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1- Introduction.
Le tableau 1 énumère les pannes les plus probables pour divers types
de composants électroniques.
Par résistance, on désigne un élément qui oppose une résistance au passage du courant électrique
(lampe, résistance chauffante, etc...), Sa caractéristique est nommée la résistance. Elle s'exprime
en Ohms et se mesure avec un ohmmètre.
Symbole :
Attention : Pour mesurer une résistance, l'élément à mesurer doit être isolé du circuit.
Exemples :
• Rouge, Rouge, Orange, Argent :
22 x 1000 = 22 K.
à plus ou moins 5%.
Les résistances sont disponibles par séries. La série E12 est la plus courante,
elle comporte 12 valeurs par décade.
100 - 120 - 150 - 180 - 220 - 270 - 330 - 390 - 470 - 560 - 680 - 820
La valeur 100 par exemple représente toutes les résistances de 0,1 ohm à 1 Méga Ohm.
Les condensateurs :
Marquage des condensateurs non-polarisés :
Étant donné la grande variété de modèles disponibles parmi les condensateurs non-polarisés, il
n'est pas toujours aisé de "décoder" leur marquage. Voici les principaux marquages rencontrés :
Les condensateurs :
Marquage des condensateurs non-polarisés :
Ci-dessus, le marquage des MKT type "milfeuil", très répandus, et des "céramiques".
Les condensateurs :
Marquage des condensateurs polarisés :
Les diodes :
Définition :
La diode est un composant semi-conducteur qui laisse passer le courant dans un sens et pas dans
l'autre. Ses bornes sont nommées Anode et Cathode.
Les diodes :
Caractéristique d'une diode :
Si Uak est négatif, la diode est bloquée, aucun courant ne circule. Si Uak est positif et supérieur
au seuil, un courant circule. Le seuil de tension d'une diode au silicium est de l'ordre de 0,7 V. La
diode est passante si Uak atteint ce seuil.
Si Uak est négatif et important la diode risque un claquage et une destruction (tension de
claquage).
Les diodes :
Exemple d'utilisation : Diode de roue libre.
Quand le transistor est saturé, un courant I circule dans la bobine du relais, Uak = - 9V, la diode
est bloquée.
Au blocage du transistor, un courant continue à circuler dans la bobine, celle-ci se décharge alors
dans la diode suivant le circuit en rouge, la diode est passante.
La diode protège le transistor contre les surtensions qu'aurait provoqué une rupture brutale du
courant dans la bobine.
Les diodes :
Exemple d'alimentation d'une led :
Les transistors :
Le transistor va remplir la même fonction que le relais mais de façon statique (sans pièce mobile).
Ici aussi, une faible énergie de commande entraîne le passage d'une énergie plus importante.
Les transistors :
Transistor bipolaire de type NPN :
Dans le cas d'un transistor bipolaire, c'est un petit courant dans la base (Ib) qui permet le
passage d'un courant beaucoup plus fort du collecteur vers l'émetteur (Ic).
Le courant de base est multiplié par un coefficient = Ic / ib. Dans le cas présent le courant dans
le moteur est égal à 200 fois le courant de base.
Les transistors :
Transistor bipolaire de type NPN :
Le courant de base est multiplié par un coefficient = Ic / ib. Dans le cas présent le courant dans
le moteur est égal à 200 fois le courant de base.
Les transistors :
Transistor bipolaire de type NPN :
La résistance de base doit être calculée pour avoir un courant de base suffisant.
Quand le transistor est utilisé en commutation, deux cas sont possibles :
- Soit le courant de base est nul et le transistor est bloqué. Il est équivalent à un
interrupteur ouvert.
- Soit le courant de base est suffisant et le transistor est saturé. Il est équivalent à un
interrupteur fermé.
Les transistors :
D'autres transistors courants :
- Le transistor bipolaire PNP :
C'est le frère jumeau du transistor NPN.
Le courant de base change de sens et Vbe est négatif. La charge est maintenant sur le collecteur
et la commande se fait sur un niveau bas.
