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Contrairement à la France, où toute activité est soumise à l'Etat, ces organisations ne dépendent pas d'une autorité
nationale. Dès le Moyen-Age, des compagnies comme les "London Staplers", les "London Mercers Company" ou
encore la "British East India Company" (la BEIC au XVIIème siècle) deviendront les principaux acteurs de
l'impérialisme Britannique. Ensuite, c'est l'aristocratie commerciale et financière Anglaise, qui appliqué son pouvoir
sur les Etats et exercé sa main-mise sur les richesses, de génération en génération.
La défaite Française en Amérique du Nord conduira au Traité du 10 février 1763, qui peut être considéré comme
l'acte fondateur de la montée en puissance de l'oligarchie Britannique. En effet, la perte de la Nouvelle France (les
colonies Françaises au Canada) donna à la Couronne Britannique un nouveau continent, l'Amérique, aux richesses
immenses.
Comme l'explique le polémiste et essayiste l'abbé Barruel, dans son livre "Mémoires pour servir à l'histoire du
Jacobinisme" (quatre volumes, publiés à Hambourg entre 1797 et 1799), celui-ci soutient la thèse selon laquelle la
société secrète des "Illuminés de Bavière" (les "Illuminatis", fondée en mai 1776 par Adam Weishaupt),
aurait infiltrée la Franc-Maçonnerie afin de renverser le pouvoir en place en France, aussi bien politique que
religieux. Ses informations provenaient principalement de deux personnes. De Jean Auguste Starcke, un pasteur
Luthérien Franc-Maçon et d'un journaliste Viennois nommé Aloïs Léopold Hoffman.
Et ce ne fût pas le seul ouvrage Français publié durant cette période, qui avertissait sur ce qui était en train de se
produire. Il y eu aussi "Essai sur la secte des Illuminés", écrit par le Marquis de Luchet, publié en janvier 1789. Il y
écrivait notamment:
"Personnes trompées. Vous devez comprendre qu'il existe une conspiration en faveur du despotisme, et contre la
liberté, l'incapacité contre le talent, du vice contre la vertu, de l'ignorance contre la lumière!... L'objectif est la
domination universelle."
Et il y donnait aussi des précisions sur le "réseau d'information" organisé et sur son utilisation:
"Ces Cercles ont des voyageurs anonymes. Ce sont ordinairement des hommes d'un extérieur simple, espèce de
Gens de Lettres affectant la philanthropie. Ils vont épier les secrets des Cours, des Collèges, des Tribunaux, des
Chanceliers, des Consistoires, des Familles, et reviennent enrichir les Cercles d'un amas de délations, de notes
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sur le caractère des Gens en place, sur les faiblesses des Princes; ils révèlent les occupations et les défauts des
Philosophes, qu'ils appellent les ennemis...".
"...Tout est mis sous les yeux du Cercle qui, profitant des odieux résultats de cette ténébreuse inquisition, apprend
ainsi à connaître les objets de ses prédilections ou de ses vengeances; qui doit être desservi ou préconisé; que l'on
doit élever ou perdre, ou du moins ceux dont il faut se défier ou cultiver les fanatiques dispositions."
"...Chaque membre d'un cercle appartient également à tous les autres, de sorte qu'un Vénitien arrivant pour la
première fois à Breslau, introduit dans le cercle de cette ville, est admis aux mêmes secrets que ceux qui le
composent depuis dix ans, et se trouve aussi intimement lié que s'il avait la même patrie et les habitudes nées
dans l'âge heureux de l'innocence. Ces cercles sont donc les points de correspondance, les fanaux posés sur
cette mer d'iniquité; et pour faire mieux saisir cette chaîne invisible, j'entrerai dans un détail plus circonstancié.
Francfort sur le Mein, par exemple, instruit Mayence, Darmstadt, Neuwied, Cologne, Weimar. Weimar éclaire
Cassel – où réside le marquis de Luchet –, Gottingen, Wetzlar, Brunswick, Gotha. Gotha porte sa lumière à Erfurt, à
Leipsick, à Halle, à Dresde, à Dessau. Dessau se charge de Torgau, de Vittemberg, de Mecklembourg, de
Berlin. Berlin communique avec Stettin, Breslau, Francfort sur l'Oder. Francfort prend soin de Konigsberg et des
villes de la Prusse. En suivant cette échelle; on voit clairement qu'il y a des liens assez resserrés entre Mayence et
la Pologne, et que tout un pays est bientôt connu dans ses parties les plus cachées. Que le Lecteur maintenant
attende cette communication de Royaume à Royaume, et qu'il suppose un centre où aboutiraient les plans de ceux
qui administrent l'Europe; on voit alors quels sont les véritables maîtres de chaque pays."
Certains pourraient critiquer des ouvrages actuels, en les reléguant au niveau de "littérature
conspirationnistes" (sous le prétexte de vouloir faire du "sensationnel"). Mais on ne peut aisément pas négliger le
résultat des investigations effectuées aux moments même des évènements historiques. Et qui en arrivent toutes à
la même conclusion, en révélant les rouages d'une conspiration concrète. En cela, qu'il s'agisse de Robison, de
l'Abbé Barruel, de Luchet, leurs conclusions respectives se rejoignent. Disant que la révolution Française a était
manigancée par une action secrète de la Franc-Maçonnerie, infiltrée au préalable par les Illuminati. (1)
La Révolution Française.
Derrière la révolution Française, dont tout le monde croit qu'elle a était "naturellement", provoquée par le peuple et la
colère de la rue, se trouvait en fait l'intervention de plusieurs personnages, qui agissaient en coulisse. Certains sont
devenu célèbres, mais d'autres sont beaucoup moins connu. Parmi les Français impliqués, on peut citer entre
autres: Robespierre, Desmoulin, Danton, Diderot, Mirabeau, La Fayette, Condorcet.
