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Vivre « sans rien en propre »

Plus qu’un vœu de pauvreté

1. Introduction
L’expression « vivre … sans rien en propre » - vivere sine proprio placée aux côtés de
l’obéissance et de la chasteté dans le premier article de la Règle des Frères Mineurs, approuvée
par le pape Honorius III en 12231, pourrait nous sembler l’équivalent de la pauvreté dans la
triade des conseils évangéliques et des vœux religieux pauvreté-chasteté-obéissance2.
Cependant, l’étude des sources franciscaines a montré qu’il s’agit de bien plus que le vœu de
pauvreté, centré sur le rapport aux biens matériels, tel qu’il est défini dans la législation
ecclésiastique3. Le « vivre sans rien en propre » y apparaît comme un des piliers de la
spiritualité franciscaine : la contemplation de la Parole et de l’Eucharistie, la vie
fraternelle ouverte à tous, la minorité et la mission d’annonce à tous de la Bonne Nouvelle
d’un Dieu proche et aimant.
Le « vivere sine proprio » apparaît d’abord dans bon nombre d’événements de la vie de
François d’Assise et de ses premiers compagnons. Des scènes décrites dans les récits des
origines de l’Ordre en constituent les fondements et nous donnent la clé pour comprendre sa
signification. En fait, si on voulait chercher l’explication dans seulement les écrits de saint

1
Honorius III donna cette approbation le 29 novembre 1223 dans la bulle Solet annuere. Les collections des
sources franciscaines appellent donc cette Règle, toujours en vigueur, la Regula bullata alors que la première règle,
de 1221, est dite « non bullata ».
2. Cf. CONGREGATION POUR LES INSTITUTS DE VIE CONSACREE ET LES SOCIETES DE VIE APOSTOLIQUE, Eléments
essentiels de l’enseignement de l’Église sur la vie religieuse, le 31 mai 1983, esp. nos 20-21 ; texte en ligne :
http://www.vatican.va/roman_curia/congregations/ccscrlife/documents/rc_con_ccscrlife_doc_31051983
_magisterium-on-religious-life_fr.html.
3
Par exemple, CIC, can. 600 dit : « Le conseil évangélique de pauvreté à l’imitation du Christ qui, de riche
qu’il était s’est fait pauvre pour nous, comporte en plus l’une vie pauvre en fait et en esprit, laborieuse et sobre,
étrangère aux richesses de la terre, la dépendance et la limitation dans l’usage et la disposition des biens selon le
droit propre de chaque institut ».
François, on passerait à côté de l’essentiel, car – comme nous le rappellent les historiens
contemporains4 – saint François enseignait (consciemment) plus par sa vie que par l’écrit.
Dans ces pages, nous allons parcourir quelques scènes historiques, puis regarder des textes
de type législatif qui contiennent l’expression « vivere sine proprio » et l’intention que saint
François exprime dans ses Admonitions. Dans la conclusion, nous considérerons les fruits d’une
vie « sans rien en propre » et suggérer comment elle peut inspirer la vie aujourd’hui.

2. Fondements dans la vie


Dans les années 1204-1205, François vit une conversion qui le conduit, pour mettre fin au
conflit que sa nouvelle vie à fait naître entre lui et son père, à renoncer à son héritage et à lui
restituer jusqu’à ses vêtements en présence de l’évêque d’Assise. Bonaventure de Bagnoregio
raconte :
Si denudò totalmente davanti a tutti dicendo al padre: “Finora ho chiamato te, mio padre sulla
terra; d’ora in poi posso dire con tutta sicurezza: Padre nostro che sei nei cieli, perché in lui ho riposto
ogni mio tesoro e ho collocato tutta la mia fiducia e la mia speranza”.5 »
François choisit de vivre dans la pauvreté volontaire et, inspiré par l’exemple du Christ,
oppose aux riche de la société un mode de vie marquée par vivre une joie parfaite, fruit de sa
proximité avec Dieu.
Il prend l’habit d’ermite et, de 1206 à 1208, restaure l’église Saint-Damien, prend soin des
lépreux et prêche l’amour et le pardon inconditionnels. En avril 1208, il est rejoint par d’abord
par Bernard de Quintavalle, puis Pierre Cattani et Gilles se joignent à François. Tous quatre
vivent dans une cabane, près de l’église Sainte-Marie de la Portioncule, à une heure de marche
du centre d’Assise. Dante rappelle l’attirance de la forme de vie de François en ces termes :
« La concorde [de François et de Dame Pauvreté] inspirait des pensées si saintes que le
vénérable Bernard le premier se déchaussa, et courut à une si grande paix6 ».
Au moment d’embrasser cette nouvelle vie, Bernard veut se défaire de ses biens, mais la
question se pose de savoir s’il doit les laisser à sa famille ou les donner aux pauvres. La

