de gagner plus lard une chaire dans ren-
seignement supérieur? LoLdigeance de M. Cliassinal le tira de Tenibarras de
choisir lui-nièuie en hii proposant un des postes vacants à rinstilut français d'Ar-
chéologie orientale ('lahli au Caire. Celait lui ollVir Foccasion d'explorer à fond
une des provinces les |)lus importantes du premier empire byzantin, et, en même
temps, d'apprendre par la pratique journalière la langue des rivaux de Constan-
linople en civilisation el en art militaire, les Arabes. La connaissance insulli-
sanle de Taiabe a /-té jus(|u'à ce jour le point faible de la plupart des savants
moments perdus l'élude de l'art et de la langue coptes, ainsi que celle des
dialectes actuels du Saîd et du russe. Au début, il avait conçu l'idée de s'atta-
cher au règne d'Héraclius et de ses fils. Il voulait tirer le sujet de sa grande
Ihèse des destinées dramatiques de ceux-ci, et il songeait à prendre chez
Jean de Nikiou celui de la petite, mais bientôt la richesse du Musée du Caire
on papyrus byzantins lui suggéra d'autres desseins. Selon un usage que j"avais
introduit dans l'Administration du Service des Antiquités de l'Égvple, il de-
manda et obtint d'être attaché pendant deux ou trois mois chaque année au
Musée, afin d'y collaborer à la rédaction du grand Catalogue. MM. Quibell et
Lefebvre, exécutant des sondages à Kom-lchgaou, y avaient recueilli une masse
de documents parmi lesquels Lefebvre découvrit ses fragments de Ménandre.
et la collection, sans cesse accrue par les soins de la Direction, avait fini par
atteindre des dimensions considérables. Ce n'est pas ici qu'il est nécessaire de
raconter comment Jean Maspero déroulant, classant, décrivant, commentant ces
pai)yrus, édifia ainsi le corps le plus complet qu'on ait jusqu'à présent de j)ièces
appartenant à celte époque. Le premier volume parut en deux fascicules de i
q i o
à 191 I, le second en trois de 1911 à 1918, el celte entreprise, (]ui aurait
sufii seule à occuper tous les loisirs d'un lahorieux, lui laissa encore le temps
d'écrire une vingtaine d'articles j)our difl'érents recueils, Ainialca du Service des
Anhiiuitrs, Bnllelm de l'Insldul français d'Archéologie oricnlalc du Caire, Bévue de
l'hislotre des BvUgions Bévue
, crili(jue, Byzanlinischc Zeil.sclirift , Journal des Savants,
Iki'Hc (le Philologie, Urctic (1rs Etudes o-recjjues. Quelques incideiils vinrent cou-
rOasis de Kliargueli en 1910, et, en 1911, une croisière avec les touristes du
D'" Ollivier. Jean Maspero avait ce don si précieux et si rare de pouvoir mener
vingt aiïairos de front, et de se consacrer entier à cbacune d'elles, comme s'il
n'avait à se mettre en jjcine que de celle-là. Les bivers et les j)rinlemps fuyaient
nople et Albènes, une autre le Midi de la France. Quatre fois, de 1906 à 1912,
il ne rentra que pour être appelé à remplir des [)éi-iodcs d'instruction militaire.
Il aurait pu aisément, comme l'a fait [)lus d'un, styler son concierge à répondre
ceux qui, ne parlant jamais de la nécessite' de faire leur devoir (|uand celui-
libre, dans un petit pavillon que les siens possédaient à Milon-la-Cbapelle, sur
le ru qui descend de Port-l\oyal. 11 écrivait, il lisait, ou il ei'i'ait dans Ins bois
voisins pendant des journées entières, et le soir, après avoir joué du ])iano une
ou deux heures durant, il se retirait |i(>ui' fumer et pour travailler encore dans un
cabinet <pii ouvrait de plain-pied sur la cour : lorsque la nuit était belle, il
sortait volontiers au jardin, et alors on l'entendait (|iii s'y promenait sous les
Reymond, avec Massé et Wiet les arabisants: lorsipie Wiet se fut marié, il trouva
auprès du jeune couple une amitié lidèle, et il commença avec le mari, sous le
trucliou publique et les siens; il s'était laissé complaisamment inscrire dans les
jurys d'examen, pour les brevets de l'enseignement français des garçons et des
lilles ainsi ([ue pour le baccalauréal du Ciouvcrnemcnt égxplien. (lôlail une vio
douce et aisée, niais il l'allail songer à retourner en France : on parlait déjà pour
lui d'une cliaire darcliéologie byzantine, dont M. Haussoullier provoquait la
création à IKoole des Hautes Etudes, et il comptait terminer dans une sixième
année son Ca((ilo<>-iir des papijrus hijuuitiiis, quand des incidents survinrent (jui
envoya .lean iMasporo explorer le site de Baoïiît, près Déirout, dans la llaule-
Kjjvple. Baouît avait déjà été loljjet dinvestigations fructueuses [)ar Glédat,
Palanque et Cbassiiiat (pii y avaient déblayé une série d'édiculcs coptes décorés
seconde ([iiinzaine de janvier i()i3, Jean Masporo installa ses chantiers sur les
au(|uel rien ne l'avait ])ré|)aré dans ses ('ludes antérieures. Les trancliées creiist'es
détrempe qu'ils avaient rappelées au jour. Jean Maspero, procédant sans guide
avec une prudence et une méthode remarquables, vida dans le Lom du nord
toute une série de salles j)eintes et de chapelles, où les gralîitcs tracés sur
était fort pauvre par endroits et contenait les ruines d'un couvenl de fem-
mes, (|ue les inscriptions paraissent désigner sous le vocable d'Ama Hachel.
l'^ii moins de trois mois et demi, du milieu de janvier au milieu d'avril, François
[)rochaine. Jean Maspero copia les inscriptions monumentales, les grallites, et,
poussant des sondages aux alentours des buttes maîtresses, recueillit à la cen-
taine des lambeaux d'étoffes brodées, des lampes, des bouchons d'amj)hores
portant inscri[)tions, des débris de papyrus, des ostraca grecs et coptes, des
découvertes, tandis que le souvenir en était frais devant ses yeux et lui suggérait
cieusement qu'il l'eût tenu; mais, apprenant qu'il devrait attendre l'appa-
rition des volumes que préparaient, pour exposer les résultats de leurs fouilles,
MM. Clédal etChassinat, il abandonna son dessein. Je n'ai pas eu entre les mains
ses notes ainsi que les relevés de Daumas et je suppose qu'ils sont encore à l'Ins-
des Inscriptions. Les clichés insérés dans cet article et dans le Gitiilc du Visilciir au
leurs propres yeux, lorsqu'y seront exposées les grandes peintures (jui composè-
qu'il avait élaborée longuement pour obtenir le diplôme de l'Ecole des Hautes
Etudes, sur V Orp;amsahoti militairr de l'Eni/pIc hijzanline, et ce livre, augmentant
l'idée favorable qu'avaient donnée de lui ses premiers travaux, un de ses anciens
professeurs à Louis-le-Grand, M. Glolz, s'était empressé de l'allacher au secré-
ceptait celte mission avec d'autant plus de plaisir qu'il y voyait l'occasion de com-
battre quelques-unes des théories émises par Strzygowski sur l'art byzantin et
de les remplacer par des idées diOerenles. L'hiver s'écoula vite au milieu de ces
occupations si conformes à ses goûts et à son tempérament; l'obligation d'en finir
avec les papyrus byzantins du Caire put seule l'en arracher. H avait reçu à Paris
l" PiKRRF. IjAcvu, Note sur les travaux (le llnslitHl fraurais d' archéologie du Caire, dans les Comptes
(la troisième volume, mais il souhaitait, selon son habitude, les collalion-
ner sur les pièces orij'inales avant d'en donner le bon à mettre en pages et
le bon à tirer; restait enfin à co[)ier les derniers documents provenant de Kom-
Ichfjaou, et à en constituer la matière d'un dernier fascicule afin d'achever
sa [)art du Gatalojjue. A la date du 8 novembre i 9 i ">
, le Comité d'Egyptolouie
lui avait accordé une indemnité montant à trois mois de solde, soit en jjros 2600
francs, pour couvrir les frais du voyage d'Egypte : il obtint aisément les congés
paix sereine avant la tourmente. Les trois mois accomplis, non seulement la
collection de Kom-Ichgaou était épuisée, mais il s'était engagé à publier en ap-
pendice les quelques fragmwits de paj)yrus arabes qui avaient été recueillis
avec elle pendant les fouilles : il quitta donc le Caire, emportant avec lui son
troisième volume en manuscrit, sauf les Index, qu'il se réservait d'établir au fur
apprit à l'équipage que la guerre était imminente, et que, jjour éviter les na-
vires allemands ([ui croisaient au voisinage du détroit de iMessine, il devait
piquer droit sur Malte, au lieu de suivre la route habituelle. La traversée fut
se heurtât au Gwbcn et au Brcslau, dans leur raid audacieux sur Bùne et sur
trée en lice de l'Angleterre, incertitude du rôle (juc l'Italie allait jouer, depuis
la télégraphie sans fil, et souvent même il avait reçu par cette voie des commu-
nications (|ui ne lui étaient pas destinées. C'est ainsi qu'il fut surpris un jour
par un déluge de mots appartenant à une langue qu'il ignorait, et que l'opérateur
transcrivit fidèlement sans les comprendre. Jean Maspero y reconnut aussitôt do
lallemand et perdit plusieurs heures à eu donner la traduction. C'était un dis-
A Capreis;
attribués aux réservistes qui regagnaient leur corps : grâce à la complaisance d'un
employé de la gare, ils finirent par s'assurer deux places dans l'un doux qui pai'-
tait vers neuf heures du matin, et qui n'avait chance de parvenir à Paris que
le dimanche 9 à la même heure ou à peu près; mais il était inutile de songer à
prendre avec soi le gros bagage ramené d"Egyj)te et qui renfermait, entre autres
choses, toutes les copies de papyrus arabes et byzantins. A la hâte, on ouvrit les
malles en pleine rue, non loin de la gare; Jean Maspero fit un paquet des pa-
piers et de quelques objets indispensables, puis confia le reste à l'Agence Duche-
min, (|ui se chai'gea de l'expédiera destination, dès que cela serait j)ossible, et
qui réussit en effet à le faire une vingtaine de jours plus tard. L'on partit enfin
dans un wagon de troisième classe, rempli à sulïoquer par les chaleurs torrides
de cet août anxieux, n'ayant rien mangé depuis cinq heures du matin, si bien
que M"'" Maspero se serait trouvée mal d'inanition si quelques réservistes com-
patissants ne lui avaient donné un peu de pain et de charcuterie. Ou stoppait
à chaque instant pour céder la voie à des convois de matériel, puis on demeura
près de trois heures en gare de Tarascon, et je ne sais ce qu'il en serait advenu
mail la réserve, avait élé Ibrlemenl éprouvé près de Longuyon, et, dès le i 8 août,
on demanda des volontaires pour en combler les vides. Jean Maspero fut des pre-
miers à s'oOVir, avec quelques camarades du loi" que le progrès des années
avait repoussés comme lui dans le ;i3 i% Sautler, le fils d'un des pasteurs de Paris,
compagnie le prévint que son père venait de tomber gravement malade et que,
s'il le désirait, le commandant du dépôt était disposé à lui rendre momentané-
ment sa parole el à lui accorder une permission de deux jours pour retourner
à Paris auprès de sa mère : il avait une heure de temps afin de réilécbir el de
prendre une décision. 11 n'en attendit pas la fin : au bout de dix minutes il
répondit (ju'eulre ses aiïections ou ses peines privées et Tintérèt du pays l'hési-
tation n'était pas possible, qu'il maintenait son offre et qu'il désirait partir
pour
à compléter le 3i" quittait Melun, lleurs aux capotes, fleurs aux képis, fleurs
aux canons de fusil, parmi les acclamalions de la foule.
Si l'on désire savoir ce qu'il devint pendant le mois qui suivit, je ne [)uis
mieux faire que reproduire ici le journal de roule qu'il tint hâtivement. Ce
n'est pas l'œuvre d'un homme bien placé pour dominer la situation et pour
saisir l'ensemble des événements : c'est celle d'un simple soldat perdu dans la
«sans doute là ce qui m'étonne le plus ainsi qu'à Waterloo Fabrice del Dongo,
moindres circonstances; les témoignages sont unanimes sur tous ces points.
aC août, mercredi. — Arrivée à Doinbaslc lmi yVrjjoniic (une carie postule, vue de la i;are).
Coinbal à Élain. I.e ])riiil court (jue le corps alleinand de Strasbourg [est] anéanti par
compagnie à 2G0 hommes il en est resté 27. On a fait donner à la baïonnellc un batadlon
contre deux régiments cachés dans un bois. Cet ordre a abouti à la presque destruction du
bataillon. Et Drouet"', en était-il? — Des voilures passent chargées d'émigranls fuyants:
Etain brûlée. — Cantonnement à Avocourt, après marche doublée par des contre-ordres.
butions non prêtes, désordre. Cantonnement dans l'église, un [homme] sur l'autel.
ag août, samedi. — Réveil à 3 heures et l'on ne part pas. Le bruit court que /looo Alle-
mands ont passé la Meuse ;i quelques kilomètres : l'artillerie les aurait laissé passer et aurait
ensuite coupé le pont de quatre coups de canon. — Hier 28, formation des escouades. J'ai la
neuvième, [dans] la neuvième compagnie du 3i'. 11 restait en tout cinq hommes de l'active sur
la totalité de l'escouade. Le 3i' a été décimé dans une charge de 1200 mètres à Longuvon.
Le général R destitué pour son incapacité. — Marche écrasante sous le soleil et dans
les interminables côtes de lArgonne. (3n marche entre des files de soldats lombes de coups
de sang.
3o août, dimnnehe. — Seconde marche identique sur Montfaucon et retour aux positions quit-
tées la veille. — On nous dit que nous formons la réserve des avant-postes, mais c'est inexact,
et le soir nous sommes attaqués par un peu d'artillerie et les mitrailleuses. Je reçois une balle
qui ne pénètre pas et va frapper Mary, le premier de mon escouade, en ricochet, à la cuisse.
— Rivouac, ou plutôt couchage en plein champ, luiit gelée. Depuis deux jours on ne mange
rien.
3i (loiil, lundi. — Dès /( heures, alta([ue ih' la division allemande qui a passé la Meuse'-'.
— De -'i heures à 1 1 heures, obus et mitrailleuses autour de Fossé. — iMorl du lieutenant
Renauld, à quelques mètres en avant de moi. Plus d'officiers à la compagnie.
1" septembre, mardi. — Deuxième nuit de bivouac, juste en face des batteries allemandes.
Canonnade jusqu'au milieu de la nuit. A 2 heures du malin, départ sans bruit, mais la bat-
terie allemande a été réduite au silence; les Allemands sont en retraite. — Départ. Cantonne-
ment à Raulny.
a septembre, mercredi. — Réveil à U heures, après enfin une nuit de repos. — - Positions
prises dans le bois de Raulny. Les shrapnells continuent à tomber sans grand donmiage. —
Jolie journée dans le bois. On oublie prestpie. Pourtant, parfois, ou regarde les heures pour
savoir (juand la journée sera finie. Rataille. L'ennemi réellement r(qioussé. — Nuit passée à
geler dans le fossé-tranchée du bois de Raulny.
3 septembre, jeudi. — Combat le matin dans le même bois. On tire : sur qui? Rrusque-
menl, nouvelle retraite : pourquoi? La troisième et [la] quatrième section doivent se retirer
«dans la direction du Soleil». Erreur dans le bois, balayé par les obus. Nous retournons à
''' C'était le nom d'un' de ses anciens camarades de régiment qu'il avait connu au cours de ses
vingt-huit jours, deux ans auparavant.
'-' Par inadvertance Jean Maspcro avait écrit le Rhin.
Aprcinont évacué. In peloton de ulilans à aoo mètres. Retour ù Baulny. Là, nouvelles du
réj^imcnt : après, (jueKjues heures de niarclie é{;arée en pays occupé. Marclie épuisante jus-
cantonnement.
f) septembre, samedi. — Départ à .'!
iieures el demie. iMarche fatigante juscpi'à Louppy-lc-
(iliàleau, oii cantonnement l'après-midi. (juel([ues heures de repos. — Départ le soir com-
mencé. Mais on reste.
Comhal après Villers-sous-le-Vcnt. Tout le malin nous avançons, fuite des Allemands. J'en
se replier. Puis vague retour. Enfui on se replie sur le village. La pièce de vin ahandonnée
dans une cave. — Cliatelam blessé'^'.
7 septembre, lundi. — Bivouac dans un hois. Le matin, pendant (juatre heures, l'artille-
rie nous homharde de percutants à (luehjues mètres. — Le soir, même chose moins violente.
Une troupe allemande traversant un champ de betteraves à 800 mètres est canardée. Au soir
nouvel ordre de se replier, puis ordre de revenir. Trop tard. — Le soir, je fais partie de la
Prairie sous la lune entre deux bois. Ruisseau plus une sorte de source creusée par l'éclate-
ment d'un obus. —A 5 heures, le cond)at d'artillerie reprend. On parle du i5' corps qui
doit venir nous soutenir. Mais oii est-il? Les Allemands nous ont tournés en fer à cheval et la
position devient critique. J'écris ceci à G heures et demie, les obus éclatent sur la route et
on ne sait rien. — Longue attente. Notre sentinelle frappée à quelques mètres d'un shrapnell;
Sauttcr et moi la pansons. Saulter découvre deux brancardiers, les autres sont cachés sous
un pont et refusent de sortir. Le blessé a été touché à la hanche et traversé, il est perdu. Son
sac et SCS cartouciiières me refont mon é(iuipement égaré ou brisé. — Le soir, retour à la
tranchée abandonnée le 7, el (pii avait été réoccupée par le '.\i° et le liii' dès la veille. Tir
fauchant d'une batterie en face de nous <à ()oo mètres. Les obus éclatent juste sur nos lêles
an ras de la tranchée. Trois morts seulement et six blessés, mais l'effet est assez eilrayant.
Q septembre, mercredi. — Nuit et journée passées dans la tranchée encore. C'est la (pia-
l,^.(!. — Suite d'obus alliMuands. Vers 1 1 heures, l'artillerie française tire sur nous une dizaine
d'obus percutants. Panicpie entre les deux artilleries. Un gros caporal, caché sous un l)uisson,
baise une vierge de Lourdes tirée de sa poche. Entre lui et moi éclate un obus. Fumée grise
et assourdissante. Notre voisin conuuun, alleini à la tète, nous supplie de ne pas l'abandonner.
1" Il s'a;;it d'un ollicier allemand apparlonanl à un réj;imenlde la garde prussienne. Il avait été
tué d'une halle au front, mais il tenait encore sa jumelle à la main et son bidon était encore plein
gnie ce jour-là.
— Le reste du jour relativement ciilnie. — Nuit toujours chnis la trancliéc, mais il pleut; on
se réveille dans un lac. — Devant nous, un cheval (?) mort nous empeste. (Iclle tranchée
10 sepk'inbir ,
jeudi. — Peu de matin de
chose le ce cinquième jour. Pluie.
11 septembre, vendredi. — canonnade,
Id. sixième jour. Pluie.
1 2 septembre, samedi. — Septième jour. Construction dune cabane dans le fossé. Ij'en-
nemi se retire. Nous Pavons contenu au centre. A droite, le 6' corps a avancé hier de quinze
kilomètres; à fauche, le 5' a aussi avancé. Le plan est d'encercler les ^0,000 allemands qui
sont devant nous. — Le soir, on sort à quelques kilomètres. Bivouac dans un bois, sous une
rafale de pluie et de vent. Sautter, moi et un sergent, assis sous un petit abri creusé en terre
et couvert de feuilles, avec la bâche verte rapportée avant-hier par Sautler. Je compte les
de Villers-au-Vent, là où est tombé Châtelain. Nous reconnaissons les corps verdis des morts
qu'on a laissés sur place. Puis, tout le long de la route, cadavres d'honunes et surtout de
chevaux. Enormes quantités de fusils, casques, deux parcs d'arlillerie avec beiuicoup d'obus
non utilisés, abandonnés par les Allemands. Lnpression de déroute. — Cantonnement à
Belval.
i4 septembre, lundi. — Pointe en Marne, puis retour en Meuse à travers les villages sys-
tématiquement brûlés par l'ennemi. Dans la plupart il ne reste pas une maison. D'autres
seulement pillés; armoires défoncées, tout jeté sur le plancher. Partout on apprend (|ue les
i5 septembre, mardi. — Contremarches inutiles vers Clermont. Puis retour dans un bois
près de Montfaucon. Cantonnement dans une ferme, où on arrive la nuit en silence, sous le
canon, avec trois villages en feu à l'horizon. Les Allemands se sont enfin arrêtés. La nuit, je
dois, avec ma neuvième escouade, chercher les distributions de la neuvième compagnie. Les
voitures se sont arrêtées sur la route, à deux kilomètres qu'il faut faire dans le noir, à travers
posée du vallon; on les voit à 6 ou 800 mètres. Ils mitraillent à notre droite. Ici nous n'a-
vons que quelques shrapnells (j'en ramasse un morceau) qui visent en réalité l'artillerie
placée derrière nous. — Bivouac par une nuit sans pluie, enfin, sur place.
1 y septembre, jeudi. — Pluie. Mêmes incidents. Pluie de shrapnells qui provoque une
nouvelle panicjue. Ordre d'évacuer les tranchées, retraite sous bois. Arrivés à la roule, ordre
de revenir aux tranchées. — Le soir, construction d'un abri avec bâche et la tente allemande
de Sautter. A peine installés, vers 8 heures, ordre de départ. On part dans la nuit, en file
indienne, sans lune, sous le bois, chacun accroché à celui qui précède. Bafalc extraordinaire
de vent et de pluie. Les sentiers en pente sont des glissières. Sur la route, pluie et grêle.
Le vcnl osl SI violent (iii il arièlc presque \,i iiiaiclie. On va cantonnera Avaiu'oiirt, à six kilo-
mètres. — Arrivée m'I's i i heures. Distribulioiis ([iii diireiil jusiprà une heure et ileniie. l"]l
(lépart à :>. heures ihi matin pour retourner à laltacpie ih; Monlfaucon. Les roiili'S sont de
à Aihv. i'ar eux nous aiiprenons combien rnnasioii allemande a été proche de Pans. Le soir,
à la mut, iioindle marche sons bois, où Ion s'i'jjare. Halle au bord d'une route, ii bout de
soufll<^ et nouvelle iiiiil sous la pluie; tout le monde malade!.
mais Hon s'est fait évacuer. l\uit sous la tente-abri, sans pluie. Mais les cliaussures ne sont
pas sèches, l'I, les pieds jji'lés, je ne peux encore dormir. Le lieutenant Jilanc déclare (|ue
nous sommes ici pour huit |oiirs.
2 senlcmùri', dtmanehe. — Pluie de nou\eau. On attend des outils de parc |iour nous
retrancher contre I ailillerie. Joli paysage dans les bois. iMilin, commenceineiit des trancbécs
creusées à i m. .lo cent, de profondeur, très étroilcîs, avec une baïupielte. .le \ais cherclicr,
là où était hier le .5.j", d'énormes rondins de bois pour la toiture. On les place en (piadrillage,
puis des fascines, euliiiom. 5o cent, de terre environ. Liî tout sera suflisant contre l'artillerie
môme. A côté, le lieutenant et les serments se sont bâti une maison en moellons. Pour la
première fois nous aurons un abri conire la pluie. Mais, à peine achevé, vers (i heures et
demie, on \ieiil nous pré\('iiir (piil faut partir, la Iiuilièine compagnie devant nous remplacer
et s'en aller elle-même à .'5
heures du matin. IS'ous, nous irons dehors attendre a heures du
malin, puis départ jiour un caiilonneinenl. — Par les clieimns-fondrières, nous revenons à
ipii sont occupés, el il faut allciidrc >. hi'iircs du matin sous la j)luie, assis sur son sac. C.ha-
lumeaii et sa lampe électruine.
arrivée à Ch(!ppy, où nous devons, a dit le major, nous reposer deux ou trois jours. Or le vil-
lage est canonné par les Allemands depuis cpialre jours, disent les habitants. Il est vrai (pi'il
est dans un bas-fond (pu reiirésente un angle mort pour leurs batteries mal placées. Ils arri-
vent à faire sauter trois on (piaire maisons, (iiiisine dans une cour de ferme, sous une rage
continue et inutile de per(;iilants et de shrapnells. — Le; soir, on vient chercher la troisième
section pour soutenir uni! batterie à un kilomètre des là. Arrivée; à la nuit, .h; pars en petit
poste au fond d'un vallon, à l'angle d'un boipietcau qui se remplit d'un brouillard où l'on gèle.
Retour au matin.
U2 septembre, mardi. — Fièvre; visite; un jour exemption de service. Je pourrai enfin
rester trancpiille, mais à midi on emmène tout le monde hors du village el l'on ne revien-
dra peut-être pas. l*ourtant retour au soir et première nuit de sommeil dans la paille. A
minuit juste, une fusillade sonne le réveil. C'est une altacjue de nuit allemande.
Ï\1V •
Ici s'arrête ce journal écrit au crayon, sauf les deu\ dernières pages qui sont
à l'encre. Une grande tache d'eau mêlée d'un peu de sang recouvre le haut des
feuillets; l'écriture est ferme, moulée soigneusement, et dans sa sécheresse pré-
cise, parfois ironique, ce document rellète exactement l'état d'esprit de tous ces
gens qui, prédisposés par nature à jouir do la paix, se trouvaient jetés sans pré-
paration dans une guerre préméditée do longue date par l'ennemi et puisaient
dans leur intrépidité rélléchie la force de le refouler puis de le contenir. Sur ce
même carnet où Jean Maspero notait son itinéraire, on rencontre des croquis
de soldats saisis dans des postures diverses, les listes des hommes composant
l'escouade, les adresses parisiennes de quelques amis particuliers, une pièce do
vers raturée et corrigée en plus d'un endroit, la Préface d'un recueil qu'il espé-
J'ai sous les yeux la correspondance qu il avait adressée à sa mèi'c : toutes les
ne serait plus pour les siens qu'un nom dans la 3r compagnie, h'' section,
281* régiment d'infanterie, llottant vaguement quelque part dans le nord, si
une carte postale illustrée ne nous apprenait qu'à la date du 1" sejttembre il
était dans la Meuse, rue de la Gare, mais le nom du village, que nous sûmes plus
tard être Avocourt, est effacé. 11 s'inquiète des épreuves de son Catalogue byzantin
qu'il n'a pas eu le temps de corriger avant de partir, et le ^^i septembre , il espère que
rimprimorie du Caire atloiulra !a fin do la guerre, sinon M. Haussoullier voudra
bien se cbarg^er de la revision. Tous ces billels arrivent en relard, par paquets,
ceux du 1^1 septembre le 18, puis le silence se fait pendant dix jours, et le 98
une carte écrite à Dijon, le 26, à la gare, raconte en six lignes qu'il a dii être
«La blessure cpie j'ai renie, y écrivait-il, est, comme me Ta dit le premier major qui l'a
vue, miraculeuse. Une balle de slirapuell m'a traversé la cuisse droite en plein et en ol)li(juc,
sans rencontrer ni l'os ni l'artère. 11 n'y a qu'à attendre que cela se referme. On dit que ces
balles rondes en plomb n'ont pas de force de pénétration : la mienne a trouvé encore le moyen
d'égratijjner le jjenou {jauclie après avoir traversé la cuisse droite.
ttJe l'ai reçue le 23, à Clieppy, près de Montfaucon en Argonne. Nous avons été attaqués
dans la nuit du 29 au a3, la première, depuis ijuinzc jours, où nous avions un toit. Les pe-
tits postes se sont laissé surprendre, et la fusillade dans les rues nous a réveillés, .le n'ai jamais
vu (piebjue cliose de plus épouvantable, l'ersonne ne savait où étaient les Allemands, cl on
n'a jamais deviné s'ils étaient réellement entrés dans les rues, ou s'ils tiraient du deliors Les
coups tirés dans les rues l'étaient au hasard. Un instant je suis arrivé à l'extrémité de la grand'-
ruc, cliercbanl ma compagnie; j'ai deviné à cinq ou six mètres un groupe confus, où on criait
Halte! et Marche ! .l'ai cru reconnaître une voix, quand j'ai vu, juste sur un coin de ciel, la
pointe d'un casque. Il était temps de .s'arrêter. D'ailleurs eux-mêmes [ces Allemands] parais-
saient désemparés et craignaient un piège, car ils n'avançaient ni ne tiraient plus. Si nous
avions tenu dans le village, il en serait revenu bien peu de ces assaillants peu audacieux. Mais
il n'y a plus d'ofTicier. Tout le monde était parti au hasard. J'ai fini par rencontrer vers une
heure l'uniipie lieutenant de ma conq)agnie. Blanc, qui lijchait d'arrêler (pichpies hom-
mes. Il était malade et je l'ai presque porté pendant trois heures errées dans la imil. Nous
sonnnes revenus au village complètement désert, les Allemands n'osant toujours pas s'y instal-
ler; mais la position était perdue. Au petit jour, quelques bribes du bataillon se sont postées
à 5oo mètres du village, sur une crête Nous étions avant la crête, pour voir l'ennemi,
mais nous ne pouvions pas tirer sur lui, puisque nous étions couchés dans l'herbe, la têle
vers le fond du vallon Heureusement leur tir d'infanterie est nul et leur artillerie
vise mal, ce (pii fait ([ue nmis avons pu les arrêter là de cinq heures du matin à midi. Vers
I 1 lii'ures et demie a passé sur nous un aéroplane prussien (pii a jeté (piehjiies fusées
blanches au-dessus de notre ligne, pour signaler notre position à l'artillerie. Un cpiart
d'heure après c'était la fin.
"Beaucoup se sont sauvés et sont morts de s'être sauvés. Nous sommes restés à cpiatre ou
ciiKj, pendant que le lieuleiianl avait totalement disparu'''. C'est vers midi que j'ai reçu ma
balle. Tout le monde passait sans s'iiKjuiéler de ceux qui demeuraient. Je ne sais comment j'ai
''' Il n'a point reparu depuis ni en France, ni en Allemagne : on suppose qu'il a ilù iiiouiir
dans (juclquc coin el (jue sou corps n'a pas été retrouve.
pu arriver à une ferme, deux kilomètres plus loin, en rampant dans les sillons pendant que les
obus continuaient à balayer le vallon oii il ne restait pourtant que des blessés. A la ferme,
j'ai trouvé un aide-major très occupé qui m'a dit : -Je ne m'attarde pas une seconde de
plus ici, tâcliez de vous défiler par les boisw. Des bussards que j'ai aperçus m'ont InMireu-
sement montré le cbemin, et c'est après neuf kilomètres que j'ai rencontré deux soldats qui
m'ont emporté jusqu'à un poste de brancardiers. .Maintenant tout est tranquille. L'avance al-
lemande s'est bornée à deux kilomètres. Quant à ma blessure, je puis dire (ju'elle m'a sauvé.
Encore quel(|ues jours de cette vie et je restais dans un fossé. Depuis (juinze jours pluie sans
arrêt, nuits employées à geler dans l'eau, dans les bois, au fond des Irancbées devenues des
lacs. Je ne pouvais plus remuer les épaules fourbues de rliuinatismes, et le 'j'.> on m'avait pro-
seul à travers les bois, l'avaient tellement épuisé que peu avant de rencontrer
les deu.\ camarades charitables il était tombé au bord de la ronte sans connais-
sance; revenu à lui après un laps de temps qui lui parut assez long, il n'avait
remirent sur pied rapidement, «.le suis, écrivait-il à sa mère''', dans une petite
rr chambre où deux lits seulement sont déposés. Tu ne peux savoir combien la vue
ffde ces choses propres, d'une armoire à glace et d'un papier à lleurs rouges,
rrest reposante. Gela n'a rien de la caserne ni de l'hôpital, et c'est nue véritable
«chance pour moi que d'avoir été envoyé ici Une dame qui vient souvent m'a
cr prêté ses livres et m'oiïre de faire des commissions. Je l'avoue que je n'ai pas
ff l'ésisté à la tentation de faire venir un sac de bonbons en chocolat : c'est ce que
«j'ai pu trouver de plus éloigné de la vie militaire. La seule chose bi/arre, c'est
«que je me sens plus fatigué qu'auparavant. Mes deux pieds, à force d'avoir
«moisi dans l'eau, sont pris par les rhumatismes, et cela m'est plus désagréable
elles. Les Allemands ne comprendront jamais jusqu à quel point ils ont nui à
leur cause et contribué à leur défaite finale par les actes de sauvagerie inutile
qu'ils ont commis partout contre les personnes et contre les églises. 11 avait jus-
qu'alors considéré comme trop noirs les récits que les hommes d'un certain âge
lui faisaient des atrocités commises en 1870 par les Bavarois, par les Prussiens
ou par les Badois, et il en avait attribué l'exagéi-ation supposée à des rancunes
nationales bien compréhensibles chez des vaincus. L'événement l'obligea à confes-
ser f[u"il n'y avait rien de trop dans leurs paroles, et que les fils ou les petits-fils
des soldats de MoUke avaient trouvé le moyen de dépasser cent fois leurs [)ères.
A |)artir de ce moment, il n'eut plus dans son esj)rit que deux })réoccupations
([u'il ne l'obtiendrait qu'aj)rès avoir regagné au plus tôt le dépôt de son régi-
ment, transféré inomentanément à Albi. Ceux qui connaissent l'aspect de la
Domini(jue de Florence, au-dessus d'un j)etit café où il prenait ses repas, j)uis
ho rue des Carmélites où il s'ennuya prodigieusement. Les ressources intellec-
tuelles de l'endroit étaient des plus bornées, rr Jusqu'ici, écrivait-il le 20 octobre,
ffj'ai trouvé de quoi lire, n'importe quoi, mais enfin quelque chose. Je vais sortir
«demain pour voir s'il n'y aurait pas une bibliothèque [trètant ses livres, mais
ffcela me paraît peu vraisemblable -7; il constata avec regret qu'il n'y on avait
pas en eiïet. Et, avec cela l'aiïaire du congé de convalescence ne faisait aucun
progrès. Malgré les circulaires ministérielles, les autorités militaires répugnaient
et poussant leurs reconnaissances assez loin aux alentours. Quand elle fut partie,
Jean, plein d'une ferveur nouvelle, recommença son éducation militaire. Les rudes
fatigues que son grade de caporal lui avait imposées en août et septembre lui
avaient fait regretter de ne pas accepter le poste de sergent qu'on lui offrait au
mettre en état de servir le pays plus utilement qu'il n'avait fait juscju'alors. Des
amis bien intentionnés lui remontrèrent que c'était là une ambition funeste :
les Allemands repéraient les gradés avec soin, et tout officier d'infanterie
«comme j'y tenais; le commandant qui faisait passer l'examen est celui qui avait
d'esj)oir dans le succès final, animé d'une gaieté un peu mélancolique, avide de
savoir ce qui s'était passé depuis le commencement de la guerre dans le monde
(Je la science et de la litléralure. Il coirijjea (]uelque.s épreuves demeurées en souf-
IVance du IroisièineVoluuie de ses P(ijiijrii.s bi/zanlins, annola au crayon les derniers
fouillols do son manuscrit (|ui iravnienl pas été envoyés encore à l'impression;
entre la musique cl les causeries intimes le resie du temps s'écoula presque sans
(ju'on le sentit, et (juand le samedi, au soir, riieure du départ sonna, il partit
6 février i[)t'i-
— M<' voici .uTivé à l.a lîoclic, où nous avons un Ioiij; temps d'anèl. I.i'
but osl (iliaiiinonl oii nous serons (lemaiii; di' là mit ne sait toujours si nous revenons en
Arjjonne on si celte fois ces! |)oiir t'Alsace. il lait 1111 lenins sunerije, et je crois (luc les Arais
inenl où nous étions au début. Il pleut mais le temps n'est pas froid et tout s'annonce mieux
(pic la première fois.
reprendre la guerre exactement an village oi'i je l'ai laissée il y a (|uatre mois. Mais la nou-
velle manière de se battre nie parait juscpiici très supérieure à celle (|ue j'ai connue. A pré-
sent (pi d ne s'agit plus d'avancer à la baionnelle, on prend la ])euie de s installer. I-es
villages ont rallié (piebpies liabitants, on re\oit (|iieltpies l)oiili([ues, il v a même un mess
(pii jiis(prici a pu i'onctionner et nous faire très agréat)l(Mneiit déjeuner. Je ne connais à la
septième compagnie (pinn sergent, mais il y a plusieurs camarades avec (|ui lier conversation,
(!t ji; r(!vois l5on et i arcbitecte (lastelin |)res(pie (piand je veux. Le travail na pas été dur
cette semaine. Toujours des pi''régrinalions dans cette sinistre foret de l'Argonne, (pii est
niaint(Uiant dévastéi;. I>a nioilii' des artires sont faucbés par les obus et se terminent eu pa(piet
de filasse ellllocbée, les buissons sont incendiés, ce (pii subsiste est coupé jiour faire des abatis
ou des calianes. H reste une espèce de duvet galeux sur les collines, et des marécages dans tous
les creu\. Hier j'ai commencé à faire tracer une route par ma section; d'autres en font autant,
jiis(|u'ii ce (|ue les tronçons se rejoignent et periiietlenl d'aller du (piarlier général aux pre-
mières trancliées. C'est une mule en abalis de rondins, jetée sur les marais, avec un magnili-
(Hie pont (Hii a re(;ii l'approbation moti\ée dune section du génie, en visite clie/ moi. I*as
(rincidents, sauf nue aventure bi/.arn; à Nampiois, le 10. Nous travaillons à faire sauter la
forteresse allemande (''lablie i.'i : le 10 b- tout devait être aclievé. Les Allemands, jirévemis,
ont fait une contre-mine iiàlive (jui a bi(;n arrêté notre ouvrage, mais ipii a détruit une de
leurs tranchées à eux, sans doute avec force dégâts, car on a entendu des cris de leur côté.
i5 février iQiS. — Voici plusieurs jours de passés qui n'ont rien eu d'agréable; travaux
de nuit exclusivement, sous la pluie, dans les marais; je ne sais pas comment j'ai fait pour
conduire et ramener ma section, mais enfin c'est fait. Le dernier de ces voyages a été exé-
cuté hier, car nous quittons demain la région d'Aubreville pour aller sur \ aufjuois.
silence se fit pendant quatre ou cinq jours, mais le bruit d'une catastrophe se
les lettres arrivèrent qui ne laissèrent plus subsister aucun doute, sil v en
avait eu encore, lettre de Jean Sautler datée du 30, longue lettre du 98 |)ar
un sergent Cohen qui était à côté de lui quand il fut frappé, puis un paquet
contenant ce qu'on avait ramassé sur le corps, lettres de la mère, carnets
un mouchoir, pauvres reliques d'une courte vie employée lotit entièi'e au service
de la science et du pavs. Ainsi qu'il l'annonçait dans la dernière lettre ([iii nous
soit parvenue de lui, sa compagnie avait été dirigée sur Vatiquois. Le Si'' régi-
Allemands avaient construite dans ce village. Les ofiiciers des compagnies et les
rière, en réserve. Les compagnies d'assaut avaient une lâche très dure, car
avant d'atteindre la ligne ennemie elles devraient escalader une pente assez
abruple sous le feu, et il était évident que les pertes seraient lourdes. Au sortir
le dos dune feuille de papier (|ui contenait déjà des renseignements d'ordre
militaire, trois strophes ins[)irées bien cerlainoment par sa conversation de Ta-
[)rès-midl :
René Cohen, (|ui était à ses côtés, et lui dit : frC'est la plus belle mort qui
vient à nous 59. Comme il finissait de parler, il fut atteint d'une balle en plein
visage et s'écroula foudroyé : la section, lancée en avant, passa près du corjis,
dans cet endroit, eut vite fait de la détruire, et rien no marque plus aujourd'hui
l'endroit précis où il repose. 11 est là perdu dans la foule des braves qui ont
promis au début, et qui commençait déjà à tenir plus que ses promesses, fut pro-
fond à Paris et en Angleterre où son père et lui ne comptaient que des amis.
Par une ironie singulière du sort, les trois strophes qu'il avait écrites dans la
tranchée quelques heures à peine avant sa mort firent plus pour répandre son
nom dans le public que n'avaient pu faire sept années de labeur dans le monde
savant. Communiquées au Figaro, elles furent reproduites immédiatement par
d'autres journaux de Paris, de la province et de l'étranger, puis insérées dans
les huit années les meilleures de sa courte existence s'étaient écoulées. Un véri-
ceur qui lui avait valu l'amitié de tous, son obligeance, sa bonté discrète,
cette science si sûre qu'il mettait autant de soin à dissimuler que d'autres à
l'ayant eu pour camarade lors([u'ils étaient petits, ne l'avaient point perdu de vue
parla suite, André Germain, de révéler aux lettrés qu'il n'y avait pas seulement
en Jean Maspero un savant épris de sa science. «Pour parler de lui, n'ai-je pas
ffun droit que confèrent des impressions d'enfance gardées au coin le plus
ï' frais de la mémoire? Alors, je jouais souvent avec lui. je connus à l'aurore
'" Lettres du sergent Cohen en date du 26 février et de Jean SauUer en dnie du qo et du a3.
Le sergent Cohen, hlessé le 2 mars, au cours de la seconde affaire de Vauquois, mourut une semaine
plus lard des suites de sa hlessure.
X.VXIII
«de sa coiirto journée ce sourire large el bon qui fut le premier reflet de son
rrâme et un don fraternel à ses oompag-nons. Bien des anne'es après, je le re-
rlroiivai. La vie avait |)assé. Elle n'avait rien louché en lui, elle avait épa-
«noui sa candeur jusqu'à la noblesse et sa franchise jusqu'à la |;ravilé. Mais,
"au contact de tant de laideurs insoupçonnées, sa joie qui lui venait d'un
rcrellet intérieur et des pures espérances posées [)armi les siens, sa
joie s'était
«ternie. 11 s'attristait de la platitude et de la sécheresse qu'il avait rencontrées
«parmi ses contemporains, il exhalait la plainte d'un être que son époque étonne
rretmeurtrit. El les questions éternelles pesaient cruellement à celte
nature trop
«loyale et trop averlic pour les résoudre sommairement, mais trop
élevée pour
«se débarrasser des immortelles ambitions. N'est-ce pas décrire la nuance
de sa
«mélancolie que de le dire religieux dans ce sens profond et tourmenté
qui
«consiste à interroger patiemment la destinée et, malgré les doutes,
à préparer
«son âme? Ame secrète el rei)liée, mais qui n'habilait pas toul entière la cellule
«de science qu'un illustre atavisme lui avait otlerle et qui, à coté des travaux
«visibles, s'était réservé un idéal jardin. La plupart ne voyaient en lui qu'un
«jeune historien penché sur les manuscrits des temps byzantins; à quelques-uns
«il ouvrit ses poèmes comme une porte délicate au delà de laquelle erraient ses
«songes. Un soir au Caire il me les lut. Ils étaient étrangement pareils à la dou-
«ceur d'une aïeule en son printemps, pur sous les ban- à un visage calme el
ffdeaux, à un c(eur que contient sa pudeur et qui pourtant
laisse deviner sa
rr tendresse. Ressentis avec profondeur, écrits avec transparence, ils me paru-
«rent mériter à leur auteur le beau nom devant lequel hésitent les lèvres
«émues'".;) 11 élait de ceux qui, plutôt que de laisser entendre aux indifférents
ce qui chante dans leur âme, préfèrent risquer de mourir avec toute leur musique
en eux.
Un dernier devoir reste à remplir aux siens comme à ceux qui l'ont aimé,
c'est de réunir en corps ce qui a été publié déjà de son œuvre dispersée, d'ache-
ver d'ai)rès sa rédaction ce qu'il avait commencé
que la balle à mellre au jour et
du 17 interrompu brusquement, enfin de choisir parmi ses innombra-
février a
(" Le Double bouqwt l 'rose cl vers /i" aiiiK-c, ti" /i avril 1915, 189-190.
, , ,
p.
nous pensons que la mort de Jean Maspero a pu être utile au pays, qui, après
avoir souri à sa naissance et à ses premiers succès, lui a demandé de tout sacri-
Cette courte notice ne serait pas complète si je n'y joignais l'indication, aussi
exacte que j'ai pu l'établir, des livres indépendants publiés par Jean Maspero
ou des articles qu'il inséra dans des llernrs de France ou de l'étranger.
A. — LIVRES INDÉPENDANTS.
Paris, 1915.
Matériaux pour servir à la <>éo[jraphie de l'Egypte (en collaboration avec Gaston
WiET, forme le tome XXXVI de la collection des Mémoires publiés par les membres
de l'Institut français d'Archéologie orientale du Caire^, T" série, 1" fascicule, in-/i",
191/1.
B. — ARTICLES DE REVUES.
(Tous CPiix (le ces articles qui ne sont pas de simples comptes rendus délivres, ont eu un
tira[jc à pai'l variant de 2 5 à 100 exemplaires.)
Caire, 1908.
Notes épigraphiques (extrait du Bulletin de F Institut français d'Archéologie orien-
français d' Archéologie orientale , t. VII, p. 1 78-1 7^), in-/r, Caire, 1910.
Le roi .]fcrcinr à Tâfah (extrait des Annales dti Service des Anitquilés, t. X,
Caire, 1 <) I 0.
Caire, 1910.
Un papyrus lillvraire d' À(lpo^m]i Kwp) (extrait de la Byzantin isclie /eitschrijt,
Un dernier poète (rrec d'Egypte (extrait de la llevue des Eludes irrecipu^s, t. XXIV,
/E(çqptens (dans la Journal des Savants , Nouvelle Série, t. IX, p. 180-186), in-A",
Paris, 1911-
/.( titre d'Apelhln dans Jean de Nikiou (extrait de la Bévue de Pliilolo<rir,
Compte rendu des Pupiri délia Soeietà ilaliana (dans la 7?er/(c de Pliiloloirie,
schcn Muséums zu Kairo (dans la Bévue Critique, Nouvelle Série, t. LXXII, p. 1 G8-
Compte rendu de Bell, ihc Aphrodild papy ri (dans la Revue des Eludes grecques,
des,-e\. Papyrus grecs publiés sous la direction de Piehri: Jouguet, t. ll,fasc. ii-iv,
Urkunden, t. IV, fasc. xi-xii (dans la Bévue Crititjue, Nouvelle Série, L LXXIV,
Paris, 1915.
Comptes rendus de Cantabelu, La Série dei prefetti di Egitto, lU . dalla morte di
Tcodosio I" alla compiista araba ; de Mabestaing, Les écritures égyptiennes et l'Anti-
quité classitpie: de Usener, Kleine Schriften, t. 111 (dans ]i\ Becue des Etudes grec-
Les f[ualre derniers numéros de celte liste ont paru après la mort de Tauteur,
et j'ai entre les mains d'autres articles et même d'autres livres, prêts ou peu
s'en faut pour l'impression, qui seront remis aux typographes dès que l'appari-
tion du présent volume m'aura permis de m'occupor d'eux.
ANTIQUITÉS ÉGYPTIENNES
DU MUSÉE DU CAIRE
-5«<-
li'xte complet et corrigé, très difTérent de ce qu'il semblait être d'après les notes que
j'avais seules alors entre les mains.
Les terres, ici comme au n" Cycoy (col. III), sont divisées en catégories d'après les
(1. 3) (/Irourcs connurs) sous le nom de Psaios Jlls de Plier, acquiscs(^1) des héritiers de
Papnoate le médecin , njfcrmées à Apollôs, cullivatenr (^oa colon) : terre arable, ijli d'aroure.
Pour le sens de la formule ôri(fzaTos) "^aiov etc., cf. les àpovpai >iaXov[j.évas "Eapa-
Cursive ordinaire.
Ligne 2. La ligne d'abréviation de xo^-uxj a laissé une trace avant le i'. H faut donc resti-
Ligne 3. 0i'o(u.a7os) ;
— «tto £x&X(>;s) xX(>;poi'Of/(i)j') ;
— — W7r(o) ; yerop(jov). — AttoX-
va[^]/ .(
yewpj t^j h ^ <]' napa'^] h /,
Tvv }_
y£Wpys an hO '}{ J^ fx L, <t-^< h '^ L, -napa^l h '^ L,
[ J
ay [ /_p'j~\o-i}(j V (3 xj tO
l'ius bas, après un nouveau vide, quelques lettres restant de deux lignes, d'une autre main.
/j^«(' 1 a. Cf. le lieu dit Uia .MsX dans P. Lond. IV (index h (b), s. v. Uiaz MjjXî). —
QpUiiTiSos yrisj.
fjljiic 1,3. Lecture à peu près certaine : mais lo texte semble inintelligible.
y.n II
"l"
*I>Àa'ji'w \\iKzop\i TCii X^aaTcprJ^ycLTw xai^ X[o]y(WTa7ai, uiai tô
5 Xy-ixTipoTarà xai <T\o^WTa7Ô rr])^( «I)| oj]S'[afXfjL]'j'i'os tou uio tov 7>/>
TOV (^apoa.^vyvOsvTOf^ [ut]ou at/T>;[s IM£X]fô £7r{ •nracri rois e^ys fhjXôix)
ciixçicli avT);j xai a[iiTô] jcjiv^^"<w [jfat] x?o[/3]w \xat TJtp/fxaT* 7>;s £^ [a]fjn^[o*î;]
IJjpie 3. AsuTspas : une singulière m'-gligcnce a introduit plus bas la faute Tpirijs (tome
II, ]). 137, 1. !>()).
Liffic 5. Lire o-xo^^otcrrtKov) : cf. n" G^ooa, II, 1. 2, et P. Mon. 6, 1. 8/1. Sin- l'avocat
Phoibammôn, cf. n" (J7 2C)fj, 1. 6, et P. Strasb. 60, 1. 7, où il faut restituer ;<«(
I.i'pics G et srij. Ici comme ailleurs, je rappelle c[ue les mots imprimés entre parenthèses
sont ceux (|ui ont été barrés par le scribe. La formule irap eixov a été remplacée par
rcm[)loi du nominatif. Plus bas, le notaire a cliercbé à alléger la phrase par la sup-
pression de (piebiues répétitions inulib's. — Sur le comte Thomas, cf. n" ()73'.!0, 1. 1.
IÀ[riie lâ. EJ a^(pQiv : la comparaison avec le n" 678 1 i , 1. 1 /i , rend celte lecture à
peu près certaine.
Linnc 1 G. O^iofXolyôar;? est douteux. C'est de ce mol (pie dépendrait Trapoca-xsvixaat à la
ligne 1 9. Toute celle phrase est mal construite, et c'est à tort ([ue le nom de Melios
V est introduit : Leontia veut dire que, de concert avec son fds aîné, elle a décidé
le cadet à souscrire au contrat : c'est elle qui le représente, car il est apparemment
trop jeune pour assister à la vente.
f.irrne 1-7. A(^txot'Tcx : le Tliexdiinis dTIonri Ksiienne cite plusieurs exemples de cet
courte.
4 CATALOGUE DU MUSÉE DU CAIRE.
[67169''''] v'kinioLv , Ka.1 Teojpyiov tov olvtov op.oyvvo-iov (xhX<pov,{s,(p) \o{v)v\ aoi£n\(xi\
2' fragmetit.
[ttoXitô vo^ov, TSOiov^£vot <5e T0U5 Xojyôî u7r£/3 Tiî eauT^^'j' «at V7î'[£p]
Ti] Siavoict, avev trrai'TO? Solov xoli (po^g\v\ >£[aj] |Sjai ;ia( avxyxfis xai a7raT);[?]
aii° Tou vvv £77» TOV [a]£J eçr;? aTravTa xa[t] çt/3[o]£Xav[ï'oi'Ta ;(^|20voi']
Ligne 18. Ou noiEnai etc.. : au nom (iu([uel elle prend la parole. L'expression -aoi-
EiaOoLi Tovs loyovs est bien connue : cf. P. Mon. 7, 1. 11-12; Evagrius [Ilist. ceci,
II, h) : TSapoL Eu<7eêiou. . . -aoiovfievov tous loyovs vnsp te eolutov . . . xoci virsp
<î>'ka€tavov TOV ysvo^si'ou eTTtaxonov etc.-—-Ou a dû être corrigé sur ov, de même
qu'à la ligne suivante, on a fait «ttoitos de aTrovTa. La préposition e(p (or) ayant été
barrée, le notaire lui a substitué un simple génitif : on atleiulrait vTzep ov. D'ailleurs
il est possible que vnsp ait été écrit entre les lignes, quoique l'on n'en dislingue
Ligne 22. La lacune entre les deux fragments ne doit guère dépasser une ligne.
Ligne 28. Lire avTyjs vtov, ou effacer le mot MeXjou.
Lwne 3o. I^XOTTO)] Sixati-jj xai kolXv zsiinei : cf. n° 670(18, 1. 8.
ko <îixa{[a>] x[oLi] xolXv «[tJcrTsi x[oLi tTracr); t^ovTta xa( xaTO^v «a' xupoT);T»], [671G9'"]
3' fragmcnl.
[ I
£i(jiy, Tvs oXoxXvpov xai TSpCLOsimjs vixiv apovpys ctii e^vxovja.
[afiJfiaTa'v xa-cc Ta? <xy poy £iTv[ias] SvV[ov\vjat ôtcos- stti aev votô Svf^o-
[ay]oua-a eni jo eivoixeiov 'aa.poLvw z)i\5 a]};jas £xxhiqi'x\5 t]);? sxttcre to[v]
5o ['î/îjofxot; xai |Sa7rT[tcr]T0u ctyio laiarro, Àifo» to [(Tvî'JtcAix/ -5[£ im' <r£0(poS\wv
avOpojnv
TÔ xaÀovfl) ((l>a/? . . Àov T . • ') ^^ovs, sni Se a7r>;A{WT0vi Ta'r >;çr[
>; otot av Ci'Ti ;/£tTOi'£s -ûTaî'7[}; -nrai'TOJOer toiM' TspOf][riAwd£VTO}v rpiwv totto]
55 ya/2 h]iïoi£ '/jajvov (3£é'[a(]a)(7a)(u,£t' TavT);j', TJfxj/s [rîe tj;s Tspos aÀXj/Àou?]
l'OfXITfXaTiWvJ
de l'aroure vendue fait ()/i aymana. Le terrain vendu n'était pas d'un seul tenant,
puisque nous trouvons plus bas une liste des voisins de la troisième T^noOziaa.
