Chap3 Maladies Hydriques

Chapitre 3
Maladies transmises par l’eau

Introduction
• Un produit alimentaire favorable à la conservation ou à
la multiplication de germes pathogènes est capable, en
cas de consommation, de transmission de maladies.
• L'eau, de part les substances chimiques dissoutes, peut
entraîner des maladies ou la mort de ceux qui la
consomment
• les micro-organismes et parasites qu'elle contient, peut
être incriminée dans la survenue de certaines maladies.
• Son rôle dans la dissémination du choléra, de diarrhées,
d'hépatite infectieuse (hépatite A), de la fièvre typhoïde
et paratyphoïde n'est plus à démontrer.
Chapître 3: Maladies transmises 2

par l'eau
Maladies d’origine chimique
• Les substances chimiques contenues
dans l'eau peuvent déterminer des
maladies telles que :
– Goitre (par manque d'iode dans
l'alimentation) :
• L'iode est un élément chimique intervenant dans la
synthèse des hormones thyroïdiennes.
• Cet élément chimique doit être apporté par
l'alimentation, surtout par les produits de la pêche.
– Carie dentaire par insuffisance de fluor

par l'eau
– Fluorose par excès de fluor :
• Les fluorures ont une action bénéfique pour des
concentrations de 0.8 à 1.0 ppm (partie par million)
pour la constitution de l'émail dentaire. Cependant
pour des concentrations dépassant 1.0 à 1.15 ppm
il y a apparition de fluorose dentaire (émail
tacheté.)
• La fluoration des eaux de consommation est une
démarche de santé publique afin de réduire le taux
de carie dentaire au sein d'une population ciblée

par l'eau
– Méthémoglobinémie
• Nitrates convertis en nitrites dans l'organisme
• Nitrites réagissent avec l'hémoglobine des
globules rouges pour former la méthémoglobine,
affectant la capacité du sang à transporter
suffisamment d'oxygène jusqu'aux cellules de
l'organisme.
• Une des causes les plus courantes :présence de
nitrates dans l'eau de boisson.

par l'eau
• Concentrations élevées de nitrate à l’état naturel
présentes dans l'eau de boisson du fait de
l'utilisation de fumier et d'engrais en agriculture.
• Concentration naturelle des nitrites et des
nitrates dans l'environnement est de quelques
milligrammes par litre, bien que des
concentrations élevées puissent se produire
naturellement dans certaines zones.
• Pratiques agricoles intensives peuvent faire
augmenter cette valeur à plus de 50 mg/litre
(OMS 1998).
par l'eau
• Méthémoglobinémie très importante chez
les nouveau-nés nourris au biberon
• l'eau des puits dans les zones rurales est
un sujet de préoccupation particulière.
• L'hémoglobine des nouveau-nés est plus
sensible et l'affection est aggravée par une
infection gastro-intestinale

par l'eau
• Les personnes plus âgées courent également un risque du
fait de la diminution de la sécrétion d'acide gastrique.
• La méthémoglobinémie est rare aujourd'hui dans la plupart
des pays industrialisés du fait du contrôle des nitrates dans
les approvisionnements en eau.
• La méthémoglobinémie représente un risque dans les pays
en développement, par exemple lorsque l'eau provient des
puits peu profonds dans des zones agricoles.
• Mesure préventive efficace: surveillance de concentrations
de nitrates dans les sources d'eau de boissons
(concentration inférieures à 50 mg/litre)

par l'eau
– Saturnisme par excès de plomb
• La présence du plomb dans l’eau signe
généralement une contamination par des déchets
(métallurgiques) ou par des rejets industriels
contenant du plomb (arséniate de plomb)
• Il peut aussi provenir d’une corrosion d’alliages
contenant du plomb

par l'eau
Maladies,agents pathogènes
réservoirs et mode de transmission
• L'eau est aussi le lieu
– de reproduction
– de gîte d ’arthropodes vecteurs ou de
parasites
• responsables de certaines maladies (paludisme,
fièvre jaune, filariose, schistosomiase,
onchocercose…)

