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Bob Deffinbaugh
Introduction
Bien que nous devrions faire notre possible pour vivre comme ça pour créer
un intérêt en ce qui nous rend unique, comme Chrétiens (Matthieu 5:13-16 ;
Colossiens 4:5-6 ; 1 Pierre 3:13), nos fautes n’empêchent pas
nécessairement les autres d’être attirés par Jésus Christ comme leur
Sauveur. Je connais un homme qui a été sauvé par le témoignage d’un marin
alcoolique. Mon ami, alors un non-croyant, réprimanda un Chrétien ivre pour
sa conduite. L’ivrogne protesta que même qu’étant un discrédit pour son
Seigneur, il était éternellement sauvé et en sureté. Mon ami ne pouvait pas
s’imaginer comment une telle chose était possible. A cause de la certitude de
ce Chrétien alcoolique de sa sécurité spirituelle, mon ami étudia les Écritures
pour voir pour lui-même si cela pouvait être vrai. Le résultat, il fut sauvé,
dans un certain sens à travers le “témoignage” d’un marin ivre.
Dieu avait révélé à Abraham qu’il serait le père d’un fils que Sara lui
donnerait (17:15-19 ; 18:10). Abraham, entendant que Sodome et Gomorrhe
allaient être détruites, intercéda pour les villes au nom des justes, qui
vivaient là (18:22). Dieu lui assura que si seulement dix justes pouvaient être
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trouvés, les villes seraient épargnées (18:32). Bien que les justes ne furent
pas trouvés et les villes ne furent pas épargnées, Loth et ses filles ont été
délivrés (chapitre 19). La dévastation de Sodome et Gomorrhe est arrivée
sous l’œil d’Abraham, regardant d’une distance (19:27-29).
Pour une raison quelconque185 Abraham est parti de Mamré, pour aller vers
Qadech au sud, puis vers Guérar dans le nord-ouest, non loin de la Mer
Méditerranée dans le pays des Philistins.186 A Guérar, Abraham répéta un
péché commit très tôt dans sa vie d’adepte de Dieu (12:10). Encore une fois,
il fait passer sa femme Sara pour sa soeur, qui a résulté par elle étant
emmenée dans le harem d’Abimélek,187 roi de Guérar.188
Chapitre 12 Chapitre 20
Endroit : Egypte Endroit : Guérar
Époque : Tôt dans la vie chrétienne Époque : Tard dans la vie chrétienne
Roi : Pharaon Roi : Abimélek
La réponse d’Abraham pour réprimander : La réponse d’Abraham pour réprimander :
Silence Excuses
Résultat : Abraham est parti d’Egypte Résultat : Abraham est resté à Guérar
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gênés par les péchés de leur jeunesse (chapitre 20), et « les péchés des
pères » sont sûrement visités sur les fils (comme dans le chapitre 26).
La situation ici est bien plus critique que celle du chapitre 12. Premièrement,
Dieu a clairement révélé à Abraham et à Sara qu’ensemble ils auront un fils
par qui les promesses de l’alliance seront réalisées. Plus encore, la
conception de l’enfant sera proche, car il lui a été dit que l’enfant serait né
en l’espace d’une année (17:17 ; 18:11, 13). Mais l’œil de la foi aurait vu cela
d’un angle complètement différent. Est-ce que la foi d’Abraham était faible ?
C’est possible.
Abimélek est restreint par Dieu deux fois. Premièrement, Dieu l’a avertit en
termes des plus corsés :
« Tu vas mourir, à cause de cette femme que tu as enlevée, car elle est mariée. »
(Genèse 20:3)
Il est clair qu’Abimélek ne mourra que si ses actions ne sont pas corrigées et
Sara retournée à Abraham, intacte. Dieu a dit à Abimélek qu’il était un
homme mort s’il n’agissait pas décisivement et selon Ses instructions.
«Dieu lui répondit en songe : Je sais, moi aussi, que tu as agi en toute bonne
conscience. C'est pourquoi je t'ai empêché de commettre un péché contre moi et je
ne t'ai pas laissé la toucher.
Maintenant, renvoie cette femme à son mari, car c'est un prophète. Il priera pour toi
et tu resteras en vie. Si tu ne la lui rends pas, sache que tu mourras, toi et tous les
tiens.»
« Abraham pria Dieu, et Dieu guérit Abimélek ainsi que sa femme et ses servantes, et
elles purent de nouveau avoir des enfants.