Ligne li-j. Sur l'aroure à 6/i ammala, cf. n"G7i.')i, 1. loG. — 2t»;<?os : une petite
Ligne 5i. Tô (pour to) ajouté eu marge; de même jap à la ligne 55.
A[6as] l'.S.L, GG, 10; P. iVlon. 11, ho. C'est ainsi qu'il faut
Ligne 56. : cf. 1. 1.
[671 GO''''] f'o TTtccpa çrô Toy 'a[pia.(i£vov Bjxto/50s Si% yjipoî rro sis yjipixs J/fA^-i'i', -nTa/50i'T«»M'j
[tw ix\e<TiTwy[{^l)
[ ]°T^[
à' fragment.
\ ] V?-9}pa[<P
G5 [ . . . . aTTO TÔ vjvv £7rj TO ^n;[r]£[«£b
[
rre toi»] •CT/2[{]afji.£j'0i» l{f>cTO,oa x[/2aT£{!' koli xvpis'Jtiv'\
I
Jv ^tai?[ . . .
]v atwvf[w]? xat Kvpiw? aei vitep g-\vvTc}.eia5 xat]
^o fxtas apo\vp^7]5 [a^yySpov naOctpas o-7ro/5ifA>;? }')/? pt?[Ta irrai'TOs tou «îjxajot;]
xa( T);f xaOoX[ovi] aurr;? aypoyeiTviccs , xara apyaia auT);|? o/:ja, t?;?]
Ligne 68. On ne pnul lire StaSowai ni SnxScoaeiv; cl (r;iilleuis le sens de ces mots
conviendrait mal ici.
Ecrituru (le Dioscorc : analogue à celle du n" 67002 et des autres rc<juêtes. — Il
inanciue tout le bord gauche : mais le fragment dclaclié n'est autre (juc la bande de
papyrus publiée au lome I sous le n" 1)7010.
1
"l'
*l)À[avi'w T/3ja'5tJ|<o Ma/stara) Mix.OLvAtiyi
Aioa-xopov \o\jX\i5. To yap xolt eue apoLy^i.y. cv tovtois s-yo^. Ai^ao-xa» tj/v
Ligne s. Les autres noms n'ont pas été écrits. V^oir l'article cité à la Bibliographie.
Ligne a. Après AttoXXwtoî, un espace vide, destiné sans doute au nom du père, qui
Ligne S. Vap ; écrit en correction du mot ^£, effacé à dessein. — Kœt' ; apostrophe
£T£/2a v7r£/9 auTwi' ï' V II. Kaf o[u] f^orov OTt trîa/si'i^ir
(j.s^S(TW(X£vot.i «[/STaê'xj j|f ( ? ) (TJTfvô T£ xat ï?;[/25 )^]o/ot5, jcat £tKO^t fTJTÔ, xat
lÂgnc Q. "ExvTTTpv}' : ceci confirme la lecture adoptée au n" 67000, 1. 5. Expression fré-
(juente à celte époque. Cf. Evngrius, I, 1 3 {^et passiin) : AeoiTO?Ta crxrj-jTTpa Sie-TToinos.
Ligne 1 t. noX[u(:t]eXes ; avec le sens de ^qui prend beaucoup de peine n. Quoicjue cet
adjectif ne se rencontre pas dans ce sens, il a très bien pu l'avoir, et celte reslilulion
Ligne la. Suppléer un mol comme apovpw après tovtov : cf. par exemple n" GySsy.
1. 3q : Td'i' VTTO (je fiov apoupw, et passiin : tcov vtto as apovpciw.
Ligne i5. Ap =ap;^t;s,- — vTTSpÇiusaTa-rov , vO[ita-{xa.Ta. ^' svrTTaOïxcc. — Restituer peut-
petits caractères se prolonge après le mot eixets et se termine par ([uel([ues lettres
illisibles à la fin de la ligne k).
Ligne iQ. Lire sans doute iisyiScT(T-)v(ievixs. — Etxoai : apTxèats ou apTaêas(?).
Epaïaî pour spscts, forme constante dans les papyrus d'Apbrodilô (cf. n" ù'^o^-^).
PAPVUUS BYZANTINS. 9
xat T);[b] euvî afxa^[j;]|s rmifjrrwvpov cri.î[);pou]i' £1» zvo? zavTVS ^po^ô [>;]toj [07279]
TSipiS\i]it.cL, xoii rpiwv £}'(a[u]T<y|j'] jov xoLpnov
VTOi [t\ov oivov t[wJ|)' vtt £.ixz-/jjjpirjCiv. \O0\s.v e^opxiXw ijfxas xoltol t);|s] olOo.-
[0]£[o^(X]);? T£ [xai]
I
^loaxopô- aSixvs x\ai snij ocitkx avTwv x[ai\ TSpo-
(pOLcrei a[7r);Tj;J0)/i' vKcp auTwv TSa/sa twi» £ip[}; |fA) [EX]Xarîtô xat Atô
[ra»}' fiST aXhjAQVs TOTTo']\T)jpv>Tgi.vTCLW to[t]£, xaj £)(^[6/3(Ws yej twj» '/_py)(7a,iJ.£vuv
xxT £(xô. K[ai aî'Tt] Tat;T);> t)/> £t/£p)'£atas to t/2Jt[o]î^ /3>.[};o-£]a)s(?) ispocr
lyolpiaw (J.SV rois vfxœv '!s]\aiSapioi5 et[s] Xoyo[v Swp]£a5 v[7r'^£p £^ai>\ja-£W5,
[xa{ TWî' inim/jov £fiwi' t]|£>cv['^'" tcoî' £A££{i'ùTaTa'r r5o]yÀa'j' vawv oti;\ws]
£[r]'5[£À]£;i^[}; zrTptfT]é'£[tJaî' xoii £V'/iyv '^lot. zsavTOî avy\_\pjM TSp[o^s tov Qv,
V <5(afxo[î'?;s]
d'un obélisc[ue.
Ligne 2.5. Les traces confuses qui subsistent avant la lacune font songer au mot
eyjiposi : la restitution ye TWf est beaucoup plus hypothétique. — BX[>;o-£]ws? Le
verbe ^akletv est souvent pris dans le sens de «payer» : cf. n° 670/10, 1. 1 2.
Lijpie 26. En publiant le fragment 67010, j'ai lu to les premières lettres de cette ligne;
les traces sont douteuses. Upo^-nopiau n'est |)cut-être pas le mot dont s'est servi le
scribe; mais le sens était celui-là.- — Atuoipav; la première lettre a été plusieurs
vertical. Toutefois le sens exige, semble-l-il, la lecture (jue je propose (le scribe
Ligue 27. Cf. EvAcnius, loc. cil. : xat tovtov T\j-j(pvTei aSiaXeimovs ev)^as ava7r£ii\l/o^£v
Ligne -jS. Comme dans d'autres requêtes de même type, la dernière ligne, faute de
0.110 nov[x^''-i'^]
[ 2 vers
j
Lignes 1 2-i3. Cf. n"' (>'] i.ii, v., ]. 17-18, et G73i5,l. 3 8-3 g.
BiBL. : Journal d'entrée du Musée, 11° /i36t2.3; J. MiSPERO, Les papyrus Beaujé, dans le Bullelin de
l'Insl. franc, d'archéol. orient, du Caire, X, p. j3-2 etsc(|.: reproduit dans Pi\eisigke, Derich-
lijfungsliste der griecli. Papijnisurhunden nus Aegi/plen, p. 101-10.3.
67280. Ordre (-zrrpoCTTay/iza) tlu pracscs de Tliébaïdo aux fjens d'Aphrodllô, re-
latif à Fannone. Co documonlest semblable au n° GyoSo, mais il porte
(A) _
. . ÎXl [672801
Lcgi
(B) [-f- \pv £x T)/» ufxwi' xfx>ix)j$, xoLTCL [XiiDjaiv Tj/b -cTa/seXôoutT?;?]
'nsp\os\'}p[ov xai lov ti:iu.ùoi-!VV «a» tous rauras fx^Ta xa( 7«r]
(A) Liijiic 'j. Au di'ljiil, traces d'un mot ou deux ajoutés entre les lignes; de même, au-
est fréciuenle dans les textes littéraires : Ed. A/Il Justin., 1 , a et pa.ts.; EvAcnius,
nist. ceci, II, Il (éd. Bido/,, |). A3) clpass.; Vie de S' Spijvidon (fragment publié par
Limic 6. Lcgi est certain (et non keX^), malgré que la première lettre ressemble fort
Lipne 7. Le n" 67080, 15, 1. (), porte f/STa raura s>i7Te[{i<pOm'i^'\ corriger ainsi ma resti-
tution £K7r£[(/\{'a(].
fÀ<rnc Q. ^ signifie sans doute apjaëat (cf. n" 67080). Je ne vois pas d'autre inter-
Suscriplion au verso :
Lig-ne 10. A(p (wr) TSivi rov Sia fiinp^ov cr>ca(poûv : il semble que ce soit là une manière
de parler prétentieuse pour \oyoi Sia yLtxprov a-Hot<^cov (cf. n° ('17030, 15, 1. i3).
Grosse cursive droite, très soijjnée (même type cpi'auv n"' G70.')o et ('172^0). — I^égè-
remenl endommagé sur le bord gauclie; le bord supérieur est creusé régulièrement
d'écbancrures qui interrompent les lignes 1-2.
Sur le riparios, cf. n" 6700)1, note 0. Cette cliarge (^rnuiius) était une liturgie (P. Oxy.
go/i, 1. f)) que l'on cliercbait sans doute à éviter, comme on peut l'inférer du texte
de ce -nrpioTaj'f/a (1. 6). On voit que le riparios était désigné par le conseil («oii'ir)
administratif du village, et que la décision était ratili(!'e par \c prncsrs d(! la province.
a A[7roX/'WTj] I'T[a]>c<ov
3 [-f-
Ot] jo xoivor zsAijpovvT£[î A(p]p[o'\Smjs [t]j/s ;<c<'fx[>;5], Sia \apiai^jv xat
Ligne 2. A[7roXXa)T(] : restitution d'après les n"' 671^8, r., 1. 26, 671^17, v., I. 3,
67296, I. 2 , et surtout 67828, paMim, (|ui nous font connaître un riparins Apoliôs.
Un ATroXXos lo-axioy, qui est sans doute le même, apparaît comme témoin dans les
papyrus n°' 6709/1, 1. 22 (an 553), et 67115, I. 22. Un AttoXXojs la-axtov est
encore cité comme (3oti9oi au n" 67800, I. 3 (an 526). —-La lacune, après lo-a-
xiov, contenait peut-être a-rro Aipp/,- mais la forme pres([ue rectiligne de Vu linal
d'l(7(xxtov indi(|ue plutôt qu'il n'y avait dans la lacune que le trait qui prolonge
... 1/iu.s
[f.7281]
-r-
rôle :
1*. 0.\y., I, 5/i); ce serait alors le hoivov Taw -zsprvToiiufÀiiTCiJv dont il est ques-
tion dans P. 0\y., I, i33. ^lais |)eul-êlrc aussi ce «od'ov est-il identique à la xojro-
7>]S tolw -ïspcoTOKCtifDTZiiiv xoti eTVvTs'ksaTCijr xat xTijTOpcov xrji'(i7TS A(ppoSiT)is, du n" G 700 1
(1. 3). — D'autres xoiva sont coniuis par des textes contemporains : celui des
Ligne à. Au-dessus de xa'f/rjs, traces, entre les ligfies, de lettres peut-être latines.
décision (|ui et homologue n l'acte des awSixot (cf. Ed. Cuq, Un nouveau document sur
l'Apokèryxis, dans les Mém. de l'Acad. des /user, et IJ elles- Le tires, t. 89, p. -jo/i). (ie
mot est souviMit employé, dans son strict sens juridi(|uc, par le scholaslique Evagrius
[Ilist. ceci, H, 18 [éd. Bidez p. 80 et 88] etc.). Il semble qu'il ait fini, dans l'u-
sage courant, par désigner toute espèce de décision régulière d'un magistrat : cf.
J. Malalas, W, p. 389 [Bonn] : apooSov SsScoxoTes tsapa to» appoint ^eXevxstas tijs
z!3.ps)(uv fjLOt xat zspoi (SoriOeiav oixSTas t£ xat avfjt^a^^^ous xat laVX'kovs tous o<pet\ov-
TOUS
ano AÇ>poSiT7)5 tj;? xotp;? Epixavwv AolSw p[i"^ov eni xaxovpyiai? rrv'kXocëeaOai ,
xai fxey^pi
vvv TOVTOv TV ^iHOLaTi} pifx) \i.ii 'aixp(X'n£[).-^cti , s^sriazv toSs aoi yevsaOai to
T1}= TCL^ews
e)(^(»)v Se
VTTOvpyQVcra.v aot Tnarrav ev T[o]ib Tonois TnoXiTiX7)v ^oyfOeiav, tov vtto xccto-
/JI^V TOllXVTVV
ixevov
[tv] auTwi' e^ovcria -apos rofjiifxor e^eTCtTir. AXA) opoi fxi] pxOvixvrri!? eiî avTijv,
10 aTTOCTTaXeis -f-
) exSeSwxx to 'itov \-
Ligne 1. KoyLfxovnopiov : c'est ainsi ([u'il faut resliluer au n" (J^oBS, III, 1. 12. Cf.
P. Oxy. iioG, 1, où on doit lire xo|U|L(iy[i'(]T^aip[<or] ; Evagrius, Uist. ceci, II, 1 8 (éd.
Bidez, p. 71).
Ligne 2. Ay 00.(^011 : cf. Gloss. Basd. XiêîXXoi aypixÇiof Konriyoptat. I^e deuxit-mc édit
de Juslinien commence de même par les mois : ex toiv ai>svexO£vTu>v tiyttv aypaÇios
Ligne 3. Sur cet Hermauôs, cf. n" 671/48, r., 1. a/i, où il est accusé du vol de deux
têtes de bétail. — Sur la forme EpyLavaov, cf. n" G71/10 (tome III, p. 1), 1. 3.
Ligne 6. Uolnixtj (2ov9sia. : c'est la police, placée sous les ordres du fraeses et de ses
garnison (et à laquelle font allusion les n°' G7002, II, I. 93,et (57021, v., 1. 8).
Ligne 8. H auTcov e^ouyta désigne sans doute ici le praeses; cf. ri" G70G1, verao. —
AXX(a); le signe ) marque ici l'élision.
lares : avSpsî svrps^sis, ent ras siroLp^tas hijfxoatw evsxa ^petojv aTiormWo^ievot
l'Al'VnUS BYZANTINS. 15
Suscription au vei-so :
[67282]
[de Mag., III, 7). Outre ce rôle de messagers, les sinipdarcs étaient souvent chargés
de percevoir certains impôts (cf. n"' 6710.^, l. 7, cl GynS/i , 1. 5-() : xai airaninris).
papyrus est divisé en trois pages séparées par des marges vides. La première page
est incomplète : il mancjuc le bord gauche sur une assez large étendue, (|u'on ne
peut déterminer exactement. Les reslitulions proposées ici ne peuvent donc prétendre
(lu'à compléter le sens de la manière (pii m'a paru la plus vraisemblable. — L'encre
est eiïacée par places, par suite de moisissures ijui avaient entièrement couvert le
restituer zsapi tSv àrro k^ixii? A0poSîr)ii avec certitude. Elles émanent :
olvo-npdtOLi ;
sans compter plusieurs personnes (pii ne déclinent pas leur (pialilé. En un mot, c'est
Ils l'ont destiné à une femme, désignée seulement par lis mots >) iJuSv Séa-nowa. Dans
le texte de leur rapport, ils se disent, de même, soumis à l'outorité des Seairowtxoî,
c'est-à-dire des représentants et employés de la Séa-aoïva. Pour savoir (pi est cette
16 CATALOGUE DU MUSÉE DU CAIRE.
r67283] maîtresse, le rapprochement de notre papyrus et d'un passage du n" G7002 est
suffisamment instructif :
N° CyOCQ, I[, I. ih : înzb ^ov vTtsfi^vétnarov zsiTpÎKiov (le duc) èafiev, xoù avOpdmot
Ss(nT0iv[i\xi3[v\.
Il est clair que les deux passages expriment la même idée, et nous devons conclure à
l'identité des Sscmowixoî avec le S-elos oïxos. Ce sont les fonctionnaires de la domus
divina de l'impératrice, laf|uelle, par conséquent, est ici désignée par le terme île
SéaTZOiva..
N" 6702/1, r. , 1. 5-8 : è-netS)) Se tsapà t6civ xarà xaiplv àpyjjw'jiv où jàî tu^toûiyai
àSixt'as vTréfj.£tvov, tÇ S-ïi'w iifiCiv oïxy a(pis aînov? éniSovvat xa) vnà ri]v -Tspoara-jt'av
aÙToO yei'éaOjit.
Ainsi le bourg d'Apbroditù, pour se proléger contre les injustices des fonctionnaires
la maison impériale. 11 fait dès lors partie du domaine privé de l'impératrice. Ici
Juslinien emploie le possessif >'mvv, mais c'est que la basilisxa Théodora était morte,
et en fait son domaine était administré par son époux survivant. Qu'en réalité c'était
bien à Théodora ipie s'était confié le village, c'est ce que prouve une phrase,
quoique mutilée, du n" G701 9 (1. t 1-1 2) : ... SJso-ttoivixov tjJj evxléovi
xa.) 5si\ai X]>/ç£a>î f/ii>?'f/(t;s) QsoS'jôpa.? •apb (pavlepov y]p\6]vou. Le même papyrus,
un peu plus bas, e\pli(|ue que «la plus grande parliez des terrains cultivables
d'Aphroditô dépend de la domus divina. Le reste, c'est sans doute l'ensemble des
Ij'autopragie d'Aphroditô nous apparaît ainsi sous un nouveau jour. Jusqu'à l'époque de
Juslinien elle a été absolue : c'est bien par elle-même ([uc la bourgade percevait et
versait les impôts, sans intervention du pagarque (n" G 70 2/1, r. , 1. /i ). Depuis l'an-
nexion à la domus divina, les choses ont changé. Los l'onclioniiaires publics continuent
à être écartés de son administration, mais les fonctionnaires privés du B-e7oî oJxoî,
les Ssa-noivixol , ont désormais un rôle dans la perception. Toutefois il est très
vraisemblable que ces SsatioiviKot étaient des habitants du village, et peut-être les
choisissail-on sur avis des autorités locales : en pratique, la situation dut rester
en 565. Dans le premier cas, notre papyrus ferait partie de la série des pièces
relatives aux exactions du pagarcjue Julien (n"' Oyoïy [548-55 i]; 6702/1 [vers
55i]; G'yoSa [55i]). Dans le second, la plainte serait dirigée contre Menas (cf.
n"' G^oca [567] et 67021 [vers 56/]). Je crois cjue la première hypothèse peut
seule être envisagée. Plusieurs des signataires nous sont en eiïet connus par des
papyrus datés; or, voici les dates qu'on ohtient en recherchant ces personnages dans
nos autres documents :
Ce tahleau, où seuls les deux derniers noms nous reportent à l'époque de l'impéra-
trice Sophie (encore le second est-il douteux, puisque ce Jean est dit iXaiovpy6s au
II" 671 I 1, et KTifTop ici), ne saurait évidemment être une preuve ahsolue : mais
c'est un argument très fort, et, en l'ahsence de tout autre, nous sommes forcés de
nous y tenir.
Le terminus aiUc ijucin est donc l'année 548. Comme la solution de cette première
affaire intervint en 55 1 (n° 67082), on ne peut guère non plus remonter heaucoup
plus haut (|ue les dernières années de la vie de Théodora : 547 ou 548.
La première ligne de la SiS(taxak(a contient une nouvelle difficulté. Il semhle évident
en effet (|ue les mots B/xTopi Siax6i"f> et la série de datifs qui les suivent devraient
être les noms des destinataires. Je suppose que ce sont seulement les intermédiaires,
I, 1. 1 5) : ce seraient, par exemple, des Seanotvtxoî, que l'on instruit des faits afin
de la liasdissa.
[67283] La première page est écrite dans celle cursive très soignée cpii est celle des requêtes de
Dioscore; de même la signature de la page III, I. 7-8.
Page I.
[n/ Twv ano xwuj;> i\.<PpoSiT>]s BtKJxç/Oj ^laxortçi «[a< To]f? S-aufza-
XeTOLi TSapy, to] eOos ijixaî sXx^eajO'xi ei; TSayapyjy.v t>7[î AvTaiô^iio'Xirwv
§ovxia.v7j; e|o[ti jcrtas "* Twr (j£(T7î'on>[t]xw[v ;c) -wj/soi'oeti' oii;c' oj'î[a]fxei»
[eTre^vXâer j/pv toi-jvto?, Ta'i' Svp.07i(ji}v <popfxiv -vipo^afTsi- xai yap^ sm-
iT[T]aTa( ?; £7r{/^«[/3to]; ap^oSia Taçj? a'[s oJufîîTroTS ev i;[o-]T£/?);a-j:x(U' ys-
5 [t);s Touraiv -mapoyjjs' ovtos Sa sTTiSpot,fxrj)v to, j/fx^TS/oa xTj/fxaxa, &v;c' wxvrirrev
To[7rw]i' s^ a(^op(x\v']
[tovi Svi>-OTiov. Kai oj auTW £Tvop.svoi 7sy.vja. xa rspoty^aTa isspi t);?' î;!^'-»-'''
);fA]ji' U7r£X£t7raî' £J' [ay/;«(?)] xat fv t?; xumv o[t]ô'5');7ro[T]£ itx£[u55] t);>
£'j^«Vocs };(xciiv.
[0*^£î» 0£O5 TJaj'Ta Ta -nrap aur^xM» xy.Tï xwv voixwv TSiizpoLyiisvct, x%i\ tols
fia[T]a lyovTO?,
Page I. — i/g;»' .3. ^ecr-nonnxos : cf. n"' 6701g, 1. 1 1 ; 67088,1. 10; G7 1 /i/i, 1. 2 (?).
Sur eTTiy^upios , cf. Ed. Just. XIII, p. /i3, et passim, et le papyrus n° 6702^, r., 1. 5 :
JV XixÇxxipayu^-yolv S]ta..
• . . .
\<P(Ann!
l'as.pi 7V5 (To.nvpia.i vp-'^i', ^^j fxia xai fxor?; viTroÀeXt-tTTTat eXnis, (7'^]oXvv o-yçiv
e^atcriov
[);fi&n' s(j.êoXin', w'y-ii TO-jTov Tvx^ovras tov euepysTVfxaTO^- j/fxa? -nroTJe uyt-
ovcrO[at Sia. x^tpo]? t);> £U<Tî6'i:(T[TaT]7;s î;fA«V S[£'7'!To]ivi]s xat t?;* iJfj.£T£pas
£[u|>cX[£»]a>,
-no[u;]'TarT£S
[ax/s-J/cTTa].
Page II.
J/[fjL«>' f5£(T7rOH')/s.
I
\'-
UpoixoLWs iwavvov ap£(jSvT£po5 £'k££ivo5 TOV ayiov ana Upoixau^TOS (xap-
Lùnir 11. I.irc laÇivpayooyov ; le [jroupo ai se prononçait s, ol l'e, tl.ins les (écrits
co|)l(!s, ptn-mulc souvent avec l'y. — Uapa. rejirésenle proliablemenl le verbe sfctpeaTi.
lÀmic i3. Je propose s7n<jx07rou parce (pie mous possédons une recpiète de certains
b'jnw if>. Aia x^'P°^ • "^^'^ '" 1''"^""^ paraît contenir liuil lettres plutôt que dix. —
EvxXetas : très douteux. Il y aurait plutôt place pour deux lettres entre l's et le x.
Ligne i6. Tœv VfieTepuv vTiapxovTuv : kIcs gens qui sont soumis à votre autorité ti
(celle des SetTnoivtxoi). Toute celte (in est d'ailleurs trop mutilée pour pouvoir se
Page 11. Liifiic i . (]es xotOoltKai exxlijatat sont les éjjlises paroissiales, opposées aux
\ KaXXM'{xo[ï] 'nT/3£'T[é'(] eXeeji'OS tî;s aytas zxXvmoLS [sic] a.[i.a. Ma/2fas xv^yjs
•f-
RiXTW/0 Trf/?£(7§[/] eXecfvos TJjfs] ayia? x-xOoXvxv^ xaivv? zxxXvyi^ay xvfxv?
A^/5o5([t]);î TSapaxaXwv eiriSsSwxa vaiv ra-jT)/!' t);i' »5jfîa7xaX(ai' -w/îcs
•f-
Aouxai^oî xt>;t[w]/3 [t]};? a'JT);> xwpLvs [A(p]po,^i7[i]s] 7sapa[xa]Xwv £[7:]i-
h^wxa vfxiv TauT);i' 7-)]v Si[SaTx]aXiav TSpos £irh)o-iv t);s j/fxwv ^£[<T]7roM'r;? -f
-f-
Ooté'afxfiaii' X7ii7wp 7vs [av]TJ7b xvfxr;? A^[/2]orÎjT);? TsapaxaX^ov £TtiS£Scoxa
vaiv Ta[uT]);t' t[>7v] -:yr5a(TxaXtv (sic) -cJ/jo? £trî};[T]»' 7n> Vfxr^^' 'Îstttou');; -f-
t5 "l-
\£p7)^ia5 ]iix[7o]po5 [rJaé'eXXtwv xam[t]; A<Pp]o^n7is .xa(- K^yv^T^VTJfOs
Ligne 10. Cf. r£xxX.;(Tja Ptyç/avoy des n"' fi^i.iS, I' 1. A , cl GyQofi en niar^jo.
Ligue i5. Kai : entre deux points dans le ms. — Ks^aXaiWT);^ : sur les chefs des cor-
porations ouvrières et marchandes, voir le récent travail de Tu. Ikii., flettriigc zur
PAl'VlUiS BYZANTINS. 21
TV'" a[ujT)/> KV(j.vs Aip/îO'-îiT)/?, KOLi [ijojo-f );>2js] AttoXXwtOï yvai^sys xv^ivs [07283]
pOVTOJV HXl
etTToi'Twv fxoi, }pai^07'TJ f5£ «ai vmp £\ix\olvtov le/svj^'as v[o]fjitxos •!• IliXaros
ano 7Vi T }ivu-Vï A^poSnvs, 'Tna.poLKoyvTe[5'\ siriSer^uxa. vfj-iv TOiVTijv jr/v SiSol-
(TxaXiav -TSpos siSvnv tv^" '?fA[w]v Ssanoivvs. Eypail^a vuep ixyToov ypoi.(x-
T)/> î/ficf SeTTjoivjjs [-f-] AttoÀXc»!^ llf. wtô xTinwp Tiji xui^js 'aoi[pa.xaj/MV
ent'h'jwxa [vajt[î']
Tau-)/}' TJ/f (îffîa'Txa/taj' trr^oj t-u^virti' tvs );pL6L'r f5eo-[7ron'7;s] -f
1'
AttoAAwIs]
Iwcrr/i^jô ^pulcouTrlo'-^iîXT);» t^aH^ ()i]^oaiw -ijî xwfxys A<PpoSnvs, isapaxa.-
Awv enifhSwxa tj/i' SiSoi.(t\_xoi.Moi,'\v 7S/3o[s] stfhjaiv t);[s] Vfxwv (Σ0-7roji'[);]s -]*
•j- Teoûpytcis "^eintvôOô Siaxj xat xt[);]top x(t}p.ijs A<PpoSn7}s 'aapaxalojv £7r[<]-
•|-
-f-
io-ax Mouiratô x[t]);t&i/5 xoti <l>9fé'afxa&)i' Vir^JavcTto XTijrop Tr^apixa.-
ÀOWTtî
Ê7r{rΣ(5a)xa[fjL]i:i' Tavi")/)' tj/!- r5u5a(7xaÀ[iJav «/^'i? £iJ);<7tr t?;s i]\xo>v Seanonys
\'} 'lpi\oi\^£/.(p\o\i KvrjTqcvTivô , (X^twOeis , sypa-^a vnsp Se [fijfxauTÔ xas
vmp auTcov y/3afx[fx]aTa fx); siSoTan' [ {'• Ep^avws §ovOoi t6'î' rhiuocrirxiv
Ligne 2/1. TpiaS£A<pos : Icclurc conlirmée par P. Lond., IV, n° 1/1 kj [passim : voir
[67283] zsa.py.x'xX'Jôv eniSeSwKot. to SiStXTxy.Xix.ov rspos tihj'Jiv tî/s ?;fxoi»j' Sea-TTOivrjs -f-
p.u;e m.
Eî'O)/^ H/3axX;tou a^KiiOeis eypxipx vmp a[t;TOu] ypafiixoLTOt. ai] ei^fJTOs. <I>[o]»-
•f-
<I>[À]) 0îOTc)croî '4'"ai5 XT^nwp xft^^vs X^po^uttî ,
[a7r]o'îtaTo;(^G"j 'apriiiio-
[tv]î [>7(^'1"^ (S's'tJttoh'Vs -j- A6'/9[a]a,u. I}txTO/5[!3?] xrvT^ip t?;? £J[/3);J|Lie^');^ xwpis
zsapot.xa.Xvv eniSeScoxa [TavT]7?[v t);]î' [(•ît]^a['T;£j]
[•cra/9a]xaXwv £7r[t^£(îwxa]
<HW'k[ ]
position zrapa.
P.U'VUUS BYZANTINS. 23
\pvrTT)ii KTV'fj^p •ûTapaKaXan- '5[£]<îa)xa (,si'c) Ufxn» T);i^ r5(^[acrx |aÀ[f]ar rspos
£15 Xoyov Tou OLiSemixo xofxixsvTap^jfnô , tî;" J^aTa to sOos r^iSoyievijv crvini-
yij y^pl V jS Tsl xzpj s II y^pvuj. Kai eiî 'j\xrx)v aa^paXsiOiv xai to'j ^vfxocrtô ©£-
TTOlVIXeOiX TOt.VT))V T))V COZO'/JIJV
r,
z(p v7roypa(p-)7> viJ-a^y '-«'> Tspoxj. *1>X) <I>ojê'afxfxcx>î' ÂTxXas (Tiyy) xai a7ratT)/T>/?
l.igiic y. Sur le xomxsvrapiicrioî, voir 11° (j^oyo, noie 1. liVvvOeia : cf. n"' G^oBy,
11,1. 10 et secj., el 1)7287, I, 1. 10. — àsuTepas : on pourrait supposer que le mol
KaraSoXvs a été oublié. Mais la quittance analogue publiée au n° 070/10 prouve
que le payement se faisait une fois seulement par an. Le mol SevTepas a donc été
répété par erreur (cf. aussi la suscriplioii).
[(57284] (noiyj,i fxot j; ccnoy^v ^''s rspoKj. <DX/) <I>oté'afipi«)' B;xtv/30s a-iyyovla.pj xai
Suscription au verso :
•f-
ATro;^^); ro^ KOi).iVTy.piTj xôiÂ' S-VTspxî ivSj )(_p\l
v ^ -al xspj] '^
y^pj
Gursive droite. — Le texte est écrit au verso d'un compte plus ancien, dans lequel on
a découpé un morceau rectangulaire à peu pn^'S régulier.
Il TyGi y
'l'X, opLOij
tj/?
^T/
Xojttj
Iwixinnjs
) aAX
5 vnoi^l Tejl
Au verso, quelques iijjnes à la fin d'un smytov :
faut peut-être voir ici une faute d'iotacisme pour ot unsp àto:rxopov, ceu\ qui payent
les impôts au nom de Dioscore, c'est-à-dire, probablement, ses bériliers réunis en
consortium. Le singulier SeSœxev contredit celte hypolhi''se, à vrai dire : mais on ne
voit guère quel mot serait sous-entendu après >?.
Ligne 2. Le signe 3" est douteux. — Lire XoiTraJair (^l\nv. Ju.sl., ih-j et i/)8). Sur
Julien aTTO enap)(^cov, cf. n° Gyofio. Il faut sans doute comprendre «les impôts
(|ui auraient dû être perçus déjà par Julien et par Enoch n Qieut-être êCTreXXevTv's du
pourtant singulier.
fÀgne 5. 2£(cr>;jU£/W|Ua:i).
aoi £n jov avT,s ^op',- kcli syj touto to ç:v[T]a} t/ \v>] -ûT^fox]/; Wix'vp [07285]
67286. Deux quittances pour une redevance en naliiro, due par le village
Ualc : le premior reçu a été écrit en Tliol de l'iiuliclion 6, le second au mois de Mesori
de Tan suivant; ces dates corresi)ondent |)iobal)lcinenl aux mois de septembre 627 et
d'août 5^8. L'Apollùs mentionné 1. i3 parait être, en elTet, le prôtocômète Apollôs,
([ui
mourut sans doute en Bia {Rcv. des Études grecques, 1911, p. 6G1). Dans ce cas, le
d'Alexandrie. Ou sait en elTet (]ue deux patriarches au moins ont été fournis à Alexan-
Ce couvent est l'un des plus célèbres de la ré{;ion d'Alexandrie. 11 est appelé ici (1. i/i)
Hovacnv'piov MsTavtas rifs pisya'Ke-nilsvs {sic) kXe^[ai>S]pîas , ce qui ne doit pas signi-
d'Aievandrieii
fier «situé à Alexandrie^!, mais plus vaguement «voisin, dépendant
cité par saint Jérôme [Iki;. S' PacJwmii, praef. = Palrol. Inl., l. 2.3, col. b.") : 111 nio-
concile d(; Chalcédoine, en l'an /ir)i : rjvTr,,^ ovv xaTaXa&f/srou éiiov toû AOava^i'ov
xaXoînievov &Tvep ^poda-reiov drc^'Oev nai sk axlatàs avvnOûai èTÙy^ave wpli àvâ-Kav-
o-ir TÔSi' xaTaÇvyc'V o'kov yàp SoxsT v-no t))v (pvhciKnv 7oiJ sCayovi ^lOvacrTvpîou tvv
viata palrum {Palrol. /;r., I. bf) , col. 1 oH), il est question d'un moine qui vécut trois
ans sk tov KcÎvuttov ÀAe^avSpsîas , ce <pii cxpli(pie l'expression employée par notre
papvrus. Ce nionaslère est lahcnnésiolc , c'est-à-dire qu'il suit la règle de saint l'acliôme.
nésiolesw, situé trà Canope, ù douze milles d'Alexandrie "'n. En fait, il devait être
sur la route d'Alexandrie, plus rapproclié de cette dernière ipie la ville de Canope
p. f) I 5, Ô7/1). Trois papyrus de Londres, attribués au vu" siècle (P. Lond. 1 1 5'-> =
t. m, p. 2^8 ; et les deux suivants), contiennent le nom de la MsTaioia, sans indication
[07286] de lieu. Mais il s'a|;it toujours de celle de Canope, sans aucun doute : là aussi, il
est queslion de redevances en nature embarquées sis -aXolov tiJs ^leTavoiai. \jIli.itoirc
(les Palriarcltcs contient la dernière allusion à cet édillce, avMut la conquête arabe.
Vers Gqo [Patrol. orient., I, p. /1S7) Benjamin, i'ulur pape d'Alexandrie, serait
beaucoup de vraisemblance). Plus tard [ilnd., p. '198), aussitôt après la victoire des
présente en Egypte : Si6ti TOtaînai (se. •croXiTixà») eirai airtj'o-eis où ixivov s'tt) t»7>
jSaaiXt'Sos Ta\JTt]î -nslXeiH, àWà Koà stt) riis f/sya'X»?» AX£i;avSpsÎ!X> xat £7r< tjJs Qeov-
noXtrâjv (Antioche) shat ^siiaOnKa^sv. Tel fut probablement le cas du couvent alexan-
drin de la MsTaVo^a. Apbroditô fournit une partie de cette rente; elle est taxée à ôyScj
arlabes par an, réparties entre les principaux propriétaires (nous avons déjà vu, au
n° 67188, que la part du comte Ammùnios s'élevait à iGo artabes). A cet eiïel, le
couvent envoyait dans les provinces des Siaxovmaî, comme ceux d'Antaiopolis, (jui
signent ici ces deux reçus (nous n'avons pas les originaux, mais seulement les copies).
Les prôtocômètes sont responsables du versement, ([ui a lieu par leurs mains ou
•f-
Efi£T/3>7(T£J' Kj eVsêaXîV 70 y^ X^lJ.) \(ppoSnvS '^1 TVl> 7npoTOXop]w[v
T);> auTr;ç xw^ls, sis aXoij [j.ov(xa-T)]pi[ô^ MîTaviot?, r^j tou B-cOTeê£inoi.TO'j aëS}
0i;o^îoo-([ô] apoyjmanwv r^l twj' S-soçreffeo-TaTatr (n/c) (xëS} AvacrTaaiô x} a€?}
\<T-j(ypi
L><jne 2. Sur BixTatjO vspea^vrepos, cf. n" G7i3.''i, 1. :>. — 'S.svovôiov [1) : restitué
d'après la ligne i3.- — Lire à la lin SiaÇ^oprov xT>7Topv(r). La barre borizontalc sur
l'o final représente ici un r, comme dans cpielques poèmes de Dioscore (par ex.
n° G7o[)5, V., 1. 1 5) et parfois aussi dans le slyle ordinaire (n" G7295, II, 1. 9 etc.).
était-il réservé à un autre nom propre : le couvent aurait eu deux supérieurs (?).
PAPVHUS BYZANTINS. 27
XIXV0V05 eXTV'
7V »'ïX/ xs £xaT£<TT)/s X) £f>coçrT£> • yi] rrnj —r /\^i'0 fxoi'j. K( £(? 7/î» [ufi]wr
aTTOTîX^tJ'
•f-
EfXtT/5)/<T£v xat iî'cê'aXt to vizip xvfj.^ AppoS} Sj tî/? S-aufxa^tOTaTJ/s t&m'
•nT/ooTOXoaj/TVji
T);> [av]T)/>
XTJfTopov T)}s avT))5 xc'fi^, en TaXoij Tou ^ovoirjTiipiô Merarjas tj;» fxsyaAs-
TToAïWÎ
XXI lov Tefxo[crjou| çT£7rof[fx]e 7[au]T);i^ xiioSi^n; [wj? ap^oxj. AracTacrjo» xat
A . . . . a(Ti05 (îtax/J
^iVijc 7. Lire cri^(i') j'a(u)X(ois) xïi eiaxTOcnaii koli eiKoa-roLis : cf. n" GyiGr), I. 18.
— MoiM = f-torat. — lits Mvi', corrigé en eo- vyLwv, mais le mol (a)»;!' n'a pas été
b.'irré.
I.iime 8. Lire xat tou Sniioaion -ûfeTToiri^ai (c'est Timolliée (]iii parle) iolvti-iv (tiiv) caio-
Liirnc i-j. Lire ^av^^a3l0^tJ^o•; , m moins cnroii ne restitue le mol koivot>itj< cpii ;iiir;iil
été passé.
U.
28 CATALOOUH DU MUSHK 1»1I CAlHi:.
67287. Tableau des impôts et des dépenses d(> la )wp) (rA|)lii()dil(), diiranl la
Colonne I.
^
.
oa) // X °v^''^xjx^ l
# V j^6 xj V L,
10
T'/' TT . X V }'
Cni.oNNK I. — f-ignr 1. Peiil-iMre zct S[r/J^ tv^ v!ToSisx.Tn) : miù^ les liMces lu- coiivicii-
Liipic 2. Avant di'iwi'f'^ii'), va(jii(! Iraco (|iii n'|ir(''Soiile sans doute le signe ^^ = vnep.
— A' [--^-ap'xnov] aprjin(ayn'XTOi). — Oi/ xpj = oivoxpsov['l); cf. n" ()7o5o el CyoT) 1
fjjnii' h. Le cliillVc 1^ csl très douleiix; il est reslitiié pour compléter le total éuoncé
lÀlpxc 8. Y' zrpo(nayixinos,aTTo ro^ytia-ixaiatr) v. Les n"' C)-]'.)'Jii) et fiyS-Ji nous repré-
[lw|cn;0<î fXiAiaovpyos v a nj r] L^
1
.... 1
^J^ Movrraiô "^inavaiëeT v a -nj S
\VjX<]i\xô Arratù ^J^ rrviniOeiwv v jS tt/ a
Colonne II.
Ai^'/ic i.^. Uvpyu'v : pour -sn/pyoïpL/XotÇ (= axos)? L'associiilioii des noms du coinmcn-
tarimsis el du ûri/p^oi^i/XaÇcsl attcslce par les ii"' 6705/1 ,1,1. 3-/i, et 67058, 111, 1. •.'.
Liipir tj. (/csl le KOfxi^i xai apyjiiv on prnvsvs do l'cparclilc : cf. n" 670,'')(), I. 1.
Lif^nc iS. Hesliluei' tois TsoXvxi^ojnnan'j, d'après 1*. Lond. Inv. 173/1 (iriddit) : cf.
Kii. l'iiKisiiiKi;, Bi'richlijrim<rslistc , |). 108, n. i'.>. De iiièine aux u"* G7i3(), 1. 1 G ,
Colonne 11. — Liipir 1. Lire «aTaÉ(oX>;) : mais le sens est probalilenicnl : «versement
fait à llailnen v. Sur cet A^piai'os (crTpaTiojTtjs), cf. m"' 67()5'.>, 1. /i, cl 6705S, VI, 1. 8.
Liffiii; 3. npaiTox(a)(/>;Ta)i').
Ltipic h. Personnage appelé d'ordinaire rpi^owa Tjov eipijvtx'jjv : cf. n"' 6705/1, 1,
Colonne JIl.
Colonne IV.
na7r[);£s «î);]fxoo-i£wv xj a ^
fecté à cette visite au n" GyoBS, VII, 1. aG (t. I, Aihl. cl Corr.). — Cette dépense
Ligne 12. Le total de 77 nomismata (I. i5) exige la restitution du cliiiïre lê.
Colonne IV. — Ligne 1. Lire anAtxnapios, huissier (Joii. Lydls, De mng., 111, 8;
III, iG), gardien de prison : c'est un subordonné du commentariensis de Yojlcium
ducal.
Ligne 2. Uoifii^evoî).
Ligne 3. A7roi(T>;T)j (') : celui qui perçoit le Iraitcmcnl du Inbun, pour le lui remettre
(cl. n" 6728^, où un aTtannmi perçoit le traitement du commcntariensisy
Ligne /i . AeovTtCiV arplaTieoTov) xai Ai'Oi"^(î £i'ToX(;xapios) (mnndntor\.
E[Ai](Ta$[£T] e'XaiàiïoXI
^ piô
Wxiv £ii Xi'Til TZepi
WorTOs
TÔ ^pva[^ tô axTÔ]
SI
A'î/9t[a]l'^x)
iVÎ
32 CATALOGUE DU MUSÉE DU CAIRE.
lÀ^rnr 3o. Cf. P. Oxy. VII[, i t'17, 1. 9 : Uxuo-j9iv iisi'C{ovt) Totansti vTTsp fisilovia?. Il
Cursive droite.
Colonne l.
Ciihinni' II.
. Usxvcris 'ToyavTiî
.. Ixxwê Icroixid
.. M);i'a lIjOaxXetô
HjOaxXeto? Q,poêtvOô
(AttoXXwj N(xj7TÔ)
10 . Movayjs AT/?£7r)
,5 Aafxou-re
ria^jx X(v[o]u^[o]s
Ligne 16. UaëiK : ce nom confirme la restitution douteuse de P. Lond. IV, liiG, 18.
33
l'Al'VKUS BYZANTINS.
pcLnjixi
va.-)
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. (bojg'afXfxo))' fi[cXJfcrov/9y)
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35 Kuptxo.-(s!c) fxo[Xv]va/5X)
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Colonne m.
\vd<piî 7r:ixxTJLn'(jTioij V a
Ai)t«^s 3.5-9 4. 1°
i^ carn|;(- sur v y'.
. <I)ai');î ^layeipô
. Ovo<^pis ixayeipô
. E/5fxaws TaTrau)
. AtcoXXws riaGtXr;
10 KvplXOS USTÔL
.. IcraK U.ova.fJ.Tp'X
i5 . \no'kXrji)s (xoXvvapy^j
V^aÀxa'TUTTj [sic)
(. Movcrvs VâcTûc
iepVf^ioi.s zspscrëvTepos
(Aaxwr xccOxpovpyos
Aaxiw[j'] xaOxpôpyos
. A7roXXw[5] llî^'-f'TOî
'"' }'
Lifrnc g. ïlaeiAn ou IlaaA»; : mais cf. le nom de Bgilch dnns la FiV arabe de Sdinoudi.
Ligne 1 0. Lire Usaav (de même, i. i i : aujou) : cf. le IlecTaous du n° G7058, IV, 1. 7.
IJgnr i3. Lire opgj(o)w&)Xoy ; vendeur d'op?(3t. Peul-èlre faut-il corriger en cp{o)Ëto-
TTulov : marchand de vrsces (sorte de lentilles) : cf. (1 Wessely, Pal. Slnd, VIII,
Index); P. Oxy., t. X, n" iS^S. Pourtant le mot est toujours écrit, dans les papy-
rus, sans intercalé entre le p et /S : cf. plus bas : col. IV, 1. /i ; col. V, l. 11 et 07,
et n° G7252, 1. 5.
. tlowis xspa'j.onXa.'rT}
3o ..T«fTcJ
..MiXTWp xy.Oapo'jpyoî
l
. 4:^ai'b TfTevsvoOii=
.Kvpixos X.01.1Ï
[. . .] -[c:r]ô0>;s xy.Oot.py}
[ AttoXA'^'s] Kax.[j]g'
[ ] naOafxo[u]i-
4o [ ] VaX
Colonne JV.
..v'i'oi 'VxQpiS V i,
. Ai'Ô(2jî ofjQivnoXô y y
lÀgnc 97. AXXoipuXot ; gens l'trnngcrs à la xaifzi;, iiKiis domicilii5s sur son lerriloire (?).
Ligne 3o. Lire cr«uT£(i ('.'). Cf. P. Loiid. IV, n" 1^119, 1- 12 '.21 : S{i!x) t(w) (tksizvov;
1*. Mon. 8,1. 1 (j : Tiii' o-x£T£wi'.
/>i'^/ie .'i(!?. Reslilution d'après le n" GyoSS, Vil [Add. cl Corr.), 1. 21.
CoLONMi IV. — Ligne 2. Lire <I>);u : cf. le Ojjus du n" GyoSG, IV, 1. 7.
/yiV«r! 0. Kaura;£[o)7roioi : ceux i[iii font les xawaxai, sorle d'étolTe. (if. n" G^og/i,
1. i() [Add. cl Corr.); xoLwanonloxoi nu n" G728.3, II, 1. 17; xa.vvaKOitp(n ai dans
P. Lond. IV, iii(), 1. 122/1. Le mol Kawaxiis se Irouve assez frécjucmmcnl dans
les papyrus copies, sous les formes kav,miakgc, coyiiao-gc etc. (celle dernière
36
CATALOGUE DU MUSÉE DU CAIRE.
[072881
v y'
. ^hoi€aa(AM' (sic) '^càô pctinô
i,
Ma/5T);5 uibs Ka.xié'
''
. (tt)
I "
> '
''
. Il£T/50? K/20U/5 /
,0
.
-^ svO avy is vïos Uatcifj. ''
. /
rr
'' 1^
30 yrav^eis
moî '^
.?/ "4^ ai? 0);/5axXî{a? xat ''
. E/3jX£jua? ''
y
3o . îi/5os
''
y
Ligne 1 1 . Tex{7ù>v).
Gy-^yO, n. J.
Ligne ij. U praeposilus paraît .Hre un olllcicr sul.allcrnc :
cf. u"
'
,^/ '^evOa.v'715 Kovprjop v j [07288]
35 . iMa[0]i-tai Norra» [. .]
.\7VrAXvs Iir I
'
/ ^
<I>au.O(<> ^£py[io ?
]
Colonne V.
IHaos yp'jf70-/^oos V L,
'
5 . BaufxaTta j aaj la'aj'i'ô xaÀ(}//5ai^/(.st(;) r )
'
.^TlaS'fxX}/ opëiwnoXô v j
Coi-onwK V. — /.(/;»(' 5. KaXÀ/ypaipoi; : cf. Tliéopliijlaclc Siiiwc, VIII, )3, 8 : riva rcov
Liirnc !]. La lecture de ces mots est à peu |)rès certaine. Lire, je crois, xk{iipovofioi)
AiTa.
I.i^ne ib. EpyaaTtipiiaxot'!) : les ouvriers d'Euloye cl de Macaire.
38 CATALOGUE DU MUSF.K DU CAIRK.
XI lïaTTi'ôÔj;? 'VacLMÔ
20 . ASpacLix yva.<pl
. <l)oië(x^fi(jLn> TlpotJ.ot.v~js
X/ UeaÔL yvct^psvî
I
. AtXov yvoLipj
uibi Kâ opëiwnoAs
.UpoLKAeioî ahX^'i Ilaya/j
. Oté' pctnTV
3o . Ma/3ta TcreXesT
.(Kv/3txxos) yji\j<7oyj
'
•f-
l'i}(Tï](dis7Tpî'TS)aTrot. Ep5vy\y_^iô aTraMo^ufratô r y'^é:^ laïai'vô
E/35a)!^;(;^is xai Fln/Ttô v Max/5/ «î/ H . . .
BixTa'/5 vofxixj V
JlôT' VeveotXirj î>
/>i/j"«^ 1 C. B(x(Ta)p).
Ligne 3o. Cf. le nom propre Tselejr dans H. I. Bei.l, Si/ene Papijvi in tlie llntisli Mu-
séum [klio, XIII, p. 1 GG). Mais TuslesT ou Tc-eXet répontl au copie tu;g\ggt on
TU)G\GT, qui signifie ^la fiancée?), el il faut proI)al)Ieincnl lire ainsi dans le
papyrus de Syène.
Colonne VI. — Sauf à la ligne 9, les chilTres n'onl pas été inscrils.
Ligne II. Yzvtakioij fournit un nouvel exemple de nom latin (^Geniiilis) adopté par les
67289. Compte privé. IV-clevuiiccs ilues cL cli-peiises cllecUiées par Jciiii, colon
du lieu (lit Ko .... dans le nome Lycopolile. — Le verso est beaucoup
plus intéressant, puisqu'il contient probaidement le nom d'un duc de
Tbébaïde jusquici inconnu. — Lon^^. o m. 2()2 mill., lar(J^ o m. 317
niill. — Provenance inconnue.
Cursivo 1res soignée, j)res([uc sans ligatures, |irnl)al)lemenl de la main de Dioscore.
La mauvaise conservation du papyrus en rend l'inlelligence diiricile. On voit cependant
que le compte se divise en deu\ parties :
D apvrs le rcru de Scrciios le courrirr, cent par Plioihammâu Jlls d'Anouphis, pour
(irtabcs de blé : i3o ijS, etc.
\) (1. 1 .'î
et se(|.). Après diverses opérations qui devaient èlre indi([uées dans les lignes
10-1.3, il reste y-j arlabes et une fraction indécise entre les mains de Jean. Ces
arlabes, par suite d'une adaeratto au taux de 10 arlabes pour 18 xspÎTix, sont
estimées à la valeur de i.3o xep. i/3 (?). De ce total il faut roiranclier : (S3
xefxxTia. ijh dépensés comme il a été dit plus liaut (I. 10).
7 x£fj. ijh représentant les A arlabes de blé données selon la coutume aux
églises d'Apa Anoup et Apa Onnopbrios.
21 xep. l's = I 2 arlabes données à Apollùs.
Lo colon Jean resle donc débiteur, envers le propriétau'e, de 18 xEp. tj^ (le calcul
!i[ey]^).o[
1
-l'
A^^ lv[^xvvriv y\cwpyô-OTi^ Kùl'[ . . .Jo.ct) .[....] opj ivj X'jKo voilo'j
[67289] li ypoi.(Z>j Tov y/oaafxax! opj joy "Xeyo <boi€y,tLfXj mj -j- pky'
8 X./2/
i' a 77/' x/ 'il^Xj, -^ jSo); E« t5 T cVTayij y CLpyjjiniKl
ta 1- ••«/?> V _ } OLpl c,y aiTO tclIv ho tt! tô yeai/3 Ua. . AFolt/ [x/l l'0 L d'
].BiKTopSïp>;i'<- _ p
•çT . . . £x TO T [evTayij Ij
i3 ATraoyu/Qi^oi'Ta! rîe xaT[a] mj^r ï tov v tzJ xj ç- yij a[7ro] -ir 0$ [d'J Xf} . x .
Xj T(t)V xj ÏÇ^
Ligne à. Ilpoa-ypotip^rjs) tou ypaj^tf/atT^iou) op(ouî) tov \îyo;ji(^svovy Le sens esl in-
certain.
fjgne 10. On pourrait lire à la rigueur an [a-nj]/^, c'est-à-dire ano <T7ro(pifXj;? ytjs)
[otpovprov). Mais alors le chifTre n'aurait pas été inscrit , ou serait complètement eiïacé.
Ligne 1 j. A£>|/a£r();ï) : cf. P. Lond. iGA3 (inédit), cité d'après Bell par F. Piieisigke.
Vie latine de saint Pachôme (^Pnlr. lai., t. 78, col. n3/i) : tlapsanas enim est ugrestia
oleraii; — Cassien (^Inslil., IV, 11) écrit : -lierini sale condita, ipiam lapsanium
vocantii. Cf. l'arabe yL>-s! (^laltsân) : rtmoulardei\
Ligne i3. k-Tvapyupt^ovrat (ai apraËai). L'équivalent d'une artabe de blé en argent esl
traces très vagues de la ligne i3. Dans ce papyrus, comme dans d'autres comptes
analogues (cf. l'introduction du n° 67188), on remarquerait en ce cas une négli-
gence extrême dans le comput des fractions. II est cependant possible que le signe
ly' signifie i/3 et non i|i8. Dans ce cas le calcul qui suit serait juste.