par l'eau
• Bactéries
– Salmonelloses:
• Salmonella typhi
– Fèces et urines de porteurs de germes ou de malades
» Eau, lait, produits laitiers, crustacés et aliments
contaminés, mouches
• Salmonella paratyphi A B et C
– Fèces et urines de porteurs de germes ou de malades
» Eau, lait, produits laitiers, crustacés et aliments
contaminés, mouches

par l'eau
• Même après la guérison de la typhoïde ou de la
paratyphoïde, un petit nombre d'individus (appelés
porteurs) continuent à porter les bactéries.
• Ces porteurs sains peuvent être une source d'infection
pour d'autres personnes
• La transmission de la typhoïde ou de la paratyphoïde
dans les pays les moins industrialisés peut être due à
des aliments ou de l'eau contaminée.
• Les coquillages provenant de fonds marins contaminés
par des effluents constituent une voie d'infection
importante.

par l'eau
• Les fièvres typhoïde et paratyphoïde sont
courantes dans les pays les moins
industrialisés, principalement du fait du
problème de l'eau de boisson non potable,
de l’élimination inadéquate des effluents et
des inondations
• Selon les estimations, l'incidence annuelle
de la typhoïde est de 17 millions de cas
environ au niveau mondial

par l'eau
• Les interventions de santé publique permettant de prévenir la
typhoïde ou la paratyphoïde :
– éducation pour la santé en matière d'hygiène personnelle (le lavage des
mains après l'utilisation des toilettes et avant la préparation de
nourriture)
– fourniture d'un approvisionnement en eau saine;
– systèmes d'assainissement adéquats;
– tenue à l’écart des porteurs en ce qui concerne la manipulation des
aliments.
• Les mesures de lutte pour combattre la typhoïde:
– éducation pour la santé
– traitement antibiotique.
– Un vaccin est disponible, bien qu'il ne soit pas recommandé
systématiquement sauf pour ceux qui auront une exposition prolongée à
des aliments ou de l'eau potentiellement contaminée dans des zones à
haut risque. Le vaccin ne fournit pas une protection totale vis-à-vis de
l'infection.

par l'eau
– Shigelloses( dysenterie bacillaire)
• Shigella dysenteriae,
• S. flexneri,
• S. boydii
• S. sonnei
– Selles des porteurs de germes et des sujets infectés
» Eau, aliments, lait et produits laitiers contaminés,
mouches

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– Choléra
• Vibrio cholerae
– Selles, vomissements; porteurs de germes
» Eau, aliments crus contaminés, mouches
– Mélioïdose
• Pseudomonas pseudomallei
– Rat, cobaye, chat, lapin, chien, cheval
» Peut être aliment contaminé par des excreta de rats
– Gastro- entérite
• Micro- organismes inconnus
– Probablement l'homme et les animaux
» Eau, aliments, lait, air

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– Le trachome
• maladie infectieuse des yeux pouvant provoquer une cécité après
des réinfections répétées.
• principale cause de cécité évitable au niveau mondial
• survient là où les gens vivent dans des conditions de
surpeuplement avec un accès limité à l'eau et aux soins de santé.
• se propage facilement d'une personne à l'autre, fréquemment d'un
enfant à un autre et d'un enfant à la mère dans la famille.
• Habituellement, l'infection survient la première fois durant l'enfance
mais les personnes ne deviennent pas aveugles avant l’âge adulte.
• maladie à progression silencieuse
• causé par Chlamydia trachomatis.
• Par les sécrétions oculaires d'un enfant infecté, le trachome est
transmis par les mains, sur les vêtements ou par des mouches qui
se posent sur le visage de l'enfant infecté.