Les transistors :
D'autres transistors courants :
- Le transistor MOS :
Les thyristors :
Cela ressemble fortement à une diode avec une électrode supplémentaire. Structurellement ce
n'est pas tout à fait le cas.
Le thyristor est un composant muni d'une électrode de commande appelée "gâchette". en
anglais son nom est SCR soit Silicon Controlled Rectifier.
Pour que la conduction s'opère entre anode et cathode, il faudra donc envoyer une impulsion
de courant sur la gâchette du thyristor.
Quand la conduction s'opérera nous appellerons cette phase l'amorçage. Le thyristor présente
plusieurs conditions d'amorçage et de désamorçage
Les thyristors :
Avant de voir les quelques conditions d'amorçage et désamorçage voyons un petit schéma :
On trouve une source d'alimentation continue qui peut être une batterie, un interrupteur k1 qui
ouvre ou ferme ce circuit. Le thyristor est monté en série avec une charge constituée par une
ampoule.
Naturellement le thyristor est monté dans le bon sens, l'anode au pôle positif de l'alimentation,
la cathode au pôle négatif de l'alimentation. La gâchette est reliée par l'intermédiaire d'une
résistance R et d'un interrupteur k2 à l'alimentation.
Diagnostic et réparation des cartes électroniques - 30 -
Les thyristors :
Initialement dans l'état actuel, rien !
Fermons K1, il ne se produit rien, la lampe ne brille pas et l'on retrouve la tension
d'alimentation aux bornes du thyristor.
Laissons K1 fermé et fermons maintenant K2, la lampe brille !
Nous constatons que si nous ouvrons K2, la lampe émet toujours le même éclat. Pour
l’éteindre, nous n'avons pas d'autre solution que d'ouvrir K1, c'est à dire couper l'alimentation.
Nous interprétons comme ceci :
- Fermer le circuit d'alimentation ne provoque pas la conduction du thyristor, là le
comportement diffère notablement d'une diode.
- Pour provoquer la conduction, nous devons envoyer une impulsion de courant dans la
gâchette du thyristor, la tension doit être positive par rapport à la cathode. Nous avons
amorcé notre thyristor.
- Si nous inversons les polarités de l'alimentation, le thyristor ne s'amorce plus, le thyristor a
donc un comportement polarisé.
- Pour bloquer la conduction, il faut ramener la ddp anode cathode à une valeur nulle ou
presque.
Diagnostic et réparation des cartes électroniques - 31 -
Les thyristors :
Les conditions d'amorçage :
Les conditions de blocage :
Quand le courant anode-cathode Iak est inférieur au courant minimum de maintien pendant un
temps supérieur au temps de désamorçage.
Le DIAC :
DIode for Alternative Current.
Comme son symbole le laisse voir, il s'agit de deux diodes montées tête- bêche. Les
diodes ne sont pas de simples diodes, elles se comportent comme des diodes zener.
Le TRIAC :
TRIode for Alternative Current.
Attention, ce n'est pas un DIAC, c'est un double thyristor. Le TRIAC permet donc le
contrôle du courant alternatif sur les deux alternances avec une seule et unique
commande.
Importance du diagnostic :
Importance du diagnostic :
Le diagnostic permet de confirmer, de compléter ou de modifier les hypothèses faites sur l’origine
et la cause des défaillances et de préciser les opérations de maintenance correctives nécessaires.
Les outils de diagnostic sont nombreux et diversifiés mais tous guident la réflexion de l’agent de
maintenance suivant un cheminement logique et structuré.
En les prenant dans l’ordre de leur classement chaque hypothèse doit être
vérifiée suivant la méthode générale.
L’enchaînement des ces vérifications jusqu’à la constatation d’un essai bon
est représentatif de la méthode de diagnostic.
Tableau de diagnostic :
Procédures de réparation :
• Méthode aléatoire.
• Méthode analytique.
Procédures de réparation :
La méthode aléatoire (traditionnelle) :
Cette méthode se base sur certains règles empiriques par exemple : dans 70 % des cas la carte
est en panne à cause d’un problème d’alimentation ; etc.…
Principe de la méthode :
- Contrôle visuel de la carte électronique.
