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L’Atlantide
Selon les plongées entreprises, les ruines de Königsburg/ Basiléia sont à seule-
ment 8 m de profondeur – ce qui fut mesuré par écho-location – et les résultats obte-
nus concernant les mesures, la qualité des restes et leur situation, correspondent exac-
tement aux indications du "Rapport sur l'Atlantide".
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Cette cause n'était pas, jusqu'à maintenant, l'une de celles que la science recon-
naissait mais, nous pensons que la catastrophe naturelle mondiale dévastatrice, fut dé-
clenchée par un planétoïde immense à la fin du XIIIe s. AEC : approchant de la terre,
il tourna plusieurs fois en déclenchant dans tous les pays survolés des incendies im-
menses et en provoquant le réveil de nombreux volcans avant de tomber dans
l'embouchure de l'Eridanus (cf. le "Rapport sur l'Atlantide"). L'Eridanus est une rivière
d'Allemagne du Nord qui s'appelle aujourd'hui l'Eider et qui avait alors un delta com-
mun avec les rivières Elbe et Weser devant l'île de l'Helgoland dans la mer du Nord.
Aujourd'hui même, le "trou dit de Héligoland" qu'a creusé ce grand polanétoïde, est
démontrable (cf. § 4.2).
Puisque le Grand Planétoïde, avant sa chute sur la terre qui est connue
aujourd'hui par les mesures satellitaires, tourna sur des chemins différents, plongea tou-
jours plus dans l'atmosphère, et devenant incandescent se chauffait et lachait une ma-
tière extrêmement incendiaire qui brûlait sur l'eau encore mieux que sur la terre, beau-
coup de pays sur la terre furent détruits par de terribles incendies ; par exemple : la
population de la Grèce fut réduite de 1%, l'empire Hittite s’éteignit, et l'Égypte fut
tourmentée par les "10 plaies", la Bible livre en plus un "schéma eschatologique" (un
scénario mondial de chute, cf. infra) ; "L'Edda" germanique nous informe aussi de
cette "catastrophe mondiale" qu’elle nomme le Ragnarök 1 .
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Notes site <r.t> : Le Ragnarök : que la Grèce dorienne appelle la Gigantomachie sur les frises du
Parthénon [cf. le British Muséum + Le Louvre].
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–> : La "Grande randonnée" des des Peuples de la Mer du Nord, causée par
le temps des catastrophe. En rouge : mise en valeur des zones côtières de la Culture
des Mégalithes précédant l'Âge de Bronze. Les points indiquent les d’écouvertes
des épées “germaniques”. En encadré : la souveraineté plus étroite de l'Atlantide
(d’après Jürgen Spanuth).
Cette question s'impose à qui n'a pas encore lu l'un des sept livres rédigés par
Jürgen Spanuth (cf. § 3.3.). Le Nord était en effet très peuplé à l'âge du bronze et les
écrivains anciens disait qu'il était la "source des peuples". Déjà, avant la chute du Pla-
nétoïde une sécheresse de plus en plus forte se révéla en Europe du Nord si bien que
les Atlantes furent contraints à l'émigration. L'une des conséquences de cette décision
entraîna la fabrication des "épées à soie en langue de carpe", en cuivre de Héligoland,
qui furent trouvées par toute Europe et indiquent ainsi les chemins de la "randonnée"
atlante.
Selon les rapports, ces randonnées avaient déjà commencé avant la chute du
planétoïde sur l'Île Royale/ Basileia si bien qu'une masse de population se distribuait
déjà sur toute l'Europe, tout comme les navigateurs expérimentés allaient naturelle-
ment aussi le faire sur la mer et, ainsi, les influences de la catastrophe décrite furent
seulement partielles.
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Les ancêtres Atlantes, comme navigateurs habiles depuis le temps des mégali-
thes, avaient des liaisons continues avec la Méditerranée et, ainsi, leurs descendants ap-
prirent vite que le Nil asséché envoyait à nouveau autant d'eau par les inondations si
importantes pour leur agriculture, qu'avant l'influence du planétoïde incendiaire 2 .
Grâce à cela les terrains fertiles était continuellement augmentés en Égypte et les At-
lantes voulaient prendre une partie de ces terres nécessaires à leur nouvelle installation.