Ces derniers étaient tous, non seulement des Franc-Maçons, mais de plus, ils faisaient tous partie de la même
loge maçonnique, la loge des neuf soeurs.
D'ailleurs, il faut savoir que la devise choisie, par la nouvelle république naissante: "Liberté, égalité, fraternité", était
en fait la devise de la grande loge de France.
La monarchie avait ses qualité et ses défauts. Et même si la Révolution était en soi légitime, de part les dures
conditions de vie du peuple, cela a provoqué une chose dont on ne parle jamais. Avec une monarchie établie, cette
dernière détient toutes les richesses (évidemment, cela n'est pas égalitaire), mais l'avantage de ce système, était
que le Roi ne dépendait pas des banques privées. Le pouvoir royal était donc totalement indépendant du système
financier privé. La Révolution a modifiée cet état de chose. Apportant concrètement une "privatisation" des biens de
la noblesse et du clergé (puisque n'importe qui pouvait en acheter, ce que l'on appellera, les "biens nationaux"), et
un financement du nouvel Etat, rendu dorénavant possible pour les banques.
C'est d'ailleurs au tout début de la Révolution, que seront créés les "assignats", qui seront les premiers billets en
"argent papier", mit en circulation en France dès 1789-90, et qui étaient garantis sur les "biens nationaux" (avant,
tout le monde utilisaient les monnaies d'or, d'argent et de bronze).
Durant les années suivantes, Napoléon sera le seul opposant aux Anglais, et un solide contre-poids au pouvoir
Anglo-saxon, mais cela ne durera qu'une dizaine d'années. Après la défaite de Waterloo en 1815, la puissance
anglo-saxonne n'aura plus de rivaux dans le domaine maritime. De par sa puissance démographique, le
peuplement de vastes territoires en Amérique du Nord, en Afrique australe, en Australie et en Nouvelle-Zélande,
l'Angleterre contrôle plusieurs points stratégiques partout dans le monde (Gibraltar, Hong Kong,...), avec une
mainmise sur des territoires, sur presque tous les continents. Les avancées technologiques (révolution industrielle)
et un secteur bancaire performant, permettent à cette aristocratie commerciale de Londres et de New-York, de
pouvoir envisager un réel contrôle du monde, sous les auspices de la City et de Wall Street. L'un des acteurs de ce
plan s'appelait Cecil Rhodes.
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Enfin, Lionel Curtis. Outre avoir participé aux discussions du Traité de Versailles, il est l'auteur de l'expression
"Commonwealth of nations" ("Communauté de nations") dont l'application date de 1948. Cette expression est le
résultat de travaux dont le but était de préparer l'Empire Britannique à des changements politiques qui conduiraient
à une organisation mondiale. Ces travaux appelant à un Commonwealth remontent à 1916. Enfin, Lionel Curtis a
joué un rôle déterminant en 1919, dans la création du "think tank" Anglais, le Royal Institute of International Affairs
("RIIA" appelé aussi "Chatham House", l'équivalent du "CFR" Américain). En plus des bourses d'études, il y eu la
création de la "Fabian Society" ("La société fabienne").
La "Fabian Society".
La société fabienne est un institut créé à Londres en 1884, sous l'impulsion du politique Anglais comme Sydney
Webb et de son épouse, Béatrice Webb, ou encore de l'écrivain Irlandais George Bernard Shaw. Cette société se fit
sous l'influence de promoteur du socialisme comme Robert Owen qui transmit ses idées à John Ruskin,
professeur de l'université d'Oxford et qui influença Cecil Rhodes). D'autres, imprégnées de l'idéal socialiste chrétien
comme Frederik Derrison Maurice ont ouvert la voie à la fondation de la société fabienne.
Le choix de "fabien" ("fabian") se réfère au général romain de l'époque des guerres puniques (vers 200 av - JC),
Fabius Cunctator (le "temporisateur"). Face au général carthaginois Hannibal, le militaire romain pratiquait la
politique de guérilla qui consistait à ne pas brusquer les choses afin d'atteindre son but. C'est cette méthode de
changement en douceur mais inéluctable qui est appliqué par la société fabienne. Celle-ci défend le principe d'une
société sans classe devant conduire à la synthèse du socialisme (l'état providence) et du capitalisme (les lois du
marché et le libéralisme), le tout devant aboutir à la mise en place d'une économie monopolistique dans le cadre
d'un état mondial. Afin de répondre aux ambitions de cette société, ses dirigeants estiment qu'il faut y aller pas à
pas ou, selon leur expression, par "graduation".
L'influence de cette société est immense car de nombreux politiques Anglais ont été membres de la société
fabienne. Cependant, cette influence a été d’autant plus importante que cette société est à l'origine de la création de
la "London School of Economics" (LES) en 1895 sous l'impulsion de Sydney Webb. Cette prestigieuse école de
formation économique qui s'est diversifiée par la suite a formé, dans l'esprit fabien, des générations de dirigeants
Anglais, mais aussi de nombreux étudiants autour de la planète. Ils sont souvent devenus des acteurs majeurs de
la vie politique et économique de leurs pays. Comme l’ancien président de la Commission Européenne, Romano
Prodi; le président John Kennedy (2); la reine du Danemark Margarethe II; Pierre Trudeau (Premier ministre
Canadien); le lobbyiste et membre de plusieurs think tanks Richard Perle; le financier George Soros (fondateur des
instituts Open Society); l'ancien conseiller de François Mitterrand, Erik Orsenna et même le chanteur des Rolling
stones, Mike Jagger (il ne fera qu'un an). Cependant, l'influence de cette société a été variée, entre autres grâce à
l'action d'un de ses membres, l'écrivain Herbert George Wells.