4
Augustin Thompson écrit dans ouvrage Francis of Assisi : A New Biography, Ithaca - Londres, Cornell
University Press, 2012, « his greatest sermon was always his own life », car « he assumed that his followers would
learn by imitation » (resp. pp. 41 et 40).
5
BONAVENTURE DE BAGNOREGIO, Leggenda maggiore, II.
6
DANTE ALIGHIERI, Paradiso, XI, 79-81 ; en ligne :
http://www.danteonline.it/italiano/opere.asp?idope=1&id lang=OR.

1
résolution de ce dilemme est racontée dans une scène qui cruciale pour l’établissement de la
forme de vie des compagnons qui s’appellent encore les « pénitents d’Assise ». Voici le récit :
François lui dit : « D’abord nous allons entendre la messe, puis rester en prière jusqu’au milieu
de la matinée, pour que le Seigneur nous montre sa volonté ». C’est ce qu’ils firent. Puis, Francisco
chercha ce prêtre et le pria d’ouvrir le missel. Le prêtre fit sur lui le signe de la croix, l’ouvrit, et ce
texte en sortit : « Si vous voulez être parfait, va, vends ce que tu as et donne aux pauvres » (Mt
19,21). Il l’ouvrit une deuxième fois, est ce texte est venu : « Si quelqu’un veut me suivre, qu’il
renonce à lui » (Mt 16,24). Et la troisième fois : « N’emportez rien pour la route » (Lc 9,3). L’ayant
entendu, François exclama : « Voici le conseil du Seigneur. Va, donc, et fais ainsi ». Et aussitôt M.
Bernard vendit tous ses biens, qui étaient de grande valeur, puis il alla avec François et distribua le
montant parmi les pauvres. Ensuite, François le revêtit d’un pauvre habit comme le sien7.
Ces trois versets évangéliques sont la fondation de leur forme de vie, et la forme de pauvreté
représentée dans ce récit, où elle est liée au partage des dons aux pauvres et à la fraternité,
devint un « élément fondamental de l’autoconscience franciscaine »8. Cependant, il n’était pas
facile du tout de maintenir ce degré de dépouillement voulu par François. D’abord, avec le
nombre croissant des frères, des maisons devinrent nécessaires. Mais François voyait la
propriété comme le seuil de l’autorité et du pouvoir, et il s’opposait de tout son être. Un récit,
parmi d’autres, raconte ceci au sujet d’une construction près d’Assise :
Lorsqu’à son arrivée, François aperçut la bâtisse, il en fut si fortement scandalisé qu’après s’être
plaint hautement, il en ordonna la destruction immédiate et, montant lui-même le premier sur le toit,
il se mit, d’un bras robuste, à jeter bas les tuiles et les lattes, enjoignant à ses frères de le suivre et
d’en faire autant, afin d’anéantir les traces de ce crime de lèse-pauvreté. Le podestat dut envoyer ses
sbires pour réclamer, au nom de la Commune, un bien municipal9.
Pareillement, l’augmentation du nombre de prêtres et l’éducation formelle des frères exigeait
des livres, une autre forme de propriété et de richesse à laquelle François était opposée. Ainsi,
Lafenestre résume : « Tout ornement de luxe lui semblait inutile et déplacé, et toute entreprise

7
Vida del hermano Bernardo de Quintaval, el primero que entró en la Orden etc.; texto original latino en
la Crónica de los veinticuatro Generales, en Analecta Franciscana, T. III, pp. 35-45 (Quaracchi 1907) cité par
Daniel ELCID, O.F.M., « El hermano Bernardo o la radicalidad », dan: ID., Compañeros primitivos de San
Francisco Madrid, BAC Popular 102, 1993, pp. 39-62 ; en ligne :
http://www.franciscanos.org/enciclopedia/bernardoq.htm.
8
Ibid.
9
LAFENESTRE, Georges, « Saint François d’Assise et l’Art italien », Revue des Deux Mondes, 5e période,
t. 58, 1910 (pp. 863-897) 871.