Mais le pharaon égyptien entreprit tout pour se défendre contre cet assaut parce qu'il
supposa sans doute que l'Egypte serait aussi concernée par la catastrophe qu'amenait
ces Atlantes. Aujourd'hui encore, cette conception sera volontier à nouveau présentée
scientifiquement bien qu'elle ne résiste d'aucune manière à un jugement concret. Les
Atlantes ne peuvent nullement en avoir été la cause parce que les destructions provo-
quées partout surpassent de loin et de toutes les manières ce qu'il est possible de faire
de main d'homme. Aussi les archéologues abandonnent l'idée qui ne peut pas être éta-
blie d'une simultanéité des "pluies de feu" avec les héritages Atlantes.
Comme peuple fermé avec une identité ethnique, naturellement non. Cepen-
dant, trois millénaires depuis le cataclysme n'ont pu passer devant aucun de nos peu-
ples sans qu'il y ait eu des changements. Aujourd'hui encore, les descendants séparés
des Atlantes vivent certainement dans des pays différents sans être très mélangés. Les
Atlantes étaient une ethnie très unifiée dont les descendants sont décrits dans leur pays
d'origine encore plus de mille ans après leur dispersion par l'écrivain romain Tacite
comme "pareils et seulement pareils à eux-mêmes".
César appelle ces descendants pour la première fois du nom de "Germains" qui
signifie dans la langue latine "véritables, bien, comme le frère et la sœur" ! Par la catas-
trophe de la chute spatiale qui avait causée aussi la déstruction de l'Atlantide , alors,
les cultures de Méditerranée déjà fort orientales furent nécessairement influencées en
grande partie par les Atlantes "s'échappant" dans les espaces "vides" et de nouvelles
cultures se fondèrent dont les peuples "indo-européens" sont soi-disant ressorti , nous
dit "la science". Aujourd'hui même, ils parlent des langues apparentées de l'Atlantique
jusqu'à l'Inde. De cela on doitt conclure impérativement qu'ils considèrent aussi rétro-
spectivement avoir eu une origine commune. Seule la recherche génétique moderne
pourra apporter des indications exactes sur cette parenté subsistant encore de nos
jours.
1.7. Quand Atlantide a-t-elle été submergée ?
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N r.t : Un an suppose un décompte solaire ce qui est typique des Peuples du Nord ! Les Sémites
comptaient en lunaisons, ce qui demeure dans les religions asianiques islamique et israélite…
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N r.t : quitter peu à peu, cela était d'ailleurs ritualisé depuis longtemps : à cause de la remontée ré-
gulière des eaux dans le Grand Marais Maglemose, tout les 20 ans une génération entière quittait son
pays et ces "voyageurs" Wandel ont laissé leur noms aux... Vandales qui, pour nous, n’étaient rien
d’autre que des immigrés… climatiques !
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Les Atlantes sont les descendants de ces gens qui, durant de nombreux millé-
naires lors de la période glaciaire, étaient enfermés entre les barrières de glace des Al-
pes et les glaces du Nord. Dans cet "isolat", un profond éclaircissement du pigment de
la peau 6 , des cheveux et yeux apparurent comme conditions vitales de sélection parti-
culières par rapport aux gens du sud de nos terres. L'unique possibilité de quitter
l'Isolat était la voie maritime de l'Atlantique ! C'était connu depuis longtemps dans
l'Âge post-glaciaire et jusqu'à la navigation perfectionnée de haute mer. Cela est prou-
vé non seulement par beaucoup de bateaux sur les gravures pariétales nordiques, mais
encore par les grandes constructions de pierre des zones côtières de la Mer du Nord
(Hünengräber "Les dolmens du diable", Stonehenge), de l'Atlantique (les menhirs,
Dolmen, cromlechs) et la Méditerranée (nuraghes, pyramides).
L'élargissement de cette culture dite des mégalithes incita de plus les historiens
grecs à indiquer le nord de l'Europe même comme étant la source de ces peuples. La
grande catastrophe naturelle autour de 1200 AEC a contraint ces peuples Atlantes du
nord à la Grande randonnée avec leur culture très développée portée ainsi dans
l'espace de la Méditerranée et, enfin, en Grèce de culture archaïque, ce qui produisit
par la suite le fameux "Miracle Grec" qui devint la racine décisive de notre Culture
Occidentale.