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• Le trachome survient dans le monde entier avec
prédominance
– dans les communautés rurales pauvres
– dans les pays en développement
• Le trachome cécitant est répandu:
– au Moyen-Orient,
– en Afrique du Nord et sub-saharienne,
– dans des parties du sous-continent indien,
– en Asie du Sud et
– en Chine.
• L'OMS estime que six millions de personnes dans le
monde sont aveugles du fait du trachome et que plus de
150 millions de personnes ont besoin d'un traitement

par l'eau
• Les interventions primaires préconisées pour la prévention du
trachome:
– amélioration de l'assainissement
– réduction des sites larvaires des mouches
– hygiène faciale accrue (avec de l'eau propre) chez les enfants qui
risquent de contracter la maladie.
• Une bonne hygiène personnelle ainsi qu'une bonne hygiène du
milieu sont efficaces pour combattre le trachome.
• L'OMS a adopté, avec une alliance de parties intéressées, la
stratégie «SAFE» pour combattre le trachome. Les quatre
composantes de la stratégie sont les suivantes:
– • Soins chirurgicaux
– • Antibiotiques (l'azithromycine, un nouvel antibiotique sous forme de
pommade ophtalmologique à la tétracycline, a été testé dans un
nombre de pays et les résultats initiaux sont très prometteurs).
– • hygiène Faciale
– • amélioration de l’Environnement.

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• Les virus
– transmis par des moustiques ou d’autres arthropodes sont
appelés arbovirus (d’après l’anglais arthropod-borne viruses).
– environ 400 arbovirus différents connus; ils sont en général
hébergés par des animaux et occasionnellement transmis à
l’Homme par des moustiques.
– Les arboviroses les plus importantes transmises par des
moustiques
• la fièvre jaune
• la dengue
• plusieurs formes d’encéphalite
– Les vecteurs:
» Aedes
» Culex
» anophèles.

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• Virus
– Hépatite
• Virus A de l'hépatite
– Déjection de sujets infectés
» Eau, aliments, lait, contacts
– Poliomyélite
• Virus de la polio
– Sujets malades
» Eau

par l'eau
Cycle de transmission sylvatique, rural et urbain de la fièvre jaune en Afrique (2).

Copyright Blackwell Science Ltd
par l'eau
• Dengue et dengue hémorragique
– La dengue est provoquée par plusieurs virus
étroitement apparentés, appelés virus de la
dengue types 1, 2, 3 et 4.
– Vecteur:
• Aedes aegypti (principalement)
• Aedes albopictus

par l'eau
• Les mesures préventives les plus efficaces:
– réduire la densité des vecteurs
– faire obstacle sur une grande échelle à la
reproduction du vecteur
• éliminer les gîtes larvaires que constituent les réceptacles
naturels ou artificiels
• brûler les déchets organiques
• grillager ou boucher les récipients d’eau potable
• Installer des systèmes d’adduction d’eau, ou, s’il n’y pas
d’autre méthode qui donne satisfaction, en épandre sur les
gîtes larvaires des larvicides efficaces et sans danger.
• Ces stratégies supposent un effort important
d’éducation sanitaire qui s’inscrive dans la
durée.
par l'eau
• Encéphalite virale
– maladie caractérisée par une inflammation
aiguë de l’encéphale et de la moelle épinière.
– Il existe un certain nombre de virus qui sont
capables de donner lieu aux mêmes
symptômes.
– L’arriération mentale et les troubles
neurologiques sont des séquelles souvent
observées chez les survivants.

par l'eau
• Pour éviter la contamination, on peut
– porter des vêtements protecteurs,
– s’enduire d’un produit répulsif,
– munir de grillages les ouvertures des habitations,
– placer des moustiquaires ou encore utiliser des dispositifs antimoustiques tels que
serpentins etc...
– éviter également d’avoir des activités à l’extérieur à la tombée de la nuit.
• En milieu rural, la pulvérisation d’insecticides dans les abris pour animaux et les
habitations, en vue de détruire les Culex vecteurs de l’encéphalite japonaise, est
généralement inefficace car le moustique pique et se repose à l’extérieur.
• Dans certaines régions, la démoustication est en revanche possible en prenant des
mesures pour empêcher le moustique de se reproduire dans les rizières et les
réseaux d’irrigation.
• En situation d’épidémie, on peut procéder à des pulvérisations spatiales
d’insecticides à l’extérieur.
• Dans les zones d’endémie, il est recommandé de tenir les animaux domestiques à
distance des habitations. Cette mesure s’applique tout particulièrement aux porcs, là
où l’encéphalite japonaise est endémique.