PAPVIIUS BYZANTINS. il
i5 Aof/ x/ fi^ lô •
ai^/
J^ <7\)— S [£i\(oOoTwv -cra/5a[a-]/Je]0)/raj toc. 7^- • • [67289]
xara tj/tt i' tô [r y]i/ x/ xa L, Xof/ «/ Vj;[{] y' , a ;^/3eaiçrTet o yevp, xwv
00 > eiroiei TT . j . . .
) oy . . . . T^poir . . . çvs a.Q'jp . . . ep . .
^ . ^ ^^
xh
\ EllSO.
"l"
A£(7[7r) fx Tw] qo<p(n xoli '^à.oy^ M'^^it ^porrij EuTuj^iai'w [o-Jj^oX/,
1°
[(I>A^]K.oo-fia? î'0Ta/3[/] A«/?oÔ£Ou [a-T/5]aT);À/
Le texte est resté inachevé. Peipeiidirulairemenl à ces trois lignes, el au milieu de la feuille, court
Ligiic 1 6. Au Hl'U (le (j. = /lo, il ivslc eu réalité 3() 5/6 (d'ailleurs le chilTre n est très
douteux). Si vraiuieut, ici, (> = '/3, le calcul redevient juste à la li|;nc ly.
Verso. — Ligne i . Ascttj-oti; fiou toi aoi^vr^aTco) xai (pt'koxp{"r^'-o) !JLsyaO[viJL'jo] apocna.irr])
E., a-yo\{a.a-7iKw).
Ligne 2. Ce slralêlale Dorothée est sans doute un duc de Théhaïde. Cf. le Dorothée
célébré par le porte Dioscoro (n"' 67120, v., B 1. 28, C 1. 3i-38, et F 1. Sij;
67178, B 1. h). Le poème publié au n" 6718/1, r. (B), est peut-être adressé à ce
personnage, car, en supposant que deux vers ont été perdus au début, on peut
retrouver l'acrostiche \vp\oOs'jLi aûxintaptu (pour a-ilevTixpiù)). Au vers 3, on peut
Dorothée aurait donc reçu la dignité palatine de silenliairr , de même que le duc
Kyros est qualilié de pt^pepevSctpios dans la requête des gens d'Aphroditô (n° 67002 ,
11, 1. 1). Un autre exemple de la réunion de ces deux titres est connu par Malalas
[p. Ixùk , Bonn] : ^ov SovKOi HocXatmivy^i AïoiutSou ai'ksvTia.piou (sous Justinien).
— Antlnoé(?).
'' Date approximative do la raurt d'ApoUùs (cf. Revue des Eludes grecques, nji i, p. 'i6i).
[67290] Cursive penchée. — Six à liuil Icllres environ manquent sur la droile (sauf aux lignes
•f-
E'}[i\Six-)(6)i V avTMv e^ovTta -nra/sa ATra Mç)vo'[a]<[ou
5 Ta Ppov7t'CoiJ-£va -aapa t);s avTau' e^ouTia?. Kat oi'îa ax/3(é''i'[s OTt ovj
fjtr; ^ovXoixetnjs t?;? o-)/? S-aufxj. XTrov^îa'xa t[£]t[oivvv i'/a [fJi'7 vaiv^
ypCfJf/W lJi7]X£Tl (TVy^WpjfTOil TlVl T^XpeXOtlV ()l OLMTWV XÛLl £7r);[|C)îa^£M' av/TOii]*
.Siiscri|)(ion au verso :
[•f-
Ettu^j toi S-aufXj ATToXAvJTt (dessin) Tzpv~rjKfx<^ yay
f.iipir 1. II avraiv e^ovaia doit ici désigner le pracses : cf. n"' O-yoGi, c, où il faut
sans doule lire >; auTwjr eEova-ta, et Gy^S"? , I. 8. Dans B. G. U. G70, 1. I , t>;s aiiToi'
A(j/a' 10. KaT£)(_onsvcov : «les gens, les gens qui t'appartiennent n (?).
clamé. La fin est obscure, par suite des lacunes du texte. Les restitu-
tions proposées représentent du moins, à pou près, le nombre de lettres
— Antiuoé.
(jirsive bien tracée, pi'csipie droite. — Le liord gauclie est iixégulirrement déclu-
(lueté.
rAl'Vr.LS ItïZANTINS. ^3
a7rai70u[|x]£[i'CtM']
U7r£/9 x.P^'^^ Tipwvwv vo^ia-^} rpioi.KOv]ja a^, xai m Aoyov tcov aTToara-
Xemœv voix-icyiiOLTOi. fJoiirJîKa.
ijrhi xoiraSxXXsu' fxvîi: T]a solvtvv rhjaoa-ia xocrcc^iwa")] v , cr;; olSsX'Z'OT}]; a.pxsfT-
OiivoLt as Xoyov ixsv y^pv^jov Tipvvœv l'OfxiTJaaTt rpiaxomoc, xxi sis Aoyov
TÔ (xnoaTaXevTOs
liovov Tipwi'OsC^) voy.irT\(xx[mv s]?- [T7roy}î[>;] yxp ccniv exacrrov -apay^xy.
fxvyos
ToTs 'hi xoLroL^^iwTXTc TSoivryai svpsOjjvai xara raurvi' tj/v rnoXir,
Ligne I. n(apa) sans nuire indicnlioii , comme au numéro précédent : cf. P. Gic.iscn
ïi'j, iiilrndurtwn.
Ligne 3. 0( ano7Ta}.erT£s : plus bas (I. G), il s'afjil d'un seul aiio^ncCKeti. La reslilu-
tion proposée csl (ont hypolhélicpic; si elle csl exacte, il est ([uestion de deux sortes
d'impols : la taxe de remplacenieni pour une parlie des recrues exijjécs du village,
et l'argent nécessaire à l'éeiuipement des soldats (pii ont été réellement fournis.
Dans P. Lond. III, p. 228 (n" <)85), un soldat reçoit, de sa localité d'origine, un
salaire de 3o nomisniata; ailleurs [Cod. Thood., VU, i3, 7, 2) celle somme s'élève
à 3G (cf. M. Gklzeh, Sind. zur liij:. Vcrwallung Aenijpims, p. /iç)). Ces cliillVes,
(|ui se retrouvent dans notre papyrus, m'ont conduit à supposer qu'il s'agissait ici
d'un Uro.
Lifnie f). ASslÇiorvi est tellement entré dans l'usage épislolograplii(jue des Byzantins,
Ligne 8. La lacune est la même que celle de la ligne 1 : il faudrait donc, en réalité,
environ 1 8 lettres.
Ligne }u. Lir." peul-êlrc sTrofxeioiTwr = habitants d'un ETrotxioy. La garnison d'IIer-
[67291] [cAÔsiv £VT0(,v6(x £ti T}/!' oLp-^o'jyT[txj] 7a|[n'] , (x)s eiHOs ews ô Ss^yjTai ypoLfJ.-
Suscription au verso :
Cursive penchée.
ypcc^at fx[o]i[ . . .
TGV 0<^£«À[0fXet'0I' . . .
. .]?[•]'' W£/3t T)/s avaXoyiOLS vixwv xoli ews vvv ouTt emii-ipev ovtc £y[p^qt.-
. .a]{. KaTa^{«<T); oui' xav vvv tS£u.->1'oi.i ov S-eX;i ïva p; /?[a]6l[v(x»]av ?^-
dwaiv g"çei\ . . .
l'OS.[. . .
Suscription au verso :
Ligne 2. \'XupoÇiixyi(x : ce mol prouve f|ae les soldais en (|uestion sont des cavaliers.
Mais on ne peut savoir s'ils font partie de la garnison J'y\nlaiou ou de celle d'IIer-
mopolis : car Aplirodilô était en rapport avec ces deux détachements (cf. J. Maspero,
Organ. luilil. de l'Egijplc hijzanùnc, p. \hh-ih^y
Ligne II. La forme de 1'* indique qu'il terminait un groupe a.i.
Verso. — Ce Jean est peut-être le pagarque d'Anlaiopolis ([ui a signé plusieurs des
quittances du n° G^SqB.
Cursivc [)cnclK'c.
Cursive soignée, légèrcnienl penchée. — Deux groupes tle fragments, entre lesquels
deux lignes ont entièrenienl disparu.
asivaai
Svvno-eTixi. la.x'jjë yixp,£x tvs AvTO.iono'XiTwv opii^fj-evo?, xai Sta^as pLera tou
£1' ayiois fxou
TSCLTpos xcLipnv ov^îsic'j OAiyov, wÀ£io-T);r a[vT]c.' Q-£pa7:£tav 0i7i£V£tu£v. "^vv-
lax[a'6''J Ta» ^eaTroTJ )/ fxô Ta»] £[i' AtxfXTrpa t)/ fji.i'])/fX77 •çT[aT/5f. Kat oij^e/xtai'
ea](^av[e]^av [-wwttJote
Ligne G. Toutes les addilions insérées entre les lignes sont d'une autre main. —
EytÇavstai' plulùl (pie eiiÇoiviaii' ; la place manque peul-(5tre pour le -aroiTroTe du
n° GyoSf) (en ce cas, lire -aoTS seulement?).
46 CATALOGUE DU MUSÉE DU CAIRE.
j'Ofiifiou titXov. E-, £)isiv{ov) TOivDv T«!' TrT/îOOî'O^îxaTfx.evi'xM' la«aié' «at ïloi^ta?,
xaôîfTD/^XTiî' A;a «a( l'ax.'^X «ai l'£6't:«[xaj. Ek Aiaï (toji'w) xt^TcTaj 'CTaj[î]
' '
AlOtâ TlKTc-l l'.lIl'l'ÎM'
la'aî^i');(?)i')
,^ ^,,,0, sXs^Ospi[ov ]£<T,aj 7Po[. .
.]
«at iTax xaj Ia;£wé' xcci aXX(a)ot , rauT?;;' fxjra twv ixvtois [sic) -aouSaiv
7SS.pi TOVTO'J.
[ETTst TCi{]i'[t;]î' £xsnyj!}[v ran' •wpOfî);XvO£i']Tw[5' Ia]xwê' xoli ^[oi^taf, ^^'s ava'-
j5 SsSijXvTXi ,
ysysinircci Vxy^)}X xai \^£?sxKa xa( Ata, ;ca{ l'a;^^>A fJ^-S'' l^ovijpv
^lOV SlXoCTO.
Ti;v W£piovcr2i' tî l'Vi'
/vî'^'jtk; 7. L'interpolation, ajoutc^o d'abord npros yjvpov, a éti; harr^-e et rétablie après le
mot STspov.
Ugni; 11. Le scribe a essayé deux formules avant de trouver la déllnilivo (la seconde
de ces formules : eç tjs TimsTcxt etc., est celle qu'on lit au n" G^oSg); mais il a
oublié, à la ligne ta, de corriger aÀXoi en aXXous. Avant ce dernier mot est resté
un espace vide, comme si on avait d'abord réservé la place d'autres noms pro-
pres.
Ligne ij. C'est donc Marthe ([ui vit actuellement dans la maison du maître, et non
Eulogia sa sœur, comme le laissait croire la première version (celle du 11"
67089),
avant la reclificallon ajoutée entre les lignes. Eulogia, comme il est naturel, vit
.^
^
TOI' enov AojiojT \jtov xrtt yih/p ItixTnpa ftnof)/, i
~XVT)I5 T)/îJ
':^?a?"/?a[|acr]Oat (xat ra <ît-oj'Ta -ûsoieiv). Axvxool yoi[p] avir^/s «ara tov -nra-
povTO. xy.ipov
r I v^ r T «-r r -1 r-
r);!^^^'
[Touj lw7?;pos a7r£!(TT£ji'aqa|, xai eni
I
|t>/!'] wa/p[ovCTai'. . . . .
67295. Recueil de quatre pièces diverses. Coniriic jo l'ai indique plus longuc-
meiiL ailleurs (voir Bibliographie^, ce recueil est l'œuvre (Tuu copiste
qui écrivait sans doute dans la seconde moitié du vi"" siècle. Ainsi s'e.x-
pli(|U('nl les fautes commises par le scribe, fautes parliculièremenl
noinhicuses dans le document n" .'>. — Ivonj;-. o m. f><)3 mil!., lai'p-.
1 m. G 9 5 mill. — Anlinoé(?).
Lellres capitales penchées en avant, mêlées de formes cursivcs. Le n" !i est d'une autre
écriture, franchement cursivc, mais pourrait cependant être de
même main. la
Quatre colonnes formant pajM-s, séparées par une maige vide. Nombreuses lacunes;
en outre, la couleur foncée du papyrus rend parfois la leclure incertaine.
48 CATALOGUE DU MUSEE DU CAIRE.
[67295] 1° Mémoire contradicloire [àvTippttTtxoi Xî^elloi) remis par Horapollon fils d'Askl(5-
bytliis dans le nome Panopolile. Le plaignant expose que sa femme s'est enfuie en
l'abandonnant, et a emporté tous les oitjels mobiliers qui se trouvaient dans leur
maison de campagne, à Phencbylhis : il lui intente un \wocès prop ter rcs iitnotas, et
L'original de ce mémoire a été écrit sous le règne d'AnasIase (p. II, I. 17), sans doute
vers ic)i-/ic)3. Le personnage dont il s'agit d le professeur Horapollon (jue men-
tionnent Suidas (s.î>., 2" article), Damaskios (dans la Vie iFIsidore) et Zacharie le
X + Askiépiadès IJëraïskos + x
fomme (rilorapolloii II
2" Lettre de Jean fils de Psatès à Apa Kephalôn, évèque. Les lacunes sont peu
étendues, mais l'étal du papyrus rend le déchiffrement malaisé et incertain, tandis
que les négligences du copiste, qui se sont accumulées sur celte pièce, contribuent
à obscurcir le sens. Le style prétentieux de celte lettre est cause sans doute que
l'auteur du recueil, amateur de liltéralure, nous l'a conservée. Jean paraît être un
n'est qu'un sous-ordre, et que le véritable coupable est son chef, un certain Victor.
Celui-ci serait-il le Bi'xT^'p aùyovaOakis dont fait mention un papyrus de Berlin,
relatif à la xoJft» d'Aphroditô [Berl. Klassikerte.rlc , V, p. 1 2/1-1 35, vers 3 1 etset]. du
poème)? Nous ne connaissons à vrai dire ni la provenance ni la date du document
original dont cette pièce-ci est la copie : l'existence d'un évêque Kephalôn est attestée
à Antaiopolis, mais dans la première moitié du vi* siècle (n" GySaG , 1. h). L'identi-
fication n'est donc pas très probable, car Waugustal Victor", contemporain du duc
Jean, a vécu sous Justin II (cf. Bull, de l'Iiist. franc., t. X, p. 1 li']). Nous voyons ici un
nouveau cas de juridiction ecclésiastique. Victor paraît se défendre devant l'évêtpie,
comme s'il avait été accusé devant lui. Cf. le prêtre Serêu (lire ainsi au lieu de
Serên), SiantjTifi, dans P. Mon. n" lA; et aussi P. Lips. n" /i3.
3° Lettre d'un notaire érudit à quelqu'un de ses confrères. Les noms ont été suppri-
més. C'est une réponse à une autre lettre, remarquable, paraît-il, par ses qualités
des foi-miilcs de politesse. Il est cependant curieuv, comme dchanliilon du style [07295]
épislolaire en faveur parmi les lettrés provinciaux du vi' siècle.
h° Lettre (?) adressée à un x6/ii);s xai é^nsWsur^i. Cette dernière page est en majeure
partie eiïacée, cl de ce (|ui reste décliilïrable il est impossible de tirer un sens suivi.
Je n'ai pas cru utile de la publier.
Page I.
\
]oj[ x]at 01-
Ss TO x[£]^aX|a»Jov tc.'v \£v STTtOujxJja Tun> aXXoT/3[j]w[vJ Tvyy^avovToov
[}'a/9 TZoXXa xcLT avrovs oi vo^ioi tuw OnoTaTWv^ Vfx[6,M' ^cctiXswv, xj Ta]
y\n£\ppvt} £^jXT[a| tî/[s eyjjvaii? [1) to axv\-mpov apyijs. Ei§ojs[s] yctp,
apoixvOscnoLTOi ovTSi, œs oi STrtôufxj/Tat Tau/
Ligne 1. AvjipptjTixoi XtëeXXoi : l'expression s'est déjà rencontrée dans les actes du
concile d'Ephèse; cf. Uu Camge, s.v. Mais, en dehors de la littérature ecclésiastique,
c'est la première fois que nous avons le texte d'un de ces mémoires. Sur les Xj-
ëeWoi ordinaires remis aux riparwi ou aux nijclostraiègcs , cf. t. I, n°' Gyocji-GyoQS;
P. Lips. Sy, 1. q5, etc.. — EXXoyif/strraToy; — x£Kir)y.svoii. Dans la lacune on
pourrait aussi restituer : Tw Se.ivi toi atSeaiyL'jj pnrapico xcofius ^evs€v9sù>s , -aap syiou
etc.. Mais ce complément paraît être trop long.
Lif^nc a. OiSs au lieu de o/ Se (pie j'avais écrit d aI)ord : correction cpie me jiropose
M. Ik'll, et qui doit sans doute être adoptée. Le sujet de la phrase serait un litre
f/(a(?); cf. l'expression d'Olympiodore (dans Pliolius = Patrol. gr. , ClII, col. 378) :
Manuel Comnène a de même été dénommée IaT);p : cf. Du Gange, Gloss., s.v. Le
sens littéral serait --les décisions ipii guérissent les mauxi'.
i'0(:i[r;]r' auT[w]i'
TSconOTe ysysinj^x-evoi. ysy'\oyag-iv x\ ]ov «ara
xaxoTpOTTta[v xoci .] S£[ ] xai £7:i[0v(it\av jwv aAX[o]T/3J«i' [aTro]-
TOJf SixarrTijpiois Sia yjipvv tw pmccpiaiv ?/]Tf [tJwi' e«['î]i«aii' xat hin-O-
x(xxw6£VTa- aXX oO£v y}X£ rcc xar £u.£ -W£7r/3a)'fx]£r[a] xa[Ta] ^\p](xyy, x^
TTiapa Tivos , £yxaXvnToaa.i A[£y]£M.'. Etxoi a£v yotp, £i fx); £TTt-^oyov ro
Ligne 6. Ici et plus bas, li's resliliitions proposées n'ont iraulre prétention ([iic de
sentons par ,r le nombre de lettres manquant à cette ligne 21, nous mesurerons
1.25 : X + I f) ; 1. 2() : X + 1
7 ; 1. 27 et se([. : x + 1 (). — Ùs : esprit rude dans le
(cf. HoiiLWEiN, Iji police (lex villages égijplicnn à Wpcxpie lomaine , dans le Musée Belge,
IX, p. 187-19'!, et U. WiLCKRN, dans Anh. fur P<ip., V, p. A/ii); cf. ici m(5me,
X" édil de Justinien (§ 1). — Poin' la restitution piTrapior, cf. Bull. del'Inst. frnnr.,
Ligne 10. Cf. n" G7057, 11, 1. 2Ô : v-novpyioi) t>js SioiHijnazvs) in^ -taoïyapxyas)-
Lire {/;)^£(i/ai'. — Kevoro^iav : probablement pour xixtfOTOntai' , dans le sens d'« injus-
tice, illégaliléiï. Ce sens apparaît peut-être dans un passage d'Evagrius (//(.s(. eccl.
[(îoça o'j fX£T/9{a Tnpo -aoXko'j vnitpyji ixctx tJou? >£|aT]a T[>;r' AÀjc^ar^pov [0729.')]
[tv su'C&'iai', xoii anovSaiœî enoLrrxvaas t)/i' ii-Jou^av jxo[( ^Jurafiu- toî'
7T(a.T£pwv xj apoyovocv
[efii^uTOî' £yj^>v, (t)s rhSxa-xxXv /^pvTaix.svo; tw — ] TOt[s] TpiaiixxaLpiw^oL-cw
TSoXiv rov 'ifTov jp\o-ri\ov ecnvovSacrov (pvXaTreiv, aXXx >/ entxeia xj j/ Tzspi
TO'js Xoyovî
[ev^pvix zsapa tvv xxxojv ryjSxfxws Ttfiwvrat •
(xjxp-çypsi tovtw v xxt £u.[o]v
[xxi [xvSsnoTe aTT aXA>;X'^ir a7î-o]7;i'^[o{]v<çr9£VTan' fjt.j;[Tc t]); SixOccrei (xvt£ t);
GJ>c[)/<T£t] fx?;T£ T)/ [sjvs'via u.)/Tt: T); <pCXo(7o(^w Mouo-a, a'fTTS au.(diSx.XX£iv
[noXXovs rirwv eiyuev yrjvewv, oT70T£]pov [eyw tou] a[uT]);s 'craT/3o[s|, >> aux?;
TO'J £fiou. TvTî/îé'îacra t]);î' (pvTiv xotî spyoïs, x-xi tj;»' ÊTrtstxjav tw );uwi'
Li'pir ta. Xoyov : liru rair Xojwr. — EnevOuiiov : pour snrivOvvor. Je lie vois cepen-
Ai^/!'' ih. Cf. n" OyooG, r., 1. 3 : yLijTS [ol^tto yovecov xai apoyovloÀv [lov tovto to
ctytoii, (pii est trop (iillicdc. T piafiaxapiorarù) convient beaucoup mieux aux traces,
[C7295] [<Tvva.pnoLK£iv cSovAyjÔv ^oli io Xoinov. Miny^sipn yap o[fi.ov](?) sv SiX7) xai
TQ ainjxov fioi ex TSarpos xai STzpwv vofxifxwv xai f^ixaiw -irlwv eis avrvv
[avalxeiv, TCtvTijv fxot iioinjv xaTa^movra, tvv sX-rrir^a,, Tv/^eiv'^ tj;? r/fxwi'
[ovSsv TSw-KO-vs £K oiôS)}iTOTe titXov vjio voayjv avTJjs y£]p/£[v]7;Ta{ , aXX' vmjp-
^ev Tou vpMos |û. zsoLTpos Aax'XvTvtaSov sx rs Tmxrp'u.ias xai fjD/T/O'Was Sia-
[ex TOV eaov oixov rsavTOi. Ta xiinjxa fxsTcOijxsv, avro 'n3'oAu]Ttfxou ec'? eXa^jcnov
SIS ou[s] eêovXvOv TOTVovs, s^iov xoLTOL T)/i' AA£?aiv5^£(Wv T};j' ^ia^t'îaiTxaAjai»
3o [trfotoufiei'ou tc»m' vswv, xcli ——— ]î''';s Tvy'^a.v\ot>^os ^lot. tjjv [t]6iM'
Vac.k 11.
5 y£i'OfX£i'a{ avopyyjxi xai avafTxa<pa\_i'\ sv tw sulw oixù) xai Sia SixsXXwv xai
STspwv epyaXiwv
Li^ne q4. Hf/wr : pour vyLcov. — L'expression (pii suit est empruntée à la langue juri-
dique : cf. Nov. 8 G, 1 : enaarv to Sinatov ÇvXaTTEiv.
Ligne 2 y. Oc : esprit dans le ms. : ce pronom se rapporte à Askiépiadès.
Ligne 3i. Elle commence juste au-dessous du mot yovscov de la ligne précédente.
Page II. — Ligne à. Ei^ SfzauTOr : pour tu ey^auTov (lire sans doute vtt sfiavTor).—
E;^ctii; : [lour £;(^w (?). Cette seconde page a élé fortement altérée par le copiste.
Ligne 5. T(i)' avec iota adscril : cf. n° d'JO']'], passun. — Lire spya'keicin' (et non epya-
Xt(^St)cov comme je l'avais proposé dans la première édition).
l'ArVi'.US 11 VZ AN TINS. 53
TOic-JTO-poT:v:\ ;i>- arafCj/TJ/TJj' -wv [iJaOei'Ta'i- -wa/^a toi; eaov trraT/3&> £i> [07295]
Xpsiois. To\jTm> TOivyv ohxw 70v £Aîyx[^J'' ®3t/;a woJa xj tr «aj/sc xv ^fioi'Ti
ai:[T]aOt'T£a'> (Txeuc
if [Tjyjat'Ta'î xixyoô
Sia. Tovs ei> sfis y[ey'\ev7iu£i"j'j5 -crapa [t]vs toiavivs ax^vSiov Tfjonovs, £(p ijfiiv
t[o]<s yevvoLiois
ixv rr-jyyjxipvTOLt, fxj;T£fxtav x£)'OTO^u.li]ai' 5'£i'£oO[a]t «ara tj/s i/V sixt vo(J.)!i
TOxpoLTopos 0û xat T);s OeiOii xai [o]vpot.viOL5 v[i]xvs tov tcc wai'Ta rj^cj-TCs
/.(/'•«( 7. Tov elsyxov : le scribe a oublié celle première conslruclion, cl donné à cet
accusiitif le rôle de sujet. — OXnr pour -aaincov : cf. n° G700 i , 1. 18; P. landanac
a3 , () et 7, etc..
fjone Q. Sur les relmlioiics , cf. CW. J».W., V, 21; — Um'ien, U<ptl.. VI, <) cl i;»,
etc. Lire c/navo^lv); celle abréviation esl assez fréquente dans les papyrus d'Apliro-
dilo : cf. n°' 1)7170, r., I. G; (17183, r., I. 10 etc.. UsraOeais axswv esl la
Ligtie 10. Upos Txii aXka.is : entre autres, sous-enlcndu rtfjK^pnxis, ou encore pour
crpoï TOI.- a'/.lois, ce (|ui donnerait un meilleur sens. — Le sujet de s-Kcvovaev peut
moins cpie les mots i-Ofios n'oient élé omis par le copiste, ce
être Sixa:rTvpiOv, à
[67295] V voix.vi vn epie xvyyjxvo\)(7)]s , ex rrvvoLpT:\_a^yv5 iwv s^w lyPpwv. 'ïomio yap
|SouXeTa[«] Ta (poSepoTct-va, v^iktol,
20 SiCL <TOv Tou t);î' <ppovTiSa t);î xv^jjs ccvx-v[e\Tay(J.svoy za. xqkxvtol fx);i'u0);[î'a]j
avTOv; eSe^arrOe' xat eivi to Sixa[t7^T)}piov fi[£]Ta (xvwfrevî xixOoi. toi? l'Ofxojs
Page 111.
«aT Ofx>;/3ov. Tov fxer aa.Xai (Stoi/ (pocvets sni Xt:i^[aXa{]> (?),
JÀgnc 22. ArT(pp>îTixous était peut-être, ici encore, écrit avec un seul p (comme à
Ligne .j. Lire xaO' OfjLtjpov. Ces mots se retrouvent plusieurs fois dans les poèmes
homériques; cf. notamment Odi/ssée, V, i3(] : 3-tjcrstv aOavaroi' xai ayrjp'jv ij\j.aTa
aaina. Les manuscrits se partagent entre les formes aynpaLOv et ayiipcov, notre texte
avant de se convertir. Je restitue e-ni xeipaXan, parce que l'auteur semble faire une
opposition entre ce passage et celui qui suit (1. 5) : £77 ayxaXati. C'est d'ailleurs
une simple hypothèse, car je crains (pi'il ne faille renoncer à trouver un sens à
cette partie de la phrase.
Ligne h. MsTatxaX^s : fttr repentir. Peut-être ce mol provient-il simpli'ment d'un(^
erreur du copiste.
l'Al'VIUS liVZANTlNS. 55
lA(pic 7. «Jo ne me souviens nullement d'uvoir élé en rapports (?) avec Victor, sinon
pour lui reprocher. 11
LifTHc 8. Lire v7TuveiSia\x rtjc lui ai discrètement reproché 5\ — Oaov : comme plus
loin, );j, aW etc.. : signes orihograpliiqucs dans le manuscrit.
Lignr Q. Eff/j est très douleux; le premier i n'est peul-êlre que le jamhajje initial
d'un r ou d'un n; avant le second 1, il reste une trace obscure cpii ne peut que dilTi-
l'artisan.'' Jean dit n'avoir été ([ue l'instrument de Victor, son supérieur.
/.(//'" 1 3. TnopuvTots : vt en monogrannne. On pourrait lire u-Tra . . . Aounas, mais celle
lÀgnc 18. Je n'ai pu réussir à décliillrer le premier mot, fort mal écrit en |)elilc cur-
sive contournée. — T«y SeaitOTri jiov tol rsavra B-eo(TeùenaTu xat aytciTonu) stnpt.
Lifpic ifj. Peut-être K£(paX6iiri[&)], car un espace vide suit le nom. Mais un évê([ue
Tvyji'w; T[a] zsepi avT));, -ut po o'xllxtw x[v'\sXovti ev i:fjt,auT[ai tJj?»' TT^epi au[T);?]
TaXaé'e[ji']
Lipie 22. Ilots-fjjï) aiSovs : cf. /'. O.vij., VIII, n" ii65 r. ; •cr(aV)?s) -Bpovxivvv'trerj}?)
Ssxa Ss oTOf/aT* etsv (cf. Virgile, Gcorg., Il, /i3, et Knéiih , VI, Gai : -non, milii
Ligne 54. E(p exaoTvs [e. s. rjfispoLi) : cha(|ue jour (?). L'); est presque enlièrenienl
effacé, et l'on pourrait songer à e(p skoltiou : sur tous les sujets.
BiDL. : Journal d'entrée du Musée, n" /*36a'i; texte et tratluctioii des p.iges I et II ilaiis J. Maspero,
flornpollon et la fin du paganisme égyptien [liulletin de l'Institut fr/inrnis d'arcli. orient., t. XI,
p. 163-195).
Ici, comme dans P. Strasb. /i6-5i, mention est faite du droit d'asile des églises et
droit depuis l'antiquité païenne. Les B-s7ot y^apooiriipss, comme il l'a démontré, sont
l'APVl'.US BYZANTINS. 57
les iin;i[;cs de piélé, les icoiics (de même dans le papyrus du (lairc ii" ()7o8(j, r. , [07290]
(D), 1. 1, où il faut iorri[;or ma noie). Je ne erois pourtant pas qu'il s'agisse, comme
il le pense, de taljleauv exposés dans les rues : c'est plutôt une manière détournée
d'e.\[)rimcr les églises, comme nous disons ttau pied des autels îi.
Le riparios ApoUos est connu eu 538 par le n" GyaSa, eu 02 1 par une suite d'autres
Eyjvixi (lui seront publiées ultérieurement, et eu a23 d'après P. Loiid. \ , i G87, ipie
M. Bell m'a signalé. Mais peut-être a-t-il été nouiiué plusieurs fois à ces fonctions.
[I*-
TTraTcia? <l>X]aviô [iîMTapiô tô evSo^OTarô , enei'^ " xO " Tsao-OLpctaxoLiSe-
xxT?/s ivSixj
[tô Ta trrai'Tja vixowos 70v SsairoTÔ r/fxwv <I>Aainô lovaTiavô [sic) tô aiwviô
a.vyov'TTÔ rtvTOKpCLTopo; , syyvxaOat x} qcva[Sê:Sey6(xt']
f.ijjiir .7. Atto •arpaiTToa-fiTO)!') : cf. n"' ()yi2- et 67128. (lonforménienl à l'iiabilude
copte, le litre était écrit aTro-npanroa-noi; cf. (InuM, Copl. Mss. in tlie Bylamls Libranj,
p. i/iG , n. 3 , oiî sont cités plusieurs exemples tirés de documents copies, notam-
lisière du désert (cf. Castra !\Iemn(mia) \ un petit détacliemenl, prélevé sur la gar-
(au iv' siècle il est vrai), à IJabylonc, est fourni par P. Oxy., X, i2()i, 8. — La
lacune finale contient, selon les lignes, un nombre de lettres très variables : les trois
[67296] [êttj T6.' avToJus 'aapa(xeivai ev tij ol'jjv nviiv , 017:0 a^f^icpov ei? 70 e^ijs Sia.
10 \sKT05 ay^iwv [ysYpiSoXvv xai [B-]sivy y^apocx[T]vp(t)v xai t?;? [ajyia? xvpia-
\aXk £iTi toli aluTCi' ay(iJi).'XTi p.svgy(Ttv aSia.Xsmr'U^s ai'î'j oias Svttotc -aporrra-
\xj, Td) TSSpi TÔTO £]7r);[/3]T7;fi£V«»' . «j U7rOX£tfi£[î']«!' VUIV £IS TOT&'t' Wai'Tli'î'
[•j- <I>X) Ai'5i2]i5 ^Fti'ôaj/Ttô cT^fo-é') Tnpoxjl £yyr]<A.>^ai tovs Tj^poxlj EpiJ.[a.~\wv
Ligne 8. ZrjTouixevov eo; : quand on s'informera d'eux auprès de nous. Cf. Damaskios,
cité par Suidas (s. v. flpotTroXXwr, 2' arlicle) : ^fiTOi/uïros vv; P- Mon. G, 1. 38 :
eiïjcrav axvxooTss. Exemples fréquents notamment dans Agathias (v. Vinde.v de l'éd.
lÀgnc 1 0. 2;(^)jf^a : ils n'auront pas clianijé de condition, ils seront toujours fabricants
de miel. Ils n'ont pas le droit de quitter la corporation, parce que celle-ci paye
l'impôt globalement pour tous ses membres, et qu'une diminution dans le nombre
de ces membres équivaudrait, pour chacun d'eux, à une augmentation d'impôt.
Ligne 11. Upoa^aaia. : patrocinium (cf. n° 6702/1, r., I. 8), patronage sous la pro-
<[ul suivent dépendent de a)^riy.inoi : le fugitif ne pourra pas échapper aux poursuites
Ijgne i3. Deux onces = la nomismala, soit par personne cautionnée : c'est le taux
ordinaire (cf. n° 670f)/i , 1. 1 5- 1 6, et une série d'actes analogues qui seront publiés
au n° 67328). Le scribe a pris si'vijvo)(_ayiev pour une forme du verbe evexeiv : car \\
s'agit là sans aucun doute de la formule connue : evoxoi siiiftev tcli ^stc' opHoj etc.
(cf. n° 67082, 1. 1 oo-i o 1 , et /IrfJ. f< Corr.).
Ligne 1 à. Le mot xivSwcl) a été oublié, ou xj est-il pour xnSwcol — Lire eis toi/to.
[xoLi a'fioo-Ja T(j^n> [sir) crstoi' opxoi> œs zspoxjj \- <I>Xj \vô(pid [sic) \Gpccap.iô [(')72<JG]
[açiwj()cts, t:}/3a-»^a 'j7rt;/9 ôltwv ypxfxaoiToi. ixv £t'5oTwi'. A-jp^j^ios lUxrcop "^e-
•jo [wa^a Twlr S-îpifv^"' "l" 'T 15(KTa'/3 lleçrfiou rspeaS u.:LpTJpw tu txva axouTa»
TSIXpOL TWV S-£fi£î'a)r -j-
Aî^^/r iS. Ce Thcoleknos paraît di'jà aux n"' G7212, ]. 3, cl 6-288, III, 1. <).
["C-
T7r]aT£»a» <l>Aa'jto liilia-apiâ (sic) tov suSo^OTaTÔ sTTei<p " xO " Tsaae-
pxfTXCLiSex^a^T^yts ivS
/]
[<I>JAao[t;]i'(W AttoXA^ti, atSeTiuai pmapido xwtxvs A^poSnvs t[5J Avtxiotïo-
A[tT]ou [j']ofxo[u]
[tô a]uT5 vo[LÔ, ^paSews vnoypa<povTOs, vïov tou tj;? evXaëôi ju.i');fA);> laxu-
6'jô, yôvofjisvô -apeTëvT^epô, y^xipj^
5 [Ou.oXo])/[a), ofxi'Ufx]ç[j'os toj' tJs •çr[ai']TOX/o[aTo]^a Weov xat t[)/|j.' crtiar x[ai
(TTol^J ]
a[t;]T0X/5aT&/90S
xô xr>^^0X,<5Ô,
£7rt t[c«.' aulTo[i'] fxeti'at er tv [';]fJ^c»"' «'-»'"•'/, J^at fjD/^afACi's a[v]TOi' airoXei-
a-TpartUTixô n xlnpixô
Ligiw 8. KaTaa-Taa-(£ai?) : les mois rajoutés nu-dessus tle la ligne n'ont prammalica-
lenienl aucun sens. — Uoniaviiev serait possible à la rigueur, ([uoique l'o soit dilli-
cile à trouver.
Ligne g. Aut>; = t); xcL>nril Le mol se rapporte plulùl au lilrc -crapa tîiî ay^ aiSscri-
Liipir 1 0. îlpoaratTtas : correction sur ispay^iaT {^sicy 11 semble que dans otov le second
ail été retoucbé pour donner un a, mais c'est tout; lire otas.
fin du premier. Ainsi, ils étaient déjà incomplots (juand on les a réunis de la sorte.
Comme ils n'ont entre eux d'autre rapport cpie la communauté du sujet, il est
probable que Dioscore les avait conservés à litre de modèles d'sjiÇvTsvTix)) lyioloyU.
Le XafiTipàraros xa! croÇiOJTaTOi (yyo\ti(j-c ikU IMioibammôn, du n" GyQfjCj, est un
contemporain de Justin II (n° G-iGq, note r) = lome 111, p. 3) : nos deux papyrus
sait une è\).(^\)iz\)t\iy.y\\ o^ioXoyîix de l'an CiG (P. Lond. /i83 = t. II, p. 3n3 et scq.;
cf. ArcJiiv fur PajK, I, p. h'i"]), provenant probablement (?) du nome Apollonopolite
minor (cf. à ce sujet : Revue des Etudes grecques, i ç) i 3 , p. 219), sans compter les
documents analogues, en latin, très postérieurs, (pi'a publiés Mariui (^Papin diplo-
rnatici, par exemple aux n"' CXWIII-CXXXVI), et des fragments dont la liste a été
relevée dans /'. (liessen, loG, 1. 3 (note). A ces fragments, ajoutons le papyrus du
Caire n° G7257, décrit au tome II de ce Catalogue, p. 192 (vi' siècle). Parmi les
l'AlM ISUS IJVZAISTINS. 61
conservées d'un contrat de l'an 731, dans CnuM, Calai, of tlic Copl. Ms.i. in llie Rijlnnds
Libranj, n" lyS (cf. aussi n" lyC) et 17/1, où le propriétaire est encore un couvent,
celui de Saint Zacliarie, près d'Antinoé semble-t-il). — Corpus Papijr. Raiiieri, II,
kiiALi,, Kopl. li.rlr : n' SG (1. 1;) : iiii.vKTori iTnA<|>iri'GYM.\ = araxTOv ^(/(^i;-
TevTiKÔv'j et 70 (I.
7 ).
[xaT]aé'aA£j|f Oju.o]Ao}'[ot;rT]o5 tw
£(lfJ.£1'0r>Tl , XoyOJ TSOlV)]i , -^p^Tov
vouirr^OLTa exarov. Ei Se ^);TJ;a«>- riî
lÀ{Tui' 3. Pour la reslilulion et le sens du mot \ayiÇ!i]e(76evT0i , cf. n" (l- •.?()(), 1. 5o
(note) : ce .serait une faute pour ayL(pte<70Eti. Il s'ajjit évidemment de l'habit ecclé-
siasti(pu', par leipiel jure le prèln; Abraham, tandis (|ne Sénouthès prèle seulement
le serment ordinaire. Le serment par tou aepiësèXrj^fjLevov fxoj a-x>iiJioiros se lit dans
le testament d'Abraham, évè(jue d'ilermontliis, I. 63 (!'. Lond. I, p. vi' siècle).
77;
Un papyrus du 1 (i juillet (i/17 (I'. Lond. Inv. n" 'J017) porte aussi la formule xaja
TOV TS£ptëeQ.)]imevov av-ru icpxTixou a^v^J^ctTos (cité par II. I. Bkll, dans Bijzanl.
Zciischr., Wll, p. 3<)3).
Lilfiir 1 G. V,xvtxi)aii : vvictio, La garantie contre les prétentions d'un tiers est stipulée
dans tous les contrats de vente ou de location jiis([ii'ici publiés : mais l'emploi du
terme technicpie est une nouveauté.
62 CATALOGUE DU MUSÉE DU CAIRE.
ho aUTÇV TOU SlX'XlOV, STTt TOlI TSprjTSTaXlILSVM £T);['T(V fifxJi^llTEUfXaTt J/TOt -CtaXTii'
xara t>;i'
fxsv TO 'zspoxeitjLSvrjv
7:tpoa-Tt(J.ov, x/xi (noiyei ^xoi iiyavra vî tspoxj, xai ava[j'rou?] eyv A^paafxjo»
'u^psrySj xai otxorofxos
T)/5 auTj;> aytas exxXyjrruxs , xot,: •j[7ro}']paxjl'a> uttc/q [r£ £ua]uT0U xoii viiçp
Apx_£Xa,os
/.//THP Hy. La signature d'Aljraliam est écrilc en onciale épaisse Irc's soignée el Iri^s
Ligne ait. Signature en demi-cursive droite, proche de l'onciale, mais moins régulière.
PAIMIUJS IMZANTINS. 63
[C7298]
ays TSpoxj, xcli avocyvovs kcli v!Toypa.-\pct.i x&ipi tfx?; a7î-£À(£)v(7a \-
zsxTja Ca}s zspoxl, XCLI v7ro[y/2a\|/aj y^npi epcj/ aTTiJAuca -|- -j- lI/oi;> Ilai-jov (î«a«/
T);s aj ja? exxXvmas t);î ai;T)/.> Tci'T'J/îj[Ta'i' ctJoXeciis rrvvaivuy rv Tspoyz-
ypa.ixu.îw
55 svAaê'iîa-TaTat avra Aé'/safxtou (.sic) TSpeoëwepv xai \oixo\vo>^w t)/? avTj;? aj'ias
exAiimas (.s'/c)
£j>- TauT)/v T)/j' £fXipuTe[i;o-J!' xjai rrror^ei [f/oi •rrrJarTa wj -iit/20«/, xqci [vno]-
yp[cc]-^oc[5]
TJ/J' £i"PuT£ua-M', XCLI -tt[o(;^£j fxot -cTaj'Ta] &'s vipoxj, XOLI avayvoy? xoli
. l\ : xai OTTO. . . . . .
j
SuKov tj; ( le reste eiïacé).
I
. I
.'!
: fisv eyvu ri tyis a
. 'j5 : (début elFacc volontaircniciit) -1- TtOv. ... la fin en sijjnes tacliyfjrapliiques.
. liG : -|- EfiaOcv Tzap^ (autre main aussitôt après:) Svaconncra Se tov xvpiov KoXX (la
lijjiie est inachevée).
L'avocat I^hoibammôn étant connu comme un lialiitant d'Anlinoé (cf. la iiole sur la 1. G),
il est probable ijue le contrat a été rédijjé dans cette ville, et (|ue le couvent de
Saint Pboibammôn se trouvait dans les environs. La li|;nc A 1 , où on lit xonà t>)i'
a-vvaXXaYvv tîjs zsàlsrj}? , sans indication du nom de la ville, indi([ue d'ailleurs que
les deux parties contractantes dépendent de la même cité. Un tottos tov dOXo(^6pou
yiapTvpos àë€S <!>ot€ctiiM'Oi est connu à Tbèbes, sinTOoy n.xiiMG [Kopl. Rrchlsiir-
htmhni, par W. E. Crum et G. Slcindorll", n" 77, 1. G et 11*; cf. aussi Unmr Einjptol.,
iqiQ, p. q5). Un autre, ipii parait être voisin d'Hermopolis, est cilé dans (iiiuM,
Calnl. of lltc Copl. iMss. lu ihc ni/laiidi IJhrnnj, n"' •> i f) et 2 i G : c'est peut-être de
la date de 6C4/G05. En réalité, il faut remonter jusqu'en décendire G3i ou O.'iS, et restituer le
. . . iSktiAji'î;]
[aÙTJoù uîoO ^Tous £Îxotj(TToO TphoM, )(Otàx [.] ivhiti.ll ri (lii'C peut-être 0) èv rv [iji'i']
lléraclius Constantin est né en Gi3 (=aii i, cf. Chrnn. Pasclmlc, anno Gi.T), et l'an i d'Iléraclins
commence le A octobre Gto; sur le com|)ul des années de rèjjiie d'IIéracilus II Constantin,
cf. Cliron. Paschale, anno Ga8. — Ce foiinidaire est très dilTéreul de tous ceux ipie l'on connaît
jusqu'ici; il devra être ajouté à la liste des papyrus datés du règne d'Iléraclins, dressée par
il. I. Bell, dans Bijzant. ZeUschr., XXII, u)i/i, p. 3g.S et se(|.
PAPYRUS BYZANTINS. 65
xolOoXov Tmpioyj}; , rrvv £iTOr]r,ii x(xi s^oSois x[a(] <rvpxis koli [67299]
a-noTnxaOvvxi eiTS \
fJ-£p]os tov \Tgpo]£ipviJ-£>'OV \biXov x.''^'/3?;jU.aT0?
£iT£ Sixxirj(y)v, TOVTO £xSix7)a-xi, XXI £y_£iv y-no tj;».» 'iSixv xxto)(J)}v
XXI XT))aiv, xai £ts )/r ^ovXiTXt otpiv xxi et? ov ^ovXerxi Tponov
Linnc à. Supariv : li;s fenêtres. — Ofxotvs : un peu court peut-être (la lacune pourrait
contenir juscpi'à six Icltres); la trace Irijs faible ([ui précède le second o convient bien
Lime G. Cf. le Xa^mpoiciios xat <jo(paiiaios <jyo\oL(jy iKOi '1>oiSol(x;i(jjv du n" GyiGy his
IJmii' i3. Viooaiaaiou : cf. Tu. Reil, Hcili-dge zur Kennlniss des Gewerbes vu kellemsl.
Acp^ijplcn, p. 8 A.
Limic \à. ItsKSixeiv : " rcvendi([uen'. — '^aiixoniKov etc.. : tr mentionné ou non dans
le contrat".
Ligne ai. Eli )ieipova : clause contraire au.x tendances générales de la législation
justinicnne, (pii impose une amende au détenteur s'il endommage la propriété cédée
Liipir 3u. "Car c'est à lui tpic le sort éventuel de la propriété fait courir des risques !>,
Ligjte 'j3. Ce droit de cession à un tiers n'est pas mentionné dans le papyrus de Londres.
X,oopi5 TsavTOs Solov xai (p[o'\§[ov xai] f3[ja>] xai (xtioltvs xai ctvciyxv^
S-cfTcW?, fi£Ta •cravTOi avrov tov [5ix'xiov'\ xai tj/s xixOqXov TSepioyi]s
xcct fxeTa tov ovtos sv auT[a' Xa];cxo[*j rej xcci vSp£'jLLoi.T05 xott
xsXkiwv xai TSxvTOs a.v7c>}[v to]u Sixoi.i[ov x]ai t>;? xolÔoIov Tsepio-^vs. Kaj
[ofiJoXoyet aviTo[s t]? xoli x'kYipov\ojj.oi\ auTOt; [xai] SiciSo-^ot xai ^iy.xa.TO-/oi
SiSovcci xad exarnov evtauTOi' tw r^[i]xai(jj tov (xvtov ayiov otxov, Sia. tcûv
1,0 TOLXTOV VTOl £a<PvT£VlXaTOi TOV OI.Vt[oV Ôia\oV [x^V^pni^XTOi, rOfXia-llOl. £V TSOLpCI.
X£pCt.TlOL
-r?£}'T£ xcLTOL T)/î' avvaXkci.ym' t);» 'nToX£a'[?]. Ofj.oÀ[&} o]u(TH' ^£ 0( a.(p £xa.T£pov
VW£VaVTlOV
a'JT);î /jj>p£iv, aXX £v ^xvti y^povfj} xoa •ûTa['T<] Tpoirots ctT^uiTOv t£ xai xax-
AcVTOV
[Tr!a\pa<pvXa.^0Li, |auT);i'. Kai oti txvtiiv tvv ofjioÀo; ia]v «[ara i'o]a[cit;» w]a-
TW,
XXI cTTl T);» T:fp\o^X£lU.£VVS £fXl^UT£U(T£[a's acVOl'Tt]? ov -nTa/9[a6']);TOJ'[T]at
Ligne â5. Lire acrotkevTov, si la tentative de restitution est exacte. Il faudrait suppléer,
à la ligne A/i, quehpie chose comme : «en se conformant aux règles suivies dans
tous les contrats d'emphytéose^.
'IpiaSla, xai t?;i' rt«j;i' tou tî/j] otxoufxev[);]s SscnroTOv <I)X) loucTtriarou
TOV OLiuiviov (xv\yo\j>TT\o\) a.vToxpa.TOp05, TSpos [t]w, et ^ovhjOen) oiroTspov zsapct
ëjjvoii (lepos 'çr/?[o]';yf[o]fioXo}');OtrTa, fx[7/(îJ£v j^^'' wi'ao-Oai cx tou
55 £,TH-/j:ipil 110.1 05, fÎ0i"T£(V [^S tJw £IXfJLà}'[oi'T]t fi£/5ct UTTt/S [I.OVOV TOV T)/?
ipi'xxoviCL ti e.\)(7-;'xO\xs , Tspos ra' ;<af fA£T[a t]);!' tov TnpoaTifjiOv sxti^iv
£1 ovTw Tv'/jji , xai zspo T})s TOvTov xxTOi.\ëo\Xvs , la'/^vpxv eivai appayv
Go xoLi arrixkevTOv t)]v '5wa[ut]}' ti;s iscLp^ova^^vs six^pvTSVTixyî ofioXc/yias
[....]« 'aifTT£i auTOu. Kai stt» toutojs £T:£pwT\_')]a(xvT£5 aXX>;Xouj- ot a>^ £xa-
T£pô]
[fxepouj? xat £T:£pœTvO£VT£s Tnap aXXî/Xa'fr TauO outws £X,s»f S(iJ(7£iv^
Au verso, si{jiies tacliyjraphiques, aiuiog^ues à ceii\ (jui couvrent le verso <Ju n° G7298.
Lilfnc 5o. "^.yjnyLdtoi. l>cs dcu\ moines jurent cr par l'habit (monacal) du (monastère du)
martyr IMioibammôn, habit qu'ils portent sur leur corps 1. On remarquera (jue
Limic Go. Appayv «i' aaaAsvTOv. 11 est curieux de constater ([ue, de la langue juridique,
celle expression passa dans le style des chancelleries. On la retrouve dans la lellre
de l'empereur Basiliskos à Tiinothéc Elurc (Kvacii., Hi.sl. ceci, III, /i , p. 101, éd.
Bidez) : 3-efi£\iov re appayn «ai aacù.svjov TSt^Oi ti;s rjyiSTEpcis jSixa-tlsixs.
lÀipic 63. Cf. P. Miincii. 1, 1. i(j. La lacune ne doit pas dépasser une ligne, car
aucun fragment n'a été retrouvé.
— Aphroditù.
•f-
T[7raT]£f3ts <I>A) OXvfj.G[ptô tô svSo^'JTaTO'j -aavvi jj
n; jj exzv? irSixJ
OaoAoyv s.\x |ouTi'ai[s] xcti a\)OoLip-:xvs fxiuinOvrrOoii uictpa. tj/s vaw S"[a]ufia-
[<j]jaiT>;TO?(s(r)
Tspos t/2J£[t?;] -^povov, Ao)'»^| ccTTO xd.o'Krxiv ry^v\v <")£« ixeXXovaijs £é''î[o]fXj;>
(puTO<[s] x[a]t [ip]o[n']<f£ xai ^[jxa]{[<i'r] •CTai'TCJ' £[i']tos ;< ( exro? xaT[a] ra
O^Oia, £<^ W (J.E
xai }'£«|Oy[o<]?. Kaj virep to-jt^M' toj' ^opcv iTOuxais ey^w xaO £[rj]auT[o]}'
t7t[ a]/2a^£H'
Ligne 5. Ta-ev€txTaip : paraît pourtant trop long pour les deu.v lacunes.
Llljiii' 8. Le nom de lieu Oveacnos reparaît dans P. Lond. IV (index A (W). Il<a7r£T0 est
rorlhographe grecque de 111x2 ucto = le champ de Peto; cf. P. Lond. V, iGf)5, 7.
Ligne Q. Lire SiHaioie; cette confusion de cas est fré(juenle dans ce genre de formules.
[ti'J jcAsiai [^3({| aSpo'/^txw xoli r5[t]fî'>rai 'jfj.iv sktcs tvv îfxé'oÀ?;i' xaj |x,]p^~
T[aJ a^/ra [î;:*2jo/3(a ctitotj OLpTgi.€as sixoai oxrv ut:|T]pa' (p[o]|Otxa' tou fxej-a-
XonpeiT}
iT. x[oaji:7o[î Aaj^ua'i'jô. lIap£[ScitJ ^5; xoli Tvpovs î7!i\v7\yxovTX xai A£:\i'[ar]);>
xoX|o]$'a zîqtjspa.
[v TÔ UTT tfXiî] |SocTX};fj(.aT[o?, X) ;i^]/3i;'70u Tptfx[j;'Tto]i' ij^" axa'[AvTJ«> (î[£j £;i(^c<'
[aTTù TÔ exîJTsJ Aax«| o]u £js T[as ^ leî'as xai «ruj'î/ffj'-fjtjsj'a? [a]/20/:'[o(s t\v
auT[a'] TOTrai avfv pt-('T[ÔJ&.
[fxj/'-kva. -f-]
A'j/5};XtOb IlaTîTOuOto'^ (.s/V;) o zspoxjj (j-SfiiaOcoixai ws -û^p\o'\xlJ
•jo [-j- ^I>Aaui'05 A]7roAAa'[?| i^io\r7Xoptyj , açtai[0£js], eypoc^pa y\T['jsp avroy yp^^P--
[fxjara
[fx); ejfîoTOîj -p
l.ifrnc i-j. EvîXKo;i£va parait sur, mais la langue du contrai est si incorrccle ciii'on
fjgitc 1 G. Tirsp Tou VTT s^s fioaxtjfjLaTos : la propriél(5 contenait sans doute un terrain do
pâturage; les bestiaux nourris sur ce pâturage fourniront de quoi faire les fromages.