2
de construction magnifique ou grandiose, une ambition vaniteuse, la manifestation d’un instinct
égoïste de richesse et de propriété absolument contraires aux principes évangéliques10 ».
François maintiendra cette attitude radicale jusqu’à la fin de sa vie, comme en témoigne la
demande à ses frères de poser son corps, entièrement nu, sur le sol battu de la Porziuncula, pour
mourir entièrement dépouillé de ce monde, avec son cœur entièrement saisi dans celui du
Christ11. En effet, les Fioretti attribuent à François cette affirmation :
La povertà è quella virtù la quale fa l’anima, ancor posta in terra, conversare in cielo con gli
Angeli, e questa è quella ch’accompagnò Cristo in sulla croce, con Cristo fu seppellita, con Cristo
risuscitò, con Cristo, salì in cielo; la quale eziandio in questa vita concede all’anime, che di lei
innammorano, agevolezza di volare in cielo12.

3. La législation
En mai 1209, François et ses frères soumettent au pape Innocent III leur courte « forme de
vie » composé des trois versets évangéliques déjà mentionnés : Mt 19,21 ; Mt 16,24 et Lc 9,3.
Le pape leur montre sa bienveillance et les envoient prêcher la pénitence en disant : « Andate
con Dio, fratelli, e come Egli si degnerà ispirarvi, predicate a tutti la penitenza. Quando il
Signore onnipotente vi farà crescere in numero e grazia, ritornerete lieti a dirmelo, ed io vi
concederò con più sicurezza altri favori e uffici più importanti13 ».
Dans la première règle, que François rédige en 1221 après le premier chapitre dit « des
nattes », et qu’il veut présenter pour approbation du Saint-Siège (Règle non bullata),
l’expression « sans rien en propre » figure directement après le prologue, dans la description de
la vie des frères :
1
La règle de vie des frères est la suivante : vivre dans l’obéissance, dans la chasteté et sans
aucun bien qui leur appartienne (sine proprio); et suivre la doctrine et les traces de notre Seigneur
Jésus-Christ qui a dit: 2 Si tu veux être parfait, va et vends tout ce que tu as et donnes-en le prix
aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel; puis viens et suis-moi. 3 Si quelqu’un veut venir
après moi, qu’il se renonce à lui-même, qu’il prenne sa croix et me suive. 4 Si quelqu’un veut

10
Georges Lafenestre, « Saint François d’Assise et l’Art italien », Revue des Deux Mondes, 5e période, tome
58, 1910 (pp. 863-897) 871.
11
Cf. J. M. Fletcher, « Historical Biographical Study : Saint Francis of Assis », dans : ID., Acts of the Historical
and Contemporary Models of Missions, Evangelism, and Church Growth, DMN 8803, janvier 2010.
12
Fioretti di San Francesco, ch. XIII, dans la Biblioteca dei Classici italiani di Giuseppe Bonghi, édition Cesari
en ligne : http://www.classicitaliani.it/francesco/fioretti_Cesari.htm.
13
Thomas de Celano, La Vita di San Francesco d’Assisi, Rome, Le vie della Cristianità, 2016, ch. XIII.

3
venir à moi, et qu’il ne hait pas son père et sa mère, son épouse, ses fils, ses frères et sœurs et
jusqu’à sa propre vie, il ne peut être mon disciple. 5 Qui aura quitté père et mère, frères et sœurs,
épouse et fils, maisons et champs à cause de moi, celui-là recevra le centuple et possédera la vie
éternelle.
Cette règle ne fut pas approuvée et les progressistes parmi les frères le révisèrent en
supprimant certains des éléments les plus austères de François14.
Le texte que nous venons de citer est remplacé dans la règle qui recevra l’approbation qui
marque aussi la reconnaissance officielle de l’Ordre des « Frères mineurs », par ces lignes dans
le prologue :
La règle de vie des Frères Mineurs est la suivante : observer le saint Évangile de notre Seigneur
Jésus-Christ, en vivant dans l’obéissance, sans rien avoir en propre et dans la chasteté.
François en était certainement déçu mais, dans l’obéissance au Pape et à l’Église, il l’accepta.
Ce qui resta son développement sur la pauvreté est précisément l’expression « sine proprio ».

