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3. Les actes obligatifs : Linterlocuteur na que deux choix : Soit il excute laction, soit il explique pourquoi il ne lexcute pas. a. Directifs b. Commissifs Les actes de langage informatifs et linteraction cooprative Les prsuppositions conversationnelles sont un ensemble de connaissances partages qui forment lacquis entre les deux interlocuteurs. Ces connaissances sont du type : Connaissances du monde Savoir pralable Savoir culturel
Les prsuppositions conventionnelles sont des lments prsupposs qui sont donns comme acquis lintrieur dune mme communaut. Le principe de coopration et les maximes conversationnelles Pour voir un rapport plus clair entre la ralit et les connaissances des interlocuteurs, on fait appel aux principes de coopration, partant de lide qu ils sont coopratifs. Le principe de coopration nous indique : Faites votre contribution la communication de la manire qui est requise par le stade auquel elle intervient Grice (1975) parle de diffrents types de maximes : 1. de qualit (vrit et information suffisante) 2. de quantit (seulement linfo requise) 3. de pertinence 4. de mode de prsentation (clair et transparent) Linterlocuteur doit, partir de ses implicatures conversationnelles reconstruire le sens. Mais si on fait fi des maximes (si on ne las rpte pas), linterlocuteur doit trouver une interprtation plus indite. Tout acte a besoin de quelques stratgies de politesse, donc, on vitera d utiliser limpratif qui est souvent ressenti comme trop abrupt. On pourrait parler de deux types dactes ce regard : 1. Les actes directifs (Limpratif)
2. Les actes indirects ou questions informatives (on procde dune stratgie de politesse ngative ou positive parce quon veut signaler qu on respecte, sauver et garder la face de lautre).