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Complément : article vu le 13 mai 04 sur


<land.heim.at/podersdorf/220141/> + <atlantis_web@hotmail.com>

L’Atlantide

1.1 - Où était l’Atlantide ?

La région de l’Atlantide avant la chute du planétoïde.


En ligne pointillée) : la progression la plus étendue de l'inondation suivant les formations de falaise.
En continue: la ligne des côtes d'aujourd'hui, à l'ouest les lagunes avec les îles frisonnes du nord.

«« Jürgen Spanuth a prouvé qu'en raison des différentes traditions historiques,


l’Atlantide a péri dans la mer du Nord autour de 1200 AEC. Il s'agit de l'Île Royale
(Basiléia en grec), la métropole Atlante, où leur premier roi Atlas porte symbolique-
ment le ciel sur ses épaules, tel la colonne Yggdrasil/ Irminsul* qui indique l'étoile du
nord autour de laquelle toute la voûte céleste tourne.

Selon les plongées entreprises, les ruines de Königsburg/ Basiléia sont à seule-
ment 8 m de profondeur – ce qui fut mesuré par écho-location – et les résultats obte-
nus concernant les mesures, la qualité des restes et leur situation, correspondent exac-
tement aux indications du "Rapport sur l'Atlantide".
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1.2 - Pourquoi l’Atlantide a-t-elle sombré ?

L'île d'Héligoland : Ici, à 40 m de profondeur, commence "le trou d’Héligoland"


de 14 km de long provoqué par la chute d'un planétoïde.

Cette cause n'était pas, jusqu'à maintenant, l'une de celles que la science recon-
naissait mais, nous pensons que la catastrophe naturelle mondiale dévastatrice, fut dé-
clenchée par un planétoïde immense à la fin du XIIIe s. AEC : approchant de la terre,
il tourna plusieurs fois en déclenchant dans tous les pays survolés des incendies im-
menses et en provoquant le réveil de nombreux volcans avant de tomber dans
l'embouchure de l'Eridanus (cf. le "Rapport sur l'Atlantide"). L'Eridanus est une rivière
d'Allemagne du Nord qui s'appelle aujourd'hui l'Eider et qui avait alors un delta com-
mun avec les rivières Elbe et Weser devant l'île de l'Helgoland dans la mer du Nord.
Aujourd'hui même, le "trou dit de Héligoland" qu'a creusé ce grand polanétoïde, est
démontrable (cf. § 4.2).

1.3 - Que furent les conséquences de la catastrophe naturelle mondiale ?

Puisque le Grand Planétoïde, avant sa chute sur la terre qui est connue
aujourd'hui par les mesures satellitaires, tourna sur des chemins différents, plongea tou-
jours plus dans l'atmosphère, et devenant incandescent se chauffait et lachait une ma-
tière extrêmement incendiaire qui brûlait sur l'eau encore mieux que sur la terre, beau-
coup de pays sur la terre furent détruits par de terribles incendies ; par exemple : la
population de la Grèce fut réduite de 1%, l'empire Hittite s’éteignit, et l'Égypte fut
tourmentée par les "10 plaies", la Bible livre en plus un "schéma eschatologique" (un
scénario mondial de chute, cf. infra) ; "L'Edda" germanique nous informe aussi de
cette "catastrophe mondiale" qu’elle nomme le Ragnarök 1 .

1
Notes site <r.t> : Le Ragnarök : que la Grèce dorienne appelle la Gigantomachie sur les frises du
Parthénon [cf. le British Muséum + Le Louvre].
3

1.4 - Pourquoi les Atlantes ne sont pas tous morts


lors de l'effondrement de l'Atlantide ?

–> : La "Grande randonnée" des des Peuples de la Mer du Nord, causée par
le temps des catastrophe. En rouge : mise en valeur des zones côtières de la Culture
des Mégalithes précédant l'Âge de Bronze. Les points indiquent les d’écouvertes
des épées “germaniques”. En encadré : la souveraineté plus étroite de l'Atlantide
(d’après Jürgen Spanuth).

Cette question s'impose à qui n'a pas encore lu l'un des sept livres rédigés par
Jürgen Spanuth (cf. § 3.3.). Le Nord était en effet très peuplé à l'âge du bronze et les
écrivains anciens disait qu'il était la "source des peuples". Déjà, avant la chute du Pla-
nétoïde une sécheresse de plus en plus forte se révéla en Europe du Nord si bien que
les Atlantes furent contraints à l'émigration. L'une des conséquences de cette décision
entraîna la fabrication des "épées à soie en langue de carpe", en cuivre de Héligoland,
qui furent trouvées par toute Europe et indiquent ainsi les chemins de la "randonnée"
atlante.
Selon les rapports, ces randonnées avaient déjà commencé avant la chute du
planétoïde sur l'Île Royale/ Basileia si bien qu'une masse de population se distribuait
déjà sur toute l'Europe, tout comme les navigateurs expérimentés allaient naturelle-
ment aussi le faire sur la mer et, ainsi, les influences de la catastrophe décrite furent
seulement partielles.
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1.5 - Où les Atlantes voulaient-ils en principe aller ?