Inspiré par l'idéal fabien, H.G Wells a su développer ses vues dans de nombreux livres. Auteur de succès comme
L'Homme invisible, La Machine à remonter le temps ou encore La Guerre des mondes. Cet écrivain Anglais a
répandu ses convictions dans un ouvrage paru en 1928, "Open conspiracy" (carrément "conspiration ouverte"),
prônant un Etat mondial sans classe, contrôlant tout ("une nouvelle communauté humaine" selon son expression),
encourageant la réduction drastique de la population mondiale avec la pratique de l'eugénisme. En fait, dès le
début, H.G Wells présenta ses théories dans un ouvrage méconnu et dont le titre est exactement la formule
maçonnique "Ordo ab chao", "La Destruction libératrice". Cet ouvrage (paru en 1914) raconte l'histoire d'une guerre
généralisée aboutissant à la création d'un Etat mondial constitué en 10 blocs ("10 circonscriptions" selon sa
formule). C'est d'ailleurs dans ce livre que l'on trouve l'expression "Nouvel ordre mondial". Par la suite, H.G Wells
récidivera en publiant un autre livre en 1940 au titre sans équivoque: "Le Nouvel Ordre Mondial".
Tous les représentants fabiens fréquentaient et collaboraient avec l'équipe de Cecil Rhodes puis de Lord Milner. Un
véritable esprit de corps pour arriver à un but commun, un état mondial. Ces élites anglo-saxonnes, ne sont que la
continuité de l'aristocratie commerciale du Moyen-Age. Il ont continué à rassembler leurs forces au sein d'autres
clubs comme la Pilgrim Society en 1902 à Londres et à New York. Puis en 1910, avec la création de la "Round
Table".
La Round Table.
La création de la "Round Table" (la "Table Ronde"), fût une étape décisive dans les préparatifs devant mener à un
état mondial. En effet, cet institut haut de gamme fût créé en liaison avec les élites financières Américaines pour
assurer la prééminence du monde anglo-saxon. D'autres "Round Table" furent créées dans toutes les colonies de
l’Empire Britannique mais aussi aux Etats-Unis. Prenant la suite des ambitions de Cecil Rhodes, des financiers de
renom encadraient l'équipe de Lord Milner. Comme Alfred Beit, Sir Abe Bailey et la famille Astor. D'autres groupes
se sont ajoutés au désir de mondialisme animée par la Round Table, comme la banque J.P Morgan, la banque
Lazard ou encore les familles Rockefeller et Whitney.
Ces grandes familles, animées par une finalité commune, n'en sont pas moins déchirées par des dissensions
internes. On peut en relever essentiellement deux. La première s’appelle les rivalités internes. Les rivalités
d'ambitions et d’ambitieux cherchant plus de pouvoir, plus d'influence et plus de richesses afin d'occuper les
meilleurs places ont existé durant toute l'histoire de cette aristocratie. Le deuxième point est propre à la Round
Table. En effet, sous l'apparente unité de vue se cachent deux courants de pensée. Dans les deux cas, ces courants
poursuivent le même but: l'instauration d'un état mondial. Cependant, deux courants s'affronte. L'un défend le
principe de la constitution d'un bloc anglo-saxon unifié (l'Empire Britannique associé aux Etats-Unis); ce socle
anglo-américain représentant la base fondatrice et permettant au reste du monde de d'y adhérer. Tandis que l'autre
courant estime qu'il n'est pas nécessaire de privilégier la naissance d'un Empire anglo-saxon comme point de
départ à un monde unifié. Celui-ci prône plutôt l'émergence d'un monde où aucun pays seraient en mesure
d'imposer sa loi ou sa philosophie politique. Il s'agit pour les partisans de cette seconde voie, de créer une sorte de
"mélange général", qui unifierait l'humanité toute entière en un seul bloc et sans plus aucune distinction. Nous
avons là une opposition entre les tenants du mondialisme anglo-saxon et celui des partisans du mondialisme
planétaire.
Au cour des années cinquante, il y eu une commission d'enquête du Congrès sur les différentes "fondations pour la
Paix" (qui sont exonérées de taxes et d'impôts). Et bien, l'enquête (menée par le "Comité Reece") sur les Fondations
Rockefeller, Ford et Carnegie, "pour la Paix", à montrée que toutes ces institutions sois-disant pacifiques, ont en fait
toutes contribuées à provoquer la guerre.
Norman Dodd, le Directeur des recherches du comité d'enquête a déclaré que lors d'audition des administrateurs
de la fondation Carnegie, les enquêteurs ont comprit le principe utilisé pour provoquer une guerre. Concernant les
risques de guerre, à la question: "Comment impliquerions-nous les Etats-Unis dans une guerre ?", la réponse fût:
"Il faut contrôler le Département d'Etat". Les nominations au fil des années, au Département d'Etat (le Ministère des
affaires étrangères Américain) corroborent bien cette aspect des choses. Poursuivant leurs investigations, ils
découvrirent que la fondation Rockefeller, très impliquée dans l'éducation, a tout simplement approché de
prestigieux historiens Américains, afin de les convaincre, pour que toutes les maneuvres au niveau de la politique
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étrangère, ne figurent pas dans les livres d'histoire des Etats-Unis. Ils découvrirent qu'il y avait en fait un véritable
"endoctrinement social", du peuple Américain. En vu de leur faire accepter la nécessité d'un "gouvernement
mondial".(4)
La Première Guerre Mondiale a été provoquée pour modifier totalement la vie des populations du monde (pendant
les auditions il fût établit que "le seul moyen connu qui soit le plus efficace pour pour modifier la vie d'un peuple
entier", était une guerre). Il leur fallait détruire le système "hiérarchique" structuré et surtout totalement indépendant,
de la majorité des familles régnantes en Europe (à part la famille royale Britannique des Windsor, qui est
étroitement liée aux oligarques du NOM). Mais plusieurs autres souverains, se trouvant dans le camps des
perdants, ont tous vu leur règne cesser d'exister des suites de la guerre, et du remembrement de l'Europe après
guerre, discuté au Traité de Versailles.