Car l'Eternel avait frappé de stérilité toutes les femmes dans la maison d'Abimélek à
cause de l'enlèvement de Sara, femme d'Abraham. » (Genèse 20:6-7, 17-18)
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explique aussi la grande peur des servants masculins dans la maison
d’Abimélek. Eux aussi souffraient de l’affliction qui interdisait les activités
sexuelles normales. Dans une culture qui place une grande valeur sur
beaucoup d’enfants et la virilité, la situation aurait été très critique. Et elle
l’était.
Bien que le danger imminent pour Abimélek est accentué, son innocence
l’est aussi:
« Or Abimélek ne s'était pas encore uni à elle. Il s'écria: Mon Seigneur, frapperais-tu
des innocents? Son mari lui-même ne m'a-t-il pas dit: «C'est ma sœur»? D'ailleurs,
elle-même me l'a confirmé en affirmant: «C'est mon frère.» C'est en toute bonne
conscience et avec innocence que j'ai agi ainsi.» (Genèse 20:4-5)
Aussi étrange que cela puisse paraître, Abimélek se tient bien plus droit
qu’Abraham dans ce passage. Nous devons admettre qu’il n’y a pas de
péchés auxquels un Chrétien ne succombe pas dans les temps de
désobéissance ou d’incrédulité. Quand cela arrive, les non-croyants
ridiculisent les Chrétiens pour leur manque d’intégrité et de moralité (I
Corinthiens 5:1).
Si j’avais été Dieu, la dernière chose que j’aurai considéré faire aurait été de
révéler ma relation à Abraham. Même si mon caractère demandait que je
reste fidèle à mes promesses, je n’aurai pas révélé à Abimélek qu’Abraham
était un croyant, bien qu’un croyant charnel. Et Dieu a révélé le fait
qu’Abraham était l’objet de Son traitement spécial. Encore plus que ça,
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Abraham était identifié à un prophète (verset 7).190 Il était le représentant de
Dieu et l’intermédiaire par lequel Abimélek devait être guérit.
Abimélek n’a pas perdu de temps pour mettre tout en ordre devant Dieu. Il
se leva tôt le matin et raconta son rêve à sa famille. Parce qu’ils étaient tous
affligés avec Abimélek, ils avaient grandement peur (verset 8). Ils
s’arrangeraient pour que les ordres du roi soient suivis à la lettre.
« Pourquoi nous as-tu fait cela? Quel mal t'ai-je fait pour que tu nous aies exposés,
moi et mon royaume, à commettre un si grand péché? Tu as fait envers moi des
choses qui ne se font pas. » (Genèse 20:9)
Abraham avait fait du tort à Abimélek. Il n’avait pas seulement fait ce qui
était mal aux yeux de Dieu, mais aussi aux yeux des païens. Abraham, qui
devait devenir une cause de bénédictions (12:2-3), était devenu une source
de misère pour ceux du pays dans lequel il était.
« Abraham répondit: Je me suis dit: Certainement, on n'a aucun respect de Dieu dans
ce pays-ci, et on me tuera à cause de ma femme.
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De plus, elle est réellement ma parente, puisqu'elle est fille de mon père, mais pas de
ma mère[c]. Et elle est devenue ma femme.
Quand Dieu m'a fait quitter la maison de mon père et aller de lieu en lieu, j'ai dit à ma
femme: «Aie la bonté de dire, partout où nous irons, que je suis ton frère. » (Genèse
20:11-13)
Trois raisons nous sont données pour la déception d’Abraham, mais aucune
d’elles n’explique avec satisfaction ses actions à Guérar. Premièrement,
Abraham a agit par peur. Il avait peur qu’à cause de la beauté de Sara, il
serait tué, et elle serait mariée de force. Cette peur était basée sur une
fausse thèse théologique: Dieu est seulement capable d’agir quand les
hommes veulent bien obéir. Dieu pourrait sauver Abraham seulement dans
un endroit où IL serait connu et révéré par les hommes. La conclusion est
qu’où les hommes impies sont, la main de Dieu est raccourcie et ne peut
sauver.
Une autre observation doit être faite concernant les peurs d’Abraham pour
sa sécurité. Sa conduite ne diffère que peu de celle de Loth à Sodome et
Gomorrhe. Loth, en invitant les deux étrangers sous son toit, leurs assura
protection. Plutôt que de briser sa promesse, il aurait volontairement sacrifié
la pureté des ses deux filles vierges et les aurait données aux hommes
dehors. Abraham, ayant peur pour sa sécurité, aurait accepté de donner sa
femme au roi (ou n’importe quel citoyen de Guérar) pour se protéger du
danger.