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N r.t : nana, ce terme n'est ni vulgaire ni même péjoratif chez les Germains : Nanna est la Déesse
Mère : « Déesse de la Fidélité, elle est une des incarnations – la plus noble – de la Déesse-Mère*. D-
Mère humaine. Fille de Nep (bourgeon), mortel (fils Odhin ?), ou Nökkvi (Hyndluljod ou lai de
Hundla), épouse de Balder, mère de Forseti°. Elle monte sur le bûcher de son époux Balder volontai-
rement (cf. cataclysme boréen/ Déluges*), depuis le Hell, elle adresse son voile de lin (jaune, si com-
paraison avec Athéna*) à Frigg° et Fulla° sa confidente, avec son anneau d'or (Ring). [Bourgeon Nep
à rapprocher de Nephte, Nysos, Dio-Nysos dieu récurrent des arbres fruitier". "Bourgeon de mise à
fruit" plus grand que ceux des brindilles, qui dirige la taille fructifère, le greffage surtout en ente°].
L’étymologie* de Nana serait “maman” en suédois dialectal, ou "la courageuse", la plus fidèle des
"bonne-amies", modernes et art-gothiques “nanas”. Proche de Dana "connaissance" des Anglo-Fri-
sons & Irlandais (aussi Tara, Danu honorée/ montagne figurant ses deux mamelles (cf. art.
Abondance*) ou Anna chez les Celtes* continentaux. † : sainte-Anne bretonne. Au Sud : Anna
Perenna des Romains ; Nana, nymphe grecque mère du berger Attis (végétation récurrente). À l’Est :
Annahanna “Mère des Mères” Hittites. Annahita "l'Immaculée" des Persans. Anna Purna, Déesse
Blanche de l'Himalaya chez leurs cousins Indous… Au Moyen-Orient on trouve Anat à Ougarit,
vierge, mère, guerrière et destructrice, qui est la sœur de Baal (le Soleil) ; Anatu, la Grande Déesse
du Ciel et Régente de la Terre (Ishtar) des Mésopotamiens (indo-européens venant de Cimmérie/ Mer
Noire) ; Anunit régente de la Lune au Nord de Babylone. » cf.: ABCMYTHO/ R&T). On voit bien
que, loin d'être péjoratif, ce nom est des plus majoratifs du point de vue… païen* !!!
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N r.t : éclaircissement du pigment de la peau pour compenser le manque d'ultra violets !
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Depuis que le mot “Atlantide” fut nommé dans le ""Rapport sur l'Atlantide""
du philosophe grec Platon, les auteurs – on dit : 25.000 livres – s'occupaient de la dé-
couverte de cette île submergée. Les difficultés sont à relire dans le § 2.3 et 3.1 mais,
les connaissances de recherche essentielles du pasteur protestant Jürgen Spanuth (cf. §
2.1.) l'ont dirigé sur la trace correcte qui lui ont fait vraiment découvrir Atlantide.
Pourquoi cela ne devint pas une "découverte sensationnelle" encensée par la “science
officielle” se trouve, peut-être, dans le très juste dicton étudiant : "sous les robes se
trouve la poussière de mille ans", ou encore "Pour qu'une vieille doctrine s'éteigne, il
faut seulement que les vieux professeurs et leurs élèves s’éteignent aussi". Malheureu-
sement, ces dictons se vérifièrent aussi dans le cas de Jürgen Spanuth qui fut disqualifié
personnellement d'une manière déloyale par la science établie bien qu'aucun des résul-
tats de sa recherche scientifique n'ai été réfuté. L'envie et la jalousie frappèrent aussi
certains autre grands découvreurs…
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nous pouvons le remarquer, les écrits de Solon et ceux de Platon se sont conservés,
par bonheur, et ont été reconnus en fin de compte par Spanuth comme étant réels :
c'est une source historique jusqu'ici inutilisée mais d'une importance extraordinaire (cf.
§ 3.2).
Les prêtres égyptiens fondent cela sur le fait que l'Égypte n'était pas concernée
par les déluges* de chute de pluie après la chute de Phaéton, au contraire de la Grèce
et de l'Asie Mineure, si bien que les documents n'ont pas été détruits. En outre, pres-
que tous les gens instruits dans d'autres pays à la lecture et aux lettres sont morts par
l'action des pluies de feu, les éruptions volcaniques et les Tsunamis (raz de marée pro-
voqués par les tremblement de terre). Ainsi, Solon put s'entendre dire en Égypte :
« Vous les Grecs êtes comme les enfants, puisque vous ne savez rien de votre propre
histoire. »
Le voyage en Egypte de Solon avait pour but de faire la connaissance de cette
vieille histoire du Temps des Catastrophes qui s'était déjà perdue chez les Grecs.