La Révolution Bolchevique.
Pour organiser la fin de l'empire Russe, l'une des plus puissantes monarchies d'Europe, il faut signaler la mission
déterminante du Suédois Olof Aschberg, à la tête de la banque Nya Banken de Stockholm. Il sera le grand financier
qui servit d'intermédiaire entre Wall Street et la City d'un côté, et les dirigeants bolcheviques de l'autre. Son surnom
était le "banquier de la Révolution mondiale". Comme le rappelle Antony Sutton, la banque d'Olof Aschberg avait une
filiale à Londres, la "Bank of North Commerce", dont le président Earl Grey appartenait à l'équipe de Cecil Rhodes et
de Lord Milner. Ce dernier joua aussi un rôle capital au sein de l'oligarchie anglo-saxonne. En effet, c'est Lord Milner
qui arriva à convaincre le Premier ministre Lloyd George de soutenir fermement la révolution bolchevique. Cette
évolution capitale, qui eu les répercutions que l'on sait sur l'avenir du monde, s'est faite suite à la visite à Londres, à
la fin de l'année 1917, de William Boyce Thompson, un membre du comité directeur de la Banque fédérale
Américaine (la "Fed") et d'un représentant de la banque JP Morgan, Thomas W. Lamont.
W.B Thompson sera un agent au service de l'oligarchie au sein de la Croix-Rouge Américaine, qui était présente à
Petrograd en 1917. Cette couverture lui permit de fournir, entre autres choses, la somme énorme pour l'époque d'un
million de dollars aux bolcheviques. Sur le chemin du retour vers New York, il fit une escale à Londres pour
soumettre un mémorandum à Lloyd George, qui appeler au soutien à la révolution bolchevique. Lord Milner, grand
admirateur de Karl Marx, ne fit qu'appuyer William Boyce Thompson dans sa démarche afin de faire plier Lloyd
George. C'est bel et bien par cette action politico-financière déterminante de l'oligarchie anglo-américaine, que
la révolution bolchevique pût avoir lieu.
La guerre 14-18 a permit le succès de la Révolution d'Octobre. Si l'armée avait été dans le pays pour maintenir
l'ordre, au lieu d'être éloignée au front, elle serait bien-sûr intervenue plus massivement lors des révoltes, et la
tentative de révolution aurait bel et bien échoué. Au lieu de cela, bon nombre de militaires rentré du front, découragé
et ne croyant plus en l'empire Russe, se rangeront du côté des révolutionnaires. Il faut signaler que la défaite Russe
face à l'Allemagne, fût grandement facilité par les manques et les retards délibérés d'approvisionnement en armes,
à destination des forces Russes. Car, ceux-là même qui finançaient la Révolution Bolchevique, étaient aussi les
fournisseurs en armement de l'armée Russe. Mais à la chute de l'Empire Russe, il faut aussi ajouter la fin de
l'empire Austro-Hongrois, des royaumes de Serbie, du Monténégro, d'Albanie, de Bulgarie.
Le Congrès de Versailles.
Pendant cette "Conférence de la paix" (appelée plus tard "Congrès de Versailles"), tous les principaux acteurs des
pourparlers avaient en fait leurs "éminences grises", qui intriguaient en coulisse, pour être sûr d'avoir le "monde
d'après-guerre", qu'ils souhaitaient.
Derrière le Président Américain Wilson, il y avait Mandel House et Bernard Baruch; Le premier ministre Britannique
Lord était conseillé par Alfred Milner et Sir Phillip Sassoon; le Français Georges Clémenceau était secondé par son
ministre de l'intérieur Georges Mandel (et pas le ministre des affaires étrangères, mais on comprend mieux lorsque
l'on sait que Mandel était affilié aux Rothschild).
Et parmi la "American Commission to negociate peace", la "Commission Américaine des négociations pour la
Paix", se trouvait: les frères Dulles, Paul Warburg, Thomas Lamont de la banque J.P. Morgan, Robert Lansing, et
Walter Lipmann, fondateur de la version Américaine de la Fabian society.
Dans la délégation Allemande il y avait Max Walburg, qui avait son propre frère Paul Warburg, présent dans la
commission Américaine!
Et le Baron Edmond de Rothschild avait été invité à la conférence, il soutenait la création d'un état juif en Palestine,
et le Congrès de Versailles lui donnera son appui.
Suite à ce Congrès, la Cour Mondiale de La Hays au Pays-Bas verra le jour, ainsi que la "Société des Nations", la
première ébauche pour avoir une organisation mondiale.
(1) Il y a aussi le livre "La Révolution Française préparée par la Franc-Maçonnerie", par De Lannoy, publié en 1911
chez P. Lethielleux, libraire-éditeur. Pour voir cet ouvrage, 125 pages téléchargeables au format PDF, cliquez sur le
lien link.
(2) C'est ici que l'on voit que lorsque l'un des leurs, ne veut pas "marcher droit" et veut assumer sa présidence en
total indépendance, en n'hésitant pas à prendre "des décisions qui fâchent", et bien alors, ils n'hésitent pas à le
faire supprimer.
(3) Pour voir en détail le rapport de la Commission Reece, sur l'implication des fondations dans le domaine
éducatif, 15 pages téléchargeables au format PDF, cliquez sur le lien link
Sources:
"La marche irrésistible du nouvel ordre mondial", par Pierre Hillard, Editions François-Xavier de Guibert;
"Final Warning, a History of the New World Order", par David Rivera, Editions Progressive Press.