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La deuxième raison pour la déception d’Abraham est encore moins
satisfaisante. Sa déclaration, bien qu’étant un mensonge, était
techniquement vraie. Sara était en fait sa sœur, la fille de son père, mais pas
de sa mère (verset 12). Les faits peuvent être et souvent sont utilisés d’une
façon à faire avaler un mensonge. Les statistiques sont parfois utilisées
comme ça : Vous avez votre tête dans le congélateur et vos pieds dans le
four, mais, en moyenne, vous êtes confortable. Sa sœur, certes. Elle était sa
femme. Abraham a essayé de se défendre par des technicités mais pas par la
véracité.
Cette observation ne m’est pas venue tout de suite. En fait, un de mes amis
me l’a suggeré après que j’ai livré ce message durant le premier service.
Mais il a absolument raison. Abraham ici a agit comme un de nos enfants qui
est prit sur le fait. Il est désolé d’avoir été prit, mais pas repentant du mal
qu’il a fait.
Cela explique aussi la répétition de ce péché par Abraham et, plus tard, par
son fils, Isaac. Abraham ne s’est jamais dit, « je ne referai plus jamais ça », ni
en Egypte, ni à Guérar. Dans les deux cas, Abraham a échappé avec la
pureté intacte de sa femme et un butin d’une grosseur appréciable. Pour
autant que je puisse dire, Abraham n’a jamais vu ses mensonges comme des
péchés. En conséquence, cela a continué à surgir dans les générations
d’après.
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était le seul qui pourrait intercéder pour lui pour arrêter le fléau de stérilité.
Pour cette raison, la restitution eut lieu.
Premièrement, Sara a été rendue à son mari Abraham avec des moutons,
des bœufs et des servants (verset 14). Puis, Abraham a été invité à s’installer
dans le pays, où il voulait (verset 15). Finalement, mille pièces d’argent lui
furent données comme un symbole de la justification de Sara (verset 16).
Son retour à Abraham n’était donc pas parce qu’elle était inacceptable ou
indésirable.191
Bien que ce fût une période tragique pour le peuple choisi de Dieu, elle était
nécessaire, car elle préparait le chemin pour les chapitres suivants dans
lesquels l’enfant promis est donné. La promesse de Dieu à Abraham a été
gardée parce que Dieu est fidèle, pas parce qu’Abraham était fidèle. Selon
les mots des Écritures, « tout cadeau de valeur, tout don parfait, nous vient
d'en haut » (Jacques 1:17)
Conclusion
L’échec d’Abraham, pour être sûr, arriva dans la culture et le temps qui est
étranger aux Chrétiens d’aujourd’hui. En dépit de ça, ses problèmes n’étaient
pas différents des nôtres (Jacques 5:17), et les principes trouvés dans le
chapitre 20 de Genèse sont aussi vrais aujourd’hui qu’ils étaient il y a des
siècles. Dieu n’a pas changé, les hommes non plus. Prenez un petit moment
pour considérer les leçons que nous pouvons apprendre de cet incident dans
la vie d’Abraham.
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(1) La faiblesse des saints.
Une position privilégiée n’empêche pas l’échec. Abraham était l’élu de Dieu,
le choisi de Dieu, mais il a quand même pataugé et échoué. Abraham a
prospéré en Egypte et à Guérar, mais ce n’était pas parce qu’il avait atteint
un niveau spirituel plus haut. La doctrine la plus dangereuse est celle qui
suggère que les Chrétiens puissent être au-dessus de tentations et échecs
dans leurs vies chrétiennes, même après des années de service ou dans une
position privilégiée.
Les trois excuses d’Abraham sont facilement vues comme une feinte, et
pourtant des variations de ces trois thèmes servent comme justification pour
beaucoup de mal que nous faisons.
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La deuxième est traitée en termes techniques plutôt que qu’en termes
véridiques. Les informations qu’Abraham a donné à Abimélek étaient
totalement basées sur les faits (verset 12). Sara était sa soeur. Mais ce
qu’Abraham n’a pas dit en a fait un mensonge. Elle était sa femme, et aussi
sa soeur.
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pas une religion tiède mais une qui leurs assure le salut sans tenir compte de
leur condition spirituelle du moment. Le genre de foi qu’Abraham avait est le
genre que les hommes désirent, une qui marche – même quand nous on ne
marche pas.
Cela nous amène à notre point final : Le Chrétien est éternellement sécurisé
en dépit de ses échecs dans sa foi. Retourner au point de départ n’est jamais
encouragé, jamais pris à la plaisanterie, et jamais sans conséquences
douloureuses selon les Écritures. Néanmoins, retourner au point de départ ne
coûtera jamais son salut au Chrétien. Le salut que Dieu offre aux hommes est
éternel. Si quelqu’un aurait du perdre son salut, c’était Abraham, mais il est
resté un enfant de Dieu.