- Repérage des composants grillés, pistes arrachées ou coupées.
- Vérification de l’alimentation de la carte des circuits intégrés.
- Fusibles, ponts de diodes et régulateurs de tensions.
- Vérification des entrées/sorties et des circuits intégrés, ampli, circuit logiques.
Bien que cette procédure est facile à utiliser, elle ne garantie qu’un certain pourcentage de
réussite et n’aboutit pas dans pas mal de cas.
Procédures de réparation :
La méthode analytique :
C’est une méthode qui se base essentiellement sur le raisonnement. Elle débute en examinant
par vision le fonctionnement global de l’équipement ou de la panne dans la recherche d’une
éventuelle conclusion concernant une certaine panne.
Principe de la méthode :
- Étudier le fonctionnement de l‘équipement.
- Examiner l’équipement avec une vision globale pour identifier le défaut.
- Réaliser un montage permettant un test fonctionnel de la carte.
- Analyser le fonctionnement des circuits.
- Comparer les signaux de la carte avec ceux du schéma.
- Déterminer les anomalies.
- Déterminer et remplacer le composant fautif ou autre défaut.
- Effectuer un test fonctionnel de la carte pour vérifier son bon fonctionnement.
- Si essai négatif reprendre de l’étape 5 ; si essai positif réparation terminée.
Cette procédure trouve sa limite pour réparer une carte à microprocesseur par exemple.
Diagnostic et réparation des cartes électroniques - 42 -
Procédures de réparation :
La méthode de test automatique :
Étant donné que la complexité des cartes électroniques est croissante, leurs diagnostiques, test
et réparation demande de plus en plus de temps, de compétences et de matériel.
Pour ce faire à cet aspect nous présentons la méthode de test automatique qui utilise un
instrument spécialisé qui permet le test des cartes électroniques sans schéma. Ce système est à
utilisation simple et rapide et il est adapté à un niveau de maintenance où le nombre de type de
carte est élevé et le flux de réparation est faible et très variable.
L’équipement peut prendre en compte tous genres de cartes et circuits (numérique, analogique,
TTL, CMOS…).
• Analyse de signature.
• Composants en bibliothèque.
C’est à dire une valeur de résistance (en continu) ou d’impédance (en alternatif) exprimée en
Ohm. En utilisant une tension variable entre –V et +V, on pourra relever pour chaque valeur de V
la valeur du courant et par suite on pourra dresser une courbe V/I.
Puis, avec des systèmes encore plus sophistiqués comme le SAV 4000, il est possible de
mémoriser l’ensemble de ces points et courbes afin de pouvoir les réutiliser comme outils de
comparaison.
• Aucun diagnostic précis : il faut un spécialiste pour interpréter une courbe différente
de l’étalon.
• Détection d’environ 30 à 40% des cartes défectueuses.
Cette technique est équivalente à celle utilisée dans les testeurs traditionnels de production
« IN-CIRCUIT ». L’équipement examine, carte alimentée, les connexions de chaque composante.
Il peut construire une vue complète des interconnexions de la carte et indiquer la différence entre
les connexions nécessaires et celles trouvées au cours des tests ; ceci donnera une bonne indication
de l’endroit où se trouve le défaut (autre que le composant). Toutefois, pour tenir compte de notre
souci de flexibilité et de faible coût, nous devons à ce stade introduire un élément d’intervention
manuelle, mais guidée automatiquement, sous forme d’une prise d’information de chaque
composant l’un après l’autre. Cette technique conduit inévitablement à des tests plus lents,
comparée à une approche totalement automatisée comme dans le cas des testeurs « IN-CIRCUIT »
classiques équipés d’une « planche à clous ».
Elle consiste, carte alimentée ou non, à relever l’ensemble des informations au niveau des
broches de chaque composant suivant le même principe que pour la technique des composants
en bibliothèque, après avoir effectuer les mêmes vérifications préliminaires. Les informations
finales relevées et visualisées sont :
• Les niveaux logiques (haut, bas, mi-haut, mi-bas,…).