Les ancêtres Atlantes, comme navigateurs habiles depuis le temps des mégali-
thes, avaient des liaisons continues avec la Méditerranée et, ainsi, leurs descendants ap-
prirent vite que le Nil asséché envoyait à nouveau autant d'eau par les inondations si
importantes pour leur agriculture, qu'avant l'influence du planétoïde incendiaire 2 .
Grâce à cela les terrains fertiles était continuellement augmentés en Égypte et les At-
lantes voulaient prendre une partie de ces terres nécessaires à leur nouvelle installation.
Mais le pharaon égyptien entreprit tout pour se défendre contre cet assaut parce qu'il
supposa sans doute que l'Egypte serait aussi concernée par la catastrophe qu'amenait
ces Atlantes. Aujourd'hui encore, cette conception sera volontier à nouveau présentée
scientifiquement bien qu'elle ne résiste d'aucune manière à un jugement concret. Les
Atlantes ne peuvent nullement en avoir été la cause parce que les destructions provo-
quées partout surpassent de loin et de toutes les manières ce qu'il est possible de faire
de main d'homme. Aussi les archéologues abandonnent l'idée qui ne peut pas être éta-
blie d'une simultanéité des "pluies de feu" avec les héritages Atlantes.

1.6 - Y a il encore des Atlantes aujourd'hui ?

Comme peuple fermé avec une identité ethnique, naturellement non. Cepen-
dant, trois millénaires depuis le cataclysme n'ont pu passer devant aucun de nos peu-
ples sans qu'il y ait eu des changements. Aujourd'hui encore, les descendants séparés
des Atlantes vivent certainement dans des pays différents sans être très mélangés. Les
Atlantes étaient une ethnie très unifiée dont les descendants sont décrits dans leur pays
d'origine encore plus de mille ans après leur dispersion par l'écrivain romain Tacite
comme "pareils et seulement pareils à eux-mêmes".

César appelle ces descendants pour la première fois du nom de "Germains" qui
signifie dans la langue latine "véritables, bien, comme le frère et la sœur" ! Par la catas-
trophe de la chute spatiale qui avait causée aussi la déstruction de l'Atlantide , alors,
les cultures de Méditerranée déjà fort orientales furent nécessairement influencées en
grande partie par les Atlantes "s'échappant" dans les espaces "vides" et de nouvelles
cultures se fondèrent dont les peuples "indo-européens" sont soi-disant ressorti , nous
dit "la science". Aujourd'hui même, ils parlent des langues apparentées de l'Atlantique
jusqu'à l'Inde. De cela on doitt conclure impérativement qu'ils considèrent aussi rétro-
spectivement avoir eu une origine commune. Seule la recherche génétique moderne
pourra apporter des indications exactes sur cette parenté subsistant encore de nos
jours.
1.7. Quand Atlantide a-t-elle été submergée ?

Une épée germanique à soie en langue de carpe


2
N r.t : Planétoïde incendiaire, cf. le Mythe grec de Phaéton cité infra…
5

Dans le "Rapport sur l'Atlantide", la datation de cet événement à 8.000 ans


avant la visite de Solon (640-559 AEC) en Égypte est déjà très étrange, tout comme
l'arondissement en milliers pour les indications annuelles historiques et, en outre, en
comparaison des autres indications de ce texte, il est en effet impossible qu'il y ait eu,
8.000 ans avant Solon, des choses telles que : une ville d'Athènes, des Etats grecs, une
armée de terre grecque, un château sur l'Acropole entoureé d'un mur, des armes du
cuivre et d'étain, un char de combat, un temple de Poseidon ou d’Athéna...
Comme le dirent déjà Eudoxe de Cnide et Plutarque, les Égyptiens calculaient
"un mois comme un an" 3 . Jürgen Spanuth a suivi cette instruction et établi une data-
tion exacte des événements décrits : l'effondement de l'Atlantide s'est donc produite
vers 1220 AEC.

1.8 - Pourquoi les Atlantes quittèrent leur pays natal ?

Dès 1250 AEC se produisit en Europe un fort réchauffement du climat. Dans


l'espace méditerranéen dominaient même des températures manifestement tropicales.
Cependant pour l'Europe du Nord, cela amenait une inquiétude concernant une future
sécheresse. Les Atlantes devaient penser à quitter peu à peu 4 leur pays natal.
Leur but ne pouvait être que le Sud qu'ils connaissaient très bien depuis long-
temps comme habiles navigateurs. Pour une telle grande entreprise, il faut une prépa-
ration approfondie et de bonnes armes. C'étaient les "épées germaniques à soie en lan-
gue de carpe", en cuivre de Héligoland, qui purent encore être fabriquées avant
l'impact du Planétoïde de 1220 AEC (Cf. § 4.4.). Elles furent retrouvées par les ar-
chéologues partout en Europe et elles caractérisent les chemins de la randonnée des
Atlantes qui sont tracés par elles comme par des bornes. En outre, les analyses spec-
trales des épées donnent une haute teneur en arsenic pour laquelle seulement l'unique
sîte de minerai de cuivre d'Héligoland entre en ligne de compte. Grâce à cela, l'origine
nord européenne des Atlantes est aussi impeccablement prouvée.
Aujourd'hui, l'ensemble de ces randonnées et du départ final de toute la popula-
tion survivante de toute l'Europe résultant de la chute du planétoïde, est appelé "la
Grande Randonnée". Sur ces chemins, les morts innombrables ne pouvaient pas être
enterrés de la manière habituelle avec tombe de pierre et tumulus, mais ils étaient brû-
lés immédiatement et étaient inhumés dans des urnes. De ce fait, on parle même de la
"randonnée des champs d'urne" parce que ces cimetières d'urnes se sont propagés
avec les gens qui pratiquaient ces incinérations.
Après l'événement de la catastrophe, dite Fimbulweter "l'immense hiver" par
les Nordiques, laquelle dura quatre ans (cf. la poésie germanique de l'Edda), d’immen-
ses masses de poussière dans l'atmosphère empêchèrent l'installation de l'été.

