Quels types de nécessités ont déterminé l’apparition de la roue ?
Regardez autour de vous et essayez de découvrir quelque chose dans votre maison qui n’ait aucun lien avec la roue. Presque tous les appareils, tous les dispositifs, tous les objets fabriqués de main humaine sont liées d’une façon ou d’une autre à la roue. Bien que le moment et le lieu exacts de l’invention de la roue soient difficiles à préciser, la théorie acceptée par la majorité est celle selon laquelle la roue a apparu initial
Quels types de nécessités ont déterminé l’apparition de la roue ?
Regardez autour de vous et essayez de découvrir quelque chose dans votre maison qui n’ait aucun lien avec la roue. Presque tous les appareils, tous les dispositifs, tous les objets fabriqués de main humaine sont liées d’une façon ou d’une autre à la roue. Bien que le moment et le lieu exacts de l’invention de la roue soient difficiles à préciser, la théorie acceptée par la majorité est celle selon laquelle la roue a apparu initial
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Quels types de nécessités ont déterminé l’apparition de la roue ?
Regardez autour de vous et essayez de découvrir quelque chose dans votre maison qui n’ait aucun lien avec la roue. Presque tous les appareils, tous les dispositifs, tous les objets fabriqués de main humaine sont liées d’une façon ou d’une autre à la roue. Bien que le moment et le lieu exacts de l’invention de la roue soient difficiles à préciser, la théorie acceptée par la majorité est celle selon laquelle la roue a apparu initial
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Quels types de nécessités ont déterminé l’apparition de
la roue ?
Regardez autour de vous et essayez de découvrir quelque chose dans
votre maison qui n’ait aucun lien avec la roue. Presque tous les appareils, tous les dispositifs, tous les objets fabriqués de main humaine sont liées d’une façon ou d’une autre à la roue. Bien que le moment et le lieu exacts de l’invention de la roue soient difficiles à préciser, la théorie acceptée par la majorité est celle selon laquelle la roue a apparu initialement sous la forme d’un tronc d’arbre roulé. On peut supposer qu’ultérieurement le tronc a été remplacé par des disques coupés, en obtenant ainsi des roues assez lourdes, qui se cassaient facilement, mais cela ne les empêchait pas de rouler. Avant l’invention de la roue, les véhicules étaient assez primitifs, un simple traîneau semblable à une sorte de civière, formée d’un ensemble sur lequel était fixé un cadre tiré par des animaux ou par le voyageur lui-même. Mais ces moyens étaient évidemment inférieurs à ceux qui seront basés sur la roue. Certainement on sait que l’un des premiers types de roues a été obtenu de trois planches reliées à des traverses et sculptées en forme de disque. C’était une meilleure méthode pour obtenir une roue que celle d’une seule pièce, surtout si on pense que la roue avait apparu avant l’invention des routes. Le changement qui a conduit à une roue beaucoup plus légère, en augmentant ainsi son utilité, s’est produit en 2000 avant J.C., pour les chars de combat en Asie Mineure. À ce moment-là la roue devenait un moyen de transport, et les chariots et les charrettes ont commencé à se spécialiser en fonction des applications pour lesquelles elles devaient être utilisées. Ainsi la roue était devenue une nécessité dans l’agriculture, le commerce à longue distance et dans la guerre. Le char de combat a révolutionné l’art de la guerre. Ce véhicule rapide et facile à manipuler a été utilisé dans toutes les guerres des grandes armées du deuxième millénaire préchrétien, y compris celles d’Egypte, d’Inde et de Grèce. La roue ne doit en aucun cas être considérée exclusivement comme un accessoire pour le transport terrestre. Elle est passée du char de guerre au char d’assaut, et de la charrette à la voiture, mais c’est évident qu’aucune de ces transitions ne se serait produite sans l’utilisation de la roue dans les autres applications. Personne ne peut dire précisément quand a été conçu le tour du potier, mais la première preuve de son existence remonte à l’an 3500 avant J.C., en Mésopotamie. Un morceau d’argile, qui jusque-là était façonné manuellement, pouvait être « jeté » sur une roue tournée et, avec ses mains et éventuellement à l’aide de certains outils et par la force inertielle, on pouvait lui donner une forme symétrique. Entre ces formes pouvaient se compter des tasses, des pots et d’autres récipients. Etant conçus non seulement dans un but décoratif, ces récipients en argile n’étaient pas uniquement produits pour le commerce intérieur. Il y avait aussi des marchandises commercialisées à l’extérieur, à l’aide des bateaux et des chariots. A partir de la grande roue des parcs d’attractions jusqu’aux roues minuscules du mécanisme d’une montre, la roue a été le principal marqueur de la révolution industrielle. Bien que les vélos soient associés en général à l’idée de se récréer, le premier modèle de vélo a apparu comme moyen permettant de résoudre un problème. En 1817 le baron Von Drais avait besoin d’un dispositif pour se promener dans ses jardins à une vitesse plus grande que celle normale à la marche et sans se fatiguer. La solution : « La voiture à marche ». La personne restait à cheval sur un cadre qui avait à l’avant une roue pouvant être dirigée, et à l’arrière une deuxième roue, alignée à la première. Les pédales n’existaient pas encore. Le cycliste se propulsait par son pied en s’appuyant au sol. Quoique la coûteuse voiture se soit réjouie d’une grande popularité parmi les riches, elle n’était pas vraiment pratique, pouvant être utilisée seulement sur une surface lisse et plane. En 1865 a fait son apparition un autre modèle qui avait des pédale à l’avant, de même qu’une roue plus grande. Il a été appelé « vélocipède » à cause du voyage inconfortable et souvent violent qui devait être supporté par celui qui l’utilisait.