Ce que Solon apprit là des prêtres, Platon nous l'a ensuite rendu dans le "Rapport sur
l'Atlantide". Cf. § 3.4.
Nous ne voulons pas, pour les nombreux lecteurs qui ne connaissent pas le
"Rapport sur l'Atlantide" et n'ont pas non plus lu d'autres épilogues de ce rapport,
confirmer cela, parce que le premier fut le Grec Krantor de Soloi (320-270 AEC) qui
alla même en Egypte pour s'assurer de l'existence des affirmations du "Rapport sur
l'Atlantide" de Platon. Il nous a informé que les prêtres* égyptiens lui avaient montré
les mêmes inscriptions du temple que Solon avait aussi vues autrefois et, il a réalisé ses
écrits d'après celles-ci. Jürgen Spanuth a aussi suivi son modèle, il a soigneusement
examiné ces inscriptions du temple égyptien et il a ainsi trouvé, et confirmé l'âge de la
constatation de Krantor à 2.300 ans.
3.1. Pourquoi l’Atlantide ne peut pas avoir été située dans la Méditerranée ?
Le "Rapport sur l'Atlantide" dit clairement que l'Atlantide est dans l'Océan, au
nord le plus extérieur, et qu’elle a péri complètement "en un jour et une nuit de
frayeur horrible". Pour les Égyptiens, l’Atlantide se trouvait à "sin wur", le grand cer-
cle d'eau du 9ème "arc" c’estr à dire au 54ème degré de latitude Nord qui passe au
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sud d'Héligoland. Toutes les spéculations selon lesquelles l’Atlantide pourrait avoir été
à l'intérieur du détroit de Gibraltar 7 (les Colonnes d'Hercule), comme par exemple les
îles de Théra, ou la Crète, ou même Troie (Ilion) comme finalement Eberhard Zangger
l'a affirmée, sont fausses en raison même de ces indications. En effet, la Méditerranée
n'est jamais indiquée dans l'antiquité comme "l'Océan", dans le "Rapport sur
l'Atlantide" même, mais seulement comme la "baie par l'entrée étroite" !
"Les Philistins, peuple inconnu, maître et adversaires des Israélites", Otto Zeller
d'Osnabrück, 1980 (298 pages)
"Les Phéniciens, un peuple de la Mer du Nord au Liban" Otto Zeller, 1985 (ce
peuple comme descendants des Atlantes dans l'ancien Orient et ses résultats extraordi-
naires)
"Le retour des Héraklides, héritiers des Atlantes, le Nord comme origine de la
culture grecque", Grabert, 1989 (résumé de l'histoire des origine de notre Occident)
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N r.t : Détroit de Gibraltar appelé à tort Colonnes d’Hercile par les Grecs ayant perdu la mémoire..
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3.7. Qu'entreprirent les Atlantes après leur expédition échouée contre l'Égypte ?
Tous les Atlantes – qui étaient "en aussi grand nombre que les grains de sable
de la mer" d'après la représentation égyptienne – et qui avaient survécu aux batailles
perdues, se retirèrent après les événements catastrophiques dans la zone côtière sy-
rienne qui ne se trouvait plus sous l'influence égyptienne. Ils s'y installèrent et com-
mençèrent immédiatement la construction d'une rangée des ports artificiels. (Gaza, As-
kalon, Asdod, Dor, Tyros, Sidon, Byblos et autres) et ils acquirent en peu de temps la
maîtrise financière de la Méditerranée. Quand les Atlantes furent depuis plus d'une gé-
nération dans leurs nouveaux établissements, venant de l'est, du Sinaï leur région, im-
médiatement après leur randonnée de 40 ans par le désert sous l'autorité de Mose/
Moïse, les Israélites s'installèrent dans la région austère de la Judée et de la Samarie.
Comme esclaves des Égyptiens, les Israélites avaient à peine les conditions pour cons-
truire un Etat fonctionnel. De leurs voisins atlantiques sur la côte, ils pouvaient en ap-
prendre beaucoup plus et Jürgen Spanuth a écrit sur ce sujet en détail, sous le titre
"L'aide germanique au développement d'Israël il y a 3.000 ans", cf. DGG 1981, ca-
hiers 3 et 4, éd. chez Grabert, Tübingen.