3
N r.t : Un an suppose un décompte solaire ce qui est typique des Peuples du Nord ! Les Sémites
comptaient en lunaisons, ce qui demeure dans les religions asianiques islamique et israélite…
4
N r.t : quitter peu à peu, cela était d'ailleurs ritualisé depuis longtemps : à cause de la remontée ré-
gulière des eaux dans le Grand Marais Maglemose, tout les 20 ans une génération entière quittait son
pays et ces "voyageurs" Wandel ont laissé leur noms aux... Vandales qui, pour nous, n’étaient rien
d’autre que des immigrés… climatiques !
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L'émigration des Atlantes avec “nana 5 et enfants”, ne résulta pas de "l'insolence" de


ces peuples ou du désir de conquêtes, comme cela est si souvent affirmé, mais d'une
pure nécessité vitale (cf. § 4.3).

1.9 - D'où viennent en principe les Atlantes ?

Les Atlantes sont les descendants de ces gens qui, durant de nombreux millé-
naires lors de la période glaciaire, étaient enfermés entre les barrières de glace des Al-
pes et les glaces du Nord. Dans cet "isolat", un profond éclaircissement du pigment de
la peau 6 , des cheveux et yeux apparurent comme conditions vitales de sélection parti-
culières par rapport aux gens du sud de nos terres. L'unique possibilité de quitter
l'Isolat était la voie maritime de l'Atlantique ! C'était connu depuis longtemps dans
l'Âge post-glaciaire et jusqu'à la navigation perfectionnée de haute mer. Cela est prou-
vé non seulement par beaucoup de bateaux sur les gravures pariétales nordiques, mais
encore par les grandes constructions de pierre des zones côtières de la Mer du Nord
(Hünengräber "Les dolmens du diable", Stonehenge), de l'Atlantique (les menhirs,
Dolmen, cromlechs) et la Méditerranée (nuraghes, pyramides).
L'élargissement de cette culture dite des mégalithes incita de plus les historiens
grecs à indiquer le nord de l'Europe même comme étant la source de ces peuples. La
grande catastrophe naturelle autour de 1200 AEC a contraint ces peuples Atlantes du
nord à la Grande randonnée avec leur culture très développée portée ainsi dans
l'espace de la Méditerranée et, enfin, en Grèce de culture archaïque, ce qui produisit
par la suite le fameux "Miracle Grec" qui devint la racine décisive de notre Culture
Occidentale.

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N r.t : nana, ce terme n'est ni vulgaire ni même péjoratif chez les Germains : Nanna est la Déesse
Mère : « Déesse de la Fidélité, elle est une des incarnations – la plus noble – de la Déesse-Mère*. D-
Mère humaine. Fille de Nep (bourgeon), mortel (fils Odhin ?), ou Nökkvi (Hyndluljod ou lai de
Hundla), épouse de Balder, mère de Forseti°. Elle monte sur le bûcher de son époux Balder volontai-
rement (cf. cataclysme boréen/ Déluges*), depuis le Hell, elle adresse son voile de lin (jaune, si com-
paraison avec Athéna*) à Frigg° et Fulla° sa confidente, avec son anneau d'or (Ring). [Bourgeon Nep
à rapprocher de Nephte, Nysos, Dio-Nysos dieu récurrent des arbres fruitier". "Bourgeon de mise à
fruit" plus grand que ceux des brindilles, qui dirige la taille fructifère, le greffage surtout en ente°].
L’étymologie* de Nana serait “maman” en suédois dialectal, ou "la courageuse", la plus fidèle des
"bonne-amies", modernes et art-gothiques “nanas”. Proche de Dana "connaissance" des Anglo-Fri-
sons & Irlandais (aussi Tara, Danu honorée/ montagne figurant ses deux mamelles (cf. art.
Abondance*) ou Anna chez les Celtes* continentaux. † : sainte-Anne bretonne. Au Sud : Anna
Perenna des Romains ; Nana, nymphe grecque mère du berger Attis (végétation récurrente). À l’Est :
Annahanna “Mère des Mères” Hittites. Annahita "l'Immaculée" des Persans. Anna Purna, Déesse
Blanche de l'Himalaya chez leurs cousins Indous… Au Moyen-Orient on trouve Anat à Ougarit,
vierge, mère, guerrière et destructrice, qui est la sœur de Baal (le Soleil) ; Anatu, la Grande Déesse
du Ciel et Régente de la Terre (Ishtar) des Mésopotamiens (indo-européens venant de Cimmérie/ Mer
Noire) ; Anunit régente de la Lune au Nord de Babylone. » cf.: ABCMYTHO/ R&T). On voit bien
que, loin d'être péjoratif, ce nom est des plus majoratifs du point de vue… païen* !!!
6
N r.t : éclaircissement du pigment de la peau pour compenser le manque d'ultra violets !
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2.1. Qui étai Jürgen Spanuth ?

Jürgen Spanuth le chercheur de l'Atlantide, ici en vue d’Héligoland

Fils du Pasteur protestant local, et surintendant ensuite, Jürgen Spanuth est né


en 1907 dans la ville-usine de Leoben en Autriche. Comme étudiant du Lycée Huma-
niste, il reçut comme travail à faire à la maison le "Rapport sur l'Atlantide" de Platon,
en grec à traduire et à commenter pour préparer le Bac. Spanuth reconnaît cordiale-
ment qu'il traduisit certes, ce rapport, mais s'arrêta cependant devant une telle absurdi-
té et qu'il demanda à son professeur l'attribution d'un autre sujet.
Cependant le “Rapport sur l'Atlantide” ne lâcha plus Spanuth et a fait
qu'ensuite il a encore étudié aussi l'archéologie, la préhistoire et la philologie ancienne
aux universités de Vienne, Tübingen, Berlin et Kiel sauf la théologie, la valeur de la tra-
dition historique de ce rapport le révélant comme l'explorateur et le découvreur de
l'Atlantide le plus considérable. Jürgen Spanuth consacrait toute sa force à la science, à
côté de son activité professionnelle comme Pasteur dans la Frise du nord en Allema-
gne. Il a résumé ses résultats de recherche scientifique en sept livres (cf. § 3.3).
Jürgen Spanuth est mort le 17 octobre 1998 !