La raison des secousses était le fait que ce « vélocipède » était
entièrement construit en bois. Il a ensuite reçu des pneus en métal, ainsi le contact entre ces matériaux et les routes de pierre cubique de l’époque conduisait à un voyage avec des claquements de dents. Autour de l’année 1870 ont apparu les premiers véhicules entièrement métalliques, ayant subi quelques modifications importantes. L’une d’elle consistait au fait que la roue d’avant était devenue encore plus grande, conçue en fonction de la longueur maximale des pieds de l’usager, car on avait constaté que plus la roue était grande, plus la distance parcourue en appuyant une seule fois sur la pédale augmentait. Une seconde modification, de moindre importance que la première, était celle d’utiliser des pneus en caoutchouc plein. En outre, les modèles prenaient en compte les besoins des femmes, ce qui a mené à l’apparition du tricycle pour adultes qu’elles pouvaient utiliser même en portant de longues jupes. En plus, elle apportait une note supplémentaire de dignité à ceux qui l’utilisaient, en particulier au clergé, aux médecins ou à d’autres personnes appartenant à une classe sociale supérieure. Parmi d’autres améliorations, on pouvait mentionner les engrainages à freins à main et le différentiel. Certains de ces changements étaient si importants qu’ils sont utilisés même de nos jours, à la fois sur les bicyclettes et sur les automobiles. À la fin du XIX siècle, les pneus en caoutchouc solide étaient encore produits mais… un jour d’avril 1887, le fils âgé de 4 ans de John Dunlop s’est plaint que son tricycle le secouait trop fort. La solution apportée par John Dunlop : il a fabriqué un pneu « pneumatique » ou rempli d’air pour le tricycle de son fils. Et l’invention a porté ses fruits. Depuis son fils se déplaçait sur une pochette d’air placée entre le pneu et la jante de la roue, de sorte que tous les chocs étaient alors absorbés par cette partie du pneu et sans être subis par son conducteur.
Bien que le vélo ait eu un rôle important en incitant à d’autres
inventions, il est également important pour lui-même, étant dans de nombreux pays l’un des principaux moyens de transport, en Amérique utilisé comme moyen de déplacement favori. Et, dans une société où la santé publique devrait prévaloir, la bicyclette serait un outil indispensable à son bien-être. Le retour à la bicyclette devient-il possible de nos jours? Le besoin de l’homme de se déplacer plus rapidement a mené à l’apparition de la bicyclette. Elle était utilisée comme un moyen de transport mais à la fois comme un moyen de se relâcher. En tant que moyen de transport elle a été dépassée avec le temps à la suite du développement de la technique. L’ homme moderne est tout le temps en vitesse, tout le temps occupé. Il a donc besoin, en vitesse (!!), de moyens rapides de transport mais, outre cela, la bicyclette demeure également un moyen de relâche des promenades tranquilles, sur les pistes spécialement aménagées ou sur les routes de campagne. Les nouveaux moyens de transport ont mis la société humaine en danger. Le phénomène de la pollution apparaît : on ne peut pas respirer dans nos métropoles, on avale des grandes quantités de poussière, le ciel est couvert de nuages gris. Les émissions de gaz et de particules des voitures, des camions et des avions, mettent en danger le climat et la qualité de l’air. L’homme a modifié la face du globe au point de détruire l’harmonie du cadre dans lequel il doit vivre. Le nombre croissant de maladies mentales, de névroses et d’une grande partie des maladies de civilisation témoigne de la profonde disharmonie entre l’homme et son milieu. Dans ces conditions, beaucoup d’ hommes reviennent à la vieille bicyclette. Elle coûte peu, elle est facile à entretenir, elle ne consomme pas de combustible, elle n’a pas d’émissions de gaz polluant, elle peut être pratiquée facilement et sans problèmes. Toutes les générations peuvent s’en servir. Ainsi dans les grands villes du monde, elle a commence à être utilisée pour aller au travail, sur de courtes distances. On rencontre des bicyclistes à Berlin, à Amsterdam, à Bruxelles, à Lyon et même à Paris. En conclusion, nous croyons que la bicyclette doit nous accompagner chaque jour dans nos activités, elle doit devenir une attitude, une culture pour l’éco-citoyen de demain.