Liljiic 1 -j. Ssvas : une très vague trace restant de la première lettre permet de supposer
un ^ : ces aroures seraient situées hors du xTriyta proprement dit.
Ligne 22. @£Qv 3-êXorTOi- 011(70»?) : fornude dont on ne connaissait pas encore d'exemple.
Cursivc arrondie.
1: xf^y
•f-j
T7raT£ta? OAaovi'wt^ Opeatov xai
lÀ^nc 1. On a ajouté en note, d'uni' jietite écriture, la clause relative aux redevances
T)
-f-
AttoXX&'tj t« svSoKiixanaTai TspaiTOxj
/.i/j-zit' 10. ATToXi'i'OTroXiToy : sic. — Sur ce nome, ([ui apparaît pour la première lois
dans la papyrolo{jie du vi° siècle, cf. Revue des Etudes grecques, t. \XV, i8()-j,
/,ij','-/ic If. Le chrisme a été transr(M'ini'' après coup en y^(at)p{^etf). Les lettres ai doivent
xy.1 apaxl—r iS a.v(xn<pj. H airrO} x'jpix holi ^sS}, xoli enepl w [67301;
35 -l*
i\\)pi]~ki.os \ttoXXos (^sic) A6/jaafjLiô ts
[ ] AttoXXwtos xT-)n\ . . .
67302. Location d'une p.irlic de maison par Aurélia Ania Rachel (?) à Isaac
son l'rère. — Lon{f. o m. aiST) niill., lai-g-. u ni. 1^35 mil!. — Antinoé.
Cursivc droite cl arrondie. — Les (juaire dernières lignes ont disparu aux deux tiers.
Le reste du [uipyriis, 1res usé à la surface, est assez endooimagé pour rendre la
fJlpic ;'). Vvriat'jxitnco : douteux. Des deux premières lettres il ne rcsl(; (|U(! des traces
très légères; zsKriaionaTd) pourrait être proposé, mais serait étrange. Les mots oyio-
yvtjaifj} (xSsaÇoj ont été corrigés fautivement par l'addition d'un v final au-dessus de
72 CATALOGUA DU MUSÉE DU GAIHlv
j^[/5]);tt)7/5{[o]i? -waTt >£[at ^ixaioi? , t);> ^ta]x£«a£}'};? «ara -auT?;!- t);[v Ai-t]»/
[)'£u]or' £15 ^o[p]px, fXf[Ta] Toy £[yyvO]£v xi . . wi-o? v-'['-']'>''to? îii? aT:i]\hv-
vno xaSô To[ . . . . î']£v[oi'Ta £t>] >.<[ê'aj aéra [xî/b] ^pyrrevi nvv ,^'[iK\<x\i\m>
xat av[o5Jô xat x(xO[oS]ô [crujv -cT[ai'T« Ta> (î]jxai&t, £2 v t£ a- tov[to'j,- ix.\siv
[cr]pO? î7/X£T£/3ai'
yj)V<Tiv xtxi oixvJiv, x[at <5t]rî[o!']at TOt Xoya' £[ro]ix£(a')' Tovr^tj- [xa9 £«ao-TOJ']
firtauTOî» XP'^'^^
,5 xsparioi SwSsxoi, yi\ y\p]] xj [t^ ", o]îr[£]/2 svoiX£i[o\v cfKO^wauy o-o[( xaO
fx£0 01' ^ovlsi )([p]o[v]ov T:^apX'}[vrr]v rroi tci[utov^- toJv* totto'js (TW ["raf^]
e<P£CTT(i)fT(Xl5 ^VpjOLlS
x\oLi\ x\X£i<7\i, fJi?T[a] çr[arTOî tô ^ixctiô. \\ uirrOr^irm x-jpjia xat ^iëccici. K[aij
20 [-f-
VlOi OLTTQ -CToXfia'i, fXaOTUpJw TV
IxirrOuKTi)
fjfjiic Q. Le «quartier désigné par la lettre >". Cf. E. Ruin, Aiilinoopolis, |). oG et secj.
Lippue 12. Le milieu est presque entièrement ciïacé; restitutions douteuses. Les mots
VTTO xa.Sô (=?) paraissent certains.
Liirnc 1 à. CL Prt;). Strassb., !i ,\. i 5 , où il faut lire -crpfos xlf?'"""' [^f^]^'' ««' [o'jxvo-tv.
ÏÀfrnc iS. KaT £To?, sans 0, est une ortliogra[)lie assez rare dans les papyrus.
encore que le n" (j'joç^h, (pie celui-ci résidait encore à Aphroditô posté-
Cu rsivc.
•l"
lixaiAsiOLS 70'j 3-£t[o]TaTou î/fxwi^ [(JefTJTTOToy <I>À) lovaTiviiXi'o TO aïojvio av-
•yOVTTOV iXVTOXpaTOpOS
cTOVÎ SoliS[£'\xOLTOV ,
•|- Au/9);Xio> iM)/va> "^^otiou sx (xiftpas l*t:é't:xx[a]5, ysuipyos (xi/jOwtv^ , OLito t);5
TOV î^î/' S}}Xovij.ivg fx.«'T^o[u] 7V> sAxi(TT>i? oiaa^)]; xoli tvs TavT7;> aTroxara-
auTJ/s xvfxvs
OaoXoyw exoov
x<xi TSeTTeKTaevoî fX£f/.((T0w['T0a]: zsoLp U«.&'[i'], w/jo? otra? î;,"-£pa? tî;s epya-
cnot.5 ->;= fioinis
Ligne 3. Le 2 pacliôn csl rnngé ici dans i'indiclioii cjui fmil; p;irlout ailleurs, dans
les papyrus de Kùni-lclijjàoti, ce mois 6tail dit ap^ofierij* ivSiKTrxivoi. Cette insta-
bilité e.\pli(|ue pour(juoi on |)renait soin de spécifier si le mois était, celte année,
le premier ou le dernier de lindiction.
moisson (1. i a). On jiourr.iil penser à une sorte de herse (cf. les xrevixs eXxtiTrjpas
fvar. ehivoTtipcis) de l'Anlhol. Pal., VI, 2r)-, 1. 5); mais la description faite plus
bas écarte cette hypothèse. — Le mot sIkio-tos (de eXxetv) est pour ù.xvaro?.
[67303] tyvXXoyvs Twr efxwj' yevïiixaTOûv [twJv vtt efxe ipwv xrvfJ-OLTWv £7rt t)/î -nra-
Tpoyovs avv rsepiSXvfJ-ct'Ti (TtSnpC)t[s^ xai y^oivix^iJTi xai ÏTvai xai zsvpivOw
(Tvv xpixiois xai p'JfxCf-^
i5 xcti i^vyw (TVV aXv<TS(7i xai a^oin [x\oi.i ^vXivoëoifTraxiw )/toj Trxwfx, e^ m fie
eis apyoLcriav iwv eixwv ye)')/fxaT['A>]i' twv a's sipyjai p.ovœv XTVfxaTWV a;(/9{
ev aypw, xai SiSovy.i v(xiv Xoyv iiirrOo 7i]s ravT^s £pyoi.(Tia.s anov xaOapov
apraêas Sïxâ,, t^iw
£^tx(j.£Tpw sxamyjs apTocëas [sic) , xon t[j;]j' TOVTœv jxtia.(popa.v isoDir^fj? £&'>
£ju.iw xa< Tsopw trrao-);? £î'out);s fxot V7r[a]/3^cwj 5'£j'i«&)> xai 'i^ixa'^î. Kaj £to(-
fXW? £-)(^0(J.£V T77[l'J £lp7J^£VI]V
^ap£t'Xrj(pa.fj.ev i>vv.
H \xiaOwTixv o^oXoyia xvptct £a-r[ai\ xai ^£ëa.ia, xai £<p avrarra £T7£prxni]0)
wfxoAoy) -f-
Aupî7X(0? M);i'as
'4'"aibu, fier £}'yur7T6i'i' auTou ?;fiau' .\vpfi\Xi]^w WoXwto? V^p^avex^Oî , xoli
rjTOi TxpHpe dans plusieurs papyrus de Syène (vi" siècle) : H. I. Bkll, dans Klw,
1. 27 et 12, 1. 22.
Ligne 1 6. no!poi/o-(>)s).
Ligne iS. «Chaque arlabe étant mesurée à mon s^afjLSTpov.y J'ignore ce ([ii'élail la
mesure ainsi désignée; peut-être est-ce une arlabe nie six (jtejpa.
Ligne iQ. Yla(7tjs : les deux premières lettres semblent corrigées sur ti;. — E^ofiev :
le locataire et le garant.
Ligne 22. Remarquer la présence de deux syyvtjjai, tandis que plus haut (1. G), Palôs
est seul cité. Eyywruv est d'ailleurs une correction sur eyyvmov.
PAI'VIIUS r.VZANTINS. 75
f.ignc 'j3. ApriiS etSorw, quelques si(jnes lacliygruphiqnes : le premier est assez ana-
logue à celui que j'avais lu yij au n" 6716/1, ;•., 1. lih el /iG, et qui se retrouve
dans P. Mon. 7, 1. 8() (cf. Ih/:. Zeilschr., XXIII, p. 229).
[Agite aâ. Il esl impossible de lire axovaas. — EnrovTcov : corrigé sur enreovTcov.
Ligue 26. Après eypiiÇ[v), quelques signes tachygrapliiques : on remarque l'abrévia-
lion ov [=ovTw) au-dessus des deux premiers, ce ipii fait songer à la formule Qeov
3-s'koi'TOi OUTCJi du W" 07300, 1. 2'.!.
(xvev 'csy.in[os SoXov xai] (^oSo xai ^las xa[i a|7i-[aT]);> xgci
[•]' l)xcnX\£ias xoci [uJTra-tJas tov ^$iOTa.j\ov] ijfxwv i^etnTOT\ov] <l)X_j Iovcttivô
Tov ixiwvi[d\ a[vy]ov(TTd avTOXpccTopos stovs t/3[(tou], 'çya;(^a'[>']
76 CATALOGUE DU MUSÉE DU CAIliE.
70. vm> svTavOa. xoi zsapatievwv e7n Tdvrvi tvî ArTJVÇ'-''-«'[''] Tsoks.w? [tJw
fxô yafiSTJ?? Tou -apoysypl 'E.svovOô, op^xœ^sw xxi ol'jiw airo TauT)/; t[?;>]
exo'jTta's xaj oi.v6aipsTV5, Sia rauT)?? [fx]ô t);s syypa^^ô ccT'poLXetas , eTo[t]fA«i)[?]
^la^TSi (7vv§ia.noi.rrOoi aoi £2> ov ^ov'ksi yipovov, ctiro tj/s T);fX£pov «at -nT[/5]o-
(ppovTiX,£iv <TÔ £v anam xaxa tov Swoltov T/3o[7r]oi' tv\î £]fx?;> ju.[£]T/2tOT[);]TOs,
avTj;? SsvTepcts ivSjj X0L[fJ] sxxrrTOv £t05, xai [a]v'![c7roT£ £]xé'aÀcj[v] o"; t);î
apxi ivStxTicjvoi , cf. n"' G-023, i. 3; GyiôS, noie q; et Bull, de l'Inslil. fninç.
de simples faux traits. — EvTsxvta 'rlc bon fils que vous êtes-'. Le sens ordinaire
r([ui a de bons enfants 'i ne convient pas ici. Cf. euTraiï, pour qui les deux sens sont
connus. Dans la lettre pascbale publiée dans Berliner Klas.siherle.rle, VI, p. 55
et seq. , l'expression T>;y viieTepuv . . . svzsxrov (^= suTexvtav) est sans doute prise
ey^pswTzow -yv Soaiv Ump tô tv rrv S(xvi(7-ç[yi\, xoli fjt,j;| ^jafxa'î fîui'j;[<T]ofx[£- [07305]
l'O'j ri'j'mp^a.yla. '^pvaa.rrOqLi v (xtû.-) six
T'a'!' avTa'i' £^ xepxTiaw exaaTÔ fX);ro[?, ~\civ Sv[v!x]i70ai x(x[i eiiy 'ÇTX[j//5at]Ta{
(TVUpvyoi, C7I-4 TO'JTOlî. KvTTOiVTOS Ss JO'J 'CSpVTÔ U.yVOS Ti}\(TSe] TJ/fs] aTCoSo-
asvi: ~(jjy £Ç x[e^aT]ta'v
ptot Srya. TsarTVi a[j.<piSoXioi.s [xa(| xpi(Tcw[i xai] Six^s x[ix]i [oiccs Sv]T^[o]je
£vpei7iloyiy.5. Et js
c.-)(_'x) -mapoLayav croi \y[_pv\>7Ô voixinp.) £[^], xcli (pvAa^co [t>;i' ara^o;^)/»' tô vJtïov-
IvXouht, ei '^[s xai] gv aij[oL]yvyos ^are»;? [hol]i afST) ev [trrao-]* t[o(]s e/3-
(jLSTa xai Tov [o-jci ;^^c[£Ov?] twi- avTwr [rîi;]o vo{xi<t[(j.u Kai £7rt] T0i;[T0t>
/.ig/(c j
6'. AcraiTiats : douteux. La sccouilc letlrc, assez endommagée, ne ranoelle
aucuMi." forme ordinaire de lellre.
BiBi.. : Journal d'entrée du .Musée, n' /lUOay ; loxie et Iraducliuii (J;iiis J. Maspero, Les pnpijrus neau(ré
(Bull, de rinsl. français d'Archcol. orient., l. X, p. \ltj-ibh).
78 CATALOGUE DU MUSÉE DU CAIRE.
Cursive droite.
"l"
T/raTsta? <I>Aj h.vO£u.io\J tou ej'rîo^OTaTOu , (psLvÇn " ïy " t)/s ewolt^jî ivSixlJ
vTtoOvxvs
5 y^pvTO'j vofj.i(Tixa.Tia -asvTS ^uyw sis ovoixy. t);; fxa«a,ota> fxou fxijrpo?
Aaé'[£{]i' -aap efiou rr;:; vkoOv^V= , y-V cvpov a.noSovi>ai toi Sia to anw'XvX-^yixji
£v TOI? efxo(? yoLpTOi?' Sta tovto et? TâT?;)' tj/i' syypa(pov Auth' 7;T0t xxvpvfTia.v
eXyjXvOci, Si 7/s o^oXoyai ^yjSsva. \oyov eyeiv rspos os tov Xomov zjspi tcop
10 ai;T&M' -W/so"/ •crei'Te vo(J.i'T^aT(A.iv fJD/TS lît efxauTÔ fx^re rîia ti^m' sfxw
j£A);p[o]vofxcji)J', fx?;r£ aoi (xy)TS toiî aois xhjpovoixois. El rrvvêoLni evayeiv o-o[<j
£TO([fxa>? '^° civs.voyXvTOV aoi, xoci to ctitTixiov (pvka.^fjd aoi -zsspi tj;;
ÊX,^-*']
i5 £{? to[\;to. Kai] et nvv Oicrpj 'az\'ii\oiVjJ.ai TÔLTrjv Tijv Xvmv tiTOi axvpwmav
xvpïiOLv ovcrav x) ^.ëxia[v TSavTlayô zxpoxoixi'CoiJ.svvv xai eiripH a^ixoloyvo-oi. f
j
lÀljnr 9. 2aXa;^a est le nom d'un totj-o-t dans P. Lond., IV. t A i () , 997- Ce passage
confirme l'hypotlièse émise au n" Gyooi, ijue le nom propre (pii suit les noms de
personnes est souvent celui de la localité d'origine, tout en admettant (pi'il peut
lui-m^'me provenir d'un nom de personne, (if. aussi, aux n"' (iyi.'ÎS et G-ji'Scj, le
IJiriK! â. Lire Maptctfx rtj evyevearaTv (^3-vycnpi) FjuXojiov (tov) aTvoysvoyieyov -apvroxai-
(ItlTOU.
fait dériver le signe T d'un a surmonté d'un Irait iGrundnigi', p. xi.i). fiC Irait
[Àjjuc 1 (S'. La faute axcopvatav a élé répélce par les deux léiiioiiis. Le mol aKcvcras a été
oul)lic ; les Ici 1res qui lermincnl la ligne son l la fin du dernier mol de la ligne suivante.
67307. Quittance (riino icdevancc on ar{j;ent et nafuro, j)ayée par Apollùs fils
Date : /i janvier 5 2/1 ou 5 3 9. — On a vu (cf. 11° (17 80, intrud.) ([u'Apoliôscst niorl vers 5/i'j.
d'une hypothèse.
[
JTué"» II SevTepas [irS^ixj
[Il ayix £xxA)/(Tja xcofx^s Ai^poSj, S\i eiJ.oy Ia)iT>;i^([ov] TspeaSvTspô xai oixo-
[rojfxçv
[t?/? auTî/J a) ta? exxAvo-iCt^ , <1>X_) A7:ûX]X&'Tt ^loaxopoy X**/?/).-
l'^'^^^a,"'/'' x)
[£7rÀ);/2«0);i' Tnapa. ao xwv Zopwv t]o utto rrt t?;s a}- ta? exxhjaias opyavô,
IStixxsiixevov II'?'''-»".'
'''
T^ Tnw xai xpiOais, xai CTcpfxw avvij-
0[£j]i'jM'
environ).
80 CATALOGUE DU MUSÉE DU CAIRE.
Ssvrspas
[67307] 10 [Tcaa-ixpix, yij XPJ '' |2
W^ *'^^|0 x'XT(x\§t§\vKa? sis t[o] SviJ-o^iov tï)>
UvSihI ]7^[a'] '^^' ''^ i"^'' [atujTOJ' <popov. Kat et? tï;!^
[•rrf£7rot?;|aat Taux?;?' TJî/r (XTioyjijv T);â [tJ-jj^ ftîct' t,/3it)/= iv^ixj xs toc
\w5 Tspoxj. H ayia. £XXA]vo-iia [sic) Si s\>.ov IwfTj;<^(ou -operTê " xaj oix//
Ligne 10. Te<T(Tapx : la valeur liahituelli^ du uomismu à .Vphroililô (22 xepa.Tta) exige
cette restitution.
Ligne 1 1. TsTapTrjs (ivSiktiwq?) : il s'agit d'un versement en avance d'une partie des
Lignes 1 2 el se(]. L'écriture des dernières lignes est beaucoup plus grosse que celle ilu
début.
Ligne i3. ^vstv : l'e est à peu près certain, ((uoique endommagé. C'est sans doute
Ligne 1 7. Les dernières lettres peuvent se lire avX/ ou ovXJ : cf. n" G729G, I. 21.
— Aphroditô.
Cursive.
ÇiiXcli [<TOt]
X[o])/« «TnspiioëoXioiî xpiOco[v] a/OTaê'af Svô xs rmô a.p\T\(x§a? Svô • yij cnj '^ ^xj
xpid -5- (3, (xmvtp aoi airoSuTco xaipw tvî avvxj tx/v <^[£]« f-?XX[)] exTij^
iv^txl , TW rrw
Ligne li. I(p<os : cf. l'abréviation «f^/ (= copte orne) des n"' 67188 et 07189. La
valeur exacte de celle mesure de capacité était, on l'a vu, d'un (piarl d'arlabe à
;i
-f-
\yp))Xio; "LoLVcrtievs lo-axtô |o] 'aponj ava-^ovi ^loi ^^s TripoKJ. XnoXXcôs ïcra- [67308]
fjl'^nc ,'). Ici la foriiie cniployL'o osl "^oivavevi, lu [)lus voisine de rorlliogranlie conte.
67309. Prêt à intérêt, sur hypothèque. — Jean, (ils d'Akakios, emprunte tKAa-
rélia Maria la somme de i 5 vomiswata. Six sont prêtes sans intérêt
en arg-enl, mais le débiteur abandonne à la créancière la jouissance-
totale d'une è^éSpa. lui apj)arlenant, jusqu'au remboursement; les neuf
autres sous d'or rapporteront un intérêt de 3oo talents par mois, _
•|-
xi^r II
[fi7309] yjtipeovaa., ripixfj.iii.ivij xai a'jxv ïti" tî/ttî tj;? Avti^Jtio yj^ctipsiv^. OfioXo-yw
10 £}v zspoyiypy.u.u.zvo; \w(xvv)}i, ^ovdos AoyiTTijpiâ ;( \!'7;>^.«o-[t]);> aoLiSivrii-
pid Tj;s
xa.1 S£r^avi(JÛa.t rsapa (tov Sia yj.ipos to'j sis y^eipoii fxô xai avayxoiia? y^psias
y\^pv\'70v x£i^a[AJajô SerTT]:oTixfj>v Soxiu.\un<^ vouio-ixoltiol SexoLiri^vT^s o^iov
[•cTa]/3a xapoLTiot. oySovK'JVTX Tzcra'xpx ?[w} 'i' Sv^ij-otiv \vtivoô' yt' y_pj v i'e
i5 auTCi' ^u}'W xat ttolOu.oj Svar/uiv Avtji'[oû]. Kat ra'jra sroiuvs eyv syv t£
X} TSainotoi
o'JT(x''î •
Ta pLî!' vofxi(Tju.a eI cx to'jtvj', jjs'xpx xîpxiifx rsevTe exacnov tw
at/Tv ^vya', aroxt virapy^siv xoli virsp -aiGTSVî xai ao-^aXeiaî t);î tô v<poxeip.j
eviyjupov xa.1 Xoyw vi:of)ijxrii Sixaiv , tvv vnapyova-OLV fxoi xcti Si'x(p£pô(Ta.[v\
Lijpic Q. Lire y^rip£i)ov(TOL : même forme fautive au n" G7009, r., 1. 1 g ; cf. P. Mon., 1 1
Lijpie j4. Ce calcul est evpliqué plus loin : sur les i5 nomismain, six sont estimés à
la valeur de 19 xspoÎTitx. (perle de f) xsp.) et neuf à celle de 18 (peite de 6 xsp-);
total : (5 X 6) + ((j X 6) = 8/1. — Le signe =#= s'était déjà rencontré plusieurs fois
(cf. n°' 67089, 1. 5,67053, 1. 9, etc.); mais nous avons ici la preuve qu'il
la ligne 26. Autres cas de location iVs^sSpa dans /'. Oxy., \'II, 1087 (an 'lA/j);
f. Flor., i3 (vi'-vii' siècle). — Mera rrjs serait un peu long jiour la lacune, et à
la fin, 7[af/a]paj pour xafj^apai est probable (cf. par cveinple P. Flor., 18, 1. A).
Ligne a,'). Kvttv : expliqué par Tp'jyXrj dans Hesvcliios, c'est ici une cave; cf. le cojile
STTt T'y!' OJXOI' TO'J T)/? XplTTVi UVllU.^); VeVl'OL'llô TOV a7r" 'TX|/2JI'[t]apy TJ/s r5ôx|
f s
xai TV txvTV» QÀ[o]xÀ);/?ai r]'a)fxa7[t]ri' xai avÀv [«aj tsolvt^i Stxxiv xy.i zsccri
•/_pvrrTnpioi[s\
xa7a 70 auTO arxÀo) ovj' -o.'j-i} ixepof, xoci 71} ôï[a/3]o'îv xai ai'O'/V xt x'xOrjhw
xcLi tio(î[a']
Ta[u7]);[sJ T£Ov/?[wfx]£i');-' xat xi:;<À£t'Î6i>[fX£r);î], c-^ a' 7a'j7);!' fJi.'?'? VT^^ ^- X-^^
VTTO
3o To[vs] (TOv> Kki]povo\J.O'js azi woTc ai'fv svotxsiov , eii oixyaiv tî xxt ypvTiv
[ujfxwj-, a5'7{ 7)/î moi.pxu.vdeias 70u '©^(^[oxjstatrou y^p^vj^ Tcor au7''x)j' aovwv
fl i.'5,"-«crfAaTaM' fjt.sx./3t t7riXv(T£w[sj xat a7î-[oJrîO'T£Ci's 797^11;. Kat £70<a'^i5
£;(^'W £}'« 7£ xî; TnoLVTOirii aov x'Xvpovrju'ji (iyXoL^xi yTio ce tijv xoi.6a.pxv
7a rlî evj'îa vou.ia-u.XTX, £xxmo'j -rnxpx x£p' £^ ^\) Av[7t/J, c70tfia)= £//j'
Lifrnc nà. O^iOvoict : peul-êlrc une église de ce nom (cf. EvACinius, IIisl. eccl., II, i3 :
IJinie 3i. XvTi T>i?. . . : la jouissance |;raluile de VszsSpa. représentera l'inlérèl des
lÀimc ùo. Si nous appliquons ici le système de calcul exposé dans l'introduclioii du
n" (iyili.'J, nous obtenons les résultats suivants. Un nomisma vaut 12.000 talents;
un nomisma moins G hcralia en vaut 9000. Ces (jooo talents en rapportent 3oo par
mois : l'iulérêt est donc de 3,333 0/0 par ?«ois, soit exactement /lo 0/0 par an. Ce
qui a été signalée également au (onie II, j). in3 : un laleii( = iBoo petits deniers
(au lieu de GoooV Un iwmisma vaudra alors /18.000 talents, un nomisma moins
G xep. en vaudra 3G.ooo. L'intérêt de 3oo par mois sera de 3Goo par an |)our
[£(p w cre Tau]T>/î' e^eiv xaj «[araxvpjeuJiM' mot.poc o-t-av|Tj}; ocyp^ çciro
/>)'^'«e 45. Ilpoyeyea-Tepai' isptxuiv : le contrat de vente par lequel Jean s'est autrefois
HinL. : Ce papyrus apparlieiit au Mdsi'o d'Alexandrio (Inv. Soi), où M. \i. lîreccia a l)icii voulu
ui"eu laisser prendre cojiic. Je l'ai incorporé dans ce Catalogue parce «ju'il fait ct'rtaiiieniciU
partie de la li'oiivaille de lvi'ini-Icli[;àoii. L'dcrilure est, en oll'el, celle de Dioscorc, et, en outre,
le vendeur du papyrus a indiqué ce lien de provenance.
11 résulte d'une coniniunication de M. Dell (pie P. Lond., V, 1171, est la forme défi-
nitive du document dont noire n" H-y^iio n'est ipTun hrouillon.
publié avec P. Mon. n" 3 (éd. A. Ileisenberjj et L. Wenger). On y lit, aux lignes
t 0-1 3 : ôf/[oXoyï) sji) wployeypaf/fz/ros laxàê Sià. to!u't»;î \Ji\ov TÎjs £yypoL\(pou àa-Çi-
Xstai 'éyeiv x.cù ^^pefaïa-TeTi' aoi ti]7rip tov avyi7Vs(puvtjyLSvou y^a^txov é'Svov^ ,
y^pvcTOv etc..
Cursive penchée, grossière; les traits primitifs ont été repassés postérieurement, aux
1. 10-1/1. Les lacunes ont été comblées en partie, sur les indications de M. Bell.
l'.Vl'YUlS I;VZANT1NS. 85
luccïo. [67310]
xcLT exSoryiv youifxô p arxô , sttj y^pvryions e\T;i('(,£Î) îi tv i-)£w Ho^siev xai VTxi'-vv
mzopa
xa'. T>;)' ^;/v m^wv xon OLT'^a.h/ aa.pOsvta cvpœv Sivyopivaa. OOsv sis TavTijy
vxv T)/r £yypci.<pov aT<pa£iocv, xa.0 yv oyLOAoyw oiSîiXcM' xai ^/^psvrnuv vmp
jvv rruiv )aiJ.ixvv c']ywy jvv fTviXTTe(pv^v]yix£v\w\v xjai] avvoipeo-OLVTWv
[crAjvv exjos Xoyov -mopriOLs xai ai^pas 'apa^scig xoci crwiioiTixv^ (na^ias
(XTX0()£iyjl](70[XS.VIli Hir Tpta^[jj)
^\o\iV.l? > \p-V^^ ?T^p^^ ['5"/3afX£t |j' [a|Ta^ta> >; aa-iÀjia,, (xsvroi xxi olvtvs riis
x[a]t (^vAa.TT0'j<7)is fioi -u^arroLv svvoictv xat WiXf.iv)] oTopyvv £i' -waTt xaXois
xat ^(dsXiixoi? epyoïs le xat Aoyoïî,
lÎECTo. — b;;iii- (j. Sur 1,1 locution -a^joae-ni tovtoiî, cf. u'" G^yoSa, 1. 73; d-jah'S,
V. ^15), 1. i8, cl (J7;5i3, 1. G/i; de iirtuc /*. J/o/(. i, 1. /i/j. — iiilot : barré, et cre
écrit au-dessus.
Li/iiir 1 0. KaO : corrcclion sur xar. — '^vn^isTfAuv [sic) : les jjens de même coiulitiou.
Liinic 1 u. Kktos est |ii('s([ue certain, au di'i)u(, ([uoiijue le t ait été ajouté j)ostérieu-
remeiil. Les traces de di'u\ ou trois lettres, avant ce mot, font songer à zsXjjy,
mais c'est une simple liypollièse. — Tpio : pour rptuv. La lettre barrée est sûre-
ment un >;.
ordinairemeut , ceux i[ui ne font partie d'aucune riiililia (cf. Cud. Jitst., IV, 65, 35);
mais ce sens est également celui du mol qui suit : •aoXnixoi. Ici, il faut comprendre
les liabitants de la campagne [zjayos] et ceux de la ville (w&Xts).
Af^r/ie ;5. Lire etXtxpd');.
86 CATALOGUE DU MUSÉE DU CAIP.E.
[67310] ^^['] v[''î'3]TaTT0fjt,sy)/> aoi Tpoir'jis y.ny.Tiv a-î 'h) av^xei y.7TXT0ii; evysrsTTOi-
aÀX' OlXOVpCtV SlOAOV SIVOLI, XXl '^ikOLvhp'jV TtSpl i'XS )ÎVi'7()0il Tt, OLXO-
Vi::iiSO.
•f-
Kai £'. Tutxêxnj [fijt tsots «[ajt^ov ?; yipovw xiTgi^\pov))o'xi\ to xara toi'
5 £[< «]at efAOu xaT[a]^/20?'£T7;[s c7r{ xotâ TSpCiTSTX) aivoiî ^'ju.Zwqis c-3 ok
. . .
.] 7[o]s "Ç/îOf [ofxoAoyw] £y\oi o toJ»
j/au£T);? p/ lyvyxxAsuxi Tiva xvxx'jXoyOç/v xxj oixov çTtj 7f (•') f-J'->/To q'j[x-KO-
Tt[a]^fM.' £y}'u> TÔ
|[X£7 £Ta</3[«i' )/] oj>£[£(a);'](?) j; ^af^) £T£/?rj t;)'Os [. . . u.]?; ,3o'jXo[jx]£VV? W?'[''
xxt:\x(T':^X'71v
Kat ç<> açr^/ £«aT£|0[o]v fiçp'jvs x\x\i t[o'j] ÇhaxXavao'j 'TVî'Otx[cTjj[otj , cOcJ-
u £xa.'i' XXI «£7r£t<Tfi£roî ii)fxoXo}'7?[o-a , rx]); «^oé'a' ai} «îoÀ'x' a?; ,Sja xat aTrar);
fAjptr ij. A\}/(X4»pias : pour a>{'/xopiï». l/anijle du p;ipyi"us est dûcliiré, et l'était déjà
(|uand 011 écrivit ce contrat, puisijue les trois dernières lignes suivent le contour
de la lacune.
OLVTW xf^aXaia'r koli stîi -;; ~o-j ût/so^tiu&u oinoSoTei ei miut i\)yjji, vnoOe- [07310]
fxsi'Ob TOI t?ai'Ta ri ovroi, uoi koli £Ïa^^OfJ.[
LifTHc i3. ÇlyiOAoyiiyly) : barré avanl d'avoir élé aclievc; de mcme I. ().
67311. Contrat de divorce. Les noms des deux parties sont perdus; les clauses
sont analo{j-iies à celles (ju'on a lues aux n"* Gyini, GyiôB-GyiBS.
— Lon^r. m. 270 mill., larg;. o m. 2^3 niill. — Anlinoé.
Date : 5()9-r)7o (?). Dioscore est arrivé à Aiitiiioé en SCG. Si donc, comme c'est probable,
il faut resliluer [rpixi;]» à \a li{;ne 1, nous sommes en .")G(j-5'jo.
lA^pie 1. [Tpnii'\s : [-apvTtj]? donr)erait aussi une date acceptable, mais serait sans
crvv s a-fjixnji xai avvevSoKOvarjî xctt <jviiiiei\U]oyie(vtisj aurco T);s avzov jafZETijs
[C7311] Tou auTÔ xoivô (TVvoiX£(Tiô, xoLTa t[5t]o siî TijT TSctpârrcLV £yypix(pov rspos
ispos aXXv^ôs p;T£: s^eiv, cai" t5 vvv [eJTrt toj» -nrai'reXj; y^povov, Sia. to 7;fx.aâ
zsepi T£ yafxô cxui-ai^iias xxi ai'aXa)fx[)] toutou xai -zspoixo; xai yaaixwv
sSt'wv xai Txewv a-vvsimjveyixsvan' aXXvXoi? -aocp aX/-)iXaiv, xcti TSSTtXy-ipwfj
TOUTcoi' aTravTW)'. Kat s^saTcii £xa.T£p[w'\ (x£p£t vaw stc/oc' yoLixw o^iXijrrai
(X£p£i y^pv(TÔ voixirr^î, e; £\\j'7T\fx()u.s, [fjL|£Ta Xj t|ô] auTOJ' OLXovia. sixulcIvo^i TrraTJ
STTat XCLl
lxot.pTvpj,
Lif>nc ag. Eyysypaii[(i£vots) : les trois dernières lellres fornienl une sorte de mono-
gramme; — sapovcTv-
Ligne 3o. T[5] : le trait placé sur l'o dépasse la lacune. — Kat ^aprvp^w) : cf. n" Gy i GC,
1. 3o.
Ligne 3] . La fin de la ligne en signes tarlivgraplii([ues (?); on reconnaît pourtant quel-
ques lettres latines, mais qui n'olTrent aucun sens.
67312. Testament de FI. Théodore, oinployé dans les hiireniiv du duc do TIk'--
(1.1. VII).
Cf. n" G7tr)i; c'est la même proli\il('' de style, souvent la même expression, et
une longueur d'autant plus frappante ([ue le document est incomplet. Le testateur,
Saint Senouthios à Atripè (aujourd'hui le Couvent blanc près de Soliag), il laisse tous ses
biens immobiliers sis dans les nomes ilermopolite, Aniinoïte et l'anopolitc ou autres
lieux, ainsi (jue dans les villes d'Antinoé et d'ilermopolis, à cliarge d'en employer le
l'APVIÎIJS l'.YZANTINS. 89
rcvoiui on œuvres pins; au rouveiit d'Aj);! Mousaios (l'indication (jéofjrapliicpie est [67312]
perdue dans une larunc) il li'jjue sa fortune mobilière, pour en faire un usage ana-
lo{;ue; à sa {jrand'nière lierais il donne une propriété, dont nom n'est pas
le indiqué,
1 espace réservé à cet effet sur le papyrus n'ayant jamais été rempli. Tous Itis
h'gnrs 5-6. Noms propres effacés volontairement. Théodore est pourtant assez jjrobable;
à la rigueur, on |)eut distinguer (piclrpies vestiges d'un p, ce qui écarterait la
Ai^/ie î^. Po7r>7 : ilans 1(> sens d'" un inslanli, assoz rrô(|uenl à cette époque.
Lignes Sy-âs. Toutes les indications précises ont été ciTacées volontairement, en dé-
layant l'encre.
f.igni' 3q. Ce monastère de saint Senouthès ou Sclienoule est celui (|ui existe encore
aujourd'hui près de Soliag, et ([ui est connu sous le nom de "Couvent blanc-,
Dell- cl-Abiytiilh. Opos TpiÇiiov désigne la -montagne d'Atripèn des textes copies
(cf. H. Gauthier, Nolvs géngr. sur le iioiiir l'unopolilc, dans le lUiUcùn iJr rinstil. franc.
VTTOv £is -?;;- ïSixv £VŒrx<Ti\v x'jxi TSxinx tx xxtx t);v Ai^tj/
Ligne -Uj. Cf. le teslanicnl Je Saint Grégoire de Nazianze [Pair, gr., AXXVII, col. 38f)) :
Ligne 5o. OivTixi semble avoir clé écrit ensuite sur oiovtii.
Li/jne 5 1 . Tëp(^E^i. — Lire (o) fi»? yevono.
Ligne 55. Eva-Taa-iv : dans su part d'héritage. C'est ainsi (|u'il faut comprendre au
n" 67 1 5 i, 1. ay.'i.
Ligne 60. Les propriétés sises dans les villes mêmes, et non plus à la campagne.
I^igiw G'J. Lire is koli arzya.voy.tx (v harré à la fin?).
Ligne 05. Twr «7701 '^evouÔou : cf. |)cut-être l'expression su toe «tt» ^svovOtov du
n" 67002, III, 1. Qo.
Ligne Gg. Lire avappu^tv; cf. Novelles , 65 et 120, c. f). Le passage est intéressant
[67312] 70 Jcat SIS CTspaî cUTsé'st? f}ia.t]ofTei5. Ert jSo'jÀoaaj to[î'J ccvtov
fX£Ta [-©ajî'TOî at/TO'j toi; Sixaiô xtxi fjtera tsaç'vs tj;? auTOu
'aspirjyjtj? , xcLi TOUTiy ^ov\o\t.a.i avnjv apx£fT6>)vixi , ovSev sTspov
SiXCLiw (palxiSiô STTi^VTOvaav TSpo; 7[e t]o Sixcciov toov
Liijitt' 77. Ici finit le promiiT fragment; le second ne se raccorde pas; mais rien
n'oblige cependant à snpposer des lignes perdnes.
Lignes Sq-qo. Le nom et la situation de la propriété léguée ont été laissés en blanc.
Li'/jnc qS. Sur le (potlxtStov, cf. n" O^Ofjy, r. (D), 71, et E. Cuq, dans les Mém. do
Cf. dans le testament de Saint Grégoire de Nazianze : tcus ow otxeras ovi yjXevOspwact
l'ArVIlliS M^ZANTINS. 93
. . . Bov'Xofjia.i Kixi vvv en eXeuOepicfs ^jisrstv, xat toi. -asKOvAix avTOtî wai'Ta ^lerew /Sï-
ëatvs.
Cursivc! penchée. Nombreuses lacunes; la siuTace du papyrus est entièrement usée pur
eiiei'^V ...
I I
'*'
Sur ce village, cf. n" (J7095, 1. 7-1;). <^'est j)cut-êti-e le x'^p^"^' ÀpâSa-v (jui apparaît dans Ciium,
Calai, of tiie Copt. Ms.i. in llte llijlands Libranj , n° 338. Cependant, il est possible cpie le village
. .[. .
]>caTœXe(i|'[a{ a§i]a.\vsiJ.yiTM5 tvv] 'TSxrrav av^w zs[sp:o'jTioi.v\
sv [ts] tw a[y]/?w t»?? [)7]fi«['' xwfx??^] A/saê'wr xat £7r[t t>;]ç [Avt]»/ ['WoX)],
Lignes r) et seq. ïlaps^ etc.. : le sens du passage mutilé est certain, grâce aux lignes
17-18 : (^excepté les propriétés rurales ", qui sont restées propriété commune
d'abord; puis on a essayé de les vendre et d'en partager le prix, ou du moins de
les partager elles-mêmes.
Ligne 20. On lit plutôt v^[. . . La ligne entière est d'ailleurs douteuse sauf le der-
nier mol.
f.igne 9 2. To a-nopov (tj;s xoif/»??) : l'ensemble des terrains incultes et sans maîtres
connus, sur le territoire du village (voir n" 07000 , r., 1. 3). Sur ces cbamps aTropoi,
et sur les propriétaires ([ui abandonnaient leurs terres parce rpi'elles ne produisaient
xviirj, les propriétaires sont donc obligés de renoncer aussi aux autres biens qu'ils
possèdent dans le même territoire. En effet, les autres habitants seront désormais
PAI'VIIUS BYZANTINS. 95
t[o]v avTÔ [xT);(x]aTû5, eœ; orc x[a]Ta (1£<71tim> jivoûv i^iXcôv, [67313]
[tou| r5[{]xato[u xocj y^çj^ijrTTijpiwv -w[a]i'Taii' xat aoviis xai zsvp[yo\y xai
X[axxov'\
xoLi [tj/> a'jTOu xoiOoXov 7S^^£plo)(JlJ5 sî'TOî xcLi iXTOî , xcncL TO, (xp'^aux
rcsponsal)les de rinipôl pour celle terre : l'ubaiulon des nulres biens représente une
sorte (riiideninité pour la KWfxrj- (^c transfert de responsabilité fiscale s'appelait sm^o'kri
(cf. PiiocoPK, lue. cit.; M. Gelzefi, Sludicn :ur byzaitt. Vcrwallwi^ Aciji/plriis, p. yâ).
Ligne 'jâ. Kœtœ fiean(t)tav : rrpar l'intermédiaire de quelques amis, enlre autres de
lÀgnc 26'. KoXXouôos : sans doute le même (|ui devint jiKis lard pojjartpie d'Antaio-
lÀgnc 3o. Lire Isloy^evat. Plus bas (1. 53 et (j/i), le 7 est rétabli.
Ligne Zà. Peut-être, à la fin, faut-il ajouter [1; xajpoi'] ; mais c'est peu probable.
ÏÀgne 36. Au-dessus du niveau normal des eaux, par opposition aux îles et aux rives
submergées t[ui n'apparaissent que lorscjue les eaux sont basses. — UanvoyiOii (0
corrigé sur u) est sans doute le nom du village sur le territoire duquel se trouvait
le terrain en (juestion.
fjgne 3y. TaTroX'kuTos : le t du début est à peu près effacé, mais il est exigé par le
litre féminin a(/a. Cf. TticoXlovOas [n" 671 58, 1. 8), TÙKTup [n" 671^6, I. /i),etc.
La lin du mot a disparu, mais il est cependant certain, d'après l'aspect du papyrus,
(pi'on ne doit pas lire TanoXXco tout court. — Lire t>;s (ti;s) «ravo-ewTov.
[67313] yjTtsipiô [y]vs fXîTa (u.{a> afXTreXô^opiaô yV', >ccti tj;» trr/00T(5[oiT]eCf)»
lib o/OuH' vroi ociyiaXvv aw Qso} zxpo; TSarrav tv-/j]v xrn £vxaipiy.v
TOVTWV XaTOL XOLipOV 0(pQri(70\LevexlV^''^ TO.'!' VVV 7SpomTa[p^OLXSlfX}
T(i) aVTCt) XT)JlXa.Tl, XOil T[ov]f £17TCt OVV TjVTW (TlXy(i)v[oL]i
Li'^«r 45. H7r£/px5 y>7S : ajouté en marge. — Lire a(nrsAoi^opt[iou, en un seul mot.
Lippue lia. On voit par ce qui suit qutî la KU{xr) Apa&r était riveraine du Nil.
U^nr âb. XtytaXoi est le banc de sable ou de limon sableux découvert par les cau\
comprendre à la rigueiu'.
LifTiiP 55. Lire rivs'joy^isvtjv : mais le s llnal paraît à peu près sûr.
Lifriip 58. OtHtai : cette forme de datif archaïque est surprenante, quoique l'on en
connaisse quelques exemples (n"' G7077, passim; GyagS, 111, i. Q7V Je ne vois
Limie Oo. Tovtol)!' : oj corrigé sur 0. — Lire sxSoaifiOv ( ?) et ekSotov (" ). — Evotxsiov :
très douteux.
Liijiie Oâ. Lire £7r[ara7K£5] ? — YlpocreTTt : cf. n" GySio, note f).
Lijjnr 05. Restitution douteuse; mais la trace qui su])siste avant rot(?) ne peut être
t[ov] llsv [ol]p[tsvol\ ovo\j.a.-ïi Ii?;o"a70s, TJ/f ^£ 3-?/[À£jai' oi'OfxaJTJ MaT/3Cxtva[s], [67313]
67314. Partage d'une succession entre une veuve et ses cinq lils. — Lon^-. i ni.
o()b niill. (sans tenir compte des lacunes), larg. o m. 3io mill.
Antinoé.
Dale : début du règae de Justin II, puisque le contrat a été rédigé par Dioscore, qui
Les cinq fils ont liurité de leur père, mais sont tenus à certaines obligations envers
leur mère : jyipoêoi7>ieïa-6at, et vo-joxoy.sl'jOa.i en cas de maladie (cf. n" 67097, v.,
D, 1. 3/1 et set|.), payer les intérêts d'une créance qu'elle possède sur eux, enfin lui
servir une rente que lui a léguée le défunt (\i)yiSov), et qui est désignée par la
1" fraffincn!.
r ] CX.Tlo€lWTSrx.''^5 ]
TSpos £[X£ |u.£Ta [tow ufi]w[i; -ojar^o? wo-[t£ tt/v avyxofiiSnv avTïjs]
TÔ avTo[u] xcLi TÔ aXXov X!^piô, f[6] ow J<at xo[fxt'Cofi£r xa0 £tos om'Ou]
xa'îous exarov T£T/2a^£[<TjTfat&?, xat to[i'] •n[aî'Ta Aj;<p0>;a'OfX£j'or]
FnAciJiENT 1. — Ai/;"t' -i. Tov syLOu xp^ovs : ma créance, la somme dont je suis créancière.
f
(5731 /il TjOJTOJ' SmS[£X(XTOv'], SIS ijULOLS Ss TOV? yi[oV= llOV TOV? TSeVTS TOV]
vofxô. Kai £i (Tvfxëy [ejf^e sixircaeiv £i5 ixppwT[Tix]v j; et? [voaov v £«?]
TCiUTO £1? TO £t/0);fji[)] Xv^ocSov fxô x[a» £T7]<nrjv zssxov'Xtov fX£Ta x/ Tj;s]
2' fragment.
£XaT[. . .
dent pas matériellement, les bords en étant rognés. Mais la similitude de l'écriture,
£<> Ta -cT^o} £)'/3a| fxfxîra T7T]ai'Ta >c|a]Ç' oioi> «Îj/ttots [t/îottoj', p/Te]
£f'a|at iJUiiv -mepi tôtvv iv ^ixoimvpw o<[&v5};7ro7£ )/ «ai|
Lime 1 II. l-es Iraccs du mol £X7r>>t;«Tixor (;) se Ironveiil sur un fraj;nienl di5tacli(5, qui
iiorle aussi le mol wavroiot dr la ii|;rii' précédenle; il esl 1res probable, mais non
certain, (uie ce fra|;menl doil bien se placer ici. En ce cas, l'écrilure devail èlre
très serrée à la lin de la li;;ne, car la lacune ne conlieiidiait normalement (pie six
ou sc[)l lettres.
donne (piXcmaroptct.
/i(3(pa|l' SKiTTOv],
i3.
100 CATALOGUE DU MUSEE DU GAIHE.
Socrst TÔ ïSiô iispovi xctO £T0>, X{iv5t;i'[ai] ^\ol\i [^^jf/v auTÔ xa{ Tffx[)/]
[t]ô [o]/5xô. Kai OTJ TO X7;fxu.a tw '/_vpivT siî ';fA[a>] x3t[Ta tov]
TrfjOOî -aifniv xcci aT(paA£ja}' 'nTai'[Ta] T[a t]£ vvv [o?'Ta x} £(TOfX£j'a]
_ r»
lÀi^Hi' ài. I^a lacune linnle esl un peu courte pour cotte reslilulion, qui est cependaul
nécessaire.
67315. Contrat ( Iroisièiiie excni[)hiii'e du (locumcnt qui nous est déjà connu
par les n"' GyiôB et Gyiôcj). — Au voi'so, [)oèine de Dioscore au
duc de Tliéltnïde Callinique. — I>ong. u m. 5i3 niill., lar{;. o m.
.)oy mill. — Anlinoé (pi. XXVIII du tome 11).
Liante 1. Le J;esl très doulcux, el par Miilo le mol So^ijs loul entier. L'adjectif xop°-
crtoAiris l'est ('{[alemeiil ; il est foinié comme yaijLorTOAtrjs , employé ailleurs par
Dioscore (n" ("ly iSo, 1. y).
Ligne i3. llestilutiou douteuse et peu satisfaisante; mais je n'eu vois guère d'autre à
proposer; cf. ii" ()-o55, r., 1. i.
Lignes ij-18. Le premier vers, plus muliié encore, se retrouve dans le poème de
Dioscore publié au tome V^ des Ihrliner KtassiLcrtexte (p. 1 1 G et se([.), i. /i5, où il
faut sans doute corriger d'après lui la lecture acr]Tpovo(iot(ri. De même, je propose-
rais de restituer dans II. A.. I. 'i(i : outoi ay^nv inavee [Icoavi'rjs, ou xa.'kXivixos cnp\a-
w
102 CATALOGUE DU MUSIÎE DU CAIRE.
Liipie ig. r L'or, qui est le jiigeinenl il(3s jjens injiislos^i : (|iii i'orrom|)l les jnjjes ini-
Ligne 29. Je iis ici encore (cf. n" (l-o.^S) t' ayitpuyiJLOLTix, quoi(|iie Dioscore ait l'habi-
tude de marquer l'élision par une apostrophe, qui est absente ici.
Lijpte 18. Peut-être xaX£Oirr£[ï to] <7oii : mais la lacune me semble trop courte.
Ligne 2Q. Les trois dernières lellres de aSel^ots sont très douteuses; mais je ne jujje
plus celte lecture impossible comme lors de la première édition.
Ligne 3o. Vers faux. Kaj est douteux, mais toute autre restitution laisserait subsister
l'incorrection.
Ligne 33. La lecture x£f/{/a<5(>;i' est iiiq)ossible. C'est un mol forjji' sur h^ type xpvma-
Sios (de Kp'jTnos).
Lypie 3'-. ApsTjjs : la syllabe et, oubliée, a été rajoutée au-dessus de la ligne.
ZSCLpifTllV >/fJt«[''J
of 5 tî'vato? qipOLTvyos.
fautive.
I.iirnc 53. L>- vers ajoulé en marj;e dnil ()ccu|ier la place 5'J bis.
Limic 5/1. 11 faut lire sans doute xaxovp-) tm; uu'is le k est certain.
Ugiifl f)(j. La lacune send)le juste assez {;rande pour trois lettres: loluiv est donc
Les trois derniers vers ont apparu un peu plus nellenient depuis que
le
[Joue (io.
6'«. Ueslituée d'apivs le n" Oyi^o. v., 1. .>() : mais c'est là naturellement une
/,!/;»(
Kji liliS-hhS).
nier jmclc ijrec d'ÉjUpIc [Itevuc i/m lùiidcs ffrecipics, 1, |).
104 CATALOGUE DU MUSÉE DU CAIRE.
67316. Deux poèmes de Dioscore, rtin sur la inorl (rAcliillo. raiilro arlressé au
«comte Domninos, chancelior^. — Long-, o m. 53 fî mill., larf. o m.
296 mill. — Antinoo (pi. VIII).
Les deux poèmes sont écrits au verso du papvrus. Au recto, cinq lignes de grosse écii-
ture reproduisant un protocole analogue à ceux ipii ont été publiés plus hnut.
notamment au n" 67161. Mais ici les lettres ne sont ni complètement déformées,
ni agglomérées les unes sur les autres, en sorte qu'elles sont restées à peu pi-ès
L'écriture semble avoir été tracée non avec une plume mais avec un bâtonnet trempé
dans l'encre. On peut lire encore :
«bXj Zy[. . .
.] svSo^) Koix) <I>X(aou{ou) ^j;. . . . èv^rj^{oiàTOv) x6[x{iT0s)
a7r[o] U7r[a]T^ x^ ['aoi.Tpi\x^ à-no vny.Tiw) xicù) T:rixTpix{iov)
fi.ptrr.(x[ ]
monogramnio monogramme
Celte lecture partielle confirme les résultats que j'avais obtenus en étudiant le n" (\-jii)\ :
en outre, dans ce dernier papyrus, la ligne l\ si-mble bien, elle aussi, commencer
par les lettres <np, initiales de cnpixTnXclTt]?.
Au-dessous de ce protocole, (pielques vestiges illisibles d'une seule ligm- l'u caraclères
ordinaires.
\ i:i!SO.
Li/nip I . Lire ztvai a.v itizrj "/xjyovï t\.y_., aiioBavw Sta Tijv YloAu^svrjv. Dioscore a adoplé
la légende d'après laquelle Achille, attiré dans un {;ue(-apens, aiu-ait l'Ié assassiné
au moment où il célébrait ses noces avec Poivxène.
Li;r,ip a. -Voici (pi'eu cet instant le désir (l'amour) s'est révélé le fds ciiéri de la
mortn(?). On attendrait plutôt le contraire : car l'anlenr, je h' suppose, a voulu
dire que l'amour a été cause de la mort d'Achille.
l' A V i; L: s UVZAM'liNS. 105
Ov ofTiT ... I
] X . . . . î'i'gtX . .
Limic 3. Kaxoi'(f) : l'a est une convctioii sur une ou même plutôt deux autres lettres.
Ligitc à. Jeu de mots entre aKO'/ùi'ji et \oytvu, ([ui a ici le sens de étendre des
Ligne 5. AtaKtSijv : corrigé sur AiaxiSao. — II»; zsoOev : cf. n" G71812, 1. 1.
Limin 6. Mexafitop^STo (au passif) : forme irrégulière, due à des nécessités de prosodie.
Lùnir f). Kpir(vi') ou Kvpiov"! La lettre x est sûre à la première place, et 1'* très pro-
lp);li'(îi(i)5 à la ligne 1
(j , ce <pii est possible. Mais le i' est à peu près sur l'aligne-
ment des lettres initiales de cbM(|ue vers, en sorte que la place me paraît mancjuer
Ligiif 10. Sur Uonminos, cf. n" G7 85, 1 (15), 1. i3. Trois autres exemples d'acrostiche
sont fournis [lar les poèmes publiés aux n"' G718/1 (recto, B) el 67185 (A et B),
mais la mention ^n^ a!<poar(^o)ix"^os ne s'y trouve pas (cf. Add. et Coït, du tome 11,
Limic 1'). Lire tstti?. L'addition du 7 est un phénomène dont on rencontre d'assez
nombreux exemples dans les papyrus copies. Cf. MXC-|-r5. = f/atoTj^ (CiiUM, Copt.