"Wall Street and the Bolshevick Revolution", par Antony Sutton, Editions Veritas publications;
www.mondialisation.ca;
www.liberius.net;
www.s3.amazonaws.com;
Par Scaramouche
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05/01/2011 LE NOUVEL ORDRE MONDIAL (Partie …
Lundi 27 décembre 2010
L'entre-deux guerre.
Les oligarques d'outre-manche décidèrent de préparer dès 1918-1919, une mutation de la Round Table. Afin d'avoir
une plus grande efficacité, ils créèrent deux think tanks chargés de devenir les moteurs de la politique étrangère
des deux pays. Côté anglais, ce fut la création en 1919 sous l'égide de Lionel Curtis (et collaborateur de Lord
Milner), du "Royal Institute of International Affairs" (RIIA, appelé aussi "Chatham House"). C'est aussi Lionel Curtis
qui prônait un Commonwealth fédératif capable d'intégrer différents pays du globe. Ces objectifs étaient soutenus
aux Etats-Unis par Clarence Streit (1896-1986)(bourse d'études Cecil Rhodes, promotion 1920), correspondant du
New York Times auprès de la Société des Nations et le représentant Américain du "groupe Milner", Frank Aydelotte.
Côté Américain, ce fut le "Council on Foreign Relations" (CFR) en 1921 sous l'égide du colonel Edward Mandell
House (1854-1938), le conseiller intime du président Wilson. Il fût la plaque tournante entre le groupe Milner et les
financiers de Wall Street (la JP Morgan, Vanderlip, Rockefeller, Warburg,...etc). On peut aussi citer Paul Warburg, qui
fût à la tête de la réserve fédérale Américaine dès sa création en 1913. Cette banque privée, indépendante du
pouvoir central et responsable de l'émission de la monnaie, est en fait un "Etat dans l'Etat". Or, c'est encore Paul
Warburg qui dirigea le CFR dès sa création. Il y a une véritable corrélation dans les pouvoirs, au sein de l'oligarchie
anglo-saxonne.
Au sujet du colonel Mandell House, il faut citer son livre intitulé "Philip Dru, administrator". Ecrit en 1912, cet ouvrage
raconte un coup d'état par un officier de l'école militaire de West Point (Philip Dru) qui impose une dictature aux
Etats-Unis tout en supprimant la Constitution dans le pays. Tout comme Lord Milner, le colonel House évoque ses
convictions profondes en affirmant que son héros met en place "un socialisme tel que l'aurait rêvé Karl Marx". Il y
emploi même le terme de "Société des Nations", appellation qui sera bien reprise, lors de la création de la SDN. Il
évoque même dans le chapitre 52, l'idéal d'unification nord-américain. Ce qui deviendra plus tard une chose
acquise, dès le lancement officiel du projet de l'ALENA, en mars 2005. Ils ont annoncé la tournure des événements
il y a plus de cent ans. La stratégie mondialiste a su renforcer son influence grâce à la naissance d'un institut assez
méconnu, qui sera appelé à jouer un rôle de premier plan dans la construction européenne: la Paneurope.
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mondiale unifiée". Il évoquait dans ce rapport la nécessité de créer des "continents politiques", l'ensemble devant
constituer selon lui, une "fédération de fédérations". Ses affirmations rejoignent celles de la société fabienne.
Coudenhove organisa en 1926 le premier congrès paneuropéen à Vienne, avec comme président d'honneur, le
président du conseil Aristide Briand. C'est pendant ce congrès réunissant plusieurs nationalités qu'il fut décidé de
choisir un hymne Européen, l'Ode à la joie de Beethoven (qui deviendra par la suite l'hymne officiel de l'Union
Européenne). Les objectifs de la Paneurope sont ouvertement affichés dans le cadre de "Principes fondamentaux"
qui stipulent entre autres: "...L'union paneuropéenne se déclare attachée au patriotisme Européen, couronnement
des identités nationales de tous les Européens. A l'époque des interdépendances et des défis mondiaux, seule une
Europe forte et politiquement unie peut garantir l'avenir de ses peuples et entités ethniques. L'union paneuropéenne
reconnaît l'autodétermination des peuples et le droit des groupes ethniques au développement culturel,
économique et politique...". Ce qui est le début d'une future reconnaissance des micro-états, ou des minorités
régionales (nous y reviendrons par la suite).
Au cours de la Seconde Guerre Mondiale, Coudenhove-Kalergi qui s'était réfugié aux Etats-Unis, pût enseigner dans
le cadre d'un séminaire à l'Université de New York le "Research for a postwar european federation", ("recherche
pour une fédération Européenne d'après-guerre"), une prose favorable au fédéralisme Européen. De retour en
Europe en 1946, il contribua largement à la création de l'Union parlementaire Européenne permettant la création en
1949, du futur "Conseil de l'Europe". Renforçant son influence sur tous les pays, cette organisation Européenne
chapeaute des représentations nationales dans tous les pays, chargées de diffuser l'idéal de leur
fondateur. Coudenhove-Kalergi reçu en 1950 la plus haute distinction "européiste", le Prix Charlemagne. Otto de
Habsbourg prit sa suite en 1972 puis ce sera Alain Terrenoire.