par l'eau
• Autres maladies virales:
– De nombreuses autres viroses sont transmises à l’Homme par
les moustiques par exemple:
• la fièvre à virus Chikungunya
• la fièvre de la vallée du Rift, dans les zones irriguées de l’Afrique de
l’Est et de l’Inde, où se produisent des épidémies de grande
envergure.
• La maladie de la rivière de Ross sévit dans certaines régions
d’Australie et dans quelques îles du Pacifique.
• Il n’existe pas de traitement spécifique contre ces
maladies.
• On peut en revanche les prévenir et les combattre par
des mesures appropriées de lutte anti vectorielle

par l'eau
• Protozoaires
– Amibiase (dysenterie amibienne)
• Entamoeba histolytica
– Matières fécales de porteurs et d'individus infectés, peut
être aussi le rat
» Eau, aliments, légumes et fruits crus infectés;
mouches, cafards.

par l'eau
• Spirochètes
– Leptospiroses (maladie de Weil, etc.)
• Leptospira ictero- haemorrhagiae
• Leptospira hebdomadis
• Leptospira canicola
– Urine et fèces de rat, de porc, de chien, de chat, de
souris, de renard, de mouton
» Aliment, eau, sol contaminés par les excreta ou
l'urine d'animaux infectés; contact

par l'eau
• Helminthes
– Schistosomiase (bilharziose)
maladie hydrique considérée comme la deuxième
infection parasitaire en importance après le
paludisme, en termes de santé publique et d'impact
économique.
• Schistosoma haematobium,
• S. mansoni,
• S. japonicum
– Circulation veineuse de l'homme, urines, féces
» Eau infectée par les cercaires, utilisée pour la boisson ou
le bain.
par l'eau
• Au minimum, 600 millions de personnes risquent de contracter
l'infection et 200 millions sont infectées par la schistosomiase.
• Vingt (20) millions de ces derniers ont une forme grave de la
maladie et 120 millions en ont les symptômes.
• On estime que 80% de la transmission survient en Afrique sub-
saharienne.
• Les projets concernant les ressources hydriques pour la production
d’électricité et l'irrigation ont provoqué une énorme augmentation de
la transmission et des flambées de schistosomiase dans plusieurs
pays d'Afrique.
• Au nord du Sénégal, une région qui ne connaissait pas la
schistosomiase intestinale avant la construction du barrage de
Diama en 1986, la quasi-totalité de la population était infectée en
1994.
(OMS)

par l'eau
– Ascaridiase
• Ascaris lumbricoides
– Intestin grêle de l'homme, du gorille, du singe
» Aliments et eaux contaminés; eaux d'égout
– Echinococcose (hydatidose)
• Echinococcus granulosus (ténia du chien)
– Chien, mouton, loup, porc, cheval, singe
» Aliments et boissons contaminés; contamination de
main à bouche; contact avec des chiens infectés

par l'eau
– Téniase
• Taenia solium (ténia du porc),
• T. saginata (ténia du bœuf)
– Homme, bétail, porc, buffle, éventuellement rat et souris
» Viandes infectées consommées crues; aliments
contaminés par les féces de l'homme de rat et de souris
– Paragominiase
• Paragominus westermani,
• P. kellicoti (trématode du poumon)
– Voies respiratoires et tube digestif de l'homme, du chat, du
chien, du porc,du rat, du loup
» Eau infectée, crabe d'eau douce, écrevisse

par l'eau
– Trichocéphalose
• Trichuris trichiura
– Gros intestin de l'homme, du porc, du chien
» Aliments contaminés
– Oxyurose
• Enterobius vermicularis
– Gros intestin de l'homme
» Doigts, poussière chargée d'œufs; aliments et eau contaminés;
eau d'égout
– Fasciolpsiase
• Fascilopsis buski
– Intestin grêle de l'homme et du porc
» Plantes aquatiques crues; eau, aliments
– Hyménolépiase
• Hymenolepis nana
– Homme et rongeurs
» Aliments contaminés par les œufs; contact direct