2.2. Qui a vraiment découvert Atlantide ?

Depuis que le mot “Atlantide” fut nommé dans le ""Rapport sur l'Atlantide""
du philosophe grec Platon, les auteurs – on dit : 25.000 livres – s'occupaient de la dé-
couverte de cette île submergée. Les difficultés sont à relire dans le § 2.3 et 3.1 mais,
les connaissances de recherche essentielles du pasteur protestant Jürgen Spanuth (cf. §
2.1.) l'ont dirigé sur la trace correcte qui lui ont fait vraiment découvrir Atlantide.
Pourquoi cela ne devint pas une "découverte sensationnelle" encensée par la “science
officielle” se trouve, peut-être, dans le très juste dicton étudiant : "sous les robes se
trouve la poussière de mille ans", ou encore "Pour qu'une vieille doctrine s'éteigne, il
faut seulement que les vieux professeurs et leurs élèves s’éteignent aussi". Malheureu-
sement, ces dictons se vérifièrent aussi dans le cas de Jürgen Spanuth qui fut disqualifié
personnellement d'une manière déloyale par la science établie bien qu'aucun des résul-
tats de sa recherche scientifique n'ai été réfuté. L'envie et la jalousie frappèrent aussi
certains autre grands découvreurs…
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2.3. Pourquoi n'a-t-on pas pu découvrir l’Atlantide pendant si longtemps ?

Le philosophe grec Platon, auteur du "Rapport sur l'Atlantide".

L'obstacle principal de son déchiffrement a toujours été la datation de sa chute


qui est donnée par Platon à 8.000 ans avant Solon. Puisque 10.000 ans auparavant, la
période glaciaire n'était pas encore tout à fait terminée, toutes les indications du
"Rapport sur l'Atlantide" (une ville d'Athènes, des épées de bronze, etc...) sont des im-
possibilités totales. Aussi, la science refusa le statut de source historique à ce rapport.
Seulement, Jürgen Spanuth savait qu'il ne s'agit pas dans ce texte d'un nombre
d'années, mais de mois, et cela donne accès à toutes les autres indications possibles et
rationnelles du rapport. Ces indications (le pays natal des Atlantes dans le nord de
l'océan, leur marche guerrière à travers l'Europe sur terre et sur mer jusqu'aux frontiè-
res de l'Égypte, leur établissement sur la côte de la Palestine...) conviennent très bien
avec les événements réels, historiquement connus jusqu'ici, tout comme la remarque
faite par Platon lui même : "le Rapport sur l'Atlantide ne serait nullement un conte in-
venté, mais une histoire absolument vraie". Aucun doute ne convient donc plus
maintenant !
Ainsi, par exemple, le personnage biblique Mathusalem n'était sûrement pas agé
de 960 ans mais, en décompte mensuel, de 80 ans seulement ce qui, de toute façon,
était déjà beaucoup pour cette époque-là.
Mais, pourquoi la science ne reconnaît-elle pas les résultats de la recherche
scientifique de Jürgen Spanuth, (relisez le § 2.2)

2.4. D'où vient en principe le "Rapport sur l'Atlantide" ?

Dans la littérature mondiale, le "Rapport sur l'Atlantide" provient des deux


dialogues Kritias (Crit. 108d - 121c) et Timaios (Timée 19b - 26e) du philosophe grec
Platon (427 - 347 AEC) (cf. § 2.5). Platon avait cependant reçu cette tradition de So-
lon, le grand homme d'État et législateur d'Athènes qui était l'un des savants de la
Grèce qu'elle utilisait pour un long séjour d'études en Égypte en l'an 560 AEC. Solon
y reçut des prêtres égyptiens des connaissances surprenantes concernant les temps an-
cien qui lui furent aussi exposées par des papyrus et les bas-reliefs du temple. Comme
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nous pouvons le remarquer, les écrits de Solon et ceux de Platon se sont conservés,
par bonheur, et ont été reconnus en fin de compte par Spanuth comme étant réels :
c'est une source historique jusqu'ici inutilisée mais d'une importance extraordinaire (cf.
§ 3.2).

2.5. Le "Rapport sur l'Atlantide" est-il l'unique source de l'antiquité


qui mentionne le nom de l’Atlantide ?

Jürgen Spanuth explore un mur du temple de Medinet Habou

Pour la recherche de l'Atlantide, le "Rapport sur l'Atlantide" de Platon est réel-


lement l'unique source de l'antiquité. Certes, Kranto de Soloi (cf. § 2.7) s'en occupe
encore une fois, deux générations plus tard, ainsi que l'historien grec Diodore dont cer-
tains livres de son Histoire Universelle datant du premier siècle AEC semblent évoquer
l’Atlantide ; mais l'informateur global sur l’Atlantide reste toujours Platon. Son
"Rapport sur l'Atlantide" seul restait, depuis ce temps-là, l'objet de spéculations fasci-
nant d'innombrables chercheurs, aventuriers, poètes… et charlatans.
Or, en plus du"Rapport sur l'Atlantide", Jürgen Spanuth a encore découvert
une rangée d'autres sources de l'antiquité qui contiennent des nouvelles considérables
sur Atlantide, utilisant cependant pour la nommer d'autres noms. Les épopées
d'Homère décrivent la "Phéacie", la tradition germanique parle de "Asgard", les Grecs
du pays "d'Hyperborée", la Bible appelle les Atlantes venus du nord des "Kaphthor"
ou "Philistins" et, à l'école, nous avons appris l'immigration des "Doriens" en Grèce.
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2.6. Pourquoi ces grandes nouvelles du Temps de Catastrophe


se conservèrent-elles seulement en Égypte ?