Mss. <>f
ihc Riflnmh f.ibriinj, p. 5i). — Le sens général est peut-être le suivant : si
un poète d'un plus vaste talent enlreprmd de clianter tes louanges, moi, pour me
consoler, je songerai ipie l'iiumble cigale ose bien élever son hymne juscpi'à Dieu.
I.irriir 16. NuxTa^i»; : sur ces adjectifs forgés en aSioi par Dioscore, cf. le nleinaSios
I
H V \a-(jLiv .£. . vv xaTOLix •çra
M voa-ipiv aXiippç)(Tyv[v' . .
JÀfpic 21. Si considérable ([uc soit la inciinc, il si?nii)!c hion iiue Dioscore promelle
ici l'immorlalilé à son héros, grâce au\ vers qu'il lui déilie : prédiction ([ui s'est
réalisée !
Lifrnc 2.3. Ao^ii'ii'Ov : restitué à cause du mol o(JiVl^v^^oi. Mais le sens est obscur.
Liffiic 2f). J'ai ajouté aux lignes 36-27 '"^ fragment détaché (|ui porte la fin de
r**''*^
trois lignes. Les vers précédents seraient trop longs si on le plaçait plus liant; les
vers Qf) cl sc(|. sont complets, et le fragment du bas porte les traces illisibles de la
En outre, on obtient ainsi un sens admissible. Le vers a G doit signilier rpie Dom-
ninos est un nouveau Nestor.
Ligne 2O. Kpnijs : mais la lacune contiendrait plutôt si\ lettres, si j'ai exactement
Ligue 27. Tïavi'xelos remplirait juste la lacune; d faudriiit, en ce cas, considérer lot
comme long.
Ligne 01. Dioscori' est un ^svos à Anlinoé, puls(ju'il est originaire d'Aplirodilù.
Le sujet esl l'éloge, semble-t-il, dun duc de Tbébaide (si la restitiilion du vers 1 1
est légitime). Ce fragment mutilé n'a été publié ici (jui' pani' (pi'll permet de com-
pléter un vers d'une autre pièce (n" ^-279, r.. 1. G), et pourra peut-être rendre
xaOiTTJ . . .
79 a\oi.\vTapi<7[TOv . . .
I0]j;ê'j;?
Ta rir/_\7} . . .
W^X.''H afia/îaJTO'j . . .
TGV £VTy/J(TTc\pOV . . .
ap/_rj'^vT\oL •<7ra[i']TV'.' |
• • •
i5 XOit Ul^OTTCiVVpOV \
ip|t:]/^Gi'T" araTXav[. - .
/>îV;ie 4. A(>tapaToy : ce mot est l'im de ceux (|ui onl concouru, avec apLtjpuTOS cl anei-
IJinir 5. Kiëurov : Vv est très douteux. Ce serait en tout cas une correction sur
un >;.
Ligne U2. llestiluée d'après le n" <'70i)7, v., (15), 1. a i : il faudrait alors supposer
n" ()7;5ir).
i6.
108 CATALOGUE DU MUSÉE DU CAIRE.
(riin certain Isaac (cf. n" r)7i79). — Lonn. o tu. 118 mill., larj;.
Ecrilurp ordinaire de Dioscore, un peu plus cursive (pie celle du n" G-.') 17.
Ai/y/ic 1. L'acrostiche donne : laot>ciru> Aoipinporonv fV(jLÇ:iv; certaines lettres, par une
Liijne 5. Le sujet ne peul être que yotf^os : celte union ne se terminera pas, comme
celle d'Hélène, par une fuite sur un vaisseau [tcrrov arao-njo-ai). Ct>tle comparaison
avec Hélène ornait déjà le poème n" 71 7(1.
Ligne 18. fïptov : douteux. — Ou ijterct Sju< : et non après une longiu' attente.
l'Al'Vr.US liVZANTINS. 109
Liljnr a-). Les algues placés en iiuuvfc rutnhlissenl l'ortlre des vers, nécessaire pour
IJipy ti'-l. Le vers commence par une vérilable formule d'exorcisme, siMiiblable à celles
plutôt un '.' ou un a.. Les traits sur T-j indicpicnt (à tort ici) l'allongement de la
voyelle.
son nom se lise avec celui de son {j^rand-père Dioscore Psimanôbet). Les
atteintes portées à sa propriété seraient alors la suite des mesures prises
contre lui par le pajjarque d"Antaiopolis on Fan 56G (n" 67002, 1), et
faire paître des bestiaux étranj^ers [^pwOémoi.) sur ces pàturajjes (cf.
n" 67oo->. 1. I. 1 '1 : mi T£ ^ovOv t)]» KwpiVi <I)0Aà Koù toU xauT);?
(.ursivc arrondie.
o[v]
i '•'""X
TOi:\ . fxc é'i vTioëoAvs \loi.Tepp.oOio cltio i,j iy^\j.w;\ ic xon a'j-cvs yiTO tc.'1' -aepi
TOTT^ NfXafi'ji'i'oç xa« t'^'I' apôp' Tam>£ovT'j\î'\ sni a-v tj;? iS , r]j Ivavi'ô Tixvovps
y X
yirxJp s^ VTToëo Aé/?aafi,io BiXTopoi moiun zo xai ^ova
TOTT) nçtfiOvOô £7r< a ivSl (xev 'Vj *I>oié'afx.|a(iM'[o>] £7r< Se tv? ^^ j f? [/V '^''-'']'-' '^')
P^'
(pvXoixoôv
Qo TOTTj Kapxapô Sj himopoî Ta.yy[iixs aoi^xs ano i'] iv/]j evs t);> TPOLpovJv^ à. iv^j
xai OLMXVs
tôt:*, ÀTra Ovo<ppirj hj tô mô MapÔa oltïo O0Àa, \s.t:\i [xsv is n»^^ fxoi');[j|
TOTTj OaTTXovix ^/ Tw v'ùj}v \lxy.<Tv avr j}- tivî/ si'ji's ôc nv^ xai auT)/»
Tou £fi.ô opyavô S] Uoina-OL0i.pioy Maxapiô xy,i FIÔTtu. £7r{ iv5 mv^/ aoj');5
A/g/(c 4. Ylaaixopiov : cf. n" Gyii-J, sn.fcr. — Tcov avcuv : llerjikleios et Jean. Un
prôtocômète llerakieios est en elTet cité au n" (lyoST), r., II, I. i().
lÀi^nc 1 . Elle commence notablement pins loin vers la droite que les autres lijTnes.
IV,'//»/c.r A(/>).
•j.")
[toJtTI \VJ-I}0l0 KOLt Sl/?| ta'î'Oî ( ?). . .
Ail verso. liiii{;iio siisciijilioii , jiii'sijiif ciilièiciiH'iil oll'^ii-i'O. On lil eiic(ir( le j'iciiiici- iiiiil : -l- -jvwa)
k[. . ., cl les liorriifis : AioCTJxopô >Kipia[»'co]Ç£T 5:/ Aio[crx<)(VÏJ (?)].
Iai'^hc a.^. Kç ci-ji]htvTùv )(a<fx(x705 : lu X) ilc awi/À^ esl d'ailleurs (wlrL'meiiU'Mt (louleiu.
Tioi/), xa( ap;^('^ii') ti;s Ôi/f^aia'r) e7rfltp;(^((as). Aucune trace d'écriltu'e après ce
dernier mol. — D'après ce titre ce jinwses (Huil aimlc; une communication de
M. liell me periiiel de rcsliliier le nom iiii complet d'après /*. ÎmikL, ili7<). I-e
Wdi/itas xofjLns du 11" G7i(')(|'"\ 1. ti (^tome III, p. .'ij esl-il le même persoiiiiajje? Une
fois (le plus le deiiner nom serait donc l'usuel, en cas de " polyonymieii. La date
propos(-e plus liant se trouverait jusipi'à un certaui point confirmée, piiistpie le
n" II" i(')i|, dati': de l'an .")("i(|. mentionne le lils et le pelil-lils du comte Tlimnas.
Lii^iir -j. Si la restitution de la lijjiie (i est justiliée, la lacune des lijjinîs q-.') devait
contenir un peu jdus de (piarante lettres (iA à /i.")). Les restitutions proposées ici
112 CATALOGUE DU MUSÉE DU CAIRE.
ToSs TÔ
5 l'JtxaTTtxoi' apOTTCcyaot,, Sioi.'Ji'h'\vxi roc auxa [TtJTV/seo-ta [eTrJt rov TrT^[o]e(-
Taçews, £t>5''5Tc:s o^
[et xara tj pxOvp.iix ris TSot.pxKOACtvO^tfTv , ovk sktos easfjOc ^txa<7Tt«])/[5]
xfv'/['7£''-«'S' 'îia yap] t[o]vt9 £;c tx^bvî a[7r]£TTaX[Ta]t -1'
[Lj^^? -I*
(15) -f-
X/3); SX t);î vy.sT£pa? xv/xi/i to VTrc/TîTaj [jl^j'oi- (xerpav
TirOV apT<xSwV r]lOl.HOTlVV rpiw, oivoxpîw
WKTCLKirr/eiXiw iirTaKOTiw TSsvxijxovra., virsp t)/?
xoixi^ll
no visant f[u7i rétnblir le sens, je n'iii p.is tenu compte de celle inJicMlioii, (|iii il'ail-
IcLirs n'est pas certaine. — Sur ['(icluarins on nplio, cf. J. MASPEno, op. cit., p. io5.
f.iipic â. To -apoSijXriyajov : c'est la dclcgnlin — ou plulùl la prœdcictralio — du pi-élel
fA<riir
J.
Au-dessous du second Lfgi , le même signe (un l'i i)arré) tpi'on voit aux
n"' (JyoSo et G7280; mais ici il a presque entièrement disparu dans une lacune.
— Ici, la lecture Lcgi est assurée (cf. n" (i^ySai, (A), 1. i!>).
une erreur.
lAgiw S. T>;s xaTaêoX(i;s) ytyvO(i£{i'rjî) tocs (popiinpi^mi) xoixi'Cîso-Os) : ces Çopuoipi^t ou
(piillances sont celles dont les n" Gyo.^x), Gyoùi et (J7i->y nous oui conservé îles
spécimens.
Lig)lf 10. El' )(_p(yact)), xana mo{^Siovi:) fi tou vo(^{ifj(iOLTO?] a : Vadni'ratw si.' l'ail à ho
modii pour un iiomisnia.
l'Al'VlilIS liVZANTlNS. 113
Ijjpu' i y. Eç (^xii').
1. 3, doit, eu ed'et, a\oir suivi la réforme administrative de 53() (Édit XIII). La date
de 5i8 (ind. XII) est la plus probable, parce que cette allusion aux réformes j)araît
indi(]uer (|u'elles étaient encore récentes (]uaud le papyrus fut écrit.
d'un astérisijue les restitutions obtenu(.'s jiar lui au mo\eii de celte collation.
(A) [-f-
<I>Xauib?] &eoSuipos Mvvclî loyhxvo[s^ ïaxKwSos o ^syaXoirpj ko[j. xat a/3/^)
[lla<Ta;, Bsov )/} o\vix£vov , ras [i;>^])/At(i) •ûToAçf» 'iOvvu)v ^aatXi'js o }ipot.j[ifT]jos
'[fXiîTa Tî/s t\wi> voaw *7a[ç£]«'ji'b ~iy^si(,£i y'xp'xx7ijpi~,ii ~o'jio to v\)\' *[tp]9t-
(A) fjinte 1 . Le litre de xo/>t);s xat apyw Tris ©t/è'aia^r enapy^etas se retrouve aux n"' OyoSo,
67281, et le même j)vacscs, Flavius Tbéodoros Menas .loiilianos Jacobos, nous
est déjà connu par le n" iSyo^o. A la lin de la ligne, le chiffre ç n'est pas absolu-
ment sûr, mais il est très probable. Si l'an (i correspond à la douzième indiclion,
le papyrus (Syo.'îo, (pii est de la dixnl'me, sera daté de l'an h : et en effet, L 1, on
peut y lire to Sj. Il semble donc ([ue ces dates signilient seulement rfla ipiatrième,
7S£paTi TrT[a]/?a'îo"j}'at
*[TSa.pa. T);> xpx^rovrijs tJ'/Ji\s ;<]a: tj;? •jv//);XoTaTj;= x(iO£^poLi, 0TT[t5 £]>c
TSpooiiiiw Trjs avTOv a(^ï^£vs £5£i^£v TO *[i2'j]tîi -urporrriv tj; «utou eiv^o-
les villes de Tt^mpire, situées à l'iiili'rieur ou au\ frontières, devraient avoir leur
jjarnison.
IJf'iiP. ù. Sur les Numides Jusliniens (rilerniopnlis et leurs rapports avec Aplirodilù,
connu dans le sens de "consacré" (exemples cités dans le Thciaiinis d'il. Esliennc;
rom/e (marquée par l'épithiile XafiTrpoTotTOî). Cl. \e xoyLnojpi^ovvos ^\c P. Oxyr. 1, i q8,
1. i5. — •
- noXiT(£)<o£ est ici rtla pagarcliie d'ilermopolis ou d'Autitioopolis", où noire
homm!> écrit. .Sur Tso\nîtix = namc on caulan , cf. I'. Mor. -jjl.C); 1*. Lips. (j->, I, ().
I^iirni' -j. \\ \j^r\\o-:a.Ti] xaOeSpa : c'est la prél'ecluri' du |uéloiie, de nK'nu' ([iie ij xpn-
[073-21]
(H) -l-
X/3); cx T>/> •Jix.sTepy.i Kvatfs to vTroTcTaj-fx^ (xerpav airoinvOvyy-i xxi
TSCLpa.'y'/tOvva.i Toii ) crî'atOTtT* iN'o'jfXJrîoj> loucrTJi-taroJs, 'îta B}//3t;/lÀa
Tou xctOocriwii^ auTCT otttj/, utts/î fivi'os (TSTiTsuëpuj xoLi rjXTœ^ëpio xai
vosaëpio xat SexsaGpio tj;? 'cra|90v[CTJ/>] ^^^'(îexaT};* t7r<v£p/(T£ws
r. anpoxpiTvs , ay^pi xoaih]î tov £VTj-)(\soTOiTYjv -ît/oo^Îî/Aj/J aroi/ 7?/* avTj;s
Sv'')£xctTi}> ïv. lyXoiSy T);> xa7aê'oA[?;]b }i} rofI< Ta> ^opaapj xoixiCj
ou
TV onTij rriTÔ m rrx r.ipoxpj^ /^yj'^
lo ~v avT^ _^Ji^ r]-))Ti<, fTiTÔ lîi ^ ctî'orx/s/lj 'Wj;
hijnc 1-2. Un lit d'abord [.JeÀi; niiiis la comparaison avec le ii" (iyiiao me fait
admcUre Icgi. De même au n° Gyo.lo, i. G, il faut sans doule lire Ic/p une seconde
fois au lieu de xeÀj. La première Idlre a tout à l'ail la forme d'un x, mais j'ai
celle d'Antaiou.
Ligne 10. Tai auTa vwep Syrrriovrarov); G,' ilrpittatiis est l'aruuirier du bataillon : cL
l\ov. iS5 , 1 : ouSe tous ev tou otpiOyLOts avyKaTalsyonevovi onloTtoiovs , ovs koli Ssttou-
lOLiovî xaXovat, toi/s -crapa tov Stj^iOcTtov no^it^o^ievoui aniiaen, (juyy/xipovyitv spya-
î^eaOai i; tm'i zrnTpy.axsiv OTrXa.
lîiBL. : l'.ipyriis a(i[);irli!ii;iiit .111 Miisrc cl'AJoxaiKliie ft dont M. l>ioc(-ia, coiiservntcur, a bien voulu
m'aiiloiiser à prciulrc r(i|iio (luv. 1'. .'ii5; ilou de M. Adolpiie Catlaoui). Inséré ici pour coni-
jiléler la puldicaliou du trésor d'Aplnodilo.
Cursive penchée.
IIG CATALOGUE DU MUSEE DU CAlIlE.
[07322] W
]' Ma Tj;i' xepaXvv tov Xpirrrô, ear u); tsapctSorrvi touî j tw/:/} ou? -rrr/50? [t);i']
TGV -rrfojfxero? sXOotos xat smoTo; clvtv, xcli tvv [a]j'[a]î'a;<[T);]'7t[i'] Tjcf[va^i:{]
5 vvirep (a^s Qeos otrhv oxvv z^iaTivroLi. Usio-rjii yap saoi.vTOV oz\i ]
ovx a.vs)(^eroLi -apaytxa XyiroyvTa [vJ^ols v Kvu-ioyvrcc Tnanifrai [....]
!^^7^ '^^^ •aapy.'hî tov; ysvpyo^vs]
)^a/?[{]g-ai (?) ovv xai e. . avT'-f' ^^W? -^h •
Tnpoî T);j' yvoLiTiv t)/'' 'aeix(pOeir!-av toi rsctp ep-ô ïvct a7z-aXA[a;,^0);s]
T>)5 3-Ai-<ps(A); rauT)/». Toi' 'h xoivov aSeX^ov X-noXXov ^la. [toi»]
•WjOwtJox/
+ Iwar[7');>]
Jji'iio 2. Cf. n° fiT.'îîiS, p. 1,1. 1-1 : ufrpy.7TXTii iw ETziC^n'^oviJiewv zypoaumM', inilc par
Sitscriplion. Cf. n" G 7 82 , .<î/sf . , r. Un Jean, pagarque, apparaît au 11° C>-?)-2h, lll'', 1. 1 1
Cursive droite, assez élégante. — Le. bord droit manrpie : onze lettres en moyenne par
ligne doivent avoir disparu, si le papyrus avait la largeur normale de .'îo à .3 1 ccnl.
w
[•f-
o] Ssanorv? ^ov svêo^OTOLios xofxt-? \u.aœrio[s ovx r;fX£À7;a-£]
Liijiie 1. Le comte Ammonios apparaîl déjà aux n"' G70G2, C713S el G7i3(). Son
litre et le rôle qu'il joue ici semblent prouver qu'il élail «Ofjiis xai ap^a^v, c'est-à-dire
ypa<^t]vy.i ûtaTt tojs aTro t);> xvaiii xcli ~ois t-^7rtA/£[vTa{5 lîta t^J
£i> T)/}' CToÀu' xat *2£/3tJ avTOu? aî'Ci' xxOï'rnwi'ixî' V[x\_£i5 Se u,£Ta(?)J
H^ai'ou v\oviL£pl\
à-dirc le nombre des contribuables et leur solvabilité? Cf. peut-être P. Lond. IV,
1607, note 3. Upoa-e-za^s : restitué d'après la ligne 17. Allusion à un ordre
envoyé par le pracsvs aux a-no KUfiv? au sujet des impôts : ordre du nièine type (jue
ceux (|ui ont été publiés plus liant (n"' 67000, (iyaSo, G7320 et G7021).
Lijnir h. 0< ano t);î x^'f/»;? désigne donc non seulement les dignilau'es mais l'ensemble
des habitants.
Ligne 17. l'-st-ce Dioscore (lilsde?) Psimanùbel? (S. les indices des tomes I et II.
Suscriplion. Un '^atos vovfjiepaf/ioi est connu par le n" t)7o58, 11, I. î), et III, 1. 1 '1, 20.
(iursive pencliée.
118 CATALOGUE DU MUSEE DU CAIRE.
[0732/1]
h^oyBai. Bot/Aofxaj ^e xai tôto, v; £{ rr-ju.Soi.iv t); /3aOufx[ja tx> xX);p7 I^'^vi]
otv[ô]
fiovacnvpiô xai tovî ev auTw fxoi'a^ovTotî a7ratT);Ta( TaTa^ i:KOî'ra> xai axorTa?
exa).e(Tafi7;v, ;<( T:roLpxvs-)vvv a-j70(> 7);i' r5vvafiJi' t);? ^.iiOipoi? xott 7TT£7reiJc[a]
jcaya tou? v[f5fJi.ou?] 'j-Koypail/'xi. Ot '5e /otTrot trravTS? OLirox/.vpoi STrjVTy.i, '5ia to
OVITO'J pLOJ OpOaiî XOLl ^IXXl'xl? SsfVjyJJoLl. H hlxOvXV XVpiOL Si77y.l XOLl
(SiSoLicc Hirrot} ypcL<pl^ ofxoTUTroî s^ •jiioyp'xZv? sfxv; xai suepanv f'Trt to'jtoj[?]
rauT?;''
r.ixBvxv
S-£fX£[}']o*j -f-
Xvpv'kio? K
Lip^Dc II. Les deux Icslamcnls publi(!'S sous les a"' G7 1 5o et Oyi! 1 -1 , surloul le second
réservent des legs impoiianls aux couvents. La seule clause conservée de celui-ci
est encore une fondation en faveur d'un monastère. Dans la re([uçle (lyoo.'l, il est
question d'une aroure léguée au couvent de Pharaons jiai une veuve. Il semlile r|ue
tout leslamenl (jueli]uc peu imporlant contenait alors uni> disposition de cette
ÎÀtrnc IL'. .Après TSi-neiKo. il y a place |)Our rvrovi, mais ilaiis la mai-ge siMilement ;
le
mot, dont il ne reste pas trace, avait sans doiile (Hé passé.
1J"W 16. M. Bell me signale dans 1*. Lond. I\ . 1 '11 <) , «iti^j, un TIcui-cvïTr.
l'AI'VIUS l'.VZAMI.NS. 119
Au voiso. iu\(>iil;iiie irdlijfls iiidliilii'is iikdcic TTiiCKe^-ii), ou l:ui[jup niplo. Je sijjiinler.ii [0732/11
seulciru'ul <leu\ ruLii i(|ii('s iiilérL'ss.Mit l,i | liilolojjio ^jiec(|u(' : "wn |ii'lil v;isc à |i;ii'fumsi
MoV|-ro()iu.ii I nvpoOijxv) Koyi o^-cic.i . cl uu ^uilro \.im> uu (dllVcl ; oiuni {Oviv^ o'<,*gici.
67325. Livre de comptes. Cahier composa Ar liull feuillets reliés enseniblo par
une licelle. — Longueur moyenne de clia(pie feiiilleL o m. 3oo mill.,
lai'g. o m. i;)o niill. (sauf les feuiUels 5 cl (> ijui sont coupés et sonl
ré'duils à leurs — marges). Aphrodilù.
L'cinltire des com[)li's paraîl ùU-e celle de Dioscore; les (juillances d'inipùls sont de
Ce papyrus (>sl (avec le n" (iyi i i) le plus réccnl de cen\ (pii porlenl dale dans la
riiisloire d'ApIn'odilù. Prescjue Ions les personnages qui y sonl cités (sauf Dioscore
lils d'.A|)oilùs, le " |)0(Me" el Sérènos le pajjaicpie) sonl pour nous des nouveaux venus;
lait ([ui contribue déjà à rendre dilficile rintcr|>rétation. En outre, les liuil feuillets
(joui se compose le cahier contiennent des documents <le nature très variée :
Ces documenls apparliennenl enliu à des dates assez espacées les unes des auUes, el
ils se suivent dans un certain désordre clironolo{j'i([ue. Le contrai de localion est
de l'an r)85. el ailleurs il esl ([iK'stion d'Apollôs lils de Dioscore niorl vers 5^2 (fol.
VIII''; sur celte date, cf. n" ()-'>S(i, nitnnL). Je ne peiu donc déterminer pour le
Je me bornerai à sijjnaler ici un détail imporlanl. L'un des èviiyifx. (fol. IIP, 1.
7) se
termine par celle formule insolite : O év^o^iicLiùi Iwa'rvi/s Tsoiyapyjti Si' éfiov AayLia-
loû voTOicÀùu' éçéSuoia. to èviâyiov roû Si\j.olpov (lépous eus apoxeha.t'^K Plus bas, un
autre pajjaripie, Sérênos, donne cpiillance pour le reste : xajà ro y' fxépos. Toujours
sur la même pa[;e, les mêmes pn|;ar<pies ont encore fait une autre fois apposer leur
'''
Je ne pense |).is (ju'il y .'lit lieu de faire uu i'a|iprurhpineul avec l'ohsrui' Sif.toipofi£pos tcûi' xP^~
CTixàJr h)]\wai(i3v de 1'. Luiul. IV, i.ISo : car rc\])iessioii correcte jiaraîl èlie plutôt celle ([u'ou
lir.i T)lus loin : •ûrotjapxoî toO liuoipov \iipovs \vtaiov. lille semble maiciucr le début de la
[573-251 signature, mais avec une variante intéressante : .It'jin s'intituli' maintenant ('I. 1 T)
aâyaayoi tov SifiOt'pov yLs'povs A.vzaiov, et Sérènos aoiyoïpyo^ toO rphov tiépoui. l-a
même formule paraît encore au folio VIII', 1. •:>.•?.. L'existence ili' deuv pa;;ari|iies 1
Antaiopolis triait déjà connue (cf. tome I, n" (iyoGS, i. 1 ; et surtout les deux pap\V-
rus de Londres cités par H. I. Bell dans le Joiirn. oj JJrlI. SliicL, .XXV'III, p. 1 o.'), et
deux tiers d'Antniou- sont nouveaux. L'explication la plus naturelle est d'applicpier
ces expressions 11 une division territoriale de I.i pagarcliie. (j'est ainsi (pie le nome
Iléracléopolite était partagé en TKs'/.n : axyâpx{''f>) toû iSoppUvov) o-ksXovs nxvTn^ t)7>
-sr'3X(()T(£('ats) (B. G. U. 3o/i, .1; vu' siècle), et aussi le nome Ilermopolitc (P. Lond.
IV, iZi()i, 1/1 : voTii'OÛ cTxiXovi^î) Lp(zou7rô).(£iis) : vers l'an yocj). Les conlnl)ual)Ies
cités dans notre papvrus avaient peut-être des propriétés dispersées dans tout le
Fol. I. Rkcto.
5 Tt — XS X~ "'
) mrspixoiê'} ai^ -r xy
Ligne !>. (Ynep'j yevnfJ-OxTui'^ v' irSi^txTiovos) aia.pa) Six(p{op'U>vj TQT:{ct)vj, ovr[(iMj.
Ijgne à. To=T07roii. — liôX : très douteux; la petite barre horizontale révèle l'existence
d'un 0, mais cet o était peut-être à la lin et non an milii-n du mot. — (Tirep^
Ligtic 5. Sur V'ô = xpt9rjs apTxËoLt, cf. n" Ciy ij8, coninn'ntaire.
lÀgiw 6. (i'est le même totto; appelé ailleurs "SsuTTKyiTos ou Xstxjjto» : cf. n" 'ijSii),
1.,,.
[[ecnicus de Pline : Hist. ual., Wl. 53) est le rarlhnmr aitiiel. Pline signale préci-
sément son abondance en Egypte. — Le diiifre (pii devrait suivre )(.. a été oublié.
Ligne 1 I. Lire cni£p(i.{o)èo{y.ia.s) : cette fonue [)ar un a, ipii ^'e--t di'j.'i reuinnir.'e dans
A rjTTSp'
F..1. 1. Viinso.
0"JT
Fol. I. Recto. — /,/;;/((• 1/1. i\.oi(Trov) at{TOv) (otpTaêai) ï€ (xpiTor). On pourrail aussi
£'= *'0 compte est laux, iiuisiiuc l'oiiiG (lip/) vaut t/fi d'arlaho
lire i'S I'.'. i/.^).
(cf. n" ('17 i;5S) ou [nnil-clrc innnc, dans ce papyrus, un \ j'o' (cf. fol. 1'', I. 7, noie).
fjjrne uo. '// sijjnifio sans doute 'CiJyv, el se rapporte à v /; sur ^ = 9/3, cf. tome 1,
index IX.
Liinic aS. Aax~r devrait sijnilier Xccx^avwv) {apraSai); mais il semble ici, comme
plus l)as, (pie le scrihe ail employé celle ai)révialion, par inadvertance, pour lax}
= Xa'xavuv.
lÀ^nc 36'. \^ = (xpovpw.
Liipic a 7. l\.(p (»/f/(«T£«ï).
TaTtai'ô^
// «?7 ^V ) //
&VT"
x^[/"U" ] '4' . /^ T»/— Va
^
. .
xpl -TT [ j . £ mj -r S
a5 ) TJT) [a/orajê") i?; -nr^ ï(pj p. ip . . . . tj^-tt «v v/
ô atT) [a]/3[T]a^( ï fJLSTpj £fA[''-i']
Fol. I. Verso. — Liipir 7. Aa;^ est écrit en surcharge sur le siijne // qui désigne ordi-
nairement le lolal. Après iç, il y avait peut-être une fraction (L,= 1/2) : mais
rien dans le ms. ne l'indique. La nienlicwi ii^/ij (au lieu de ^7" /3) semble indiquer
(pie l'oinG («?() n'a pas ici la valeur ijli d'artabe; si le cliiiïre 1- n'était suivi
d'aucune fraction, on voit que l'oiiiG serait le i/B' de l'arlabe.
Lïjrne 1 1. "Nea-ev : la lacune est un |)eu grande pour une seule lettre.
fA[jiie 1 6. Peut-être avv [Twye&ip]'^ : mais les traces ne conlirmcnt pas celle conjecture.
fjnnc 2.5. Le chilTrc <T(/~er «»; nj (le dernier nombre n'a pas été écrit) est en regard
des deux lignes 9 5 et 2 G à la fois : c'est le total. — f/
= f/eTpw (cf. 1. 2 G) : le
Ligne 2 g. (ÎUl(xin{^tvoovy
l'AI'Vl'.liS BVZANTIiNS. 123
TiTxpzo)' a-[u]i' ravX/ ) tt/s/- }'(/ m] fi) pi'O d' avv vavXj
£/2£6'[(]j'0ô a 0(L,
XopTf oJTTTt-p''^ -T ,5 I
i\pl a L;
Limir 3i. Liro a-Tor/ji (iniiis la Liciine est tro[) fourlc pouroi); la croix finale nV^t
Fol. II. Recto. fjinir 3. ^ = ytioSios'-), ou /^«(tioi'); cf. 11" OycoB, rcc/o, I. 1 5.
Lijnir â. ô = 0(ioivs[1).
Lijpu- fi. liirc Ii!ou[p]&u, ou -01; [uïjou (cf. 1. 1).
/,i"HC (J. To ov(of/a) Kopi'>;Xio(i/) : ici roniino plus bas, 1(! nom osl an nonunalif.
un 0; mais n'est pas sûr (pie ce soit celle lettre. Dans ce cas ccpeiidanl, on
peu à il
iG.
124 CATALOGUE DU MUSÉE DU CAH'.E.
[67325] Aa^ fl a
§1 X«[X]5 i(pl |S [,
.0 Sj TÔ £V0 . . [i](pj ,S
.^, .
^ Tou T w/ £fxov <i\
X£*/305 mj^ a. z'
yij
^ /^ [X'^J B.XTO/./ m\- \ [ .
J.y.; X" i.
Fol. II. Recto. — lÀgnc i8. M = f/o.î<oî ou yiaTiov. Leclure 1res douleuse. La lacune
Ligne ù/i. Peul-èlre K[oxx(]vô (cf. n"' fiyoSy, 1. i ; C^o/i i , i. 2) KalaovT^oi). Le nom
propre KaXau se trouve dans P. Lond., IV, 1 '1110, 233 (comme nom de tottoî).
I, (>7ftio-u) a été ajouté après coup; la leclure y]>vx(^ov) esl 1res douteuse.
Ligne à. Ta Ss)(()svia.
lô ( ^ A^' O-TJi'p
£iî (T>ca'A[>;|;c&6'pa)(T<a>'
TÔ (^[fij/s/ It^.V/î/ <T(/[~5~j i.
aÀ|fx|)/i' o-t/
[0732:]
) }
V[2/J
[ .
I
,3 w/ (1/
Fol. m. Recto.
(l/i.Viilnrc est dirijjéo <l;iiis li' sens vrrlical.)
hj lîiXTopos
•|-
\£']iOXJ KopytlllOi <l>[(]Xai'TM'OÔ ^^^ SyjU.} T£7a/ST);î H'(î'y X£/5 f^ 7£70l.pT01<
Kvy-} h}iis-}tj xj ç iV
-|- ^£f^u)xj Xiorrxopos \no aXvtoî rVj Ih^ipô ^J<^ '^Vf^j vsTCt.piijs 'ivhl xspl Sexot.
'
£71701. VlX'.aV 'Cj rhjfX}
ytj xj ïX L, Kj ^vu-'f ]' < >t £y^oc, zs^-yoLp ^j sixov XptcTToSœpô vot) £^£So -/^u.-) [[[
Fol. II. Verso. — LiPitc i G. W/nj esl une iiuiliulic (|iii iciid les {[l'aiiios iMi]irn|ircs à
la consominalion.
Ligne 7 7. Maljjrc' la liaire (raltiM'vialidii, jtj pense c|inl huit lire Sia YlTtjpov.
Ligne 1
(J.
i,e cliiiïrc, après x/, n'a pas l'U'' inscrit. — .l'ai reslilué x= -jo klioiak. d'après
le folio IV'', où les dates (mais non les versements) sont les mêmes (|u'Ki.
Ligne t>-j. Lire -/^çjvctouxoïkJ [sic) en ajonlant les lettres placées sous la ligne.
Ligne -j.'L VSlavAov est \inc restitution presijuc nécessaire. Pour XiTp^ (cf. fol. \1II°.
les (leii\ dernières li'ttres sont douteuses. — Xfiy : le n très mal formé; mais la
lecture est certaine, par comparaison avec la ligne du folio VII, r., 1. 'i. — Les trois
[07325] 5 i" ùksScoxev Kopvv^tos (InlavT ivoov f]j WixTvp cmo Sv(J-^ reTxpTJfs ivSixj x£py.Tta
SwSexa v/xKTU TSTCcpTOv yij xj ïS [, <V '(vjv ^yaorru Ta SoO<, AiSepiô Jd ixt-
Fol. m. VdHSO.
l'Ecrit dans le sons vertical; les trois ïi'ti^cî sont ilispom^s ainsi : )
yij
^ fx
XVfXf A<P/
v£ qy.As -çr
TÇX TfTj fX)
l-.'ïyjxpia? ynor^çxjj
Toy avTf ôv Tij Jx ev vfx} a-vvaÀ/j -a- yij fZ) aL, fTxAu Zix./_oi.pix5 yTiOrhxlJ[1)
5 (2) "l'
Asrîwx/ KopwXios <I)tXa»'Tt/ '5/ ^o^ix ^ h-jh.
xj çL,'Çj 'hjà
T^£,«.7rTr;? n"î/ xzpy.inrL z'i j/fxiT'j '^U* )i,
<I>X/ '^spyjvoî tXX/ ^ TSayapyj Sj six'-jv ÏMou-rajou 5'ot( e^sS^j «axa to y' fx£^/
,0 (3) Atvîvx/ Ko/2i'>;À(o? «btXavTH'OÔ '5/ l{[t]j<['To]/?/ [^ 'h!]fx -çr£fjt[7rTJ/sJ fViV xspixny.
Liirnc 7. Lire i;£p>7rou(?) «XXouTTpiou; ce |icrsonnn(je est cité déjà en .^Gy (ti" (i^oo-.!,
II, I. a, /i, 8) sous le nom de ^^eprjroî (X).ou(TTp(os. Ici, il apparaît connue pa-
garque; cf., pour le Tpnoi' yLSpos, foi. III'', 1. 9. (^'j)t tyj = a-TOiyei.
Fol. III. Verso. — fÀgiir 1. Ers^aÀ : on lirait même plutôt si-sa) ,• pour £i'£6at>.£.
au neutre (cf. 1. A). Son écriture est d'ailleurs à peu près illisible en plus d'un point,
les lettres étant, dans certains mots, à peine formées et confondues avec leurs
voisines.
f.ip^ne 3. SotX^ ou (pielipie chose de ce genre, pour auv vavX(ots). — Sur 1 abréviation
Ligiif! à. Avant iMyaipicLi, la même abréviation -z»('.') est répélé-e , mais à ce point
ÏÀ^nr S. Fj^eSoKot, doulenv, pour s^eSoOti : cf. 1. ij. — Tou '^iiioi[pov) !iBp[ov?) : cf. plus
•1-
xf^y
Fol. III. Verso. — /.//;»( i i. llayapxH s.-.ns marque d'abriivialion. On lil cnsiiile .î/
Sfxou, corri|;<' .-n tov sans ([ne le scrihe ait harré le si(;he S/. — [Aifioifou] tM£f,{ovs)
-f àsSwxev \ioa-xopo5 XttoXXootos [Sj] UTvpô, oluo Sv{)-s t/sj[^t]);; 'ivS\, xspj Sex[oi\
) -f [f )]fXOt/ TOV
Fol. IV. Recto. — Litriir 27. T«iir vïvi' : a|)|);irlenanl aiu lils (li> Jacques.
/ji'iii' .")
j . Sur cet ATToXXai? aTro pnr'xpi'jtr, cf. il" 6" 1 ^1 ~, r. , I. .!.
Liffiie 30. KaT etos : la copie de ce conlral sur le livre ilc (li'peuses semble avoir été
faite avec une sin{julière néj]lif;ence. La lij;ne .mj parle d'un bail de trois ans et la
lij;ne 17 d'une location pour une seul(> année. — Toutes les restitutions liuales des
auTÔ 9V0 xc/3/ ^îxy. oxtv yij x/ i'[?; 'Cj < ) aux)] K[a)J|U.[a'T]f[o>] ççç-} Xotax // x // [673-25]
ïvSj y
^
-f-
OiJLOij cT'O XirjfjKopoî Aizc/A/MT} Sj llT);pû xspj T£T(Tspx jju.iTv iz.iy.pTy yij
x/ s L, d'
^
'Cl
s/
[ (
)f sv^[o^l] -^[ccyloLp Sj [cfjLOT;] \p[io-]i[o]Swpô yp 4c>5[o x^y ]'
[ ]']
Un dernier êi'Tijior venait encore à la suilo : mais il a dis])aru avec le Lord de ia page, el il n'eu
reste pins que la lin de ia première ligne : [-srap]! twv r>)= Hviiiji Aippol/.
Vo\. V.
Fol. VI.
[ IsSœKcV KopvvAiOi ^biAaviivoô h\ Zo(pioi., ctiro Svp.} sxivs iv!)ix\, xepcciia s^-
•1- leSwxj lirjrTxopos AttoXÀv Sj Vlvar/^ <, "iLo^pix Jd h)\}.s mp ivSj xspj hxcLZ-nix
yp-tav isip
'Cvy yij xj ïX L, d' < h iv^oz^j sayapy^ Sj sixô Kpixiô cr£cr)/|xj H&iO xO ivSj S
[ A£rk»x;' \iorrxopos A7roÀÀ[a'TOs] r}j [n]iyp\ô] Jd h)\i. leixpivs ivS[ xspj Sm-
jij x] ï€ î^j 'hf-i- [ < *' îJ'Joç/ Tsayàp Sj ffxô \pi(Tioëù)pô yp £?£^o x^-} \'ïï
trouve un monogramme' un peu moins mal écrit, (pii paraît être le même.
Cdidl. (lu .UiiscV, n" ("17370- '7
130 CATALOGUE DU MUSKI- DU CAIP.E.
[fi7325] 5 [ Aerîwx/ ^lOTXOpos AttoÀÀwtc? _,^ fhjfi. T£T(xpTv> "'^^/ ^'p/ <î^ J/fXfrT'j ^/ r^?;fxr
•l'
ilsf^wxj Kopvifleios <I>jAaj'T) '^j \>tx[7\op ^ h-))[x.0ijv^ e tvr]j
Xf"^) "/ "^^^''^e ij-
•f-
Asfîwxsj' Kopi'JMto? <l>iÀavTn"'vô
TîTOfpT^ il'
[t]iv5'/ y -f-
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>fx[otJ/ To^ a;;Tf ôï^( '5'| Avô0j5
i5 . .1^/ x£/5aT[ta| £Ç TSTccpTy yij xj [-| d' ij
Fol. VII. Recto. — U<pie 0. Aprrs yp on (lislinjjiie une sorte de ;(^,- l,i lecture ^-^ =
uTrep est impossible.
o^oi] tI t k\ Il i;
Kl
ouoij xj ia L, d' ^/
oaoïl xj ç 'CI
[ojfxo./ x: le {Kl]
Fol. VII. Verso. — /.i)r;ic aJ. Il faudrait xXX/ = xXj/porof/oi. — l'.»;x(os est icleiiti([iie
Fol. VIII. Recto. — fAinir i . Lire sans doute <I>MarT(rooy. — npofiavTU'oow sijfnifie
f-riioniine d'Anlinoéfl, mais s'est déj.-i rciiconlré comme nom propre (1*. Lond. IV,
index h /*) : ici, il s'ajjit d"un lap.su.s causé par ia rcssemlilancc des noms.
Lij[nc 5. E7p(a(p>;).
Ligne lO. Un cliiiïn- était pi'iit-('trc écrit à la lin; mais il n'en reste plus Irace, le
1. :\'h. — li'Jix/ : tout à fait douteux. Aj)rès ce mot, la surface du papyrus est
détruite : peut-être ne manque- t-il rien avant [;«/], (|uoi(|u'il y ail place pour deux
lettres.
>7-
132 CATALOGUE DU MUSEE DU CAIHE.
à'
[G7325] O^iOlj KJ ç
-f-
AsScûxev Kopinjhos <lH'koiv[Tivo]ov Sj 'Lo(^i.ct
(7T0r/j -\-
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(u.) pOL^ xS ivSj e <I>X/ Ivai'i'j;? o fLeya^j
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SI £fx5 r£[>']î'af3]' 7TV'/J fJi-of
pas(siV') fîavîcP^aTor •
5 ij xj S [ïô Ka]( ^^
5 Tr;? Efxé'oX) X£/5/ );fXJiT£{ T/5JT0[j' T£T/2]a£t«0
II aj ta T/staî
Ligne 2j. Le t linal sert de hampe verlicnle à la croix -1-. — Lire uioi-^zi.
lÀgne h. Le sifjiie qui représente ynzç n'a pas ici, iluns le nianuscril , sa fdrine lialii-
tuelle ^^, mais celle d'un S barré, (jui sera courante à l'époipie arabe (!'. LontL,
IV, passimy, de même à la ligne ().
Ligne 1.1. II otyia Tptas. Celti! foriinib.', à larpiclle il faul ajouter un = 0£oj, sous-
entendu, est l'éfpiivab'nt isopsépbiijue de Xf^>'; CA3 (cf. Krali,, dans Millli. Pay.
Rainer, I, p. 127).
l'Ai' vu lis liV/ANTlNS. l.'^S
•l"
A£[(î'a)X£j'] KopiniAio\s «l>JtÀaî'TJi'oô [G7325]
^
Ot
\Sv{J-} Tler/i
£[r^o]^^^' TSOLjfxp/i
ivSixj «[e/^/J £? [TjeTp-
'Cv) < S\vu.y y]ij xj ç d' 'C, Snu.[^ i" 0\i crSo^j
\y\ijxjçKy[})Sn]fJi}-\-
xspl si [Cy]}'}
*I'À[>1 ]œoLVVJ)s\iX\'Xl )['isay\a.p
'^vp-
Ligne if). Lire T£T(a)pT())s), T£T(a)pT(or) : cf. fol. Vil, v., 1. 'j'i.
/,i',^''«e 22. KX>;porofzo( Bjjxiou : rcslilué d'nprès le folio VII, r., 1. a3.
A.i'^a/c 25. A la lin, siijnes lacliy{;riij)lii([ues (?), pcut-èlre précédés du si{;le xi-^r, mais
i)iécoMuaissal)le.
ont rcni d'Apollùs, leur localairo, le monlant des redevances dues par
lui pour le rhauip silué au lieu dit Piasc, sur le lerriloire du villa{;e
Cursive |)enclii'c.
Ligne I . Les héritiers possèdent la terre en propriété indivise : cf. n" G7 1 ()(). 1. •.>•.>. —
décurion d'Antaiopolis. dont est cpiestion au.\ n"" Gyi.l'i,
Ce Kyrosesl sans doute le il
Képhalon apparaît p.-ul-ètrc déjà au n" G73C)0, III, I. 19. C'est sans doute
L,i;nr h.
L'e.\cinpl(î de cet évècpie marié est intéressant et exception-
un évècpie d'Autaiopolis.
(juc parmi les moinns.
nel , car en Egypte on ne clioisissail ynère ces dignitaires
134 CATALOGUE DU MUSEE DU CAIRE.
i5 w? Tspojcj. Oj -apoyeypoi.rj.^evoi
tS£TtX\v\
Ligne s. Ai'Spijpd est (''vidonmiont [lour awSpô. — K);s : pour yv?- — Une nouvelle
[«w;x7;]f «b&Àa, x/oipo Wixm, 'jinp xxvovjS ~rA7v= tvSixj ex zsXvp\o'j\s. Ka(
I
-nTjO£a-6uTe
I/5Ô
•
crTOi/^ct aoi >; XTioyji vî 'û^poxl
[•f-
(|>Àauto|s \voLrvvi À|aja7r/s< îrroXj t5/>' AvraionoMiaiv Si Sfjiô tl>jet6'
i5 7un> 2/opuiv iolIv 'jtîo fis. xpovpw xvjSpuip ovrrwv SiaxeiyLCvuw ev -aeStaSi
K[atl ejtjî Tî/i' xfT(paAzixv -cTcTi-on/fiat rai/TJM' t7M' -arhipwTixvv xno)(_vv (f^\s\
[MjfTop); y II T>/> 3-
) /; ivSixj ^bX) latar); (s/'c) Sj efxov Oit-tê" -ûr/3/0 <tto{X£« f^O'
20 H^[aVb (?) Hj |xto/50? Tspeaë] ac,iwOii; eypx^x \jnsp aurou ) paa^xjx ixv aSoTOi ]'
•f-
«l>Àav/JO? Mo} a? /.a^iip} xno zxSixwv tvs Uxvo? TSoAews Si tfio lovëivô
\7Sxpa\ (70 TOI' (^opm; rœv vtj-o ts apôpvv xviiSpô yv^ Siaxeiu.$v} iv TneSixSi
l'xwfx)?!? «l>OÀaj, ^[Xv]pô IhaTc, i-x zxAvpovs, ccxoaôOm; tî; iiiaOœTsi, ynsp
\xavovos Tp\iTVf tvSixj Kat £(> o-j/j' x^r^aXeiav -cT<;7i|olw;(xai rai^TîM' tjm' «àj/-
2:,
3o "l'
V.ypxZi) Si iiJ.^j X'ipxxaiô AttoXA// ouX/
Limir G. Ct; Victor <'.sl !<• môme ([ue celui (|ui Cbl nommé au u" GyiSA, 1. '->.
[xai s7i]Arjp(x^9)f(sic) zsxpx o-ov tov ^opov tov vno m aou a.po'jpw OLV'j'^pov
}'î;> Sixxeiii}
pOVî , XOLVOVO?
Tpipi? ivSj. Kat et Tvv olt^xasioi.v -nt£7ron?txc tol'jtv^' tvv 'mAvp'ji''Tixvy '^i^oyjnv
[<l>Ojé'|aaa'Vi', uib? a-jTOv, eTrfTpaTTcts, iypcc^px vizsp dlvto'j ypxixiis [t-v n^rj-zo? \
•f-
<I>Àauio? RoÀXô6'o> A|U,aw(ô Txpiv} ^i saô ATroXÀa'TOs wai-î/ x) TSpovoinô
[A7r]oXX'x)Tf A»0(TXO/55 avro X^Ppoh'. V2slxij.)]v x) iizAvpvOvv ntccpa rro t\o\v
^opov
io <I>6'Xa UTrêjO ^spo5(sic) tô -csa-po; rxô x%i tv= txvrpoî, vmp xocvovos rpiTV?
n'Sixj £X z^Avpj
V [oi.T7o]yjii fjôs TSpoxl X\tpi]Xios Xêpy.OLU. WiXTopoi jSoj/ OiZiw6£i5 eypcLi/CL Virsp
\^]a(sî'c)
Ligne à'2. Lire KoXXoi^^os. Cette signature esl d'une écriture rondo \\-H ('léjjanlc, (|iii
est celle du (Sorjdos Abraham. C'est évidemment Apollûs, et non le scriniaire Kolloii-
Lig)ie ùli. Avec Sji\aSn reprend l'écriture du scribe qui a rédigé les quittances.
(àirsive liiic, pcnclit'C lt'(;('remeiil l'ii avanl. — l,c rouk'.ui, [)res([uo iiilacl (sauf la
pajje I), osl coi)eiiilaiil d'iiiR' luclure dillicile, à cause do la couleur noirùlre du
|)a|)yrus et des luoisissures ([ui l'avaietil couvert avant son (.'iilrée au Musée. Mais
la rcpélilion des nièiucs iormulcs perniel d'établir un texte certain, excepté pour
(piclcjues noms pro|)res. — 11 sendjle bien ipie la page I actuelle ait été ellcclivenient
la prendère du re;;istre.
Plusieurs autres éjyûat ont été publiées plus liant (n"' liyoc)''!; — 672()G et 67297).
Les douze actes (pd sont réunis ici sont, à pari de peu importantes variantes, tous
semblables, .l'ai cru cependant (pi'on me saurait gré de les reproduire tous m rxlcnso,
Ce papyrus nous fournit des détails assez complets sur le rôle et l'organisation de
la police rurale des -aotnsvei xal iypoÇiûXaxes (cf. n" (J7001). Ils doivent veiller à
l'irrigation des cbamps, en général vaquer à toutes sortes de travaux publics non
désignés ici, maintenir l'ordre, recbercher cniin et faire comparaître les person-
décanirs, ayant chacune son ou ses gardiens particuliers. Celle de Teiae est citée
deux fois [11, 1. S, et IV, I. 10]; elle possédait au moins trois -aoiyisvsi; de même
celle de <l>svr£vi est iKunmée à deux reprises [V, I. 10, et \, I. i)].
I'agi;
\zsl .V-j/9î;ÀJjô lct)ar[7'ô vjjo Wix-opoi VaSclvqî , )£C;'[/s)'ô ajTTO tv> T xci'p;[s,
i'xip\ziv -r
[OfxoJAoj'w, ofx[i'u?] TOI' Te TnoiVTOxpoiTopoi. (-)-ov xat T);j' d-£iy.y xii 5/5a[!'<oj'
TUX.])?Î'
Tofu T la -CTarTX !'£>:['-.' jl'TO» 'îiTTTOTÔ î/fX'VV <I»À( loUTTH'6 TÔ XlVv\irj :L\)yo\\J'7TO
«l>);ouj'
\]wœ\v^iô, -r^rjiu.ivy. ;<[a(| y.ypo:^'j\cLKl [t);]s (Σxa[r jcja>- x\a.]^Krj^£v j Kto. . .£,
y;j.[£pcc5\
[i^,,,.;
1. — Ijiriir -J. Sur XttoXmî, riixirios , cf. peut-être n° G7281, 1. 2.
10 [eiïi TV avTOî' 'axpoLp.sivcti xai -w^oTJU^joeu^ejj'] ;<ai vtto'j/S} £([j' trra]g-[j rajj?
[x^] Ta?
[-cra/îa^TTaTts tw}» £7rj^7/TÔfX£j'6.>î' w/îOitg]?!^'?' 'nyo[(c]{T6'a£ aoxvav xai a«a[T|a-
yj'GTTH'j,
\xxi ^yjSccaws avTOv (nroXernsfrOai. OJTTOTaj' S[_e] ^VTOUjxsi'or (sîr) -aapa. rv^ mi^
levSoxip.vaeoi);, to-jzov 7Sixpev£y'Hsi\x> xii 'nT[a/3]a^wfTW sxtos a}'{[a']j'
[ilç, 7; [ô}']i'Oj([ci)?] £<[î) TV S-cfv o/yxv xajt TO -cTspj to'jtô £7r);jOT);jXcv[ai xir-
[wu]i'7re/5aiôjX£v[ô ^e rov yjjovô, snt tv] eus ocvo-Xaësiv tcc'jt[i]'\v [xô [t7;i'
eyyvi]v^, '
20 [);yovi'], fx£?'Ot;(Ta[j' trra/3 vu-vj', ax'j/soi'| £».'*? "^tt af î'( Jt/^v/sov -CTa)'Ta//rj
-w[/3]G2[£]/50fJl£l'(.
I
£)/}'] vwfx ai t[oi'] -W/5[o]x/ <I>r;[otn' tJs] voairru.y.rci. e^ xai ofxoTa |
toj'
|
'ap.e II.
ivStx II
Tnj AvpyjXirjv lf7!x[xt\d AtioXXvtos, o?; , }'£vpyG aTTG t);î T xvaijî, yxipsiv -f-
Page I. — /.i/^ie 10. [npoo-]i/'(5'pïu[e/i'] est-Il une faute pour rspocrsSpsvetv, <|ui donne-
rail un sens meilleur? Le texte de ces actes est souvent d'une incorrection ijui
expliquerait une pareille erreur. — Ilaccr; tolis : cette faute se retrouve dans les douze
actes réunis ici.
Hcov
yj^vrrov voixirraxTX e^, >; iVJ'o[;(^6'ï] d:i[)/] T^t 3-ct« o/sx'U' xat to Tztspi toi^t[o]
avaÀaé'iîtî' Tai;-);!' ao-j ->;?' c}'5'[t;]-;;j', )/) [ou]v, fxej'ôfrar Trta/î vfx'x'i', xxypov eivai
TSpoxl £yyv(t)ixxi tov vrpoxj Xyvarw x-\xi\ o^xoax 7[o]v crïtor o/3XOJ' ^u's T^fpoxj
1X1] Zl^OXOi.
'AGE III.
l)jjCK II. — [,iip,r 8. Tetas : rf. 11" '.>7i;i(), 111, r., I. <), V, v., 1. .').'), et 11" G7 •.!;')
S, 1. S.
Li'l'w'i.'). \7:oA[v](i(pOeiti : la |)iaci' inaii(|iii- pour un tj- <!• plii> bas, p. III, .) I
18.
IZiO CATALOGUE DU MUSKE DU CAIRE.