Les sources de financement de cet institut expliquent les profondes connivences de son dirigeant avec les autres
participants du "plan". En effet, outre des mécènes industriels et financiers, Coudenhove-Kalergi bénéficiera du
soutien du banquier Max Warburg, représentant de la banque Allemande à Hambourg. Comme nous l'avons vu ci-
dessus, son frère Paul (de la branche Américaine) était à la tête de la banque Fédérale Américaine et du CFR. On
comprend tout de suite comment Coudenhove-Kalergi à eu carte blanche pour coopérer avec les milieux financiers
de Wall Street et de la City. Ce lien entre le fondateur de la Paneurope et les autres milieux mondialistes était
d'autant plus grande que Max Warburg était de plus membre du comité directeur d'IG Farben Allemagne, et son
frère, Paul Warburg, était membre d'IG Farben USA.
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05/01/2011 LE NOUVEL ORDRE MONDIAL (Partie …
La société IG Farben avait été organisée par Warburg en 1925, par une fusion de six entreprises chimiques
Allemandes: Badische Anilin, Bayer, Agfa, Hoechst Welierter-Meer, et Griesheim-Elektron. Max Warburg était
le directeur de IG Farben Allemagne, et de IG Chimie en Suisse. IG Farben USA était contrôlé par son frère, Paul
Warburg, Walter Teagle de la Standard Oil, et Charles Mitchell, de la National City Bank. IG Farben, se trouva donc
devenir une société mixte, Américano-allemande, et détenue en partie par des actionnaires Américains (sans parler
de l'émission, pour trente millions de dollars d'obligations de la société, par la National City Bank).
En 1928, les sociétés Américaines de IG Farben, avaient été organisées en une Société de Holding Suisse, la IG
Chimic. Qui deviendra par la suite la American IG Chimical Corporation, puis finalement la General Aniline & film. En
1939, IG avait une participation dans près de 380 entreprises Allemandes et 500 entreprises étrangères. En 1938,
Ethyl-Standard Corps a livré 500 tonnes de plomb d'éthyle au Ministère de l'Air du Reich par l'intermédiaire de la IG
Farben, avec un paiement sécurisé par une lettre de crédit, émise par la banque Brown Harriman Brothers (qui
faisait partie de l'Union Banking Corporation), en date du 21 septembre 1938. Et par la suite, le procédé de
fabrication du plomb tétra-éthyle, essentiel pour la fabrication d'essence synthétique pour l'aviation, sera même
vendu à IG Farben Allemagne par la Standard Oil Américaine!
L'Union Banking Corporation (UBC), avait été crée en 1932, non seulement pour apporter des fonds au parti nazi,
mais aussi pour aider au réarmement de l'Allemagne. Il s'agissait d'un groupe financier réunissant huit banques,
six Américaines et deux Allemandes. Parmi les membres de son conseil d'administration, on peut citer: Roland
Harriman (Vice-président de W.A. Harriman and Co), H.J. Kouwenhoven (banquier nazi, gérant des avoirs de la
banque Hollandaise Thyssen), Wooley Knight (directeur de la "Guaranty Trust Compagny" et de la Banque Fédérale
Américaine), Cornelius Lievense (qui sera Président de l'UBC), James Ellery Sedgewik (actionnaire de
la banque Brown Brothers and Co, Johan Groeninger (banquier nazi et directeur de la "Vereinigte Stahlwerke", la
société des aciers Thyssen), J.L. Guinter (directeur de l'UBC) et Prescot Bush (actionnaire de la banque Brown
Harriman Brothers et père et grand-père des deux présidents). Pour le Reich, c'est l'UBC qui servira entre autre
d'intermédiaire, avec la "Guaranty Trust Compagny" de New-York, pour payer les achats que les nazis feront aux
entreprises Américaines pendant la guerre.
La contribution à l'effort de guerre nazi donne littéralement le vertige, de par son importance. Voici un récapitulatif, de
tout ce qu'ils auront permis au Troisième Reich d'obtenir de par leur soutien financier. Il est clair que sans cela,
l'Allemagne n'aurait jamais pût faire la guerre. IG Farben fabriquera pendant la guerre: la totalité du caoutchouc
synthétique, du méthanol et de l'huile de graissage. La majorité du nickel, des colorants, des gazes de combats
(dont le "Zyklon B" utilisé à Auschwitz dans les chambres à gaz), des plastiques, du magnésium et des explosifs.
Les deux-tiers de la poudre à canon. Et presque la moitié de l'essence "à haute teneur en octane" pour l'aviation.
Et petite indication significative, après avoir effectué 18 mois de service dans la Waffen SS, le Prince Bernhard des
Pays-bas, partira travailler à la IG Farben. Et ce sera ce dernier qui deviendra pendant un temps, le président du
groupe Bilderberg, qui sera créé après-guerre.
Tout au long de la guerre, les agences de Paris de la JP Morgan et de la Chase National Bank (la future "Chase
Mannathan Bank") continueront de faire des affaires avec l'occupant.
(1) Petit exemple en France, lors de la guerre d'Indochine, des ouvriers communistes en France, sabotaient
délibérément les armes, à destination des troupes Françaises d'Extrême-Orient. Ils avaient d'ailleurs déjà fait de
multiples sabotages, en 1939-40, durant le pacte Germano-Soviétique, alors que l'URSS était Alliée de l'Allemagne.
On nous dépeint toujours les communistes comme "les premiers résistants", alors qu'en fait, ils furent les premiers
traîtres et collaborateurs. Si l'URSS n'était pas entrée en guerre avec l'Allemagne, on peut penser que les
communistes, n'auraient jamais rien tenté contre l'occupation Allemande.
Sources:
"La marche irrésistible du nouvel ordre mondial", par Pierre Hillard, Editions François-Xavier de Guibert;
"Wall Street and the Rise of Hitler - How western capitalists funded Hitler and National Socialism", par Antony C.