Les prêtres égyptiens fondent cela sur le fait que l'Égypte n'était pas concernée
par les déluges* de chute de pluie après la chute de Phaéton, au contraire de la Grèce
et de l'Asie Mineure, si bien que les documents n'ont pas été détruits. En outre, pres-
que tous les gens instruits dans d'autres pays à la lecture et aux lettres sont morts par
l'action des pluies de feu, les éruptions volcaniques et les Tsunamis (raz de marée pro-
voqués par les tremblement de terre). Ainsi, Solon put s'entendre dire en Égypte :
« Vous les Grecs êtes comme les enfants, puisque vous ne savez rien de votre propre
histoire. »
Le voyage en Egypte de Solon avait pour but de faire la connaissance de cette
vieille histoire du Temps des Catastrophes qui s'était déjà perdue chez les Grecs.
Ce que Solon apprit là des prêtres, Platon nous l'a ensuite rendu dans le "Rapport sur
l'Atlantide". Cf. § 3.4.

2.7. Quel est le premier qui s'est soucié de la véracité


du "Rapport sur l'Atlantide" ?

Les prisonniers et guerriers de la Mer du Nord enchaînés.


(Mur de temple* de Medinet Habu)

Nous ne voulons pas, pour les nombreux lecteurs qui ne connaissent pas le
"Rapport sur l'Atlantide" et n'ont pas non plus lu d'autres épilogues de ce rapport,
confirmer cela, parce que le premier fut le Grec Krantor de Soloi (320-270 AEC) qui
alla même en Egypte pour s'assurer de l'existence des affirmations du "Rapport sur
l'Atlantide" de Platon. Il nous a informé que les prêtres* égyptiens lui avaient montré
les mêmes inscriptions du temple que Solon avait aussi vues autrefois et, il a réalisé ses
écrits d'après celles-ci. Jürgen Spanuth a aussi suivi son modèle, il a soigneusement
examiné ces inscriptions du temple égyptien et il a ainsi trouvé, et confirmé l'âge de la
constatation de Krantor à 2.300 ans.

3.1. Pourquoi l’Atlantide ne peut pas avoir été située dans la Méditerranée ?

Le "Rapport sur l'Atlantide" dit clairement que l'Atlantide est dans l'Océan, au
nord le plus extérieur, et qu’elle a péri complètement "en un jour et une nuit de
frayeur horrible". Pour les Égyptiens, l’Atlantide se trouvait à "sin wur", le grand cer-
cle d'eau du 9ème "arc" c’estr à dire au 54ème degré de latitude Nord qui passe au
11

sud d'Héligoland. Toutes les spéculations selon lesquelles l’Atlantide pourrait avoir été
à l'intérieur du détroit de Gibraltar 7 (les Colonnes d'Hercule), comme par exemple les
îles de Théra, ou la Crète, ou même Troie (Ilion) comme finalement Eberhard Zangger
l'a affirmée, sont fausses en raison même de ces indications. En effet, la Méditerranée
n'est jamais indiquée dans l'antiquité comme "l'Océan", dans le "Rapport sur
l'Atlantide" même, mais seulement comme la "baie par l'entrée étroite" !

3.2. Le "Rapport sur l'Atlantide" a-t-il une importance


extraordinaire comme source historique ?

Au cours de sa recherche de l'Atlantide, Jürgen Spanuth a pu trouver dans les


disciplines les plus diverses une abondance de résultats unique chez de nombreux cher-
cheurs qui s'avèrent ensembles une preuve suffisamment sûre pour décrire la catas-
trophe spatiale qui s'est produite à la fin du XIIIe s. AEC (cf. § 1.2., 1.3 et 1.4). Cet
événement extraordinaire a déterminé de façon décisive un autre destin du monde
connu alors (cf. § 1.6).

3.3. Quels ouvrages sur Atlantide Jürgen Spanuth


a-t-il publié jusqu'à maintenant ?

"L'Atlantide déchiffrée", Union Deutsche Verlagsgesellschaft Stuttgart en 1953


(ouvrage essentiel, très clair et convaincant)

"... Et, pourtant : L'Atlantide déchiffrée" : une réponse de J. Spanuth en 1955 en


réfutation de toutes les objections avancées contre lui et son rejet des attaques infâmes,
non scientifiques) nouvelle édition chez Otto Zeller-Verlag Osnabrück en 1980 ; iden-
tique à la postface de l'édition de 1955, de plus 20 pages : la meilleure possibilité de
s'informer briévement du sujet.

"L'Atlantide, pays natal, empire et destin des Germains", Grabert à Tübingen en


1965 (représentation très globale, 676 pages)

"Les Atlantes, peuple du pays de l'ambre jaune", Grabert à Tübingen en 1977


(présentation simplifiée susdite, 507 pages) 5ème édition en 1989, Grabert.

"Les Philistins, peuple inconnu, maître et adversaires des Israélites", Otto Zeller
d'Osnabrück, 1980 (298 pages)

"Les Phéniciens, un peuple de la Mer du Nord au Liban" Otto Zeller, 1985 (ce
peuple comme descendants des Atlantes dans l'ancien Orient et ses résultats extraordi-
naires)

"Le retour des Héraklides, héritiers des Atlantes, le Nord comme origine de la
culture grecque", Grabert, 1989 (résumé de l'histoire des origine de notre Occident)

"Une réhabilitation de Platon", cahier 39 de l'Acad. Allem. pour la formation et la


culture, Munich 1992 (un Court aperçu de “l'Atlantide" de Platon, 30 pages)

7
N r.t : Détroit de Gibraltar appelé à tort Colonnes d’Hercile par les Grecs ayant perdu la mémoire..
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Autre littérature : "La discussion sur l'Atlantide, la légende la plus discutée de


l'antiquité" Fischer livre de poche juillet 1973. Hormis celle de Spanuth, Gerhard
Gadow s'occupe dans cette brochure de toutes les autres théories connues sur
l'Atlantide.