[67328] 10 Tovio'j vj[&r] ]5t«T[o|9]a, Tsoiiizvw [aie) xyt ol-) prj£\^'j^),oixj TSsSia.']^ ^bepHO,
r7[yoi;]v, [fierÔTav] trrap vfjia'r, axvpov sivoli xoli OLv\i.rr'/yprjr -uioLv^roiyjj'j mpo-
^eprj^^
î; cî'v['^X^'^ '^"'J '^''+' S't^'^^' opxai «aj to znspi to-jto t:7r);/;>[Tj);(X£î"i> «nvîvrv. Kai
£TTepj
25 'vfjioA« [-f \voLV^V7js \))irrxov'iTOb r^iaxj T^^poxj [cjj j •j'Oi'aai tov? -w^ox[£'« |fxt:i.')
S'"£rOa?;['TH' «< ror i;]toi' avrou T.ixji'Vj^a xat oixoaoi tov S^eior opxov v;
mpoxj
\vpv\Ai05 Aî'jo'jv^ts BoTTOv TSpoxj eyyvfjLiiLOLi TOV -apoxj
'4'"tJ'^a[j;'TM'] ;cat toj' via'r avTOV Wixrvpi (s;f ) xai vuLoaoï.
TGV ^\£iov o]/2xoi' ^'f TSpoxj -f-
Au/OJ/Ato? ^IouT);î H^aibv
TVV
7npox\i xciT^Oirhxvy sniywfjrjasOa vaiv. Va Ss oi ^"Jô oltïoXv^^Osii] , vafxvTvs
vn\sp\ t)\ixvi\ Tvv f^a^hxoL vo^icrfiarw eiriywarjaeOa :fc () olvtoî \volvv})s
aii\ pajjes I et II; celle erreur de disposilion persistera justni'à la pajje ,\II. —
Toi/To alterne dans le ms. avec toutou.
eyyvvv, vyovv, [xevovrrxv -aap vtxm>, xxvpov £ivxi xxi xvirryvpov ^xvTxyov tsçjO
l'vdi: IV. — l.i;riics i-j cl.scij. Le scnlic ii c'iii|)l()y(' le .sirijjulier, oiilili.iiit (|ii'll y avuit
(li'iix zaoïjxsvsi.
[.iljnc iS. ]LnpExeia csl une (|iiu!ilitalii)ii soiivciil (Ioiuk'O ;iii rijxirios : cf. if" Gyocii,
I. I h cl so(|.; (iyyc).') ,11,1. 1
.').
[07328]
^ ' n
l'AflF,
\/
V.
U(î/2£U£M' xai •J7r5/3}'£M' -cra'Ti rai; fhj^omccis y^pn^i; , xcti zyv -accpsi.ipvXdxj
yjp\)(TQ rofX((TfiaTa £^. Sut» 7r£/9ajôfx£î'ô ht tou yjiovo , sttj t^' £fi£
avaXaSsiv tcivtvv p-ov tvv syyvvv, vyovv, ixsvôrr'xv Tnctp vaw, axvpov
eivoii xai aviTyypov 'oxvza.yo -rspo^^spo^ievc) , v ei'yoy^vs en; tv ^îiv opxv
XXI TO TSSpi TOUTOV £7r);/9T>;W.£l'V XlV^'JW , XXI Î.T:z:pVT)]Os VfXoX} [yT
lilTOÛ VlKI
-^xïô
x-urjnpxinorrnô x^iOts^sic) eypx-ipx VTrcp xtô ypxixaxTX ixi) ctTo\TO?\.
Pj,;f; V. — lÀgnp 1. A partir d'ici, j'ai ivlal)li le le\te sans lenir roinple des lacunes
[67328]
'
1'a.,i: VI. ^
•f-
TnaTsioci <I>X( lovrrTiviavô tô nrr^o^OTOiTÔ xy.i vnspipvefTTOirô
TOiVTVv [xo'j TJ/J' eyyotn', vyovv, ixevovaav Tsap v^lw, OLXvpov eivai xai
•f-
XvpvMOi UoviTOi [sic) XrpvTos 7npox\ eyyvwfxai tô [sic) -ûtpoxj [^aïô
Ilct\Te^ôOô [sic)
ii voixio-aoLTOL e^ xai Ofxocroi' toj' <riOT opxov v> -apoxj. [<1>X^ (deoTexvoç 4^a]i'ô
I>AGi: VII.
,0 Aoji^ofX£i') omo T))i mffxspov v'J^spoci:, y-ris emi avros cTTîts? x//
xoxvvs XXI axxTayvoTTai<. Ottotxv r^s '0}TOvaivo> mxpx tv< n^v^ ev'hxj,
3o
\c,i; VII
tv'^tx!
P.MiK VU. — Liipic 8. Lire la-o-in^fo-j : cf. pM|;o Vlll, noio de l,i li;;ni' 7.
Liiriic :io. Ac'Jsxa est tout .'i l'ail illi>ilil('; mais la li[;iii' ,î o |irouV(' (|u"il laiit l- resli-
liii'r. (Vosl la sciili' OKContioii i|iu' nous [Hnssioiis iiIit à la i'('{;l(' ordiiiairo de ci's
sjjya», (lui vont nn tan\ (li> (1 noiiiismata par porsonno. — (io caractôrt' o\ceptioniu'l
tin cliinVc 1
•• est conliriiH' par le fait miMiic ipir Vx est ivpi'U' an bas île la pajjo,
avro T)/> T xv^yi X^PpoSj x,*'/?'/ OfxoXoya» ixo-jo-j'^s- koli auOa(^0£Trv? eTroptrvfxet'),
T&i' Tî ûxai'TOTipy.Topa, (.-)sov xx'. t)/v vikvv kxi fîtafxc/î')/}' tô fîcTTroTÔ vf^'i"'
Tov y^povov, £7z-t rw ïfxe avaAa&tv TauT)/v jxù tvv syyvijv, vyovv,
(xsvo'jfTav -û^ap vixw, xxvpov civai xxi xvKT-^vpov tsxv;x-/Jj'j TSpopspo^xev},
V SVVOy^VÎ £IV T6» S^ct^i OpXV XXI TO 'ÛISpl rovTOv £nypT)ifxev(v xivSvvcak
Kxi £iT£pwTi v!xoA} ]•
[ [ \vpvXioi ^hotSauiix\ f\ Kpixxgy {^sic) o rspxjisic)
Vm.k I.\.
I'aci; VIII. — Iaiiiw 3. Ovaivivioi : cl. Ir iii^iii iriioiiiiiic (j[>jl; , Wàiiln, <iiii se rciiconlro
dans la l'a; ar.ilx; de (ilicriouti' (.)/('»/. de la Miss. /ninr. un Qiiri' , loiiu' IV, |). A •.) 2 )
Liiriic 7. La comparaison avcr la iij;iic cS nionlre ([iie cv. siiriioin csl bien le nom du
lien d'oi'ijjino, commo je lavais suppost' au u" (i^ooi. On rulrouve ni plusieurs
d(!s Trro((iCi'£5 du n" li-ooi, '^srOy.ijat^ yiovcraiov IlarTTêT (plus liaul, p. III, I.
(j
)
Page IX. — Ligne .'). n;^;;^(Tos : nom île tottos dans P. fiOncI. IV (voir l'iiiilox). —
Ij'pir 1 1 .
Tou Xtëtxov -BopOpLiov : cf. le tottoî WopOynov de P. Lond. IV, i hio, goT),
dont la décanir ici cilée est peut-être une fraclion.
lÀgne iQ. Suppléer Kat aytas xvptaKrjs.
Ligne 3o. — Les lettres tols, après aKOvyas, ne sont ('videmmenl qu'une adilition
vicieuse au verhe, et non l'article. Cf. encore p. XI, I. ?> i
l'AI'VIUS BVZANTI.NS. U7
[07328]
l Aci; A.
£nei(p II X ,7 Iê // iVcÎjx/
(-)io:\ XXI Tj;r vixiiv xy.i rîtafxoD/j' tô Ssmcrnci y^wv <l>Àj Iôo'tm'Ô
T?;r eyyvny, vyovv, [Xivovrrxv rjsxp v[x.'jiv, xxvpov sivxt xxi xviTyjjf/Ov
Paoi: XI.
>0-
l/i8 CATALOGUE DU MUSI'R DU GAlliK.
[f,7328] "^1 <I>otê'afXfx<i)j'o[s] ^[ajtô, [).inpos ()x')itioi.s, TnrjsrrS} to a-) lô totto Att»
3o vov l'
lepvp.ias ïoixv€iov z^^pefrë II ixoLpTvpoci ti)
Vxr.E \1I.
enei^ il x II le II ivSixjj
(xsvov -f-
^\>otSx(x(i)v '^xiov rspcfiSj [lapT^pw t?/ £) {yvyj]
I'agk au. — f.ijriic i!-j. ïlcxp auTtjs 1 sc T);> (T>;s svSoxi^niTEOûs . MqIs précisciiicnl lu
67329. Procés-verbal (riiiu! amlienco lomic par l'avocat FI. Paulus en (|ua!ilé
(le (lelcnsor de la cité trAiilaiojJolis. — Luiijf. i ni. 35o mill., haut,
o m. .']oo iiiill. A|)lir()(litù.
Dalc : r)2()-53o, en lenaiil coniple du l'nil (|iic, d'.ipirs le 11° C725/1, Flavius l'aulus élail
(Icjaisor rhitalis en fiaf). comme me l"a l'ail reiiiai(]urr mon confrère, M. lieriiard Ilaus-
soiillicr.
L'oitjel (lu (lébal est im liansferl par voie adminislralive de yea'pyoî du village de
Tlimoiieclitlié, 011 TliMionaclillié, dans celui d'Apliroditô pour y culliver des parcelles
(le terres puljliipics. (ie transfert est désigné par le mol (isrâOea-ts (p. 1, 1. /i, 8, i5;
150 CATALOGUE DU MUSÉE DU CAIliE.
rg,32f)i [). II, I. 3). Il y en a plusieurs exemples pour r('po(|ue du U.iul-lùnplre; le plus
connu est celui de P. Loiid. Il, m" 3q2, p. iSf), di- l'un 2 1/1-2 if), où le texie
porte les mots rSv (i£TaTtOs[isvw évOdSs àm xvp.ris I5a«;^fa(5'oï dont l»; sens a ultï
(li'terminé par Kenyon. Notre papyrus prouve que celle pratiipie subsistait au milieu
(lu vi' si(''cle entre villaijcs avvTskowtes (1. 7 : eh sxaTspoiv >TvvTs'kovvT[a x'uîf^jjjr).
XV de Justinien, sur les attributions des (Jcfonsorcs. La defcimn civilatis était à cette
époque une liturgie Imposée à tour de rôle, pour deux ans, aux principaux babi-
Vxr.K I.
[
-wja'jvj [ . . . T]pnvs "t'[vr5jx/
Jî
a{lsLin[U] Paiili lilj l)oltii (?\ Arro(li[l( el Pcciisio] SiOnos ox . . lc| . . cl]
Filomiisô
P^iiE (. — ligne 1. Si la restitution est exacte (cf. p. Il, 1. ()), cette page est bien
réellement la première.
LiljHC a. Après Eiilnilii ['^), place pour sept lettres environ : mais cet espace paraît
j'énilif des noms propres est toujours laissé sous la forme grecque (11 = 011). — Ex
Afrodit(es vico). — Pccitsio est trop long pour la lacune (peut-(Hrey(7(^!o) a-t-il été
omis), mais a été restitué pourtant à cause du nom palronymi(pie Siùn (cL Index I,
lome I, «. )'. /.). — La terminaison du génitif grec est ici rendue par o. — Lire
fÀgnc 3. Lire et CoUnlbo ("') mais ce est certain. Ce Colbitbus est le KollovOos fiovOos
'* Mou confrère M. \l. Vm\ a on la ciimiilaisaiice ilc nous fiuiniir celle iiolire \w\\v le p.i])\r(is
n" l)7.3-29 : je n'avais pas i'eli'0iiv(i le texte riirre<]i<ia(l,int il.ins les pa|iiers de mkim IiIs. — li. M.
l'Al'VliliS lîVZAMIlNS. 151
[S^iixornav ano)p(x^)iv l'^'avrô to t-ÀÀo) «JpiwTaTÔ a^rA^amixol ei^ ivv [-nTfJj]- [G7329]
CL^a. \K(t}ii\vi ^)it.ov(x-/Ov ~ô OL-JTOV voixô. [K]at £iiei!}rj tj/î» u7roAoj7;[o]}' fi[ôj
^Xamovasvâ (sic),
I
]7r|0| . . ]i' . . Ton/ov t| ^'' ("0 '^'P''"
1Vu;e I. — f.tjjiir 1 1 . Cf. lin XeotTiô c7Tp/;iu n" G7987, IV, 1. /i.
^
— VuKiopos : corrii;é
SLIl' l^txTcopos.
lAljnc lâ. Aiitacopolt proh.iljli' : ri. p. II, I. 12, mais la jilatc marKiiic iioiir fl(i\it).
152 CATALOGUE DU MUSÉE DU CAIIIE.
p.iXT05 Jiixropos
Pagk II.
TOU TSXpOVTOi ^X'JIXS O'.XiiV XH'Î'JÎ'V a!T);TaJiT[o |> £TTl T^;; 'JlX£T£pXS ÛIXl-
apovpw yîvifrOxi xiio xvixv= h)ixov£yJ)ij ôj> tj/i' 'J[X£T£pxv xv[xitv \^po^nv?,
XXI XXTxO£\X£Vrj, QlX£l(x1 XlV^VVft) XXI SOpV Tî/s aUTÙ 'JTTOmX'T£VS , TXVTX
£lT£V£yX£tV £TO'JS £XXTT'j'J TW S})tXO<nV Arjyrj,) 7);j [a |vT)/5 XVIXtJS \\3po\-
TJ/s TSxrri]? S^fx-XTix; <tvvt£X£ixs t);> auT);> xvixij^ , xxi *hoi€xix(iCx^vos to'j
rais ocvTÔ aiTV'y^'yi xxi touto tt;oi£1'70xi xxTXr]£^aix-vô tô (hi^OTiov A^jyô [xij
Pac;i: I. — ÎÀgnc ij. Q^ovaxOt] n pinil-èlre cLc oiililii'. En tout cas la lacune no pciil
(pii est ainsi (h'sijjné. Le dcfensor Flavius Paulus est en même temps scholtislinis :
cl'. P. Oxy., Vill, n" 1 I ().'), 1. -^ , où un cryo}.x'ntKOi est appeli! égidement >;....
sxaiSsva-ts. — UpoSsSijXvasvw : peut-être un peu lonjj pour la laciuie.
hmnc ,5. TpiXKTaTicov : plus bas (I. -), le mot est traduit par yvvrti. — Atvôvroi :
Tî/^ Ta^i'vs T/2a;£TîUT«}' xxt afxa TOts aAXots hiixomoi^i^sic') t)/? a'JTV» Jfa'fxj/?
Ta-jTj/v £(^£j'c5'X£M' r^ja T)/5 Ta$£&i> aj'sXXejTTVs TW Svixoa-iw Xoyv T);> auT);>
A^por^irv? (xiïo TJ/b -û^ap'jva-ijs t/skt;;; £7rji'£fij;CT£a)> «ai ai;T)/s eip oitoî' jcaj'w
rpXKT£VW TO'JS Sn^XOTlOVS ^OipTa,[s\ T);> IX'JTVS KVlXj KXl 10 a^J/fJLtOÎ' TSOiV-
TC')' -ûTo/.Àa;a>
xwjxvs A.(ppoSm!5 T^pos tî;î' 'Îo] (I\£igcx.v fxoi TpaxTaTJOvœ £jc [tj;]? Ta^£[a)d.
Dt'fons) •
b)]Av ysyovsv ev \mo\xvi]^a(n xcxi j/ xoLrxOicns X.tïoWwos t5 tsa-
povTOî 3-a['j[xa'Ti'x']TaT"5 Tnpvroxoixv^ôi^sic) xw^yjs A'2po5nj)5- £nx£p ovv
£7£pov £'kX£ni£\ry.i\, xv
"îspxyixaTi rspom£0)n\ai.] PsimanO[b]et per;i(lliit) defensj dj. -UxpaxxXco
T);i' ô'px^iv rw vnoixvyfxa^Twv £X^5oO})voli ^xoi -îrtpos a.(TipxX£iav
lv(^oO?;Taj
l'A(a; II. — Li<jiic i > . l'Iiivius l'aiiliis nous esl déjà coiiiui par le |);i|iyrus n" ()'y.>5''i,
oclolire i) 2;).
— Lono. o ui. :>();") mill. (mais le hord supi'ricur (\st culaïué), larjj.
Colonne I.
[07330]
Colonne II.
5
I
H^(]fxara'g'£T
[Ta|u/3U'0s e^TreXXeuT),
Kvpov ^ aiNp
\. . .
([ \
\x\()
v z k\ k
[^
TtfXf y_a,pTiwv xj ly -^
KaXkiviKO? \Xzi,ciVf>prj v ç
Va? KwoLiô Sj KaXXiviKÔ ^ w% )
Wavos
'hicj xj c L, io
Iw(Tr;<p(5 ^vixorTj xj a
E(/2);''>; } afxsTf ASpciccii IW/tjô ;c/ a
^lÔTj;? Wx'XiiOô V a xj ç
*VilX<, rj,)WV SIS 'loETW o\xotj xj (3 L, (\
Iwarvijs \'Xpi^iô
xj
xj
ç
a
L, i\
mais seulement des Lianes entre li'S enli'ées et les rlnlVies «pu conespondent à
chacune d'elles.
fjrnw 1
')
. XÀvo. KOfifjirjvnupiou.
l'AI'VliUS DVZANTINS. 155
Il V A xj l)/
Colonne III.
\
. . .
\
£li '["OS-VV ....[... J
JC,' l^ ^
[TJfxJ* TV/?[ta] .
.p.\ ]./ 7ilO L, (1/
I
. .
I
. < TV xyp 'Vocypivà ^1 ^ ^ 'V
sv «t-pfjtaTt £t[s\ llai'Os xj r]
^ zv-i'Acti xj a
^
yi^
Soxj y sii WxTOî xj a L,
TlfX) TVpiX X a îô
/; V IX xj KX L, 10
-€"
II xj .£ ;c,' Va V p II X \'^
Colonnr IV.
X KXTxë} V pV
( IvpoOio; ^01})
(^oLo.NNU III. — Liipic I h. Tttïp ai'ŒÀVf/otTOî (le second a a été oiil)li('') t>;s. . .
.(?) tok
SovKiKOU iirpxirioiijfjtov.
Limic t(). IjI' prcniici' ;[rou|)C di; cliillrtis se ratlai'lic peut-être à la première rolonne
V •'<5-27)-
(Tau/3i[î']o> Sofxsa-rixâj v e
^
.
67331. Débris (riino scolic sur \'lU(uh'. Six friinmenls fiiisiuil j»;iilii' (11111 coiUw.
— Anlinoé (?).
(iiirsivc (Iroilc.
Sur les six fragmcnis, dcin ni' porlml U peu près rien, ou m- c(uitii'nneiU (pie des
rapportent. Un troisième, le iTZi , est plus llsihle, mais je n'ai pu réussir à fidentilier.
I^es autres renferiiient un commenlaire sur (|uel(|U(^s vers du cliant H (/i 1 /i-/i -2 1
)
fpii devraient être fort éloiijnés les uns des autres, à moins (pie nous ayons ici sim-
plement des sculic.i non sur Vlliadc enti('i'e, mais sur des •morceain choisis".
.lai employc'' ici les mois rcrln et verso dans leur sens ordinaire, jiar allusion au c^Ai:
poli du papyrus cl à la direclion des (ihres; mais |',ii piiMu'' les textes en r('tal)lissanl
Fragment I. — llimlr. II, 'mA-Aqi. — I;oni;. o m. 0(j() niill., larj;. o m. otiS mil!.
VKUSO.
Ri'X/ro.
qciOaXoev £ix\iTt7rpvo-ix£i<ov
Fragment I. Recto. — />(/,'"'»' •'• Le \j. est illisible, (pionpiil reste une trace (r('ciitiire
SfiTTpiïcrai.
l'Al'VHUS BYZANTINS. 157
Il ^'jpOi f5');(0{o[ 1
. [C733P
oScc^
[
eKsxpoLCcvç y\
STISL p £|u||o[j'TO
Fragment II. — Iliade, ,\Vlll, A i •'-h'j-j. — Lon;]. o m. i 'i t». inill., Iai|;. o m. oGo inill.
lUiCTO.
. . . |av . . £iv
I
^1' ra (TO. yovvxTx zxa.pa\^KXAov'7x\
Fragment I. Recto. — l.ii;ne t i . Ev^ovto [iliilnl (juc euÇai'TO : mal.s le mol esl prestiuc
illisible.
Fragment II. Recto. — h'ipir .7. I.os ili'u\ points sont dans li- manuscrit ; de mrmc à
la lii;m' Ci.
l.iljiw G. Le mol (SsQ.anyiei'Oi est parlajjt'- L'iitrc les den.x lifjnes, parer ([uc la lui di;
la liiMio .")
rlail drjà descendue sur la suivante, séparée du reste par un Irait courbe
rois <2.ucr»T)7pcr(, ra'is yyvrL[.s, uai HOilvynzyiv , sli a èyisÎT^^ tci yùiveuôiievov , ») toti
aijXl'vOtS TVTTOIS.
vi:i!SO.
Notos trop cndomrnngées pour être rccoiistiUiées. Elles sont rchitivos aux vers A85-
5 00 environ.
Fragment III. — Long, o m. i8i mill., larg. o m. 070 niill. — Le bas de la page
est inlacl.
IIKCTO.
pwv Spa.y(j.\aTa
ayKah'hi [ (555)
HOLixa^i xctix. (5G3)
£(T7re[
Xivov I
('•7")
U) apKTTO^
e7rî;T/9£fxa[ (55q)
vyfJ.œ\ (57>i)
PVT(tov[t£5 ('^'71)
TaXoi.p\oirTl (5(i8)
15 aTaAa[ (5*' 7)
xoirpov t[ (57'^)
Fragment III. Verso. — fj)riie 1. Hestilulion d'aprrs Ijcsyi'lilos, .v. r. : ol ris àfja'XX^,-
Lignes 5-9 :
. .
.] o-yvTsO£vj[t]
cthsXZiô, TO KT);u.a xAvpo H^m'îIo a-vv ^iKctioi? -axai xat ras aAXa? ayjov
apovpa\5\
f]i[(x\x£[i^\e[v(X5] £v xhjpj l^sfxTTXVjos xai Trrai'TOc roc mp'jrroSct rovTœv Stoi-
xvncLiQai
>]lKCL\,W? TSap ÊfXÔ Xai Ct.VCLki\r7\K£t.V Tin' . . .
Lignes 12-99 :
aXlXTIX(ppOVVTfx'lS. KotJ eiTzlrh) TnpO oXtyOV TGV '/_pOVOV TOV TTtpoxj XTI^lXaTOS
snopOvOv xoi.1 CLTïtkvOv £v noiipw rns aTZVom,a.-i xai rx^jyOvptoi.'S , oyx s^vvtj
,5 (?>;[''! yn:rJ[[i\£tvan. to ^apos t)/; avjov pyicts , ra rh)fxoa-(ot., xcct Tin' (ppor-iSa
y£p[a.^iOTvrvv xai aSvt>(X'7Ti\av'\ .... evo . a-ij ex . eis rh sfx f-'? (xaWov
o-vfxpspov STriXs^aï (ijxavoi avSpSî su to avayxiiov x<, sv^rsênv spyov
20 xcLTX TJ/i' Svvaixtv T>/? y£y£vyjix£v)]s fxoi -a^pa tov -tnpoxj ixaxapiuirazov [xov
y[i]ov ù^iocrxgpô xcti AnoXXfxiv to\%' avTÔ aS]£X<pov xoli tovto aTta^iwa-a. i-JTOVi
"lies qTj-qt :
£iîtu'j;0>;[(Tlaî' £v 0£ou (s/c) ^£Xovto? xai exTiiOiirroLV x'xi £(ivT£\jrrct.v tow Tnpoxj
Llirnr i3. Le sujet esl an génilil : lire to z!poH{^£tfjisvov) Kj^ifit; di' nirim' à i;i ligne q().
Lifl>ie in. 1,0 rt^gime est nu nominiilil : lire txavovs avSpii. — EvosSoi' : douteux,
Date :
ivijiio du Jusliiiicn (ie nom iippaiall dans la roniiulo du surmenl).
Lijjncs y-i 3 :
liijjiics i-.'i :
L l?".'^
x^ TÔ z^vpyô, xavov[o5 . . .
\
roajTfx.|aTia rpix ûrxpa. xaparia. e^ y^p^y) .
67337. Fragment d'une lettre (?); écriliire à pou piès cnlicrcmenl oflacée.
Ecrilure de Dioscore.
qui seniblonl faire une allusion à Anti'e, lii'ros (•ponynie d'Anlaiopolis. Je citerai
encore ces deux vers qui semblent mentionner le couvent de Saint Senoutliios
(d'Atripe) et celui d'Apa Sabouêrios, d'Apbrodilô (?) (cf. n" (i^oo-j, 111, 1. v.o, et
n" G7080, I. G) :
Écriture de Dioscore.
yaf/.eT77 . . çvT
zsenwvio
Liipies 1-3. Ao(70s) v)^(l(aTù)v^ «ai (TT»7/i(aT&'i') um (=«) ^X^' • • A|)rès yaiiSTi], traces
indistinctes d'un mot de deux lettres (pii semble suivi d'une barre d'alu-évialion ;
Lignes 6-18. Le chilTre est effacé. Les lils sont comptés par livres, et classés par
l'Al'\i!US BYZANTINS. 10;i
1 07331» 1
:\
1 .1
18 xpoxj X ç
67340, Fragments d'un contrat de mariage; la paiiio conservée est assez lonffiie,
mais le rouleau de papyrus a été la proie des insectes qui y ont ouvert
(le vastes lacunes. Les lig-iies d'écriture étant très espacées au recto,
lUXTO.
Ce coulriit olfre ceci di; particulier, ([ue la fciume est veuve ou divorcée, et a déjà un
lils dont le sort est ici réglé. Ia'S noms |)ronres ont été soigneusement effacés;
toutefois, comme ds sont souvent répétés, j'ai pu reconslilucr avec certitude ; AxuX-
Itvos et Et/7rp£7î-£ia.
Cursive ronde.
Lignes /1-7 :
Lignes \ li - U) :
snap'/jia x[ai |
t:[i' AXi^xvSpaioc . . .
rpeis [ . . .
Lignes /10-A7 :
10 -apenov SiaTvp(x[^aTfJai . . .
Lignes 5/1-Go :
Go xai a7roT/5£<p£([v
Lignes (ÎB-yg :
Liljnr f)j. Le nom propre n été elTiicé ilélil)érénient. — L'nrtirlc tiji', (|ii'on altcndrjiit
VIÎRSO.
IJroiiillou d'une doiuilion i7ttcr vivos. Des relouclies oril été iijoiiléos outre les lipiies
.")-
Lijjncs 1 /i :
£^ ITOV
£)(_£iv ara to (xvto Tpnov iJ-[£]p05 tnavicL to. xiXTaX£i'pOva\o^£voi\ v[vr| £wou
waj'Ta Ta | -ûrJ/payfxaTa ïr^iœTixa t£ kcci jorixa, £~i txyv xai toi. 7fj[£pi\
SWOVTX £{> £IX£ a<p OlOV SvT^OT£ SlXOLlOV HCCl VOlJ.ip.OV mXoV £V
K7I orrai liot vii7.(j-/J}(Tiv, [ii] en [ivit^ijv shvv aprtwi a^Osvra STriTi^ );''<ï'
Sui'Vi^Vai vrai
Hauuao-TJ/!' fXï/Tî: tov? |«AJ)/[/5oJi'oaov.- a'JT);> a!iTjê'( . . . .) ufJiM'
TTWTroTi; aA/5
V XAtipoi'o^ois vfxw:' ?; ûicx.ào)(_oii v <hoi.xaro)(^oi5 TS£pi tivos
70 Tvi'oAojî'l elc. .
Lignes aA-Zii) :
Ih'txx p D(/9 TauTj;»' t'^ ajmo'jï fjt.îrarS'efVipta ya^ovs , ovs xcci £V\iap(j}5
[tj; «îrjipea] devnieni avoii' été ajoiilé-s dans la lacune (lui s'clend encore au-(!i'ssus de
Liffim 10. Ijiri! en jsvovs. Toutefois on distinjjuerail plulôl les traces de deux lettres
enin" le x (.'l le r.
35 [ "I
Inprt? sxajrjv xoli
I"
] ;?,' apyvpoyv
{.'.'.'.'.'.'.'.'.'.'.'.'.''.'.
I-
r xx\i TvxaAicc Svj , xy.1
/iT) viov TOV Tvs a/9t(TTr;? fxî'>;fx.vî AvavOov, aipsvSrx^s tv ^.vtv opxv
oixovfxai w? -Tsapsrr/j^iivv s^ l'^taiv aô virypy^ovTWv a-ZTy. tiiv tovtov
Ici le IcNlfi devient hop rr;i};mciilaire pour ôlre rrsiitiic. Renianpier seiili'inciU il. Go) le mot toiî
Fiignes (i i-GTi :
z:ip(iyix\aTa. 1
• ''3t vaiv ixovoi? toi? znpoovoixoi.'jOei
Lignes 72-80 :
Lii\ne h ; . Kio-Tatpjor ?
Ligne hh. L'e (doiileux) semble corrigé sur un a; il faiil évuleninieiil lire {xaxapiai.
Ligne -jf)'-. Tot^TOu tov tpo-nou : le papyrus est endommagé au milieu du mot tov.
Peut-être l'était-il déjà ([uaud fut écrit cet acte, ce i|ui expliipu'rail la coupure du mot.
l'Al'VULS IJVZAiNTLNS. 107
VTCii Tr^po^epia-as aTi-or^fXî/Ôj/i'at opiaaTa, xai t;/ c-j} aT,6i uou |(w3/in]
fijaî' icxi xpyipiScc ?;to( rpmyvivoT ev , xoli (jxpiviov ya.\xo\)v yvvaixiov iv,
xai -ô^'jp-) irDiov ij-a, xxi xx\x-nTpxv [liolv, waii avjyfv t)/»' sipv^J-^vvv
So tLov ^'j^ XTSpa '^o<2:ixv Txv-a eyjiv xxi xci.Tiyj.iv 7Spo[Lepta[i.ov
l,ij;ncs ()o-,|- :
xxi ovx c^vv (sic) (xoi (XiTaasXsiaOai >/ aÀÀo n -zsoniaai. KvTivOsv yap yjS^
i/o eùwpJirrxixiiv vaiv S'P onov 'rz>s.pA'j\)qa. xxi ixiTX Q-xvarov £fx.Oî' -axvrx
TX ovTX (xoi yovixx -ûfpa-) axja xxi \xxTx\Aei(p07)fTO(i£va cv [tIc ypvaw xxi
cLpyy[fM\
\>ixi i\ax7ifTav xxtyjxy.x\vjxx(Ti\xxi rr^pu^txxai xxujixçixii xxi y/j.'ip-iiiLXfTi . . . .
I..I Mille ilii |i.'i|i\rns III' |in's(Mili' plus do sons suivi: on renuir(|iic seiilcjiicnl \m pass.-i^c sur ccrliiiiics
licrsoinuw (les iiiniis muiI perdus) ovk e(^ tgpsi x/ri y).>.or(iiwOevTCLiy (I. i kî-i i4 ?) cl h ri.nisc
Lifjlli's I
•! 1-1 1! 'j
:
y^pvrrov m[tpxv\ (xt\xv\, (xstx xxi to-j a[uTO)' xx\ovix, y.£.7x t)/>' t?;s
67341. Trois feuillets d'un livre de comptes, de iikmiic nature (?) el do même
écriture que le n" 6732 b. — Lon<>;. o m. 2()8 mill. , larjj. o m. 18b mill.
L'un (les fciiillcls porto au verso les vesliges d'un conlral, où se distingue encore le
nom lie lieu <I>a!po5Tos. Un nuire, nu verso également, porte en première ligne
. . .
If/OyevOf £(>[...
Cursive droite.
rofitTfJiaTtwj' £|j;;f[ot'Ta |
Il i'csIl- les Irii'jnieiits, tivs iiuilllés, do six rciiiilcls. Tiouvrs emmêles et clilHoniiés, ces
l'ol. 1. iircTo.
.
A(ppoS}
Aj eaô 'riixoOeov
\ypoi.ixa<i T);> xv(xiiî sypoL^j) ix\sfTop xij jjvîncTtorOs sxtv^
........J.....' ^
^
] x[a]v[o]v[ciJ< £«1x1707' r^£xx o^ [?/a|{i7v
10
I
vol'jXo xj îXXTsrmii x<, iixoqriï
Li[jnes 1 y-'! 1 :
VlillSO.
Lignes 1-5 :
.")
'JK£p aapxyiL£vj tottô njcîÀ)/> |
. .
Lignes i -3 :
'f-
ïlpos a-nixnvai^^ extplopwv . . .
TTipos t);î' s [. . .
£xrv\i iv^ixj . . .
Plusieurs fois (iaiis relie p;ige, on lit les mois /.sv^ii'();s) xo).{oSct).
Le-i autres feiiillels ne conlicnnent rien (l'utilis:il)]e. Je relève seulemenl, sur le folio 3, rcclo.
67348. Fragment d'une requête au duc de Thébaïde (?). Quelques mots à [)oini'
Noter, à la ligne i 3 , le mot rv ay.v'ji'to"r[v Qsv, i[ui njoiite un e\emple di" plus h la
67349. Fragment d'une lettre (?). — Lon*]-. o m. i 55 mill., laip-. o m. -^ô i m III.
— Apbroditô(?).
67350 rt. Fragment d'un contrat. Vente, à un monastère, du mvixa appelé ITau-
l'jcrilure de Dioscore.
Cdldiiiir l.
TnoniOsirjo.i
Mecro'j ac/pi^rjoy
l'AI'VUL'S l'.VZAMIiNS. 171
5 -zxrofVTafxei'af [(>7350<i]
'njo[t]?;c7af/.£!'aj
Il) •wo{);6'j;TOfjLci'j . .
(iOi,ONNE [. — hjiiii' i). Iloo/o-af^sras : la il('sincnct' csl (louleusc. Ici, comme au n"!')^'.! y 5,
il est impossible de savoir (jiiel iiiodMi' on suivail au vi" siècle pour l'enseigncmeni
(les parlicipes. Un peu plus bas ou trouve le paradiijme du parlicipe pressent passif:
Botouixevov, -£vu', -evoL. Celle dernière forme esl la seule certaine, et pourtant le
i\Ièmc écriture.
(iursive droile.
(ie |)apyrus est probableinenl un fra(jiiii'nl du n" C)']i']i\, bien (jiie la couleur du
pajiyrus dillère, ce ipii peut s'expliipier par la dill'ércnci; des lieux de trouvaille. Les
écritures du reclo et du verso sont les mêmes dans les deux papyrus. Cf. n" (lya yf).
m
Eoiv aeTzoniKijTov
aA .
sy.v -asTionjxijTe
172 CATALOGUE DU MUSI^:?. DU r.Air.K.
eav •won;T[
10 eav wo»7[
Antino(' (?).
iu:CTO.
Ligne l\ :
Les mots ^ovSszovSs, ajoutés an-di'ssus de la ll[;ne, représenlenl 1rs noms du plaijjnanl
et de son père.
Ligne 6 :
Lignes ()- 1 1 :
OOiv TSa.paxqc'Xv [
— |
La suite elT.icéi^.
VKUSO.
anoM T>/? CLteriOLs £^ëohj5 rov vop.ô Eofjio[7ro] t);> suy^ TSaTpi'][oî, 07r]iw svpv
(.! Iliûodorel, a-no Sovhm', csI pciil-ôliv un noiivcaii ])('rsoiniii{;c! à iijoiili'i' à la liste
fÇaiTCi' \^s\ KCCl TÔTO, [tJo Xp(XT\ o]> Ufi^'V C-cO-TH^ai (.v/f fiOJ T)^' (t[
) ]
>
)
TSxi'Vy [r\oy rJ?/u[ûT]<ô airo-j tî/î ajo-ja? iixëohf; tov voiiô E^j:xo7r[o]
T7/S cixvs znaTpir>[oî oTiJci? tV/5w aéra t^'J' ^fx'^ij' rsxvwv
,
toi?
|tj/i'| T0iavT7t\v T£yj>\-)iv sy/jipovfJLevoii snixotywvsiv xài
'•>
I 1
• T^'Z To aC^ixvovasvov iiirrÛov tov tolv-vv-s xov\ . .1
'.)
W ^^-"''-«-''îa>,o);TO!'(.s(c') f5ov«/ m ~uv poiSSov cis Ta Vw^avo.
Ensuite, écrite en sens inverse, une nouvelle plirasc ([ui devait faire partie de la reciuôle.
|)a|)yrus a pris |iros(|ue partout une leinlc foncée (|ui le rend diiru'ile-
Ecriture de Dioscore (au verso), mais plus cursive (pie ilans ses autres productions.
vicnso.
A. Acte d'd-!TOHr{pv^ii, assez analogue à celui (pi'oii lil au dos du n" G^ofjy.
1' Wy.Tt'Xciy.s xxi vTraretas tov S-ç:t[oTaTô] )/|!z[&)]v SecnroTÔ <l>'Xayïov iova-Tiv\ov]
TOV xivviô avyoy\_fTT\b avT ox\fj\cLTOp05 ctovs WîfXTiTO'j , aOvpj sxx[ai\
SsXOLTV TpiTIlS IVihx! Kl' [Ai'TM'JoOU 'lSoXsI TI} AafiTT/SOTaT)/.
174 CATAMXUJK DU MUSKE DU CAII'.H.
VOL? (ppe\voL?\
5 xoLi ()iixvoi\(x\i: , opOv xai axpiSeï AoyiTixv , (hyjx, mavTO? SoXà xxi (po€5 xoli
xoLi avayxi]s xai cnzaivs , £V 'hj^x-oaiv xoti zipoLxnxv jonw. Kaf touto ']ia-
7r£fji[7ro]a[aj]
TOis TSa.i: pgXwois [lô mois svs oi'Ofx[ajTOs xai ixovoy , ^Vl-^i 'h; ^lorymoi. xai
xoci fxsyaipoi r.15 ex TneipoLS irr/ov xi]v aTTrA] a)']j(voi' vfX'U)}' TSOLjpoxTOL'jiaLv xoli
iT. tXOlpXI' TOU Uf/r.'!' aXAlipOV, XOLI OVX £^VJ' £7{ •J,U.n' ~0'J AOmO'J Ol'OrXOLrr^OLl fJliJ
&'s TSaTspx, qiov xaj/.' i^uaî aTrera^afX)/»' xa.i sëSeXa^OLix^tv oltïo jn\v vvv\
XOLI cTTj Tor a£{ c^î/f qLiroLVT\oL 'nTa]v[T]£X); ypovov vi anoëoXt^aiovî x^^oli voOo\)<
|
xat HovXoy^eipovoLi . . .
Vmiso. — Li(pic 0. Atjyioaiv xri apxHTiKv tott'.) : cf. n" i\-J\l^^, I. :>()-.) i.
Liipic I i. llaTpoxTûtcTia : mol nouveau; mais on connaît (l(''jà arSpoxTxcnct. — V.k Tsetpy.s
[iîjfJLOi; ScpiOVTOS Te ); XCtl ^rVtlTKOVfO^ , '^AOL 70 i^fjl OpÙVi KOLl r]lXlx[lWs\ [07353]
SèSoy^OoLi. Kaj a^opxiKv irvarTa xfATvv >coi.i rîtxaTT)/)' xoti -maT'ra [S-/>oj'oj'|
•if) . . . 70TÏ0V. E^opKi'Cv r]£ (Xfxa XXI t\o\v S)!iJ.O(Tiov [o" |x//j6a (
.s)V) xqii Ixjafou-
À|aojC/v|
xoLTOi. 70V (-)èo'j Tnpo a(xv7vv xoii T};|s S^ctas xat ovpavias 7V'^i]i 7vv\
\oi\xo\j[j.cvixvv iiaw r>£m707vv xoci ^(Xo-iXeMv <l>Aavi'wî» lo[f7T»rô|
[TJa'j' fxeXXoi'TW?' Ta ïTa tûvtoj^" 70ii aa-eSecri SiompoL^CLoOai. K^pW yap [xa]
[rla TGV S-£:(Oî' V011.0V toi/? fiavTau' j'OJ't:»? axpvs Tifiav. Towai'Tta')' (.s/t) rje
3r) 3-£(Tfxoî' ;£ai tovto t:^£Ta^a fjitTa tou -u^poxetfxevov <^aÀx| t^liojv t)/ £fji7/
|(îj{a0);;o; xat £is î^^j/tm' ôtoîj'T'vv xvfAOiv oyrrav xai ^e€ai\a^v ['zrr^ai'Ta;i(o[u
\'apop£poa£vvv . . .
Aprrs iiii l;irjj(! (.'spacr laissé bliiiic, iJiosion; avait ûciit à la Miilu nliisK'iii's pi'lils
poriiics, aiijniinriiiii |)rcs(|iic ('nliiTonicnl illisil)l(.'s, l'i'iici'o lù'laril jjiièrc jilus loiici'e
I!.
-I'
'l'ivai OLP |it7rv Ào) ou> AyjXXivs . . .
n
(;. 1' 'Wva-; av emif À [
A;i;;^tÀÀ£U5| (
un Maiic) -aapaxa}.vv tî;j' (-)£tjj' svoti/.ov
Veiiso. — Iai>ii<' 'jf>. 'YaËovXapiov est assez jirolialilc, i|U(iii[ii(' les Icllros solcnl Pii-
(loiiiinagées.
Lif^iic uO. AriyieKStxoî : mol nouviîan. il s'ajjil di' WxStxos ou tlr/cimor cwitatis.
L'irtw u8. Lire <l>Àai/(oi/. De nirnic (inc tous les empereurs jjardeiil le nom de l'iaviiis,
(II, I. 10) montrent que les ('lablissements religieux n'ont pas éli' à l'aliri des vio-
lences du t' tyran" dont se plaignent les signataires. La parenté avec le n" (î'yaS;>
est donc évidente. On pourrait même croire ipie les fragments nouveaux représentent,
en partie, le côté perdu de la page I de ce dernier texte. L'écriture est la même, le
sujet est analogue. Comme là-bas, le bas du papvrus est resté vide, la reipièle étant
trop courte pour couvrir la pag'' jusipi'au l)oul. Kniin. le texte occupait i- lignes
(au moins) comme l'autre; le n" (lyjSo n"a ipie 1 (i li;;iies conservées, mais on u vu
plus liaut (|u'une dix-seplième, plus courte, a forcément existé.
Cette hypothèse vraisemblable ne peut se vérilier : car la lacune, en ce cas, serait 1res
considérable entre les nouveaii.v et les anciens fragments, et il est impossible de
reconstituer le sens. Les quohpies mots (pii suggèrent un raccon! ne si' trouvent pas
situés à la ligne qu'ils devraienl occiiprr. Ainsi on lil Mir \r fraifuieiit II :
1. 2 : TZCL^yxpyixt}' £^rj'jTLa\>
Les mois Tt;s aamaOlien ii^a'v xvixns se comprendraient mieux s'ils étaient placés en
Une autre objection est que le même fraj;ment porte di-jà des signatures, superposées
en colonne aussitôt après le dernier mol de la ligne 1
- :
II/3axˣ'j>
Ivavj'j/s
KoÀAouôos
<l>ojé'afx/jL(W)'
La présence de ces signatures est l'aile pour suiqirendre, si \raiiiienl le n" (i-,'!5/i doit
êtr(^ aiinexi' au n" G^aSS, (pu porte dé-jà ses slijnaluies, el sous une loriiie très
difl'érente.
(Jiioi qu'il en soit, il semble certain que si le n" GjSâ/i ne se rallarhe pas au n" (ly.î.S,')
l'Al'Vr.LS lîVZAMI.NS. 177
il est du inoiits rcliilif ;i i;i même yll'iiire. I,n conjcclurc ciioncéc plus liant (p. 17) [07354]
au sujet (le 1,1 (lato se trouve par là coiilirmée : le pajjaniue ilénoncé est bien Julien
et non Menas, [.e nom de Julien se retrouve deux fois, dont l'une (fra{;ni. Il, 1. 1
5)
sous cette forme : . . .tou woi']);poi/ Ti;pa[i']fô IoyX[ja]rô t[ôJ vpopiiOeinlos . . .
insecics les ont découpés irrégulièrement, mais d'une manière absolument idenlinue.
Tasi'iipti.
. . .
]
cireXdoTOLî jw ) pCL^\jj.a.iv^opw . . .
Cursive penchée. — I5risé en longueur et en largeur. Aux deux dernières lignes on lit :
. . .
I"
<l)Aauios na7ri'&v[0ics]
67358.
J'iii réuni sous ce numéro les débris minuscules d'un papyius dont il n'v a rien à tirer.
Protocole :
Foi,. I.
ou i_>ja
ja *'"
ijô l£ £T yC
Aoyo) vavTixj xapaS<A.n> } >]nipp' a.xjxj'^' f Spp xj^ OaA^~ (Idanc) r^v" 1'^ i t ''5
xuifx Xppo vav''^ vv" tt:^ -j xcù~.\''~'^ v°x yij v" v^.
PAPYRUS lîVZAISTINS. 17'J
-ei'ov nsTOCiv
180 CATALOGUE DU MUSEE DU CAIRE.
„ ri n— r^ T ^-
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[67359]
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l'Al'Vl'.US UVZA.MINS. 181
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I (X'jpn'O'j <l>JAo
Ovvj^ppiov laxwS
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182 CATALOGUE DU MUSÉE DU CAIRE.
[67359] EttoihI A") lov Il[i]vwTiw }f^ Movo-aC na^>;u aTro^ av^ v"f^/
v"^ [)'»/
j'"J^[,/
rau^^a v"çL^y'
l'APVRUS BYZANTINS. 183
£7r&tx.' \loi(J.vv li^ MctpKJ XOoLy" ano Kfx*^'' atT /[> t ^[Trojtxy Uoià v~a
v"y v"aL, ) ij v"SL,
eTTOixj [A]} lov llu'ou j;"^ AracrT ilfî'ou aTrr/ ci'J^ iizoïxl v~a.
Aoyv voLV xapp ) àivp (xxjxj ùpp xj <raA rau yd V X.^Ç OLizap xolA
Fol. VI. Recto. — Ligne 5. ACwi-a Awa Mest; avons-nous ici la Iranscriplion en lellres
N"' 0/ OoO. In sci'oiid L'X('iii[il;iiii' du iiilmiio zsuùaTi-jiii est public ;iu a" (iy.îSo. Uosliluor d après lui :
G7():)7, I, (j , pt ()7I).)<S. ^KCf-sod. I^o mol. WicjUsktoi u'csI ([ue hi liMiisci-iplioii du hiliu Bis elerli.
l II jialaiiioii do ce nom est connu eu Afrirpic jiar niu' iiisciiplion : cl. iî. (1,u;%at,
G70,)t), III, G, cl \\. Il), Ta' Tiri , huih' du scriLo pourra) Sjii'i.
()7rJG, I. GG. Lire ; '^clrohïl'iixw. Ce halaillon, ré>idaul en ell'et à (]on>lanllnople, esl rilé
G; Ijy , 1. 1 (I. /,()•( ; ivx'iÇ'ii'o'/y ^ au lieu de : 7i'î/^ipiS(p)(i;^«.) , (juoiipie le /, mal roniié, ressemble
plulùl à un yj celle correclion, <jue me communique M. II. I. Bell, esl cerliliée i)ar
G71.)0. In aulrc papyrus, (|iii sera publié sous le n" G-j32f), permet de restituer les cliillVes
perdus ou eudoninia;;és :
Li'irne tu h n. f'H-
Ijijnie •')'.
|— a d iÇ.
Ligne ^. [b ^ (l'J.
G7 IGS. 1. ,S.'). L.i lei'Iure 'l'f'i'vi' i;oû)v me .M'iiibb' ;i présciil certaine, d'aprî's celle assertion duii
lexiiiuc ancien, cilé dans I'auia-Wissowa, Real l'inei/cL, I, p. i388 : Tpii- oOto «a-
/-zÎTii èv AÀsJco'Sfjîi'a ri 'Ypii, à «ai irpcoTiCTTa t>;î ssàXeôns èariy ùv tô (lév ècniv \<ppo-
hiTij;, To 5; ll^ai(TTi;v , ifiirov hi Wiivëxarivs. Il s"aj[il donc de trois temples.
G7 IG!), I. h'A. Lire : w; ir\ hij'iorjiy ïp[;^;](v ; e{. I'. Mon. i i , 1. Go.
6717',). rir/()(A), I. ~. Lire : y\^p\iGÔi y_()\laèr^^ éii-ipTi-Tî Hïl ïp-jViioi ip-^yaov -itlipsv (eL n" f)~i'i \^
I. ;>/i). Toulelois, il reste, avant ëjxoipTirs, les traces de doux lettres qui ne coiivieii-
G7 18'i , rerti) (li). Lire : en acrosliclie \vp\ofUrx) ae/.si'Ti3p[i]-.). La reslilulion du vers i fi n'est donc
|)as exacte.
G7"2 l'i , 1. 3. Lire : sis Toîtw ro ( -=t'j) kopuri, ainsi que me le signale M. II. I. Hell; cf. u° 67287,
IV, 10.
Ces /lft;)i;.v;)4 i:t ConninEMit auraient sans doulc élé complétés pendant l'impression de ce troisième vo-
I. NOMS DE PEIISONNES.
këS-£}.-oO}.tz 67359, I. AOa.voi'jios père de Jean 67359, III, r., •>..
AÇpaa'u yvaÇsvi 67288, \ . :ni. kOoLvaTiOi Motxapiou 67359, IV, v., i3.
Aèpaa'fi Za.yjxpîo\j 67359, IV, ;•., G. Axa«i05 père de Jenn 67309, '1.
Àëpa'xyi n!?);«i'ou 67288, IV, i (] .\«. .TOî 67325, II, V., 21.
Aëp^xfjLioî Aa.-/_ai'OTTv}.)js 67325, II, '. , 'i ÀXsçai'Jpo» père de (lidliiiicpie 67330, U, 8.
AëpaiLatos sraKTJuvoTTOiôs G733Q , II, ifj. AuaiV A^poLïntou 67283, III, G.
67298, 1 ; ''o; 33; 38; ia; /17; 5i; 55; Ayi\ivvtrjs y^putjonoios 67341, ~\ — 67344, l">.
A£paâ.[iioi père d'ApoUùs 67301, 8; .')5. Avaviii père de Victor 67359, V, v., 8.
Afc'paa'fiiOs pèic (lo Jcri'iriiiis 67327, iS. .Vrar/aî a>jXo(5'eo:; (.'îic) 67359, II, '•. , 5.
AJp(2ii>- CTTcaTrJTi.îs 67287, II. 1 ; 11» IV, 28; ÀvoC^pii 67325, \ll, r.. i/i.
kvovipis (Aùp.) BÔTTou 67328, IH, 0; 27; 3.'i. AroA/.iîî vTvoSiKTv? 67347, I, ''. , 2; 18.
kvovÇiis (AJp. ) Épf/otouiiTOs krpsolTOv 67328, AttoXàvs xf^Ansvi 67288, \', 1 '1.
ÀroCi^is Oag/f/oy 67288, IV, q5. kizo'/j.'/'i père de Diosrnre 67303 , <) : — 67322,
Ài'oi;<p<»- ^^evôajjo-i'ou 67296, 3; 1 5 ;
iG. r., I :
— 67325,111, r. . 2; .
".
; IV, r. , 1 ; /i ;
kvtiiïoi lii'ros éponymc d'Antaioupoiis 67338, S; VII, r., 1; 3; â; VIII, r.. 8: 2'!.
1
ÀTToXXai; père d'Iosèpliis 67283, II. i(i.
\wrjivio? père d'Asgcnnè 67359, II, v., 3. ÀttoXX'A- père d'Isakios 67328, II, 3.
kvTvvto? HXfo-a-oti'ou 67359, III, '. , i3. ÀttoàX'J,- père (['(Juikldr [sir) 67206, 2 1.
kiraTiTp père de Jean 67359, II, r., ,'). ÀttoXX^A- frère de l'ésas 67288, III, 11.
Àtj-oXXô) père d'Abraam 67359, IV, v., 1 1. ÀttoXXojs père de Pi.ûlos 67283, II, 21.
ATroXXôi père d'Agénios 67359, H, v., 1. ATToXXctS? père de Promaouôs 67283, H. 19.
k-KoWa (a-Tra) Ku'pou 67359, III, v., 12. AttoàX'Jj père de Sénoulliès 67283, H, 20;
ÂttoXXcD père de Pakluiniios 67359, V, v., 2. ÀttoXXv; këpaoLijLtou 67301, 8; 3r); — 67335,
ÀttoXXwi' 67140, 1
7 — 67322, <).
9
o.
—
:
AtoaKopov). r., 1 ; 7 :
— 67327, 1 ;
7 ; 1 '1
; 2 2 ; 3 1
;
ÀttoXX&W 67279, — 2 ; 67286, 1 — 2 ; 67288, Apollos liliiis DioscorOLi 67329, II, 3; i3: —
III, 2o;IV,37; — 67289, 18; — 67296, 2. 67332, /i; i3.
AtToXXiiÎs 0770 ptTT'Xpl'JL'V 67325, IV, /., 3l. Attoaaoôs Epf/aoi/c?T05 67288, II, 3 g.
ÀttoXX^v, /3o.;^Ô5 67287, II, 5; — 67330, II, k-jTOAA'Js Èp(jii'ov 67328, V, 28; VII, 28; lA,
',
2/..
Àtj-oXXw '^aoucraou 67288, IV, (i. hsiHayiiv 67359, 111, r., H ; IV, r.. A.