Sutton, Editions Buccaneer Book;
"Final Warning, a History of the New World Order", par David Rivera, Editions Progressive Press;
"Elimination of German Resources for War": Audiences devant le sous-comité du Comité sur les affaires militaires,
du Sénat des Etats-Unis, 79ème Congrès, Partie 5, témoignage du Département du Trésor du 2 juillet 1945;
www.mondialisation.ca;
Par Scaramouche
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05/01/2011 LE NOUVEL ORDRE MONDIAL (Partie …
Lundi 27 décembre 2010
"Nous, fédéralistes mondiaux, sommes convaincus que la création de la confédération mondiale est le problème
capital de notre temps. Tant qu'il n'aura pas été résolu, toutes les autres questions — nationales ou internationales
— resteront sans réponses valables. Ce n'est pas entre la libre entreprise et l'économie dirigée, le capitalisme et le
communisme qu'il s'agit de choisir, c'est entre le fédéralisme et l'impérialisme".
"Limitation des souverainetés nationales" avec "transfert à la Confédération des pouvoirs législatif, exécutif et
judiciaire", "création d'une force armée supra-nationale", en précisant en particulier "qu'une juste perspective
fédéraliste doit intégrer les efforts faits sur les plans régional et fonctionnel. La formation d'unions régionales dans
la mesure où elles ne constituent pas une fin en soi et ne risquent pas de se cristalliser en blocs (en fait, tant
qu'elles restent minoritaires, sans réelle importance, pour ne pas devenir un risque pour un gouvernement mondial,
NdT) peut et doit contribuer au bon fonctionnement de la Confédération mondiale". A la fin de cette Déclaration, il est
précisé de favoriser la création d'une "Assemblée Constituante mondiale".
Parallèlement à la création du WFM, l'Union des Fédéralistes Européens (UEF) voit le jour à Montreux. Mais des
travaux en amont avaient déjà préparé le terrain. Sous l'influence de la Paneurope Coudenhove-Kalergi, il sera
fondé en 1934, la "Europa Union", pour défendre l'objectif d'une Europe unifiée, selon le principe fédéral et inspiré
du modèle Suisse. Quatre ans plus tard, en novembre 1938, fut créée sous l'influence des "fabiens" Lord Lothian et
Lionel Curtis, la "Federal Union". Cette dernière est en fait une branche de l'UEF au même titre que le sont les
différentes représentations: française (l'UEF France), Allemande (Europa Union Deutschland), Italienne (UEF
Italie),...etc. Précisons que l'UEF est l'une des branches du World Federalist Movement (WFM).
C'est un institut Européen oeuvrant en faveur du fédéralisme et qui épouse en même temps les thèses du WFM.
Mais ce dernier le fait à l’échelle planétaire. Il est important de parler de la mission de l'UEF. Cet institut fédéraliste
est dirigé par l'Anglais Andrew Duff, député au Parlement Européen sous l'étiquette des "démocrates libéraux". Il est
membre aussi du "European Council on Foreign Relations" (le ECFR, "Conseil Européen des Relations
Etrangères") créé en 2007 (véritable copie à l'échelle Européenne du CFR Américain, fondé en 1921).
Andrew Duff aura aussi, en collaboration étroite avec la Fondation Bertelsmann et le député Autrichien Johannes
Voggenhuber, permis la relance du projet de constitution Européenne après le "non" des référendums Français et
Hollandais en 2005. Le Traité de Lisbonne n'aurait pas pût voir le jour, sans l’appui d'Andrew Duff. De plus,
l'influence de Cecil Rhodes et d'un Lord Milner s'est faite sentir lors de la rédaction de la Constitution Européenne
(prélude au Traité de Lisbonne) en 2003-2004. En effet, le "groupe Milner" et les fabiens ont toujours été favorables
à une unification de l'Europe, mais à condition que cela se fasse sous direction anglo-saxonne.
Au cours des deux guerres mondiales, les tentatives d'unité Européenne sous direction Allemande, puissance
terrestre, ne pouvaient pas être acceptées par Londres et par Washington car ils se retrouvaient, du fait du conflit,
exclue du continent Européen. Il faut s'intéresser au secrétaire général chargé de téléguider les travaux de la
"Constitution Européenne", l'Anglais John Kerr. Ce dernier est à la tête d'une compagnie pétrolière, la Royal Dutch
Shell, et qu'il est aussi devenu ambassadeur de Grande-Bretagne aux Etats-Unis. Ses liens révèlent aussi qu'il est
membre du comité directeur chargé du recrutement des élites dans le cadre des "bourses d'études Cecil Rhodes".
(1)
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05/01/2011 LE NOUVEL ORDRE MONDIAL (Partie …
ricochet, du système financier et monétaire mondial. Cette crise systémique globale (tant politique, que financière,
monétaire et géopolitique, qui est apparue en 2008) se renforcera au cour des prochaines années, afin de favoriser
l'arrivée de ce nouvel ordre mondial tant voulu par les manipulateurs du système.
- L'Union des nations sud-américaines (UNASUR) est créée en mai 2008. Elle entend passer à une identité
régionale en fusionnant en une seule organisation le Mercosur et la Communauté Andine, c'est-à-dire en
réunissant tous les Etats du continent sud-américain (en excluant la Guyane Française, et les îles Anglaises
Sandwich et Malouines). L'idée poursuivie est de réussir la mise sur pied d'un parlement, d'une monnaie unique et
d'une citoyenneté commune. L'UNASUR entretient des liens privilégiés avec son modèle Européen par le biais
d'une assemblée parlementaire euro-latino-américaine appelée EUROLAT.
L'Union Européenne (UE) se voit dotée progressivement d'un visage politique et d'un "numéro de téléphone" pour
reprendre l'expression d'Henry Kissinger. Des rivalités continuent à perdurer entre le président du Conseil
Européen, le président de la Commission Européenne et la présidence tournante de six mois. Cette situation agace
profondément l'administration Obama. Cependant, dotée d'une personnalité juridique et d'une complète primauté
du droit Européen sur le droit national des pays, l'Union Européenne peut prétendre à imposer sa loi, de plus en
plus.