3.4. Par quoi le "Rapport sur l'Atlantide" commence-t-il ?

Le rapport commence par l'histoire de la chute du Phaéton, le fils d'Helios


(le Soleil) qui montait le char de son père et qui, parce qu'il ne sut pas suivre son trajet
normal, brûla tout sur la terre jusqu'à ce qu'il soit enfin tué par un éclair. Cela sonne,
certes, comme une histoire, disait le prêtre égyptien à Solon, cependant cela a un
noyau véridique, en effet, le mouvement des corps célestes tournant autour de la terre
fut modifié et tout ce qui est présent sur la terre fut détruit par de nombreux feux. So-
lon apprit la Grande Catastrophe spatiale accompagnée d'immenses inondations qui
épargna seulement une petite partie de la population grecque. « À partir de ce petit
tronc se reconstruisit cependant une excellente génération des plus nobles parmi les-
quelles toi, Solon et tous les citoyens de ton Etat actuel, descendent. »

3.5. Qui y a-t-il plus loin dans le "Rapport sur l'Atlantide" ?

La traduction du "Rapport sur l'Atlantide" depuis le grec contient “les Atlan-


tes” : 30 pages dans le livre de Spanuth (cf. § 3.3). En voici un court aperçu :
« Une puissante force armée d'Atlantes du Haut Nord, des îles et du continent océani-
que, est tombée sur l'Europe et l'Asie Mineure. Les rois de l'Atlantide voulaient enva-
hir tous les territoires grecs et égyptiens, ainsi que tous les pays de la Méditerranée
sous leur autorité". La défense héroïque des habitants d'Athènes, provoqua la stagna-
tion de l'autre armée d'Atlantes qui ne put être amenée en Égypte qu'avec peine. Les
descriptions détaillées du pays natal des Atlantes, d'Atlas leur premier roi, de leur
grand art de la construction navale, de la metallurgie du cuivre, de l'ambre jaune trou-
vé sur leurs côtes, de l'organisation de leur république, sur le sport et les jeux*, la ré-
partition de leur armée de terre et son armement, et sont aussi donnés les noms origi-
naux des10 rois jumeaux, par traduction approchée en grec. L'île royale sumergée de
Basileia, très exactement décrite, était entourée d'un triple anneau de remparts accessi-
bles aux bateaux et, au milieu se trouvait Königsburg/ Basiléia avec la colonne d'ambre
jaune qui était décorée d'or et d'argent et vernie d'ambre jaune brillant. Malheureuse-
ment, la mort de Platon l'a empêché de finir ce rapport qui, de toute façon, était finale-
ment déjà très riche.

3.6. Comment cela allait-il pour les Atlantes en Égypte ?

Après une période de randonnée de peut-être 30 ans, les Atlantes commençè-


rent l'attaque stratégique générale projetée. Ils décidèrent finalement d'agir simultané-
ment sur terre et sur mer de trois côtés contre l'Égypte. 1200 chars de combat, de
même que beaucoup de bateaux, durent avoir été employés. Cependant, les Égyptiens
étaient bien préparés à cette "invasion" et purent vaincre les Atlantes, ce qui est repré-
senté en détail sur les murs du temple de Medinet Habou (les planches du livre
"Atlantide" cf.§ 3.3). Des prisonniers innombrables furent faits, tous interrogés, les ré-
cits sur leur origine, la qualité de leur pays natal, la submersion et sur les raisons de
leur expédition (cf. infra § 3.5.) pouvaient encore être montrés 600 ans après à Solon
et être traduit.
13

Les peuples du nord pris, sont interrogés par les égyptiens,


leurs dits notés, et ils sont marqués au fer rouge du nom du pharaon .
Bas relief sur le mur du temple de Medinet Habou (Haute Égypte)

3.7. Qu'entreprirent les Atlantes après leur expédition échouée contre l'Égypte ?

Tous les Atlantes – qui étaient "en aussi grand nombre que les grains de sable
de la mer" d'après la représentation égyptienne – et qui avaient survécu aux batailles
perdues, se retirèrent après les événements catastrophiques dans la zone côtière sy-
rienne qui ne se trouvait plus sous l'influence égyptienne. Ils s'y installèrent et com-
mençèrent immédiatement la construction d'une rangée des ports artificiels. (Gaza, As-
kalon, Asdod, Dor, Tyros, Sidon, Byblos et autres) et ils acquirent en peu de temps la
maîtrise financière de la Méditerranée. Quand les Atlantes furent depuis plus d'une gé-
nération dans leurs nouveaux établissements, venant de l'est, du Sinaï leur région, im-
médiatement après leur randonnée de 40 ans par le désert sous l'autorité de Mose/
Moïse, les Israélites s'installèrent dans la région austère de la Judée et de la Samarie.
Comme esclaves des Égyptiens, les Israélites avaient à peine les conditions pour cons-
truire un Etat fonctionnel. De leurs voisins atlantiques sur la côte, ils pouvaient en ap-
prendre beaucoup plus et Jürgen Spanuth a écrit sur ce sujet en détail, sous le titre
"L'aide germanique au développement d'Israël il y a 3.000 ans", cf. DGG 1981, ca-
hiers 3 et 4, éd. chez Grabert, Tübingen.