• L’environnement ( liens entre broches, VCC ou masse,…).
• La tension analogique exprimée en V.
Inconvénients :
L’unité centrale :
L’unité centrale :
Une unité centrale se compose d'au moins deux unités fonctionnelles : l'unité de
commande et l'unité de calcul. A l'origine celle-ci s'identifiait à l'unité arithmétique et
logique, chargée de l'exécution des opérations booléennes et des opérations
arithmétiques (addition, soustraction, multiplication, division, comparaison, etc.) pour
des entiers. En parallèle à cette unité, on peut trouver une unité de calcul sur les réels
ainsi qu'une unité de traitement dédiée aux opérations multimédias (traitement des
images et du son).
A côté de ces deux unités fonctionnelles on trouve une interface de gestion des
communications sur le bus externe, ainsi qu'une mémoire cache. Celle-ci est baptisée
de premier niveau car située à proximité immédiate du cœur du processeur. Mais
depuis quelques années, les concepteurs ont été amenés à embarquer également la
mémoire de second niveau. Ces caches peuvent être scindés pour séparer les
instructions et les données (architecture Harward).
L’unité centrale :
L'unité de commande contient une unité chargée du décodage des instructions, une
unité pour le calcul des adresses des données à traiter. On y trouve également le
séquenceur qui contrôle le fonctionnement des circuits de l'unité de calcul nécessaires
à l'exécution de chaque instruction.
L'unité centrale comprend un certain nombre de registres pour stocker des données
à traiter, des résultats intermédiaires ou des informations de commande. Parmi ces
registres certains servent pour les opérations arithmétiques ou logiques, d'autres ont
des fonctions particulières comme le registre instruction (RI) qui contient l'instruction
à exécuter, le compteur ordinal (CO) qui pointe sur la prochaine instruction ou un
registre d'état (PSW : Processor Status Word) contenant des informations sur l'état du
système (retenue, dépassement, etc.).
L’unité centrale :
La figure suivante présente un schéma général très simplifié de l'organisation de l'unité centrale,
sans tenir compte de la présence d'une mémoire cache et de l'interface avec le bus externe.
Fréquence d'horloge :
L'oscillateur fournissant le signal d'horloge peut être intégré sur la puce silicium du processeur.
Ce n'est généralement pas le cas, pour au moins deux raisons.
Tout d'abord, la fréquence d'oscillation est sensible à la température. Or celle d'un processeur
n'est pas très stable. Il serait possible d'observer une dérive fatale, la fréquence augmentant avec
la température et la température augmentant avec la vitesse de fonctionnement. Cela poserait
également des problèmes de synchronisation avec les composants externes au CPU.
Par ailleurs en embarquant une horloge dans la puce du processeur la fréquence de celui-ci
serait figée par construction. Or les galettes de silicium ne sont jamais parfaitement homogènes.
Les performances peuvent varier selon les zones. Le constructeur serait alors obligé d'ajuster la
fréquence de l'oscillateur au plus bas, en prenant un facteur de sécurité. Alors qu'actuellement,
les processeurs sont triés et vendus à un prix variant selon leur vitesse de fonctionnement.
On préfère donc un oscillateur interne synchronisé sur un signal d'horloge externe, souvent
fourni par un oscillateur à quartz. Nous allons étudier ce système de synchronisation, basé sur
une boucle à verrouillage de phase.
Diagnostic et réparation des cartes électroniques - 56 -
Les mémoires :
Les mémoires :
RAM :
Il existe deux grandes familles de mémoires RAM (Random Access Memory :
mémoire à accès aléatoire). Les RAM statiques et Les RAM dynamiques.
RAM statiques :
Un bit mémoire d'une RAM statique (SRAM : static RAM) est composé d'une
bascule. Tant que le circuit est alimenté, l'information est sauvegardée. Chaque
bascule contient 6 transistors.