4. « Sine proprio » dans d’autres écrits

4.1 Lettres
François approfondit par la suite le sens de l’expropriation « sine proprio » dans plusieurs
autres écrits, où l’expropriation sert à préparer une espace, tant extérieur qu’intérieur, pour
Dieu.
Dans sa Lettre à tout l’Ordre, il écrit : « Ne gardez pour vous rien de vous, afin que vous
reçoive tout entiers Celui qui se donne à vous tout entier » (n° 29). Ce conseil se trouve
développé dans une affirmation qui fait explicitement référence à l’Eucharistie dans sa Lettre à
tous les clercs : « En ce monde, en effet, nous ne possédons rien de visible ni de sensible du
Très-Haut, si ce n’est son Corps et son Sang, ses Noms et ses paroles, par lesquels nous avons
été créés, et par lesquels nous avons été rachetés de la mort à la vie » (n° 3).
Dans sa Lettre à Léon, François souligne que le dénuement fait partie de la suite du Christ :
« Quelle que soit la manière qui te semblera la meilleure de plaire au Seigneur Dieu et de suivre
ses traces et sa pauvreté, adopte-la, avec la bénédiction du Seigneur Dieu et ma permission »
(n° 3).

14
J. M. Fletcher, « Historical Biographical Study : Saint Francis of Assis », p. 10. On le voit clairement en
comparand Rnb 1 et Rb 1.

4
4.2 Admonitions
Dans les Admonitions, François explique que la dépossession totale est rendue possible par
l’obéissance : « Le Seigneur dit dans l’Évangile : Celui qui n’abandonne pas tout ce qu’il
possède ne peut être mon disciple (Lc 14,33) ; et encore : Qui veut sauver son âme doit la
perdre (Lc 9,24). Comment faire pour abandonner tout ce que l’on possède ? Comment perdre
son corps et son âme ? En se livrant tout entier à l’obéissance entre les mains de son supérieur »
(n° 3,1-3).
Le « sine proprio » est le bien de ceux qui ont l’esprit de pauvreté : « Heureux ceux qui ont
l’esprit de pauvreté, car le royaume des cieux leur appartient (Mt 5,3). Il y en a beaucoup qui
sont férus de prières et d’offices et qui infligent à leur corps de fréquentes mortifications et
abstinences. Mais pour un mot qui leur semble un affront ou une injustice envers leur cher
“moi”, ou bien pour tel ou tel objet qu’on leur enlève, les voilà aussitôt qui se scandalisent et
perdent la paix de l’âme. Ceux-là n’ont pas le véritable esprit de pauvreté : car celui qui a le
véritable esprit de pauvreté se hait lui-même, et chérit ceux qui le frappent sur la joue (Mt
5,39) » (n° 14,1-4).
François exhorte ses frères à tout rendre au Seigneur : « Heureux le serviteur qui fait
hommage de tout bien au Seigneur. Celui au contraire qui en revendique une part pour lui-
même, celui-là cache au fond de lui-même l’argent du Seigneur Dieu (Mt 25,18), et ce qu’il
croyait posséder en propre lui sera enlevé » (n° 19,1).
A la fin, cette expropriation est une source de la joie qui est le salut de l’âme15 : « Où règnent
pauvreté et joie, il n’y a ni cupidité ni avarice » (n° 27,3), et la condition de la pureté du cœur,
de la vision de Dieu, et de la recherche du ciel : « Heureux ceux qui ont le cœur pur, car ils
verront Dieu. Ont vraiment le cœur pur ceux qui méprisent les biens de la terre, cherchent ceux
du ciel et, ainsi purifiés de tout attachement de l’âme et du cœur, ne cessent jamais d’adorer et
de voir rien d’autre que le Seigneur Dieu vivant et vrai » (n° 16).

5. Conclusion
Résumons. Vivre sans rien en propre signifie :

15
Perfetta Letizia, FF 278): “Vattene, tu sei un semplice ed un idiota, qui non ci puoi venire
ormai; noi siamo tanti e tali che non abbiamo bisogno di te …. Ebbene, se io avrò avuto
pazienza e non mi sarò conturbato, io ti dico che qui è la vera letizia e qui è la vera virtù e la
salvezza dell’anima”.

5
désappropriation extérieure et intérieure
imitation du Christ
ouverture à Dieu
pureté du cœur
récompensé par la joie, la paix – toutes deux des dons eschatologiques – et la vision de Dieu
fraternité et transformation du monde.

Je conclus avec un extrait d’un compte rendu d’une conférence donné à Assise en 2012, qui
ajoute la liberté :

LA LIBERTA’. Avendo scelto di vivere “sine proprio” acquisiscono


una libertà da interessi personali o di gruppo che permette loro di creare
e pensare a soluzioni geniali (monti di pietà, bene comune, la partita
doppia etc. …). Ciò è possibile per la libertà che hanno di fronte al
denaro, al potere finalizzato all’utilità personale o di gruppo. La loro
scelta di povertà e di minorità li rendi liberi di pensare, studiare e dare
risposte senza tener conto degli interessi dei pochi16.