3.8. Comment s'établit la relation des Atlantes avec les Juifs immigrés ?

Initialement par l'entente ! Les Atlantes, dont la tribu de premier plan s'appelle
les Philistins furent, d'après la Bible, très serviables envers les Israélites immigrés dans
l'est de la Judée et la Samarie. "Il n'y avait aucun forgeron dans le pays d'Israël et, si
quelqu'un avait à aiguiser un soc, une houe, une hachette ou une faux, il devait sollici-
ter les Philistins (Samuel 1.B). Sur la demande du roi Salomon, Hiram roi Sakar de
Tyr dut construire le célèbre temple de Jérusalem (Josué 8.B). "Hiram envoya ses ma-
rins qui étaient parti sur la mer, vers Ophir et ils prirent là-bas 420 demi-quintaux d'or
et l'apportèrent au roi Salomon" (Rois 1.B). Par suite de ces contacts étroits, beaucoup
de mots germaniques ont naturellement glissé dans la langue hébraïque et le linguiste
juif Arnold Wadler parle même de 50% (Arnold Wadler, La Tour de Babel, 1935,
Wiesbaden).
14

3.9. La refondation de la culture grecque ou le retour des Héraclides!

Comme cela se produit bien souvent avec l'aide au développement, les Atlantes
furent toujours tourmentés par les expéditions de pillage des Israélites devenus forts
entre temps. Enfin, leur envie et leur avidité finirent par chasser les minorités Atlantes
de la Palestine. Par plusieurs opérations navales rapides, ceux-ci revinrent autour de
1200 AEC en Grèce, que leurs ancêtres de la Grande Randonnée Nordique avaient
déjà traversée. Spanuth souligne l'importance particulière de cette dernière partie de la
Grande Randonnée avec les mots suivants : « Le retour des Héraclides est l'un des
événements les plus importants pour les Grecs et, de ce fait, de l'histoire occidentale !
Sans le "Retour des Héraclides" aucune culture grecque, et pas non plus notre culture
occidentale ! L'Europe ne vient pas de la Crète ou de Mycène car elles avaient été
complètement détruites vers1200 AEC, l'Europe vient de Tyr !. La patronne de nom
de notre partie du monde (Europe) était la plus belle fille d'Agenor le roi de la généra-
tion des princes de la Mer du nord, les rois de l'Atlantide » (cf.§ 3.8) !

4.1. La chute de Phaéton dans le "trou de Héligoland" (cf. § 4.2.)


a-t-elle aussi enfoncé un nouveau chapitre dans l'histoire de la mer Baltique ?
Les chercheurs suédois, danois et allemands sont d'accord pour dire que jusqu'à
la fin de l'Âge de Bronze, la Mer Baltique était une mer d'eau douce. D'après le mol-
lusque caractéristique de cette Époque de l'Ancylus, on appelle la mer Baltique de
cette époque, le Lac d'Ancylus. Il n'y avait pas encore les îles danoises, et la Scandina-
vie était reliée par un large pont de terre au continent et, au Danemark et en Scandina-
vie, on appelle cette période "l'Époque du continent". Il n'y avait pas non plus les deux
Belt et le détroit de Öre et la mer Baltique se vidait par l'Eridanus dans la Mer du
Nord (l’actuel Eider, cf. § 1.2.).
Après la chute de Phaéton, le séisme sous-marin poussa des masses d'eau salée
de la Mer du Nord qui envahirent la terre ferme puis l'eau douce du Lac Ancylus.
Par suite de la chute de Phaéton, des masses de sable furent violemment déstruc-
turées dans les vieilles avancées de landes maritimes et un grand banc de sable surna-
geant fut alors fut soulevé dans la direction de travers sud-nord devant la vieille côte et
de grandes quantités de sable de l'Eridanus furent ainsi chassées vers l'amont par les
ondes du séisme sous-marin. Mais, celle-ci écumait aussi au dessus du Kattegat si bien
que le détroit de Öre, le grand et le Petit Belt furent enfoncés et, depuis ce temps, l'eau
salée de la Mer du Nord coule dans la Mer Baltique !
4.2. Qu'est ce "Trou de Héligoland" ?
Le "Trou De Héligoland" indique le lieu le plus profond de la mer du Nord
dans la "Baie Allemande", à 4 km au sud de l'île de Héligoland. D'après la carte ma-
rine exacte de 1976, la ligne isobathe des profondeurs de 40 mètres autour du point le
plus profond de 57 m représente un diamètre de plus que 10 km pour une étendue de
37 km. Comme Spanuth l'a prouvé en détail, ce Trou de Héligoland fut causé par la
chute violente d'un grand Planétoïde, autour de 1200 AEC ce qui provoqua
l'effondrement de l'Atlantide et entraîna des conséquences renouvelant tout le monde
de cette époque-là (cf. les § 1.2, 1.3, 1.4 et 4.4).
15

4.3. Quelles furent les conséquences de la chute du Planétoïde ?


Dans toute l'Europe, les installations fixes furent détruites par de grands incen-
dies. Les archéologues trouvent toujours plus d'installations de rempart vitrifiées par
les braises des feux et des vagues de scories. Les forêts de l'Europe brûlaient aussi à
cette tépoque. Tous les marécages de Hollande, de l'Allemagne du Nord et de la Scan-
dinavie montrent des horizons de feu ou des horizons de charbon simultanés. L'Avesta
indien nous informe que l'étoile ardente Tishtrya déclencha un incendie et un raz de
marée mondiaux. De même que l'Edda et la Bible dans son schéma eschatologique 8
ainsi que le “Rapport sur l’Atlantide”, racontent cette époque de la catastrophe en Eu-
rope, en Asie occidentale et en Afrique du Nord, si bien que nous possédons une do-
cumentation très détaillée à son sujet.
Bien qu'on doive conclure seulement ici à une catastrophe naturelle mondiale
depuis ces résultats historiques, géologiques et archéologiques, les "savants" ont fort lé-
gèrement (!) attribué presque impérativement toutes ces destructions dans le Sud aux
peuples appelées maintenant Atlantes, Peuples de la Mer du Nord, Doriens, Héraklides,
Philistins ou Germains, qui avançaient poussés par une nécessité vitale très compré-
hensible et ce, malgré l'impossibilité logistique d’une telle affirmation !