par l'eau
• Onchocercose:
– due à une filaire parasite, Onchocerca volvulus.
– les simulies transmettent l’infection d’une personne à l’autre.
– infection peut provoquer
• des démangeaisons intenses et
• des lésions oculaires susceptibles d’entraîner la cécité.
– sévit dans toute l’Afrique centrale et l’Afrique de l’ouest ainsi que
dans certaines zones d’Afrique orientale.
– estimations actuelles:
• près de 18 millions de personnes infectées, dont 268 000 aveugles;
• 500 000 autres malades souffrent de graves troubles visuels
– La prévention de la maladie passe obligatoirement par la lutte
contre les simulies

par l'eau
Cycle de développement d’Onchocerca volvulus (par Taina Litwak pour le compte de

la United States Agency for International Development’s VBC Project).
par l'eau
Cycle de développement de Leishmania (par Taina Litwak pour la United States

Agency for international Development’s VBC project
par l'eau
• Loase
– causée par une filaire appelée Loa loa.
– transmise par des taons du genre Chrysops et elle se
limite aux bois et aux forêts de l’Afrique occidentale et
centrale, du Bénin à l’Ouganda et au sud du Soudan.
– Le cycle de développement de la filaire ressemble à
celui d’Onchocerca volvulus
– Le ver adulte vit dans les tissus sous-cutanés.
– L’infection entraîne souvent des tuméfactions dans
diverses parties du corps.
– Les larves présentes dans le courant sanguin sont
captées par le taon au moment de son repas de
sang.
par l'eau
CONCLUSION
• L’eau occupe une place centrale dans la transmission de
nombreuses maladies; ceci d’une manière directe ou
indirecte
• La diversité des maladies parasitaires, virales,
bactériennes, ainsi que celles associées au danger que
constituent certains produits chimiques pour la santé
(pesticides, hydrocarbures,plomb, cyanure etc) fait du
traitement de l’eau un impératif de santé public tant pour
l’alimentation humaine que pour le bétail et la protection
de l’environnement.
• Le traitement de l’eau contribue à la lutte contre la
pauvreté par un relèvement du niveau de santé de la
population et une amélioration du cadre de vie
par l'eau

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Maladies transmises par l’eau

Chapître 3: Maladies transmises 2

Chapître 3: Maladies transmises 3

Chapître 3: Maladies transmises 4

Chapître 3: Maladies transmises 5

Chapître 3: Maladies transmises 7

Chapître 3: Maladies transmises 8

Chapître 3: Maladies transmises 9

Chapître 3: Maladies transmises 10

Chapître 3: Maladies transmises 11

Chapître 3: Maladies transmises 12

Chapître 3: Maladies transmises 13

Chapître 3: Maladies transmises 14

Chapître 3: Maladies transmises 15

Chapître 3: Maladies transmises 16

Chapître 3: Maladies transmises 17

Chapître 3: Maladies transmises 18

Chapître 3: Maladies transmises 19

Chapître 3: Maladies transmises 20

Chapître 3: Maladies transmises 21

Cycle de transmission sylvatique, rural et urbain de la fièvre jaune en Afrique (2).

Chapître 3: Maladies transmises 23

Chapître 3: Maladies transmises 25

Chapître 3: Maladies transmises 26

Chapître 3: Maladies transmises 27

Chapître 3: Maladies transmises 28

Chapître 3: Maladies transmises 29

Chapître 3: Maladies transmises 31

Chapître 3: Maladies transmises 32

Chapître 3: Maladies transmises 33

Chapître 3: Maladies transmises 34

Chapître 3: Maladies transmises 35

Cycle de développement d’Onchocerca volvulus (par Taina Litwak pour le compte de

Cycle de développement de Leishmania (par Taina Litwak pour la United States

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