Xiniipoî y\o\y ITT);pc>) 67325, Il , *'. . 17. MiiKtos le même ipie llt'ijxios 67325, Vil, v.,
\p,ii (le dieu) 673i5, •^'r. — 67316, r.. li. •20- VIII, î'., 22.
Ap);> |)crc (le I'mIc'iiiuii 67293, ^i~. l^tjpoûWa Ô7:rîw 87321, A, 8; 15, 2.
Apî'r xaOccpovpyoi 67288 , II, •' 1 . B);o-apiW 5rp'i)T0«a>/ii/T);s viis \io7Kopov 67140
XpX^éAaos Tspsaëinspos 67298, A A. 5; — 67333, 21.
A(7}£i'i')T AiTi'i'/ou 67359, II, /'., •'>. Vtii<7apîuv Moi/CTûti'oy 67306, 2; 17.
AaxXaV |)cre de l'iiodiaiiimùn 67284, T). Bf;(Tas escla\e 67313, GG.
ATxXi;77(aJ);s- [)èlC d llur:i[)olloii 67295, 1, 1; Wihioi père d'Ahraain 67330, II, i3.
Ajptjs père d'Apii Fonnis 67288, \'I, A; 2A. Hrjo'aovpovs npOf/awTOs 67140, G.
AiJpvXf'a à'f/a l'a;^i)X 67302, A; 17. 11, 12; — 67294, i(); — 67295, III, 8;
AJpi/Aios 67169'", 7; )•!; 17; 2A; 28; — — 67300, A; —67325, I, v., -.uy, II, r..
67296, 7 ; 1
y ;
— 67297, 7 ;
— 67300, A ; 7; II, V.. 1; 12; lA; m, r., ,':
5; 111,
kj; — 67301, 8; .'i') :'>-j; — 67302, A; V.. 2; 5; 10; IV, r., 2; G; 7; IV, v., G:
—
;
1 (i; A.>-'I A /, /,
11, V., 1 67327, B<'«Twp StxKoi'cs 67283, 1 , 1 •
15;
---, ', A8; —67328,
'i;); — —— , . ,^ ,
I, , 3; G; 21 , , ;,
2.1 ,
DÎKTvp xaOapovpyôs è72iS, 111, 3i.
Àxi>^).svi (le héros) 67315, a3; — 67316, r.. Bi'xTa.p TpiêoCios 67288, 111, 1
'1
BapiioXo/Ltûtros père de (ieor[;es 67359, 11,''. 1 2. B/xTi'p père (rAliraamios 67283, III. 12; —
—
,
B(XT4>p père de Jean 67359, V, r., (). B. .ai? 67287, IV, 20.
B/xTop père de Jézéchiel 67283, lll, l'i. Tsvsay.tof 67288, VI, A.
B/«Tc.p père de Lèonlia 67169 '''\ 20 3G: TsvvdSio? père de Jean (?) 67327, 1
G ; ()
7 Vsûpyioî à Xsyofjisvoi IVAOLaixix 67319, 1
7.
B/xTwp père de Phoibaiiiniôn 67284, <J. Vsvpyios père d'ÉnocIi 67359, VI, 2.
Bt'maip père de Psuis 67327, 20; — 67328, rsûpyios frère de Mélios 67169'"', 18; 28;
XI,,. 59.
Bi'xTvp frère de Psnnlhaêsis 67288, IV 02. Ts^j:>pyios père de Pnéi 67359, \'l. '1.
Br'xTijp Ètëàyos père de Jean 67328, •> 2 1 rsrjpytoi '^sintvouOîov 67283 ,11,23: —67359,
Bi'xTvp FjpyLaovvTOi 67328, IV, q ; 27. IV, r., ^h.
B/xTwp UpoLXAsi'ou 67288, V, 21. A[a(/]c»'o-(05 (') 'Tiaxoi'o; 67286, 1 .i : 19.
B/xT<i'p neVpoy 67359, lll, r. , 1 . AatuïiT Kw-jTai'TÎvov 67325, IV, r., Mi.
B/xTOjp ^sra^ovviov 67296, 1 i). AavîS père de /acliarii> 67359, V, v., 3.
B/xTiip Tc)vi'£ 67330, II, 28. AiO(ji>{Sij? aiAsmolpios 672S9, i'., 2 11.
B/xTwp 4^£rOa»73-ici; 67328, III, 10; 2G; 28; Ai6s père de Pbieib 67327, 1 '1.
BÔTTos père d'Anouphis 67328, III, 5; 27; Aiôcrxopob père d'ApolIus 67300, 20 ;
— 67301,
— 67335, 1. .")
;
— 67303 , 9 ;
— 67307, 3 : — 67308 , 1 ;
'• -67327, G;
' :
7 :
1 ; i 'i ; :>.!; .',
\ ; 38; Ep(/ac.i/ils ^o);<?ùs 67283, II, 2/1.
—
.
; : i) ; VIII, /. , S: >
'i; — 67332, Epiiaoucis père d'Enoch 67283, III, i5; —
Atoaxofos lio(Tx6pou 67285, i .
67328, .\, A; 2 G.
Aioa-xopos <dsoÇiX,,s 67279, i
.")
: 17: 2 '1
Eptzaouoi» père de Kallinikos 67283, ' 1.
III.
Aiôa-xopoî KolloîiOcv 67359, III, r. , (). Epudovvi père de Moi^e 67296, 7.
Atoc^xopoi (OX^) MeydXoij 67283, III, 7. V.piiaovvi père de Palos 67288, II, 3 G; —
AiicTxopos *"j(/ara)g£T 67283 , 1 ; — 67319, r.; 67303, 8; 2 2.
— 67323, 17. Epyiaovùi père de Pierre 67303, 2 A.
iJioscunis pèri" d'ApoIlos 67329, II, .'!
; 1
.'!.
EpyLCiouvi père de Pliih 67288, \', 1.
Elpn'v)! femme (ry\l)raam 67330, II, i3. Epf/awî père de Jean 67359, 1V^ r., 10.
ÈXévri afioL 67325, II, c. ,'1.
Epfiavs père de Kyriakos 67288, III, 2A.
hlévi) sœur de Victor 67325, II, v., 12. ÉpyLOiU's TaGiîi 67288, III, il').
Era'x père de Joseph 67359, II, v., 10. Epfietas père de Jean 67327, 28.
Evu% [lère de l'ansnêou 67359, IV, v., 12. Èpyievtocs 67288, IV. 21).
Ev'x<x père de Sénoullirs 67359, III, r. . 1 t. Ep;.t(as 67325, VU, r., 2; voir à E.piiei'as.
t.vvx I^£<i'P7<'oy 67359 , \'I, 2. Epf/j'au, Epiieias père d'A poilus 67328, V, y;
2
EroJ;^ Épf/aoyiiTos 67328, I\, /i : 2 G. VII, 28; l.\, A; 27.
ÉroJ;^ Épf/aouîiTCi: 67283, III, 1.").
Époy(C>';^(>- 67288 , \, 2G; VI, 2.
Ev(,j)(_ WpaLxldov 67283, III, 2. Epovvyxis CL-na 67288 , \ 1 . 1 .
EJÀ/iyioî père d'Orlùii 67319, ^'^. &soS6(Ttoç père de Jean 67359, III. r., 7.
l^oLyaipias pèri' d'Abraaiii 67359, I\ , '•. , (J. e£i^'..pos père de Jean 67305, !">.
Za.-)(^oLpiai père de Josepli 67359, V, >.. 11. esôJa.pof père de Phèkios 67325, \'II, v., 8;
H «.-(?) iiièiv de L'onliii 67169'''', yT). 0£Ô<Ja'pOb père de Pliilollièe 67359, 1\', '. , i.
llX/as M'-a/cy 67328, IV, •); ^7. QeoSvpoi Ylxwix 67359, V, r., .'>.
WkKjioâoi |tèn' d'Aiitùnios 67359, III, c , 1 •>. 0£ÔT£xroî Va/ou 67283, III , i| ;
~ 67296, 1 S ;
Hpa<i' 67312, A3. — 67328, IV, '.S; V, •-(;; VI, •>.'.; VII, •>(;.
llpa'xXeioj 67354, 1
7. (PfsoiprAyi femme de Pliolhainmi'm 67279, 7;
IlpaVXfios TspdiToxv^tjTij; 67319, 3; 7; i(_i. I 2 : .7;^'''-
IIpa'«Xj(05 le jeune, empereur 67299, ii-, ^). 0)jpaxX£('a mère dApollôs 67301, (j.
UpÂxlsiOi père d'I-lnocii 67282, III, •?.. 0)?paxX£ia mère de Psaïs 67288, IV, 2C).
HpaxÀîioî ilpoCi'vOov 67288, II, >S. 0a)f/a« d-Tta Kvpov 67359, 11. '. , i".
Hpax>.t;s (!( héros) 67315, 9. iccxxvêti [sic) ysvpjy'ji 67319, <); V(Mr \tx\ièt?
©aXXoJs père de Piioiitaminôn 67288, 11, 37. Uxvëi; père d'Apolh'is 67283, \ , 7.
©auf/otcria femme de .lean 67288, \', 5. iaxvËti père de Jérémias 67328, I\, 3i ; XI,
o
&(xvyLaa-T>i' 67340 ,
i'. . l a ; 2 S ; A 2 ; (j 3 ; 70. .)0.
&éxlot. mère d'AnoupIn's 67328, IV, 5. laxîiëis yECi'pyôi Mat^iuov 67140, •>.
QsoSoatos àëêâs 67285 , A itxxvë père de Psiké (.<iV) 67359, 111 , /. . 12.
îaxîJg Bj'xTopo» 67306 , 11). lo-aax père de iMerkourios 67359, V, '••, lo.
ianûê iaaKt'ov 67288, H, 3. io-aax QeoSû^pou 67359, II, r., G.
ijvdStos [sic) Aysvi'ou 67359, II, c, 8. IcrdK Uovdixypx 67288, III, 12.
h^extvX \ltHTopos 67283, HI, l'i. icrdKtos 67306, 17; — 67325, \, v., 17; —
Ispijliias loLToyLOi 67287, IV, 20. 67328, II, 3; 20.
lepr](iiai vOyLiKOî 67283, H, )f). {(Tdntos àpoTprjTv's 67325, II, i'., 7.
lepr](jL{as a psaSvTEpo s 61 2SS, III, if). iddxios vo^ik6s 67328, III, 35.
iepijfjLias père d'Enocli 67301, 37. laimos père d'ApoIlos 67281, 2; — 67300,
l£pf;(//as père de Paèsis 67325, I, )'. , 2 G. 3; — 67308, 5; — 67332, 6.
iepijyitaî ASpaaniou 67327, dS. icra'xjos père de Jucob 67288, II, 3.
Ispijixi'ds B/xTopOï 67283, II, i5. ladxioi père de Promaôs 67140, <).
isptuit'as iawët'ov 6132S , l\ , 3i; XI, 3o. ia-ot'x(os père de Psellôs 67303, 2 3.
isprifitoLS, lepv^îas [sic), IvavÇiiov 67328, IX, lo-fltxios père de Sansneus 67308, 1 ; 5; susc.
1 ; 28. iadmos knoXXôiTOs 67328, II, 3.
lov^vos TsaTî xix] Ç/opoXàyos 67327, 21; 27. Wxios lco7n(piou 67306, 18.
iovXiav6i 67283 , 1 , 2 ;
— 67285 , 3 ;
— 67321 iadmos KoXXoûôov 67302, 5.
1 ;
— 67303, 1 ;
— 67305, i ;
— 67328, iùtdvvns 67140, i3; — 67281, 1 ;
— 67292,
I, 1; H, 1; III, 1; IV, 1; V, ,; VI, 1; ('. ; — 67296 , Gy ;
— 67298 , G (j ;
— 67316
VII, 1; VIII, i; 1\, 1; X, 1; XI, i; XII, ('., G;— 67320, 1 ;
— 67322, v., 2; —
1 ;
— 67332, 1 ; 8; — 67340, G y; voir 67341, h h; — 67353, r., 8 (écrit îudvvtj);
ïouyrTvoi (Justin I", empereur) 67328, I, .">; Icodvvtii dira ô zssvQspii (lou 67325, II , !^, 11.
lovcntvos (Jusliu II, empereur) 67169'" I : lu'dvtniî x.o\i)ii 67325, \III, r., 21 ; 9 G.
35; — 67305, 1 ;
— 67309, 1 ;
— 67312, loiaVrïjs Aa(07r6j).);s 67330, II, 2.
Q ;
— 67353, r., 1 ; 98. Voir Index XI. \<udvv)]i iiaxpés 67288, VI, 1.
ioviTTOi 67287, II, (j. icûdvvvs (tovaxoi 67287, IV, i3; — 67283,
.... 10s aiyyovXâptos 67287, IV, 12. III, 23.
7; 10; VII, r., 5; VIll, V., ih. Juotvvris Tavovps 67319, I).
.")
; 10. i-jati^p 'LoL^oLptou 67359, V, r. , 11.
ivdvviji frère de Victor 67325, II, r. , 1 3. i'^av^io? \)ère d'Apollôs 67283, H, 22.
ïuâvvn? père d'Isac 67283, II, q5. iva-v'pio; père d'Isaac 67306, 18.
lco(xvvt]s père de Pamoun 67359, IV, r. , 8. hj}(T)i'(ptos père de Jacob 67288, Hl, 5.
Wri-jjb- père de Ponnis 67288, IV, 36. ia)T>/ip(Gî père de Jéréniio 67328, IX, 10.
icoolvvt}e frère de Victor 67325, II , r. , 1 3. i'^s-v'^ios père de Mathias 67283, III, /i.
iuolrvvs AOavxa-îov 67359, III, ''., 2. iv3-)/^(0s i'jvn<pts kÇpoL^iiio'j 67328, VIII, 25;
îcoolvi'ti? Axctxiov 67309 , 4 ; 10. X, 29; XI, 28; XII, 29.
Vjyxvvni ÀvSpéov 67288 , IV, i /i i'jô<Ti)(pis 67288, II, 2 3.
iWwf;? B>;o-xoy/TOs 67328 , III, A; 25: 33. Vjûaii^is fisli^^Tovpyôi 67287, I, 1 G : — 67288,
iWi'i')?? Épfiîi'oL/ 67327, 28. ii)o-)T"?is père d'A non phi S 67288, H, 29.
l(i)ixvvi]s QsoSom'cv 67359, III, ''., 7. \'jûa-rj(pt? Ivwvov 67288, II, 19.
i<ûâvv)jf Qcouà 67352, H, v., /i. k'3-)7i?(S Tovdvaii 67288, H, A; \1, G.
ivâvvvs Kopvnltov 67283, III, 2/1; — 67325, ia-a-)7(P(s Opj/piot; 67288 , 111, 2.
IwaVri?? MouTa/ou 67140, 10; 11. KaXacTTJj'o-ioî père de Constance 67359, IV,
KaXXiVixos AXïÇaiiJpou 67330, I, 8; (). Koa(jLàs (<I)X^) "VoLTOv 67359, IV, v., 5.
KaXXi'wxos Bijo-a-XiTou 67288, V, (i. Kovpaop père de Psentliaêsis 67288, IV, 3i.
q3; — 67328, I, a3; II, 9.-2. Kpoyp père de Pierre 67288, IV, f).
KâfjLiji frnc de Psuïs Puniiis 67288, 11, 11. Kvpa. npci;/ot'a)TO; 67140, A ; 11.
Ka.x/é' père d'Apollôs 67288, 111, 38. Kupjax(is (I)<XoÔ^ou 67359 , III, c, 10.
Kax./ê père de iMurtès 67288, IV, 8. Kxjpixos [sic) xdntiXos 67288, III, 33.
KeXêàii' nis d'Ilorus 67288, IV, i5. Kvpixls (.s(V) {xt/Xoii'apx»;*' 67288, II, 35.
Ksf/>;i^<s 67140 , 10; voir j6i:oi Ks(ji>{Ç)svs. Kypixis [sic) Épf/aoy?TO>- 67288, III, 2A.
Ks(pd\rov i-nidKO-noi 67295, III , 1
y ;
— 67326, Kvptxos [sic) Aa^âpou 67288, III, 33.
/.. Kvptxôs [sic) Uejâou 67288, III, 10.
KiXXovOos àëëdi 67289, T). Kvpos [dna) père de Tliéodori; 67359, IV^ v. , 7.
KiXXovOoi axpwâpios 67313, 2('). Kvpos (aTz-a) père de Thomas 67359, II, v., 10.
Kà/JovOos père de Dioscore 67359, 111, >'., (j. KCpos père de Psimanôhel 67287, IV, 17; —
KôXXouOos père de Kyros 67325, IV, /•., 'i3. 67330, I, A.
KiXMvOos père de Hadiel 67302, h ; 18. Kvpoi B<'«Top&>- 672S3, 111, 11.
KiXXou^os À^jtf/wi'/oy 67327, 87; /12; A 7. Kvpos KolXovOov 67325, IV, r., h h.
K6)lov6os lovavoLov 67359, 11, ?'., 7. Ciirus père de Psimanobel 67329, 1,3; voir
Colltillius 67329, 1, 3. à Kvpoi.
KoX'Jx'Os nyo'JiJLevoî 67342, v. ]s.oy.daios ^0)iOoi 67325, H, v., 2."); IV, v.,
Kirair 67288 ,11, 17- 2; 3; G; VII, y., A 7; 10; i3; 16; VIII,
—
;
/•. , G; III, /•. , 1 ; 5; III, v., 1 ; 5; 10; IV, K<jvnavT7i'0i père de Séiioulliès 67359, III,
95.
196 CATALOGUE DU MUSÉE DU CAIHE.
KùivaralvTtos père de Jean 67328, V, 4; q5; Maxap/o> '^evovOt'ou 67359, IV, r., 9.
A.aL&jiptoe père de Hermaouôn 67282, 3 ; r. , 1 Map(?3t P£&xxa> 67294, iG; 17; 20.
Aa^apo? père de Kyriakos 67288, IV, 33. Mapia 67314, H, 10.
Aaxwf père de Promaôs 67330, 1,3. Map(a(iy:a) 67359, VI, 3.
Aatxàiv xaôtzpovpyis 67288, III, 2 1 ; 22. Map/a afza 67283, H, G.
Afê/pioî 67350, ni, >•., G; 7. Mapxospère de Pliilolliéc 67359, IV, r., iS.
Aovxaris xT)/Twp 67233, 11, 1 3. Ma'pTijs père de Mousès 67328, IV, 3o; Vil,
KovxolvIjç ^atptifJLCovos 67140, 1 2. 4; 24.
MaOsias père de Hôrouôncliis 67283, 17. UoLTOaToi père d'IIùraiônkhis 67283, H, 17.
MaOst'as Nowas 67288, IV, 35. Marpoiva esclave 67313, GG.
MaOîa? 67325, IV, r., 28. Mxr a-ovxs 67328, X, 8.
Maôf'aî hjôan<piov 67283, III, 4. Maup/xioî empereur 67325, IV, r., 2.
Maxa'pfOî /3o»;eos 67325 , VI, r. , 2 ; VII, jj. , 20. Méyas àno ixSi'xm' G7327, 21; 2 G.
Maxa'pios yeupyos fitadcÔTiis 67325, IV, r. , 7; M/7(i£ père de Biklos 67319, 10.
i4; 43. M/ej Àfwra aTTflt 67359, VI, 5.
Maxapws père d'Abraam 67359, V, r. , i. MfXfOî (Aùp.) iaaVi'Oy 67169'"', 7; 1 2 ;
Motxa'pioî père de Victor 67328, XII, 4; 25. Mnvài [dytoî dira) 67283, II, 7.
PAl'ïliUS BYZANTINS. 197
Mï/fct» ysvtxos oÎKovôftos 67299, i n.; IxS; Cxj. Movaijs UaGlovi 67288, V, 10.
M>7ràs rsâynpxos 67322, 3. Movaijs UavanOoiJ 67288, IV, 1
y ;
— 67330,
M);ra> afpovèijTOs 67327, 3i ; 35. II, 22; III,.).
Mï/râs atyyovXâpios 67325, Mil, ;•., G. Movaijs '^aiov 67328, III, 29.
Mrivâs (I)Xaouios atyyouXolpios Q12S2 ,
<) ; i i i-'.
,"
Movaijs ^aovaâov 67288, III, 18.
— 67325, VIU, r., G. Mova-alos [a-rra) 67288, VI, 1.
M»;!-!!? frère de Dioscore 67319, iG. TSéarup (le héros) 67316, v., 26.
Mjjrâs père lie Georges 67359, II, v., 1 a. NtxtiTols père d'Apollôs 67288, II, 9.
M);ras 0£OT('(iGi/ 67298, Gi. Nôwa mère de Malhias 67288, IV, 35.
Mtivàs Mïxapi'ou 67359, II, v., i3. ^ovytévtos (.fic) iStxbs oixov6y.os 67299, A 8.
Mr;mi Uxavâx 67359, V, r., G. Z.av01s yeutpyos 67325, II, v., 10.
Moi/aa ()) ÇiXôaoÇios) 67295, I, 19. Ùvv6<ppios 67359, IV, r., i3.
Moyoraro» l'OTa'pioî 67325, III, r., (j; i3; VI, Ori/(i(pp(0î père de Tzamoul 67359, VI, 3.
»•. , -j
; VII, r., 2G. ÙrvoÇipios iaxùë 67359, IV, r., 11.
MoKo-aros père de Bcssarion 67306, 3; 17. ÙvvôÇipis xovpevs 67288, IV, 21.
Mov(7aloi père de Pscnlliaè.sis 67328, III, (j. Ovixtup vofiixôs 67301, 39.
MovTatos Mdpriis 67328, IV, 3o; VII, h; qIi; UaâiJL fils de Palkeloule 67288, H, 26.
~
appelé aussi Moi^o-i;*. Uccaiiôijs père de Mousès 67330, II, 22; III,
JlaîayL père (le Psenthaêsis 67288, IV, lO. Uoi.Ta'kovx.is père de Plioibammôii 67288, III,
riaX'Js ypafx^aTEvi 67235, II, /. , 10. Uarep^ovOvs père de Psaïs 67328, VI, 9; 2/1 ;
Uava-v)fou Èvûx, 67359, IV, r. , 1 2. UmXo; père de Simdon 67359, II, v., 2.
IlaootJT père de Paul 67359, V, v., 10. HaClos Tni'ai 67325, 11, /•., 2 G.
naouây;^!? père de Macnrios 67325, IV, r., 7; Paulus ( l'iaviiis) sclioluslicus cl dei'ensor 67329,
ih; /i 2 11, i5
naoûs y.eki(T^ovpy6s 67288, H, 2 5. Paus fdius Bollii 67329, 1,2.
WxTiaovi 67288, II, 17. Uct(pvs père de Musée 67359, V, r., G.
"
riaTrAaxE mère de Ponnis 67328, VI, /i. UaxviiiOi 67288, III, 1 .1.
riaTrxou'x 67319, 22; — 67325, I, /-, 12. riot^t^'f^'os père de Macaire 67359, IV, v., h.
UaTTOj père de Viclor 67288, II, 28. WeKvcrii Ù .\si 67359, III, c , 3.
UanovSvs père de Tliéodosc 67359, H, r., h. WeKÙats ^svovOlov 67359, II, r., 8.
ïlsoTivovOiii |)('re de Jean 67359, II, ''. , <j. Uoi'vt's ArpiiTOs 67288, VI, /i ; 2/1.
1 o •->
; 1 (")
; 111 rioua/i/o-pa 67288 , III, 12.
UsTpoi Aai^ïi'J 67288 , IV, 27. UpvfjLavTtvôov 67325, VIII, r., 1 ; par erreur
Uérpos Èp!J.av':>TCs 67303, 2 A. pour ^PiAxvTivlou, ij. vkL
Uérpoi KpoiJp 67288, iV, <). Ilpcifiaoï/ois A-TvoW'STOi 67283, H, 19.
Ut(iis 67325, IV, /•., 20. ïlpcdiiaoûs père de IMiod)anini6n 67288, V, 22.
n<roi;Tz'<iJi' d-na 67288, V, 33; — 67359, V, v., Psimanobel iilius (iuru, peradjulor defen-
IIxôXoÊos X(i'o:;(pos 67288, H, 3/1; V, 3/i. ihSéxxa. mère de Menas 67303, '1.
Tlx/jops père de l'iiilotliée 67359, II, c, 11. VvijLoîvos 67283, H, 10; — 67353, r., h; ().
nX);ï |)èrc d'Apollùs 67288, \ . 9. '^oiSTvoi père de IMioihnmiiiôii 67288, III, 3G.
Uiiéi père de M(5na.s 67288, IV, 22. "^avaveîs laocxicv 67308, 1 : 5; sitsrr.
Ilvei père de Jean 67359, IV, r., 2. ^apxTitw Sioixavoi 67288, IV, 3/i.
noXt;?s<V»; (la lille de l'riam) 67316, r., 1; ^sva(iOwio> jièrc de \ iclor 67296, )
9.
Uovvt's x£pafxoTTXâ(nn? 67288, III, 2G. 2G; 3/1; 89; — 67359, II, r., 1
'1.
200 CATALOGUE DU M USÉE DU CAIRE.
^svovdr,i ana 67312, 89; 5/i; G5; — 67319, VII, r., 1; Vil, V., 9; 18; 23; VIII, r.,
i5; — 67338, 3. 19; VIII, V., 18; — 67340, r., 77; 80.
IsvovOvi xaOapovpySs 67288, III, 87. 2o(p/'flt impératrice 67353, v., 29.
^evovôvs père d'Anastase 67359, VI, 7. 2o(p/a fille de Lia 67294, 10; iG.
^svovdrjs père de Daniel 67359, V, r., 2. Sof^i'a mère de Macaire 67325, \\\ >:, 9.
'S,£vov9)is père de Macaire 67359, IV, v., ^. 2o(p/a o-Jf/êioî iaxiifou 67294 , A ; 8 ; 1 /i
'S,evov6ris père de Pekusis 67359, II, r., 8. Suf/ewV, 2>?(//a'i' (sic), nauXou 67359 ,
Il , !'. , 2
^evovôti? père de Phoibammôn 67359, III, 2ûpos père de Victor 67324, 19.
r., 1. Taëils mère d'Hcrmaûs 67288, HI, 1 7.
l£i'0v9tjs père de Victor 67237, II, G. TaSsKpv nourrici' de Tliéodorc 67312, 10/1.
2£fOiî^);sEr(y;i^ àwà IlaxaîJi'a! 67359, III, ''•, 1 i- TavTësovi 67325, IV, r. , 3i.
'Esvoûôris Movaat'ov 67359, III, '•, 5. TaTrao) mère d'Hermaôs 67288, HI, 8.
'ZsvovOv? rieo-iou 67359, H, r., 11. TaTTSoCs mère d'Anouphis 67328, HI, 5.
'^soviïpo? (PiUOéov 67359, IV, )'., 10. TotTToXX'îii olixa 67313, 37.
"^épyios père de Phamaïs 67288, IV, 38. TapjTT)/ mère de Ucssarion 67306, 2; G.
"Eeptivos, 'Siph'os (sic), IXkovyrptos 'aâya.pyp? TaTiâvos ana 67325, 1 , /•. , 1 ; I, »'. , 1 ; 1 5.
67325, 111, r., 7; III, i'., 9; i3; VII, v., Tatupri'os SofiejTixôi 67330, lV^ G.
'Espy'jvos père de Victor 67289, t 2. Tavph'os ^btloOsov 67359, IV, 1:, 10.
]Sion père de Pecusiiis 67329, 1,2. TspiiovOv mère d'AnoupIiis 67325, H, c, 26.
SoXofxwv père de Psaïs 67288, U, i3. TÇafioCX père d'apa Kyros 67359, HI, r., G.
59; — 67317, 9. 1 I .
.
Soro-i'au père de Golloullios 67359, H, v., 7. T'Cafiovl père de Sergios 67359, \ , r., 7.
Tovdvcris 67287, [, i5. 10; IV, ,'., ,; VI, t'., 1; VII, r., ,; 3;
TouaVo-iî mère de Josépliios 67288, II, /i G; VII,r., 1; 12; 18; VIII, r., 1 [> ; 19;
VI, 3. 2/1; VIII, c, i/i; 18.
TouaW«s mère de Pekusis 67288, H, 2. <^^X,/fxalr 67313, 32; 61.
Tw/a mère de Paul 67325, 11, c, 2 G. (l>tUSeos {(IhXÔOsos) pfirc d'Ananias 67359, H,
Tpi!xSe'k<pos 67355, 1. V., 5.
T ptcîSe'XÇ:os KciU'crTarTiVou 67283, 11, 2 'i <i>tXiôeos père de Cyria([ue 67359, ïll, r., 10.
TpiixSioi 67279 fl>i\60eos père
, 1
d'IIorouônkhis 67359, III, v.,
TaâXios père de Papnoulhés 67288, \, i8. 8.
T(7Ù.£ST 67288, V, 3o. <lhUOeoi père de Sévère 67359, IV, t'., 10.
Tcrsvët'uTup 67300, 5. <tuX60eoi père de Taurin 67359, IV, r., 10.
Tcf£i'£roy'(?»; mère de Psaïs 67288, III, Sa. <I>(X6(?£os père de Tzanioul 67359, III, v., 10.
To-eriJpi.- 67355, I. ^tXiOeos QeoSùJpov 67359, IV, r., t.
—
;
^t>novi Xpu(Jox6os père de Plioibammôii 67288 67325, I,r.. 3i; 111, y., 7; III, (•.
, 9;
IV, ...
i3; IV, ;•., 2: VU,/., 5; 7; VII, r., 25;
<I)j;p père de Psaïs 67140, 3. Vlll ,
K., 0/1 ;
— 67327, 1 ; 1 3 ; 1
9 ; 2 1 ; 26 ;
*]>rAavrlvoos père de Kornélios 67325, 1, v., II, 12; cf. <I>o(&x'(/f/wt' (3otj96î.
29; H. r., 7; III, ;•., 1; 5; III, f., 1; 5; <I>o(ea(/f/4)r 67287, IV, 1 G; — 67319, 9; 1 1
;
12; 19; — 67340, V., 19/1; — 67354, «tojgaiif/wi' ^svovOtov 67359, HI, '•., t; III,
Oo/fo'fifiWK (ô ayios) 67299, 5i. Q>oièd(i(io}v TâiîOi 67359, II, r., i3.
^ot&xinicov xTv'rcop 67283, II, ih. ^pTj'pios père d'A poilus 67288, V, 2 5.
Oo/êa'f/f/dii' fX£h(7(Tovpy6s 67288, II, ai. <l)p>/p(Os père de Josêphis 67288, III, 2.
^otêolfifiuv -aotfitiv 67328, XI, 3; 27. OwT père de Jean 6728S, IV, 3.
Oofêa'fif/wt' -apeaêvTepos 67328, M, 2 G. O^T BrxXos 67319, 10.
<t>oi€otfxii''jov Tlavé)(_apts atyyovXolpioî 67330, II, Xatpifficov père do Loukanos 67140, 1 2.
<i>oiëix[xiiov père d'Aurelios 67311, 9. Xt(jLdprjs père d'Agnalôn 67288, IV, i3.
Ooiêa'f/fxoif père de Georges 67359, IV\ >'., 8. Xi^a.)(a){Xio? dira 67297, 3.
Oojga'fif/wr père de Jacob 67283, H, 26. Xi)(^ohos 67288, H, 3o; cf. n;^(;^7TOS à l'Index
^otSâ^fiuv père de Pelale 67359, III, v., i3. XpitnlSwpos vordptos 67325, III, '•., 2 ; h ;IV,
'
Q>ot€<x(tyL(jjv frère de Psaïs Poiinis 67288, II, V., 9; Vil, r.. Il; 5 ; VIII, v., 2 1 ; 25.
î
g5; 102; 106; 111. '^dïs vovyLspdpio? 67287, II, 1/1; — 67323,
<l)o(gaf/f/wi' k.vov<pîov 67289, 3; h\ 7. î;., 2; —67330, IV, 5.
*FaiV Bi'xTopoï 67327, 20: 67328, M, (j; '^evOarjcjn père de Psaïs 67288, V, 3 1
AXe^avSpécov (^fieya^i-TioAis) 67280, A, 2-3. AvTatOTToXiTti? voix6s 67279 , 3; 2 (j' y.; — 67280
aC.
204 CATALOGUE DU MUSÉE DU CAIP.E.
IV, r., 10; — 67328, I, 0: II, 2; III, B, 1 c, : '67325, II, 8; 1 ; il! , !., 2 ;
IX, li; X, 3; XI, 3; XII, 3: — 67329, I, 29; 38;— 67328,1, 2; 11,2:111, 3 ; IV,
Àirrato-rAn'Sv (rj) 67279, 1 '1 : — 67294, 3; Afrofliles 67329, I, 2; II, 3; 1 3; voir A^po-
— 67305, 3; —67327, i3. Shris X'jjuri.
67329, I, ^: — 67330, II, 'j: IV. 8: — ÈpyLOTro/.iTrjs oha 67330, III, 12.
ÀinivrJryis vofds 67287, I, 28; — 67312, 5 7. Épfioi/TTO/ (7';5r «iÀ(5 67312 G o , : — 67321 A , ,
'1
67325, Vlil. r., '1; 17: — 67330, II, 10; Qtjîal'jûv //Jpa 67279, 10.
Il , 1 ; 2 ; 3 ; /i ; 5 ; G :
7 ; 8 ;
fj ; ) ; 1 1
;
cf. i. V. (dy.rjveyOti.
12; 1 3 ; 1 /i ; 1 5 ; 1 G ; 17; l
'j ; 20; 2 9 ;
NsZXoî (\<- llciive) 67279, c. , lo; — 67315,
2 3 : 2i : III , /i ; G ; 7 ;
fj ; 1 1 ; 1 A ; 1 5 ;
2G; - - 67318, 7; 12.
— 67284, I ;
— 67285, p., 1 ;
— 67286, îiovfiiSes Uvartviavoi 67Z2i , A, A; 8; B, 2.
l'Al'VliLS liVZAiNTINS
—
,
KaXfioi/ûwjî -aeStds (nome Antaiopolite) 67328, ITaWET TÔTTOî 67328, III, ().
lïîa (sic) AiO(Tx6pov yscipyiov (Aphroditô) '^iaov tSttos 67325, I, v., 18.
Ili'a (sic) Kâa-Topos jecipytov 67325, III, '". SoCX (?) Ti-Ttos 67325, l, r., à.
Tli'a i^sic) Ilrri yewpyiov (nome Anlaiopolite) TavrêeovTOS yt'jjpyiov 67325, IV, r., 3i.
n/a (.sic) nif/7s yeeipyiov 67325, IV, r., 2 5. T£iaeTt57ro?(nome Anlaiopolite) 67328, 11,8;
90; — 67326,9; — 67327, 3; 9; iG; 2/1; ToéTO ou ToeVo) (nome Anlaiopolite) 67287,
33; 3(); — 67329, I, 10; 12; i5; 17. IV, 10; — 67330, II, io; li; 23; m, 1.
YlivovTÎuvo? (Ay/ou) ÈTToimov, tottos, 67328, TpiÇi^ov 6pos (nome Panopolile) 67312, 39.
VI , 11 ;
— 67359 , V, r. , 6 ; V, î). , 1 2 ; VI 7 ,
To-a. ap tcJttos 67325, I, r., 19.
Y\.otyLrtv è-noUiov (nome Anlaiopolite) 67259, XaXxoTvTTou (roù) ysvpyiov Q7325, IV,)-., 27; 29.
V, r.,3;VI,G. \i)(iros voir H^'X''^^^-
SXyjX"^^ (ethnique) 67288, II, 3o h.; — "^tvst'ov, "^tvt'ov xXrjpoi, TOTTOs 67325, I, r.,
AyyapevnU 67325, 1, f. , iG; 17; 18; 19. àpoTpyim'i 67325, II, r., 7.
adiutor 67329, 3; lA; II, 12. Xîjyovcnos 67169"', 2; 35; — 67295, II,
''' Les Index IlI-VIII ont été rédigés par mon confrjre M. BernnrJ Haussoullier. [(i. M.]
l'APVRUS BYZANTINS. 207
—
; ;
1 — 7
—
; 67296, G ; 67297, G ;
— 67298, StotKviv's 67325, VIII, r., 22.
5 -MI; —
etscfi.: III 67332, 1; 8; — êov^ 67352, ('., uni.; 9.
67340, 70; — 67353, v.. A, 2; 29. ÈxSixos 67287, 21; — 67295, 9; — 67327,
67329, 8; — II, 5 67330, II, 2/1; IV, 3; 12; lA; — 67330, 11, 5.
—
;
7
— ; 67357. ê-Tiapycs 67285, 2 {à.Tto èTiâpyju)i')\ 67316,
— 67325, I , r. , G ; î;. , 2 1 ; Il , r. , 5 ; 1 /i ;
ZyyoaTaT);s 67359, III, v-, 3; IV, r. , 3.
7paf/f/aT£v's 67286 , 9 ; 2 o ;
— - 67287, 19; — xaXa(paT>,« 67359, H, r., 3; III, !'., 3; A; IV,
— 67289, ('., 1 ;
— 67292, 5; — 67294, x£poLfiOTT\â(rTiis 67288, III, 2 G.
G;— 67295, 8; 11, iG; III, 18; 21; 35; Kz(palalù}^t}s 67283 , H , 1 5 ; 1 G ; 1
7 ;
III , 1 A ;
—
, ; ; , ;
i(); — 67325, Mil, r., 21; — 67347, — 67322, 2; /i; — 67325, l, r., 19; 2 '1
;
xpiT);V 67316, r., y; qG; — 67353, r., A, 22. 77pa(7r6o-iT0> 67283, IH, 9: — 67288, IV, 17;
xTv'rcop 67283, H, 1 1 ; 12; li el passim; III, — 67296, 3: i5; 17; 18: — 67328, IV,
o G ;
— 67325 IV, , r. . /j G : — 67328 , 1 11 , 3 [i n-jpyo!^vAct^[':) 67287, li.
roTapioî 67289, r., 2; — 67295, III, 20: ûq; PaTTTïjsr 67288, H. 22: IV, 7: V, 8; 29.
V., 7; () : 11: 12; VII, !•., 26: VllI, !'., 2; — 67325, IV, )•.. 32: — 67328, 1. 2;
—
;
—
,
0/r07rpaT»;i 67283, H, lô; III, li. )•., G: — 67330, II, 1 1 ; 1 fi ; 17; III, i3.
. . . 67296, 2 1 ; — 67307, 1
7 : 67313 , 2 G ;
— 67327, 37;:'! 2 : '17.
7raxTairoiro/ô>- 67283, II, 17: — 67288, II, cTW7SAscr:pi3. 67325, IV. r. . 12.
TaSouXolpioi 67353, v.. A, 26. <Ppoup6i 67287, II, 7; IV, ti; — 67330,
TatǣcJT>;s 67295, 10. il, 21.
réuTcov 67283, II, 1 () ;
— 67288, IV, 1 1 ;
V, Xalxsve 67288, V, 12; t/i.
Y-TiaTOî 67316, ''. , 2 [àno ilTrotTi»'). Xpvaeôvtis 67287, II, i3; — 67344, G; 8.
v7voSé>n,is 67284, 1 ;
— 67285, 5; — 67287, -^v^ia-r>h 67309, 5; 10.
Àgfô 67286, 3 ; /i ; 8 ; 1 5 ;
— 67289, 5 ;
— àpXiyiOLvSphi]i 67312, Ao; 53.
67342, r.; — 67347, I, h; 19. àae^ih 67295, III, 1 ;
— 67353, r., A, 32.
ayios 67169''", 'kj; — 67283, II, i ; 2 cl pas- ù^ai^icûv 67311, iG.
sim;]\l, 22; — 67289, 1 6 ;
— 67294, 3 ;
G : Staxovijrv's 67286, 5; 9; i5; 19; — 67325,
— 67295, III, 1 1 ; 18; — 67296, 3; 10; VI, 2; — 67347, I, 5; 19.
— 67297, 3 9 ; 1 ;
— 67298 , à; 1 8 SiixKovos 67283, 1 ; II, 23; — 67288, II, 19;
—
; ;
32; 37; /i3; h h; /i5; A 7 cl scq.; IV, 3A; V, 33; 3A; — 67298, 5o; 53;
67313, 5A; — 67314, II, 8; — 67324, A; KxxA>;cr,a 67169*''', A9; — 67283, II, \ cl
10; 1 1 ;
— 67342, r.; — 67355, H"; — — 67299, GA : — 67307, 2 ; 3 ;
A ; 1 A ;
—
67359, V, )•., G; VI, 3; 7. 67313, 55; — 67314, II, 8; — 67329, iG.
3; — — 67297, 3; 67298, 5i; 55; 58; evcréêsta 67312, 7A; — 67340, 68.
—
ÙyovyLevoe 67312, ^3; 67342, v. fiovac^Hpiov 67286, 3; lA; — 67288, VI, A;
Qûov (to) 67294, lo; i(). — 67312, 38; Ai; 5A; GA; 71; 81;
0e7os —
67169 — "'•,
i; 34; 67279, f); 9A; 96; 107; — 67313, 37; — 67324,
67295, 3; — II, i6; qq; 67296, 5; lO; À; G; — 67325, IV, >:, 25; — 67347, I,
I 3 —; 1
7
—; 1 8 ; 67297, 5 ; 9 ; 67302, 3.
—1 ;
— —
67303, 1 ; 67305, 1 ; 67309, ftora^ixis 67296, 1 1 ;
— 67297, 1 1 — ; 67334,
—I ;
— —
67312, 1 ; 67320, 1 ; 67321, 1
o
O.
i5; 23; 18; II, i/i; 17; 21 et srq. III- olKovàfios 67283, III, 22; — 67298, 3A; 38;
—
XII; — —67332, 1; 67334, 11; 67340, A3; A7 et —
scq.; 67299, A 8 [ysviKÔs);
A5; —
V., 67353, r., A, 1 ; 27; 33. A9 [iSiKÔi); G9; — 67307, 2; lA.
—
@e6s 67279, 9; 27; — 67283, 9; 67292, ô^ooîiaios 67298 —
, 5 ; 67299 , 5 1
—5; — 28;
67293, 2; r.; 67294, 2/1; opos 67289, A; — 67312, 39; A2; — 67325,
— —
67295,11, iG; III, 91; 67296, 0; I, V., 9.
— — 67297, 5— ; 67300 7 ; 2 q ; 67301 navâsBlos 67313, 55.
—
,
—
67308, 3; —67312, 35; 67310, 2; 2; nawoHpdiaip 67295, II, 1 5— ; 67296, 5 ;
—
;
I, /i; —II, A ft seq. IH-XII; 67332, 7; TTdTv'p 67295, lit, 1 1 ; 18; — 67342, v.
— — —
67333, 2G; 67340, G8; 67348, npsyëvTSpos 67283, II, J ; 2 et passim; III, 22 ;
— i3; — H,
67353, v.. A, 27; 67359, — 67286, 2; — 67288, III, 19; IV, 2A;
r., 1; VI, 8. VI, 1 —
; 67296, 3;i5;iG;20; — 67297,
,21; —
Oeocre^ni 67279 — 67253 , 1 3 ; 67286 3; /,; _ 67298, 3A; 38; A2; A5; A7 et
A;— 3; — 67295, III, 18; 67312, 85. .w^.; — 67307, 2; lA; — 67324, 5; 18;
Ao; A3; — — 67342, r.; 67347, I, A; 27; IX, 29; 3 1 ; X, 28; 29; XI, A ;
2G;
I, i5; II, i5; m, 19 et seq. IV-XII; Tptâs 67298, 5; — 67299, 52; — 67325,
— 67334, I 1. VIII, r., i3.
Map/a 67289, 1 ;
— 67290, v.; — 67291, r. YT:oétâxovos 67332, 9.
— Voir Index IX, Abréviations. (t>tX6xpi^ros 67289, v., 1.
67286, 5 ; 1 5 ;
— 67287, IV, 1 3 ; 1 A ;
—
67324, G; — 67347, I, 5; 19.
l'Ai' Vn us BYZANTIiSS. 211
EDIFICES RELIGIEUX.
d-TTa Avov(pt'ov (£'xxX>)c7(a, nonic Lycopolite), dira. Mouo-ai'ou Ex^Xi/o-j'ot (à Aplirodilô) 67283,
a-KOL ÉpovcL>y)(^iov {^éKxk)]cyia à Aplirodilô) 67288, 33. Cf. Attœ Wivouilcovoî dyios lôiios (à
VI, .. Aplirodilô) 67328, XI, U.
àyiou IWri'ûi/ tou npoSpipLOu xat (SaintcTToO àVa IV'f/ai'oi/ £KxXy](7Îa (à Aplirodilô) 67283,
éKxXrj(7Îa [:\ Magdola) 67169'"', /uj. II, 10.
KaOûlixij sxx\>iaia (à Aplirodilô) 67283, II, i "EaËopiov = 'Ea.ëovtipiou (couvent à Aplirodilô)
67299, 5i.
V. QUI^STIONS MILITAIRES.
18; — 67359. III, !'., 3;IV, r., 3; VI, 9. rptëovvos (^riis elprfvt]?) 67287, II, A.'
YI. IMPOTS.
kvvfôva : voir Index V. Kavovi>ics 67287, A; — 67330, IV, 1
; 9.
—
;
67291 , 5 ;
— 67307, 7 — ; 67314, 10; — 67327, 3; 9; 17; 2.'); 33; Ao;
67325, I, î'., 29; III, r., 1 ; 3; 5; r., 5; 67335, 2; —67347, 1,9.
10; IV, V., 1-8; VI, 1; VII, r., 1; 3; KVfj.r)TiK6v 67285, V., 1 ;
— 67313, 1
9.
5 ; 8 ; r. , 2 ; 1
9 ; 2 A ; VIII ,r., 9 ; 2 ; 2 5 ;
NaûXoi' 67286, 7 ; 1 8 ; 2 1 —
; 67287, 1
9 ; IV,
t'., i5; 19; 23; — 67333, 1 5. 2G; — 67300, 12; — 67325, I. r., 8; II,
8 ;
— 67307, 1 ;
— 67321 , B , 1 1 ;
— r., 2; — 67330, III, iG; 17; — 67347,
67329, 9. 1 , 1 ; 21.
éfiëoU 67280, B, 2; 1 1 ;
— 67283, i5; — \px)<jiKd{xpi><y'x-ôv)%lUQ, i5; 17; — 67287,
67286, 5 ; 1 G ;
— 67300, 1 2 ; 1 3 ;
— 67325, IV, 2A; — 67289, G; 8; — 67300, 12;
II,;-., 7; III, r., 2; VIII, r., 3; — iG; i3; —67330, IV, i.
70; — 17;— — 67300, 67301, iG; 67313, iZ el seq.;\\, r., 5 ; 1 A ; 1 5 ; i'. , 3 cl seq. ;
1 5 ; 1 G ; 1
7 ; II , 1 ; A ; G ; 1 ;
— 67333, ÉÇaf/erpoi' 67303, 18.
~ 67299 , /. o ;
— 67301 , 2 —
33 67302 — 67305, lA; 18; 20; 23; 27: —
Ao; 67299,
—
<j ; ;
67306,
i5; 67305, 1/.; 17; 18; ;_
,
,j 67307, 10; — 67307, i3; — iG;
9 ;
t o — ; 67309, I 4 ; 1 8 ; 38 — ; 67310, 37; 38; Ai; A3; AG; —
32;
—
67309,
V-, 2; — 67314, III, i(j; 21; — 67325, 67311,2 8; — 67312, loA; 108; —
67310, G;
67314,
1,1., 3o;
III, r.,
II, r., 18; 21 ; 22; 2/1; 2.j; 111, 3: — 67320, 15, —
10; 12; 67325,
1; 3; /i; 5; v., G; 10; IV, v., I, r., 20;
1 ; II, r., 18; i(j; 21 ; 2A 25;
—
;
•'«/.; 67330, II, 2 et srq.; III, 2 rt scq.; V., 28; 29; 67359, II, r., 3; A
IV, 7; (,; _ 67335, 3; _ 67340, r., 28: V., et scq.; III -V[.
cl seq.;
— 67344, 10.
1
— 67344, 9.
— 67325, IV, r., 3G; — 67339, 18; — Ù£oa6s 67353,1'., A, lA.
67340, 38; 65; i-., 35; 121. Ovyxi'a. 67296, i3.
Ma'(T,or) 67325, H, n, 3 A G
; ; 1 ; 1 8; r., 3. TâXavTov 67309, Ao.
(jLÔSiov 67325, III, V., 2; A et srq. T£Tj3a?£C7T(aroî (xa'Jos) 67314, 3.
fiiStos 67285, r., 1 ;
— 67325, II, r., 8; 9. TpiyLihiov 67300, i6.
1
r., 8.
;•.,
V., Kj; IV, V., 3; VII, V., 10. Ènr(pi 67296, — 67297, — 67325, II,
—
1
—
1
—
; ;
67307, 1 ;
— 67325, H, r., 27. III-XII.
(j
21ii CATALOGUE DU MUSEE DU CAIRE.
Msyopv 67286, 21 ;
— 67301, A; — 67327, AexéyLêptos 67321 , 9 ; B , h.
No^f/Çpios 67321 , 9 ;
B , /i
CONSULATS.
aypo(pv\oixj
216 CATALOGUE DU MUSÉE DU CAIRE.
crrofit (TToyitcov.
* 1'
?
TTTl'T Ta ©ŒfTa.
TjjXeoiî.
T T£;(,r(T«l'.
*
rp
UTTSptpufcrraTW.
PAPYRUS BYZANTINS. 217
— 67302 ,
T) ;
— 67314 ,111,8; — 67319 , i lî
cihxpôi 67295, III, lo; — 67310, 2.
—
;
— —
i
67325, II, V., 12; i3; 67326, 5; III, G; — 67329, 7; iT); II, 3; i5.
67329, 1 1
;
i5; — 67333, 7; 1 (5 ; i> 1 ; ahndii 67281, — A ; 67329, H, G.
a-j; 97. a/r/a 67279, aA — 67280, A — 67296, A.
—
: 1
—
;
—
;
ci£<' 67169 '•, 38; 68; 78; 67295, 1 ;i 1 1 (•/ scj. III -XII; — 67340, A3.
— — —
;
—
, ;
—
,
àOâvoLioi 67279, 2 1 ;
— 67295, III, 2. axhipos (subsl.?) 67353, v., A, i5.
iOsxs'iv 67314, III, 2 G. à«o^/ 67295, III, 3 A.
àOsTn-iix/js 67353, i'.. A, 12. ànoXovOeïv 67323, 17; — 67340, 17; A A.
a:'<?Xio.- 67279, (). dxoXovOros 67310, 18: — 67314, II, G; —
aîyiakis 67313, /i5. 67321 1 o — 67327, 1 2A — 67329,
—
, ;
—
; ;
67296, 2 ;
— 67297, 2 ;
— 67329 , 1 3 ; II ,
dxoveiv 67294, 26; — 67295, III, i3; —
(i;7- 67296, 19; 20; — 67302, 2 1 ;
•— 67303,
alSsuifiÔTtis 67296 ,12. 2A; 25; — 67306, 20; — 67324, 19;
alSùJs612%, in, 22. 20; — 67328, m, 3o; IV, 3o; V, 29;
al0a\6sv, éfineTrptiaryiévov 67331 , I , r. , 3 VU, 27; 28; VIII, 2G; 28; IX, 3o; 32;
aîve7v 67329, II, 5. A, 28; 3o;XI, 29; 3i;XII, 3o; 82; —
alpsïv 67294, iT); 17; — 67309, 2G; — 67329, II, 2.
III , A ;
— 67324 , G ;
— 67340 , v-, 121. à(x(^iévvvcrOoLi 67298, 3.
,2;
67311 i3;i8;i9;20;22;10; 11; àvâysiv 67295, 20.
— 28; — 67313, 67314, i5; 18; III, 1 àvayiyv'JaKSiv 67298, A 2 : A9; 6A ; G8.
—
;
â'fzaÇa 67279, 20; — 67303, 7; t3; 20. dvaXaitëolystv 67169'''', 58; — 67279, 23;
àfjLeieÔTus 67312, 86. — 67314, 3; — 67328, I, 19; H, "9 et
/•
aveyLOs 67325, IV, r., 2G; 27; 3o; 82. àviÎTTa.los 67353, t'., A, 10.
âr£f/7ro-J('oTa)î 67299 , 2»; — 67313, 63. àrT(7roi£rr 67312, 17; — 67314, U, i3; —
àvevS^XiiTOi 67306, 1 3. 67340, V., 9.
àveTTiSdveta-TOs 67309
T).
— 67299, 3i); — 67310, i3; 17; — à'Oos 67169'", 5G; 67295, III, 22.
'1 (;
9
—
11,
67333, 1 j
— II, 20; — 67296, 1
9; — —
67300, 20;
—
, ; ;
—
; ; ;
«
1/1; i5; 18; 25; — 67298, 23; — àoKvus 67328, I, 12; II, Il et aoq. III -XH.
28.
220 CATAI.OGDF, DU MUSl'lK DU CAIRE.
— 67299, 57 ;
— 67310, v. ,
.'?
;
— 67320, àTioSr)nlw(ji? 67353, f. , A, 3().
ànapahtnos 67280, 1 ;
— 67295, H, 0. à-TTOxaTolaTaaii 67295, 11, 12; — 67303, 7.
— 67314, G; III. (>; - 67340, 3/i; h h; II, i3; if) elsci. III-\II.
67291 ,
•! ;
()
:
— 67320, G ; — 67321 , i i apptjxjoi 67283, o.
—
; t
à^sQ^o\^Làv 67295 ,
;')
; 7 àpx>/ 67279, I.".; — 67295, .'5; III, 7; —
à-rrOTpéiietv 67283 , 1 ."i
67303, -i; —67312, y 7; — 67353, v.,A,
dTrojf^t^Çeiv 67340, (io. a.').
1 5 ;
— 67326, 1 A ; 17; — 67327, 10; 1 •<
; àp)(_aw : voir Index III.
i.S; i(); -(i; -.8- 3A; ;):'); Ai ; A;î; A8. àaaXsvTOi 67299 , A 3 ; A T) ;
(')
o
airpcLTOi 67309, i^'i. àaeGdv 67295 ,11.
dTipoxpncos 67320, 15, (i ;
— 67321, 15, [>. dcTsQi's : voir Index IV.