16
ROMA, lunedì, 2 luglio 2012 (ZENIT.org (http://www.zenit.org/index.php?l=italian).
Proponiamo di seguito la relazione dell’Economo generale dell’Ordine dei Frati Minori, padre
Giancarlo Latti OFM, al “Convegno Economia: Frati Assisi, lavoro e onestà in nuovo
dizionario”, svoltosi il 19 giugno scorso al Sacro Convento di Assisi.

6
Bibliographie
Sources anciennes
FRANÇOIS D’ASSISE, Scritti, en ligne : http://www.sanfrancescopatronoditalia.it/rubriche/san-francesco/i-suoi-
scritti.
—, Lettres, en ligne : http://www.franciscains.fr/file/Lettres%20de%20st%20Fran%C3%A7ois.pdf.
BONAVENTURE DE BAGNOREGIO, Leggenda maggiore ; en ligne : https://www.google.it/url?sa=-
t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwjXvMC9zonQAhVEaxQKHbV
1DjUQFggdMAA&url=http%3A%2F%2Fwww.assisiofm.it%2Fallegati%2F218-Leg-
genda%2520maggiore.-pdf&usg=AFQjCNF5mee7ytG5FspxFjthM7M2Fb-
SFw&sig2=F7xUqBNAE5ynEL7-BvWONOg.
THOMAS DE CELANO, Vie de saint François d’Assise traduction française introduction et notes du R.P. Damien
Vorreux O.F.M ; en ligne : http://www.franciscains.fr/file/002Celano1.pdf.
—, La Vita di San Francesco d’Assisi, Rome, Le vie della Cristianità, 2016.

Etudes
ANONYME, Conférence « La povertà e la sobrietà oggi: “Sine nulla proprio” », I & II, Incontri neoprofessi OFS
Zona 2 Monza, 6 giugno 2015 ; en ligne : https://www.google.it/-
url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&cad=rja&uact=8&ved=0ahUKEwiwrLrbyYnQAhUGXRQ
KHTtPCzYQFggtMAA&url=http%3A%2F%2Fwww.ofs-monza.it%2Ffiles%2Fsine-proprio-2--giugno-
15.pdf&-usg=AFQjCNEaCNER5AVsSl1rMf-RzLdyOSMnyog&sig2=Ekwuuwa_iMQ2lffGvSHUwg.
DOLSO, Maria Teresa, « Le vœu et l’entrée dans l’ordre franciscain au moyen âge », Les Cahiers du Centre de
Recherches Historiques [En ligne], 16 | 1996, mis en ligne le 27 février 2009, consulté le 31 octobre 2016.
URL : http://ccrh.revues.org/2641 ; DOI : 10.4000/ccrh.2641.
ELCID, Daniel, O.F.M., El hermano Bernardo o la radicalidad, dans : ID., Compañeros primitivos de San
Francisco. Madrid, BAC Popular 102, 1993, pp. 39-62.
FLETCHER, J. M., « Historical Biographical Study : Saint Francis of Assis », dans : ID., Acts of the Historical and
Contemporary Models of Missions, Evangelism, and Church Growth, DMN 8803, janvier 2010.
LAFENESTRE, Georges, « Saint François d’Assise et l’Art italien », Revue des Deux Mondes, 5e période,
t. 58, 1910, pp. 863-897.
MICCOLI, Giovanni, Francesco : Il santo di Assisi all’origine dei movimenti francescani, Rome, Donzelli, 2013.
RODRIGUEZ CARBALLO, José, ofm Ministre général, La grâce des origines, 2004 ; en ligne :
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THOMPSON, Augustin, Francis of Assisi : A New Biography, Ithaca – Londres, Cornell University Press, 2012.

Documents de l’Eglise
Code du droit canon, Libreria Editrice Vaticana, 1983 : http://www.vatican.va/archive/FRA0037/_INDEX.
HTM#fonte.
CONGREGATION POUR LES INSTITUTS DE VIE CONSACREE ET LES SOCIETES DE VIE APOSTOLIQUE, Eléments essentiels
de l’enseignement de l’Église sur la vie religieuse, le 31 mai 1983, esp. nos 20-21 ; texte en ligne :
http://www.vatican.va/roman_curia/congregations/ccscrlife/documents/rc_con_ccscrlife_doc_31051983_ma
gi-sterium-on-religious-life_fr.html.

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