185
While no reasons for Abraham’s moves are given, I would think that chapter 19 supplies
us with a strong suggestion for Abraham’s departure from Mamre. Somehow the devastation
of the cities of the valley must have had some effect on Abraham’s ability to raise his great
herds of cattle. It is likely that the availability of both grass and water may have affected his
other moves as well.
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186
The critics have pounced upon the mention of the Philistines in 21:32. This is impossible
and thus in error because the Philistines were not in the land until after Moses, their
dominion of Palestine being around 1175 B.C. It would appear that the problem is best
explained by viewing these early Philistines as those of an early wave of migrants who paved
the way for the later, more hostile immigrants identified biblically as Philistines. For a lengthy
discussion of this problem, cf. Harold G. Stigers, A Commentary of Genesis (Grand Rapids:
Zondervan, 1976), pp. 181-182. Kidner concisely summarizes:
“The Philistines arrived in Palestine in force in the early twelfth century; Abimelech’s
group will have been early forerunners, perhaps in the course of trade.” Derek Kidner,
Genesis (Chicago: Inter-Varsity Press, 1967), p. 142.
187
Abimelech is thought to be a title of office, like Pharaoh, and not the given name of a
person. It is difficult to know for certain whether Abimelech is a moral pagan or a true
believer in the God of Abraham
188
Some marvel at the fact that Sarah could still be so attractive at the age of 90 that she
would be desirable as a wife (or concubine). We must remember that the life span of men
and women was longer then than now. Abraham lived to the age of 175 (25:7), Sarah to 127
(23:1). Also, in order to bear the child the normal aging process must have been retarded.
The text leaves the impression that Abraham feared for his safety because of Sarah’s
beauty. I believe we should be willing to accept this at face value. This does not mean that
other reasons for taking Sarah could not have been present. Abraham was a man of wealth
and power. Alliances were made by means of marriages, and thus Abimelech’s reasons for
marrying Sarah may have been numerous.
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Some have suggested that Sarah had no guilt in affirming Abraham’s lies as the truth. It is
said that Sarah was merely being submissive and that Abraham bore his guilt and Sarah’s
also. I see no biblical evidence for such claims. Sarah was commended in Scripture for her
submissive obedience. The reference of Peter to Sarah, however, is not to her lie in Genesis
20 but to her reverence toward her husband in chapter 18 (verse 12). Here, late in life and at
a time when the promise of a child seemed incredible, she still referred to Abraham with
deep respect, evidenced by the word ‘lord’: “And Sarah laughed to herself, saying, ‘After I
have become old, shall I have pleasure, my lord being old also?’” (Genesis 18:12).
Furthermore, Peter, while commending Sarah’s obedience, carefully defined the kind of
obedience which is acceptable and pleasing to God: “Thus Sarah obeyed Abraham, calling
him lord, and you have become her children if you do what is right without being frightened
by any fear.” Abraham’s lie and Sarah’s participation in it was based upon fear, and Moses
made it clear that it was not right, even in the eyes of a pagan. While Sarah’s obedient spirit
may be commended, her lie is not. We must always obey God rather than men (Acts 5:29).
Submission is the obedience we give when, in our judgment, the action is unwise; it is not
participating in what we know from God’s Word to be wrong. In the biblical chain-of-
command God’s revealed will is supreme, and it overrules all other levels of authority if they
are in direct conflict.
190
While Abraham does not fit the usual conception of a biblical prophet, it is a fitting
designation. He did, consistent with the Hebrew word, nabhi, serve as a speaker or
spokesman for God (cf. Exodus 4:16, 7:1). Furthermore, a prophet often interceded for
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others (cf. Deuteronomy 9:20; I Samuel 7:5). In both of these senses Abraham was a
prophet, although he did not foretell the future.
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Stigers suggests that the 1000 pieces of silver was actually the value of the cattle given:
“Herein are described the results of the incident presented in vv. 1-7. In v. 16 there is
the peculiar circumstance of the money, which may be a value paraphrase of the
value of the animals and slaves given to Abraham, stated in a judicial manner. The
giving of the animals is, in effect, a pecuniary settlement to guarantee that no legal
recourse may be had by Abraham against Abimelech at any future time.” Stigers,
Genesis, p. 180. In his usual concise style Kidner summarizes: “In offering the
compensation Abimelech owned his error (though the term ‘thy brother’ re-
emphasized his innocence), and in accepting it Abraham acknowledged the matter
settled.” Kidner, Genesis, p. 139.
192
Ibid., p. 137.
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