RAM dynamique :
Une RAM dynamique stocke un bit d'information sous la forme d'une charge. Elle
utilise pour cela l'effet capacitif de certaines fonctions des semi-conducteurs (capacité
grille substrat d'un transistor MOS).
Les mémoires :
• RAM dynamique : plus grande densité même moins coûteuse qu'une RAM
statique. Mais il faut un circuit supplémentaire de rafraîchissement.
Les mémoires :
ROM :
Les mémoires mortes (ROM : " Read Only Memory" mémoire à lecture seule, ...) : ce sont des
tables de mots sélectionnés par une adresse. On les utilise pour des fonctions de décodage, de
microprogramme de machines spécialisées, et surtout de mémoires de programme de démarrage
des ordinateurs.
Cette mémoire est composée d'une grille dont les lignes sont reliées aux colonnes par des diodes
ou des transistors.
On utilise 3 types de ROM :
• ROM pure.
Les mémoires :
PROM :
Les liaisons à diodes ou à transistors de la ROM sont remplacées par des fusibles ou des diodes où
la jonction peut être claquée. La programmation d'une PROM, c'est-à-dire son chargement par les
données ou le programme de l'utilisateur, se fait par un programmateur de PROM.
Initialement, toutes les rangées et les colonnes sont connectées (0 en chaque point mémoire).
Durant le processus de programmation, le programmeur génère des impulsions qui ont pour effet
de claquer les fusibles ou les diodes aux emplacements prescrits, générant ainsi des 1.
Avantages :
• Densité, non volatile et vitesse élevée comme pour les
ROM.
• Claquage en quelques minutes.
• Coût relativement faible.
• Compatibilité du brochage avec les ROM.
Inconvénients :
• Écriture impossible.
• Modification impossible (toute erreur est fatale).
Diagnostic et réparation des cartes électroniques - 61 -
Les mémoires :
PROM :
Pour faciliter la mise au point d'un programme ou tout simplement permettre une erreur, il serait
intéressant de reprogrammer une PROM. Pour cela, la technique du claquage ne le permet pas et
de plus génère des déchets dans le silicium. Ce qui provoque un vieillissement prématuré de la
mémoire. Il existe donc les EPROM : Erasable Programmable ROM.
EPROM : elles possèdent les avantages de la PROM avec un plus, qui est l'effacement des
données par l'utilisateur.
UVPROM :
• Effaçable aux UV
• Constituée de transistors MOS dont la grille est isolée
• 10 à 20 minutes pour effacer
• Haute tension de programmation environ 25 volts
• Effacement de toute la capacité de la mémoire
Les mémoires :
• 64k x 8 = 512k, c’est un circuit qui mémorise 64k mots de 8bits (1octet), sa capacité est
donc de 512k.
• 64k x 16 = 1024k, c’est un circuit qui mémorise 64k mots de 16bits, sa capacité est de
1024k = 1Méga.
1k = 1024
1Méga = 1024K
Exemple :
Un circuit mémoire de 10 lignes d'adresse = 2 10 = 1024 de 8 lignes de données, cette mémoire de
1k de mots binaires de 1 octet, à donc une capacité de 1024 x 8 = 8192 bits ou 8 kbits ou 1024
octets.
A la réception, la prise en compte des informations se fait grâce a une synchronisation sur
l’information elle – même par :
• Une information de début de paquet (start bit).
• Une information de fin de paquet (stop bit).
Chaque mot de donnée programmable de 5 à 8 bits, 8 en général (le code ASCII n’utilise que les
7 premiers) ; doit être précédé d’un START BIT et suivi d’un STOP BIT – un bit de parité
(optionnel) permet à la réception le contrôle de la validité du paquet.
Remarque :
Une liaison série peut être utilisée pour une application qui ne dépasse pas une
distance de 5 m.
- Les signaux de contrôles ne sont pas connectés avec Les opérations de lecture écritures sur
les interfaces extérieures. les interfaces ne s’effectuent pas
- Le latch est défectueux.
- Le processeur est en panne.
- Un décodeur d’adresses est en panne.