àiipoi'ônTos 67295, y. àréXyeia 67305, 1 f) ;
— 67310, lA.
(i'7nr£(i' 67295, III, iG. àcrxvTnôi: 67294, i (i.
àptOyiis 67314 , I
7 ; III , 8 ; 67324 ,11. 8; 1 1 ;
— 67314, III. A7; — 67325, III.
àpiOyili : voir Index V. '•., G; — 67326, la; — 67327, lo; 18;
àpicmiptov 67302, 10. aô; 3A; Ai ;
— 67329, II, la; i;5.
àpKsh 67291 ,
.")
;
— 67295 , y a ;
.'5
o ;
— 67312 daa<lianoi 67299 , 1 A
d7c,ni(x 67305, 1 G.
âpfiriTT£(r 67294 ,
•-!(>; — 67305, 18. d-zpanoi 67299, A.'5.
ctpoTpi/TvV : voir Index III. ACyouijTOi : voir Index III.
dÇionos 67279, 6; — 67283, 10. l2tovv 67283, lA; — 67295, 10; 18; —
aÇieais 67312, 77; 8G. 67352, r., ().
a'xp' 67303 , 1 G ;
— 67309 , A 2 ; A7 ;
— 67314 (2ori06s : voir Index III.
l2ac7tXeîa — —
67169 — '"', — 1 ;
— 67302, 1 ; 67303, iK, 3; 67290, 7; 67294, 10;
1— ;
— —67305, 23; 1
—; 67309, 1 ; 67312, 67295, lA; 29; II, 1; 19; 67299,
— — —
67325, IV, — — ;•., 1 67332, 1 S 2/, .',3 ; 67301 , 2 ; 67302, G
—
1 : ; 1 ; ; ; ;
67353,?'., A, — 22; —
1. iG; 67305, 8; 67309, 17;
(iaatXîvi : voir Index III. — 2A; — 67310, 7; r., 7; 67311, 67312,
jSaÇievi : voir Index III. 2 2 ; 3 ; 38 ; 52 ; G3 7 ;
79 ; 87 ; 9 Q :
—
;
A,
^SsXîmea-dat 67353 99; 102; loA; 111; — , v., 1 . 67313, 22;
—
^éëatos 67300, 34 — — 1 8 —; 67301, ; 67302, 67323, G ; 67324, 2 ; 9 ; 67329, 1 A ;
^eSatcw 67169 —
''",
55. ISpaSévs 67297, h ; 67306, 3.
(SeSaÎMs 67312, 102. I3paxvs 67295 ,12.
PAPYRUS BYZANTINS. 223
ja(i€p6s 67288, V, a G; 67328, IV, (|. lA; — 67292, î) — 67294, 1 1 i5; 22;
— — —
; ;
yévtiixa. 67280 , B , .5 ; — 67301 ,20; — 67303 — 67333, 20; — 67340, 5G; v., A2; —
;
1 2 ; I G ;
— 67307, G ;
— 67325, I, /•., 2 ; 67347, I, 21; — 67353, v., A, 10; 12;
r. , 2.
19; — 67359, II, *•., $; h cl scq.; v., 1
>'£i'i«os 67299, /iS; G(j. et scq.: Ill-Vl. — Voir Index IX. Abré-
yerfxiis- 67169'*', i5; — 67303, K) ;
— viations.
—
; ;
—
;
ypctÇ)Eiv 67283, II, 10; 18; 19; 20; qi ; 2/1; — 67295, II, 23; — 67307, 3;— 67320,
III, 2; q3; — 67286, 10; 21; — 67290, A;— 67321, 8; — 67325,1, c, 1 ; II, )>.,
5; — 67327, 20; 99; 3o; 36; AS; 48; SvfjLéxSiKos 67353, v,, A, 2 G.
67328,1, 2/1; II, 22; IV, 29; V, 27; VI, Stjixocrtevetv 67287, IV, 9; — 67295, 9; —
26; XII, 28; —67335, 7; — 67347, 1, 7. 67312, 2G. Voir Index III, s. v. S)iyLoa-tevcA>v.
yv^vis 67305, 26. S,jfx6atoi 67169 *'•, A7; A8; 57; 73; —
ywaixeîo? 67340, v. , 32; A 1 78. 67281 , 5 ;
— 67283 , A ;
— 67295 , 9 ;
—
— —
;
67309,
—
;
3G; —
/
Séa-noiva : voir Index III. SiâSo<Tis 67309, 17; — 67312, G3; 70; 77;
SsanotviKos 67283, 3. 83; 99.
SsairoTsioi 67169""', 39; — 67309, 3A: — StoLSox>i 67169'"', Ai; — 67295, 2G; —
67314, 5. 67313, A('3-
PAPYllUS BVZAÎSTINS 225
— 67313 , Gj ;
— 67340 , i'. , 1 3 ;
— 67344 <î(a(p/pî<:^ 67302, 8; — 67309, 2 1 ;
— 67312,
5o.
SidOeais %12^^ ,
19; — 67310, 1. Sid^opos 67286, 2; i3; — 67295, 27; —
StuOmn 67312, H; 1/1; 18; y 1 ; 3/i; 98; 67313, 10; /)o; — 67319, 1 ;
— 67325,
19; 20; —67353, V., A, 36. 67340, V., 9; 32; — 67347, i, v-, 2;
h — — ,23;—
67307, 5 67309 67312 SiS6vai 67279, 1
7
— 67284, 1 ; 2 — ; 67285,
—
; ; ;
58; Go; G5; 90; — 35; 67313, 5; 5/i 1; — 67289, 12; — 67295, 25:
55; G7; —
;
V., A, 5.
; ;
êtaaToX>î 67312, 68; — 67314, III, 3G. lA; 17; 23; 3o; 36; 38; — 67300,
Staa'X^iv 67312, 1/1; — 67340, v., -]'?>. 9; — 67302, 9; 12; i3; 17; — 67305,
SiaTpé(psiv 67310, 9. 7 1 ; 80 ; 88 ; 9 1
; 98 ;
— 67313, 89 ; 57 ;
SiaTVTTOw 67312, 10; 3o: — 67314, 17; — G3; —67314, 111, 25; A9; —67333, 7;
67311, 2G; — 67314, il, i 5;— 67320, 2. SovXi's : voir Index III.
Sixa<TT>ii 67295, II, 12; — 67353, v., A, 22. SovXos : voir Index III.
StxaffTixôs 67281, /i ;
— 67320, 5; G; — Sov\o)(^sîprjov 67353, r.. A, 18.
S^xv 67169 '", 16; — 67295, 23; — 67305, Sp6nM' 67359, 11, r., 2; VI, 1
; 9; 1 1.
21 ;
— 67309, 5/1; — 67310, v., 3; — Svvaiiis 67295, 1 A ;
— 67298, A 1 ;
— 67299,
67314, 25; III, 33; Af); — 67328, Kl, A7; 57; Go; — 67311, 3; — 67312, 20;
dicere 67329, 3; II, 3; 12; i3; i5. — 67340, 72; r., i23.
Sîyiotpos 67279, 26; — 67325, III, r., 8; 1 1 SûvaaOai 67283, lo;— 67290, G; — 67291,
—
;
Six<^ 67305, 2 1 ;
— 67309, 1
7 — ; 67310, 7 ;
SvyLo. 67302, 8.
17; — 67314, 2/1; III, 32; — 67340, SojfiâxiQv 67309, 27.
3G; — 67353, v.. A, 5. %£a 67279, 2G; — 67310, 5; — 67340, r.,
èyyuàdOsLt 67169'", lo; — 67296, G; i C) : e/Treri; 67283, H, 19; 20; — 67303, 2A; 25;
1
7 ;
— 67297, 7 ;
— 67303, fi ;
— 67328, — 67322, A; — 67327, A A.
I, {]; 22; II, G; 21 H snj. Ul-Xll; — eî'pen' 67279, ii; 23; 2A; — 67281, 3; 5;
67332, 8. — 67282, '1
;
— 67283, G ; 1 A ; III, 1 2 ;
—
éyyvii 67296, 19; 20; — 67328, I, kj ;
II, 67290 , 9 ;
— 67295 ,111,27;— 67299 , 8 ;
—
;
dSévoLi 67279, —67283, 10; 3; II, 10; é'xoLcrro> 67291, 7; — 67295, 2A; III, 3
—
67290, ô; — 67292, 5; 67295, 2: 3; — 67299, 38; A5; — 67301, 26; —
3o; —
III, — — 67296, 19; 67300, 21 ;
67302, lA; — 67303, 18; — 67305, 12
38; —
67301, — 23; 67302, 19; 67303, i3; 17; — 67309, 18; 38; Ao; — 67310
— — iî>;—
67308, G; 67311, 67314, HI »,'., 11; — 67312, A7; 102; — 67314
A3— — —
67320 , 5 ; 67321 , 10; 67322 111,2; i5; 22; 35; 3G; 39; —67329, H
—
;
3 — 5 — 67325 , l V, r. , AA ; 67327, 2 o ;
A; 67332, G.
—
; ;
29; 3G; A3; A9; —67328, I, 2A; 11, éxâ-Tspos 67299, Ai; A7; G6; 67310, v.,
23; IV, 29; V, 27; M, 2G; MI, 29. 8; —67311, 23; — 67314, lA; 111, AA;
e'iSnaii 67283, II, 1 ; 2 '' passim; — 67353, — 67329, 7; II, i5; — 67340, GG.
67312, 38; — 67314, 28; — 67340, 3G; èxStUvai 67282, 1 0; — 67298, 38; — 67310,
59.
!'., 1 1 ; — 67325, III, r., 2; A; v., 8; 9;
dlixpiviji 67310, I 5 ;
— 67314, III, 12. '
1 3 ; 1 5 ;
— 67357.
39-
228 CATALOGUE DU MUSÉE DU GAIHE.
èxSixs7v 67279, q3; — 67299, 17. éxojv 67299, aG; — 67301, 1 1 : — 67303,
£x<J(X(a 67279, A; — 67357. 10; — 67310, V., 10; — 67324, G; —
sxStxos : voir Index III. 67325, IV, /•., i5.
e«7r^f/7re«i' 67280, a ; 15 , 7 ;
— 67323, 18. èXXsiTrstv 67329, II, 11.
II, —
iG; — 67320, G; 67321, 10; — Èjjiyisvstv 67169'"', ao; — 67298, i3; —
67328, I, lA; II, lA et scq. III -XII; — 67299, 55; — 67311, 27; aS; —67314,
67334, 10. III, 5; AG; — 67340, i'., 122.
éxÇ>6piov 67279, ia; — 67289, 5; 17; — êiinaiSsvTOs 61295 ,
III, 20.
67300, lA; — 67301, 3i; — 67307, 8; èpLTtztpîa 67321, 2.
7; — 67328, 1, fi; H, t'i cl scq. III -AU; 67309, 21; AG; — 67310, r. , i3; —
— 67332, 9. 67314, 111, 2A; A8.
èuÇ^avti'i 67314, 9.-]. èvOâSioi 67340, i'., 3A.
£><pJT£yf/a 67298, '10; — 67299, Ao. iviavris 67279, 20; — 67299, 38; — 67300,
i^cpéitvais 67298, 2G; Ai; A 8 el scq.; — 11; — 67301, 27; — 67302, lA; —
67299, A; 2^; A->; A5; A(). 67325, IV, r., 39.
éyi(puTzuTtKLi 67298, 10; 3(); — 67299, 5; iviSpvetv 67321, A.
évdyeiv 67306, 1 1 ;
— 67311, 26; — 67314, 37.
II. t.^. êvvoetv 67294, 2 1 ; 28.
67314, 111, 12. évoUiov 67302, lA; i5; 18; — 67309, 3o;
1; — 67316, —
r., 1; 67321, G; — 8; 12; I A; — 67307, i3; i[>;— 67325,
67323, 1; M); — 67325, III, r., 2; A; II, V., 2'); m, i'., 8; 11; —67344, 8.
r., 7; .0; ."t.; IV, r., 2; 9; VI, 2; VII, èviaùOa 67291, 2; A; i3; — 67303, 5; —
2; A; V., 3; 26; VIII, r., 5; ai; 67305, A; — 67309, G; — 67323, 18.
3G; —
,-., (i;
G ;
— 67296 , 1 A ;
— 67313 ,19; — 67329 èiwTTiov 67299, 5o.
II, ..
évùJTtov 67340, î'., 29.
G.
;
67320, 3 ;
— 67329, 1 3 ;
— 67352, î-, 1 •
—
;
s^ainite IV 67303 ,
i 3 ; 20. — 67299, GG; G7; — 67300, 18;
ê^éSpa 67309, 22; 96. 67301, 3A; — 67303, 21; — 67314, III,
é^ûvat 67283 , 7 ;
— 67299, 1 3 ; 2 2 ; ^1 1 ;
— AA; — 67324, i5; — 67328, I, ai; II,
67301 , I 5 ;
— 67303, 7 — ; 67311 , 8 ;
— £7r)7p£aCî(i' 67290, 2 ; 8.
1 ;
— 67324, t 1 ;
— 67325, IV, r., Ao; £'7i-/gXag>/ 67295, III, 10.
— 67332, 5; — 67340, t)., 26; —67353, STTtëovXil 67295, II, i5.
V., A, 17. éntytyvea6ai 67313, A A.
é^ta-ovv 67340, «'., G 2. êTnyiyvrJeTHStv 67328 , III , 32 ; 33 ;
— 67329 , 6
ê^Ké-Krcop : voir Index III. è-Ktyovii 67313, G7.
l'foJ'os 67299, 3; — 67302, 12; — 67309, i-my poL(^ti 67295, III, 90.
28. éniStitita 67287, II, 11.
£Tiap-)(ps : voir Index III. é-ntX^ysiv 67325, I, r., 21; IV, r., 8; —
èt:a<7x.eïv 67295, lA. 67333, 19.
êTtavkis 67313, 58. èiulvais 67309, 32.
ETre.^;;' 67291, A; — 67292, G; — 67295, III, STTtfiéXsia. 67305, 9.
6; — 67306, A; — 67312, 35; — 67313, e7r(fi£X)7T>;V ; voir Index III.
1 ;
— 67333, i3. STrivé(jL>iati 67280, 2; IJ, 3; — 67283, 3; —
l'Al'VliL'S UVZANTINS. 231
21; — 67295, I 1 ; 111, 28. èzmioi 67298, 28; Ao; — 67299, 3y;
«'TTJtTToX;?' 67312, qG. 67312, G2; — 67314, 20; 33; 11, 5.
iitnpé-ntiv 67312, 22; — 67327, 3G; — £T< 67327, AA; — 67340, 5 A; r., 7; —
67340, V., 75. 67353, V., A, i5.
è-nnpix^iv 67283, 5. sToïiioi 67329, y.
é-nnpoTiii 67329, II, 7. ETo/f/ws 67296, 9; i3; — 67300, 11; —
éiTiÇiépsw 67298, i5; — 67310, r., y. 67303, ly; — 67304, 3; — 67305, 7;
êTii)csipe7v 67295 , 5 ; 2 3. 22; — 67306, i3; — 67303, i5; 32;
èTTtxçîipioi 67283, A ;
— 67311, 27. y; — 67328, 1 , 1 G ; II , 1 3 <•< snj. Ill-Xll;
67299, 5i; — 67314, III, 1; — 67328, 67312, 3; 108; — G8; — 67313, 67314,
^pya'Ti/s 67295, III, 10. iG; — 67312, AA; 87; — 67314, II,
spyov 67295, 20; — 67299, 57; — 67305, 10; — 67325, IV, r., 11.
16; 2G; — 67310, i5; V., 3; — 67333, evyvufiôvuî 67305, 20; — 67314, 2A; III,
épéëtvOoi 67325, II, r., iG. £Û<îox('f/>77is 67301 , 12; 25; — 67328,1, iA
épu7iv 67294, 27; — 67309, :.5; — 673H, seq. III- XII; — 67332, 5.
evepyért]s 67325, IV, r., à. eux^^O<^i 67295, III, 3A; — 67314, III, l'i.
eJxXe./.- 67279 , 5 ;
— 67295, III , 2 1 . . é(Ç>opovv 67283 , 1 3
sJÀag./,- 67297, 4 ;
— 67298 3 3 , ; A6 c < 5^7. ;
— — —
67300, — 1 1 ; 1 G ; 1 8 ; 67302, 1 3 ;
112; —
67324, 5; G; —67325, I, r., A. 67309, 33; 38; —
11; i5; /17; 67310,
et/fiapôiï 67340, v., 26. G; — V., —
2; 67311, 3; 18; 19; 67312,
evfioipos 67310, 17; — 67340, *'. , A3. 32;
iq: 22; 58; 81; 83; 88; io5; 5A;
£i;ro/a 67310 , 1 5 ;
— 67314,111, 11. — A5; —
67314, 5; II. A; III, 9; 67325,
eCvoÏK^i 67294, 5. 3A;
IV, r.,— — 67327, 1 ; 67328, I, iG;
evTTpnarrov, eù(p{iar)TOv 67331, II, v-, lA. II, —
i5 et seq. III-XII; 67329, A; II,
eùpeaikoyîa. 67305, 2 1 ;
— 67314, 20. —
6; — 55; 80;
67339, 2; 67340, r.. G:
67314, III, A; — 67340, lA; 33; v., A 7. KvTsh' 67295, II, 12; — 67296, 8; 12; —
evTsxi'îa 67305, i 0. 67297, 8 ; 1 1 ;
— 67306 , G ;
— 67323 , 3 ;
—
;
i;^»? 67291, 5; 67294, 26; 67309, 20; OeàaÔai 67295, III, 12.
36; — 67311, 20; — 67312, 110; — Oeïos 67313, 26.
67313, 3 0; — 67329, S; — 67340, r., y/i. Os7os (adj.) ; voir Index IV.
>]0os 67295, II, (). OsiœSco? 67312, 27.
>rxeii' 67310, '1.
Oeksiv 67292, A; — 67300, 22; — 67320,
vXexTpovi 67340, r., 32. A; — 67321, 8; —67333, 2G.
vXtxta. 67169 *"•,
i.S; — 67353, i\, A, 10. Oé^inoi 67340, v., 73.
yp^ios 67321, 2. Qe6s : voir Index IV.
^|uap 67295, III, 2. Osoasëij's : voir Index IV.
vi^époc 67287, IV, 21; — 67303, 11; — OeoÇiiXsta : voir Index IV^
67305, iS; — 67328, I, 8; II, 8 et scj. OeoÇ^iXn's : voir Index IV.
IIl-XII. A
Oepct-neioL 67294 ,
VIII, ;•., A; (j; 10; il; 17; 21 26; î'., Omn 67324,
; v., p. 119.
5; G; — 67329, ii; t
(')
; II, 10; — 0)7Xys 67313, 66.
67347, I, (j. 6r,piojSns 67295, 28.
vv/xa 67340, î)., 26. OXr^/is 67322, 9.
>/7r£i'p(Oî£7313, A3. Oi»i(Txsn' 67353, V., A, 2 1.
>)'pcy> 67295, 2 G. OpsfjiyLa 67325, IV, c, 35.
^(Tvx,(os 67283 , 1 A Opivos 67353, i'.. A, 22.
);to< 67309, 23; — 67310, 5; — 67312, 5A; OuyccTtip 67169'"', 25; — 67294, 1 1 17; —
107; — —
;
Ovpi's 67299, h. 1 ; 1 5 ; 1
7 ; 1
9 ; 23 ;
— 67326 ,11; —
6vpoûv 67309, 29. 67327, 3; 9; 11; 17; 19; 25;2G;3A;
iàaôat 67295, 1 1. A ; A 2 ; AG ;
— 67328 , 1 , 1 :
9 ; II 1
9 , ;
îSioiip3.yy.ovsIv 67295, II, 21. 22; — 67310, r., — A; 67314, III, 33;
ïSioi 67293, 1 ;
— 67295, II, iS; — 67299, — 67340, r., 5; G2; 73; — 67353, r.. A,
xala 67331, H, r., 12. xdyoi 67295, III, i5; — 67305, 22: —
ixav6s 67333 , 19. 67329, II, 9; i3; — 67353, v., A, i G.
ÏKt^îa. 67279 , 2 ; v., 1 xaOa 67314, H, 12; III, 18; — 67340, v.,
67306, I
;
— 67307, 1 ; G; 8; 11; 12 xaOsSpn 67321, 7.
67308, 3 ; h; — 67309, 3 ; /i 2 ;
— 67311 xaûicrrâvai 67279 9 ;
— 67294 , 1 :
7 ; 9 ; 2 7 ;
—
,
1 ;
— 67312, A — ; 67319, 3 ; 7 ; 9 ; 1 1 — 67295, III, u; — 67323, i3;
xai'nsp 67283 ,
.')
3: — 67324, 3; — 67359, III, v., 3; IV,
xaip6s 67280, 1 ;
— 67294, '1 : 2(j ;
— 67295, r. , ,)
67300, S; — 67301, — 18; 67312, 3 9; xaralsinsiv 67295, 2A; — 67312, A5; .^)G;
Al ; 8(j; — 67313, 35; — 67314, II, 9; 82; 97; — 67313, 3; — 67340, v., 6;
— 67325, IV, r., 19; — 67327, 33; — 63; 9G.
67328, I, 7; V, 9; VII, 9; — 67331, II, xa.iakoydSnv 67314, III, 3 1.
xai'Oinxôi : voir Index VI. xaTî'xsii' 67290, 10; — 67340, v., 80.
xavojv : voir Index VI. xoLioyJ 67169'"', Ao; — 67282, 6; —
xapa^os 67359 , II, c, 2; VI, 9. 67299, 5; 17.
xapTT&s 67279 , 20; — 67300, 7: — 67301, xavxavoTvXôxoi : voir Index III.
3o.
23G CATALOGUE DU MUSÉE DU CAIRE.
x£-Xeûetv 67312, 3o; 38; 53; 63; 79; 99; — 67327, 3; 9; iG; 2^; 39; — 67329,
—
:
Hst^âlaiov 67294, 27 ;
— 67295, 2 ;
— 67299, xoii'vi'i'a. 67311 , 12.
Gi; — 67309, i3; — 67310, v., 12; — xofrîôs 67295, 18; — 67313, 12.
67312, 23; 3o; — 67314, Sa; II, 11. xohv 67310, lA.
xeÇiaXatoTtis : voir Index III. xonoiv{'!) 67302, 11.
xtËc^6s 67331,
67340, V., 39.
II, r., 3. xont'leiv 67295, III, 25; — 67314, 12; —
xivSwsvsiv 67282, 9 ;
— 67299, 22. 67320, B, 9; — 67321, B, G.
xlvti(Tis —
67320, 6; 67321, 10. xopu(p>7' 67279, 21.
67306, 11;— 67309, 16; 3o; 33; — KpstTTw (à) ; voir Index I\ .
67313, 62; — 67314, 23; III, 9; 21; — I, r., 5; 10 et seq.; v., a'5 iA; II,
67324, 2; 3;— 67325, IV, r., 3i;VII,?'., 5; 27; r., 3; lA; — 67327 o 9
00.
xX^pos 67295, 27; — 67301, 17; — 67312, xpi'a-ti 67305 ,21; -67310, !'., 3; — 67314,
7A ;
— 67313, 33 — ; 67325, IV, r., 21; 25; III, 32;- 67352, >:, 11.
PAPYRUS BYZANTINS. 237
1 7 ; 2 'i
; :) () ; 67300, 8 ; 67303 ,12: 2; 3; A; G; — 67325, II, r., 8; 10;
—
1 1
—
;
Hi; 67312, 89; 67313, 19; 2/,; III, V., 2; IV, ;•., G; 9; i3; 21 —
35; A7; — 67333, 7; i3; 27; — 67347, 67326, G; ,0; — 67327, 9; iG; 2A;33;
;
1,1'., 1
39 —; 67328 , 1 , 2 3 II 2 3 e/ se(].
— —
; ; , ;
67305, li
; 67306, 1 G ;
— 67309, 5 1 : V., A, 2 G.
— 67310, ('., (); — 67311, 2(); — 67313, XanLirplTa-TOi 67169*"', 3; A; 5; 3G; —
26; — 67314, III, /ii; — 67322, 3; — 67279, lA; i5; iG; — 67283, 2; —
67324, i/j; — 67325, IV, ,-., /i 1 ; VI, 2; —
67290, 2; G; — 67295, 67298, h
—
1
—
;
Xeiiâvv 67289, ) i ;
— 67300, i ô ;
— 67347, iG; 19; — 67295, 23; — 67306,9; —
II, D. 67311, 18; — 67325, I,r., 1/1.
Xvyàrov 67312, i lo; — 67314, 33; II, 5; Aomés 67280, B, 11; — 67288, V, G; —
m, i8; 26. 67312, /i
9 ;
— 67324, — 1 3 ; 67329 ,11,7;
XîSsXlo? 67295, 1 ; 8; II , 1
7; 22 ; q/i. XuVis 67306, 8; i5.
ltSi>i6s 67325, IV, r., 20; 27; — 67328, IX, XvaneXeîv 67321, 7.
Xhpov 67325, II, t^., 2 3; VIII, r., 17. ^Ltiysipos : voir Index III.
Xo7J£T(i6s 67299, 29; — 67312, 12; i3; 62; (;iaxp(37>;pa(a(sul)sl.) 67314, III, 27.
— 67353, V., A, 5. yMxpoyvpSv 67294 ,18.
Xoyicrrv'piov 67169*''', 73; — 67309, 5; 10; IxaXaxîa 67314, III, 29.
logislerium 67329, li; II, 12. (/cTXXoi; 67295, 28; — 67333, 18.
Xiyos 67169'''', 1 5; 1
y ; 27 : 59; — 67279, juaVf^r; 67312, A/i; 88.
— 67285, 2;— 67287, 1;— 67289, 1; — f.(apTup£rr 67295 , 17; II, ^1; — 67302, 20;
67291, 3; 6; — 67295, lA; 16; III, 29; — 67303, 2/1 — ; 25; 67306, 18; 19; —
— 67298, i3; — 67299, 5G; — 67302, 67321, G; — 67324, 18; 19; 20; —
1^1; — 67303, 17; — 67305, 20; — 67325,IV,r.,/i5; — 67328, III, 3o; IV, 3o;
67306, 9 ;
— 67308, 2 ;
— 67309, 2 1 ;
— V, 29;VII,27;28;VIII,2G;28;IX,3o;
67310, 12; 10; i'., 2; i3; — 67311, 18; 32;X,28; 29;XI, 28;3o;XIl, 3o; 3i.
— 67313, 22; — 67314,111, 26; /i8; — f/apTyj 67309, 5 2; — 67311, 3o; — 67312,
67325 , I , r. , 1 ; 28;?'., 1 ; 8 ; 1 3 ; 2 ; II ,
iG; — 67314, UI, /i/i; — 67324, 11.
r., 1; 11; !'., 1; 1^; i5; IV, )•. , 36; fjolpTus au sens religieux : voir Index I\ .
II , /i ; G ; 8 ; 9 ; 1 3 ; 1 A ;
— 67339 , 1 ;
— (isyâOufioi 67289 , v. , 1
—
;
67311, 127; — 67314, II, i(i ; — 67325, ljLSTixlayi€âv£iv 67295, III, 3A.
IV, r., 3. liSTanay,i{1) 67140, 8.
'"',
[Leîlojv 67169 a 1 f/£TaX>.aTT£ir 67312, 1 1
y.eiow 67294 -2
67340
,
lj.£Ta(i£>.eï(70ai , v. , yA
[iù.aOpov, ohov 67331, I, r. , 2. f/ÊTot^J 67299, i5; — 67305, 18; — 67310,
fjiéXai 67339, i3; iG. 5; — 67313, 17; 28; 5i ;
— 67314, 1 A.
(ie>.sr(îv 67331, H, r. , 10. lieToi-KTiocrtsC?) 67140, 8.
f/A< 67330, II, 1. f^£Ta(7;(;,>;f/aTi'^£ir 67299, ly.
(xÙAo-^ovpyiî : voir Index lil. ixerartôévat 67295, 2y; II, 21.
(iik\etv 67300, 7 ;
— 67308, 3 ;
— 67312, y ; fi£Ta(popa' 67303 , 18.
— 67350 rt, 7; 11; — 67351, 8; — !i£T£tyt£vaLi 67314, III, 16.
—
;
23; 28; —
; ;
—
, , ;
67313, 5; 3i; — 67314, i5; III, 23; 67314, III, 16; —67321, y; B, 3; —
A5; — 67325, II, v., i5; III, r., 7; v., 67325 , I , i'. , 3 ; II , ï'. , 1
7 ; I
y ; 2 1 ; 2 2 ;
8; () ; 11; 12; MI, r., G; VIII, r. , 22; VII, >:, 8; VHI, r., 2G; — 67328, I,
y;
— 67327, 3(); Ao; AA; — 67340, G7; H, y e/,v,v/. III-XII.
67314, 3; i5; III, i3; IV, r., 7; — //or./ 67296, 7; — 67297, 7; — 67313, 39;
67327, Ao; — 67328, U, S et seq. IlI-XII. — 67328, I, G; II, G el seq. III -XII; —
(xriTpyos 67295, 2 G. 67332, 9; — 67340, A 6.
fitixvv'uxeiv 67295, III, 7. IV, r., 17; VII, r., 8; r.. G; 10;
fxia06s 67300, 67303, 7; 17; — 67340, V., GA; 12A; — 67353, y.. A, 7;
67305 , 1 A :
— 67325 , IV, r., 3G ;
— lA.
67302, 17; 20; — 67303, 2A; 25; — (ivpoOv'xyj 67324, ('., 1». 119.
67325, IV, r., A 5; — 67327, 10; aA. Nflti/Xoi' .-
voir Index VI.
fi,crOa,n)js 67279, 1 1 ;
— 67303, A; — 67325, yaîrmi : voir Index III.
IV, r., 9; lî); — 67359, III, r., 11; 12; vavTtKÔi' : voir Index VI.
(jnaOcoTixôs 67303, 2 1 ;
— 67325, IV, r., Ai. rsoiitma 67291, 8; — 67302, 7; — 67309,
liia-07T6vtipos 61279, 10. A2.
f/f£/a 67295, III, 3A. vsos 67295, 1 5; 3o.
(Jivtf^iv 67169'"', 6; — 67279, 7; — 67294, vsoÇiînios 67333, 27.
modius .•
voir Index VII. el seq. III-XIl; — 67332, 7; — 67340,
(/orpa 67313, i5; — 67314, 17; 3A; III, qo; GS.
— 67340,/'., iG; G2 ; 73 ;— 67353, »'., vosh> 67312 ,11.
A. i5. rOf/>/ 67295, G; 25; 2G; II, 3; 1 A; 19; 2 1 ;
fxoixôs 67295, 21. — 67309, 3A; 3G; — 67325, IV, r., 38.
liokwapyp? ['\) : voir index III. v69os 67353, r.. A, 17.
67311, f I ;
— 67312, iG; — 67313, 29; oïeaeai 67311, i3; — 67312, 5o; — 67353,
— 67340, !'., 8. V., A, 9.
voyLly.coi 67340, v., 9/1. oÎKsh 67295, i3; — 67301, 9.
vS^iafiOL : voir Index Vil. oUsïos 67169 '"',
1 A ;
— 67294 ,
1 9 ;
— 67312
vojxia-^idTWv : voir Iiulex VII. 81; — 67320, 2; — 67329, 7; 11; II,
qG; —
;
G ; 1 1 ;
— 67303, 5 ; 6 ;
— 67303, 3 ;
— o/x/a 67302, 8; 18; — 67303, i8; — 67309,
67312, ho; h-i; 67; — 67314, 1 1 ;
— 23; A5; — 67312, GG; G7; — 67313,
67325, IV, ,•.. 10; — 67328, I, 2; II, 53; 58; — 67314, 2; II, 7; — 67340,
2 cl seij. III-XII; — 67329, A; 5; II, 2; "' 97-
— 67332 , 5 ;
— 67352 , v. , 2 oi>iovo[ieh' 67298, 20. — Voir Index IV.
vO(7oëap>i'i 67353, r., A, 12. oUofoiMa 67298, 22; — 67340, ('., A 9.
vo(TOxoyLe7v 67314, III, 29. oÎKoi'ôyLos : voir Index I\
vlTOi 67169'"*, /18; — 67325, IV, r., 2/1. oUovyLsvti (v) 67295, II , 1 G ;
— 67297, G ;
—
voufiepdpios : voir Index III. 67299, 52.
«w 67282, /); — 67292, 3; A; — 67294, oUovfjiStnxii 67279, 22; — 67353, v., A, 28.
iG; — — 67295, IH, A; 32; 67298, 20; rj'iKoupd 67310, 8.
—
1
35; —
67299, I ; 67303, 5; 20; — oIktos 67295, III, i3.
—
67305, h; 5o; — 67309, 67310, v., oîvoKptov 67320, B, 2; I 1 — 67321, 15,
;
7;
—
12; 19; — 67311, 67312, 102; — 9 ; 1 ; II.
67313, AG; A8; Sa; — iG; 67314, 18; oivoTipdTni : voir Index III.
A7; —
III, — 67321, 3; 67329, 7; 10; olvos 67279, 2 — 67287, IV, 1 9 8
—
1 1
1
9 ; ; ;
—
67340, V., 7.'); 67353, r., A, iG. 22; 27; — 67314, 12; — 67324, A; —
;
i\, 8. A 1 ; , I , A ; 2 1 ; II , A ; 2 d seq.
bl)iri 67295, 3 I ;
— 67340, i'., 29. III, 7; Ai; — 67325, IV, r., Ai.
bUKlvpoi 67169'"'', AG; 53; — 67299, 82; b^bvoia 67314, III, Ao.
— 67302 , 8 ;
— 67309 , 2 2 ;
— 67313
2 7 ;
biiovolai (monumenl public ou i^Iise à Anli-
53; — 67325, IV, r., 19; 23; — 67327, nou) 67309, 2A.
b^Lvivxi 67296, 5; 17; 18; — 67297, 5; — 8; 12; lA; VIII, r., 8; i5; v.. 1; —
67314, III, 10; — 67328, I, h\ 22; II, 67329, 11; 12; iG; 17; — 67333, 27;
ôfio/w? 67285, 3; — /i ; 67287, 5; 8; II, 2; &7rXoi' 67321, 2; — oTrXa" tsdma. lot. yjxkKÛ-
05; — 67319, 5; — 67325, H, r., A; v., bI:lJ^av 67296, 8; 12; — 67309, 17; —
19; 21; 23; IV, V., 2; A; VII, V., 5; 67310, 7; — 67328, 1, i3; II, i3 vl scq.
j 1 ; I A ; VIII , r. , 1 ; 1 1 ; 1 2 ; 1 3 ; 1 8 ;
III-XII; — 67334, 8.
— 67329, 12; 17; — 67330, II, iG; bnÔTspov 67295, 20.
1 5 ;
— 67297, 5 — 87 ; 67298, 1 2 ; 1 8 ;
bmicov : voir Index V.
— 67301, 13A; —
1 ;
— 67302, G; 17; — 67313, 'iG.
A ; 8 ; «'.,
9 ;
— 1 ; 1 3 ; 67311 , 1 o ; 18; bpOôs 67169'''', 3i; — 67299, 29; —
3i ; — 67313, 3o; 3i; —67314, III, 22; 67353, r., A, 5.
PAPYRUS BYZANTINS. 243
oikcoi — —
67289, 2; 67291, 10; 67295, zramaxov 67299 G 1 — 67306 G —
m, 00; —
,
35; —
; , 1 ;
15, — —
8; 67324, i4; 67325, I, r., 3; isavTsXifs 67169'''', 3 9; — 67311, kj —
—
;
r., 22; 3; II, r., 2; i 2; v., 2; 67329, 67313, 52; — 67353, v.. A, 17.
i3. ^avTSAvi 67294, 22; — 67314, III, 12; —
àÇ>et'>.eiv — — 67292 , 2; 67308, 1: 67310, 67352, r., G.
—
^1; 67314, II, à. Ww.; 67169'"', 52; — 67283, 11; —
6(pXvfia 67309, 35. 67325, IV, ;•., 33; — 67353, v., A, 3i.
6x9os 67313, A 5. zrdvjoOsv 52; —67169'''*, 67325, IV, v.,
sapé.Za.'jis 50; —67299, 67314, III, 3; 33. I, lA; II, i3 et seq. III-XII; — 67334, 9.
—
rsapolysiv 67328, XII, 17; 67347, I, v., 5. 1 1 et seq. III-XII; — 67359, VI, 1 ; 11
37; — 67321, f); — 67322, 1; 7; — wapaxc'psîi' 67169'"', 37; GG; — 67313, 23;
67328, I, ih; II, 1/1 et seq. IlI-XII; — — 67340, G.
AA; — 20; —
,
XII; — 67334, 7. — — —
67321, B, 2; 67322, 2; 67328,
aapanivOioi 67309, 3i ;
— 67314, A ;
qS. 1, 17; — II, iG et seq. III-XII; 67340,
1 ;
— 67324 , t . • -isdpoSos 67309, 28.
zfapdaracTis 67328, I, 12; II, la et seq. III- aapopdv 67279, iG: — 67314, 27; III, 28.
18; ao; 2q; 28; 2G; II, G; — 67303, 67353, V., A, 21.
2 2 ;
— 67314 — , 8 ; 67327, /) ;
— 67340 -aspisp)cs7Ù3.i 67283, 10: — 67312, 72; 73;
i'., /12; — 67353, V., A, iG. — Voir — 67314, i5; — 67340, v., 7.
•srexou/for 67312, 101 ; 102; — 67313, G8; wÀao-T&ï 67325, I, r., i5; 17; 29.
— 67314, 20; 29; 33; III, 18. CTÀero-Tos 67294 A; 19.
—
,
67325 1 V, r. , 38 ;
— 67326 7 , ;
— 67327, 1 ; 67299 , A9 ;
— 67313 ,22; — 67329 ,11,9-
7; 1/1; Qo; 39; 38; /i5; — 67340, t'. , 1 G. TSohjKw-nhrji : voir Index III.
-aX-npc^iJiis 67326 , 1 i ;
— 67327, 10; 1 8 ;
aoXxj^elrîi 67279, 1 i.
BrXoTof 67280, B, 3; 5; — 67286, 3; lA; — woXuTsX^/s 67312, AG; — 67353, V., A, i3.
— — 67283 1 G 67284 ,
— /i ; 67286 8 , ; (j aopOùv 67333 , 1 A
—
; ;
—
67290, 12; 67291, 9; — 67293, ^i : -aopt'sîa 67310, 1 2 ; r. , 2.
1 —
3 ; 1 5 ; 67307, 1 2 ;
— 1 5 ; 67311, 2 ; 'BÔppu 67295, 9 2.
— — 67312, 8; 67314, III, 37; /i5; — -woo-ÎTjjî 67353, r.. A, 1 3.
—
67322, G; 67323, lA; — 67326, i3; -aoOi 67295, II, 7.
— 67327, 1 ; 1 8 ; 25 ;
—
3/i ; A 1 ; 67328 -apiyfxa 67279, 8; 93; — 67283, G; 12; —
I, 12; 11, 12 f< seq. —
III-XIl; 67329, 67290 , 2 ; A ; G ; 9 ;
— 67291 7 ; i 1 ; 1 2 ;
—
,
8; i5; — II, G; 67340,1'., 9/1; — (partie 67295, 17; 25; II, A; lA; 25; lU,
(le la conjugaison de) 67350 n; l>; c. 18; — — 67296, lA;— 67304, A: 67305,
^oi(jLv'i' voir Index III. 67310, — — !'.. i3; 67311, 25; 67312,
aroivv 672%, 26: II, 8; — 67298, i3; — 37; A5; 5G; Go; 83; — 67313, G; 7;
^ihs 67291 9 ; 1 2 ;
— 67295, 1 3 : 1 G ;
— ) 1 ; II, — 11 rt seij. I11-\1I; 67329, II,
—
,
67298, 19; 38; /iG; — 67299, Ai; — 12; A3; A8; GA; 9G; 67340, V., 7;
67302, 3; 9; 10; 20; — 67305, 2; A; G; — — 67342; 67352, r., A.
A ;
— 67323 , 1 — 3 ; 67327, 2 1 :
— 67329 -ûrp^môanos : voir Index III.
apd-iTsiv 67281 , G ;
— 67283 , <) ; — 67295 apôôeais 67169 "', 3 1
-apoyeviis 67309, /lA. ;•., i3; A2; A3; A5; VIII, v. . 12; —
•wpfiycioî 67295 , 1 /i 67326, i5; 17; — 67327, 11; 12; 18;
-zspl-ypapL^ia. 67353, v., A, /i. i9;2G;28;35;Ai;A3;A8; —67328,
-urpoypoKpeiv 67169'"', 2/1; —67295, II, 3; I, 2 I ; 22 ; 23; II, 21 et srq. III-XII; —
2/1; — 67296, 9; — 67298, 29; AG cl 67333, i3; 20; 2G; — 67344, 10; —
scij.; — 67299, G; /12; — 67305, G; 8; 67347, I, 11; — 67353, v., A, 35; —
— 67309, — 10; 53; 67310, v., 2; — 67357.
II , 1 /i ; III , 7 ;
— 67326 , 1 5 ;
— 67327, -srpoKph'siv 67279, 9.
67299, 3i; 32; — 67321, -S; — 67325, zrpoi'ot^Tiis : voir Index III.
apoametv 67299 ,
ih. mpoÇiépsti' 67299 , G2 ; 67309 5 , 1 ; 67311
wpo3-(popo^ 67312 ,
7G; — 67324, A; 7. poyàtoç 67312, 1 G.
aîyla. 67340, v., 77. (TTrepfzaTfa-f/oï 67325, II, ?•., i5;f., i5.
criSijpovv 67303, i3. (77Tsp[jLoèoh'a. 67308 , 2
aiSnpovs 67279 , 2 ;
— 67303 , 1 ^ o-TTopa 67310, 2; — 67311, i3.
o-ixt^oîr 67313, ^7. o-niptyLOS 67140,3; A; 5;G; 7; 8; 9; 10;
an^psa-iO}' 67320, 3 ; 5. I 1 ; 1 2 ;
— 1 3 ; 67169 ^'\ A a ; 70 ;
—
a(T);o-j j 67321 ,
.")
;
— 67325 , 1 , r. . 1 /i 67289, 10 (?); — 67329, 1 i ; 1 2; iG; 17;
anoTiOfiTzla 67280, 1 ;
— 67300, 12. ffTtovSdisi» 67280, 3; — 67290, 7; 9;
—
(Tho? 67279, 19; — 67280, 9; B, 10; 1 1 ;
— 67295, iG.
67285 , !'. , 1 ;
— 67286 , G ; 7 ; 1 ; 1
7 ; 1 8 ;
aTrouSaîo-'S 61295 , i!i.
20; — 67289, A; 10; 1 1 ; i3; )5; 18; (TTTouSn Q72SI, 5: — 67291, 7; — 67295,
scq.: m, ('. , 2: 67327, 33: — aTÙlsiv 67313, G8: — 67314, III, 35.
1 ;
— 67352, v., 2. cnspyeiv 67169'"', 19.
cTKsCoi 672S3 , 8; — 67295, II, 9; 12; — — 67327, 12; 19; 28; 35; 62; /17;
CKijmpov 67279 , 9
—
; 67295 , 3 1 2 2 ;
— 67344, 8 : — 67347, 1 , 1 i
67314, m, I I ;
— 67340, i5. OTOf/ior 67359, VI, 1 ;
11.
aufiËaivsw 67283 , 9 ;
— 67299 , 1 5 ;
— 67306 avvsTTScrOai 67313, G 7.
— 67309 , 53 ;
— 67310 , t'. ,
9 ;
— 67311 aîii'TayyLa 67314, III, 37.
29; — 67313, 5i; — 67314, III, G; 37. avvrdavsii' 67292, 2; — 67293, 2; 3.
avvdystv 67312, 1 G ;
— 67323, 1 1 avvTEi'vsiv 67295 , 3 1
mivatvsrv 67169'''', —
9; 67294, 2/1; — amnfkeia. : voir Index VI.
aÇ:vpa. 67331, II, )•. , K). T£X£t/T»/ 67312, /i5; G8; 82; 99; — 67340,
(Tarrup/a 67279, 22; 28; — 67282, y: — T>;X(s 67325, I, V., 27; K, r., i3.
Téxvov 67279, 27; — 67305, 10; — 67310, Tt^vpla 67295, II, 10.
3a.
9r.9 CATALOGUE DU MUSÉE DU GAIP.E.
TOTToOeula. 67169'''', hh\ AS; 52; 27. 19;II[, 5; — 67299, 59; — 67310, r., 1 2;
TiTTOï 67140, 1 ; 1 2 ; 1 G ;
— 67282,0 — ; 67283, — 67329, 7.
—
5; 67289, 1 — 67290, A; 67295,29; TUTTOî 67321 , 3 — ; 67331 , II, r., i3.
—
;
— 67297, 1 ;
— 67299, 1
9 ; 2 2 ; 32 ;
Tvnovv 67353, v.. A, 1 A.
»•., 2; 6; 8; 9 p< scq.; v., 2 elseq.; If, r., Typ<>ï 67289, 1 1 — ; 67300, t5.
1; 11; V., 1; VIH, ;•., 7; — 67327, S; TVX1 67296, 5; — 67297, 5; — 67299, 22;
iG; — 67328, IV, 19; V, 17: VI, iG; — 67313, /i5; — 67321, 7; — 67328, I,
VII, i5; VIII, i5; IX, 19; Al, /.; t8; /i; I.\, 7;.\ll, 7: — 67353,)'., A, 27.
\\\, 19; — 67329, 12; 17; — 67340,*'., T^.ixafXior {SoxolAial) 67340, v. , 38.
6; 25. lit).
TpaxraTtcôv 67329, II, 5; 7; 10. — 67294, 10; 19; — 67295, 28; III, 19;
Tpameveiv 67329, 10; II, 9. — 67296, 7: — iG; 18; — 67297, A;
rpaxrevTrj'i : voir Index III. —
67301, 7; 8; 20; — 67302, 19; 67303,
Tptole : voir Index IV. 9; — —
67305, 3; 5; — 67309, A; 8;
TpiËovvos : voir Index V. 67311, S;— — 67312, G; 67314, iG;
zpierv'i 67300, 7. 111,8;— 67319 ,
1 A ; 1
7 ; 2 1 ; 2 2 ; 2 A ;
iG; II, 1 1 ;
— 67299, 18; /i3; — 67305, 20; — — 22; —
67332, A; 9; 67333,
1 1 ;
— 67310, to; iG; i\, 1 ;
-
— 67313, 67340, G5 2A —
!'. . AA 5 ; ; 1 ; 67353, r. ,
v-nap^ts 67303 , i (j
vnohiy^is 67295, 3o; — 67312, 17.
vTzalpxeiv 67169'"', 61; — 67283, iG; — vTT/AoïTtos 67313, 23; — 67329, 5; y.
67295, i3; 2 G; — 67300, S; — 67301, vnoyiévsiv 67290, 12; — 67295, II, 25;
15; — 67303, i3; — 67305, 2."); — 67333, i5.
67309, Kj; Qi; _ 67325, IV, /., iS; — Cn6(iv„fia 67280, B, G; — 67329, II, 2; 11;
67340, i'., 9; A 6. 1 2.
vTiaTEta 67169'"', — i ; 67296, i ;
— 67297, VTTOptvija-nxoi' Q^3^Q 1.
I ;
— 67300, I— ; 67302, :>.; — 67303, 2; vTiovstSiZsiv 67295,
^
III, 8.
— 67305, 1 ;
— 67306, 1 ;
— 67309, 1 vno:7yi!i!xtveiv 67295, 11, 22.
— —
;
—
;
67353, v.,
, v. ,
A,
, 1 /i ;
VTtoypa<Pv' 67284, 5 ;
— 67296, ih; — 67307, (pavsp'.s 67283, iG; — 67306, h: —
7.
67340,
i3; — 67309, Tu; — 67311, 3o; — V., A 8.
67314, III, /12; — 67324, i5;— 67332, (pépeiv 67299, 21 ;
— 67312, 12; — 67313,
6.
21; — 67323, i3.
ÙTtoSéuTiiî : voir Index III. (pOéyyeaBoLi 67294, 27.
CnoSir^Kcvoi : voir Index IV. (p«?£/pï<r 67331, II, r., 8.
îmo'ivyiov 67279, 18. (pO'jvoi 67324, 8.
v-KoOiÎKn 67169'"', 16; — 67305, 2j; — (^iSstKoyncrcrdpios 67312, 20.
67306, /i; 7; 12; 1 /i ; — 67309, 21 ; 00; Ç:û.aiTaroi 67310, 17.
— 67310,1'., i3; — 67314, III, 26; AS. <pjXaÀA>7Xos 67310, v., S.
înroOïjxifjiaïos 67309, 1 f .
(pîlavSpos 67310, 18.
vnoHsïaÛixi 67296 , 1 i ;
— 67309 , 52. (piXavOp'imt'x 67279, 8; 28; — 67294, 28.
viroAs/neiv 67283, 8; 1 2 ;
— 67314, 3o. (^/À/a 67295, III, 2/1; 3o; 32.
254 CATALOGUE DU MUSÉE DU CAIRE.
(pAoj 67293 , Q ;
— 67295 , III , 17; — 67313 — 67305, G; — 67306, A;— 67307, 3;
2 ^1 ; 28. 67308, 1 ;
— 67309, 9; — 67325, IV, v.,
Ç)iX6<7oÇios 67295 , 1; 1/1; 19; II, 2/1. i3; — 67328, I, 3; II, 3 el scq. lU-XlI;
(ptXoTt;i£7a9at 67352 , r. , 11. — 67332, G. — Voir Index \X, Abréviations.
27; ^ 67304, 1; — — 67310, r., 10; Xap^xtnp 67296 , 10; — 67297, 9 ; — 67328
67353, V., A, 5. I, i5; 11, lA cl svij. Ill-Xll; — 67334, 1 1.
(popjx-is 67300, 1/1; — 67301, 29. Xdpii 67294, 20; 28; — 67298, 25; —
(pop^api'a 67320, —
B, 8; 67321, B, G. 67299, G5.
(popoXôyos : voir Index III. X<^pT>js67283, 10; — 67306,8; — 67329,11,9.
(pôpos 67283, A ;
— — 67285, t>., 2; 67300, XOLp-rîov 67330, H, G.
1 —1 67301 , 25 — 2 1 67307, A 1 1 XaptovXdptoi : voir Index Ilf.
—
; ; ; ;
—
;
ÇipovTitsiv 67290, —
T); 67305, 1 1 ;
— 67323, XOtviKis 67303 , 1 A
8. Xo7pos 67289, 1 1 ;
— 67325 ,\, r., 21.
(PpovTt? 67280, 1 ;
— 67281, 5; — 67295, H, Xopnysn' 67314, II, 5; — 67321, 5; 8.
20; — 67305, 10; — 67333, 10. XV°^ 67279, 19; — 67325, I, r., 8.
<Ppovp6s: voir Index III. Xop-!Ôa-ïïzp\>.ov 67325, l, i'., 28; II, r. , 17.
53; — — 67310, i5; 67314, lll, A6; — Xpéoi 67305, 27; — 67309, 20; 3i ; 37; A3;
67340,GG; — 67353,1'., A, 2 3. AA; AS; — 67314, A; 20; 3o; 32; II, 11.
1— ;
— 67295, 8 ; 1 5 ; 67305, 1 ; 1 G ; Xpvaoxoïaài 67284, 3; — 67301, 33; —
— — 22;
67312, r)2; 67314, lU, 82. 67325, II, V., 18; 21 ; 22; 2A; 25.
Xpmiy.oi 67321, G. Xpvaoxf^os : voir Index III.
XP>;7is 67302, 12; lA; — 67309, .'io. Xpvaùvns : voir Index III. '
67300 7 ;
— 67301 , 1 3 ; 1 5 ; 3 1 ; Xwp/oi. 67279 ,21; — 67314 , I 2 ; 3o ; 1 1 , 3A
67302 , G ; 1 (i ;
— 67305 , 8 ; A 1 ;
— 67310, X(^pU 67299, 27; — 67305, 12; — 67310,
c, — 1 ; 67311 , 1 A ; u ) ;
— 67312 ,27; V., 3.
I —
7 ; 67325 , IV, /•. , A o ;
— 67328 ,1,8; ^^i(pîlen> 67309, Ai.
19; II, 8; 18 (( .wy. lil-XIl; — 67329, \{');if «TTj/s ; voir Index III.
28; 33; —
67301, — 67302, lA; i5; d<(ja.\nui 67312, 7G; — 67314, II, 7; —
67305 — — , 23 ; 67306 , 5 ; 67307, 9 ; 1 ; 67328, III, 32.
— —
67309,— i3; lA; 67310, G; wi^eXif/OJ 67310, i5.
àfidpvy(ia 67315 ,
22. aJXatÇ 67318 ,11.
d(JtéTpriTos 67315, 5. cKpOnoi 67318 1 J.
êoixûi 67318, I). 0£&s 67315, iG; 5i; — 67316, iG; 17: —
eTrapxoî 67316, (); 19; 25. — Voir Index III. 67318, i3; 23.
Calul. du Musée, n° 67379. 33
258 CATALOGUE DU MUSEE DU CAIRE.
xaXXi'rwos 67315, 18. {/^T(s 67315, i3; — 67316, 19; — 67318, 91.
KaXXioTTi; 67316, 9/1; — 67318, 9. iit'v (f/./r) 67315, 9.
xc/XXo> 67315, 9/1; 37; — 67316, 5; — {^((TOTrôi'vpoî 67317, i5.
33.
260 CATALOGUE DU MUSÉE DU CAIRE.
ptiïSi'cos 67315 , 9 /i ;
— 67318 ,12. TpîJ« 67316, .'1; S.
piTVTsiv 67316, 3o. TiiyXolf''v 67318, q/j.
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No 67^82.
Catalogue du Musih; nu Caiiu;. — I'.wykus Byz. IKTIXS.
Pl. IV
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