Enfin, il est prévu théoriquement pour 2015 l'instauration d'un bloc euro-atlantique unifié politique, économique et
militaire (3). Nous pouvons signaler que le Parlement européen a adopté une résolution, le 26 mars 2009, traitant
de "l'état des relations transatlantiques après les élections qui ont eu lieu aux Etats-Unis". Cette résolution a le
mérite de rappeler tous les accords politiques, économiques et militaires conclus afin d’aboutir à une union
transatlantique.
En effet, l'Union Européenne n'est qu'une des composantes d'un vaste programme conduisant à l'émergence de
blocs continentaux, qui seront chacun dotés d'une monnaie, d'une citoyenneté, d'un parlement unique,...etc. Par la
réunification de l'ensemble de ces blocs, cela constituera une gouvernement mondial.
En outre, il est important d'évoquer un évènement (passé sous silence à l'époque par la presse Française). Lors du
sommet de l'Aquila en Italie (du 8 au 10 juillet 2009), les chefs d'Etat ont traités divers dossiers (crise économique,
climat,…etc). Et lors d'une rencontre avec les journalistes, le président Russe Medvedev, à présenté un prototype de
monnaie mondiale sous la forme d'une pièce fabriquée en Belgique, sur laquelle était gravée en anglais "unité
dans la diversité". Cette présentation constituait un tournant. Pour la première fois, un chef d'Etat a présenté
publiquement à la presse, un exemplaire de la future monnaie mondiale. Dont personne n'avait jamais entendu
parler, et qui bien-sûr, n'a pas encore était officiellement adoptée, ni encore mise en service (cela nous montre bien,
que de nombreuses choses n'arrivent nullement par hasard, et que beaucoup d'évènements, sont en fait prévu à
l'avance).(4)
Ce geste complète les propos d'Herman van Rompuy qui, lors de son discours de remerciements après sa
nomination au poste de président du Conseil de l'Union Européenne, n’a pas hésité à prononcer des paroles
lourdes de sens: "2009 est aussi la première année de la gouvernance mondiale avec l'instauration du G20 en
pleine crise financière".
Leur plan prend du temps, mais petit-à-petit, ils arrivent à leurs fins.
(1) Mais il ne faut pas oublier le poids (encore à l'heure actuelle) de l'Allemagne (et de l'influence qu'aura après-
guerre une certaine "internationale nazie" survivante) dans l'instauration d'une "Communauté Economique
Européenne". Voir pour plus d'informations, "Les vrais origines de l'Union Européenne".
(2) Mit en place tous les deux par le groupe Bilderberg. Voir les vidéos dans la Partie 4.
(3) Pour plus d'informations, voir "L'instrumentalisation de l'Union Européenne".
(4) Voir la vidéo dans la Partie 4.
Sources:
"La marche irrésistible du nouvel ordre mondial", par Pierre Hillard, Editions François-Xavier de Guibert;
"Final warning, a history of the New World Order", par David Allen Rivera, Editions Progress Press;
www.mondialisation.ca;
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05/01/2011 LE NOUVEL ORDRE MONDIAL (Partie …
Lundi 27 décembre 2010
Au niveau Européen:
C'est d'abord la nomination au poste de président de l'U.E. de Herman Van Rompuy, qui n'a pas du tout était élu
(malgré ce que beaucoup de gens pourraient penser). Il a était choisi, tout comme d'ailleurs la ministre des affaires
étrangères Européenne Catherine Ashton, par le groupe Bilderberg. Cela sera même confirmé à l'époque par deux
journaux Anglais ("The Telegraph" de Londres et "The Guardian").
Voyez cette allocution du 11 novembre 2009 au Parlement Européen, du député Italien Mario Borghezio, qui
s'interroge publiquement sur l'influence du groupe Bilderberg et de la Commission Trilatérale, dans la nomination
de ses deux personnes, et du "manque de transparence" dans ces choix, fait délibérément à l'insu de la population
Européenne dans les réunions à huit-clos de ces "groupes occultes" (Les propos sont repris et sous-titrés en
anglais, dans la bande rouge). (2)
Maintenant, la mise en perspective des propos et surtout de ce que souhaite ce président de l'U.E., en se servant de
la crise que nous vivons en ce moment. Montrant bien que l'U.E. n'est devenue qu'une entité fasciste, n'étant là que
pour englober les pays Européens dans le futur NOM.
Pour bien montrer ce qui attend un jour le reste du monde et à qui nous avons à faire, voici la situation actuelle,
dans la vie de tous les jours aux Etats-Unis. Je vous invite à regarder cette vidéo (sous-titrée en Français), vous n'en
reviendrez pas et cela fait carrément "froids dans le dos". (3)
La future monnaie unique mondiale, présentée publiquement par le président Russe Medvedev, en 2009.
(1) Je vous renvoie également à la catégorie "Documents vidéos", que vous trouverez sur la colonne de droite. Et qui
contient aussi des documents intéressants (pour ceux ou celles qui ne les auraient pas encore vu).
(2) Ensuite, on nous dira encore, "qu'il n'y a rien" et que ces groupes "n'ont aucune influence". Pour plus
d'informations, voyez les articles sur le groupe Birdelberg et la Commission Trilatérale, dans la catégorie "sociétés
secrètes".
(3) Vous pouvez aussi voir l'article "Vers un régime fasciste aux Etats-Unis ?". Je mettrais les autres vidéos
lorsqu'elles seront disponibles (merci à "Hussard de la mort" pour son travail de traduction).
Par Scaramouche
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