4.4. Que peut-on dire du Planétoïde ?


Selon les dires des experts, le Planétoïde de ≈1220 AEC qui vint manifeste-
ment dans la zone d'attraction de la terre et, finalement, tomba dans la Mer du Nord,
pourrait venir du Groupe des Céréides, et aurait tourné 50 fois, ou encore plus autour
de la terre avec des trajectoires de survol continuellement déplacées sur l'hémisphère
Nord jusqu'à atteindre 57° de latitude et, plongeant à chaque fois un peu plus dans
l'atmosphère terrestre il aurait perdu beaucoup de sa matière, comme des pierres ar-
dentes, et sa masse brûlante, puante, brûla tous les pays et vitrifia même les murs.
Finalement, résultant de sa direction du sud-est oriental vers la Mer du Nord, sa
chute eut lieu au sud d'Héligoland. Pendant des siècles, le lieu du point d'impact ne fut
pas praticable à cause de la vase et des gaz vénéneux 9 . Aujourd'hui, la vase est partie
mais, cependant, l'entonnoir malgré 3200 ans de lavage par les marées n’est pas en-
core assez limpide pour être mesuré. En 1956, à Saint Peter-Ording (qui se trouve à un
endroit proche du point de chute) le forage profond exécuté à 68,5 m de profondeur a
donné de l'eau noire et puante dont le sulfure d'hydrogène pourrait venir du Plané-
toïde (cf. § 1.3) [cf. Note r.t supra ]r.t
Les traditions anciennes sur cet événement spatial collationnées par Spanuth,
et ses traces établies aujourd'hui même, ont permis aux experts d'estimer complète-
ment la grandeur physique du Planétoïde : son diamètre de 1 km et une masse spécifi-
que estimée à ≈ 6, donne une masse totale de 3.109 (puissance 9) tonnes.
On peut comprendre que face à une catastrophe aussi violente, l'axe de la terre
n'a certainement pas oscillé comme il est souvent dit, mais cette impression est apparue
partout à cause des séismes immenses et aussi des éruptions provoquées par tous les
volcans ainsi que par les tremblements de la croûte terrestre. »» Ing. Rudolf Czeppan.
…/…
8
Note r.t, Eschatologique : ensemble de doctrines et de croyances portant sur le sort ultime de
l'homme et de l'univers.
9
Gaz vénéneux : cf. complément “delmetan.pdf” sur Hydrates de Méthane in art. Atlantide* de r.t !
16

Nécrologie
Jürgen Spanuth, le découvreur d'Atlantis, est décédé le 17 octobre
1998. Son ami, personnel, Ing. Rudolf Czeppan, vivant à Klagenfurt ("le gué des
plaintes"), Autriche, qui avait présenté cette contribution sur Internet, vient de dé-
céder le 20 septembre 2003.
La page Internet devient à l'avenir celle du Freundeskreis des Ing. Ru-
dolf Czeppan (Cercle des Amis de l'Ing. Rudolf Czeppan), dont s'occupent Erika
Hannesschläger et Walter Piutz. SVP, adressez toutes vos questions à Walter Piutz

~ ~ ~ ~ Traduction/ adaptation : <racines.traditions.free.fr> (r.t)~ ~ ~ ~ ~


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Quelques images supplémentaires vues / <astrosurf.com/macombes>

L’image du monde des Égyptiens vers 1200 AEC.


Pour les Égyptiens du XIIIe siècle AEC, le monde se divisait en dix arcs. Le 9ème arc était la région
occupée par les Peuples du Nord et le 10ème arc correspondait à la colonne du ciel (Irminsul*). Les
Égyptiens de l’époque de Ramsès III sont formels : ce sont les ravages causés par Sekhmet qui obli-
gèrent ces Peuples du Nord à abandonner leurs contrées devenues invivables. C’est l’épisode du Ra-
gnarök de la mythologie germanique et scandinave. Figure 19-2 extraite du livre/ Internet : Le Terre
Bombardée de M.-A. Combes.
17

« Sekhmet et les Peuples de la mer : Le cataclysme de la fin du XIIIe siècle AEC a causé partout
sur son passage la désolation et la misère, ruinant et chassant des peuples entiers de leurs terres an-
cestrales. Certains de ceux-ci se regroupèrent pour former les fameux “Peuples de la mer”, cohorte
hétéroclite de guerriers en quête de nouveaux territoires. Ce personnage qui figure sur les bas-reliefs
de Médinet Habou a une coiffe caractéristique des peuples germaniques, comme l’a montré J. Spa-
nuth, et est probablement venu des contrées du nord-ouest de l’Europe. On sait par les textes que les
pays du neuvième cercle ont été totalement dévastés par un grand cataclysme : le Ragnarök, parve-
nu jusqu’à nous sous forme de mythe. » Figure 19-3/ Macombes.

La flèche indique la trajectoire sud-est/nord-ouest suivie par Sekhmet. Les divinités dont
les noms sont indiqués sont associées au cataclysme de la fin du XIIIe siècle avant J.-C. L’épopée du
Ragnarök concerne tout le nord-ouest de l’Europe (mythologie germanique et scandinave) et date de la
même époque comme l’a montré J. Spanuth. » Figure 19-3 - Macombes.

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