3.8. Comment s'établit la relation des Atlantes avec les Juifs immigrés ?
Initialement par l'entente ! Les Atlantes, dont la tribu de premier plan s'appelle
les Philistins furent, d'après la Bible, très serviables envers les Israélites immigrés dans
l'est de la Judée et la Samarie. "Il n'y avait aucun forgeron dans le pays d'Israël et, si
quelqu'un avait à aiguiser un soc, une houe, une hachette ou une faux, il devait sollici-
ter les Philistins (Samuel 1.B). Sur la demande du roi Salomon, Hiram roi Sakar de
Tyr dut construire le célèbre temple de Jérusalem (Josué 8.B). "Hiram envoya ses ma-
rins qui étaient parti sur la mer, vers Ophir et ils prirent là-bas 420 demi-quintaux d'or
et l'apportèrent au roi Salomon" (Rois 1.B). Par suite de ces contacts étroits, beaucoup
de mots germaniques ont naturellement glissé dans la langue hébraïque et le linguiste
juif Arnold Wadler parle même de 50% (Arnold Wadler, La Tour de Babel, 1935,
Wiesbaden).
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Comme cela se produit bien souvent avec l'aide au développement, les Atlantes
furent toujours tourmentés par les expéditions de pillage des Israélites devenus forts
entre temps. Enfin, leur envie et leur avidité finirent par chasser les minorités Atlantes
de la Palestine. Par plusieurs opérations navales rapides, ceux-ci revinrent autour de
1200 AEC en Grèce, que leurs ancêtres de la Grande Randonnée Nordique avaient
déjà traversée. Spanuth souligne l'importance particulière de cette dernière partie de la
Grande Randonnée avec les mots suivants : « Le retour des Héraclides est l'un des
événements les plus importants pour les Grecs et, de ce fait, de l'histoire occidentale !
Sans le "Retour des Héraclides" aucune culture grecque, et pas non plus notre culture
occidentale ! L'Europe ne vient pas de la Crète ou de Mycène car elles avaient été
complètement détruites vers1200 AEC, l'Europe vient de Tyr !. La patronne de nom
de notre partie du monde (Europe) était la plus belle fille d'Agenor le roi de la généra-
tion des princes de la Mer du nord, les rois de l'Atlantide » (cf.§ 3.8) !
Nécrologie
Jürgen Spanuth, le découvreur d'Atlantis, est décédé le 17 octobre
1998. Son ami, personnel, Ing. Rudolf Czeppan, vivant à Klagenfurt ("le gué des
plaintes"), Autriche, qui avait présenté cette contribution sur Internet, vient de dé-
céder le 20 septembre 2003.
La page Internet devient à l'avenir celle du Freundeskreis des Ing. Ru-
dolf Czeppan (Cercle des Amis de l'Ing. Rudolf Czeppan), dont s'occupent Erika
Hannesschläger et Walter Piutz. SVP, adressez toutes vos questions à Walter Piutz
« Sekhmet et les Peuples de la mer : Le cataclysme de la fin du XIIIe siècle AEC a causé partout
sur son passage la désolation et la misère, ruinant et chassant des peuples entiers de leurs terres an-
cestrales. Certains de ceux-ci se regroupèrent pour former les fameux “Peuples de la mer”, cohorte
hétéroclite de guerriers en quête de nouveaux territoires. Ce personnage qui figure sur les bas-reliefs
de Médinet Habou a une coiffe caractéristique des peuples germaniques, comme l’a montré J. Spa-
nuth, et est probablement venu des contrées du nord-ouest de l’Europe. On sait par les textes que les
pays du neuvième cercle ont été totalement dévastés par un grand cataclysme : le Ragnarök, parve-
nu jusqu’à nous sous forme de mythe. » Figure 19-3/ Macombes.
La flèche indique la trajectoire sud-est/nord-ouest suivie par Sekhmet. Les divinités dont
les noms sont indiqués sont associées au cataclysme de la fin du XIIIe siècle avant J.-C. L’épopée du
Ragnarök concerne tout le nord-ouest de l’Europe (mythologie germanique et scandinave) et date de la
même époque comme l’a montré J. Spanuth. » Figure 19-3 - Macombes.